UE6-item 165-infection à VIH Flashcards
Quelles sont les caractéristiques de la phase de primo infection par le VIH ?
10 à 15 jours après la contamination. Un peu plus de la moitié des sujets présente un tableau sur mon fébrile, polymorphe. La durée médiane est de deux semaines avec une face de réplication virale intense. La variabilité de la présentation clinique est grande (fièvre, syndrome pseudo-grippal, polyadénopathies, pharyngite, éruption maculopapuleuse généralisée, ulcérations génitales et buccales, signes digestifs…)
Quelle est la caractéristique de la phase chronique du VIH ?
Elle peut durer plusieurs années, les risques de contamination du ou des partenaires par réplication virale active. On peut avoir des événements clinique mineurs comme des manifestations cutanéomuqueuses, Des manifestations générale, une diarrhée chronique. Les signes biologiques sont également un constant : leuco- neutropénies, une thrombopénie, une anémie, une hypergammaglobulinémie polyclonale.
Quelles sont les caractéristiques du stade sida ?
Il est définie par un ensemble de pathologies opportuniste majeur, infection ou tumeur. C’est pathologies sont d’autant plus fréquentes que le taux de lymphocytes T CD4 est inférieur à 200 éléments par millimètres cubes. Dans tous les cas un traitement antirétroviral efficace pour une restauration immunitaire est fondamental pour le contrôle de ses maladies.
Un patient qui a été classé au stade sida restera définitivement au stade sida, même si son immunité remonte.
Quelles sont les trois marqueur virologique plasmatique pouvant être utilisée dans la détection du VIH ?
- L’ARN VIH (détectable dès le 10e jour après la contamination)
- L’antigène p 24 du VIH-1 : détectable environ 15 jours après la contamination et persistant une à deux semaines
- L’anticorps anti VIH, détectable moyenne 22 à 26 jours après la contamination.
Comment dépister le VIH ?
Elisa a lecture objective de détection combiné. Si le résultat négatif, on refait le teste en cas d’une exposition datant de moins de 6 semaines. Si le résultat de Élisa est positif, on fait un test de confirmation western Blot sur le même échantillons sanguins. S’il reste positif, il faut valider la positivité du test sur un autre prélèvement sanguin avant de poser le diagnostic de VIH.
Quelles sont les principales infection non-opportunistes du VIH, et quel est leur prévention?
–Les pneumonie bactérienne (Streptococcus pneumoniae, Haemophilus influenzae) : prévention par vaccination antipneumococcique
- les infection digestive (Salmonelle non Typhi, Campylobacter) : pas de prévention spécifique en dehors des règles d’hygiène
- la grippe saisonnière : vaccin anti grippe balle et, le cas échéant, traitement prophylactique postexposition et traitement curatif par des inhibiteurs de la neuraminidase
- les infections sexuellement transmissibles (syphilis, gonocoque, lymphogranulomatose vénérienne rectal, condylomes Ano génital) : prévention, dépistage au décours de toute expression sexuelle est à risque et de façon annuelle, dépistage et traitement des partenaires. Vérifier le statut vis-à-vis des autres IST, hépatite A,B essai en tenant compte des délais de séroconversion. Vaccination anti virus d’hépatite A et virus d’hépatite B chez les hommes homosexuels.
- Coinfection par le virus des hépatites B et C: en cas d’hépatite B: on vaccine contre l’hépatite a six est sérologie hépatite est négative, et on recherche des anticorps anti Delta. En cas d’hépatite C, on vaccine contre l’hépatite a et l’ hépatite B.
Quelles sont les principales infections opportunistes un risque lors d’une infection par le VIH, quel est le seuil de CD quatre à risque, quelles sont les mesures de prévention?
-La tuberculose : pas de seuil, dépistage systématique de l’infection tuberculeuse latente part est immunologique. Traitement des affections tuberculose latente le cas échéant.
-la candidose oesophagienne: CD quatre inférieur à 200 par millimètre cube, aucune prévention recommandé.
-la pneumocystose pulmonaire : le seuil de CD quatre à risque est inférieur à 200, si le tout de CD quatre est inférieur à 200, ou inférieur à 15 % des lymphocytes Totaux : on fait une prévention par cotrimoxazole. En secondaire, jusqu’à normalisation de l’immunité à deux reprises et au moins trois mois d’intervalle : on continue le cotrimoxazole(Ou bien charge indétectable sous antirétroviral depuis plus de trois mois et les CD quatre entre 100 et 200)
–Toxoplasmose cérébrale : Si CD4 Sous 200, si les immunoglobulines G antitoxoplasmique sont positives et que les CD4 sont inférieur à 100 par millimètres cubes : on donne du cotrimoxazole . Dans tous les cas, si les IgG antitoxoplasmique sont positives, on fait un contrôle annuel de la sérologie avec des règles hygiénodiététique. En prévention secondaire, on donne également du cotrimoxazole mais à mi-dose, qui est à poursuivre jusqu’à ce que les CD4 passent au-dessus de la barre des 200 pendant plus de six mois sous antirétroviraux efficace.
-la cryptococcose : seuil de CD quatre inférieur à 100. Pas de prévention primaire, prévention secondaire par fluconazole Peros de durée prolongée.
-Leucoencéphalopathie Multifocale progressive : seuil inférieur à 100, pas de prévention.
