Chapitre 12 Psychopathologie de l'enfant Flashcards

1
Q
  1. Quelle dimension distingue le mieux la psychopathologie de l’enfant de la psychopathologie adulte ?
A
  1. Le changement: comme les enfants sont en croisance plus rapide et plus intense que les adultes, les psychopathologies observées chez eux sont plusmobiles encore.
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2
Q

Complétez la phrase. Plusieurs psychopathologies reposent sur des marqueurs ………………., mais ceux-ci doivent être « évoqués » par ……………….. pour que le trouble se manifeste.

A
  1. génétiques, l’expérience
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3
Q
  1. Nommez un élément sur lequel repose la valeur du diagnostic d’un problèmechez un enfant.
A
  1. Validité des critères utilisés, qualité de leur application clinique (1 élément requis)
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4
Q
  1. Vrai ou faux, Déjà à partir des années 1950, l’American Psychiatric Association accordait une attention marquée aux désordres mentaux de l’enfance dans son premier Manuel diagnostique et statistique des troublesmentaux.
A
  1. Faux. Ce n’est qu’en 1980, dans la troisième édition de cette publication, avec le DSM-III, qu’une véritable attention est accordée aux désordres mentaux se manifestant au cours de l’enfance ou de l’adolescence.
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5
Q
  1. Expliquez cette affirmation. Attribuer unproblème mental ou comportemental à un enfant qui n’en souffre pas constitue une erreur aussi grave que de ne pas déceler le problème chez celui qui en est atteint.
A

D’un côté, l’erreur provoque un étiquetage erroné de la personne, ce qui influe évidemment sur l’image que l’enfant se fait de lui-même et l’attitude de son milieu à son égard, sans parler des traitements inappropriés auxquels il pourra être soumis. D’un autre côté, l’absence de repérage du problème laissera l’enfant avec ses besoins non comblés, ce qui pourra compromettre sérieusement son développement.

