Souvenirs du trauma Flashcards

1
Q

Qu’est-ce que le PTSD ?

A

Une pathologie mentale définie par un élément externe à la personne qui est le trauma

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2
Q

Avant le traumatisme n’avait pas de cause externe mais le DSM a introduit un message fort lequel ?

A

On peut souffrir de pathologie mentale avec une cause externe environnementale qui est le trauma

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3
Q

Quelles sont les symptômes du DSM 4 TR et ceux du DSM 5?

A

Une série de symptômes sont restés les mêmes mais ils sont regroupés différemment grâce a des analyses

DSM4-TR: réminiscence, évitement et hyperarousal

DSM5: réminiscence, évitement, dysphonie et hyperarousal

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4
Q

La caractéristique principal de réminiscence est lié à quoi?

A

Mémoire autobiographique du traumatisme (flash-back et cauchemars)

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5
Q

Le PTSD Peut aussi être considéré comme quoi ?

A

Comme une forme d’anxiété mais c’est une anxiété bizarre

Ex : Si on voit un serpent on a une réaction donc c’était fort ce qui est adaptatif car ça exprime une tendance à l’action qui est en lien avec la réponse de suite

Mais l’anxiété s’exprime pas en situation du traumatisme ( Memoire de menace? ) mais elle s’exprime après l’évocation du flash-back

C’est les mêmes canaux neurovégétatifs qui produisent la réponse donc cité de fruits du servant sauf qu’il n’y a pas vraiment de serpent

Cette réaction à Luminy sens du danger comme si j’y étais n’est pas lié à une psychose mais c’est lié à un souvenir du traumatisme qui se resynthetise ici sans adresse temporelle et spatiale pour que j’ai l’impression de le revivre

=> Nowness ( il revient à autres endroit)

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6
Q

Le PTSD produit perturbation de quoi?

A

Processus mnésiques

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7
Q

On a 2 lignées de données sur le trauma :

Lesquels ?

A

On a flash-back et intrusions sans contrôle de conscience :

Donc on pourrait dire que le trauma a une sur mémorisation du trauma par rapport aux citoyens normal donc une partie des chercheurs affirme la => sur mémorisation

D’autre part données venant de police : fragmentation de la mémoire déclarative pour trauma :

Quand on demande aux gens ce qui s’est passé le récit autobiographique narratif sont confus -> comment se fait-il alors qu’il sur mémorise et qu’ils sont pas capables de réciter ce qui s’est passé ?

=> donc il y a une sous mémorisation

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8
Q

Qu’est-ce qu’un flash-back ? (2)

A

Des souvenirs intrusif non désirée et difficilement contrôlable

Une représentation perceptive souvent visuel, proprioceptif etc (+ que verbale) qui inclut des réactions physiques comme la douleur la sensation de froid les nausées etc.

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9
Q

Qu’y a-t-il comme processus de récupération dans le flash-back?

A

Des processus de récupération involontaire inattendu automatique associative)

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10
Q

Quelle mémoire est associé au flash-back?

A

La mémoire associative -> indice de récupération souvent un conscient

On va d’un indice au générique: Concordance entre l’indice de récupération avec les informations proprioceptives de bas niveau qui concorde car elle a été encodé au moment du traumatisme et qui donc trouve une voix vers la conscience

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11
Q

Le flash-back est vécu quand ?

A

Vécu au présent : nowness:

C’est un souvenir qui est associé un élément visuospatiale perceptive etc. et qui aura aussi attaché beaucoup d’informations émotionnels

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12
Q

Le flash-back a une forte charge de quoi ?

A

Émotionnel corporelle perceptive (resynthese du traumatisme dans l’ici et maintenant)

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13
Q

Il y a 2 processus mnésiques qui explique quoi ?

A
  • Souvenirs autobio courant

- Flashback

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14
Q

Controverse théorique :

Quelle idée de Brewin?

A

Il disait qu’on doit considérer un système avec plusieurs couches qui fait du traitement d’informations pertinentes pour notre survie et des traits des informations autobiographique

=> Double représentation mnésique du trauma

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15
Q

Controverse théorique : que disait Rubin et Berntsen?

