Médicaments et pharmacie clinique Flashcards
A- Les xanthines sont des médicaments à visée principalement bronchodilatatrice
B- Le roflumilast est principalement un anti-inflammatoire
C- Les agonistes β2 miment la noradrénaline
D- Isoprénaline a un effet hypertenseur
E- Les agonistes β2 utilisés dans l’asthme ont une chaîne latérale alourdie, ce qui permet la résistance vis-à-vis de l’action des COMT
F- Le noyau phénol doit être modulé afin de permettre une résistance vis-vis des COMT.
Vrai : ABC
D : Isoprénaline agit seulement sur les β (mais n’est pas assez sélectif des β2). N’agit pas sur les α donc pas d’effet hypertenseur.
E- Les agonistes β2 utilisés dans l’asthme ont une chaîne latérale alourdie (alourdissement du reste à l’azote), ce qui permet la résistance vis-à-vis de l’action des MAO (Monoamine oxydases) et une affinité β2
F- Le noyau phénol → noyau RESORCINOL (terbutaline) ou ajout de OH-méthyle (salbutamol) afin de permettre une résistance vis-vis des COMT.
A- Le salbutamol est un bêta2 à courte durée d’action
B- Le salbutamol est pris en prévention de la crise
C-La salbutamol a une durée d’action de 12h
D- Le salbutamol peut être utilisé dans des domaines autres qu’en pneumologie.
E- Le salbutamol peut être utilisé en perfusion continue
F- Seul le salbutamol S est utilisé
Vrai : ADE
B- Salbutamol pris au besoin seulement - délai d’action : 1 à 10 minutes
C- Durée d’action : 4 à 6 h
D-obstétrique (menace d’accouchement prématuré) + dopage
E- traitement de l’asthme aigu grave
F- Racémique utilisé
A-Le salmétérol a une durée d’action plus longue que le salbutamol
B- Le formotérol est éliminé plus rapidement que le salmétérol
C-Le vilantérol est un LAMA et est associé à un antagoniste des récepteurs muscariniques de longue durée.
D- Vilantérol et fluticasone ont une synergie d’action
E- Les LABA ne sont prescrits que dans l’asthme
Vrai : AC
A- durée d’action = 24h (contre 4-6h pour le salbutamol)
B- t1/2 du formotérol = 24h, t1/2 du salmétérol : 20h
C- Vilantérol + uméclidinium
D- LABA (Agoniste β2 de longue durée d’action)+ corticoïdes synthétique)
E- LABA prescrits dans l’asthme et autres broncho-pneumopathies obstructives (vilantérol + uméclidinium)
A- Le bambutérol mis sur le marché est sous forme SS
B- Le bambutérol a une longue durée d’action bronchodilatatrice
C- Le bambutérol est une drogue active
D- Le fénotérol (RR, SS), associé à l’ipratropium, est un LABA
E- Les salmétérol et salbutamol soulagent rapidement et de façon prolongée : ils sont donc utilisés dans l’asthme modéré et sévère
Vrai : BD
A- Bambutérol sous forme RS
B - durée d’action du bambutérol = 24h
C- Bambutérol = Prodrogue qu libère de la terbutaline par des cholinestérases plasmatiques
E- Salmétérol, fénotérol, bambutérol, vilantérol, formotérol ont une action de longue durée … mais pas salbutamol !
A- Les LABA ont une durée d’action de plus de 12h.
B- Les β2 agonistes peuvent causer agitation, palpitation, tremblements, anxiété
C- La prise de LABA se fait 3 fois par jours, en association avec un corticostéroïde topique
D- Les agonistes β2 peuvent être dosés par titrage par HCLO4 dans l’acide acétique anhydre, sont des bases mais peu solubles.
Vrai : AB
C- 2 prises /jours
D- solubles dans l’eau (formation de sels possible)
A- Les leucotriènes sont produites par toutes les cellules des bronches par la phospholipases A2.