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6
Q
  1. Le fait de considérer les désordres mentaux selon un mode dichotomique (présence ou absence) constitue une difficulté inhérente à l’application d’un système diagnostique de type médical, tel le DSM-IV. Expliquez en quoi ce traitement dichotomique s’éloigne parfoisde la réalité.
A
  1. Dans la réalité, les problèmes émotionnels, cognitifs ou comportementaux ne répondent généralement pas à cette logique de &laquo_space;tout ou rien » ; ils se manifestent plutôt de façon relative, à des degrés variables sur un continuum d’occurrence.
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7
Q
  1. Distinguez les notions de prévalence et d’incidence.
A
  1. La notion de prévalence renvoie à la proportion de personnes touchées par un problème donné dans la population concernée. La notion d’incidence, quant à elle, renvoie au nombre de nouveaux cas recensés au cours d’une période donnée. L’incidence concerne donc les nouveaux cas identifiés tandis que la prévalence concerne l’ensemble des cas, anciens et nouveaux, dans la population concernée.
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8
Q
  1. Vrai ou faux. Les problèmes de l’enfancedonneront nécessairement lieu à une pathologie à l’âge adulte.
A
  1. Faux. Le temps fait parfois disparaître le désordre.
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9
Q
  1. Définissez le concept d’étiologie, puis nommez deux grandes catégories d’approches étiologiques en psychopathologie infantile.
A
  1. L’étiologie est l’étude des causes des troubles. Les deux grandes catégories d’approche étiologique en psychopathologie infantile sont celles dites biologiques et celles dites environnementales.
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10
Q
  1. Expliquez comment les approches &laquo_space;biologiques » et « environnementales&raquo_space; situent, respectivement, l’origine des psychopathologies de l’enfance.
A
  1. Les approches biologiques comprennent les psychopathologies de l’enfance comme des maladies physiques et en recherchent les causes dans les fonctions biologiques du corps. Les approches environnementales recherchent les causes des psychopathologies de l’enfance dans le milieu de vie de l’enfant ou dans son interaction avec le milieu.
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11
Q
  1. Qu’est-ce qu’un facteur de risque ?
A
  1. Un facteur de risque est un facteur qui augmente la probabilité qu’un problème survienne dans le développement.
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12
Q
  1. Qu’est-ce qu’un facteur de protection?
A
  1. Un facteur de protection est un facteur qui contribue à promouvoir un développement normal de l’enfant et à le maintenir en bonne santé mentale.
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13
Q
  1. Vrai ou faux. En psychologie du développement, la liste desfacteurs de protection reconnus à ce jour ressemble beaucoup à la liste des contraires des facteurs de risque.
A
  1. Vrai. Par exemple, un déficit intellectuel est un facteur de risque alors qu’une intelligence supérieure est un facteur de protection.
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14
Q
  1. En science physique, la notion de résilience correspond à la résistance au choc. À quoi cette notion correspond-elle en psychologie?
A
  1. En psychologie, elle renvoie à la capacité de se développer normalement malgré la présence de conditions adverses susceptibles d’influer sur l’ajustement personnel.
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15
Q
  1. Donnez trois exemples de facteurs de risque liésau milieu familial et trois exemples de facteurs de protection dans le développement de l’enfant.
A
  1. Facteurs de risque:
    1) Pauvreté familiale 2) Mère adolescente et monoparentale 3) Parents atteints d’un problème de santé mentale ou de dépendance (alcool, drogue)
    4) Relations familiales conflictuelles 5) Négligence ou maltraitance de la partdes parents 6) Mode de vie chaotique des parents
    Facteurs de protection:
    1) Enfant ayant un tempérament facile 2) Intelligence supérieure de l’enfant 3) Attachement de type sécurisé de l’enfant à ses parents 4) Ressources matérielles suffisantes dans la famille 5) Climat relationnel positif dans la famille 6) Réseau de soutien familial disponible et actif 7) L’enfant a des amis sur qui il peut compter 8) Très bonne réussite scolaire 9) Supervision parentale active et chaleureuse
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16
Q
  1. La notion de retard mental renvoie à un fonctionnement intellectuel général significativement inférieur à la moyenne. De quel quotient intellectuel s’agit-il?
    a) 70 et moins
    b) 80 et moins
    c) 90 et moins
    d) 100 et moins
A

a) 70 et moins

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17
Q
  1. Nommez les trois conditions qui doivent êtreprésentes pour pouvoir poser un diagnostic de retard mental.
A
  1. Un déficit intellectuel marqué, l’incapacité de répondre par soi-même aux demandes de la viecourante et l’apparition du problème avant l’âge adulte.
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18
Q
  1. Nommez trois comportements adaptatifs susceptibles d’être touchés par le retard mental.
A
  1. 1) habiletés de communication 2)capacité d’assumer les soins personnels (hygiène, nutrition, élimination, etc.) 3) habiletés liées à la vie domestique 4) habiletés sociales et interpersonnelles 5) capacité d’utiliser les ressources de la communauté (transport, soins, etc.) 6) capacité d’assumer ses responsabilités individuelles 7) aptitudes scolaires 8) capacité de travailler 9) capacité d’occuper ses loisirs 10) aptitude à prendre soin de sa santé et de sa sécurité
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19
Q
  1. Complétez la phrase. Le retard mental ………………. est généralement associé à un problème organique perceptible dès la naissanceainsi qu’à une grande dépendance pour les fonctions courantes de la vie.
A
  1. profond
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20
Q
  1. Vrai ou faux. La prévalence de retard mental estplus elevee chez les filles que chez les garçons.
A
  1. Faux
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21
Q
  1. Expliquez cette affirmation. « L’intelligence est probablement l’outil le plus précieux pour l’adaptation humaine.&raquo_space;
A
  1. L’intelligence est à la base de toutes les adaptations. Dès le début de la vie, une déficience influe sur la compréhension que l’enfant peut développer de son monde, rend plus difficile l’établissement des relations nécessaires au dégagement du sens des expériences.
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22
Q
  1. La notion de trouble d’apprentissage renvoie à une limitation importante de trois habiletés. Précisez lesquelles.
A
  1. Les habiletés à lire, à écrire et à compter
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23
Q
  1. Nommez deux facteurs susceptibles d’intervenirdans les troubles d’apprentissage.
A
  1. Une prédisposition génétique,
    un trouble neurologique,
    le syndrome d’alcoolisme foetal,
    une stimulation cognitive inappropriée au cours de la petiteenfance (2 éléments requis)
24
Q
  1. Comment peut-on expliquer le fait que les enfants présentant des troubles d’apprentissage affichent souvent une faible motivation et un comportement turbulent en classe, et que la probabilité d’abandon scolaire est plus élevée chez eux?
A
  1. L’enfant qui vit un trouble d’apprentissage a du mal à développer les habiletés à lire, à écrire ou à compter. Or la plus grande partie des contenus scolaires reposent sur ces habiletés, de sorte que le jeune vit constamment en décalage, ce qui influe grandement sur sa performance et sa motivation.
25
Q
  1. Par quelle autre expression peut-on désigner « troubles spécifiques de la lecture » ?
A

