Flashcards (1)

1
Q

Décris la thérapie des schémas élaborée par Jeffrey Young.

A

La thérapie des schémas est conçue pour les patients présentant des troubles de la personnalité qui ne répondent pas bien à la thérapie cognitivo-comportementale classique. Elle vise à traiter des schémas dysfonctionnels développés durant l’enfance ou l’adolescence.

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Q

Comment les schémas sont-ils définis dans la thérapie des schémas ?

A

Un schéma est un modèle ou thème important constitué de souvenirs, d’émotions, de cognitions et de sensations corporelles concernant soi-même et les relations avec les autres, enrichi tout au long de la vie et qui est dysfonctionnel de façon significative.

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3
Q

Quels types de schémas sont abordés dans la thérapie des schémas ?

A

Les schémas sont dysfonctionnels, certains ayant peu de répercussions tandis que d’autres sont plus dominants. Il est conseillé de ne pas les apprendre par cœur, mais de faire des liens avec soi-même.

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4
Q

Quelle est l’approche de Marsha Linehan dans la thérapie dialectique béhaviorale ?

A

Marsha Linehan intègre des éléments de la thérapie cognitivo-comportementale et des pratiques zen, tout en se basant sur les théories béhavioristes. Elle est reconnue pour son intervention auprès des personnes souffrant de trouble de la personnalité borderline.

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5
Q

Comment se déroule une séance de thérapie selon l’approche cognitivo-comportementale ?

A

Les séances se déroulent une fois par semaine, durant 50 minutes. Les 10 minutes entre les patients sont utilisées pour prendre des notes et se préparer pour le prochain rendez-vous.

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6
Q

Pourquoi la durée des séances est-elle de 50 minutes et non d’une heure ?

A

La durée de 50 minutes permet aux psychologues de prendre 10 minutes pour écrire des notes rapides et se préparer mentalement pour le prochain patient.

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7
Q

Quelles pratiques sont ajoutées à la thérapie dialectique béhaviorale ?

A

La thérapie dialectique béhaviorale inclut des pratiques de médiation, de bouddhisme, et se concentre sur le moment présent tout en s’appuyant sur le béhaviorisme.

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8
Q

Quel est l’objectif principal de la thérapie des schémas ?

A

L’objectif principal est d’aider les patients à identifier et à modifier leurs schémas dysfonctionnels qui causent de la détresse et de la souffrance dans leurs relations.

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9
Q

Comment les patients peuvent-ils identifier leurs schémas dominants ?

A

Les patients sont encouragés à faire un sondage et à essayer d’identifier quel schéma est dominant chez eux.

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10
Q

Quelle est l’importance de la thérapie dialectique béhaviorale pour les personnes souffrant de trouble de la personnalité borderline ?

A

La thérapie dialectique béhaviorale est considérée comme l’une des thérapies les plus efficaces pour traiter le trouble de la personnalité borderline.

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11
Q

Décris le style d’une personne expressive dans un contexte thérapeutique.

A

Une personne expressive se permet de sourire, d’avoir des intonations dans la voix et peut froncer les sourcils. Elle est très active dans la rencontre et recherche la collaboration avec son client.

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12
Q

Comment se déroule l’accueil et l’établissement du cadre lors d’une première rencontre ?

A

L’accueil inclut une demande sur les sentiments du patient, normalisant le stress ressenti lors de la première rencontre et montrant une préoccupation pour son bien-être.

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13
Q

Définis l’évaluation cognitive et comportementale dans le cadre d’une thérapie.

A

L’évaluation cognitive et comportementale vise à identifier les comportements adaptés ou non, les pensées dysfonctionnelles, et les émotions difficiles, tout en fournissant une image précise des difficultés du patient.

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14
Q

Comment se déroule la première séance d’évaluation des difficultés personnelles ?

A

La première séance est toujours consacrée à l’évaluation des difficultés personnelles, permettant de comprendre les enjeux spécifiques du patient.

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15
Q

Quelles sont les attentes lors de la première rencontre avec un patient ?

A

Il est important de présenter un plan de match, de montrer nos attentes et d’indiquer clairement que des questions seront posées.

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16
Q

Décris l’importance de l’évaluation continue tout au long de la thérapie.

A

L’évaluation continue permet de vérifier l’efficacité de la thérapie, d’affiner la compréhension des difficultés et d’ajuster le plan de traitement en conséquence.

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17
Q

Comment se manifeste une difficulté dans le cadre d’une évaluation ?

A

Les difficultés se manifestent par des questions sur leur intensité, leur forme, et leur fréquence, souvent à l’aide de questionnaires standardisés.

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18
Q

Quelles sont les politiques à établir lors de l’accueil d’un patient ?

A

Les politiques incluent la fréquence et la durée des rencontres, la politique d’annulation, la gestion des retards et la confidentialité.

19
Q

Définis le rôle de l’empathie dans le processus thérapeutique.

A

L’empathie est essentielle car elle permet au thérapeute de se comporter de manière chaleureuse et de montrer une préoccupation sincère pour le bien-être du patient.

20
Q

Comment un thérapeute peut-il normaliser le stress ressenti par un patient lors de la première rencontre ?

A

Le thérapeute peut normaliser le stress en indiquant que beaucoup de personnes se sentent stressées lors de leur première rencontre.

