UA 1 GA : Introduction aux maladies du système respiratoire Flashcards
Les maladies du système respiratoire peuvent être catégorisées en trois groupes:
1) Les maladies ___ telles que l’asthme, la maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC), les bronchiectasies et les bronchiolites;
2) Les maladies pulmonaires ____ telles que la fibrose pulmonaire idiopathique ou la sarcoidose (atteinte du parenchyme pulmonaire);
3) les affections pulmonaires ____ comme l’embolie pulmonaire et l’hypertension artérielle pulmonaire.
Les maladies du système respiratoire peuvent être catégorisées en trois groupes:
1) Les maladies obstructives telles que l’asthme, la maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC), les bronchiectasies et les bronchiolites;
2) Les maladies pulmonaires restrictives telles que la fibrose pulmonaire idiopathique ou la sarcoidose (atteinte du parenchyme pulmonaire);
3) les affections pulmonaires vasculaires comme l’embolie pulmonaire et l’hypertension artérielle pulmonaire.
Les deux principaux symptômes associés aux maladies respiratoires sont
la dyspnée et la toux.
La toux doit d’abord être classifiée selon sa durée. Lorsqu’elle est de moins de 3 semaines (____), elle pourrait être associée à ____ ou _____ En période ____, la toux peut persister entre 3 et 8 semaines (____). Une toux qui dure plus de 8 semaines (____)
La toux doit d’abord être classifiée selon sa durée. Lorsqu’elle est de moins de 3 semaines (toux aiguë), elle pourrait être associée à un rhume ou à une exacerbation d’une condition préexistante comme l’asthme. En période post-infection des voies respiratoires, la toux peut persister entre 3 et 8 semaines (toux subaiguë). Une toux qui dure plus de 8 semaines (toux chronique)
Signaux d’alarmes associés à la toux
référé à son médecin (signaux d’alarme) si la toux s’accompagne d’hémoptysies (crachats avec filets de sang), de détresse respiratoire (ex: difficulté à compléter des phrases complète à la parole, rythme respiratoire > 30/min, cyanose), ou de douleur thoracique.
Veuillez décrire ce qu’est un crépitant (ou «crackle»)
Bruit respiratoire adventice perçu à l’auscultation pulmonaire, qui ressemble à des petits sons explosifs discontinus (comme une explosion de bulles, crépitations d’un feu, frottements de cheveux entre les doigts, bruit du velcro). On l’entend surtout lors de l’inspiration. Il peut être causé par l’obstruction des voies aériennes de petit calibre (son causé par l’ouverture abrupte des alvéoles). On peut le détecter, par exemple, en présence de pneumonie, de bronchite chronique, ou d’œdème pulmonaire.
Pour chaque son donner :
Description/moment où il est perçu à l’auscultation via stéthoscope
Causes associées
Sibilances
Sifflement/ surtout à l’expiration
Cause : Rétrécissement/obstruction des voies aériennes
Pour chaque son donner :
Description/moment où il est perçu à l’auscultation via stéthoscope
Causes associées
Wheeze
Sifflement qui peut être entendu sans stéthoscope, surtout à l’expiration
Cause : Obstruction des voies aériennes (ex: asthme)
Pour chaque son donner :
Description/moment où il est perçu à l’auscultation via stéthoscope
Causes associées
Rhonchi
Son grave, continu, perçu à l’inspiration et l’expiration
Cause : Sécrétions épaisses dans les poumons (ex: IVRS)
Pour chaque son donner :
Description/moment où il est perçu à l’auscultation via stéthoscope
Causes associées
Stridor
Bruit fort, surtout perçu à l’inspiration. Audible sans auscultation en posant l’oreille près de la bouche.
Cause : Rétrécissement important des grosses voies aériennes (larynx, trachée, bronches principales). Obstruction de la trachée par un aliment.
Pour chaque son donner :
Description/moment où il est perçu à l’auscultation via stéthoscope
Causes associées
Frottement pleural («pleural rub»)
Son rude, craquant, perçu à l’inspiration et à l’expiration. Ressemble au bruit d’une voile claquante d’un bateau.
Cause : Inflammation ou fibroses des membranes pleurales qui frottent l’une sur l’autre (ex: fibrose pulmonaire).
La spirométrie permet tout d’abord de distinguer les maladies pulmonaires obstructives (VEMS/CVF ___) des maladies pulmonaires restrictives (VEMS/CVF ___ et ___)
La spirométrie permet tout d’abord de distinguer les maladies pulmonaires obstructives (VEMS/CVF <70%) des maladies pulmonaires restrictives (VEMS/CVF normal et CVF abaissée)
La CVF est le ____ par la personne (en litres); la valeur normale est de ____ de la valeur prédite. La CVF est généralement ____ en présence de maladie pulmonaire restrictive
La CVF est le volume maximal d’air expiré par la personne (en litres); la valeur normale est de plus de 80% de la valeur prédite. La CVF est généralement abaissée en présence de maladie pulmonaire restrictive
Le VEMS ou ____ (en litres), est le volume d’air expiré dans la première seconde suivant l’inspiration maximale. Cette valeur, dont la normale est de ___ de la valeur prédite, permet de déterminer ____
Le VEMS ou volume expiratoire maximal en une seconde (en litres), est le volume d’air expiré dans la première seconde suivant l’inspiration maximale. Cette valeur, dont la normale est de 80% de la valeur prédite, permet de déterminer la sévérité de l’obstruction des voies aériennes.
Le rapport de spirométrie indique la différence pré et post bronchodilatateur et une amélioration d’au moins ____ indique qu’il y a une réponse significative au bronchodilatateur
Le rapport de spirométrie indique la différence pré et post bronchodilatateur et une amélioration d’au moins 200mL ou 12% indique qu’il y a une réponse significative au bronchodilatateur
Nommer un médicament qui a pour E2 la fibrose pulmonaire + Mécanisme
L’amiodarone.
L’amiodarone est un médicament associé au développement de la fibrose pulmonaire. Cet effet indésirable peut se présenter quelques semaines à quelques années suivant l’instauration du traitement. La présentation clinique comprend la dyspnée, et parfois la toux.
La toxicité pulmonaire induite par l’amiodarone (dose usuelle minimale de 400 mg/jour) est fréquente (10-17%) et sévère (mortelle pour 10% des cas). L’amiodarone possède une demi-vie très longue, et ce médicament et son métabolite actif (N-déséthylamiodarone ou DEA) s’accumulent particulièrement au niveau des poumons et du cœur (concentration tissulaire plus élevée au niveau pulmonaire). Le fonctionnement des cellules suivantes est lésé: macrophages, fibroblastes, cellules endothéliales et pneumocytes de type II
(autres rx possibles : gemcitabine, methotrexate, nitrofurantoin et autres)