béhaviorale cours 3 Flashcards

1
Q

Décris la situation d’un parent qui voit son enfant sortir de la bassinette.

A

Le parent se dit que l’enfant devrait dormir, ce qui le fait ressentir de la désobéissance.

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2
Q

Comment les émotions diffèrent-elles entre deux parents face à la même situation ?

A

Les émotions diffèrent en fonction des pensées que chaque parent a sur la situation.

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3
Q

Définis la théorie des construits personnels de George Kelly.

A

Cette théorie porte sur la manière personnelle dont nous percevons et comprenons le monde.

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4
Q

Comment les expériences passées influencent-elles nos représentations mentales ?

A

Nos expériences passées nous permettent de construire des représentations mentales qui nous aident à anticiper le futur.

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5
Q

Qu’est-ce que l’individualité dans la théorie des construits personnels ?

A

Chaque personne interprète les choses différemment en raison de ses expériences passées uniques.

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6
Q

Comment s’organisent nos construits mentaux selon la théorie de George Kelly ?

A

Ils s’organisent avec des relations hiérarchiques, certains construits étant centraux et d’autres secondaires.

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7
Q

Décris un exemple de conflit entre deux construits chez deux personnes.

A

Une personne aime les animaux tandis qu’une autre préfère le bacon, ce qui crée un conflit dans leurs valeurs.

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8
Q

Comment Albert Ellis explique-t-il la contribution des gens à leurs propres troubles ?

A

Il affirme que les interprétations que les gens font contribuent à leurs propres troubles et symptômes.

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9
Q

Comment les pensées influencent-elles nos émotions selon le cognitivisme ?

A

Les émotions proviennent de nos pensées, et nous avons le pouvoir de contrôler ces pensées.

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10
Q

Quelles sont les implications de la pensée négative sur nos émotions ?

A

Les pensées négatives deviennent de moins en moins intenses si nous travaillons à les modifier.

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11
Q

Décris la théorie ABC.

A

La théorie ABC se compose d’un événement déclencheur (A), des croyances au sujet de cet événement (B) et des conséquences émotionnelles et comportementales qui en résultent (C).

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12
Q

Comment les croyances irrationnelles influencent-elles les comportements ?

A

Les croyances irrationnelles mènent à des comportements irrationnels, ce qui peut affecter négativement les émotions et les actions d’une personne.

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13
Q

Définis les distorsions cognitives.

A

Les distorsions cognitives sont des erreurs de logique qui affectent la manière dont une personne interprète une situation, souvent conduisant à des conclusions erronées.

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14
Q

Quelles sont les attitudes dysfonctionnelles ?

A

Les attitudes dysfonctionnelles incluent des exigences rigides, la non-acceptation, la dramatisation et le jugement global sur la valeur personnelle.

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15
Q

Comment reconnaître une exigence rigide ?

A

Une exigence rigide se manifeste lorsque l’on pense que ses préférences ou désirs sont des besoins, souvent exprimée par des phrases comme ‘Il faut que…’.

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16
Q

Qu’est-ce que la dramatisation ?

A

La dramatisation est le fait de rendre une situation plus grave ou plus intense qu’elle ne l’est réellement.

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17
Q

Décris le concept de non-acceptation.

A

La non-acceptation se produit lorsqu’une personne refuse d’accepter une situation, par exemple, lorsqu’un patron refuse une demande de congé.

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18
Q

Quelles sont les composantes de la triade ?

A

La triade est composée d’exigences rigides, de non-acceptation et de dramatisation.

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19
Q

Comment évaluer ses croyances irrationnelles ?

A

Pour évaluer ses croyances irrationnelles, il est conseillé de lire chacune des croyances et de se demander si l’on pense qu’elles sont vraies.

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20
Q

Quelles sont les conséquences d’une étiquette globale sur une personne ?

A

Mettre une étiquette globale sur une personne peut conduire à un jugement injuste et à une perception déformée de sa valeur personnelle.

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21
Q

Définis l’objectif de la thérapie dans le contexte des croyances irrationnelles.

