Thème 6: Auto-évaluation - Encodage Flashcards
Une série de 15 mots est présentée au participant. Immédiatement après, le participant doit effectuer le rappel de tous les mots dont il se souvient, sans tenir compte de l’ordre de présentation. Il s’agit d’une tâche de :
A. rappel sériel; B. reconnaissance; C. rappel libre; D. rappel indicé.
Une série de 15 mots est présentée au participant. Immédiatement après, le participant doit effectuer le rappel de tous les mots dont il se souvient, sans tenir compte de l’ordre de présentation. Il s’agit d’une tâche de :
A. rappel sériel; B. reconnaissance; C. **rappel libre** D. rappel indicé.
Dans l’étude de Baddeley et Hitch (1974), les participants devaient effectuer une tâche de rappel libre de 16 mots, tout en conservant en mémoire pour rappel sériel immédiat une charge mnémonique de 0, 3 ou 6 chiffres. Cette étude démontre :
A. que seul l’effet de récence est affecté par une charge mnémonique; B. que seul l’effet de primauté est affecté par une charge mnémonique; C. une diminution de l’effet de récence proportionnelle à l’augmentation de la charge mnémonique; D. que l’effet de récence et de primauté demeurent intacts.
Dans l’étude de Baddeley et Hitch (1974), les participants devaient effectuer une tâche de rappel libre de 16 mots, tout en conservant en mémoire pour rappel sériel immédiat une charge mnémonique de 0, 3 ou 6 chiffres. Cette étude démontre :
A. que seul l’effet de récence est affecté par une charge mnémonique; B. **que seul l’effet de primauté est affecté par une charge mnémonique** ; C. une diminution de l’effet de récence proportionnelle à l’augmentation de la charge mnémonique; D. que l’effet de récence et de primauté demeurent intacts.
Comment appelle-t-on le processus responsable de transférer de l’information de la mémoire à court à la mémoire à long terme?
A. La récupération;
B. L’oubli;
C. L’encodage;
D. Le maintien.
Comment appelle-t-on le processus responsable de transférer de l’information de la mémoire à court à la mémoire à long terme?
A. La récupération; B. L’oubli; **C. L’encodage; ** D. Le maintien.
L’étude de Bower et al. (1969) sur le rôle de l’organisation en mémoire montre que :
A. les mots présentés aléatoirement sont mieux rappelés que les mots présentés selon une structure particulière;
B. les mots présentés selon une structure sont mieux rappelés que les mots présentés aléatoirement;
C. le rappel est équivalent que la liste de mots soit aléatoire ou structurée;
D. l’organisation hiérarchique est la seule structure qui facilite le rappel.
L’étude de Bower et al. (1969) sur le rôle de l’organisation en mémoire montre que :
A. les mots présentés aléatoirement sont mieux rappelés que les mots présentés selon une structure particulière; **B. les mots présentés selon une structure sont mieux rappelés que les mots présentés aléatoirement**; C. le rappel est équivalent que la liste de mots soit aléatoire ou structurée; D. l’organisation hiérarchique est la seule structure qui facilite le rappel.
Selon le modèle d’Atkinson et Shiffrin (1968), l’effet de primauté s’explique par :
A. le transfert des premiers items de la liste en mémoire à long terme; B. la disponibilité des derniers items de la liste en mémoire à court terme; C. le transfert des derniers items de la liste en mémoire à long terme; D. la disponibilité des premiers items de la liste en mémoire à court terme.
Selon le modèle d’Atkinson et Shiffrin (1968), l’effet de primauté s’explique par :
**A. le transfert des premiers items de la liste en mémoire à long terme**; B. la disponibilité des derniers items de la liste en mémoire à court terme; C. le transfert des derniers items de la liste en mémoire à long terme; D. la disponibilité des premiers items de la liste en mémoire à court terme.
Selon le modèle d’Atkinson et Shiffrin (1968), l’effet de récence s’explique par :
A. le transfert des premiers items de la liste en mémoire à long terme; B. la disponibilité des derniers items de la liste en mémoire à court terme; C. le transfert des derniers items de la liste en mémoire à long terme; D. la disponibilité des premiers items de la liste en mémoire à court terme.
