Système immunitaire Flashcards
2 types d’immunité
innée
acquise/adaptative
2 types d’immunité adaptative
cellulaire
humorale
différence entre l’immunité adaptative cellulaire et humorale
cellulaire = médié par les lymphocytes T
humorale = médié par les lymphocytes B et les anticorps
avant d’enclencher le système immunitaire innée et adaptatif, quelle est la première protection du corps contre les pathogènes
la peau (barrière étanche)
quelle est la porte d’entrée de la plupart des pathogènes dans le corps
les muqueuses (car la peau constitue une barrière étanche)
barrière mécanique, chimique et microbiologique de la peau
mécanique: jonctions serrées de l’épithélium
chimique : acides gras
microbiologique: flore normale
comment est ce que les acides gras constituent une protection de la peau contre les pathogènes
effet bactéricide (tue les bactéries)
barrière mécanique, chimique et microbiologique de l’intestin
mécanique: jonctions serrées + péristaltisme
chimique: ph acide + enzymes digestives
microbiologique: flore normale
comment est ce que le péristaltisme constitue une protection de l’intestin contre les pathogènes
évacuation des selles contenant des bactéries à éliminer
barrière mécanique, chimique et microbiologique des poumons
mécanique: jonctions serrées + cils
chimique: surfactant
microbiologique: flore normale
comment est ce que les cils constituent une protection des poumons contre les pathogènes
font bouger le mucus contenant des bactéries vers la sortie
barrière mécanique, chimique et microbiologique des yeux/nez/bouche
mécanique: jonctions serrées + larmes/cils
chimique : enzymes des larmes et salive
microbiologique: flore normale
barrière chimique (défense de première ligne) que la peau, l’intestin, les poumons, les yeux, le nez et la bouche ont
défensines et cathélicines (attaquent des agents infectueux)
exemple de bris de barrière mécanique
plaie : peau vulnérable à l’entrée de pathogènes
cils immobiles/ mucus épaix: fibrose kystiqur
exemple de bris de barrière chimique
IPP : inhibiteurs de pompe à proton augmente pH et favorise DACD et salmonelle
exemple de bris de barrière microbiologique
prise d’antibiotique perturbant la flore normale intestinale (DACD) ou vaginale (vaginite à candida)
après avoir franchit les 3 premières barrières (mécanique, chimique et microbiologique), quel est la réponse du corps
le corps attaque le pathogène par le système du complément après sa pénétration dans les tissus
qu’est ce que le système du complément
protéines présentes dans le sang sous forme inactive, qui reconnaissent le pathogène à son entrée dans le corps, s’activent et déclenchent une cascade du complément
de quel type de système immunitaire fait partie le système du complément
innée
ou sont produites les protéines du système du complément
dans le foie
3 conséquences de l’activation de la cascade du complément (protéines activées du complément)
- protéines agissent comme cytokines pro-inflammatoires
- protéines entraine lyse du pathogène
- protéines favorisent phagocytose
qu’est ce qu’un cytokines
protéine (ex: C3a et C5a) agissant comme mode de communication entre les différentes cellules du corps humain (se fixe à un récepteur, puis message autocrine, paracrine ou endocrine)
explique le fonctionnement des cytokines dans le système du complément
lorsque la première protéine se fixe au pathogène et s’active, elle enclenche une cascade du complément
l’activation génère des petits fragments de ces protéines qui se rendent au site du pathogène et déclenche une réaction inflammatoire
2 conséquences de la réaction inflammatoire causée par les cytokines du système du complément
vasodilatation des vaisseaux
augmentation de la perméabilité des vaisseaux
comment est ce que les protéines activées du complément entraine la lyse du pathogène
par la formation du complexe d’attaque membranaire
qu’est ce que le complexe d’attaque membranaire
protéine activée du complément se fixe à la surface du pathogène et créer des trous (lyse) dans sa membrane
comment est ce que le système du complément phagocyte la bactérie
phénomène d’opsonisation
qu’est ce que l’opsonisation (système du complément)
