TP avec agoraphobie Flashcards

1
Q

Décris les facteurs prédisposants au trouble panique avec agoraphobie.

A

Les facteurs prédisposants incluent la vulnérabilité biologique, comme une prédisposition physique ou une anxiété physique accrue, et la vulnérabilité psychologique, qui comprend la perception de l’anxiété comme nuisible, l’évitement comme stratégie de gestion, et des parents surprotecteurs.

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2
Q

Comment les stresseurs physiques peuvent-ils déclencher une attaque de panique ?

A

Les stresseurs physiques, comme une grossesse ou une blessure, peuvent augmenter la susceptibilité à une attaque de panique, même des situations banales comme un rhume peuvent être des déclencheurs.

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3
Q

Quels sont les stresseurs psychosociaux qui peuvent contribuer à une attaque de panique ?

A

Les stresseurs psychosociaux incluent des événements tels que la séparation amoureuse, la maladie ou le décès d’un proche, et la perte d’emploi, qui affectent les relations et le bien-être social.

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4
Q

Définis les stresseurs chroniques et leur impact sur le trouble panique.

A

Les stresseurs chroniques sont des sources de stress présentes depuis plusieurs semaines ou mois, comme des conflits au travail ou des difficultés financières, et ils peuvent rendre une personne plus vulnérable aux attaques de panique.

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5
Q

Comment l’évitement influence-t-il le trouble panique avec agoraphobie ?

A

L’évitement des situations perçues comme menaçantes peut apporter un soulagement temporaire, mais renforce les interprétations catastrophiques et la peur à long terme, maintenant ainsi le trouble.

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6
Q

Quelles sont les conséquences d’un soutien social inadéquat pour une personne avec un trouble panique ?

A

Un soutien social inadéquat peut encourager l’évitement, car les proches, bien intentionnés, peuvent prendre des mesures pour éviter que la personne ne ressente de la peur, renforçant ainsi le comportement d’évitement.

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7
Q

Décris les bénéfices secondaires liés à l’évitement dans le trouble panique.

A

Les bénéfices secondaires peuvent inclure l’évitement de situations désagréables, comme aller à l’épicerie, ce qui peut sembler avantageux même si cela contribue au maintien du trouble.

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8
Q

Comment une personne peut-elle développer un trouble panique sans facteurs de vulnérabilité apparents ?

A

Une personne peut développer un trouble panique même sans facteurs de vulnérabilité évidents, car le risque peut exister indépendamment de l’historique personnel.

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9
Q

Quelles sont les caractéristiques d’une attaque de panique ?

A

Une attaque de panique se caractérise par une interprétation catastrophique des symptômes, entraînant une peur irréaliste et l’évitement de certaines situations.

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10
Q

Décris le cas clinique de Catherine.

A

Catherine consulte pour un trouble panique avec agoraphobie, illustrant les défis et les dynamiques associés à ce trouble.

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11
Q

Décris les facteurs prédisposants aux troubles de panique.

A

Un parent surprotecteur peut être un facteur prédisposant.

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12
Q

Quels sont les facteurs précipitants des troubles de panique ?

A

Le contexte d’adaptation et le stress, ainsi que l’autonomie, sont des facteurs précipitants.

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13
Q

Comment les comportements d’évitement maintiennent-ils les troubles de panique ?

A

Éviter des situations comme l’université, les restaurants, le cinéma et la musique contribue à maintenir les troubles de panique.

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14
Q

Définis le rôle de l’anxiété dans la protection de l’organisme.

A

L’anxiété mobilise toute l’énergie du corps pour protéger l’organisme contre un danger.

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15
Q

Comment le système nerveux sympathique réagit-il face à une menace ?

A

Le système nerveux sympathique s’active en cas de menace, demandant beaucoup d’énergie.

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16
Q

Quelles sont les fonctions du système nerveux parasympathique ?

A

Le système nerveux parasympathique régule le repos, la guérison et la digestion.

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17
Q

Pourquoi les systèmes nerveux sympathique et parasympathique ne peuvent-ils pas être activés en même temps ?

A

Ils ne peuvent pas être activés en même temps car cela demanderait trop d’énergie.

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18
Q

Comment se manifeste une attaque de panique ?

A

Une attaque de panique se manifeste par une fausse alarme où le système sympathique s’alarme sans danger réel.

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19
Q

Quelles sont les conséquences de ne pas comprendre les attaques de panique ?

A

Ne pas comprendre les attaques de panique peut engendrer la peur de ces attaques.

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20
Q

Comment la psychoéducation peut-elle aider à prévenir les troubles de panique ?