A

L’objectif de la thérapie est de modifier les croyances irrationnelles qui mènent à des comportements irrationnels.

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22
Q

Comment les croyances sous-jacentes affectent-elles l’interprétation des situations ?

A

Les croyances sous-jacentes, souvent irréalistes, influencent la manière dont une personne interprète et évalue les situations.

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23
Q

Qu’est-ce qu’une croyance irréaliste majeure ?

A

Une croyance irréaliste majeure est une conviction profondément ancrée qui ne correspond pas à la réalité et qui peut nuire à la perception d’une personne.

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24
Q

Comment les émotions sont-elles liées aux croyances et interprétations ?

A

Les émotions proviennent des croyances et des interprétations que l’on a des situations de la vie.

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25
Q

Décris le processus d’évaluation dans le système de traitement.

A

Le processus d’évaluation implique d’analyser une situation et de déterminer ce qu’elle représente personnellement, souvent en termes de bien ou de mal.

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26
Q

Décrivez la première croyance irrationnelle selon Albert Ellis.

A

Je dois être aimé et approuvé par presque toutes les personnes importantes de ma vie.

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27
Q

Comment Albert Ellis considère-t-il cette croyance ?

A

Il est irréaliste d’attendre que presque tout le monde nous aime et nous approuve.

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28
Q

Quelle est la deuxième croyance irrationnelle mentionnée ?

A

Pour se considérer valable, un être humain doit être parfaitement qualifié, adéquat et accompli en tout temps.

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29
Q

Quelle est la perspective d’Albert Ellis sur cette croyance ?

A

Il est préférable de s’accepter comme une créature imparfaite avec des limites et des imperfections humaines.

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30
Q

Définissez la troisième croyance irrationnelle selon Albert Ellis.

A

Lorsque des personnes se conduisent mal ou sont injustes, il est justifié de les considérer comme des personnes méchantes.

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31
Q

Quelle est la réponse d’Albert Ellis à cette croyance ?

A

Certains actes sont inappropriés, mais ceux qui les posent ne sont pas nécessairement méchants.

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32
Q

Comment Albert Ellis aborde-t-il la quatrième croyance irrationnelle ?

A

Il existe toujours une solution précise et parfaite aux problèmes humains.

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33
Q

Quelle est la vision d’Albert Ellis sur le contrôle des situations ?

A

Notre monde en est un de probabilités et la vie peut être appréciée malgré cela.

34
Q

Décrivez la cinquième croyance irrationnelle selon Albert Ellis.

A

Si quelque chose est ou peut devenir dangereux, on doit s’en préoccuper au plus haut point.

35
Q

Quelle est la perspective d’Albert Ellis sur la préoccupation excessive ?

A

Il est préférable de faire face aux dangers et d’accepter l’inévitable.

36
Q

Quelle est la sixième croyance irrationnelle mentionnée ?

A

C’est terrible et catastrophique lorsque les choses ne vont pas comme on le souhaiterait.

37
Q

Comment Albert Ellis suggère-t-il de gérer les circonstances indésirables ?

A

Il est préférable d’accepter l’inévitable et de ne pas se faire de souci.

38
Q

Définissez la septième croyance irrationnelle selon Albert Ellis.

A

Le monde devrait être honnête et juste.

39
Q

Comment Albert Ellis aborde-t-il la huitième croyance irrationnelle ?

A

Il est plus facile de fuir les difficultés de la vie que d’y faire face.

40
Q

Quelle est la recommandation d’Albert Ellis concernant les responsabilités ?

A

Il est presque toujours préférable de faire rapidement face à ses difficultés.

41
Q

Décrivez la neuvième croyance irrationnelle selon Albert Ellis.

A

Le bonheur humain peut être atteint par l’inertie et l’inaction.

42
Q

Quelle est la perspective d’Albert Ellis sur l’inaction ?

A

Le bonheur ne peut pas être atteint par l’inaction et se laisser vivre passivement.

43
Q

Décris comment les activités créatives influencent le bonheur des êtres humains.

