Tuto 7-Arthrose et fasciite plantaire Flashcards
Quelles sont les structures osseuses du tarse (seulement nommer)?
Les os du tarses comprenant: 1. Groupe proximal: - Talus - Calcanéum Os intermédiaire: - Naviculaire 2. Groupe distal: - Cuboïdes - Cunéiformes
Métatarsiens
Phalanges
Quelles sont les caractéristiques du talus?
o Os le plus élevé du pied, repose sur le calcanéus.
–> Facettes antérieures et moyennes s’articulent avec les surfaces correspondantes du calcanéus.
o S’articule avec tibia et fibula –> articulation tibiotarsienne/talocrurale (cheville).
–> Face supérieure (trochlée) s’articule avec le tibia inférieur.
–> Face médiale s’articule avec malléole médiale du tibia.
–> Face latérale s’articule avec malléole latérale de la fibula.
• Plus grande et étendue qu’en médial car malléole externe descend plus bas.
o S’articule avec naviculaire en antérieur.
o Facette médiale s’articule avec ligament calcanéo-naviculaire plantaire.
–> Ligament relie le calcanéus à l’os naviculaire sous la tête du talus.
o Repères osseux :
- -> Sulcus tali : sillon au niveau du col du calcanéus. S’élargit fortement à son extrémité latérale.
- -> Facette calcanéenne postérieure : s’articule avec le calcanéus.
- -> Processus latéral du talus : extrémité de la surface latérale du corps du talus qui s’articule avec la partie plus basse de la facette de la fibula.
- -> Facette calcanéenne postérieure : facette concave ovale à la face inférieure du corps du talus.
- -> Processus postérieur du talus : partie postérieure du corps du talus, caractérisé par un tubercule médial et un tubercule latéral délimitant un sillon pour le tendon du long fléchisseur de l’hallux.
Quelles sont les caractéristiques du calcanéus?
o Sous le talus, a un prolongement arrière forme ossature du talon.
- -> Face postérieure du prolongement arrière est divisé en 3 parties :
1) Supérieure : séparée du tendon calcanéen par bourse séreuse.
2) Moyenne : insertion du tendon d’Achille.
3) Inférieure : partie portante du talon en continuité avec tubérosité calcanéenne, couverte par tissus sous-cutané.
o S’articule avec cuboïde en antérieur (bord latéral du pied).
o Repères osseux :
–> Tubérosité calcanéenne : orientée vers l’avant et présente un gros processus médial et un petit latéral séparés par une dépression en V sur la face plantaire.
–> Tubercule calcanéen : à l’extrémité antérieure de la face plantaire, insertion du court ligament plantaire.
–> Trochlée/tubercule des fibulaires : milieu de la face latérale, présente 2 sillons :
• Tendon du court fibulaire chemine dans sillon supérieur.
• Tendon du long fibulaire chemine dans le sillon inférieur.
–> Sustentaculum tali : face inférieure forme un sillon pour le passage du long fléchisseur de l’hallux ; partie supérieure présente surface articulaire moyenne s’articulant avec facette moyenne du talus.
–> Surface talaire articulaire antérieure : s’articule avec facette correspondante de la tête du talus (petite).
–> Surface talaire articulaire postérieure : au milieu de la surface supérieure du calcanéus (grande).
–> Sillon calcanéen : gouttière profonde entre la surface articulaire postérieure et les 2 autres surfaces articulaires qui s’articulent avec la tête.
–> Sinus du tarse : grand intervalle entre les extrémités antérieures du calcanéus et du talus.
• Formé par le sillon calcanéen à la face supérieure du calcanéus et le sulcus tali à la face inférieure du talus.
Quelles sont les caractéristiques des os tarsiens intermédiaires et du groupe distal du tarse (cuboïdes et cunéiformes)?
Os tarsien intermédiaire : naviculaire
• S’articule en arrière avec le talus et en avant avec le groupe distal des os du tarse.