B- L’acide arachidonique forme des prostaglandines, des thromboxanes A2 et des leukotriènes A4
C-Les cystéinyl-leucotriènes causent seulement une bronchoconstriction
D- Les cystéinyls-leukotriènes sont formés à partir de l’acide arachidonique
E-L’activité des cystéinyl-leukotriènes est bloquée uniquement par le blocage des récepteurs des LT (RCPG) et par l’inhibition de la production de LT)
Vrai : B
A- Seulement les cellules inflammatoires des bronches produisent des leucotriènes à partir de l’acide arachidonique via l’action de la 5-ipo-oxygénase.
B- Prostaglandines et thromboxanes via les cyclo-oxygénases et Leukotriènes via la 5-lipo-oxygénase
C-Bronchonconstriction, Oedème (↑ perméabilité capillaire et sécrétion de mucus) et Effets chimiotactiques (polynucléaires)
D-Cystéinyl-leukotriènes dérivent des leukotriènes
E- Inhibition aussi possible par inhibition de la FLAP qui fixe l’acide arachidonique et qui la met à disposition de la 5-LO.
Concernant le Montelukast :
A- Antagoniste des récepteurs des leucotriènes, il diminue les effets des leucotriènes rapidement et complètement
B- La partie quinoléinique est indispensable à l’affinité des récepteurs des leucotriènes LTd4
C- La forme racémique du Montelukast est commercialisée
D- Montelukast indiqué en cas d’asthme persistant insuffisamment contrôlé par corticothérapie inhalée et β 2-mimétique
E- Traitement des crises aigues d’asthme.
Vrai : BD
A- Montelukast diminue l’effet des leukotriènes lentement et incomplètements
C- Seule la forme S est commercialisée
E- Traitement préventif de l’asthme induit par l’effort
A- La stimulation de récepteurs M3 par l’acétylcholine provoque bronchodilatation et sécrétions bronchiques.
B- Atropine et scopolamine sont des parasympatholytique donc des antagonistes compétitifs sélectifs des récepteurs muscariniques de l’acétylcholine
C- le brumure d’ipratropium est un analogue de la scopolamine et passe la BHE.
D- Concernant le pharmacophore antimuscarinique, la longueur optimal entre la fonction éther ou ester et l’ammonium est de plus de 5 carbones.
E- Le groupement ester fournit une plus puissante activité anticholinergique.
F- Les ammoniums quaternaires ne possèdent pas d’activité anticholinergique
Vrai : E
A-
- M3 active l’AC → bronchoconstriction
- M3 active phosphlipase C → ↑ sécrétion digestive (salive abondante) et bronchiques (encombrements bronchiques)
B- Atropines et scopolamine sont des anti-cholinergiques compétitifs non sélectifs des récepteurs muscariniques de l’acétylcholine.
C- Bromure d’ipratropium est un analogue de l’atropine et ne passe pas la BHE
D-Longueur optimale : 2-4 carbones
F- Les ammoniums quaternaires possèdent l’activité anticholinergique la + puissante
A- bromure d’ipratropium est spécifique des récepteurs cholinergiques M3
B- bromure d’ipratropium est indiqué pour le traitement des BPCO et de la crise d’asthme
C-bromure d’ipratropium a une action plus puissante que celui des β 2 mimétiques
D- bromure d’ipratropium a une plus longue durée d’action que le bromure de tiotropium
E- bromure d’ipratropium est un analogue de l’atropine
Vrai : BE
A- bromure d’ipratropium non spécifique des récepteurs cholinergiques M1-2-3
C- bromure d’ipratropium est moins puissant que les β 2 mimétiques
D- le bromure de tiotropium a une plus longue durée d’action que le bromure d’ipratropium
A- Le bromure de tiotropium dérive de la scopolamine
B- Le bromure de tiotropium est un broncho-dilatateur à longue durée
C- Le bromure de tiotropium est indiqué dans les BPCO et l’asthme
D-Comparé au tiotropium, l’ipratropium a une affinité moindre pour les récepteurs muscariniques et se dissocie plus rapidement des récepteurs M1 et M3
E- Uméclidinium est un LAMA = long acting muscarinic antagonist
Vrai : ABDE
A- Bromure d’ipratropium : atropine
Brome de tiotropium : scopolamine
C- Bromure de tiotropium uniquement dans le cas de la BPCO
D- Comparé à l’ipratropium, le tiotropium a une affinité dix fois plus grande pour les
récepteurs muscariniques, et il se dissocie environ 100 fois plus lentement des
récepteurs muscariniques M1 et M3.
