C7: VC Flashcards

1
Q

PERSPECTIVE HISTORIQUE

A

Avant le XVIIe siècle: Les femmes étaient considérées comme inférieures et propriétés de leur mari (patriarcat). Elles avaient peu de droits légaux. Elles étaient dépendantes. Le mariage symbolisait un contrat à vie. Les châtiments corporels étaient parfois utilisés pour contrôler épouses. La VC n’était pas considéré comme un crime.

Les XVIIe et XVIIIe siècle: Idées sur le mariage et les droits des femmes évoluent. Nouveaux mouvements tels que le féminisme permettent une remise en question des normes sociales. Cependant, législation encore limitée. Ainsi, malgré l’idée de l’égalité des sexes, la VC était tolérée : il n’existait que peu de protections légales.

XIXe siècle: Mouvements de réforme sociale. Les premières lois de protection des femmes émergent. Cependant, la VC reste souvent un problème caché et stigmatisé (n’osait pas dénoncer)

XXe siècle: Les mouvements féministes des années 1960 et 1970 ont permis d’accroître la visibilité de la VC. Les premiers refuges pour les femmes victimes de violence domestique ont été créés, et des lois de protection ont été renforcées avec des sanctions pénales de plus en plus sévères pour les agresseurs

XXIe siècle: La VC est devenue un sujet de préoccupation mondial. Campagnes de sensibilisation et programmes de prévention, lois et politiques, services de soutien et programmes d’intervention. Formations pour les professionnels de la santé et du droit. La VC est désormais considérée comme inacceptable.

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2
Q

CONCEPTUALISATION de la violence conjugale SELON DIFFÉRENTS POINTS DE VUE

A

Pas une qui est vrai ou officiel. Celles qui sont le plus utilisés: situationnelle et coercitif

  • Féministes
  • Psychologiques
  • Dyadiques
  • Situationnelles
  • Multifactorielles
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3
Q

PERSPECTIVES FÉMINISTES

A

• considère la violence dite « caractérologique (l’homme est violent de manière caractérologique)» ou « terrorisme intime (déséquilibre de pouvoir dans le but de terrorisé l’autre) »
• La violence amoureuse découlerait de l’influence d’une société patriarcale dans laquelle les hommes se permettent de dominer en imposant leur pouvoir sur les femmes (selon eux, la cause de la violence = différence de genre [!!!! Impo])
• Installation d’une dynamique amoureuse caractérisée par une utilisation sévère de violence, le plus souvent de la part de l’homme, afin de contrôler sa partenaire
• Cette conceptualisation met l’accent sur le contrôle coercitif (suite de la perspective féministe, met de côté les différences de genre, tout en gardant le concept de pouvoir) et le déséquilibre de pouvoir en raison des différences de genre présente dans les couples
• Présence claire d’un agresseur (homme) et d’une victime (femme) (problème avec les couples LGBTQ+, pleins de problème où les couples avec violence bidirectionnelle (les deux personnes sont violentes), les femmes ne pourrait techniquement pas avoir de pouvoir et ne pourrait pas être violente, ne permet pas d’expliquer pourquoi des hommes sont victimes, ne permet pas d’expliquer les violences chez les couples de même genre)

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4
Q

PERSPECTIVES PSYCHOLOGIQUES

A

• Met l’accent sur l’historique individuel, la personnalité et les facteurs socio-cognitifs
• La violence amoureuse serait un comportement dysfonctionnel naissant de vulnérabilités individuelles
• Les tendances dispositionnelles (innée: trouble de santé mentale, tempérament, maladie physique) interagirait avec les expériences de socialisation (éducation, événements de vie, problème de consommation, trauma à l’enfance) pour prédire le risque de perpétration
On attribue la violence au facteurs innées et expériences de vie

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5
Q

PERSPECTIVES DYADIQUES

A

• Met l’accent sur le contexte relationnel et l’aspect bidirectionnel (réciprocité) les deux partenaires du couple et leur interaction
• La violence amoureuse découlerait de l’interaction entre les caractéristiques des deux partenaires (le couple est le système d’intérêt, pas un individu à la fois)
• Cherchent à comprendre pourquoi certaines relations sont à risque (plus que d’autres)

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6
Q

PERSPECTIVES SITUATIONNELLES

A

• La violence amoureuse surgirait en fonction de facteurs de vulnérabilité individuels ainsi que de facteurs contextuels
• Exemples de facteurs de vulnérabilité individuels
⚬ Traumas interpersonnels en enfance, style d’attachement, personnalité, etc.
• Exemples de facteurs contextuels
⚬ Événements de vie stressant, tension entre les partenaires, etc.
• Peut être perpétrée ou subie à des niveaux comparables, peu importe le genre
• Escalade de comportements hostiles lors de désaccords entre les partenaires, notamment car l’un ou l’autre n’arrive pas à gérer des conflits en régulant adéquatement ses émotions ou en utilisant des stratégies adaptées de résolution de conflits
Les perspectives sont importantes. La violence coercif n’est pas plus importante que situationnelle, c’est une façon de voir la violence

