Untitled Deck Flashcards

1
Q

Décris le programme de sevrage graduel pour les somnifères.

A

Il doit être réalisé en collaboration avec un médecin ou un pharmacien, et il est recommandé de consommer des somnifères sur une courte période de temps pour éviter la tolérance et la dépendance.

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2
Q

Comment la consommation prolongée de somnifères affecte-t-elle le sommeil ?

A

Elle modifie l’architecture du sommeil, rendant difficile l’atteinte du sommeil profond et paradoxal, et peut donner l’impression d’un bon sommeil alors qu’il y a de nombreux réveils.

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3
Q

Quelles sont les conséquences d’une dépendance aux somnifères ?

A

Elle peut entraîner une dépendance physique et psychologique, ainsi qu’une nécessité d’augmenter la dose en raison de la tolérance.

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4
Q

Comment maintenir les acquis après un traitement du sommeil ?

A

Il est important de composer avec les rechutes et de ne pas s’inquiéter, car il est normal de moins bien dormir parfois.

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5
Q

Définis le trouble d’anxiété généralisée (TAG).

A

Le TAG est la manifestation excessive d’une inquiétude normale, entraînant une souffrance et nuisant au fonctionnement quotidien.

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6
Q

Comment se manifeste l’anxiété chez Valérie ?

A

Elle se sent tendue, épuisée, et s’inquiète constamment de ne pas prendre assez de notes ou de ce que les autres pensent d’elle.

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7
Q

Qu’est-ce que l’intolérance à l’incertitude dans le contexte du TAG ?

A

C’est un concept clé qui se trouve au cœur du TAG, où la personne éprouve une difficulté à accepter l’incertitude des événements futurs.

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8
Q

Comment une personne peut-elle observer ses inquiétudes ?

A

Elle peut remplir une grille d’auto-observation et se poser des questions sur ses inquiétudes à des moments précis de la journée.

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9
Q

Quelles sont les deux types d’inquiétudes identifiées ?

A

Type 1 : inquétude sur un problème actuel. Type 2 : inquétude sur un problème éventuel.

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10
Q

Comment l’anxiété peut-elle affecter le bien-être d’une personne ?

A

Elle peut entraîner un sentiment de démoralisation et d’épuisement à force d’être anxieux.

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11
Q

Décris l’analogie des allergies en relation avec le TAG.

A

Elle compare l’intolérance à l’incertitude à une allergie, où une personne réagit de manière excessive à des stimuli incertains.

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12
Q

Comment une personne peut-elle différencier entre une inquiétude actuelle et une inquiétude éventuelle ?

A

Elle doit se demander si son inquiétude porte sur un problème qui se produit actuellement ou sur quelque chose qui pourrait arriver dans le futur.

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13
Q

Décris comment une personne avec un TAG réagit à l’incertitude.

A

Une personne avec un TAG réagit très fortement à la présence d’incertitude, s’inquiétant même pour une petite quantité d’incertitude.

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14
Q

Comment la restructuration cognitive est-elle perçue par les personnes ayant un TAG ?

A

La restructuration cognitive avec des probabilités ou des statistiques ne fonctionne pas avec les personnes ayant un TAG, car elles s’accrochent à l’incertitude, même minime.

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15
Q

Quelles sont les manifestations de l’intolérance à l’incertitude chez une personne avec un TAG ?

A

Les manifestations incluent faire tout soi-même, rechercher beaucoup d’informations, questionner des décisions déjà prises, chercher à être rassuré, vérifier et revérifier, et surprotéger les autres.

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16
Q

Comment une personne avec un TAG peut-elle chercher à contrôler l’incertitude ?

A

Elle peut avoir tendance à faire tout par elle-même et ne pas déléguer, convainquant les autres qu’elle doit mettre la touche finale pour éviter l’incertitude.

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17
Q

Définis le rôle des statistiques dans la gestion de l’anxiété pour une personne avec un TAG.

A

Les statistiques ne rassurent pas une personne avec un TAG, car elle comprend que même une petite probabilité d’accident reste une incertitude.

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18
Q

Comment une personne avec un TAG peut-elle se comporter face à une décision déjà prise ?

A

Elle peut questionner cette décision, s’inquiétant de savoir si elle a pris la bonne décision, même si celle-ci a déjà été prise.