Les : bronchodilatateurs méthylxanthines (théophylline, bamifylline
A- ont de nombreux effets indésirables et une marge thérapeutique étroite (10-20 mg/L)
B-leurs interactions principales sont dues au métabolisme des xanthines par CYP3A4
C- Action antagoniste de la bronchoconstriction est due à l’antagonisme des récepteurs A1 de l’adénosine
D- sont prescrits en 1er intention
E- Leur posologie est la même pour tous
Vrai : AC
B- CYP1A2
D- dernière intention
E- adaptation chez insuffisant cardiaque, insuffisance hépatique, insuffisance rénale et chez l’enfant
A- Les corticoïdes anti-inflammatoires agissent uniquement sur l’inflammation et diminuent la production de Pg, TXA2 et LT et la formation de l’IL3
B- Sont un traitement de la crise de l’asthme
C-Leur récepteur est membranaire, se dimérise puis se fixe sur l’ADN en tant que facteur de transcription.
D- Permettent la synthèse de lipocortine ou d’annexine 1 qui inhibent la lipo-oxygénase
E-Les corticoïdes peuvent se prendre par voie orale ou par aérosol uniquement
Vrai : A
B- Traitement de fond de l’asthme
C- récepteur cytoplasmique
D- Lipocortine et annexante 1 inhibent la phospholipase A2
E- aussi en IV dans les cas les plus graves - posologies à adapter
A- Le cromoglicate de sodium dérive d’une molécule naturelle, la khelline qui a aussi donné l’amiodarone
B- Le cromoglicate de sodium permet d’inhiber la libération des médiateurs contenus dans le mastocyte bronchique
C-Il est utilisé en solution pour nébulisation, en alternative à l’utilisation des corticoïdes inhalés
D- Asthme est une indication des anti-H1
Vrai : ABC
D- Asthme n’est pas une indication des anti-H1 sauf si rhinitis allergique associée
A- Le kétodifène a une action anti-inflammatoire mais aussi anti-H1, anti-5-HT2
B- Kétodifène peut entraîner somnolence, sécheresse buccale
C-Roflumilast est un inhibiteur sélectif de la PDE-3.
D-Roflumilast permet la diminution de la concentration d’AMPc, ce qui, au niveau des bronches, se traduit pas des effets anti-inflammatoires
E- Roflumilast est indiqué dans la BPCO
F- Roflumilast a un métabolite inactif.
Vrai : ABE
C- Roflumilast est un inhibiteur sélectif des PDE4
D- Roflumilast augmente la concnetration d’AMPc , ce qui se traduit par des effets anti-inflammatoire
F- Roflumilast est métabolisé par le foie (CYP 3A4 et 1A2) en Roflumilast-N-oxyde.