A

Les êtres humains sont généralement plus heureux dans la vie quand ils s’engagent dans des activités auxquelles ils consacrent une bonne partie de leur énergie et de leur créativité.

44
Q

Comment la détresse émotionnelle est-elle perçue selon le texte ?

A

La détresse émotionnelle vient de pressions externes et j’ai peu de pouvoir pour changer mes émotions.

45
Q

Définis la triade cognitive selon Aaron Temkin Beck.

A

La triade cognitive porte sur la dépression et se compose d’une vision négative de soi, du monde/de l’entourage, et du futur/de l’avenir.

46
Q

Comment les croyances inadaptées sont-elles maintenues selon le texte ?

A

Nous avons contribué à maintenir et à accentuer nos croyances inadaptées, et c’est notre responsabilité de les changer dans le présent.

47
Q

Quelles sont les trois visions négatives de la triade cognitive ?

A
  1. Vision négative de soi, 2. Vision négative du monde/de l’entourage, 3. Vision négative du futur/de l’avenir.
48
Q

Comment la personnalisation est-elle définie dans le contexte des erreurs de logique ?

A

La personnalisation consiste à surestimer notre implication dans un événement négatif.

49
Q

Décris le raisonnement émotionnel et donne un exemple.

A

Le raisonnement émotionnel est lorsque l’on s’appuie sur nos émotions comme preuve de quelque chose. Par exemple : ‘Je me sens tellement pas intéressante, donc je ne suis pas intéressante.’

50
Q

Qui est Aaron Temkin Beck et quelle est sa contribution principale ?

A

Aaron Temkin Beck est le fondateur de la thérapie cognitive et a contribué à la compréhension de la dépression à travers la triade cognitive.

51
Q

Comment la vision négative du futur est-elle décrite dans la triade cognitive ?

A

La vision négative du futur se caractérise par l’absence d’espoir et la croyance que rien de bien ne va arriver.

52
Q

Qu’est-ce que les erreurs de logique et comment se distinguent-elles des distorsions cognitives ?

A

Les erreurs de logique, ou distorsions cognitives, peuvent toucher tout le monde, pas seulement les personnes dépressives.

53
Q

Décris l’impact de la biologie et de l’enfance sur les problèmes psychologiques selon le texte.

A

La biologie et l’enfance influencent nos problèmes, mais il est de notre responsabilité de travailler à les changer dans le présent.

54
Q

Comment la vision négative de soi se manifeste-t-elle dans la triade cognitive ?

A

Elle se manifeste par des pensées telles que ‘je suis inutile’, ‘je n’ai pas de talents’, ou ‘je ne suis pas intelligent’.

55
Q

Quelles sont les conséquences des bouleversements émotionnels selon le texte ?

A

Les bouleversements émotionnels et les conséquences néfastes qui en résultent sont causés en grande partie par notre façon de voir les choses.

56
Q

Comment la lecture des pensées d’autrui est-elle définie ?

A

La lecture des pensées d’autrui est une déduction à tort du comportement d’une personne sans évaluer d’autres hypothèses possibles.

57
Q

Décris les généralisations excessives.

A

Les généralisations excessives consistent à tirer des conclusions larges à partir d’une seule expérience ou d’un petit nombre d’événements.

58
Q

Comment la dramatisation affecte-t-elle notre perception des événements ?

A

La dramatisation exagère le danger et les conséquences potentielles d’une situation, rendant les événements plus menaçants qu’ils ne le sont réellement.

59
Q

Définis la disqualification du positif.

A

La disqualification du positif consiste à minimiser ou ignorer les aspects positifs d’une situation, souvent en se disant que les compliments ou les réussites ne sont pas sincères.

60
Q

Comment fonctionne la pensée tout ou rien ?

A

La pensée tout ou rien se caractérise par une vision binaire des situations, où l’on considère que tout est soit parfait, soit complètement raté.

61
Q

Qu’est-ce que l’étiquetage dans le contexte des distorsions cognitives ?

A

L’étiquetage consiste à attribuer une étiquette négative à une personne en fonction d’un comportement spécifique, sans tenir compte des nuances ou des contextes.