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19
Q

Quelles stratégies une personne avec un TAG utilise-t-elle pour faire face à l’incertitude ?

A

Elle peut rechercher des informations excessives avant d’agir, demander des rassurances à plusieurs personnes, et vérifier ses actions de manière répétée.

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20
Q

Comment une personne avec un TAG peut-elle surprotéger les autres ?

A

Elle peut surveiller et protéger les autres en les accompagnant dans des activités, par exemple, en nageant avec un proche par crainte d’un malaise.

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21
Q

Décris l’analogie des verres filtrants en relation avec l’intolérance à l’incertitude.

A

L’analogie des verres filtrants illustre comment une personne avec un TAG perçoit constamment la présence d’incertitude, comme si elle portait des lunettes qui détectent cette incertitude.

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22
Q

Comment une personne avec un TAG peut-elle rechercher des informations avant d’agir ?

A

Elle peut devenir excessive dans sa recherche d’informations, consultant de nombreuses sources avant de prendre une décision, par exemple, sur la réparation d’un appareil.

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23
Q

Décrire les manifestations de l’intolérance à l’incertitude.

A

Les manifestations incluent des stratégies d’évitement, comme éviter de s’engager dans des relations ou des activités, trouver des raisons imaginaires pour éviter certaines situations, et procrastiner.

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24
Q

Comment la procrastination est-elle liée à l’intolérance à l’incertitude ?

A

La procrastination est une stratégie utilisée par ceux qui sont intolérants à l’incertitude, car ils reportent des tâches par peur de l’incertitude liée à ces tâches.

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25
Q

Définir l’impact de l’inquiétude sur la résolution de problèmes.

A

L’inquiétude nuit à la résolution de problèmes car elle augmente l’anxiété et empêche une réflexion posée et rationnelle.

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26
Q

Expliquer pourquoi s’inquiéter n’est pas une source de motivation.

A

S’inquiéter engendre de l’anxiété, ce qui peut mener à l’apathie et à l’évitement des tâches, nuisant ainsi à la réalisation des objectifs.

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27
Q

Comment l’inquiétude peut-elle affecter la performance ?

A

L’inquiétude peut nuire à la performance en augmentant l’anxiété, ce qui empêche de se concentrer et de réaliser les tâches nécessaires.

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28
Q

Décrire une stratégie d’évitement liée à l’incertitude.

A

Une stratégie d’évitement peut être de ne pas s’engager dans des amitiés ou des relations amoureuses par peur d’être déçu.

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29
Q

Comment certaines personnes perçoivent-elles l’inquiétude comme une protection contre les émotions négatives ?

A

Certaines personnes pensent que s’inquiéter les prépare à des résultats négatifs, mais cela ne les aide pas à gérer les émotions négatives.

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30
Q

Définir le lien entre l’intolérance à l’incertitude et la fatigue mentale.

A

Les personnes intolérantes à l’incertitude se fatiguent plus rapidement car elles utilisent des stratégies pour gérer leur anxiété, ce qui demande beaucoup d’énergie.

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31
Q

Comment les raisons imaginaires sont-elles utilisées pour éviter des activités ?

A

Les personnes peuvent inventer des excuses, comme prétendre avoir une blessure, pour éviter des activités incertaines qui pourraient les décevoir.

32
Q

Décrire l’effet de l’anxiété sur l’étude et la préparation aux examens.

A

L’anxiété peut mener à la procrastination, où une personne évite d’étudier par peur de l’échec, ce qui nuit à sa préparation.

33
Q

Décris l’impact de l’inquiétude sur la qualité de vie de Valérie.

A

Valérie vit beaucoup d’anxiété et de difficultés à se concentrer, ce qui affecte sa qualité de vie depuis 10 ans.

34
Q

Comment Sophie réagit-elle face à une situation difficile par rapport à Valérie ?

A

Sophie, qui ne s’inquiète pas, fera face à la situation de manière plus positive que Valérie, qui souffre d’anxiété.

35
Q

Quelle est la fausse croyance concernant l’inquiétude ?

A

L’inquiétude est souvent perçue comme un moyen de rendre les événements futurs moins difficiles à gérer, mais cela ne fonctionne pas.

36
Q

Définis l’abstraction sélective dans le contexte de l’inquiétude.