Dyslexie

26
Q
  1. Vrai ou faux. Parmi les enfants d’âge scolaire qui souffrent d’un trouble de la lecture, il y a davantage de filles que de garçons.
A
  1. Faux. Sept fois sur dix, ils impliquent un garçon.
27
Q
  1. Qu’est-ce qu’un phonème ?
A
  1. Les phonèmes sont les unités de son de la langue sur lesquelles repose la signification des mots («a »,«ch», «é», «en», «gue », «on », «ye » en sont des exemples en français).
28
Q
  1. L’enfant fait des erreurs dans la production, l’utilisation et l’organisation des sons à la base des mots. De quel trouble s’agit-il ?
    a) trouble du langage expressif
    b) trouble phonologique
    c) trouble dyslexique
    d) trouble du langage mixte réceptif/expressif
A

b) trouble phonologique

29
Q
  1. Expliquez brièvement. Le bégaiement est fortement influencé par les contextes dans lesquelsse tient la communication.
A
  1. Le stress, la fatigue, l’excitation font habituellement augmenter la difficulté, tandis que s’exprimer en chantant, parler une autre langue, réciter un texte en groupe, ou jouer un personnage peuvent faire disparaître momentanément le bégaiement.
30
Q
  1. Qu’est-ce qu’un déficit de l’attention?
A
  1. La notion de &laquo_space;déficit de l’attention » renvoie à la difficulté de se concentrer de façon soutenue sur une tâche donnée.
31
Q
  1. Chez un enfant, à quelle pathologie peut-on associer la difficulté à demeurer assis à sa place, écouter une consigne jusqu’au bout et à maîtriser son propre comportement?
A
  1. La notion d’hyperactivité
32
Q
  1. À quel moment important de la vie le comportement problématique de l’enfant aux prises avec THADA entre-t-il vraiment en conflit avec lesexigences du milieu et le niveau moyen des pairs?
A
  1. Lors de l’entrée à l’école
33
Q

Nommez deux facteurs pouvant expliquer l’augmentation significative, depuis les années 1990, de la proportion d’enfants prenant des médicanents pour traiter une hyperactivité.

A
  1. 1) Le public est plus conscient du THADA et de ses traitements. 2) Les pressions exercées par les parents et les enseignants pour recourir aux médicaments pour traiter le THADA sont fortes. 3) Le public accepte mieux l’idée de traiter le THADA avec des médicaments et il n’y a quepeu de ressources pour d’autres modalités de traitements de ce problème très dérangeant.
34
Q
  1. Le trouble des conduites renvoie à un patron decomportement du jeune marqué par une violation répétée et persistante des droits d’autrui et des règles sociales appropriées à l’âge. Nommezdeux des quatre grandes catégories de comportements problématiques relatifs à ce trouble proposées par le DSM-IV.
A
  1. 1) Comportements agressifs qui causent ou peuvent causer des blessures physiques à des personnesou à des animaux 2)Comportements destructeurs qui causent des pertes matérielles ou des dommages à la propriété 3) Vols et fraudes 4) Transgressions sérieuses des règles en vigueur dans le milieu du jeune.
35
Q
  1. Vrai ou faux. Le pronostic d’un trouble des conduites est plus favorable s’il est diagnostiqué avant l’âge de 10 ans que s’il apparaît à l’adolescence.
A
  1. Faux
36
Q