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7
Q

MODÈLES MULTIFACTORIELS

A

• Les théories multifactorielles de la VC intègrent les aspects socioculturels, dyadiques, individuels, et les influences situationnelles afin d’avoir un portrait plus global
• Reconnaissent qu’il faut prendre en compte plusieurs niveaux d’analyse, que ce soit les dispositions individuelles, relationnelles, ou le contexte culturel
• Possible de créer des théories ou hypothèses intégrant différents niveaux et a différents degrés afin d’avoir des explications plus « complètes »
• Plus complexes, donc surtout des recommandations pour recherches futures

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8
Q

FORMES DE VIOLENCE
FORMES DE VIOLENCE ENTRE PARTENAIRES INTIMES

A

1 Violence psychologique (= émotionnelle; = verbale)
2 Violence physique
3 Violence sexuelle
4 Violence économique (= financière)
5 Violence sociale
6 Violence spirituelle (= identitaire)
7 Cyberviolence
8 Aliénation parentale

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9
Q

Violence psychologique

A

La violence psychologique inclut toutes les tactiques et comportements (verbales ou nonverbales) visant à diminuer l’estime de soi et le sentiment de sécurité d’une personne.

• Humiliation / Dérision
• Insultes / Critiques
• Humeur rabaissante
• Menaces
• Détournement cognitif (gaslighting)
• Manipulation / Chantage émotionnel
• Création ou amplification délibérée de conflits
• « Bouder » ou rester en silence pendant de longues périodes (silence treatment)
• Frapper objets autour (p. ex. mur), briser ou confisquer objets personnels (p. ex. téléphone)

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10
Q

La violence physique:

A

La violence physique inclut tous les comportements qui portent atteinte à l’intégrité physique de la personne.
• Frapper
• Pousser
• Séquestrer
• Étrangler
• Brûler
• Tirer les cheveux
**Pas nécessaire qu’il y ait des marques = peux être difficile car victime peut minimiser la violence ou les gens ne vont pas croire

La forme la plus grave = homicide conjugal

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11
Q

La violence sexuelle:

A

La violence sexuelle inclut tout geste sexuel émis sans le consentement du partenaire, ainsi que toute coercition, menace ou pression visant à inciter l’autre à avoir des activités sexuelles.
• Utiliser la force physique pour obliger son partenaire à avoir des activités sexuelles
• Manipuler son partenaire afin d’obtenir des faveurs sexuelles (p. ex. bouder, culpabiliser, etc.)
• Humilier ou critiquer son partenaire en lien avec sa sexualité ou ses pratiques
• Menacer d’aller voir ailleurs (p. ex. « si pas satisfait sexuellement »)
• Retrait du préservatif (condom) à l’insu du partenaire (stealthing ou « furtivage » )
• Forcer son partenaire à utiliser de la pornographie
• Contrôler la santé reproductive et sexuelle de son partenaire
• Initier des séances de « sexting » ou envoyer des « nudes » sans connaître le niveau d’aisance du partenaire à en recevoir (donc sans consentement)
• Partage de matériel sexuel d’un partenaire à d’autres, sans consentement
Pas juste dans le but d’obtenir la sexualité, tout ce qui touche à la vie sexuelle de la personne (ex: t’es pas bon au lit)

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12
Q

Violence économique

A

La violence économique inclut tout comportement qui, directement ou indirectement, empêche la victime d’accéder à une autonomie financière.
• Contrôle de tous les comptes bancaires
• Surveillance des transactions bancaires de son partenaire
• Voler les cartes débit ou de crédit du partenaire, ou lui en empêcher l’accès
• Demander des comptes quant aux achats effectués
• Empêcher ou décourager son partenaire d’effectuer un travail rémunéré
• Détruire les ressources financières de son partenaire
• Ne pas laisser son partenaire participer aux décisions financières
• Obliger à verser des sommes ou à payer pour des dépenses qui ne sont pas les siennes
• Engager des sommes (dépenses, prêts) au nom d’une personne sans son consentement
Difficile de se sortir de la relation car pas d’indépendance financière, pas d’historique de crédit

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13
Q

La violence sociale:

A

La violence sociale inclut tout comportement qui a pour but d’isoler la victime et de maintenir un contrôle sur son réseau social. La victime perd ainsi son filet social et le soutien associé.
• Contrôler les sorties de son partenaire
• Empêcher ou culpabiliser son partenaire de voir ses amis et/ou sa famille
• Isoler son partenaire de ses amis et/ou de sa famille
• Être manifestement jaloux et/ou possessif
• Critiquer les proches de son partenaire
• Espionner ou surveiller les conversations de son partenaire
N’a plus personne sur qui s’appuyer lorsque le cercle social est éloigné

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14
Q

La violence spirituelle:

A

La violence spirituelle inclut tous les comportements visant à forcer une personne à adopter certaines pratiques ou valeurs spirituelles contre son gré, à dénigrer ses croyances et/ou à l’empêcher d’adhérer à sa propre spiritualité.