protéines activées du complément se fixe à la surface du pathogène, favorisant sa phagocytose par des cellules du système immunitaire patrouillant les tissus
rend les pathogènes plus apétissants pour le système immunitaire
quelle cellule du système immunitaire reconnait les protéines activées du complément sur la surface du pathogène
macrophages (et autres)
cellule à la base de toutes les cellules du système immunitaire
cellules souches hématopoïétiques pluripotentes
2 lignées de différenciation de la cellule souche hématopoïétique pluripotente
cellule progénitrice myéloïde
cellule progénitrice lymphoïde
où se trouve les cellules progénitrice myéloïde et lymphoïde
dans la moelle osseuse
les cellules progénitrice myéloïdes produisent des cellules de quel système immunitaire
innée
les cellules progénitrice lymphoïdes produisent des cellules de quel système immunitaire
adaptatif
est ce que toutes les cellules du système immunitaire innée sont produite par la lignée myéloïde
non, il y a une cellule (NK) qui est produite par la lignée lymphoïde
décrit la différenciation des macrophages
cellule progénitrice myéloïde se différencie en monocyte dans la circulation sanguine, puis migre vers les tissus pour se différencier en macrophage
lignée myéloïde car fait partie du système immunitaire inné
2 fonctions des macrophages
reconnaissance, ingestion et destruction
déclencher réaction inflammatoire
explique la reconnaissance des pathogènes par les macrophages
les macrophages ne reconnaissent pas clairement les pathogènes, donc elle le classifie selon des patterns via leur récepteurs (catégorise de manière non spécifique)
principe fondamental de la reconnaissance des pathogènes par les macrophages
reconnaissent la différence entre le soi e t le non-soi (grossier)
explique l’ingestion des pathogènes par les macrophages
ingestion par phagocytose (grâce à leur récepteur ayant reconnu le pattern)
explique la destruction des pathogènes par les macrophages
après l’ingestion, le pathogène baigne dans le phagolysosome créer par le macrophage, qui est ensuite dégradé en peptides par des enzymes lysozomales
explique la réaction inflammatoire produite par les macrophages
après avoir reconnu le pattern du pathogène, il envoie des cytokines ayant des actions sur l’endothélium vasculaire
(en parallèle avec la cascade du complément)
3 actions des cytokines sécrétés par les macrophages sur l’endothélium vasculaire
vasodilatation des vaisseaux
augmentation de la perméabilité des vaisseaux
expression de molécules d’adhésion
expliquer la fonction de l’expression de molécules d’adhésion après la sécrétion de cytokines par les macrophages
molécules d’adhésion du côté luminal accroche des cellules du système immunitaire (dans le sang) pour combattre l’infection
cellule du système immunitaire le plus souvent accroché par les molécules d’adhésion sur l’endothélium vasculaire
neutrophiles
lorsque les molécules d’adhésion on accrochés la cellule immunitaire, que se passe il
neutrophile attiré par chimiotaxie vers le site d’infection, puis par diapédèse (déformé) entre dans les tissus
quelle molécule attire les neutrophiles (ou autre cellule immunitaire) capté par les molécules d’adhésion vers le site d’infection
chimiokines
qu’est ce qu’un chimiokine
sorte de cytokine servant à diriger les cellules du système immunitaire par un gradient de concentration
qu’est ce qui sécrète les chimiokines
macrophages
mode d’action des chimiokines
les chimiokines sont abondants près des macrophages et le sont moins plus on s’éloigne
la cellule du système immunitaire (neutrophile) suit la concentration par ces récepteurs pour l’amener où il y en a le plus (donc vers le lieu d’infection)
globule blanc le plus abondant
neutrophile
fonction des neutrophiles (après leur arrivé au site d’infection)
reconnaissance, ingestion, destruction (comme macrophage)
2 manières dont les neutrophiles détruisent des pathogènes
phagocytose (comme macrophage)
relâche granules pour détruire de manière non spécifique
impact du relâchement des granules des neutrophiles sur les tissus
tue de manière non spéécifique, donc formation de pus au lieu d’infection par la grande quantité de mort cellulaire