-infection à cytomégalovirus : seuil inférieur à 50, en prévention primaire, si la sérologie du cytomégalovirus IgG et positive et que le taux de CD quatre est inférieur à 100 : on surveille le cytomégalovirus régulièrement par PCR et si cette PCR est positive on fait un fond d’œil. En cas de rétinite à cytomégalovirus, on maintient le Valganciclovir jusqu’à ce que les lymphocytes T c’est des quatre soit supérieur à 100 pendant au moins trois mois.
-Mycobactéries atypiques : seuil inférieur à 50. Surveillance clinique et maintien des antirétroviraux pour seule prévention.
Quelles sont les deux paramètres biologiques permettant d’apprécier le stade de l’affection de VIH ?
Le taux de lymphocytes T CD4 qui reflète capital immunitaire, et la charge virale plasmatique VIH qui mesure l’intensité de la réplication virale.
Quelles sont les 5 cancers majoritaires liés au sida ?
-Lymphomes malins non-hodgkinien : Burkitt ou immunoblastique, souvent lié au virus EBV .
-maladie de Kaposi: liés au HHV8
–Cancer du col du terrain : fréquent même si traitement antirétroviral. Il faut faire un frottis cervical annuel, et une coloscopie à la moindre anomalie décelée.
-cancer du canal anal : examen proctologiques annuel chez les patients homosexuels masculins où tout patient avec antécédents de condylomes Ano génital, et les femmes avec dysplasie ou cancer du col de l’uterus
–Les hépato carcinome : souvent co-infection par virus de l’hépatite C ou B ou une cirrhose, dans ce cas on fait une échographie hépatique semestrielle associée à un dosage de l’alpha Feto protéine.
Quel est le but du traitement antirétroviral dans le VIH ?
Restaurer et maintenir un taux de lymphocytes T CD quatre supérieur à 500 par millimètre cube rendant la charge virale plasmatique indétectable (inférieur à 50 copies par millilitres )
Quelles sont les modalités d’un traitement antirétroviral dans le VIH ?
Tous les patients vivant avec le VIH en une indication de traitement quelque soit leur taux de lymphocytes T c’est des quatre. À l’exception des accidents d’exposition au sang, on fait un test génotypique de résistance lors du diagnostic de l’infection par le VIH. On donne ensuite une combinaison de trois molécules antirétrovirales (trithérapie). En première intention, on privilégiera une trithérapie simple en une prise par jour comportant deux inhibiteur nucléosidiques de la transcriptase inverse associé à : soit un inhibiteur non nucléosidiques de la transcriptase, soit un inhibiteur de la protéase, soit un inhibiteur de l’intégrase. Le traitement antirétroviral doit être maintenu à vie.
Quelles sont les principales molécules de la classe des inhibiteur nucléotidiques de la transcriptase inverse ?
Quelles sont les principaux effets secondaires ?
-La zidovudine (cytopenie)
-Lamivudine ou emtricitabine (adaptation à la fonction rénale)
-Abacavir:syndrome d’hyper sensibilité à l’abacavir: HLA B 5701
-ténofovir : néphrotoxicité.
Tous ces traitements ont un effet de troubles digestifs
Quelles sont les autres traitements antirétroviraux disponible et leurs effets indésirables ?
-Inhibiteurs non nucléotidiques de la transcriptase inverse : Névirapine:hépatite cytolytiques (surveillance des transaminases)
Efavirenz : troubles neuropsychologiques. Contre-indication chez la femme enceinte premier trimestre.
Etravirine
Rilpivirine:apprendre cours d’un repas, interaction avec les IPP qui sont contre-indiqué.
Tous les INNTI peuvent donner des racheté un est plus ou moins sévère dans les six premières semaines de traitement. Interaction médicamenteuse nombreuses car indicateurs du cytochrome P450 (Rifampicine, oestroprogestatifs, inhibiteurs de la protéase)
-les inhibiteurs de la protéase :
Atazanavir : hyperbilirubinémie, lithiase rénale, interaction avec les IPP.
Darunavir :Rash cutanée
Lopinavir
Troubles digestifs, troubles métaboliques, hépatite médicamenteuse, induction ou inhibitions enzymatiques : cytochrome P450.
-Inhibiteurs de l’intégrase:
Raltégravir
Dolutégravir
Elvitegravir
Bonne tolérance général, peuvent avoir des interactions induction triste avec des molécules comme la Rifampicine.
-Inhibiteur du corécepteurs CCR5
Maraviroc: interaction médicamenteuse nombreuses
À quelle fréquence faire les examens de contrôle du VIH?
Quels sont-ils ?
Bilan réalisé tous les trois à quatre mois, ou tous les 6 mois si les CDs quatre sont au-dessus de 500 par millimètres cubes.
On Évalue les lymphocytes T CD4 et la charge virale
On évalue des paramètres biologiques : NFS, transaminase, glycémie, créatininémie, bilan lipidique. On évalue l’observance est la tolérance du traitement prescrit.
Quelles sont les vaccinations à mettre en place (VIH) ?
Vaccination antitétanique et antidiphtérique
Vaccination anti hépatite B
Vaccination anti hépatite a : chez les patients à risque d’exposition, si quoi affecté par virus d’hépatite B viens aux hépatite C, en cas d’hépatopathie chronique.
Vaccination antipneumococcique
Vaccination anti-amarile si il voyage en zone d’endémie et s’ils sont immunodéprimés.