Virologie Flashcards
Concernant les Enterovirus
A- Famille : Flaviviridae
B- De la même famille de que les virus polyomyélitiques
C- Excrété de façon prolongée jusqu’à 6 semaine après la guérison, dans la salive
D- Est un virus enveloppé, capside conique tronquée
E- Génome : ADN double brin
Vrai : B
A- Picornaviridae
C- Excrété de façon prolongée jusqu’à 6 semaine après la guérison, dans les selles
D- Virus nu, capside icosaédrique
E- Génome ARN + simple brin, linéaire
Concernant les Enterovirus
A- réservoir humain et animal
B- transmission fécale-orale directe ou indirecte
C- Infections le plus souvent symptomatique
D- Ne cause que des signe digestifs
E- Certains formes sévères sont dues à EV66
Vrai : B
A- réservoir strictement humaine
C- Infections le plus souvent asymptomatique
D- formes symptomatiques bénignes : fièvre, éruption avec des signes ORL, respiratoires, ou digestifs mais aussi
- atteintes neurologiques
☞ méningite estivale de l’enfant +++ de bon pronostique
☞ ou plus rarement méninge-encéphalique dues à EV71
- atteintes cutanéo-muqueuses : herpangine, syndrome pied-main-bouche
Concernant les Enterovirus
A- Le diagnostic se fait après prise de sang
B- Le diagnostic de diarrhée à Enterovirus se fait souvent par PCR
C- Possède un effet cytopathogène
D- Il existe un traitement spécifique.
E- Il existe un vaccin vivant atténué utilisé en France contenant les 3 souches de poliovirus.
F- Polyomyélite n’est pas une maladie à déclaration obligatoire.
Vrai : C
A- Ecouvillonnage de gorge, de selles, LCR
B- Diagnostic des méningites à Enterovirus par RT-PCR.
D- Traitement symptomatique
E- Vaccin vivant atténué non utilisé en France.
Vaccin à virus inactivé par formaldéhyde : obligatoire, en 3 injections (M2-M3-M4) avec rappel à 16-18 mois, 6 ans, 11-13 ans puis 16-18 ans + rappel tous les 10 ans.
F- MDO !
Concernant les Enterovirus
A- La multiplication virale n’est possible qu’au niveau du duodénum et s’étend aux organes lymphoïdes.
B- Il y a transcription cytoplasmique directe du génome en plusieurs protéines qui constitueront la capside notamment.
C- Possède une ARN polymérase ARN dépendante
D- La libération des provisions provoque toujours la lyse des cellules de l’hôte.
E- L’incubation dure environ 10 jours
Vrai : C
A- Multiplication virale tout au long du tube digetsif et s’étend aux organes lymphoïdes
B- Transcription cytoplasmique directe du génome en une seule polyprotéine clivée par une protéase en plusieurs protéines de structure et non de structure
D- Lyse des cellules ou non : responsables d’infections chroniques.
E- Incubation de durée variable (qq jours à 1 mois)
Concernant les Enterovirus
A- Le Poliovirus touche essentiellement les enfant < 7 ans
B- La maladie reste asymptomatique.
C- La régression de la paralysie est très rapide.
D- Les Enterovirus constitute la première cause de méningite lymphocytaire chez l’enfant.
F- La méningite nécessite un traitement spécifique.
G- Le virus des oreillons et HSV sont aussi des virus responsables de fièvres éruptives chez la femme enceinte et l’enfant.
Vrai : D
A- Touche essentiellement les enfant < 5 ans
B- La maladie est symptomatique : elle débute 15 jours après le contage avec fièvre, angine, et douleurs musculaires qui peuvent évoluer en paralysie flasques (hypotonie, abolition des réflexes ostéotendineux) liées à l’atteinte des motoneurones suite à la virémie
→ la paralysie des muscles respiratoires et l’atteinte des centres bulbaires peuvent mettre en jeu le pronostic vital
C- -régression de la paralysie très lente avec séquelles fréquentes
-syndrome post-poliomyélite plusieurs années après la phase aigue (surmenage neurologique des moto neurones sains)
F- Pas de traitement spécifique : spontanément résolutive en 3 à 5 jours
G- Diagnostic différentiel :
Le virus des oreillons et HSV sont responsables de méningites lymphocytaires.
La rubéole peut aussi être responsable de fièvres éruptives chez la femme enceinte et l’enfant.