• Obliger son partenaire à prendre part à certaines pratiques religieuses
• Interdire à son partenaire d’adhérer à ses propres valeurs spirituelles (pas besoin d’être religieux)
• Se moquer des croyances spirituelles de son partenaire
• S’en prendre au sens de la vie de son partenaire
• Nuire à la poursuite des ambitions ou rêves de son partenaire

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15
Q

La cyberviolence

A

La cyberviolence inclut tous les comportements qui, au travers d’un outil technologique, visent à contrôler, surveiller, harceler ou faire pression sur la personne. Les différents types de violence vues jusqu’à présent peuvent donc se produire en ligne et c’est considéré de la cyberviolence. (Toutes les sortes de violences vues dans le cours peuvent à un certain niveau se voir en ligne)

• Surveillance et contrôle, sans consentement
⚬ Se connecter sur les réseaux sociaux pour lire les messages du partenaire
⚬ Activer la géolocalisation pour connaître l’emplacement du partenaire
• Harcèlement
⚬ Envoi incessants de messages ou appels continus
• Abus sexuel
⚬ Partage de contenu à caractère sexuel, sans consentement

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16
Q

Aliénation parentale

A

L’aliénation parentale inclut tous les comportements qui visent l’exclusion du (ex) partenaire de la vie de ses enfants, ou bien de nuire à sa relation avec les enfants. À ce moment, les enfants peuvent se trouver malgré eux dans un système de violence familiale.

• Critiquer les habiletés parentales du partenaire
• Blâmer son partenaire devant les enfants
• Culpabiliser son partenaire d’avoir passé du temps avec les enfants / ne pas avoir passer de temps avec les enfants
• Utiliser les enfants pour manipuler son partenaire
Devoir de vouloir protéger son enfant et leur offrir le mieux, on peut vouloir retirer les enfants de l’environnement d’un parent = ok. Mais si ces méchant et vouloir faire du mal à l’autre = aliénation

17
Q

CYCLE DE LA VIOLENCE

A

• Le cycle de la violence est une dynamique relationnelle subtile et complexe qui s’installe graduellement. Ce cycle se répète continuellement et de plus en plus rapidement. Au debut = long cycle, plus tard, quelques jours
• Le cycle maintient les victimes dans l’engrenage de la violence conjugale.
• Il peut être difficile de voir clairement et les victimes restent pris dans l’espoir que les choses iront pour le mieux (p. ex. « ça ne se reproduira plus, mon partenaire m’aime »)
• Chaque phase contribue au maintien et au renforcement de l’emprise de la victime
• La violence est présente à toutes les phases du cycle; il n’y a jamais réellement de pause

V = victime
P = perpétrateur

  • Rémission /lune de miel
  • Escalade de la tension
  • Explosions / agression
  • Justification

À travers le temps, le partenaire peut ne plus avoir à se justifier, la victime va déjà savoir.

18
Q

POURQUOI RESTER DANS UNE RELATION VIOLENTE?

A

• Il n’est pas toujours évident de réaliser que nous sommes pris dans une dynamique de violence intime, souvent car ça s’installe subtilement et progressivement
• Il faut également se rappeler que les perceptions et émotions vécues sont complexes puisque la majorité du temps, l’amour envers son partenaire est présent
• Dans les cas de violence situationnelle « plus commune », la sécurité et l’intégrité des partenaires est généralement moins menacée, donc le sentiment d’urgence peut être absent
• Dans les cas de violence plus coercitive (déséquilibre de pouvoir), malgré un danger imminent pour la sécurité et/ou l’intégrité du partenaire, plusieurs obstacles peuvent se présenter
Teinter par l’amour et l’attachement

19
Q

OBSTACLES EMPÊCHANT DE QUITTER UNE RELATION INTIME VIOLENTE

A

• La peur de représailles
• Dépendance ou attachement émotionnelle, espoir de changement
• Isolation
• Manipulation
• Honte et culpabilité (ne veulent pas les questions et admettre qu’elles sont victimes)
• Stigmatisation (ne veulent pas les questions et admettre qu’elles sont victimes)
• Faible estime de soi
• Facteurs économiques (divorce coute de l’argent…)
• Présence d’enfants
• Dénégation

