CANCER DU POUMON Flashcards
donne des substances autre que le tabac qui augmentent les chances de canacer des poumons
- amiante
- chrome
- nickel
- Uranium
- arsenics
- les éthers
- radio-isotopes
donne les organes les plus touché par métastase cancer du poumon
Associez chaque type de cancer à la localisation la plus fréquente.
1.
Carcinome épidermoïde
Sélectionner une correspondanceLocalisation périphériqueLocalisation centrale
2.
Carcinome indifférencié à petites cellules
Sélectionner une correspondanceLocalisation périphériqueLocalisation centrale
3.
Adénocarcinome
Sélectionner une correspondanceLocalisation périphériqueLocalisation centrale
4.
Carcinome à grandes cellules
Sélectionner une correspondanceLocalisation périphériqueLocalisation centrale
Lequel des énoncés suivants est faux?
A.
On dit d’un carcinome indifférencié à petites cellules qu’il est limité lorsqu’il se situe à l’intérieur d’un hémithorax avec ou sans adénopathies susclaviculaires et qu’il est extensif lorsqu’il y a présence d’un épanchement pleural ou d’une métastase.
B.
Dans le staging d’un cancer non à petites cellules, il est recommandé de toujours faire une recherche de métastases.
C.
Dans le staging d’un cancer à petites cellules, il est recommandé de faire une recherche de métastases.
D.
L’atteinte d’un organe par le cancer doit être démontrée par une méthode cytologique ou histologique si la preuve de l’atteinte de cet organe entraîne une modification du traitement.
B
Dans le staging d’un cancer non à petites cellules, il est recommandé de faire une recherche de métastases seulement lorsque des symptômes ou des signes physiques orientent vers un organe en particulier, lorsqu’un patient a perdu du poids ou a une atteinte de l’état général, lorsqu’il y a des anomalies biologiques (anémie, élévation enzymatique, etc.) ou lorsque la maladie est à un stade avancé.
Dans le staging d’un cancer à petites cellules, les examens radiologiques permettant de rechercher des métastases cérébrales, hépatiques ou osseuses sont souvent obtenus.
la classification des néoplasies pulmonaires malignes distingue quoi?
- carcinome épidermoiide
- carcinome indifférencié à petites cellule
- adénocarcinome
- carcinome adénosquameux
vrai ou faux si un patient arrête de fumer, ses chances d’avoir un cancer du poumon vont diminuer jusqu’à etre égale à quelqun qua jamais fumé
VRAI!!!!
:)
c’est après 15 à 20 que les probabilité se rattrappent
v/f le gène rb1 et p53 sont des gènes oncogène ( si muté–) cancer favorisé)
nahhh completely wrong
oui si muté cancerr favorisé
mais
oncogène = gène HABITUELLEMENT RÉPRIMÉ qui est ACTIVÉ par mutation
Lequel(lesquels) des énoncés suivants est(sont) vrai(s)?
Le carcinome épidermoïde survient presque exclusivement chez les fumeurs.
Le traitement du carcinome indifférencié à petites cellules est habituellement non-chirurgical.
Le 2/3 des patients avec carcinome indifférencié à petites cellules ont déjà des métastases au moment du diagnostic.
La relation entre l’adénocarcinome et le tabac est statistiquement moins forte qu’avec les autres types de cancer du poumon.
A.
1 et 3 sont vrais.
B.
1, 2 et 3 sont vrais.
C.
2 et 4 sont vrais.
D.
Seulement 4 est vrai.
E.
Tous les énoncés sont vrais.
E tous vrais
Lequel des énoncés suivants est vrai?
A.
Environ 80% des patients meurent au cours de la première année suivant un diagnostic de cancer du poumon.
B.
Le risque de développer un cancer du poumon croît avec le nombre d’années d’exposition indépendamment du nombre de cigarettes consommées par jour.
C.
Le risque de développer un cancer du poumon diminue avec les années d’abstinence jusqu’à se rapprocher de celui des non-fumeurs après un délai de 5 ans.
D.
Le fait d’être exposé de façon passive à la fumée de cigarette double le risque de développer un cancer du poumon.
E.
Plusieurs carcinogènes agissent en synergie avec le tabac dans le développement d’un cancer du poumon tels l’amiante, le chrome, le nickel, le béryllium, la silice et les radio-isotopes.
F.
Les patients atteints d’une MPOC ont un risque accru de développer un cancer du poumon. Ceci s’explique par leur consommation de tabac.
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réponse —) D
C’est environ 60% des patients qui meurent au cours de la première année suivant un diagnostic de cancer du poumon.
Le risque de développer un cancer du poumon croît avec le nombre d’années d’exposition et le nombre de cigarettes consommées par jour.
Il faut 15 à 20 ans d’abstinence pour que le risque de développer un cancer du poumon d’un ancien fumeur se rapproche de celui des non-fumeurs.
Les substances incriminées comme étant responsables d’un risque accru de développer un cancer du poumon et qui agissent en synergie avec le tabac sont l’amiante, le chrome, le nickel, l’uranium, les hydrocarbones polycycliques aromatiques, l’arsenic, les éthers de chlorométhyle et les radio-isotopes.
Les patients atteints d’une MPOC ont un risque accru de développer un cancer du poumon qui semble indépendant du risque dû à leur consommation de tabac.
Associez les sites de métastases du cancer du poumon au pourcentage de fréquence auquel ils correspondent.
1.
Cerveau
Sélectionner une correspondance16%10%20%33%21%
2.
Autres
Sélectionner une correspondance16%10%20%33%21%
3.
Surrénales
Sélectionner une correspondance16%10%20%33%21%
4.