est ce que le pus est uniquement formé de bactéries
non, il est aussi composé de cellules mortes saines (pus = présence de neutrophiles)
les neutrophiles font partie de quel type de système immunitaire
innée
les neutrophiles font partie de quelle lignée de différenciation
myéloïde
3 types de globules blancs (ou granulocytes)
neutrophiles
éosinophiles
basophiles
4 signes cardinaux d’une réaction inflammatoire
chaleur (VD = + de sang chaud)
rougeur (+ de sang)
oedème/enflure (+ perméable)
douleur
4 manifestations systémiques des cytokines (effet endocrine du messager)
fièvre
baisse d’apétit
douleurs musculaires
augmente production de neutrophiles
est ce qu’une réaction inflammatoire vient automatiquement de pair avec une infection
non! les cellules normales lésées relâchent des signaux de danger, reconnu par les macrophages, qui déclenchent une réaction inflammatoire = rougeur, chaleur, enflure, douleur
(essentiel à la cicatrisation et guérison)
est ce que le système immunitaire attaque un virus de la même manière qu’une bactérie (pathogène)
non
différence entre un virus et une bactérie
virus: pathogènes intracytoplasmiques (se réplique dans le cytoplasme)
bactérie: pathogènes extracytoplasmiques
comment est ce que le corps reconnait et déclenche une réponse immunitaire en présence d’un virus
cellule infectée détecte le virus via ses récepteurs intra-cytoplasmiques et sécrète des cytokines (réaction inflammatoire favorisant la réponse anti-virale)
est ce que les cytokines libérés lors d’une infection bactérienne est la même que pour un virus
non
rôle des cytokines relâché par la cellule infectée d’un virus
envoie un message aux cellules saines adjacentes de se protéger du virus = état anti-viral
qu’implique une cellule en état anti-viral
si un virus parvient à infecter une cellule saine en état anti-viral, il aura de la difficulté à se répliquer (peut même être dégradé)
les cellules NK font partie de quelle système immunitaire
innée
lignée de différenciation des cellules NK
lymphoïde (seule exception)
3 cellules de la lignée lymphoïde
NK
lymphocyte B
lymphocyte T
rôle de la cellule NK
patrouille les cellules du corps et s’assure qu’elles ne sont pas infectées
explique comment la cellule NK « patrouille » les cellules du corps humain
toutes les cellules du corps humain expriment un CMH I
si NK voit une expression normale de CMH I, elle ignore la cellule
si NK voit une expression altérée de CMH I, la cellule est infectée et la cellule NK la voit comme un danger
que fait la cellule NK lorsqu’elle détecte une cellule à CMH I anormal
relâche des granules cytotoxiques = mort de la cellule par apoptose
de quelle lignée proviennent les cellules dendritiques
les deux (lymphoïde et myéloïde)
rôle des cellules dendritiques
reconnaissance, ingestion et destruction
patrouillent les tissus du corps humain et peuvent reconnaitre pathogène, cellules infectée ou endommagée, toxine, etc (comme les macrophages)
différence entre les rôles des macrophages et des cellules dendritiques
macrophage: but premier est de détruire le pathogène + rx inflammatoire
cellule dendritique : but premier est de présenter des antigènes aux lymphocytes T
comment est ce que les cellules dendritiques présentent des antigènes aux lymphocytes T
lorsque le pathogène est ingérer et dégrader en peptides, la cellule dendritique produit des CMH II qui se lient avec les peptides
le complexe créer va être acheminé vers la surface de la cellule dendritique
qu’est ce qu’un antigène
fragment protéique créer par la dégradation du pathogène dans les phagolysosomes présenté sur un CMH II
quelles cellules sont capables d’exprimer un antigène (peptide + CMH II)
cellules dendritiques
macrophages
lymphocytes B
quelles cellules sont capables d’exprimer un CMH I
toutes les cellules
quand est ce que les cellules dendritiques expriment des CMH I
lorsque leur cytoplasme contient un virus
que fait une cellule lorsqu’elle est infectée par un virus ou ingèrent une cellule contenant un virus
le virus dans le cytoplasme est dégradé en fragments, puis présenté à la surface avec un CMH I
quels peptides sont présentés avec des CMH de type I? et de type II?