20
Q

PRÉPARER SON DÉPART

A

• La sécurité est primordiale
• Il est suggéré de s’informer à l’avance et préparer un plan de match
⚬ Préparer son départ avec un(e) intervenant(e) spécialisée en VC (peut aussi être juste appeler le 911)
⚬ Partir avec ses enfants
⚬ Mettre en place des scénarios de protection (voir ci-dessous)
⚬ Explorer la possibilité de porter plainte au criminel, lorsqu’applicable (une fois porter plainte, tu perds le pouvoir, le système judiciaire prend le contrôle et n’a plus besoin du consentement de la victime, la police/voisin… peuvent porter plainte et lorsque c’est dans le système, ça reste.

21
Q

Scénario de protection:

A

Identifier la ou les situations à risques:
- la dernière fois que j’avais une mauvaise nouvelle, il a réagi ainsi…
Identifier le déclencheur: ce que je crains ( j’ai peur de ce qu’il va faire s’il apprend que je veux le quitter)

Faire l’inventaire des risques possibles:
- les enfants pourraient avoir peur
Comment ça va se dérouler, c’est quoi le risque s’il apprend que je veux le quitter

Faire l’inventaire des stratégies de sécurité:
- pour la sécurité, ce qui est nécessaire (grafigner ?)
- répondre (réfléchi) au lieu de réagir (réflex)
- ex: s’il passe à l’acte, j’appelle ma sœur pour qu’elle vienne me chercher et les enfants…

Integrer:
- étudier le scénario, on peut pratiquer

22
Q

Exemples de catégories à inclure dans les effets à apporter en cas d’urgence:

A
  • Document qui permet l’identification: Certificat de naissance, passeport, num d’ass. Social, assurance maladie, permis… (pas besoins que ce soit la copie originale)
  • Finances: tout ce qui nous permet d’acheter/consommer, argent content, info compte bancaire (numéro de compte…), carte de crédit/débit, objet de valeurs qui valent de l’argent qu’on pourrait vendre, apporter trucs pour les enfants, relevé bancaire récent, facture de compte, impôt, preuve de paiement historique, document de maison/voiture, document d’emploi, document dépense école de nos enfants, testament
  • Santé: médication, document médicale (carnet de vaccination…), prescription, équipement médicale, coordonné des professionnels de la santé à notre dossier
  • Enfants: matériel scolaire, vêtements, objets valeurs émotionnelles
  • Autres: carnet d’adresse, photo de l’état de la maison au départ, clés, objets de valeurs, souvenirs
23
Q

QUELQUES INDICES QU’UNE PERSONNE EST VICTIME DE VIOLENCE CONJUGALE

A

• Présente des blessures physiques
• Porte des vêtements inappropriés pour la saison (p. ex. col roulé en été, lunettes à l’intérieur)
• Évite de retourner à la maison ou de voir partenaire
• Présente des signes inhabituels de peur ou d’anxiété
• Reçoit des appels téléphoniques excessifs et hésite à répondre
• Est susceptible au sujet de sa vie conjugale/familiale
• Présente de la nervosité lorsqu’iel parle en présence de son partenaire

24
Q

QUELQUES INDICES QU’UNE PERSONNE A DES COMPORTEMENTS DE VIOLENCE CONJUGALE

A

• Rabaisse le partenaire ou parle en mal de lui/elle
• Domine les conversations
• Demande trop souvent des nouvelles de son partenaire
• Laisse entendre que c’est elle la victime et non son partenaire
• Isole son partenaire
• Agit comme si son partenaire lui appartenait
• Se met sur la défensive quand on la confronte ou pose des questions

25
Q

QUOI FAIRE SI VOUS ÊTES TÉMOIN

A

• Si la situation demande une aide immédiate, contactez le 9-1-1
• Si vous ne savez pas quoi faire, vous pouvez contacter des organismes tel que SOS violence conjugale au 1 800 363-9010. Des personnes-ressources pourront vous aider à y voir plus clair et ce, en tout temps.
• Si vous avez la chance de discuter avec le(s) partenaire(s), voir prochaine diapositive

26
Q

QUOI FAIRE SI QUELQU’UN VOUS FAIT UN DÉVOILEMENT

A

• Être à l’écoute et ce, sans jugement
• Souligner le courage que cela prend d’en parler
• Valider l’expérience de la personne
• Respecter le rythme de la personne
• Rester présent(e) dans la vie de cette personne
• Aider la personne à se faire sa propre idée de la situation
• Soutenir la personne à reprendre sa vie en main
• Offrir des ressources et contribuer à l’accessibilité de celles-ci