• Tubercule du naviculaire : tubérosité arrondie médiale où s’insère tendon du tibial postérieur.
Groupe distal :
• Cuboïde :
o S’articule en arrière avec calcanéus, en médial avec cunéiforme, en avant avec les 4e et 5e métatarsiens.
o Tendon du long fibulaire passe dans une gouttière profonde sur la face plantaire du cuboïde (en antérieur).
• Cunéiformes (3) : latéral, intermédiaire et médial
o S’articulent entre eux, en arrière avec le naviculaire et en avant avec les 3 métatarsiens médiaux.
Quelles sont les caractéristiques des métatarses et des phalanges du pied?
Métatarsiens :
• 1er est le plus court et le plus épais (gros orteil), 2e est le plus long.
• Chaque méta a une tête (distale), une diaphyse et une base (proximale).
• Tête de chaque méta s’articule avec phalange proximale correspondante.
• Base s’articule avec un ou plusieurs os du groupe distal du tarse.
• Face plantaire de la tête du premier méta s’articule avec 2 os sésamoïdes.
• Côté des bases du 2e au 5e méta s’articulent les uns avec les autres.
• Côté latéral de la base du 5e méta forme une tubérosité où s’insère tendon du court fibulaire.
Phalanges :
• 3 phalanges par orteil (sauf 1er qui en a 2).
• Chaque phalange a une base, une diaphyse et une tête –> tête de la phalange distale = non articulaire, aplatie, forme tubérosité.
• La longueur totale des phalanges est plus courte que la longueur des métatarsiens correspondant
Quelles sont les structures ligamentaires de l’articulation tibiotarsienne?
Ligament médial (collatéral tibial/deltoïde) : comprend 4 parties (origine : malléole médiale).
1. Tibiotalaire antérieure.
→ S’attache à la face médiale du talus.
→ Recouverte par les parties tibio-naviculaire et tibio-calcanéenne.
2. Tibio-naviculaire.
→ S’attache en avant au tubercule du naviculaire et en arrière au bord du ligament calcanéo-naviculaire.
→ Solidarise os naviculaire et sustentaculum tali.
3. Tibio-calcanéenne.
→ S’attache au sustentaculum tali, est + central.
4. Tibiotalaire postérieure.
→ S’attache sur le côté médial du talus et sur le tubercule médial du talus.
- Fonction : Limiter l’éversion a/n des articulations talocrurale, subtalaire et talo-naviculaire
- Des entorses du ligament deltoïdien sont peu communes, en partie à cause de la force du ligament deltoïdien et du blocage osseux de l’éversion par la malléole externe sur le talus
Ligament latéral (ligament collatéral fibulaire/externe) : composé de 3 ligaments distincts.
1. Ligament talo-fibulaire antérieur.
→ S’attache à l’aspect antérieur de la malléole externe et se rend antérieurement et médialement au col du talus
→ Mis sous tension en combinant Inversion (ADD) et FLX plantaire (est aussi le mécanisme de blessure le plus fréquent)
2. Ligament talo-fibulaire postérieur.
→ Origine sur le côté postéro-médial de la malléole externe et s’attache sur le tubercule latéral du talus
→ Sa fonction primaire est de stabiliser le talus dans la mortaise
→ De plus, il limite l’ABD excessive du talus, plus spécifiquement lorsque la cheville est en dorsiflexion
3. Ligament calcanéo fibulaire.
→ Se dirige inférieurement et postérieurement de l’apex de la malléole externe vers la surface latérale du calcanéum (directement en dessous)
→ Ce ligament résiste l’inversion via l’articulation talocrurale et subtalaire
→ Avec le ligament talofibulaire antérieur, il limite l’inversion à travers la majeure partie de l’amplitude sagittale (axe de FD et FP)
À cause de l’incapacité relative de la malléole interne à bloquer le côté médial de la mortaise, la majorité des entorses à la cheville incluent une inversion excessive, impliquant souvent une blessure au ligament collatéral latéral.