62
Q

Décris le modèle cognitif selon Kelly.

A

Le modèle cognitif selon Kelly repose sur l’idée que nos croyances fondamentales, développées durant l’enfance, influencent notre perception du monde et de nous-mêmes.

63
Q

Quelles sont les croyances intermédiaires ?

A

Les croyances intermédiaires sont des hypothèses et des règles que l’on se fixe, souvent de manière inconsciente, influençant nos comportements et nos réactions.

64
Q

Comment les attitudes peuvent-elles influencer nos croyances intermédiaires ?

A

Les attitudes, comme le perfectionnisme, font partie des croyances intermédiaires et peuvent façonner notre manière de penser et d’agir dans diverses situations.

65
Q

Qu’est-ce qu’un processus cognitif ?

A

Un processus cognitif est un mécanisme mental qui influence nos pensées, et peut mener à des erreurs de logique si mal interprété.

66
Q

Définis les événements cognitifs.

A

Les événements cognitifs sont les pensées que nous avons, qui peuvent être automatiques ou influencées par nos croyances et expériences.

67
Q

Comment les erreurs de logique se manifestent-elles dans nos pensées ?

A

Les erreurs de logique se manifestent lorsque nos processus mentaux conduisent à des conclusions incorrectes, souvent sans que nous en soyons conscients.

68
Q

Décris l’impact des distorsions cognitives sur les relations interpersonnelles.

A

Les distorsions cognitives peuvent rendre les relations avec les autres plus difficiles, car elles teintent notre ressenti et notre interprétation des comportements d’autrui.

69
Q

Comment les croyances fondamentales évoluent-elles selon Kelly ?

A

Selon Kelly, les croyances fondamentales évoluent tout au long de notre vie, influençant notre vision du monde et de nous-mêmes.

70
Q

Qu’est-ce qu’une règle dans le contexte des croyances intermédiaires ?

A

Une règle est une exigence rigide que l’on se fixe, souvent basée sur des présomptions, influençant notre comportement et nos attentes.

71
Q

Comment les présomptions influencent-elles nos pensées ?

A

Les présomptions sont des hypothèses que nous formulons, souvent inconsciemment, et qui influencent notre manière de penser et d’agir.

72
Q

Décris ce qui traverse l’esprit dans une situation de stress.

A

Cela peut se présenter comme un flash, souvent involontaire, et peut susciter des émotions ou des comportements.

73
Q

Comment peut-on contrôler ses pensées ?

A

Cela nécessite un effort volontaire, comme choisir ce que l’on mange, par exemple des pâtes.

74
Q

Définis les réactions émotionnelles face à une situation stressante.

A

Elles incluent des symptômes physiologiques, des comportements et des émotions, souvent plus conscientes lorsque l’on fait un effort.

75
Q

Comment les éléments inconscients influencent-ils le conscient ?

A

Ce qui est en haut (inconscient) influence ce qui est en bas (conscient), et en descendant, on s’approche de ce qui est conscient.

76
Q

Qu’est-ce que le système de valeur selon Beck ?

A

Il englobe les schémas et croyances fondamentales ainsi que les croyances intermédiaires, avec une exception pour les attitudes.

77
Q

Quels outils de mesure a contribué Beck à créer et valider ?

A

Il a créé l’inventaire de dépression, l’inventaire d’anxiété, l’échelle de désespoir et l’échelle des idéations suicidaires.

78
Q

Comment se manifeste l’anxiété dans une situation donnée ?

A

On peut se sentir anxieux face à une situation spécifique, ce qui est une réaction consciente.

79
Q

Décris la partie la plus consciente chez les gens.

A

C’est la réaction que l’on a lorsque l’on se retrouve dans une situation difficile.

80
Q

Comment les contre-exemples peuvent-ils aider dans la gestion des pensées ?

A

Ils permettent de remettre en question les pensées automatiques et d’apporter une perspective différente.

81
Q

Qu’est-ce qui est considéré comme la partie la plus inconsciente ?

A

C’est ce qui se trouve en haut de la hiérarchie des pensées, influençant les réactions conscientes.