Selon le modèle d’Atkinson et Shiffrin (1968), l’effet de récence s’explique par :
A. le transfert des premiers items de la liste en mémoire à long terme; **B. la disponibilité des derniers items de la liste en mémoire à court terme; ** C. le transfert des derniers items de la liste en mémoire à long terme; D. la disponibilité des premiers items de la liste en mémoire à court terme.
Dans une tâche de rappel libre, Glanzer et Cunitz (1966) ont retardé le rappel de 0, 10 ou 30 secondes. Pendant le délai, les participants devaient faire du calcul mental. Lorsque le rappel est différé de 30 secondes, on observe :
A. la disparition de l’effet de primauté et un effet de récence intact; B. un effet de primauté intact et un effet de récence intact; C. la disparition des effets de primauté et de récence; D. la disparition de l’effet de récence et un effet de primauté intact.
Dans une tâche de rappel libre, Glanzer et Cunitz (1966) ont retardé le rappel de 0, 10 ou 30 secondes. Pendant le délai, les participants devaient faire du calcul mental. Lorsque le rappel est différé de 30 secondes, on observe :
A. la disparition de l’effet de primauté et un effet de récence intact; B. un effet de primauté intact et un effet de récence intact; C. la disparition des effets de primauté et de récence; **D. la disparition de l’effet de récence et un effet de primauté intact.**
Afin d’expliquer pourquoi différentes tâches d’orientation ne produisent pas le même effet sur la performance, Craik et Lockhart (1972) ont proposé la théorie des « niveaux de traitement ». Selon cette théorie, la performance dépend :
A. de la quantité de traitement de Type I;
B. de la durée du traitement;
C. de la profondeur de traitement;
D. de l’attention.
Afin d’expliquer pourquoi différentes tâches d’orientation ne produisent pas le même effet sur la performance, Craik et Lockhart (1972) ont proposé la théorie des « niveaux de traitement ». Selon cette théorie, la performance dépend :
A. de la quantité de traitement de Type I; B. de la durée du traitement; **C. de la profondeur de traitement;** D. de l’attention.
On demande à un participant d’exécuter une tâche d’orientation sur les mots d’une liste sans le prévenir qu’il devra rappeler ces mots. Quelle tâche d’orientation permettra un meilleur rappel?
A. Compter le nombre de « e » dans le mot;
B. Indiquer si le mot est en minuscules ou en majuscules;
C. Juger si le mot s’insère dans une phrase;
D. Indiquer si le mot rime avec un autre mot.
On demande à un participant d’exécuter une tâche d’orientation sur les mots d’une liste sans le prévenir qu’il devra rappeler ces mots. Quelle tâche d’orientation permettra un meilleur rappel?
A. Compter le nombre de « e » dans le mot; B. Indiquer si le mot est en minuscules ou en majuscules; **C. Juger si le mot s’insère dans une phrase;** D. Indiquer si le mot rime avec un autre mot.
Les résultats de l’étude de Hyde et Jenkins (1969) sur le rôle de l’intention sur la mémoire suggèrent que :
A. le traitement structural est supérieur au traitement sémantique; B. le traitement sémantique est supérieur au traitement structural; C. le traitement structural et le traitement sémantique sont équivalents; D. le temps passé à encoder l’information est déterminant pour le rappel.
Les résultats de l’étude de Hyde et Jenkins (1969) sur le rôle de l’intention sur la mémoire suggèrent que :
A. le traitement structural est supérieur au traitement sémantique;
B. le traitement sémantique est supérieur au traitement structural;
C. le traitement structural et le traitement sémantique sont équivalents;
D. le temps passé à encoder l’information est déterminant pour le rappel.
Lors d’une tâche d’apprentissage incident, laquelle des questions suivantes est la plus susceptible de favoriser un encodage profond du mot « lion »?
A. « Le mot est-il en majuscules? »;
B. « Le mot rime-t-il avec avion? »;
C. « Le mot est-il un nom d’animal? »;
D. « Le mot contient-il une voyelle? ».
Lors d’une tâche d’apprentissage incident, laquelle des questions suivantes est la plus susceptible de favoriser un encodage profond du mot « lion »?
A. « Le mot est-il en majuscules? »;
B. « Le mot rime-t-il avec avion? »;
C. « Le mot est-il un nom d’animal? »;
D. « Le mot contient-il une voyelle? ».
Lors d’une tâche d’orientation sémantique, le participant doit juger si le mot présenté peut être inséré dans une phrase donnée. Selon le principe d’encodage par élaboration, laquelle des phrases suivantes produirait le meilleur rappel du mot « voiture »?