CMH I : peptides intracellulaires (cytoplasme)
CMH II : peptides extracellulaires (phagolysosome)
puisque la plupart des virus n’infectent pas les cellules dendritiques, comment est ce qu’elle peut détruire l’infection
présentation croisée
qu’est ce que la présentation croisée
quand cellule dendritique ingère cellule infectée par un virus, puis extrait les particules virales de la cellule vers son cytoplasme pour l’acheminé avec CMH I à sa surface
est ce que tout ce que la cellule dendritique ingère déclenche une réaction immunitaire
non, c’est lorsqu’elle reconnait un pattern pathogénique
quand une cellule dendritique ingère un pathogène, qu’exprime-elle à la surface (2)
antigène + CMH
molécule de co-stimulation
après avoir exprimé une molécule de co-stimulation, que fait la cellule dendritique
migre par le réseau lymphatique vers un ganglion proche
pourquoi est ce que la cellule dendritique quitte le site d’infection pour se rendre au ganglion le plus proche en présence d’un pathogène
car c’est dans les ganglions que se retrouve les lymphocytes T spécifique à l’antigène qu’elle présente
autre nom pour la cellule dendritique
CPA (cellule présentatrice d’antigène)
la CPA fait le lien entre…
système immunitaire innée et adaptatif
que se passe il lors de la rencontre entre la cellule dendritique et le lymphocyte T (système immunitaire adaptatif cellulaire)
- récepteur du lymphocyte T spécifique à l’antigène reconnait le complexe CMH du CPA
- le lien récepteur - CMH fournit le premier signal d’activation du lymphocyte T
- la molécule de co-stimulation fournit un deuxième signal d’activation
est ce que le lymphocyte T à besoin des 2 signals
oui
lignée de différenciation des lymphocytes
lymphoïde
qu’est ce que les lymphocytes T expriment à leur surface
des récepteurs (tous identiques) qui sont spécifique pour un antigène
qu’implique le fait que les récepteurs sur un lymphocyte T ne sont capable de reconnaitre qu’un antigène spécifique
besoin d’un grand nombre et d’une grande diversité
comment est ce que les lymphocytes T se diversifient
réarrangement aléatoire de l’ADN (séquence codant pour le récepteur de lymphocyte T)
problème avec le réarrangement aléatoire de l’ADN pour la diversité des lymphocytes T
possibilité de produire des lympocytes T avec des récepteurs reconnaissant des antigènes du soi (donc pas dangereux)
comment détruire les lymphocytes T contre les antigènes autoréactifs (du soi)
dans le thymus
est ce que les lymphocytes T sont stockés dans le thymus?
