Ch 10 : Des approches plus modernes Flashcards

1
Q

La théorie du traitement de l’information

A
  • Les années 50, révolution cognitif née cette théorie qui a commencé de penser différamment (plus scientifiquement) sur la cognition humaine
  • Cette théorie présente l’esprit comme un système de traitement de l’info don la capacité est limitée (quantité d’into / vitesse du traitement)
  • Système : Input (stimulus) → traitement par le cerveau limité → Output (réaction)
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2
Q

Grands changements de penser la cognition:

La théorie de traitement de l’information

A
  1. Définition précise des processus de pensée, (quel processus a-t-on besoin pour prendre cette décision) de leur succession (l’ordre de proccesus) et de leur décours temporel (combien du temps ces processus prennent, peuvent se faire en parallèle ou pas?)
  2. Analyse des tâches fine et détaillée (mesure des temps de réaction)… 2 conditions, avec le processus d’interêt ou sans (comparer pour l’enfant à chaque stade)
  3. Importance de l’architecture cognitive: identification des composantes / sous-systèmes du système cognitif et de leurs interactions et organisation (comment les différents composantes de cerveau s’intéragissent?)
    * FIG 1 premier modèle d’architechture par Atkinson et Shiffrin
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3
Q

Influence de la théorie de traitement de l’information sur le développement des enfants

A
  • Début de voir l’enfant comme un système à capacité limitée et le développement est l’augementation de cette capacité
  • Il y a une grande importance pour la mémoire de travail (capacité de maintenir les informations à court terme - permet de retenir plusieurs choses en même temps… rétention augementé permet la qualité des pensées et la résolution des promlèmes plus complexes)

Avec le développement, mémoire de travail ↑: (les hypothèses proposées)
1. Vitesse de traitement ↑
2. Capacité de la mémoire ↑
3. Aquisition / dévouverte des stratégies ↑
4. Efficacité des stratégies ↑

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4
Q

Les théories néopiagétiennes

A
  • Chercheurs qui prennent les éléments clés des théories de Piaget et les combinent avec les notions plus modernes (théorie de traitement de l’info)
  • Ces théories vu l’enfant comme un ploblem solver (combien des variables faut mettre en lien etc) dans les épreuves de Piaget

Choses en commun avec Piaget :
1. Approche constructiviste
2. Développement en stades
3. Compléxité ↑ de la pensées avec l’âge

Mais les stades et la compléxité est déterminé par des processus cognitifs (analyse quel processus est impliqué, combien d’info doit être traité)
- cela permet d’expliquer la variabilité intra/interindividuelle (décalage horizontaux etc) - démontrer qu’il y a des épreuves similaires en terme de structure mentale ou une tâche avec plus d’info à traiter. Repose sur la même structure mais info à traiter ↑ → vaiabilité intraindividuelle

  1. Pascual-Leone
  2. Case
  3. Halford

(Pour Piaget, chaque stade permet accès aux structures mentales impliquées pendant les épreuves)

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5
Q

Pascual-Leone (1970)

Néo-piagitienne

A
  • Psychologue espagnol ayant étudié sous Piaget
  • Concept du “M-space” (représenter les info): capacité maximale d’unités d’information distinctes pouvant être activées et coordonnées simultanément
  • La capacité de M-space augmente avec la maturation biologique
  • M ≈ 1 à 3 ans, puis +1 tous les 2 ans.
  1. Début préopératoire (3-4 ans): M ≈ 1 (un unité d’info activé)
  2. Fin préopératoire (5-6 ans): M ≈ 2
  3. Début concret (7-8 ans): M ≈ 3
  4. Fin concret (9-10 ans): M ≈ 4
  5. Début formel (11-12 ans): M ≈ 5
  6. Milieu formel (13-14 ans): M ≈ 6
  7. Fin formel (15-16 ans): M ≈ 7 (maximum)
  • Analyse des épreuves (quantification de l’inclusion - classification)
  • nécessite l’activation et la coordination de trois unités d’information distinctes (fleures, margeurites et roses) (M-space de 3), ce qui explique pourquoi elle n’est réussie qu’à partir de 7-8 ans
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6
Q

Case (1985)

Néo-piagitienne

A
  • Psychologue canadien
  • Propose 4 stades:
    1. sensori-moteur
    2. interrelationnel
    3. dimensionnel
    4. vectoriel
  • Chaque stade comprend 3 sous-stades:
    1. unifocal
    2. bifocal
    3. élaboré
  • L’accroissement de la capacité de la mémoire de travail est un facteur de développement pour passer à un sous stade à l’autre
  • Le traitement devient plus efficace avec l’accroisement
  • Pour Leone - M space = mémoire de travail augemente en capacité mais pour Case on devient de plus en plus efficace en utilisant moin de OS
  • Total Processing Space (TPS) = Operating Space (OS) + Short-Term Storage Space (STSS)
  • Avec l’âge, le TPS reste constant, mais l’OS nécessaire diminue car le traitement devient plus efficace (ressources mentales nécessaire ↓), ce qui augmente la STSS
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7
Q

Tâche d’empan de comptage

Case

A
  • Tâche d’empan de comptage /counting span task) : démontre comment les enfants développent leur capacité à maintenir et à manipuler des informations en mémoire de travail…. cartes avec points présenté que l’enfant doit compter puis retenir le chiffre en tête puis à la fin les rappeler. L’empan est le nombre maximal de chiffre qui peuvent être retenu
  • FIG 2 Le nombre maximal d’éléments pouvant être rappelés augmente avec l’âge (adulte typique - 6/7 items), mais est également influencé par la signification des stimuli (e.g., chiffres typiques vs chiffres absurdes (4/5 adulte est aussi lent que l’enfant de 6 ans comme plus de ressource mentale est nécessaire lors du traitement et moins de ressourse disponible pour le maintien).
  • Quantité de ressource change pas mais notre efficacité augemente avec l’âge

  • TPS = traitement et maintien de l’info
  • OS = traitement (ex- comptage de points)
  • STSS = maintien (ex- des chiffres)
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8
Q

Halford (1998)

Néo-piagitienne

A
  • Psychologue australien
  • Théorie de la complexité relationnelle
  • Le niveau de complexité d’un problème dépend du nombre de variables à mettre en relation (plus en plus complexe avec l’age - plus de ressource nécessaire)
  1. Relation unaire (1 variable): appartenance à une catégorie. (ex - c’est un chien)
  2. Relation binaire (2 variables): plus grand que (souris plus petit qu’un chat)
  3. Relation ternaire (3 variables): addition, inclusion (1 + 2 = 3)
  4. Relation quaternaire (4 variables): comparaison des proportions (épreuve avec jettons, 1/2 and 3/4, lequel est plus)
  • 4 niveaux:
    1. element mapping (relations unaires)
    2. relational mapping (relations binaires)
    3. system mapping (relations ternaires)
    4. multi-system mapping (relations quaternaires)
  • Avec l’âge, l’accroissement des ressources permet la mise en relation de plus de variables (ressource augemente avec l’age)
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9
Q

Conclusion

A
  • Les théories du traitement de l’information mettent l’accent sur une définition précise des processus de pensée.
  • Les théories néopiagétiennes proposent un développement en stades, intégrant la notion de capacité limitée.
  • Pour Pascual-Leone, l’augmentation du M-space permet de garder plus d’unités d’information à l’esprit.
  • Pour Case, l’efficacité accrue du traitement augmente la capacité de la mémoire de travail.
  • Pour Halford, l’accroissement des ressources permet la compréhension de relations plus complexes.
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