Thème 7: Auto-évaluation - Récupération Flashcards
Comment se nomme le processus qui permet de réactiver une information en mémoire à long terme?
A. L’encodage;
B. La récupération;
C. L’oubli;
D. Le maintien.
Comment se nomme le processus qui permet de réactiver une information en mémoire à long terme?
A. L’encodage;
B. La récupération;
C. L’oubli;
D. Le maintien.
Dans une procédure de rappel indicé, une liste de mots-cibles est présentée au participant afin qu’il les mémorise. Chaque mot-cible est accompagné d’un mot-contexte. Lequel des mots-contextes suivants est fortement associé au mot-cible « bébé »?
A. Livre;
B. Hochet;
C. Fleur;
D. Épée.
Dans une procédure de rappel indicé, une liste de mots-cibles est présentée au participant afin qu’il les mémorise. Chaque mot-cible est accompagné d’un mot-contexte. Lequel des mots-contextes suivants est fortement associé au mot-cible « bébé »?
A. Livre;
B. Hochet;
C. Fleur;
D. Épée.
Dans l’expérience de Thomson et Tulving (1970), les participants doivent mémoriser une liste de mots-cibles accompagnés de mots-contextes faiblement associés. Lors du rappel, l’indice de récupération peut être le mot-contexte ou un mot fortement associé au mot cible. Le pourcentage de rappel correct est :
A. équivalent, quel que soit l’indice; B. supérieur lorsque l’indice est le mot-contexte; C. supérieur lorsque l’indice est un mot fortement associé
Dans l’expérience de Thomson et Tulving (1970), les participants doivent mémoriser une liste de mots-cibles accompagnés de mots-contextes faiblement associés. Lors du rappel, l’indice de récupération peut être le mot-contexte ou un mot fortement associé au mot cible. Le pourcentage de rappel correct est :
A. équivalent, quel que soit l’indice;
B. supérieur lorsque l’indice est le mot-contexte;
C. supérieur lorsque l’indice est un mot fortement associé
Qu’est-ce qui distingue une tâche de rappel libre, une tâche de reconnaissance et une tâche de rappel indicé?
A. Le matériel à retenir;
B. Le temps de présentation du matériel;
C. Le type d’indice guidant la récupération;
D. Le délai entre la présentation et le test de mémorisation
Qu’est-ce qui distingue une tâche de rappel libre, une tâche de reconnaissance et une tâche de rappel indicé?
A. Le matériel à retenir;
B. Le temps de présentation du matériel;
C. Le type d’indice guidant la récupération;
D. Le délai entre la présentation et le test de mémorisation
Morris, Bransford et Franks (1977) ont observé que la performance à un test de reconnaissance de rimes est supérieure pour un groupe ayant effectué une tâche d’orientation phonétique que pour un groupe ayant effectué une tâche d’orientation sémantique. Ce résultat appuie l’hypothèse :
A. de spécificité d’encodage;
B. d’encodage distinctif;
C. de traitement approprié au transfert;
D. de profondeur de traitement.
Morris, Bransford et Franks (1977) ont observé que la performance à un test de reconnaissance de rimes est supérieure pour un groupe ayant effectué une tâche d’orientation phonétique que pour un groupe ayant effectué une tâche d’orientation sémantique. Ce résultat appuie l’hypothèse :
A. de spécificité d’encodage;
B. d’encodage distinctif;
C. de traitement approprié au transfert;
D. de profondeur de traitement.
Qu’est-ce que le traitement approprié au transfert?
A. Un traitement permettant de faire une élaboration relationnelle;
B. Un traitement permettant de faire une élaboration distinctive;
C. Un traitement adapté au test de mémoire utilisé;
D. Un traitement profond.
Qu’est-ce que le traitement approprié au transfert?
A. Un traitement permettant de faire une élaboration relationnelle;
B. Un traitement permettant de faire une élaboration distinctive;
C. Un traitement adapté au test de mémoire utilisé;
D. Un traitement profond.
Dans l’étude de Goodwin et al. (1969), l’encodage et la récupération sont effectués par un individu en état de sobriété ou d’intoxication. Quelle condition produit la plus faible performance?
A. Sobre à l’encodage et sobre à la récupération;
B. Intoxiqué à l’encodage et intoxiqué à la récupération;
C. Sobre à l’encodage et intoxiqué à la récupération;
D. Intoxiqué à l’encodage et sobre à la récupération.
Dans l’étude de Goodwin et al. (1969), l’encodage et la récupération sont effectués par un individu en état de sobriété ou d’intoxication. Quelle condition produit la plus faible performance?