non, après leur passage dans le thymus, il vont dans la circulation sanguine et sont en constante recirculation avec les ganglions et la rate (à la recherche de leur antigène)
qu’est ce que le concept d’activation polyclonale
la diversité des antigènes pour un même pathogène (1 pathogène = plusieurs fragments d’antigènes), plusieurs lymphocytes T différents seront activés par un même pathogène
vrai ou faux: les lymphocytes T ont la capacité de reconnaitre un antigène uniquement s’il est accompagné d’un CMH
vrai
que déclenche les 2 signaux envoyé par la cellule dendritique après que le lymphocyte T ai reconnu l’antigène
le clonage de plusieurs autres lymphocytes T spécifiques au même antigène
pourquoi est ce qu’un ganglion gonffle lorsque nous avons une infection
à cause du clonage des lymphocytes T après l’activation du premier
2 types de lymphocytes T
lymphocyte T helper (TH)
lymphocyte T cytotoxique
autre nom pour lymphocyte T helper
CD4
autre nom pour lymphocyte T cytotoxique
CD8
différence majeure entre lymphocyte T CD4 et CD8
CD4 (helper) : reconnait les CMH II (pathogènes ingérés)
CD8 (cytotoxique) : reconnait les CMH 1 (pathogènes intracytoplasmiques)
est ce que les cellules dendritiques sont les seules capables d’activer les lymphocytes T
oui, car les cellules dendritiques sont les seules qui migrent dans les ganglions, et donc les seules pouvant les activer
après que les lymphocytes T sont activés, les lymphocytes B et les macrophages peuvent aussi exprimer des CMH II et jouer le rôle de CPA
quels sont les signaux qui activent les lymphocytes T helper (CD4)
1: signal entre récepteur et antigène + CMH II
2: signal de cellule de co-stimulation
3: signal via des cytokines produites par la cellule dendritique
quel est le message envoyé par les cytokines produites par les cellules dendritiques vers le lymphocyte CD4
3e signal: différentiation (dépend du pathogène à combattre)
4 différentiations possibles des lymphocytes T CD4 (helper)
TH1
TH2
TH17
TFH
rôle des TH1
aide le macrophage (digestion des pathogènes)
rôle des TH2
aide à recruter des éosinophiles (contre les parasites)
rôle des TH17
aide à recruter des neutrophiles
rôle des TFH
aide les lymphocytes B à produire des anticorps
que font les CD4 après leur différentiation
migrent vers le site infecté pour aller aider
comment migre les lymphocytes CD4 activés vers le site d’infection
à l’aide d’un gradient chimiotaxine produit par des chimiokines (même manière que les neutrophiles, molécules d’adhésions) via la circulation sanguine
est ce que les CD4 différentié, arrivé sur le site d’infection, sont activées avant de reconnaitre leur antigène spécifique
non, ils arrivent sur le site inactif, puis lorsqu’ils ont besoin de revoir leur antigène pour être activé de nouveau (antigène + CMH II par macrophage ou cellule dendritique)
différence entre l’activation des lymphocytes T dans les ganglions VS au site d’infection
ganglion : besoin absolument du deuxième signal
site d’infection: besoin uniquement du premier signal (beaucoup plus rapide)
mode d’action du TH1
- TH1 reconnait antigène + CMH II d’un macrophage = activé
- TH1 produit des cytokines activatrices qui stimulent les macrophages
mode d’action du TH2
- TH1 s’active (reconnait antigène + CMH II)
- TH1 produit des cytokines qui recrutent de éosinophiles
quand est ce que les TH2 sont particulièrement utile
réactions allergiques
parasites
mode d’action du TH17
produit des cytokines qui recrutent des neutrophiles et des nouveaux macrophages
comment est ce que les lymphocytes T CD8 sont activés
signal 1: lien entre récepteur du CD8 et complexe antigène + CMH I
signal 2: molécule de co-stimulation
fonction des lymphocytes T cytotoxiques (CD8)
détruire les cellules infectés par des pathogènes intra-cytoplasmiques (virus)
est ce que les lymphocytes T cytotoxiques intéragissent avec toutes les cellules
oui (car toutes les cellules expriment des CMH I)
est ce que les lymphocytes T helper intéragissent avec toutes les cellules