A

La psychoéducation explique en détail ce qu’est une attaque de panique, ce qui peut réduire la peur associée.

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21
Q

Décris l’importance de comprendre le fonctionnement de l’anxiété.

A

Comprendre le fonctionnement de l’anxiété aide à ne pas avoir peur des attaques de panique.

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22
Q

Quelles sont les sensations physiques ressenties lors d’une attaque de panique ?

A

Les sensations physiques peuvent inclure des difficultés à respirer et une peur de faire une crise cardiaque.

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23
Q

Comment la famille peut-elle influencer les choix d’une personne face à l’anxiété ?

A

Un message de la famille peut décourager une personne de poursuivre ses études, comme en optométrie.

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24
Q

Quelles sont les étapes d’une attaque de panique dans le contexte universitaire ?

A

Une personne peut ressentir des symptômes avant d’entrer en classe, s’asseoir sur un banc, puis retourner à sa résidence.

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25
Q

Comment le stress peut-il être perçu par un médecin lors d’une consultation ?

A

Un médecin peut diagnostiquer des symptômes physiques comme étant simplement dus au stress.

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26
Q

Décris les effets du stress sur le système corporel.

A

Le stress peut rendre le système plus sensible, contribuant à déclencher des fausses alarmes et à provoquer des sensations désagréables.

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27
Q

Comment la perception d’une crise cardiaque influence le corps ?

A

Si une personne pense qu’elle fait une crise cardiaque, elle envoie un signal de danger à son système, ce qui entraîne une activation prolongée et une fatigue.

28
Q

Quelles sont les sensations physiques typiques d’une crise de panique ?

A

Les sensations incluent la tension musculaire, les palpitations, l’hyperventilation, la transpiration, les pupilles dilatées et la nausée.

29
Q

Pourquoi est-il essentiel de consulter un médecin avant de commencer une thérapie ?

A

Il est crucial de vérifier que les symptômes ne sont pas liés à un problème de santé physique.

30
Q

Comment le corps réagit-il lors d’une attaque de panique ?

A

Le corps provoque une contraction musculaire pour combattre ou fuir la menace, entraînant des tremblements ou des spasmes.

31
Q

Quelle est la durée typique d’une attaque de panique ?

A

La durée typique d’une attaque de panique est d’environ 5 minutes, à condition de ne pas renforcer l’anxiété.

32
Q

Définis l’hyperventilation et ses effets sur le corps.

A

L’hyperventilation est une respiration rapide qui entraîne un déséquilibre en oxygène et en gaz carbonique, provoquant des symptômes tels que l’étourdissement.

33
Q

Comment la transpiration aide-t-elle le corps pendant une crise de panique ?

A

La transpiration permet de refroidir le corps, qui devient chaud en raison de l’activation du système de lutte ou de fuite.

34
Q

Quelles sont les conséquences de la dilatation des pupilles en situation de stress ?

A

La dilatation des pupilles augmente la vision périphérique pour mieux détecter les menaces, mais peut rendre la vision floue.

35
Q

Explique le lien entre la nausée et le système nerveux sympathique.

A

Lorsque le système nerveux sympathique s’active, il interrompt la digestion, ce qui peut provoquer des nausées.

36
Q

Quelles sont les idées fausses courantes sur les attaques de panique ?

A

Une attaque de panique ne mène pas à une crise cardiaque, et il est très rare de s’évanouir à cause d’une attaque.

37
Q

Comment la respiration diaphragmatique peut-elle aider à gérer l’anxiété ?

A

La respiration diaphragmatique peut aider à réduire l’hyperventilation et à calmer le système nerveux.

38
Q

Décris l’impact de l’anxiété sur la digestion.

A

L’anxiété active le système nerveux sympathique, interrompant la digestion et provoquant des sensations de nausée.

39
Q

Comment les jambes réagissent-elles pendant une crise de panique ?

A

Les jambes peuvent sembler molles, mais elles sont en réalité prêtes à fuir ou à se défendre.

40
Q

Quelles sont les sensations de palpitations cardiaques lors d’une crise de panique ?

A

Le cœur peut battre rapidement, atteignant jusqu’à 200 battements par minute sans causer de dommages cardiaques.

41
Q

Comment la perception de danger peut-elle alimenter l’anxiété ?

A

Si une personne entretient l’idée qu’elle est en danger, cela alimente l’anxiété et prolonge les symptômes.

42
Q

Quelles sont les implications évolutives de la réponse au stress ?

A

Évolutivement, le corps se prépare à lutter ou à fuir, ce qui justifie certaines réactions physiologiques comme la redirection du sang vers les organes vitaux.

