Chapitre 11 Flashcards
En résumé : la ToM c’est …? (2)
- Capacité d’inferer/ d’attribuer des états mentaux à soi-meme ou à autrui et de les comprendre
- Aptitude cognitive permettent d’imputer une ou +++ représentations mentales (inobservables) aux autres individus
En résumé, la ToM:
Quel principe de base ?
-> Les états affectifs ou cognitifs d’autrui sont déduits sur la base de quoi?
Principe de base : attribution ou inference
-> déduits sur la base de leurs expressions émotionnelles, de leurs attitudes ou de leur connaissance supposée de la réalité
La ToM est indispensable à quoi ?
À la régulation des conduites et au bon déroulement des interactions sociales =>
Perception de soi, perception des autres, utilisation de règles régissant les interactions interpersonnelles pour décoder le monde sociale
La ToM peut être de nature cognitive ou affective :
Explique les 2:
- Quels états ?
- Permet quoi?
- Par rapport aux émotions ?
- Quelles attributions ?
ToM cognitive :
- États epistemiques = connaissances
- Permet de comprendre, inférer ou raisonner sur les pensées, croyances ou intentions
- Indépendant de toute connotation émotionnelle
- Attribution de fausses croyances
ToM affective :
- Etats affectifs
- Permet de comprendre, déduire les émotions ou sentiments
- Compréhension de valence et de signification émotionnelle des actions et des intentions des autres
- Attribution états mentaux affectifs (dire qu’elle émotion est ressentie sur photo)
=> Données neuro et imagerie cérébrale soutiennent idée que ces 2 ToM sont indépendantes
La ToM peut être de quel ordre ?
1e ou 2e ordre
ToM parfaite chez adulte ?
Qeski est négatif ? (3)
Non!
- Mauvaise évaluation de l’état épidermique de l’autre ( connaissances)
- Surévaluation de capacité ToM affective des autres
- Mauvaise évaluation de nos propres capacités de ToM affective
Mauvaise évaluation de l’état épistemique de l’autre :
Nickerson: How we know - and sometimes misjudge- what others know : imputing one’s own knowledge to others
Audience design hypothesis: le locuteur adapté son discours en fonction de ce qu’il suppose des connaissances du récepteur du message
Exp:
- Naming: D’écrire chaque figure de manière à ce que ton ami puisse choisir le stimulus correct en utilisant seulement la description qu’il a sous les yeux
- Identification: Retrouver parmi tous les stimuli le bon grâce à la description qu’on lui donne (120 au total) (30 = siennes, 30= celles d’un ami, 60= celles d’une personne étrangère)
Quels résultat ?
À voir
Mauvaise évaluation de l’état épistemique de l’autre :
Comment se construit- on un modèle de ce que les autres savent ?
Ca nécessité quoi ? (2)
Selon Nickerson:
Les autres ça peut être un groupe hétérogène d’individus un groupe avec des caractéristiques communes un seul individu etc.
- > Nécessite un modèle incluant ce que la plupart des gens savent
- > Nécessite un modèle incluant ce que cette personne en particulier sait
Nickerson: par défaut, on attribue à l’autre nos propres connaissances et on corrige et transforme ce modèle par défaut pour en faire un modèle spécifique
Mauvaise évaluation de l’état épistemique de l’autre :
Comment corrige-t-on le modèle par défaut ?
On tient compte de quoi? (5)
- Observation (exemple mon voisin répare sa voiture tout seul et s’y connaît en mécanique)
- Exp communes
- Catégorie d’appartenance : métier, sexe, âge, milieu socio culturel, centres d’intérêts ..
- Contexte physique immédiat
- Feed back verbaux/ non verbaux
Mauvaise évaluation de l’état epistemique de l’autre :
Pk part-on de soi pour attribuer un savoir à l’autre ? (3)
- Mieux de partir de soi que de n’avoir aucun modèle -> cela permet d’initié la conversation
- tendance à voir notre connaissance comme étant la norme
- Estimer ce que les autres savent dépend de ce que les estimateur croient eux-mêmes savoir -> mauvaise évaluation
Mauvaise évaluation de l’état épistemique de l’autre :
Exp: Lycéens répondant à la question de culture générale et estimant taux de réussite de leurs camarades pour chaque question
Quel résultat ?
Surestimation pour les questions pour lesquelles il pense avoir la bonne réponse même si la réponse donnée est fausse
Mauvaise évaluation de l’état épistemique de l’autre :
Exp: Juger familiarité de lieux dans une ville, lieux très familiers où très peu familiers (objectivement)
Quel résultat ?
Surestimation de la familiarité des lieux les moins familiers
Mauvaise évaluation de l’état épistemique de l’autre :
Exp: Juger reconnaissabilité de personnalité :
Images Trump- in qui lui ressemble
Quel résultat ?
Ce qui parvenait à nommer la personne la juge est plus reconnaissable que ce qui n’est pas revenait pas
Illusion de la simplicité du à la propres connaissances ou à l’expertise
Mauvaise évaluation de l’état épistemique de l’autre :
Finalement est-ce donc si utile de partir de sa propre connaissance pour savoir ce que les autres savent ?
Oui notre propre connaissance de comment on réagirait dans une situation difficile est une bonne base pour anticiper comment les autres réagirais dans la même situation
Au + l’autre est similaire à nous-mêmes au mieux ça marche
En résumé : selon Nickerson: Il est raisonnable de partir d’un modèle du savoir par défaut basé sur nos propres connaissances mais le modèle doit être corrigé ensuite-> il faut tenir compte du fait que le propre savoir et personnelle est donc pas universel
Surévaluation des capacités de ToM affective (autrui)
Est-ce que nous évaluant correctement à quel pointémotions sont perçus par les autres ?
Est-ce que nous avons assez de ToM pour évaluer les limitations de la ToM chez les autres?
Qeske la illusion of transparency ?
Sur évaluation des connaissances des autres par rapport à nous-mêmes (à nos états mentaux)
Ex: si on ment, on a l’impression que le mensonge est + détectable que ce qu’il est en réalité