non, uniquement les cellules dendritiques, les macrophages et les lymphocytes B
mode d’action des lymphocytes T CD8
sonde les CMH1 à la recherche de l’antigène correspondant (un peu comme NK)
quels lymphocytes T sont les plus utiles pour combattre des infections virales
CD8 (cytotoxiques)
différence entre le lymphocyte T CD8 et la cellule NK
CD8 : cherche son antigène (même si cellule est saine ou pas)
NK: ne cherche pas l’antigène, mais cherche à savoir si l’expression du CMH I globale est normale (ignore même si peptide viral à sa surface)
comment est ce que les lymphocytes T CD8 détruisent les cellules exprimant l’antigène
synapse immunologique: membrane épouse la cellule visée et les granules cytotoxiques libérées uniquement dans la synapse, ce qui envoie un signal d’apoptose à la cellule infectée
quelle cellule immunitaire est plus précise dans sa libération de granules entre les neutrophiles et les lymphocytes T CD8
CD8, à cause de la synapse immunologique
suite à l’apoptose d’une cellule infectée par un lymphocyte T CD8, est ce que le virus est éradié
non, l’apoptose de la cellule libère le virus dans le milieu extracellulaire
qu’est ce qui neutralise les virus dans le milieu extracellulaire après la lyse d’une cellule infectée
les anticorps
qu’est ce qu’un anticorps
molécules effectrices de l’immunité humorale qui s’attaquent au pathogènes
3 manières d’attaque des anticorps
neutralisation
opsonisation
activation du complément
qu’est ce que la neutralisation d’un pathogène par un anticorps
pathogène est encercler par les anticorps et devient incapable d’attaquer le corps humain
qu’est ce que l’opsonisation d’un pathogène par un anticorps
fixation des anticorps à la surface d’un pathogène pour favoriser leur phagocytose par les cellules du système immunitaire inné (macrophages)
vrai ou faux: les anticorps sont moins spécifiques que les lymphocytes T
faux, les anticorps reconnaissent des antigènes très spécifiques
qu’est ce qui produit les anticorps
lymphocytes B
différence entre les récepteurs des lymphocytes T et B
lymphocytes T: récepteurs normaux
lymphocytes B: récepteurs sont en fait des anticorps liés à la membrane cellulaire
vrai ou faux: les lymphocytes B ont besoin d’autant de diversité que les lymphocytes T
vrai
comment est ce que les lymphocytes B produisent des anticorps
sécrétion des récepteurs lorsque les lymphocytes B sont activés
est ce que les lymphocytes B sont aussi produit aléatoirement par réarrangement de l’ADN (comme lymphocyte T)
oui
ou s’éffectue l’élimination des lymphocytes B reconnaissant les antigènes du soi
moelle osseuse
(contrairement aux lymphocytes T = thymus)
après leur maturation dans la moelle osseuse, ou vont les lymphocytes B
comme les lymphocytes T, ils vont dans le circulation sanguine, puis recircule vers les ganglions et la rate (système lymphatique)
différence entre la reconnaissance des antigènes par les lymphocytes T et B
T: antigène doit être lié à un CPA (CMH) pour être reconnu
B: antigène n’a pas besoin d’être lié à un CPA pour être reconnu (peut flotter dans le liquide environnant)
pourquoi est-il utile que les lymphocytes B n’ont pas besoin de CPA
lymphe contenant des débris de pathogènes libre migre dans les ganglions peuvent être détruits par les lympocytes B
est ce que les lymphocytes B ont, comme les lymphocytes T, une activation polyclonale (plusieurs lymphocytes B activés par un même pathogène)
oui
comment est ce que les lymphocytes B sont activés
signal 1: liaision entre antigène et récepteur (anticorps)
signal 2: provient de l’aide d’un lymphocyte T helper
explique comment les lymphocytes T helper aident les lymphocytes B à s’activer
le lymphocyte B ingère l’antigène qui se retrouve dans un phagolysosome
puisque l’antigène provient de l’extérieur, il est lié à un CMH II, ce qui fait en sorte qu’il puisse être reconnu par des lymphocytes T helper
que fait T helper pour aider les lymphocytes B à détruire l’antigène
l’encourage à proliférer et créer des anticorps
où est ce que les lymphocytes B font la rencontre avec leur antigène spécifique