Le HSV et le VZV peuvent aussi donner deslésiosn cutanéo-muqueuses atypiques.
Concernant Rotavirus
A- Famille = Rotaviridae
B- Seuls les groupes A, B et C déterminés par leur VP4 infectent l’homme.
C- Les Rotavirus sont ubiquitaires. La plupart des virus circulant sont du groupe C.
D- Spécifique de l’Homme
E- 1ere cause de gastro-entérite chez les < 3 ans.
Vrai : E
A- Reoviridae
B- Les groupes A, B, C possèdent VP6. VP4 est une spécificité du groupe P.
C- Les Rotavirus de groupe A sont principalement ceux en cause dans les gastro-entérites en France.
D- Il existe des Rotavirus animaux qui peuvent infecter l’Homme.
Concernant le Rotavirus :
A- Virus enveloppé
B- Capside icosaédrique formé de 2 couches concentriques.
C- ADN double brin
D- Ont une grande variabilité génétique
E- La dérive génétique est due au réassortiment génétique par échange de segments d’ARN homologues lors de l’infection d’une même cellule par plusieurs virus
Vrai : D
A- Virus nu
B- Capside icosaédrique forme de 3 couches concentriques
→ VP2 formant la couche interne
→ VP6 la couche intermédiaire
→ VP4 et VP7 la couche externe
C- ARN double brin segmenté en 11 fragments qui codent chacun pour une protéine virale sauf le 11e fragment. Il y a 6 protéines structurales (VP1 à VP6) et 5 protéines on structurales (NSP1 à NSP5)
La protéine VP6 porte l’antigène de groupe.
E- La dérive antigénique = mutations ponctuée due à l’infidélité de l’ARN polymérase
≠ la cassure antigénique = réassortiment génétique par échange de segments d’ARN homologues lors de l’infection d’une même cellule par plusieurs virus.
Concernant le Rotavirus :
A- Responsable de la lyse des entérocytes, d’où la diarrhée sécrétoire.
B- Contamination par voie oro-fécale
C- La dose infectieuse est élevée.
D- La durée d’excrétion du virus, contrairement à l’Entérovirus, est courte
E- Peut être responsable d’infection nosocomiale et d’épidémie estivales.
Vrai : BD
A- perturbation des propriétés d’absorption intestinale
- lyse des entérocytes responsable d’atrophie des villosités intestinales
=> diarrhée osmotique de malabsorption
- sécrétion d’une entérotoxine NSP4 entraînant une fuite hydrique (augmentation de la perméabilité para cellulaire) majorée par une stimulation du système nerveux entérique
=> diarrhée sécrétoire
→ la diarrhée à rotavirus associe une malabsorption et une composante sécrétoire
C- Dose infectieuse faible : 10 particules virales suffisent.
D- Durée d’excrétion est de 8 jours / Enterovirus = 6 semaines.
E- Responsable d’infections nosocomiales et d’épidémies hivernales.
Concernant Rotavirus
A- La période d’incubation est longue (1 mois)
B- L’infection se guérit en moins d’une semaine, sans séquelles
C- Il y a toujours une fièvre.
D- Chez l’adulte, l’infection est souvent asymptomatique.
E- Le diagnostic des Rotavirus repose sur un TDR systématique.
F- Une sérologie est inutile.
Vrai : BDF
A- Période d’incubation courte : 1 à 3 jours
C- Pas toujours
E- Diagnostic non réalisé en systématique, à partir des selles :
→ Détection d’antigènes viraux selon plusieurs méthodes :
- Immunochromatographie en test de diagnostic rapide (TDR) unitaire - Agglutination de particules de latex
- ELISA sur plaques
→ Détection du génome viral par RT-PCR (pas en routine)
→ Microscopie électronique (pas réalisé en pratique)
F-Sérologie non réalisée car les Ac apparaissent trop tardivement après l’âge de 2 ans (>90%) rend l’interprétation de la sérologie difficile.
Concernant Rotavirus
A- Il existe un traitement antiviral
B- Il existe deux vaccins vivants atténués obligatoires contre le Rotavirus.
C- Les vaccins empêchent l’infection à Rotavirus.
D- Ces vaccins peuvent entraîner une constipation.
A- Traitemnet symptomatique
B- Deux vaccins vivants atténués par voie orale, non recommandés
C- Les vaccins n’empêchent pas l’infection à Rotavirus mais empêchent les diarrhées modérées à graves.