A. « Il a fait cuire la voiture. »;
B. « La jeune femme ne vit pas la voiture arriver à toute allure lorsqu’elle traversa la rue. »;
C. « Le jeune homme a rapidement cueilli la grosse voiture rouge. »;
D. « La voiture est rouge. ».
Lors d’une tâche d’orientation sémantique, le participant doit juger si le mot présenté peut être inséré dans une phrase donnée. Selon le principe d’encodage par élaboration, laquelle des phrases suivantes produirait le meilleur rappel du mot « voiture »?
A. « Il a fait cuire la voiture. »;
B. « La jeune femme ne vit pas la voiture arriver à toute allure lorsqu’elle traversa la rue. »;
C. « Le jeune homme a rapidement cueilli la grosse voiture rouge. »;
D. « La voiture est rouge. ».
Craik et Tulving (1975) ont voulu vérifier si la qualité de la mémorisation dépend de la durée du traitement ou de sa profondeur. Le traitement superficiel consistait à déterminer si un mot comportait une séquence donnée de voyelles (V) et de consonnes (C). Le traitement profond, d’une durée plus courte, consistait à déterminer si un mot pouvait être inséré dans une phrase. Les résultats montrent que :
A. la performance est équivalente dans les deux conditions;
B. le temps de réponse est équivalent dans les deux conditions;
C. la performance est supérieure dans la condition sémantique;
D. la performance est supérieure dans la condition où le temps de réponse est le plus élevé.
Craik et Tulving (1975) ont voulu vérifier si la qualité de la mémorisation dépend de la durée du traitement ou de sa profondeur. Le traitement superficiel consistait à déterminer si un mot comportait une séquence donnée de voyelles (V) et de consonnes (C). Le traitement profond, d’une durée plus courte, consistait à déterminer si un mot pouvait être inséré dans une phrase. Les résultats montrent que :
A. la performance est équivalente dans les deux conditions;
B. le temps de réponse est équivalent dans les deux conditions;
C. la performance est supérieure dans la condition sémantique;
D. la performance est supérieure dans la condition où le temps de réponse est le plus élevé.
Quel type d’élaboration est favorisé dans chacune des phrases suivantes? (1) Le tigre vit en Inde, alors que le lion vit en Afrique, (2) Le tigre et le lion sont des mammifères carnivores.
A. (1) distinctif et (2) distinctif;
B. (1) relationnel et (2) relationnel;
C. (1) distinctif et (2) relationnel;
D. (1) relationnel et (2) distinctif.
Quel type d’élaboration est favorisé dans chacune des phrases suivantes? (1) Le tigre vit en Inde, alors que le lion vit en Afrique, (2) Le tigre et le lion sont des mammifères carnivores.
A. (1) distinctif et (2) distinctif;
B. (1) relationnel et (2) relationnel;
C. (1) distinctif et (2) relationnel;
D. (1) relationnel et (2) distinctif.
Lorsqu’un item à mémoriser est compatible avec son contexte, les résultats de Craik et Tulving (1975) indiquent que la mémorisation de cet item est meilleure si le contexte présente une complexité élevée que s’il présente une complexité faible. Pourquoi ?
A. Plus d’indices de récupération sont générés lorsque le contexte est complexe;
B. Les indices de récupération sont plus fortement reliés à l’item à mémoriser lorsque le contexte est complexe;
C. Les participants passent plus de temps à traiter les items lorsque le contexte est complexe;
D. La trace mnésique dure plus longtemps lorsque le contexte est complexe.
Lorsqu’un item à mémoriser est compatible avec son contexte, les résultats de Craik et Tulving (1975) indiquent que la mémorisation de cet item est meilleure si le contexte présente une complexité élevée que s’il présente une complexité faible. Pourquoi ?
A. Plus d’indices de récupération sont générés lorsque le contexte est complexe;
B. Les indices de récupération sont plus fortement reliés à l’item à mémoriser lorsque le contexte est complexe;
C. Les participants passent plus de temps à traiter les items lorsque le contexte est complexe;
D. La trace mnésique dure plus longtemps lorsque le contexte est complexe.