Quelles sont les structures ligamentaires de l’articulation subtalaire?
- Formée par la face inférieure du talus (grande facette calcanéenne postérieure) et la face supérieure du calcanéus (facette talaire postérieure).
- Stabilisée par ligaments latéral, postérieur, médial et interosseux talo-calcanéens (dans le sinus du tarse).
Ligaments interosseux talo-calcanéens et cervical
• Les deux ligaments s’attachent directement entre le talus et le calcanéum, et donc procurent la plus grande stabilité non-musculaire de l’articulation subtalaire
• Ces deux larges ligaments se dirigent obliquement dans le sinus du tarse et sont donc difficile à voir (à moins que l’articulation soit disloquée)
• Ligament interosseux talo-calcanéen :
o Deux bandes bien distinctes (antérieure et postérieure) :
o Ces deux bandes prennent origine du sulcus calcanéen et se dirigent supérieurement pour aller s’attacher dans le sulcus du tarse
• Ligament cervical :
o A un arrangement oblique des fibres similaires à celles du ligament interosseux, mais s’attache plus latéralement dans le sulcus calcanéen
o De cette attache, le ligament se dirige supérieurement et médialement pour aller s’attacher à la surface inféro-latérale du cou du talus
• Les ligaments interosseux et cervical limitent les extrêmes de tous les mouvements (plus particulièrement l’inversion)
Quelles sont les structures ligamentaires de l’articulation talo-calcanéo-naviculaire?
Capsule renforcée par :
• En arrière/post : ligament interosseux talo-calcanéen.
• En haut : ligament talo-naviculaire (Unit le col du talus au naviculaire).
• En bas : ligament calcanéo-naviculaire plantaire (ligament spring).
o Large et épais, comble l’espace entre le sustentaculum tali et l’os naviculaire.
o Soutient la tête du talus.
o Participe à la solidité de l’arche médiale du pied.
Partie latérale de l’articulation est renforcée par ligament bifurqué (forme de Y)
- -> Il est attaché à la partie antérieure de la surface supérieure du calcanéus et ses bras se fixent à :
- Face dorsale du cuboïde (calcanéo-cuboïdien)
- Face dorsolatérale de l’os naviculaire (calcanéo-naviculaire)
Quelles sont les structures ligamentaires de l’articulation calcanéo-cuboïdienne?
• Ligament bifurqué.
o Voir articulation talo-calcanéo-naviculaire.
• Long ligament plantaire (le plus long ligament de la plante du pied).
o Face inférieure du calcanéus (entre tubérosité et tubercule antérieur) –> large crête et tubercule à la face inférieure du cuboïde, derrière sillon du tendon du long fibulaire.
o Fibres les plus superficielles s’étendent jusqu’à la base des métatarsiens.
o Ligament solide qui résiste pressions exercées sur l’arc latéral du pied.
• Ligament calcanéo-cuboïdien plantaire (court ligament plantaire).
o Court, large, très solide.
o Tubercule calcanéen antérieur –> face inférieure du cuboïde.
o Aide le long ligament plantaire à résister pression exercée sur l’arche latérale du pied.
Quelles sont les structures ligamentaires des articulations métatarso-phalangiennes et interphalangiennes?
Articulations métatarso-phalangiennes :
Capsules renforcées par :
• Ligaments collatéraux médiaux et latéraux
• Ligaments plantaires –> possèdent sillons sur face inférieure pour passage des tendons longs des orteils.
Articulations interphalangiennes :
• Ligaments collatéraux médiaux et latéraux.
• Ligaments plantaires.
Autres :
• Ligaments métatarsiens transverses profonds (5)
o Unissent têtes des métas et leur permettent d’agir comme une unité fonctionnelle unique –> limite mobilité gros orteil VS pouce.
Fiche gratuite :)
Être capable d’identifier les structures ligamentaires, osseuses et musculaires sur les planches anatomiques
Quelles structures ligamentaires assurent un rôle de support au niveau des arches?