D- Augmentation (faible) du risque d’invagination intestinale aiguë post-vaccination
→ qui peut entraîner rapidement une occlusion et une interruption de l’irrigation sanguine (ischémie), avec un risque de nécrose intestinale ou de perforation.
Concernant Rotavirus
A- Le Rotavirus peut s’attacher aux entérocytes grâce aux spicules VP6 de la capside.
B- Durant son cycle de réplication, il y a destruction de la couche externe de la capside.
C- Elle possède une ARN polymérase virale qui lui permet de transcrire le génome en ARN négatif qui sera traduit en protéines virales dans le cytoplasme.
D Les nouveaux fragments d’ARN négatif se répliqueront avant d’intégrer de nouvelles particules virales.
E- Les nouvelle particules sortent après maturation de l’enveloppe par passage dans le réticulum endoplasmique, obligatoirement par lyse cellulaire.
Vrai : B
A- Attachement aux entérocytes grâce aux spécules VP4.
B- Décapsidation partielle
C– Transcription en ARN positif qui sera traduit en protéines virales dans le cytoplasme.
D- Il y a transcription du génome à l’intérieur de la capside double couche grâce à l’ARN polymérase virale en ARN positif qui sera traduit en protéines virales dans le cytoplasme
E- Les nouvelles particules sortent après maturation par passage dans le réticulum endoplasme, par lyse cellulaire ou transport vésiculaire.
Concernant le virus de la rubéole
A- Famille : Rubiviridae, Genre : Rubivirus, Espèce : Rubella virus
B- Virus enveloppé dont l’enveloppe est constitué à partir des protéines traduites à partir de l’ARN viral.
C- Capside icosaédrique, génome à ARN simple brin de polarité négative.
D- Génome peu stable.
E- Virus animal et humain, de transmission aérienne strictement.
F- Virus très fragile qui a un très large tropisme cellulaire
Vrai : F
A- Togaviridae, Rubivirus, Rubella virus
B- Virus enveloppé, enveloppe d’origine cellulaire dans laquelle sont insérées des glycoprotéines virales E1 et E2 induisant la synthèse d’anticorps neutralisants.
C- Capside icosaédrique, génome à ARN simple brin de polarité positive.
D- Génome stable
E- Virus strictement humain, de transmission aérienne (gouttelettes salivaires) et cutanée
Concernant le virus de la rubéole
A- Surtout chez les adolescents
B- Chez l’enfant, souvent asymptomatqiue
C- Incubation de 1 mois et contagion seyelmentaprès apparition de l’éruption.
D- Syndrome infectieux : forte fièvre et polyadénopathie.
E- Maladie bénigne mais risque de complication.
Vrai : BE
A- Chez les enfants entre 3 et 5 ans.
B- Dans 50% des cas, asymptomatique
C- Incubation de 16 jours. Contagion 5-8 jours avant et 8 jours après l’éruption cutanée.
D- Syndrome infectieux non spécifique : faible fièvre, polyadénopathie, arthralgie chez l’adulte, éruption rubéoliforme.
E- Possible thrombopénie, encéphalite
Concernant le virus de la rubéole
A- Une réinfection est possible et peut exposer à une rubéole congénitale.
B- Il y a virémie seulement lors de primo-infection.
C- Le risque de transmission varie en fonction de l’âge gestationnel et décroit avec l’avancée de la grossesse.
D- Le risque d’atteinte foetale augmente au fil de la grossesse : il est très élevé à la fin de la grossesse
E- Une rubéole congénitale entraîne forcément des malformations.
Vrai : BE
A- Réinfection possible si le titre d’anticorps neutralisants est insuffisant mais se limitant à la porte d’entrée respiratoire, sans virémie, ni éruption et pratiquement sans risque de rubéole congénitale.
B- Donc le virus ne peut passer le placenta qu’en cas de virémie, qui n’existe que lors de la primo-infection
C- Le risque de transmission varie en fonction de l’âge gestationnel (90% au T1, 30% au T2 et 100% au T3)
D- Le risque de d’atteinte foetale est également variable selon l’âge gestationnel (très élevé au T1, variable au T2 et quasi-nul au T3)
E- Différentes conséquences :
☞ la mortalité in utero
☞ une embryopathie avec syndrome polymalfomatif survenant en cas de contamination précoce de l’embryon (<20SA) et caractérisé par la Triade de Gregg : surdité de perception, malformation oculaire, troubles neurologiques, cardiaques et dentaires
☞ une foetopathie ou rubéole congénitale évolutive lors d’atteinte foetale au T2 ou T3, caractérisée par des lésions multiviscérales.
