Chapitre 12: aérotriangulation Flashcards
Désavantage avec stéréo restitution
par exemple, on a 1 000 photographie dans un bloc pour un projet, donc 500 modèles stéréoscopiques qui ont tous besoins d’un minimum de 3 points d’appuis, cela revient à matérialiser 1 500 points sur le terrain ce qui demande beaucoup de temps et d’argent. Une solution s’impose, l’aérotriangulation.
Avec l’aérotriangulation on va déduire les coordonnées mathématiques de ces points d’appuis que l’on veut pour nos modèles stéréoscopiques.
Méthode de compensation avec un nombre limité et moindres de points terrains.
Points d’appuis dans aérotriangulation
Points connu dans un référentiel terrain donnée qui permet le calculs de points dits artificiels à partir de nos images seulement.
Types de points d’appuis
Points planimétriques: coordonnées (x,y)
Points altimétriques: On connait altitude, élévation associé à notre point, coordonnée (z)
Points complets: coordonnées (x,y,z)
Nature du points: chacun des types de points d’appuis à cette sous section
-Points géodésique:
Un point balisé matérialisé avant le vol pour le rendre visible sur les photographies et mesuré dans le système de coordonnées terrain. lorsque le terrain ne montre pas suffisamment de détails terrain bien identifiables sur les photographies.
- Points naturels
Détails physique du terrain; Coin de trottoir, rattaché au système de référence terrain.
Points balisé
D = Dimensions d’un pixel de l’image à l’échelle terrain
Conséquemment la taille de notre cible va être relié à la taille de nos pixel selon l’échelle terrain. (GSD)
Les points naturels planimétrique sont relevé après ou avant le vol?
Souvent après, par exemple bordure de trottoir, on à un aperçu d’une bonne visibilité.
question, les points balisé vont-ils dicter la hauteur de vol de notre plateforme d’acquisition de donnée?
Si oui, comment faite-vous pour déterminer sa dimensions?
Pour les points altimétriques
il est nécessaire d’obtenir des points relativement plats, donc partie basses d’un coin de trottoir.
Points d’appuis planimétrique et points de vérifications planimétriques
les points d’appuis planimétriques(triangles noirs) vont être en périphérie de la zone et vont servir à créer des points artificiels.
Les points d’appuis de vérification (triangles blancs), vont être mesurés indépendamment et vont servir à vérifier les points artificiels de façon indépendante des points d’appuis noirs.
distribution des points d’appuis altimétrique
Pourquoi beaucoup plus de points altimétriques que de points planimétriques?
en périphérie à chaque 2 carrées, sauf ceux au centres qui sont à chaque 4 carrées.
Établissement des points d’appuis (points de contrôle photogrammétriques)
par polygonation à l’aide d’une station totale et de points géodésiques dont on connait les coordonnées terrains (2 pour orienter) ou avec notre GPS on a notre base.
E: points géodésiques
B: points d’appuis (station totale), polygonation
P: points d’appuis physique comme coin de maison.
Préparations de l’aérotriangulation
suite à l’établissement des points d’appuis
3 étapes:
-1 Observation des coordonnées photographiques ou des coordonnées modèle des points d’appui;
Maintenant qu’on connait les coordonnées terrain de nos points d’appuis, il faut connaitre les coordonnées de ces points dans notre système de coordonnée modèle.
- 2 Sélection, transfert et observation des coordonnées photographiques ou modèle des points d’appui;
- 3 Création de l’index;
La figure démontre QUE les zone de recouvrement des modèles stéréoscopique
le recouvrement de deux zones dans cette image correspond à un recouvrement triple. les points de liaisons (petits cercles blancs) qui se situent dans ces zones de triple recouvrement vont donc venir lié les différents modèles stéréoscopique issues des différentes lignes de vols.
les petits carrés blanc sont le centre de perspective (centre de la zone de recouvrement?)
la liaison peut se faire soit sur la même ligne de vol ou une ligne de vol adjacente.
Choix de la méthode de compensation (Méthode des modèles indépendants)
Méthode des modèles indépendants:
- Unités utilisées: les coordonnées (x,y,z) du MODÈLE STÉRÉOSCOPIQUE
- les modèles sont mesurées de façon indépendantes
- Le bloc (ensemble de plusieurs modèles stéréoscopique) est formé permettant la translation (Tx, Ty, Tz), de pivoter (omega, phi, kappa) et de changer de grosseur (K) tout en minimisant les écarts sur les points d’appuis.
La TRANSFORMATION PAR SIMILITUDE est utilisé ici pour ce faire.
Formation du bloc
Estimer les 7 paramètres de la transformation par similitude pour chaque modèles, cela nous permets de déduire la position des points de liaison, les transformant en points artificiels (points aérotriangulé)
Méthode des gerbes spatiales
- Localisation et orientation simultanée des photographies (modèles) du bloc, minimisant l’écarts entre les points de liaisons et points d’appuis artificiels
- Équations de colinéarité
avec l’équation de colinéarité, nous allons trouver de façon simultané les 6 paramètres de l’orientation extérieur et les par intersection spatiale l’emplacement terrain des points de LIAISONS
faire attention avec équation de colinéarité dans ce module ci,
f est negatif ou positif? ça veut dire quoi par rapport au plan?
capsule teams
capsule teams
premier produit à partir de monorestitution
avec MNT et 1 seule photo
deuxième produit stéréorestitution: besoins de 3 points d’appuis minimum dans stéréorestitution pour un seul modèle stéréorestitution (1 couple d’image).
extraire information 3D, besoin de géoréférencement.
GSD?
C’est quoi GSD?
Conséquemment la taille de notre cible va être relié à la taille de nos pixel selon l’échelle terrain. (GSD)