A

Ils disent que ce n’est pas possible qu’on soit doté de deux systèmes de mémoire car ce n’est pas écologique donc il postule qu’il y a un seul système qui traite l’information chargé émotionnellement et non chargé émotionnellement tant visuospatial et verbale

=> Les souvenirs du traumatisme sont issus des mêmes systèmes mnésiques que les souvenirs courant

Entre les deux: il y a une variation du degré d’accessibilité à la conscience et du processus de récupération volontaire versus involontaire

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16
Q

Explique le modèle de Brewin de double représentation

A

Systèmes cérébraux de contrôle de réponse de peur

On a 2 voies : cortical et sous cortical

Input sensoriel -> cortex -> hippocampe ( cortical)

( VN: voie nerveuse inhibitrice)

Input sensoriel -> amygdala -> réponse de peur

L’input passer par les 2 : hippo : encodé lentement vs amygdale : encodé rapide

Dans les situations chargé émotionnellement il y a une sur mémorisation de la voix sous corticale et peu de mémorisation de la voix corticale

-> donc : Surmemorisation sur amygdale donc grosse confusion quand on parle de récit narratif du trauma

Ev trauma: On a une sécrétion d’hormones de stress par exemple il a été montré que ses réactions vont défavorablement interférer avec l’encodage dans hippocampe mais vont accentuer l’encodage sur l’amygdale

17
Q

Dans le modèle de Brewin: que permet la voix inhibitrice ?

A

+ on arrive à rencoder nos souvenir du traumatisme en modalité verbale et + on a de chances d’inhiber l’information contenue dans l’amygdale qui s’exprime souviens de flash

18
Q

Brewin a postulé 2 sys de mem :

Lesquelles ?

A

La mémoire accessible situationnellement ( SAM) => flash-back

La mémoire accessible verbalement ( VAM)=> narration du trauma/ histoire

19
Q

À quel voie correspond le SAM?

A

Voie amygdale :

Elle est rapide est à une faible discrimination des objets un faible encodage contextuelle spatio-temporelles et active la peur

20
Q

A quoi correspond le VAM?

A

A la voie hippocampique :

Elle est lente et discriminent bien les objets et en code le contexte temporel et spatiale ( peut être utilisé pour augmenter ou diminuer peur)

21
Q

Explique le SAM (3)

A

Les peurs créer des représentations non hippocampiques qui reste isolé des autres informations

La récupération est un volontaire est activé par un indice de récupération

Mémoire associative => Flash-back

22
Q

Explique le VAM (4)

A

Pas répétition ces informations se consolide dans les souvenirs en mémoire autobiographique

La mémoire est favorisée par un niveau modéré d’activation mais entraver par un fort niveau d’activation

La récupération est volontaire

La mémoire explicite sentiment de soi prise de conscience et communication sociale

23
Q

Exp : souvenirs courants ( autobio)vs souvenirs intrusifs (flashback)

Pop: 57 patients veterans de guerre PTSD

Méthode :

  • Narration écrite du trauma -> peut introduire flashbacks
  • identification paragraphe correspondant à flash-back
  • analyse du contenu

Quel résultat ?

A

On voit les différences attendues toutes les caractéristiques sensorimotrices sont plutôt sauf le gout en faveur de la période où ils reconnaissent qu’ils ont flash-back

Pour les émotions les émotions primaires en lien avec les récits Sont mis en lien avec des flash-back alors que les émotions secondaires c’est avec les souvenirs courant

24
Q

Exp : Traitement des informations Péri traumatique et développement des images

Induction état dissociation lors du visionnement d’un film stressant

Pop: 51 sujets attribués aléatoirement à une condition :

  • Dissociation
  • Tapping (visuo spatiale)
  • controle

On peut utiliser la compétence de dissociation comme paradigme d’induction de ce qu’on pense être une diminution d’encodage verbal

VD : intrusions ( journal : 1 semaine)

Quel résultat ?

A

Les informations sont mal encodé lors du traumatisme en verbale : on a une protection qui est la réponse de dissociation :

=> on dissocie et + on fait ça plus on rentre dans notre petit monde et on se rend même pas compte des fois ( quand trop fortes émotions)

La dissociation Péri traumatique arrive aussi souvent chez des personnes qui interviennent lors du traumatise comme des policiers c’est comme si ils construisent des murs = dissociation qui est utile pour rester fonctionnel dans la situation

La dissociation Péri traumatique = donc un facteur de protection et de risque pour un PTSD ( a long terme = pas bien)

Donc il a dissociation peut se rigidifier dans des pathologies comme des troubles de la personnalité

Ce qui se passe en trauma: les gens bloquent l’encodage corticale hippocampiques et verbale alors que l’encodage au niveau amygdalien sous corticale reste intact

=>ce faisant les informations sont encodé + sous la forme corticale avec des détails de représentation visuelle spatiale et on aura + de flash-back du stimulus par rapport au groupe qui n’aura pas de dissociation