Vrai ou faux. Dans le DSM-IV, les critères diagnostiques de la dépression chez l’enfant sont mêmes que chez l’adulte.

A

Vrai

37
Q
  1. Nommez trois des neuf symptômes dedépression majeure chez l’enfant.
A

1) Humeur dépressive tous les jours, pratiquement toute la journée, rapportée par l’individu qui sedit triste ou se sent vidé, ou signalée par les autres qui le perçoivent comme constamment sur le point de pleurer. Chez les jeunes, des plaintes des pleurs récurrents, de l’irritabilité et des colères inexpliquées, une grande sensibilité à l’échec ou au rejet peuvent être rapportés. À noter que chez l’enfant et l’adolescent, la réaction d’irritabilité à la dépression peut être plus apparente que l’humeur dépressive elle-même
2) Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir à l’égard de toutes ou presque toutes les activités courantes, et ce, tous les jours ou presque. Chez les jeunes, la perte d’intérêt pour jouer avec les amis et l’isolement social peuvent en être une manifestation
3) Changement du poids corporel de plus de 5% sur un mois donnant lieu soit à une perte de poids sans faire de régime, soit à un gain de poids, ou perte ou gain d’appétit marqué presque tous les jours
4) Insomnie ou hypersomnie (besoin exagéré de dormir) presque tous les jours
5) Agitation motrice ou ralentissement marqué desgestes presque tous les jours
6) Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours. Les jeunes peuvent se plaindre fréquemment de maux de tête, de douleurs musculaires, de maux d’estomac ou de fatigue diffuse
7) Sentiment d’être sans valeur ou culpabilité excessive ou inappropriée presque tous les jours 8) Diminution de la capacité de se concentrer, de penser ou de décider presque tous les jours 9) Pensées récurrentes de mort (pas seulement la peur de mourir), idées de suicide sans plan spécifique, tentative de suicide ou plan spécifique pour s’enlever la vie

38
Q
  1. Vrai ou faux. Un enfant déprimé sur trois aurait des idées suicidaires.
A
  1. Faux. Deux enfants déprimés sur trois auraient des idees suicidaires.
39
Q
  1. Expliquez brièvement. Un pessimisme généralisé issu de croyances erronées peut être lié à la dépression.
A
  1. L’individu interprète à tort sa réalité de façon négative, cette réalité n’étant pas plus négative que celle desautres. Ces schèmes négatifs de pensée portent sur l’image que se fait la personne d’elle-même (« je ne vaux rien…»), sur son environnement (« le monde mauvais…..») et sur son avenir («ça ira de malen pis……. »).
40
Q
  1. Qu’est-ce que l’impuissance apprise?
A
  1. Les expériences antérieures amènent l’individu à développer la conviction que son comportement n’a pas d’effet sur ce qui lui arrive. Agir ou ne pas agir ne change rien, donc mieux vaut ne pas agir.
41
Q
  1. Quels sont les trois domaines dans lesquels l’enfant doit présenter des symptômes pour que le diagnostic d’autisme soit posé?
A
  1. La communication, l’interaction sociale et le répertoire restreint de comportements et d’intérêts avec actions répétitives et stéréotypées
42
Q
  1. Vrai ou faux. La prévalence des cas d’autisme n’a cessé d’augmenter au cours des dernières années si bien qu’environ 1 enfant sur 200 en est maintenant atteint.
A
  1. Faux. L’autisme est une psychopathologie relativement rare: 1 enfant sur 2000 en est atteint.
43
Q
  1. Chez les enfants autistes, quel besoin particulier serait à l’origine de leur maintien rigide de rites comportementaux?
A
  1. Un extraordinaire besoin de constance dans l’environnement
44
Q
  1. Comment se manifeste la «pensée en tunnel&raquo_space; chez l’autiste?
A
  1. La pensée en tunnel se traduit en une grande difficulté à intégrer différents éléments dans un ensemble cohérent.
45
Q
  1. En ce qui concerne la schizophrénie infantile, qu’entend-on par «<symptômes positifs » et symptômes négatifs » ?
A
  1. Les symptômes positifs impliquent des manifestations actives alors que les symptômes négatifs sont appelés ainsi parce qu’ils sont passifs ou inactifs.
46
Q
  1. Nommez deux éléments permettant de distinguer l’autisme de la schizophrénie infantile.
A