Si infection > 20 SA : généralement asymptomatique.
Concernant le virus de la rubéole
A- Le diagnostic est systématique.
B- Le diagnostic est direct par PCR à partir du LCR. La culture est aussi possible.
C- Le diagnostic indirect repose sur la recherche d’IgG et d’IgM spécifiques par ELISA.
D- On recherche aussi toujours des IgA spécifiques.
Vrai : D
A- Non systématique, sauf chez les femmes enceinte.
B- Le diagnostic est direct par RT-PCR à partir du LCR ou du liquide amniotique (diagnostic pré-natal)
C- Le diagnostic indirect repose sur la recherche d’IgM et d’igG spécifiques. + tets d’avidité des IgG.
Les IgM apparaissent en 3 à 6 semaines. Peu spécifiques d’une primo-infection car peuvent être positives après une vaccination ou rénifection.
D- Recherche des IgA
-toujours présentes lors d’une primo-infection mais sont non spécifiques (peuvent être positives lors d’une réinsertions ou d’infections anciennes)
↪ seule l’absence d’IgA permet d’exclure une primo-infection rubéolique après avoir écarté la possibilité d’un déficit congénital en IgA
Concernant le virus de la rubéole
A- Le traitement est principalement symptomatique.
B- Toute éruption chez une femme enceinte doit faire penser à une rubéole.
C- C’est le seul virus pouvant donner des exanthèmes.
D- La vaccination contre la rubéole est un vaccin conjugué.
E- Il y a un contrôle de l’immunité obligatoire lors de la déclaration de la grossesse. En cas d’absence d’immunité, la vaccination peut se faire durant la grossesse.
Vrai : AB
C- penser à EBV, CMV, HIV
D- Vaccin vivant atténué
E- En cas d’absence d’immunité, contrôle à 20SA. La vaccination se fera sous contraception, après la grossesse. (CI durant la grossesse - tératogène)
Concernant le virus de la rubéole
A- Le vaccin est obligatoire chez l’enfant âgé de < 6 mois. 2 doses avant 6 ans.
B- Confère une immunité immédiate, protectrice efficace à vie.
C- Il y a éviction scolaire systématique.
D- Il s’agit d’une MDO
Vrai : D
A-Obligatoire chez l’enfant âgé de 12 à 24 mois 2 doses avant l’âge de 6 ans avec
- 1ere dose à 12 mois
- et 2e dose entre 16 et 18 mois
B- confère une immunité protectrice efficace à 95% après 10-18 jours et durant 10 ans
C- Pas d’éviction scolaire systématique
D- Il s’agit d’une MDO depuis mai 2018
Concernant le virus de la rubéole :
A- Il y a liaison du virus à a cellule grâce aux glycoprotéines de sa capside.
B- Il y a décapsidation et libération du génome d’ARN négatif dans le cytoplasme qui sera traduit en protéines virales dont les protéines nécessaires à la synthèse de l’ARN positif qui serviront de matrice pour la synthèse d’ARN génomique.
C- il y a synthèse des protéines de l’enveloppe puis exocytose de la particule virale.
A- Il y a liaison du virus à a cellule grâce aux glycoprotéines de son enveloppe.
B- Il y a décapsidation et libération du génome d’ARN positif dans le cytoplasme qui sera traduit en protéines virales dont les protéines nécessaires à la synthèse de l’ARN négatif qui serviront de matrice pour la synthèse d’ARN génomique
C- insertion des glycoprotéines virales dans la membrane cellulaire et bourgeonnement avec les protéines de capside et l’ARN génomique pour l’émission de nouvelles particules virales.
Concernant le virus de l’hépatite A
A- Même famille que Enterovirus.
B- Virus enveloppé, associé à des lipides dans le sang.
C- Capside icosaédrique
D-Génome : ARN simple brin de polarité négative
E- Virus humain strictement
Vrai : CE
A- Même famille que Enterovirus = Picornaviridae
Hepatovirus, Human hepatitis virus A
B- Virus nu, associé à des lipides dans le sang.
