Chapitre 1 Flashcards
K humain
G. Becker, Human capital. A theoretical and empirical analysis, University of Chicago Press, Chicago, 1964.
Crèches de Haifa
Gneezy U. et Ruslichini A., “A fine is a price”, journal of legal studies, vol 24, janvier 2000
La lutte contre les tendances au retards des parents par une crèche en mettant en place une amende modique aux retardataires. Il y a eu l’effet inverse. En fixant une amende, on fixe le prix du retard. Il y a donc un calcul cout avantage qui est effectué par les parents (cout opportunité). Morale : il vaut mieux faire appel au sentiment de culpabilité, de gêne et à l’image pour faire cesser ces comportements.
Propension marginal à consommer ne diminue pas malgré augmentation revenu depuis début XIXe
Simon Kuznets, National income. A summary of findings, NBER, Cambridge, 1946.
Effet de démonstration
John Duesenberry, Income, Saving and the theory of consumer behavior, Harvard University Press, Cambridge, 1949
Les agents d’un groupe social donné ont tendance à imiter la consommation d’un groupe au revenu supérieur, en voulant faire une «
démonstration” de leur statut social. Cette volonté induit un accroissement de leur propension à consommer .Si la propension marginale à consommer ne diminue pas c’est qu’il faut prendre en compte le revenu relatif et non le revenu absolu . Duesenberry explique que les ménages se repartissent en groupes, des plus pauvres aux plus riches, et adoptent des habitudes de consommation qui les amènent à imiter les individus du groupe supérieur. C’est précisément cela qu’il appelle l’effet de démonstration et qui a pour conséquence que la propension à consommer est généralement peu sensible (
inélasticité
) aux fluctuations du revenu. Ainsi les choix de consommation dépendent certes du niveau de revenu, mais sont modulés en fonction de l’image que le
consommateur
veut présenter aux autres membres de la
société
. En conséquence, toute personne d’une
catégorie socio-professionnelle
donnée aurait tendance à adopter les comportements de consommation de la catégorie supérieure.
Théorie du cycle de vie
Franco Modigliani et Richard Brumberg, “Utility analysis and the consumption function : an interpretation of cross section data” in Kurharak, Post Keynesian Economics, Rutgus University Press, New Brunswick, 1954
Les individus lissent leur consommation sur leur vie. Revenus faibles puis augmentent et diminuent vers la fin de vie. Le revenu n’est pas partagé de la meme manière à travers le temps.
1) consommation > revenu : désépargne
2) revenu > consommation : épargne. Le revenu augmente
3) désépargne richesse nulle ou positive.
Modifiée : les retraités continuent d’épargne : motif de legs.
Définition k humain
“ensemble des capacités productives qu’un individu acquiert par accumulation de connaissances générale ou spécifiques de savoir faire, etc.”
K pour Marx
Travail mort ou cristallisé
Définition de CI pour PN Giraud
Ce sont les biens produits par une entreprise et consommés par une autre qui les transforme en d’autres biens.
RNB
PIB - solde des revenus primaires (sortie de R primaires + entrées de revenus primaires)
Pourquoi S = I chez les classiques ?
Ce sont des entreprises individuelles.
Propension marginale à consommer
fraction du revenu supplémentaire qui est consommée
Les individus ont des habitudes de consommation. Importance des revenus antérieurs explique la consommation.
Effet crémaillère
Qu’est ce qu’un revenu permanent?
M. Friedman. La consommation est fonction de la somme actualisée des revenus présents et futurs. Un individu est capable de savoir ce qu’il va gagner dans le futur. On peut en déduire un revenu moyen que l’individu peut consommer au cours de chaque période pour maximiser son utilisé. Un revenu transitoire sera donc épargné.
Anticipations adaptatives
Philip Cagan (1956)
A chaque période l’argent corrige sa prévision d’une certaine fraction de l’erreur commise à la période précédente,
Qu’est ce qu’un effet d’encaisse réelle ?
Dès lors, si la demande globale (C+I) est insuffisante, le niveau général des prix aura tendance à baisser, augmentant la valeur réelle des encaisses monétaires (car leur pouvoir d’achat augmente), alors les agents convertissent leur monnaie excédentaire en demande de biens ; donc les prix remonteront à l’équilibre, poussés par l’augmentation de la demande globale. Le mécanisme de cet effet Pigou repose sur l’idée que l’augmentation de (M/P) accroit la richesse des agents, lesquels se sentant plus riches, consomment et investissent plus. Il n’y a donc d’après cette théorie pas de possibilité de surproduction générale prolongée.