La schizophrénie se distingue de l’autisme par le qu’elle se présente plus souvent vers sept ans comparativement à trois ans pour l’autisme, et parla présence d’hallucinations et de délires persistants sur une période d’au moins six mois.

47
Q
  1. Vrai ou faux. La schizophrénie infantile et la schizophrénie adulte sont en continuité et ne constituent pas deux problèmes cliniques différents.
A

Vrai

48
Q

Nommez trois facteurs psychosociaux mis cause dans le trouble de l’alimentationde l’enfance.

A

48.1) Des difficultés sérieuses d’attachement mère-enfant
2) Des problèmes émotionnels graves
3) De la surprotection du bébé ou au contraire la privation de soins associée à la négligence ou au rejet parental
4) Une psychopathologie parentale (dépression ou autre)
5) Une toxicomanie parentale
6)De graves problèmes économiques dans la famille

49
Q
  1. Quel type d’énurésie est le plus fréquent?
    a)l’énurésie diurne
    b)l’énurésie spontanée
    c) l’énurésie secondaire
    d) l’énurésie nocturne
A

d) l’énurésie nocturne

50
Q
  1. Complétez la phrase. La plupart des cas d’énurésie diurne impliquent des …………….. alors que l’énurésie nocturne se rencontre plus souvent chez les ……………… .
A
  1. filles, garçons
51
Q
  1. Distinguez l’énurésie primaire de l’énurésie secondaire.
A
  1. L’énurésie primaire renvoie aux enfants qui n’ont jamais été propres pendant une période de six mois d’affilée et l’énurésie secondaire implique une rechute chez des enfants qui ont déjà étépropres antérieurement
52
Q
  1. Neuf fois sur dix, à quoi est directement liée encoprésie?
    a) la nervosité excessive
    b) la constipation de l’enfant qui évite d’aller à la selle
    c) une malformation du côlon
    d) une alimentation très riche en fibres
A

b) la constipation de l’enfant qui évite d’aller à la selle

53
Q
  1. Vrai ou faux. L’anxiété de séparation survient surtout chez les enfants provenant de familles dont les membres entretiennent des liens froids et distants.
A
  1. Faux. Le trouble anxieux de séparation survient plus souvent chez les enfants dont la famille entretient des liens étroits entre ses membres.
54
Q
  1. Expliquez comment une réaction de peur peut être utile pour l’individu.
A
  1. La réaction de peur est utile à la protection individuelle, et une personne qui en serait démunie vivrait des risques compromettants.
55
Q
  1. Qu’est-ce qu’une phobie?
A
  1. La phobie est une peur extrême et persistante de certains objets et animaux ou de certaines situations en l’absence d’un motif raisonnable.
56
Q
  1. Les phobies sont souvent traitées au moyen d’unetechnique issue de la thérapie cognitivocomportementale. Nommez et décrivez brièvement cette technique.
A
  1. La phobie peut être traitée par la désensibilisation systématique. Cette approche amène la personne à franchir sans paniquer, très graduellement et avec répétitions, les différentes étapes qui la conduisent à la maîtrise complète de la situation anxiogène.