dans les ganglions
où est ce que les cellules T helper intéragissent avec les lymphocytes B pour aider
dans les ganglions
combien d’isotypes d’anticorps existe il
5
qu’est ce que l’isotype de l’anticorps
partie de l’anticorps (queue) qui détermine sa fonction
qu’est ce qui est plus variable entre la partie qui confère la fonction et celle qui confère la spécificité de l’anticorps
spécificité
qu’est ce qu’un lymphocyte B naif
pas encore activé par son antigène
après l’activation du lymphocyte B naif par le signal d’un lymphocyte T helper, que fait le lymphocyte B actif
prolifère et sécrète des anticorps de type IgM (le premier, car plus facile puisqu’on en a déjà)
qu’exprime à leur surface les lymphocytes B naif
IgD
IgM
vrai ou faux: les IgD ont un rôle dans la défense contre les pathogènes
faux! aucun rôle
qu’on tendance à faire les IgM après avoir été sécrété par le lymphocyte B actif
former des pentamères utile dans l’activation du complément
comment est ce que les IgM forment des autres immunoglobulines
par commutation isotypique
isotypes formées à partir des IgM
IgA
IgE
IgG
qu’est ce qui stimule la sécrétion des IgM et la commutation isotypique
cytokines
quelle est la sorte d’immunoglobuline la plus utile pour se défendre contre les infections et pourquoi
IgG
car leur production perdure pendant plusieurs années, même toute une vie (contrairement au IgM)
quel est le seul anticorps transmettable au foetus
IgG (bébé surtout protéger par les IgG de sa mère avant de former plus tardivement les siens)
rôle principal des IgA
protéger les muqueuses (se retrouve très peu dans le sang)
différence entre IgE et les autres immunoglobulines
incapable de neutralisation, opsonisation ou activation du complément
ou se retrouve la plupart des IgE
fixé à la surface des mastocytes et basophiles
rôle principal des IgE
défense contre parasite
réactions allergiques
qu’est ce qui arrive aux clones lymphocytes T et B lorsque l’agent pathogène est éliminé
vont mourir par manque de stimulation (car plus d’antigène)
qu’est ce qui arrive aux lymphocytes T et B restant qui ne sont pas mort par manque de stimulation après la disparition d’un agent pathogène
ils deviennent des lymphocytes mémoires (agrandissement du pool de lymphocytes mémoire)
fonction des lymphocytes mémoires
si le corps humain rencontre le même pathogène à nouveau, ils peuvent être activés plus rapidement
pourquoi est ce que l’activation des lymphocytes mémoires est plus rapide
car ils n’ont pas besoin du deuxième (lymphocyte T helper)
pourquoi est ce qu’avant une première infection, ça prend environ 5 jours avant de détecter une prolifération de lymphocytes
car l’activation du système immunitaire innée doit contenir une infection avant l’activation du système immunitaire adaptatif
qu’est ce qu’un plasmocyte
lymphocyte B mémoire non stimulée qui sécrète continuellement des anticorps IgG pour prévenir une réinfection (arrête de produire des IgM au profit des IgG produit pendant des années)
quelle avancée thérapeutique permet d’exploiter le concept de mémoire immunologique humorale
vaccination (nous exposer à l’agent infectieux, d’abord rendu non pathogène, pour stimuler une réponse immunologique protectrice
4 étapes de la réponse immunitaire à la vaccination
- rend agent microbien inoffensif (virus ou bactérie)
- adjuvent parfois nécessaire pour activer système immunitaire inné
- induit réponse immunitaire adaptative (production d’anticorps IgG contre l’agent)
- anticorps IgG agissent pour neutraliser l’agent infectueux
qu’est ce qu’un vaccin vivant atténué
administre, sans adjuvent, un microbe capable de proliférer dans l’organisme, mais incapable de causer une infection (sauf en déficience immunitaire)
qu’est ce qu’un vaccin inactivé
administre, avec un adjuvent, un microbe incapable de proliférer dans l’organisme, et incapable de causer une infection (dans tout les cas)
qu’est ce qu’un vaccin en sous unité
administre, avec un adjuvent, des morceaux du microbe