A

L’abstraction sélective consiste à se souvenir uniquement des événements qui renforcent ses croyances, comme penser que s’inquiéter est utile.

37
Q

Comment l’entourage perçoit-il l’inquiétude chez une personne ?

A

L’entourage trouve souvent l’inquiétude lourde et pénible, même si la personne inquiète pense que c’est un trait positif.

38
Q

Quelle est la phrase clé concernant l’inquiétude ?

A

S’inquiéter ne sert à rien.

39
Q

Pourquoi est-il nécessaire de faire une restructuration cognitive sur l’utilité de s’inquiéter ?

A

Il est nécessaire de montrer que s’inquiéter n’est pas utile pour aider la personne à renoncer à ses inquiétudes.

40
Q

Quelles sont les conséquences émotionnelles de considérer un problème comme une menace ?

A

Cela engendre de l’anxiété en raison de la perception d’une menace.

41
Q

Comment identifier les problèmes avant qu’ils ne deviennent trop importants ?

A

Il est important d’identifier les problèmes dès le départ, lorsqu’ils sont encore petits.

42
Q

Quelles sont les conséquences cognitives de l’inquiétude ?

A

L’inquiétude peut entraîner des difficultés de concentration.

43
Q

Comment l’inquiétude influence-t-elle le comportement face aux problèmes ?

A

Elle peut mener à l’évitement ou à la procrastination face aux problèmes.

44
Q

Décris le problème principal lié à l’anxiété.

A

Le problème n’est pas l’anxiété elle-même, mais plutôt la sensation d’avoir trop de choses à faire.

45
Q

Comment peut-on résoudre le problème d’anxiété ?

A

La solution consiste à aborder le problème en réduisant les heures de travail, en déléguant des tâches, etc.

46
Q

Pourquoi est-il important de reconnaître les problèmes dans la vie ?

A

Reconnaître que les problèmes font partie de la vie aide à comprendre que tout le monde en fait l’expérience et qu’il est essentiel de les résoudre rapidement.

47
Q

Comment les personnes normales gèrent-elles les problèmes ?

A

Elles les résolvent un par un au fur et à mesure qu’ils se présentent, évitant ainsi l’accumulation.

48
Q

Quelle est la différence entre voir un problème comme une menace ou comme un défi ?

A

Voir un problème comme un défi permet de l’aborder avec enthousiasme et d’apprendre quelque chose de nouveau.

49
Q

Comment augmenter sa tolérance à l’incertitude ?

A

Il est conseillé de noter la situation et de se donner des défis pour expérimenter l’incertitude volontairement.

50
Q

Donne un exemple de défi pour affronter l’incertitude.

A

Aller dans un nouveau restaurant et choisir un plat que l’on n’a jamais goûté.

51
Q

Pourquoi est-il normal de se sentir anxieux dans des situations nouvelles ?

A

Se sentir anxieux ou inconfortable est une réaction normale face à l’incertitude.

52
Q

Qu’est-ce que l’inquiétude de type 1 ?

A

C’est une inquiétude liée à un problème actuel qui nécessite une résolution.

53
Q

Quelle est la stratégie principale pour faire face à l’inquiétude de type 1 ?

A

La stratégie consiste à se concentrer sur la résolution du problème actuel.

54
Q

Comment peut-on apprivoiser l’état d’incertitude ?

A

En s’exposant régulièrement à des situations nouvelles et incertaines.

55
Q

Pourquoi est-il important d’être modeste et réaliste face à l’anxiété ?

A

Cela aide à gérer les attentes et à se préparer à des moments d’anxiété ou d’inconfort.

56
Q

Comment changer sa posture face aux problèmes ?

A

En les voyant comme des occasions ou des défis plutôt que comme des menaces.

57
Q

Quel est l’objectif de la thérapie concernant l’incertitude ?

A

L’objectif est d’augmenter le niveau de tolérance face à l’incertitude, car elle fait partie de la vie.

58
Q

Décrire l’exercice de l’éléphant blanc.

A

L’exercice de l’éléphant blanc consiste en deux parties : dans la première, on imagine un éléphant blanc, et dans la deuxième, on doit éviter de penser à l’éléphant, même pas en évoquant le mot ou ses caractéristiques. Cela montre que plus on chasse les pensées, plus elles ont tendance à revenir.