- Calcanéo-naviculaire (spring) ,
- calcanéo-cuboïdien plantaire,
- long ligament plantaire,
- aponévrose plantaire.
Quels muscles assurent un support dynamique aux arches durant la marche?
- Tibial antérieur
- Tibial postérieur
- Long fibulaire
Quels sont les muscles intrinsèques du pied (sur le dos et sur la plante du pied)? (seulement nommer)
Muscles intrinsèques :
Dos du pied :
• Court extenseur des orteils (orteils 2, 3 et 4)
• Court extenseur de l’hallux
Plante du pied : • Première couche : (plus superficielle, directement sous l’aponévrose plantaire) --> principalement S1-S2-S3 o Abducteur de l’hallux o Court fléchisseur des orteils o Abducteur du petit orteil
• 2e couche : (traversée par les tendons du muscle long fléchisseur des orteils
o Carré plantaire
o 4 lombricaux
• 3e couche :
o Court fléchisseur de l’hallux
o ADD de l’hallux
o Court fléchisseur du petit orteil
• 4e couche :
o Interosseux plantaires
o Interosseux dorsaux
Quelle est l’innervation des muscles intrinsèques du pied?
• Tous les muscles intrinsèques du pied sont innervés par les rameaux médial et latéral du nerf tibial, à l’exception de l’extenseur des orteils qui est innervé par le nerf fibulaire profond.
o Les 2 premiers interosseux dorsaux peuvent aussi être partiellement innervés par le nerf fibulaire profond.
Voir tableau sur les origines, insertion, innervation et fonction des muscles intrinsèques du pied…
…
Quels sont les facteurs prédictifs de l’aggravation de la douleur associés à l’évolution de l’arthrose du genou?
Facteurs prédictifs de l’aggravation de la douleur :
• Intensité initiale de la douleur au genou.
• Symptômes bilatéraux aux genoux.
• Symptômes dépressifs.
- Non prédicteurs : sexe.
Quels sont les facteurs prédictifs de détérioration de la fonction physique associés à l’évolution de l’arthrose du genou?
• Caractéristiques du genou :
o Évolution défavorable de l’arthrose radiographique du genou.
o Intensité initiale de la douleur au genou.
o Évolution défavorable de la douleur (détérioration).
o Douleur à la compression de l’articulation fémoro-patellaire.
o Faiblesse des extenseurs du genou.
• Facteurs cliniques : o Faible vitesse de marche. o Plus d’incapacités. o Plus grand nombre de comorbidités. o Mauvaise santé générale.
• Facteurs psychosociaux :
o Faible vitalité.
o Pauvre santé mentale.
o Symptômes dépressifs.
Quels sont les facteurs pronostiques modifiables qui devraient être adressés en traitement?
Certains facteurs de pronostics sont modifiables et devrait être adressés en traitement :
• Faiblesse musculaire des MI –> évolution de la douleur et de la fonction physique pourraient être améliorés avec des exercices de renforcement spécifiques.
- Les symptômes dépressifs : identification et traitement précoce –> impact positif sur l’arthrose au genou.
- Puisque la douleur est un indicateur de la détérioration de la fonction, la prescription de médication contre la douleur est indiquée.
Quelle est la prévalence de la fasciite plantaire?
- Grande prévalence chez les athlètes et non-athlètes.
- Plus rapportée chez les athlètes compétitifs et récréatifs de course longue distance.
- Atteindrait 10% des individus au cours de leur vie ; c’est la blessure plantaire la plus traitée en clinique.
Quelle est la physiopathologie de la fasciite plantaire?
- La fasciite résulte de blessure de stress au fascia plantaire. Est une blessure de surutilisation du fascia.