A. Sobre à l’encodage et sobre à la récupération;
B. Intoxiqué à l’encodage et intoxiqué à la récupération;
C. Sobre à l’encodage et intoxiqué à la récupération;
**D. Intoxiqué à l’encodage et sobre à la récupération. **
Dans l’expérience de Reder et Ross (1983), les participants mémorisent une série d’énoncés. Par la suite, des énoncés sont présentés et les participants doivent donner une réponse le plus rapidement possible à leur égard. Dans ce type d’expérience, plus le nombre de faits présentés est élevé :
A. plus il est difficile de juger de la plausibilité d’un énoncé; B. plus la reconnaissance exacte d’un énoncé est rapide; C. plus la reconnaissance exacte d’un énoncé est lente; D. moins il est facile de faire des inférences.
Dans l’expérience de Reder et Ross (1983), les participants mémorisent une série d’énoncés. Par la suite, des énoncés sont présentés et les participants doivent donner une réponse le plus rapidement possible à leur égard. Dans ce type d’expérience, plus le nombre de faits présentés est élevé :
A. plus il est difficile de juger de la plausibilité d’un énoncé;
B. plus la reconnaissance exacte d’un énoncé est rapide;
C. plus la reconnaissance exacte d’un énoncé est lente;
D. moins il est facile de faire des inférences.
Comment s’explique l’oubli en MLT?
A. L’information n’est plus disponible, elle s’est effacée; B. L’information est encore présente, mais elle est inaccessible; C. L’information n’est plus disponible à cause du phénomène d’interférence proactive; D. L’information n’est plus disponible à cause du phénomène d’interférence rétroactive.
Comment s’explique l’oubli en MLT?
A. L’information n’est plus disponible, elle s’est effacée;
B. L’information est encore présente, mais elle est inaccessible;
C. L’information n’est plus disponible à cause du phénomène d’interférence proactive;
D. L’information n’est plus disponible à cause du phénomène d’interférence rétroactive.
Tulving et Psotka (1971) ont demandé aux participants d’apprendre six listes successives de 24 mots appartenant à six catégories. Après chaque liste, un test de rappel libre immédiat était administré. Après la présentation de toutes les listes, les participants étaient soumis à un test de rappel libre sur tous les mots appris. Les indices de catégorie étaient fournis par la suite, lors d’un dernier test de rappel indicé. Quels sont les résultats obtenus?
A. La performance diminue en fonction du nombre de listes interférentes en rappel indicé; B. La performance ne varie pas en fonction du nombre de listes interférentes en rappel indicé; C. Une meilleure performance est obtenue en rappel libre qu’en rappel indicé; D. Une performance équivalente est obtenue en rappel libre et en rappel indicé.
Tulving et Psotka (1971) ont demandé aux participants d’apprendre six listes successives de 24 mots appartenant à six catégories. Après chaque liste, un test de rappel libre immédiat était administré. Après la présentation de toutes les listes, les participants étaient soumis à un test de rappel libre sur tous les mots appris. Les indices de catégorie étaient fournis par la suite, lors d’un dernier test de rappel indicé. Quels sont les résultats obtenus?
A. La performance diminue en fonction du nombre de listes interférentes en rappel indicé;
B. La performance ne varie pas en fonction du nombre de listes interférentes en rappel indicé;
C. Une meilleure performance est obtenue en rappel libre qu’en rappel indicé;
D. Une performance équivalente est obtenue en rappel libre et en rappel indicé.
Lors d’une tâche d’apprentissage incident, laquelle des questions suivantes est la plus susceptible de favoriser un encodage profond du mot « lion »?
A. « Le mot est-il en majuscules? »;
B. « Le mot rime-t-il avec avion? »;
C. « Le mot est-il un nom d’animal? »;
D. « Le mot contient-il une voyelle? ».
Lors d’une tâche d’apprentissage incident, laquelle des questions suivantes est la plus susceptible de favoriser un encodage profond du mot « lion »?
A. « Le mot est-il en majuscules? »;
B. « Le mot rime-t-il avec avion? »;
C. « Le mot est-il un nom d’animal? »;
D. « Le mot contient-il une voyelle? ».