Isoniazide: Utilisation thérapeutique :
A- le plus spécifique des mycobactéries
B- bactéricide sur les germes quiescents
C- bactériostatique sur les germes en croissances
D- actif seulement sur les germes extracellulaires
Vrai : A
- le plus puissant des ATB et le plus spécifique
- bactériSTATIQUES sur les germes quiescente
- bactéRICIDE sur les germes en croissance
- actif sur les germes INTRA ET EXTRAcellualires
Isonazide : pro-drogue
A- est inactivée par une enzyme mycobactérienne, la KatG
B- l’intermédiaire formé actif est le radical isonicotinoyle
C- InhA est une réductase impliquée dans la synthèse des acides mycosiques et est inhibée directement par l’isoniazide
D- InhA appartient au complexe FAS I
E- les mutations sur les gènes katG ou inhalation sont responsables de résistance
Vrai : BE
- ACTIVEE par une enzyme mycobactérienne, la KatG
- InhA est inhibée par INH-NAD (après formation du radical isonicotinoyle, réaction avec un NAD+)
- InhA appartient au complexe FAS II
Isoniazide : pharmacocinétique
A- La métabolisation hépatique donne un métabolite actif
B- La diffusion est médiocre dans le LCR
C- Il existe des différences de métabolisation
D- Elimination principalement biliaire è55-95%)
Vrai : C
- métabolisation hépatique donne métabolite inactif : N- Acétyl-isoniazide
- diffusion excellente dont dans le LCR
C- actéyleurs lents européens, rapides japonais
D- Elimination urinaire
Isoniazide : effet indésirable
A- Tolérance médiocre, peut causer des troubles hématologiques, et hépatiques
B- Est photosensibilisant
C- Ne cause pas de troubles neurologiques
D- Pourrait avoir une activité similaire à un IMAO
Vrai : BD
A- Excellent tolérance mais troubles hémato, cutanés et hépatiques (insuffisance hépatique sévère)
C-Troubles neurologiques possibles par antagonisme avec la vitamine B1 (analogie de structure) et B6 (↑ de excrétion urinaire)
D- Serait l’origine de la découverte de l’iproniazide car peut causer une euphorie
Pyrazinamide
A- est un analogue structural de l’isoniazide
B-Est un antituberculeux sans toxicité hépatique
C- Est administré durant tout le traitement de 6 mois
D-Est directement actif
E- La mutation du gène pnca est responsable de la résistance à l’isoniazide
Vrais : AE
B- avait été abandonné à cause de sa toxicité hépatique puis réhabilité pour son activité intracellulaires sur les souches responsables de rechutes
C- administré seulement durant les 2 premiers mois
D- son métabolite actif est l’acide pyrazinoïque obtenu via l’enzyme pyrazinamidase
Pyrazinamide
A- La biosynthèse d’acides mycosiques chez les Mycobactéries est seulement gouvernée par le complexe FAS I
B- Pyrazinamide agit directement sur le complexe FAS I
C- La cible de cet antituberculeux est Fas I et Fas II
D- Isoniazide agit sur Fas I et le Pyrazinamide sur Fas II
E- Pyrazinamide est hyperuricémiant et hépatotoxique
Vrai : E
A- Fas I et Fas II
B- L’acide pyrazinoïque = métabolite de la pyrazinamide agit sur le Fas I
C- Fas I seulement. Fas II est ciblé par l’isoniazide.
