PTSD Flashcards

1
Q

Décris le processus d’évaluation des symptômes dans le traitement du TSPT.

A
  1. Bien évaluer les symptômes et les facteurs associés.
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Q

Comment doit-on poser des questions lors de l’évaluation d’un événement traumatique ?

A

Privilégier les questions ouvertes pour créer un climat chaleureux et respecter le rythme de la personne.

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3
Q

Quels sont les facteurs prédisposants au développement du TSPT ?

A

Avoir déjà vécu un événement traumatique ou être exposé à un facteur stressant.

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4
Q

Quelles sont les étapes à suivre après avoir évalué les symptômes du TSPT ?

A

Élaborer un plan d’intervention personnalisé.

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5
Q

Comment faciliter la détente et l’apaisement chez une personne souffrant de TSPT ?

A

En intégrant des techniques de relaxation et de gestion du stress dans le traitement.

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6
Q

Quelles sont les caractéristiques d’une personnalité chaîne face à un événement traumatique ?

A

Ces personnes semblent solides et peuvent demander de l’aide, mais elles ont du mal à être vulnérables.

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7
Q

Quel est l’impact d’une personnalité rosaux sur la gestion du stress ?

A

Ces personnes vivent plus d’émotions et sont souvent plus stressées.

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8
Q

Pourquoi est-il important d’éviter les questions fermées lors de l’évaluation d’un événement traumatique ?

A

Les questions fermées ressemblent à un interrogatoire et peuvent nuire à l’établissement d’un climat de confiance.

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9
Q

Comment conclure la démarche psychothérapeutique pour une personne ayant vécu un TSPT ?

A

En favorisant la digestion émotionnelle du traumatisme.

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10
Q

Quel est le risque associé au TSPT s’il n’est pas traité ?

A

Le risque d’aggravation des symptômes et des difficultés à surmonter le traumatisme.

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11
Q

Comment un psychologue doit-il se préparer avant de travailler avec des patients souffrant de TSPT ?

A

Il doit être dans une excellente forme physique et mentale.

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12
Q

Quelles sont les conséquences d’une personnalité qui n’est pas habituée à être vulnérable lors d’un événement traumatique ?

A

Elles peuvent avoir plus de difficultés à surmonter le TSPT et à demander de l’aide.

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13
Q

Quel type de questions peut-on poser pour évaluer le type d’événement traumatique vécu ?

A

Demander simplement de quel type d’événement il s’agit et si la personne a été victime ou témoin.

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14
Q

Pourquoi est-il important de ne pas aller dans les détails lors des premières rencontres avec un patient ?

A

Il n’est pas nécessaire d’avoir une idée précise de l’événement dès le début.

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15
Q

Comment le processus de psychoéducation aide-t-il les patients souffrant de TSPT ?

A

Il leur permet de mieux comprendre leur condition et les symptômes associés.

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16
Q

Quel est le rôle de l’expérience dans le traitement du TSPT par un professionnel ?

A

Le professionnel doit accumuler beaucoup d’expérience avant de traiter des cas de TSPT.

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17
Q

Décrire comment l’environnement influence les émotions.

A

L’émotion varie en fonction de l’environnement, et les personnes capables de demander de l’aide le font régulièrement.

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18
Q

Quels sont les facteurs qui contribuent au maintien du PTSD ?

A

Des éléments comme le soutien d’autres personnes peuvent aider à surmonter le PTSD, tandis que des rappels d’événements traumatisants peuvent nuire.

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19
Q

Définir la comorbidité dans le contexte du PTSD.

A

La comorbidité est fréquente dans le PTSD, avec environ 50% des hommes développant des troubles d’abus et de dépendance aux substances.

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20
Q

Comment élaborer un plan d’intervention personnalisé ?

A

Il est essentiel de travailler en fonction des cibles et des stratégies spécifiques à chaque personne qui consulte.

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21
Q

Expliquer la psychoéducation sur le TSPT.

A

Les symptômes du TSPT sont souvent des réactions normales à des événements anormaux, comme des agressions physiques.

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22
Q

Comment juger ses réactions après un événement traumatisant ?

A

Il est facile, a posteriori, de juger ses réactions et de se demander pourquoi on a agi d’une certaine manière.

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23
Q

Décrire le processus d’analyse des réactions face à des événements anormaux.

A

Analyser ses réactions face à des événements anormaux peut être long et difficile, surtout si l’on n’est pas concentré.

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24
Q

Quelles sont les réactions dissociatives et leur signification ?

A

Les réactions dissociatives ne sont pas des signes de folie, mais un mécanisme de protection de l’organisme face à des émotions intenses.

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25
Q

Comment l’entourage peut-il influencer la perception des victimes ?

A

Il se peut que l’entourage de la victime ait des préjugés qui affectent la manière dont la victime est perçue.