D-Génome : ARN simple brin de polarité positive
Concernant le virus de l’hépatite A
A- Transmission oro-fécale
B- Sensible aux agents physico-chimiques
C- Peut se transmettre par voie sexuelle
D -Peut se transmettre par usage de drogue par voie IV
E- Surtout dans les pays en voie de développement
Vrai : ACDE
B- Très résistant aux agents physico-chimiques
Concernant le virus de l’hépatite A
A- Incubation très courte : 1 semaine
B- Les formes fulminantes sont courantes
C- Les formes ictériques sont très fréquentes chez l’enfant.
D- Le diagnostic peut être sérologique ou virologique.
E- L’apparition des IgM n’a pas une bonne sensibilité ni spécificité.
F- Il n’y a pas de passage à la chronicité
Vrai : F
A- Incubation entre 2-8 semaines
B- Très rares formes fulminantes
C- Les formes asymptomatiques/anictériques sont très fréquentes chez l’enfant :
- 90-95% des cas chez l’enfant
- 25-50% des cas chez l’adulte
D- Diagnostic surtout sérologique
Indirect : sérologique, par ELISA
- IgM pour le diagnostic d’infection aiguë (☞ très bonne sensibilité et spécificité) : apparition quasi simultanée avec signes cliniques et élévation des transaminases - persistent 3 à 6 mois
- IgG pour déterminer si exposition virale ou vaccination antérieure.
E- Apparition des IgM est très sensible et très spécifique.
Concernant le virus de l’hépatite A
A- Il y a une importante cytolyse hépatique
B- Il existe un vaccin vivant atténué
C- Ce n’est pas une MDO
D- Il existe un antiviral contre l’hépatite A
E- Hépatite A a un effet cytopathogène
F- La phase pré-ictérique est l phase contagieuse
Vrai: A
A-
- cytolyse hépatique (↑ ALAT > 20N), due à la réaction inflammatoire cellulaire qui élimine les hépatocytes infectés : élévation des transaminases
- ↓ taux de prothrombine et facteur V
- cholestase modérée : élévation de la bilirubine conjuguée, des phosphatages alcalines et γGT
B Vaccin à virus inactivé ou vaccin combiné
- vaccin à virus inactivé (formaldéhyde) (HAVRIX, AVAXIM)
- Schéma vaccinal : 1 injection, puis rappel à 6- 12 mois (jusqu’à 5 ans), intramusculaire.
C- Hépatite A : MDO
D- Traitement symptomatique
E- Virus hépatotrope qui se réplique dans le cytoplasme des héptocytes infectés mais sans effet cytopathogène (cytolyse par mécanisme d’immunité cellulaire)
F- phase pré-ictérique : signes non spécifiques de type syndrome pseudo-grippal : élimination virale dans les selles pendant cette phase
☞ phase de contagiosité
Concernant le virus de l’hépatite C
A- Famille : Picornaviridae, Genre : Hépatovirus
B- Strictement humain
C- Peu de variabilité génétique entre les virus.
D- La glycoprotéine E2 du VHC reconnait certains récepteurs cellulaires des hépatocytes.
E- Zone de forte prévalence : Asie, Afrique, Europe de l’Est
F- De réplication principalement intranucléaire - latence possible
Vrai : BD
A- Famille : Flaviviridae, Genre : Hépacivirus
C- Variabilité génétique avec la coexistence chez un même patient d’une quasi-espèce virale .
La variabilité du virus liée à l’absence de relecture de l’ARN polymérase virale (échappement du système immunitaire)
D- Récepteurs cellulaires = CD81 (reconnu par la glycoprotéine E2 du VHC), SR-BI, Claudine-1,…
E- Zone de forte prévalence : Europe de l’Est, Asie, Afrique, Amérique du Sud
F- Réplication cytoplasmique, persistance possible, réplication continue - pas de latence
Concernant le virus de l’hépatite C
A- Génome : ADN double brin
B- Capside icosaédrique présentant 3 glycoprotéine E1, E2 et E3.
C- Virus non oncogène enveloppé
D- La contamination est surtout sexuelle et foeto-maternelle
E- Incubation : environ 4 semaines.
A- Génome ARN simple brin de polarité +
B- Capside icosaérdrique avec 2 glycoprotéines : E1 et E2
C- Virus oncogène enveloppé
D- Contamination parentérale (drogue IV, transfusion), mère-enfant en période périnatale, dialyse
E- Incubation 7-8 semaines