43
Q

Décris le rythme respiratoire normal au repos.

A

Le rythme respiratoire devrait être de 10 à 14 respirations par minute.

44
Q

Comment les personnes peuvent-elles hyperventiler ?

A

Les personnes peuvent hyperventiler en prenant l’habitude de respirer trop rapidement pour leurs besoins.

45
Q

Quels sont les symptômes de l’hyperventilation ?

A

Les symptômes incluent des désagréments physiques, de la fatigue et un rythme cardiaque accéléré.

46
Q

Comment peut-on aider une personne à ralentir son rythme respiratoire ?

A

On peut aider en faisant des exercices pour respirer du diaphragme et en évitant les mouvements en haut du corps.

47
Q

Quelle technique peut être utilisée pour ralentir la respiration ?

A

Une technique consiste à allonger et à placer des livres sur le ventre pour faire monter le livre avec la respiration.

48
Q

Qu’est-ce que la restructuration cognitive ?

A

La restructuration cognitive implique de prendre conscience des pensées automatiques, de les confronter à la réalité et de remplacer les pensées irréalistes par des pensées réalistes.

49
Q

Comment la courbe d’anxiété est-elle présentée à une personne ?

A

On fait un parallèle avec une phobie, par exemple, en simulant la peur d’un chien et en observant l’augmentation de l’anxiété.

50
Q

Quel est l’effet de l’échappement de la situation sur la phobie ?

A

L’échappement de la situation contribue au maintien de la phobie, car la personne évite de faire face à sa peur.

51
Q

Qu’est-ce que l’évitement cognitif ?

A

L’évitement cognitif consiste à changer ses pensées pour diminuer l’anxiété en présence d’un stimulus anxiogène.

52
Q

Comment surmonter une phobie ?

A

Pour surmonter une phobie, il faut pratiquer une exposition graduelle, prolongée et répétée au stimulus phobique.

53
Q

Quelle est l’importance de la durée de l’exposition dans le traitement des phobies ?

A

Rester longtemps dans la situation permet à l’anxiété de redescendre naturellement.

54
Q

Comment l’anxiété évolue-t-elle avec des expositions répétées ?

A

Avec des expositions répétées, l’anxiété diminue progressivement et redescend plus rapidement.

55
Q

Quel est le processus pour surmonter une phobie de manière efficace ?

A

Le processus implique d’exposer graduellement la personne à des chiens de différentes tailles, en commençant par les plus petits.

56
Q

Décrire l’objectif de l’exposition aux sensations d’attaque de panique.

A

L’objectif est d’apprivoiser les sensations d’attaque de panique afin que la personne ne les craigne plus.

57
Q

Comment les exercices pour provoquer des sensations d’attaque de panique sont-ils réalisés ?

A

Le psychologue effectue d’abord l’exercice, servant de modèle pour le client, ce qui aide à réduire la gêne et montre que ce n’est pas dangereux.

58
Q

Quelles sont les trois consignes à suivre lors de l’exposition aux situations ?

A
  1. Accepter les sensations. 2. Se parler de façon réaliste. 3. Rester sur place.
59
Q

Comment établir une hiérarchie pour l’exposition aux situations ?

A

Il faut repérer tous les exercices ayant une cote de 3 et plus dans les colonnes de similitude et de peur/anxiété/inconfort.

60
Q

Définir le rôle de la pratique à domicile dans le processus d’exposition.

A

La pratique à domicile permet de devenir de plus en plus à l’aise avec les sensations d’attaque de panique, en réalisant les exercices régulièrement.

61
Q

Comment la personne doit-elle se parler lors d’une attaque de panique ?

A

Elle doit se rappeler que la sensation est désagréable mais pas dangereuse, et que si elle ne l’alimente pas mentalement, elle se calmera rapidement.

62
Q

Quel est le but de générer des sensations d’attaque de panique lors des exercices ?

A

Le but est de travailler en direct sur la restructuration cognitive, même si une attaque de panique se produit.

63
Q

Pourquoi est-il important de rester sur place lors d’une exposition ?

A

Il n’y a aucune raison de quitter le lieu, et cela aide à affronter les sensations sans les éviter.

64
Q

Comment la personne peut-elle se sentir après avoir pratiqué les exercices ?

A

Elle peut se sentir moins anxieuse et plus à l’aise avec les sensations d’attaque de panique, même si celles-ci restent désagréables.

65
Q

Qu’est-ce qui peut arriver si une personne dit qu’un exercice ne lui fait pas peur ?

A

Cela peut indiquer qu’elle a en réalité peur, et le psychologue doit comprendre que cet exercice est celui qui lui fait le plus peur.