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26
Q

Décrire l’impact des séquelles physiques sur le maintien du PTSD.

A

Les séquelles physiques, comme une cicatrice, peuvent rappeler constamment l’événement traumatisant, rendant le maintien du PTSD plus difficile.

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27
Q

Décris comment l’entourage réagit face à une victime.

A

L’entourage essaie de rassurer en trouvant des différences entre eux et la victime, pour préserver l’idée que cela ne leur arrivera pas.

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28
Q

Comment le processus de gestion émotionnelle aide-t-il une victime ?

A

Il facilite le ressenti des émotions, l’identification et l’appropriation des émotions, l’acceptation et l’expression des émotions.

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29
Q

Quelles sont les étapes pour aider une victime à ressentir ses émotions ?

A

Il faut s’assurer que la victime ressente des émotions, remarquer les manifestations non verbales et établir des liens entre les sensations corporelles et les émotions.

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30
Q

Définis l’importance de l’acceptation des émotions dans le processus thérapeutique.

A

Accepter ses émotions signifie reconnaître qu’on a le droit de se sentir ainsi, ce qui est essentiel pour le processus de guérison.

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31
Q

Comment une personne peut-elle s’approprier ses émotions ?

A

En identifiant ses émotions et en faisant des liens entre ses sensations corporelles et les émotions qu’elle ressent.

32
Q

Pourquoi est-il crucial d’exprimer ses émotions ?

A

Exprimer ses émotions de manière socialement acceptable permet de communiquer ce que l’on ressent à son entourage.

33
Q

Quelles craintes peuvent avoir les victimes concernant l’expression de leurs émotions ?

A

Elles peuvent craindre de devenir violentes ou de devenir elles-mêmes des victimes.

34
Q

Comment le travail en équipe est-il perçu dans le cadre de la thérapie ?

A

Le travail en équipe est essentiel pour faire face aux difficultés ensemble et pour soutenir la victime dans son processus de guérison.

35
Q

Qu’est-ce qui peut se passer si une victime ne ressent pas ses émotions ?

A

Cela peut mener à des épisodes dissociatifs, rendant le processus de guérison plus difficile.

36
Q

Comment un psychologue peut-il aider une victime à reconnaître ses émotions ?

A

En nommant les manifestations non verbales et en posant des questions sur ce qu’elle ressent dans son corps.

37
Q

Décrire une méthode pour exprimer ses émotions.

A

Nommer ses émotions, s’isoler, ou écrire.

38
Q

Comment identifier les pensées associées au TSPT ?

A

En identifiant les pensées et les distorsions cognitives.

39
Q

Expliquer l’exercice de la tarte d’attribution.

A

Il aide à évaluer la responsabilité personnelle et celle des autres dans une situation.

40
Q

Quel est l’objectif de l’exercice de la tarte d’attribution ?

A

Permettre à la personne de ne pas se blâmer de manière excessive.

41
Q

Comment faciliter la détente et l’apaisement ?

A

Par la relaxation musculaire, la respiration diaphragmatique, ou des activités comme marcher.

42
Q

Pourquoi est-il important de cibler la diminution de l’évitement ?

A

L’évitement renforce l’anxiété et rend les situations plus difficiles.

43
Q

Définir l’exposition in vivo.

A

C’est une technique utilisée pour aider les personnes à affronter les situations qu’elles évitent.

44
Q

Comment préparer une hiérarchie d’exposition ?

A

Lister les endroits évités et les décomposer en étapes de difficulté croissante.

45
Q

Quel est le rôle de la hiérarchie d’exposition dans le traitement de l’anxiété ?

A

Elle permet de créer des étapes pour affronter progressivement les situations anxiogènes.

46
Q

Comment la relaxation musculaire contribue-t-elle à la gestion du stress ?

A

Elle aide à relâcher les tensions physiques et à favoriser un état de calme.

47
Q

Décrire une technique de respiration pour apaiser l’anxiété.

A

La respiration diaphragmatique, qui consiste à respirer par le ventre.

48
Q

Pourquoi est-il bénéfique de se détendre régulièrement ?

A

Cela permet d’avoir des moments de pause et de repos dans la journée.

49
Q

Comment les distorsions cognitives affectent-elles les pensées ?

A

Elles peuvent déformer la perception de la réalité et augmenter l’anxiété.

50
Q

Quel est l’impact de l’évitement sur l’anxiété ?

A

Il augmente l’anxiété en rendant les situations plus menaçantes.

51
Q

Définir la responsabilité dans le cadre de l’exercice de la tarte d’attribution.

A

C’est la manière dont une personne évalue sa contribution à un événement.

52
Q

Comment une personne peut-elle réduire son sentiment de culpabilité ?

A

En évaluant de manière réaliste sa part de responsabilité dans une situation.