qu’est ce qu’un vaccin à ARN messager
administre, sans adjuvant, un ARN messager envoyant un signal de danger à la cellule hôte, lui disant de transcrire des protéines de l’agent infectueux et donc induisant une réponse immunitaire adaptative
avantage des vaccins ARN messager vs protéiques
production plus rapide à plus grande échelle
pourquoi est ce que les vaccins à ARN messager n’ont pas besoin d’adjuvent
car l’ARN messager est un adjuvent en soi
qu’est ce qu’un vaccin vecteur
administre un virus modifié (incapable de se reproduire et contient une séquence ADN codant pour la protéine contre laquelle on veut construire une immunité), qui transcrit l’ARN messager en protéine pour déclencher une réponse immunitaire
qu’est ce qu’un vaccin en sous-unités polysaccharides
administre une bactérie recouverte d’un polysaccharide et non d’une protéine
différence entre un vaccin protéique et polysaccharide
protéique: microbe recouvert de protéine peut être présenté sur un CMH
polysaccharide : microbe recouvert de polysaccharide ne peut pas être présenté sur un CMH
quelle est l’enjeu d’un vaccin polysaccharide
puisqu’il ne peut pas se lié à un CMH, alors il ne peut pas être présenté sur un lymphocyte B et induire un signal par un lymphocyte T helper pour s’activer, donc ne produira pas d’IgG
puisque les vaccins polysaccharides ne produisent pas d’IgG, comment agissent ils sur l’immunité humorale
ils sont des antigènes T-indépendant, c’est à dire qu’ils procurent eux même un 2e signal au lymphocyte B pour l’activer
groupe d’âge ne pouvant pas bénéficier d’un vaccin polysaccharide et pourquoi
enfants sous l’âge de 2 ans on des lymphocytes B immatures
qu’est ce qu’un vaccin conjugué
administre un fragment microbien protéique conjugué avec un fragment microbien polysaccharide pour stimuler une réponse immunitaire T-dépendante contre un polysaccharide
mode d’action d’un vaccin conjugué (4)
- lymphocyte B reconnait la partie polysaccharide
- lymphocyte B ingère le complexe
- lymphocyte B présente la protéine à un lymphocyte TFH
- TFH aide lymphocyte B à produire des anticorps contre la partie polysaccharide
4 catégories de substances étrangères pouvant causer une réaction allergique à l’hôte
aliments
hyménoptère (venin abeille + guêpe)
aéroallergènes
médicaments
qu’est ce que la tolérance aux substances étrangères pouvant causé des allergies
réponse normale (empêche une réponse nocive, processus actif et non passif)
2 facteurs ayant un impact sur la tolérance à des substances étrangères
génétique
environnement
qu’est ce qui médie la réaction immunitaire normale à une substance étrangère (tolérance)
lymphocytes T régulateur, soit des lymphocytes T ayant reçu uniquement 1 signal au lieu de 2, donc incapable d’être réactivé par un autre antigène
rôle des lymphocytes T régulateur dans la réaction immunitaire des allergies
évite l’activation de d’autres lymphocytes T en présence d’une substance inoffensive en envoyant des cytokines aux cellules voisines
principal facteur environnemental expliquand les allergies
meilleure hygiène qu’avant, donc influence flore normale microbiologique
étapes de la phase de sensibilisation à un allergène
- substance étrangère inoffensive active de manière anormale le système immunitaire
- création de lymphocytes T et B contre la protéine spécifique
- lymphocytes B produit des anticorps IgE (commutation isotypique) contre la protéine
- IgE se fixent aux mastocytes du corps (présent dans tous les tissus)
étape de la réaction allergique
- prochaine fois que le corps rencontre cet antigène, les protéines vont se fixer sur les IgE et activer les mastocytes
- relargage rapide de plusieurs médiateurs vont déclencher une réaction anaphylactique
les maladies auto-immunes sont une réaction immunitaire anormale contre…
les protéines du soi
différence entre une immunodéficience primaire et secondaire
primaire: résulte d’un problème intrinsèque (génétique)
secondaire: résulte d’un élément extérieur qui perturbe le fonctionnement du système immunitaire normal