D- Isoniazide : Fas II
Pyrazinamide → Acide pyrazynoïque : Fas I
Pyrazinamide :
A- Peut être prescrit aux immunodéprimés
B- Est indiqué chez les femmes enceintes et allaitantes
C- Il existe un association triple pyrazinamide, izoniazide et éthambutol
D- N’est pas un antituberculeux en 1ere ligne
Vrai : A
B- Contre-indiqué chez les suites âgés, insuffisance rénale, insuffisance hépatique, grossesse, allaitement
C- Rifater = RIFAMPICINE + isoniazide + pyrazinamide (6cp/jour)
D- En 1ere ligne avec isoniazide, éthambutol (inhibition de la synthèse des acides mycosiques) et rifampicine (inhibition des ARN mycobactériens)
Ethambutol : A- le distomère SS est actif sur les BK B- l'eutomère RR est actif sur le BK C- l'isomère méso est actif sur le BK D- souvent sous forme de chlorhydrate E- est une base divalente F- on peut le doser par dosage polarométrique par mesure de l'angle de rotation
Vrai :D-E- F
A- L’EUTOMERE SS (dextrogyre) est actif sur les BK = dexambutol
B- Le distomère RR est toxique : ☞ cécité et peu actif sur le BK
C- Isomère méso est peu actif sur le BK
Ethambutol
A- la cible est l’inhA, comme l’izoniazide
B- La résistance est liée à 50% à la mutation au niveau du gène embB
C- est un traitement préventif de la tuberculose
D- Est actif sur les autres Gram + et les Gram -
E- existe en formes comprimé et en solution injectable
Vrai : B
A- Inhibiteur de la synthèse d’arabinogalactane chaîine d’arabinane) par inhibition de l’arabinufuranosyl tranférase
C- traitement curatif de la tuberculose active et de la primo-infection symptomatique
D- très spécifique des mycobactéries
E- pendant 2 moi, dans le cadre d’un traitement de 6 ou 9 mois
Ethambutol
A- Peut provoquer une baisse irréversible de l’acuité visuelle et une dyschromatopsie
B- Peut provoquer une névrite optique avec des séquelles définitives
C- est contre-indiqué si insuffisance rénale sévère et à éviter en cas de grossesse
D-La névrite optique est une complication rare mais gravissime
Vrai : C D
A- Baisse réversible de l’acuité visuelle
B- NORB qui peut causer une cécité si le traitement n’est pas interrompu
Rifampicine
A- Rifampicine et rifabutine sont des ansamycine
B- Est un macrolide comportant un noyau naphtohydroquinone
C- Seulement efficace contre la tuberculose
D- Rifampicine et Rifabutine sont des molécules naturelles
Vrai : A B
C- Efficace contre les mycobactéries : lèpre et Tuberculose
D- Hémo-synthétiques: à partir de la rifamycine B (voie fermentaire et extraction)
Rifampicine
A- se fixe à la sous-unité α de l’ADN polymérase ARN-dépendante des bactéries
B- Résistance due à une mutation de rpoB
C-Peut interférer avec l’ARN polymérase humaine
D- Est sélectif des mycobactéries mais peut aussi agir sur des Gram + (Staphylococcus)
E- est bactériostatiques sur les germes intra et extracellulaires
Vrai : B D
A- Se fixe sur la sous-unité β de l’ARN polymérase ADN-dépendante
C- peu d’interactions avec l’ARN polymérase humaine
D- Agit aussi sur des Gram - (Neisseria)
E- Bactéricde
Rifampicine
A- Peut être utilisée contre la lèpre et les bruxelloses
B-Peut être pris en charge des infections des matériels prothétiques
C- Est un inhibiteur enzymatique
D- effets indésirables : coloration rouge des urines, des larmes, fèces…
E- Peut entraîner un syndrome grippal
F- N’est pas hépatotoxique
G- N’est pas contre-indiqué en cas de porphyrie
Vrai : A B D E
A- lèpre : association rifampicine-sulfone-éthionamide
C- INDUCTEUR enzymatique (attention aux oestro-progestatifs)
⚠ interaction majeure avec les antiviraux, les contraceptifs oraux
F- hépatotoxique, troubles digestifs et cutanés
G - CI si allergie (site antigène au niveau amine), porphyrie et prise d’antiviraux ou de contraceptifs oraux
Rifabutine
A- Est, tout comme la rifampicine, une ansamycine
B- Est, tout comme la rifampicine, un antituberculeux de 1ere intention
C- il existe des résistances croisées avec la rifampicine
D- Mécanisme d’action : inhibition de la synthèse du ribosome
E- Entraîne moins d’induction enzymatique que la rifampicine
Vrai : ACE
B- 2e intention
C- Même mécanisme d’action
D- Inhibition de l’ARN polymérase ADN-dépendante des bacéries, codées par le gène rpoB
EI fréquent : rash, dysguesie, neutropénie, myalgie, intolérance GI