53
Q

Comment le psychologue doit-il guider le client lors de l’exercice de la tarte d’attribution ?

A

Il doit laisser le client trouver ses propres réponses sans imposer les siennes.

54
Q

Comment la respiration diaphragmatique est-elle pratiquée ?

A

En respirant profondément par le ventre, qui monte et descend.

55
Q

Quel est l’effet de donner un pourcentage de responsabilité dans une situation ?

A

Cela aide le client à réaliser que sa responsabilité est moins grande qu’il ne le pensait.

56
Q

Pourquoi est-il important de ne pas laisser le client dans un échec prolongé ?

A

Pour éviter d’augmenter son anxiété et de créer un sentiment d’impuissance.

57
Q

Comment établir une hiérarchie d’exposition efficace ?

A

En combinant différents éléments pour créer des étapes de difficulté variée.

58
Q

Quel est l’impact de l’anxiété sur le comportement d’évitement ?

A

Elle rend les personnes plus susceptibles d’éviter des situations perçues comme menaçantes.

59
Q

Comment le sport peut-il aider à la détente ?

A

Il permet de libérer des tensions et de se concentrer sur autre chose que l’anxiété.

60
Q

Décrire une stratégie pour aider une personne à retourner dans un endroit évité.

A

Utiliser l’exposition in vivo en décomposant l’expérience en étapes.

61
Q

Décris la première étape que le psychologue accompagne le client dans la hiérarchie.

A

Le psychologue aide le client à se sentir à l’aise avec la première étape de la hiérarchie, en soulignant son courage et en l’encourageant à avancer.

62
Q

Comment le psychologue aide-t-il à réduire l’anxiété lors de l’exposition ?

A

Le psychologue encourage le client à rester dans la situation pendant au moins 45 minutes ou jusqu’à ce que l’anxiété diminue de moitié.

63
Q

Quelles sont les règles de base pour l’exposition à une situation anxiogène ?

A

La règle de base est de rester dans la situation au moins 45 minutes ou jusqu’à ce que l’anxiété diminue de moitié.

64
Q

Comment le psychologue gère-t-il l’évitement cognitif ?

A

Le psychologue accompagne le client pour s’assurer que tout se passe bien et éviter l’évitement cognitif, ce qui empêche une exposition efficace.

65
Q

Définis le processus de retour à une étape précédente dans la hiérarchie.

A

Le client retourne à l’étape où il en est rendu jusqu’à ce que cette étape n’entraîne plus d’anxiété particulière.

66
Q

Comment le psychologue doit-il se préparer à une sortie avec le client ?

A

Le psychologue doit appeler l’endroit à l’avance pour expliquer la situation et prévenir de leur présence.

67
Q

Quelles sont les considérations à prendre en compte si le client rencontre quelqu’un qu’il connaît ?

A

Le client doit éviter de mentionner sa nouvelle relation ou sa thérapie, et cela doit être préparé à l’avance.

68
Q

Comment cibler la diminution de l’évitement ?

A

Il est important de cibler des niveaux de relaxation et de tension pour aider à diminuer l’évitement.

69
Q

Décris les niveaux de tension ou de stress selon l’échelle fournie.

A

Les niveaux vont de l’état de relaxation complète à un stress élevé à extrême, en passant par différents niveaux de tension.

70
Q

Comment le psychologue peut-il encourager le client à passer à la prochaine étape ?

A

Le psychologue encourage le client à essayer la deuxième étape une fois qu’il se sent à l’aise avec la première.

71
Q

Décris le niveau de tension ou de stress extrême.

A

Il est noté comme étant 10, presque intolérable.

72
Q

Comment évaluer le niveau d’anxiété d’une personne ?

A

On peut demander à la personne de situer son niveau d’anxiété sur une grille.

73
Q

Quelles sont les méthodes pour favoriser la digestion émotionnelle du traumatisme ?

A

Les méthodes incluent l’exposition en imagination et la préparation d’un enregistrement audio.

74
Q

Quelles sont les différentes formes d’exposition dans le traitement du traumatisme ?

A

Les formes d’exposition comprennent l’exposition aux sensations, l’exposition in vivo, l’exposition cognitive et l’exposition en imagination.

75
Q

Quand peut-on envisager la fin d’une démarche thérapeutique ?

A

On peut envisager la fin du traitement si les symptômes ont significativement diminué et si le diagnostic de TSPT ne peut plus être posé.

76
Q

Quelles conditions doivent être remplies pour conclure une démarche thérapeutique ?

A

La victime doit pouvoir parler de l’événement traumatique sans détresse, les comportements d’évitement ne doivent plus interférer avec le quotidien, et les distorsions cognitives significatives doivent être modifiées.

77
Q

Existe-t-il des interventions pour diminuer la fréquence et l’intensité des cauchemars ?

A

Oui, il existe des interventions particulières pour cela.