21
Q

Décrire l’évaluation dans le cadre de la psychothérapie.

A

L’évaluation ne se limite pas aux tests, mais utilise des questionnaires et des outils d’évaluation pour mieux comprendre les difficultés du patient.

22
Q

Comment se déroule la première rencontre en psychothérapie ?

A

La première rencontre permet d’observer l’évolution du patient et de comprendre ses difficultés, s’étendant sur trois rencontres.

23
Q

Définir le rôle des tests projectifs en psychothérapie.

A

Les tests projectifs, comme les tâches d’encre, visent à obtenir des informations indirectes et inconscientes sur le patient.

24
Q

Expliquer l’importance de la transparence dans les TCC.

A

Les TCC sont transparentes, ce qui signifie que le patient sait ce qui est évalué et comment cela se rapporte à son traitement.

25
Q

Comment les objectifs thérapeutiques sont-ils définis ?

A

Les objectifs thérapeutiques doivent être très précis, permettant de visualiser les attentes et de savoir quand la thérapie peut se terminer.

26
Q

Décrire l’alliance thérapeutique.

A

L’alliance thérapeutique consiste à créer un environnement sécurisant et chaleureux où le patient se sent écouté et respecté.

27
Q

Comment la planification des interventions est-elle réalisée ?

A

La planification des interventions implique de réfléchir à la manière de travailler avec le patient et d’établir un plan de match.

28
Q

Définir l’analyse fonctionnelle dans le cadre des TCC.

A

L’analyse fonctionnelle vise à identifier si le patient est pris dans un cercle vicieux, afin de déterminer où commencer le travail thérapeutique.

29
Q

Comment les exercices entre les séances sont-ils perçus ?

A

Les exercices entre les séances sont considérés comme des devoirs que le patient doit accomplir pour progresser dans sa thérapie.

30
Q

Expliquer l’importance de la précision dans les objectifs thérapeutiques.

A

Des objectifs précis permettent d’adapter les interventions et de guider le thérapeute dans le processus de traitement.

31
Q

Décrire les facteurs prédisposants dans le développement des difficultés personnelles.

A

Les facteurs prédisposants sont des éléments qui rendent une personne plus à risque de développer des difficultés dans la vie, comme des expériences d’enfance, des prédispositions génétiques ou des traits de personnalité.

32
Q

Comment les facteurs précipitants influencent-ils la vie d’une personne ?

A

Les facteurs précipitants sont des moments marquants dans la vie d’une personne qui peuvent entraîner une perte d’équilibre et le début de difficultés sérieuses, comme une rupture amoureuse ou un deuil.

33
Q

Définir les facteurs déclencheurs et leur impact sur le comportement.

A

Les facteurs déclencheurs sont des événements actuels qui provoquent des comportements inadaptés et des émotions désagréables, comme l’anxiété, souvent en réponse à des situations non souhaitées.

34
Q

Expliquer le concept de facteurs de maintien dans le contexte des difficultés personnelles.

A

Les facteurs de maintien sont des éléments qui prolongent les symptômes d’une personne, souvent liés à des expériences passées qui renforcent la tristesse ou l’anxiété.

35
Q

Comment les circonstances cumulatives peuvent-elles affecter le bien-être d’une personne ?

A

Les circonstances cumulatives se réfèrent à l’accumulation de difficultés, comme des problèmes financiers, qui peuvent mener à une augmentation des symptômes d’anxiété ou de stress.

36
Q

Décrire l’importance de comprendre les facteurs de risque dans la santé mentale.

A

Comprendre les facteurs de risque, comme les prédispositions et les déclencheurs, est essentiel pour identifier et traiter les difficultés psychologiques d’une personne.

37
Q

Quels sont les exemples de facteurs précipitants qui peuvent causer des difficultés sérieuses ?

A

Des exemples de facteurs précipitants incluent une rupture amoureuse, la perte d’un emploi, un deuil ou même des événements heureux comme une naissance.

38
Q

Comment les expériences passées influencent-elles les difficultés actuelles ?

A

Les expériences passées, comme des traumatismes ou des échecs, peuvent prédisposer une personne à éprouver des difficultés dans le présent.

39
Q

Définir le rôle des émotions désagréables dans le déclenchement des comportements.

A

Les émotions désagréables, souvent déclenchées par des événements actuels, peuvent mener à des comportements inadaptés, comme l’évitement ou l’anxiété.

40
Q

Expliquer comment un gain positif peut maintenir des difficultés personnelles.

A

Un gain positif, même dans des situations difficiles, peut maintenir les symptômes d’une personne en lui permettant de justifier son comportement ou de rester dans une zone de confort.

41
Q

Décris pourquoi cette personne n’aime pas faire l’épicerie.

A

Cette personne n’aime pas faire l’épicerie car elle préfère que quelqu’un d’autre le fasse à sa place.

42
Q

Comment cette personne évite-t-elle les chiens ?

A

Cette personne s’arrange pour ne jamais être en contact avec les chiens.

43
Q

Qu’est-ce qui contribue à maintenir la situation de cette personne concernant l’épicerie ?

A

Ce qui contribue à maintenir la situation, c’est que quelqu’un d’autre fait l’épicerie à sa place.

44
Q

Définis ce que cette personne ressent par rapport à l’épicerie.

A

Cette personne ressent un désagrément à faire l’épicerie.