- Normalement, le fascia plantaire:
• Stabilise et verrouille le pied en supination avant la poussée plantaire et soutient l’arche plantaire
• Est mis en tension
o Lors de la poussée plantaire (push off), alors que les articulations MTPs sont en hyperextension
o En hyperpronation du pied, quand l’arche médiale longitudinale s’affaisse
o Cette pathologie survient donc autant chez les pieds hypermobiles que hypomobiles
• Un manque de flexibilité des gastrocnémiens et soléaires peut être une cause commune –> Surtout si pied « cavus »
• La biomécanique anormale du pied est un facteur contribuant au développement de la fasciite plantaire :
o L’hyperpronation et l’étirement résultant durant la phase d’appui peut mener à la mise en tension des tissus –> si les muscles postérieurs sont raides et qu’ils limitent la dorsiflexion ils peuvent forcer le pied arrière à la pronation ou le médio-dorsal à la dorsiflexion autour de l’axe oblique de l’articulation médio-tarsienne, ce qui ↑ le stress sur le fascia plantaire
Réactions possibles:
• Réaction périostée à l’insertion du fascia plantaire sur le calcanéum résultant en une hémorragie et ultimement en une épine calcanéenne (épine de Lenoir) : Souvent asymptomatique, mais signifie une surutilisation du fascia plantaire
• Augmentation de l’épaisseur du fascia plantaire et altération des propriétés compressives du pad graisseux lors de douleurs plantaires au niveau du talon.
–> Les changements au niveau de l’épaisseur du fascia plantaires sont positivement associés avec les changements au niveau de l’intensité de la douleur chez les individus traités pour une fasciite plantaire.
Quels sont les signes et symptômes de la fasciite plantaire?
- Douleur plantaire médiale au talon.
o Lors des premiers pas après une période d’inactivité.
o Pire après une période de MEC prolongée. - Douleur au talon précipitée par une augmentation récente des activités de MEC.
- Douleur à la palpation de l’insertion proximale du fascia plantaire.
- Tests du tunnel tarsien négatifs. (tapote sur le trajet du nerf)
- Limitation du ROM actif et passif de la talocrurale en dorsiflexion.
- IMC élevé chez les individus non-athlétiques.
- Condition présente à la fois dans les pieds hypermobiles et dans les pieds rigides.
- Diminution de la flexibilité des gastrocnémiens et soléaires (particulièrement avec pieds creux).
- En cas de réaction périostale à l’origine, peut résulter en hémorragie puis en épine calcanéenne.
o Souvent asymptomatique, mais sont signe d’une surcharge du fascia plantaire.
Quels sont les facteurs de risque de la fasciite plantaire?
- (B) Limitation du ROM en dorsiflexion.
- (B) IMC élevé chez les individus non-athlétiques.
- (B) Course et activité de MEC reliée au travail (avec faible absorption de chocs).
- Anomalies biomécaniques du pied :
o Pronation excessive (tension excessive à la phase d’appui).
o Augmentation de hauteur de l’arche plantaire (pied creux). - Tension des muscles postérieurs limitant la dorsiflexion : peuvent forcer l’arrière du pied en pronation ou le mi-pied en dorsiflexion = tension excessive au fascia.
Quel est le pronostic générale et les diagnostics différentiels d’une fasciste plantaire?
Pronostic générale:
- Condition chronique avec des symptômes durant plus d’1 an avant que les patients ne recherchent de traitements.
- Évolution généralement positive, 80% des cas avec de résolution des symptômes dans les 12 mois (2008).
- Dans une étude de cohorte rétrospective impliquant 432 individus diagnostiqués avec une fasciite plantaire chronique, la durée moyenne des symptômes était de 13.3 à 14.1 mois (2014).
Diagnostics différentiels:
• Spondylarthrite – Douleur lombaire référée sous le pied? (Martin et al)
• Atrophie du pad graisseux (Martin et al)
• Fibrome plantaire proximal (Martin et al)
• Névrome de Morton (souvent entre les 3ème et le 4ème métatarses)
• Entorse du spring ligament
• Nerf plantaire latéral