Foie
Sélectionner une correspondance16%10%20%33%21%
5.
Os
Sélectionner une correspondance16%10%20%33%21%
surrénale avant cerveau now u know it
v/f le cancer des poumons esst le plus prévalent et celui qui tue le plus au canada
c’est celui qui tue le plus, mais pas le plus prévalent
quantitfie le risque de développer un cancer des poumons par tabagisme secondaire
x2
pour mettons un conjoint non-fumeur d’un fumeur
donne, en ordre, les 5 symptomes les plus fréquent chez personne ae cancer du poumon
Lequel des énoncés suivants est faux?
A.
La combinaison de la chimiothérapie et de la radiothérapie est maintenant standard pour le traitement des cancers du poumon à petites cellules.
B.
Il est recommandé de considérer certains patients avec des formes très limitées de cancer du poumon à petites cellules pour une résection chirurgicale suivie d’une chimiothérapie intensive.
C.
Les effets secondaires connus de la chimiothérapie sont l’alopécie, les nausées, les vomissements, la neuropathie périphérique, la constipation, la mucosité, les troubles électrolytiques et la fibrose pulmonaire.
D.
Pour les cancers non à petites cellules, la radiothérapie est peu utile dans le traitement palliatif.
D
Pour les cancers non à petites cellules, la radiothérapie est très utile dans le traitement palliatif. Les résultats sont positifs dans le contrôle du syndrome de la veine cave supérieure, des hémoptysies, des douleurs thoraciques, des douleurs osseuses et des métastases cérébrales.
cancer du poumon pourcentage pourcentage de survie après le diagnostique
60 ans cont mourrir dans la première année
taux de survie à 5 ans est de 12 % et 18 % chez l’homme et la femme respectivement
Lequel(lesquels) des énoncés suivants est(sont) vrai(s)?
L’adénocarcinome est le cancer qui métastasie le plus après le carcinome indifférencié à petites cellules.
Le carcinome épidermoïde a tendance à croître centralement vers la bronche souche et à envahir localement les tissus avoisinants avant de métastasier.
Le carcinome indifférencié à petites cellules a tendance à se disséminer très rapidement par voies lymphatique et hématogène.
Le carcinome à grandes cellules est une tumeur maligne qui a pourtant une évolution lente.
A.
1 et 3 sont vrais.
B.
1, 2 et 3 sont vrais.
C.
2 et 4 sont vrais.
D.
Seulement 4 est vrai.
E.
Tous les énoncés sont vrais.
Le carcinome à grandes cellules est une tumeur très maligne qui évolue rapidement vers une dissémination lymphatique et hématogène.
( 1,2,3)
Lequel des énoncés suivants est vrai?
A.
Le carcinome épidermoïde peut être associé au syndrome de Pancoast.
B.
Le carcinome indifférencié à petites cellules est le seul type de cancer du poumon qui n’est associé à aucun syndrome paranéoplasique.
C.
Le carcinome bronchiolo-alvéolaire est une sous-classe des carcinomes à grandes cellules ayant des caractéristiques bien particulières.
D.
Dans la classification TNM, le T réfère à la tumeur primaire, le N réfère aux nerfs touchés par la tumeur et le M réfère à la présence de métastases à distance.
A
Le carcinome épidermoïde peut être associé au syndrome de Pancoast qui est défini comme une tumeur de l’apex pulmonaire avec extension par contiguïté à la paroi thoracique, aux racines nerveuses C8 à D1 et au ganglion stellaire, causant ainsi de la douleur à l’épaule irradiant à la face cubitale du bras et un syndrome de Claude-Bernard-Horner (myosis, ptose palpébrale et anhidrose).
Le carcinome indifférencié à petites cellules est associé à plusieurs syndromes paranéoplasiques. Entre autres, le syndrome de sécrétion inappropriée de l’ADH et le syndrome de Cushing sont fréquents dans cette maladie.
Le carcinome bronchiolo-alvéolaire est une sous-classe des adénocarcinomes ayant des caractéristiques bien particulières. Il s’agit d’une tumeur périphérique très bien différenciée dont les cellules néoplasiques tapissent la paroi alvéolaire ; l’architecture alvéolaire est cependant très bien conservée. Le carcinome bronchiolo-alvéolaire donne des symptômes qui varient selon la localisation. Il peut se présenter sous la forme d’un nodule unique, de plusieurs nodules ou d’une infiltration pneumonique. Lorsqu’il se présente sous la forme d’une infiltration pneumonique, il y a parfois hypersécrétion marquée de mucus avec bronchorrhée.
Dans la classification TNM, le T réfère à la tumeur primaire, le N réfère à la présence d’adénopathies régionales et le M réfère à la présence de métastases à distance.
Lequel des énoncés suivants est faux?
A.
La chimiothérapie néoadjuvante est l’administration d’une chimiothérapie en préopératoire pour tenter de réduire la taille de la tumeur alors que la chimiothérapie adjuvante est l’administration d’une chimiothérapie en postopératoire pour diminuer le taux de récidive métastatique et pour améliorer la survie.
B.
Il est recommandé d’administrer une chimiothérapie adjuvante après toute chirurgie pour un cancer du poumon.
C.
La chimiothérapie doit être considérée comme une option chez tous les patients porteurs d’un cancer du poumon non à petites cellules. Par contre, les bénéfices escomptés de même que les effets secondaires du traitement doivent être discutés avec le patient.
D.
Le but d’un traitement au laser chez les patients atteints d’un cancer non à petites cellules est la palliation des symptômes chez les patients incurables.
B
Il est recommandé d’administrer une chimiothérapie adjuvante après toute chirurgie pour un cancer du poumon à l’exception des stades I.