Chapitre 8 Le dévelloppement de la cognition sociale Flashcards
1
Q
- Complétez la phrase. Les connaissances sociales constituent un domaine d’études qui est aussi appelé …………….. ou …………………. .
A
- cognition sociale, causalité psychologique
2
Q
- Nommez quatre éléments psychologiques d’inférence sociale.
A
- Intention, attitudes, pensées, émotions, buts,motivaions, traits, perceptions, souvenirs
3
Q
- Rapportez les termes suivants à leur définition:
I) Existence
II) Besoin
III) Inférence
a) Exigence où l’enfant est d’avoir accès àla cognition sociale.
b) Conscience du phénomène dansle monde social.
c) Capacité de reconnaître un élément psychologique donné.
A
- I) -b), II) -a), III) -c)
4
Q
- Expliquez brièvement. L’habileté cognitive est une condition nécessaire pour l’acquisition dela conduite sociale, mais non suffisante en elle-même.
A
- L’enfant peut comprendre le contexte social, mais nepas vouloir s’y adapter. Par exemple, l’enfant peutsavoir qu’il a avantage à prêter un jouet, mais ne pasvouloir le faire.
5
Q
- Expliquez brièvement. La formation d’un lien d’attachement implique l’acquisition, au moins partielle, du concept de la permanence de l’objet.
A
- L’enfant qui croit que les personnes ou les objets cessent d’exister lorsqu’il ne les voit pas ne peutse mettre à espérer leur retour ou à les rechercher.
6
Q
- À partir de quel âge environ les enfants découvrent-ils le caractère immatériel de la pensée humaine?
a) 3-4 ans
b) 5-6 ans
c) 7-8 ans
d) 10-11 ans
A
a) 3-4 ans
7
Q
- Nommez deux qualités de la pensée qui ne sont pas correctement appréciées par les enfants d’âge préscolaire.
A
- Les limites de l’attention, le fait que la pensée individuelle est privée, le fait que le flux de la pensée ne peut être interrompu, le fait que les expériences mentales en amènent d’autres.
8
Q
- Quelles sont les deux étapes franchies par l’enfant dans la représentation de ce que les autresperçoivent visuellement?
A
- L’enfant se représente d’abord ce que les autresvoient ou ne voient pas puis, plus tard, il sereprésente le point de vue des autres, c’est-à-dire lafaçon dont les autres voient un être ou une chose.
9
Q
- Vrai ou faux. Le fait que le nourrisson peutdistinguer les expressions faciales des émotionsn’implique pas nécessairement qu’il comprend leur signification.
A
- Vrai
10
Q
- Commentez l’affirmation suivante. Les enfants commencent à donner une signification auxexpressions du visage seulement à partir dumoment où ils intègrent des termes affectifsdans leur langage.
A
- Cette affirmation est fausse. Les enfants conceptualisent les expressions émotionnelles en termes de valence (positive ou négative) autour du 12° mois.
11
Q
- Lequel des termes affectifs suivants est compris le premier par les enfants?
a) surpris
b) fâché
c) content
d) peur
A
c) content
12
Q
- Décrivez la méthode qui a permis de démontrer que les jeunes enfants conceptualisentles émotions en termes de valence.
A
- La méthode consiste à exposer l’enfant à une situation ambivalente, à faire varier l’expression émotionnelle de la mère et à évaluer le comportement del’enfant.
13
Q
- Peut-on expliquer le développement duvocabulaire affectif de l’enfant uniquement par le conditionnement ?
A
- Non, car les enfants emploient correctement les termes affectifs pour décrire des faits ou des événements passés ou à venir. Les termes utilisés ne renvoient pas nécessairement à la situation présente.
14
Q
- En quoi la définition de l’émotion que donnent les enfants de 10 ans diffère-t-elle de celle quiest donnée par les enfants de six ans ?
A
- Les enfants de 10 ans sont plus portés que ceux de six ans à définir l’émotion en termes d’état mental. Les jeunes enfants font surtout référence auxsituations qui font naître les émotions.
15
Q
- Vrai ou faux. Les enfants d’âge préscolaire conceptualisent les émotions seulementen termes concrets.
A
- Faux. À l’aide de méthodes appropriées, on a pu démontrer que les enfants d’âge préscolaireconceptualisent les émotions en termes d’états mentaux.