59
Q

Comment fonctionne l’exposition cognitive ?

A

L’exposition cognitive implique d’identifier la peur centrale, de préparer un scénario préliminaire, puis de le finaliser en écrivant au présent et en intégrant les cinq sens, tout en évitant toute forme de neutralisation.

60
Q

Quelles sont les étapes pour finaliser un scénario d’exposition cognitive ?

A

Pour finaliser un scénario, il faut l’écrire au présent, en utilisant la première personne, en intégrant les cinq sens, et en enlevant tout ce qui pourrait apporter du réconfort.

61
Q

Définir le concept d’évitement cognitif.

A

L’évitement cognitif est un mécanisme où une personne change ses pensées pour réduire son anxiété, mais cela ne permet pas de surmonter ce qui lui fait peur.

62
Q

Comment se déroule l’enregistrement du scénario pour l’exposition répétée ?

A

Le scénario est enregistré et doit être écouté à voix haute avec toutes les émotions qui montent, entre 30 et 60 minutes par jour, sans faire d’évitement cognitif.

63
Q

Décrire l’impact de l’exposition répétée sur les inquiétudes de type 2.

A

Après une exposition répétée, les inquiétudes de type 2 ne seront plus accompagnées d’une charge cognitive particulière, permettant à la personne de ne plus ressentir d’inquiétudes envahissantes.

64
Q

Quelles thématiques peuvent émerger lors de l’exposition cognitive ?

A

Lors de l’exposition cognitive, il peut y avoir une thématique principale de peur qui se manifeste dans différents contextes, mais il est rare d’en trouver deux.

65
Q

Comment M. Gervais gère-t-il ses inquiétudes de type 2 ?

A

M. Gervais note ses inquiétudes dans une grille d’auto-observation et utilise l’exposition cognitive pour explorer les conséquences négatives de ses pensées, jusqu’à atteindre le point le plus négatif.

66
Q

Quel est l’objectif de l’exposition cognitive dans le traitement des inquiétudes ?

A

L’objectif est de permettre à la personne de faire face à ses peurs sans évitement, afin de réduire l’anxiété et de transformer les inquiétudes envahissantes en préoccupations normales.

67
Q

Comment les émotions sont-elles intégrées dans le processus d’exposition ?

A

Les émotions doivent être pleinement ressenties et exprimées lors de l’écoute du scénario, ce qui aide à désensibiliser la personne face à ses peurs.

68
Q

Décris la peur centrale qui n’est pas connectée au début de la thérapie.

A

La peur centrale est celle que le fils pourrait être déçu par le père et le renier.

69
Q

Comment se manifeste la peur centrale dans le contexte des inquiétudes de type 2 ?

A

Les inquiétudes de type 2 se manifestent lorsque la peur centrale n’est pas reconnue.

70
Q

Quelle est la conséquence de ne pas se connecter avec la peur centrale ?

A

L’évitement se produit et les inquiétudes reviennent toujours.

71
Q

Quelles émotions un parent pourrait-il ressentir si un événement grave arrive à son enfant après la thérapie ?

A

Le parent ressentira de nombreuses émotions et ne sera pas détaché émotionnellement.

72
Q

Comment l’intolérance à l’incertitude est-elle liée aux TAG ?

A

L’intolérance à l’incertitude est au cœur des troubles anxieux généralisés (TAG).

73
Q

Quelles croyances positives peuvent exister envers les inquiétudes ?

A

Les inquiétudes peuvent être perçues comme utiles.

74
Q

Comment peut-on faire face à un problème de manière négative ?

A

On peut percevoir le problème comme une menace et douter de sa capacité à le surmonter.

75
Q

Quelle stratégie peut être utilisée pour contrer l’évitement cognitif ?

A

L’exposition volontaire à l’incertitude peut aider à contrer l’évitement cognitif.

76
Q

Comment la restructuration cognitive peut-elle aider dans le contexte des inquiétudes ?

A

Elle permet de reconsidérer l’utilité des inquiétudes.

77
Q

Pourquoi est-il important de rassurer une personne sur ses émotions après une exposition cognitive ?

A

Il est important de rassurer la personne qu’elle ne sera pas détachée émotionnellement si un événement se produit réellement.