A contrario :vu que les informations visuospatiale nécessitent des ressources visuospatiale,si on sature les compétences visuospatiale alors on aura - d’encodage visuospatiale

Faire une double tache visuospatiale : On diminue les chances que la personne encore des informations amygdaliennes qui par la suite entraîne des flash-back

=> ça permet de diminuer les flash-back et donc le risque d’avoir un PTSD

25
Q

Explique le modèle de mem de travail de Baddeley

A

Calepin visuo spatiale : coordination imagerie mentale et effectuer tache visuospatial

Administrateur central: système exécutif permettant partage de attention et des ressources cognitives, prises de décision relative au transfert dans MLT des infos traitées

Boucle phono: auto répétition mentale

26
Q

Explique de la MDT au modèle de double représentation du trauma

A

Ev trauma=>

Boucle phono : pensées automatiques, rumination, émotions décor aires

Administrateur central : analyse du sens

Calepin visuo spatiale : flash-back, intrusions, cauchemars, émotions primaires

Tout ça amènent à :

Contenu conscient (souvenir autobiographique définition le soi)

Ex: Biais de récupération, biais d’interprétation: le monde est un endroit dangereux ; je suis une victime; je ne peux pas me défendre

27
Q

Explique le modèle de double représentation du trauma

Avec le VAM- SAM

A

Trauma stimuli =>

VAM —> rumination, pensées, émotions primaires et secondaires

Analyse du sens

SAM —> flash-back, soulagement, émotions primaires

Tout ça amène à

Contenu de conscience

Il y a activation du VAM ou SAMpour faire en sorte qu’il y ait -d’intrusion on peut donc entraver le fonctionnement de la où l’autre on peut manipuler le nombre d’images intrusés

28
Q

Exp: Quelles sont les hypothèses avec le système VAM et SAM avec conditions de

  • Dissociation lors du film stressant :Information du film dissociées, fragments sensoriel - verbale et intégré,absence de contexte
  • Visuospatiale Tapping task lors du film stressant: Compétition pour les ressources visuospatial du SAM,informations du film- visuospatial, + verbal

?

A

La dissociation intervient sur la compétence à encoder sur la voie hippocampiques

=> donc elle inhibe : - bon encodage au niveau du VAM mais laisse le SAM intacte et donc avec la contrainte sur le VAM a pas encoder, on devrait avoir plus d’image intrusives

Si on fait la double tâche : le VAM : encodage de haut niveau en profondeur verbale reste intact, ce n’est pas perturbé par le Tapping comme tache

mais le Sam ; la mémoire de travail visuel spatial est saturé donc l’encodage se fait moins bien au niveau amygdalien donc - d’intrusion

29
Q

Exp: Hypothèse SAM- VAM

Procédure :

Tous les sujets passe un test de dissociation : ceux qui ont réussi sont repartie en 3 groupes :

Conditions 1: 0 tache

Condition 2: dissociation

Condition 3: tache visuo spatiale

Le 1 et 2 en même temps que film =>

Journal + follow up

Pdt film: point au centre Et la consigne est de ne pas regarder le film et se concentrer sur le point: Ça diminue au niveau de l’encodage en profondeur qui nous donne accès à +
d’association verbale

Tache verbale : tache de Corsi

Quel résultat?

A

Il y a une dissociation par rapport au contrôle et surtout quand on fait le visuospatiale :

ça diminue les intrusions comme le disait le modèle de Brewin

30
Q

Exp:

On postule qu’il n’est pas nécessaire de faire une tache visuospatial pendant l’encodage d’événement traumatique mais on peut la faire après 6h pour autant que c’est dans la période de consolidation de l’encodage et ça diminuerait les flashbacks

Pop non clinique de 30 ans :

Film

Conditions :

  • Tetris (visuospatial)
  • no task
  • condition verbal avec questions

Quel résultat?

Quel pb?

A

Il y a une baisse significative de flash-back alors que le traitement verbal augmente le nombre de feed-back

Pb: dans la vraie vie lorsqu’il y a un traumatisme,on ne peut pas directement jouer au Tetris après un tremblement de terre par exemple !!!

31
Q

Exp : On reapplique ce paradigme de Tetris dans le processus de mémoire de consolidation

Étude analogue longitudinale avec une double tâche Visuospatiale lors de la phase de reconsolidation mnesique

1) Film ( scène de mort)
2) On check etat émotionnel
3) On laisse 24h passe le temps que consolidation se fait pdt sommeil ( journal de intrusions 1 )
4) Randomisation:

  • groups 1: réactivation mnésique , tache de remplissage ( filler)+ Tetris
  • groups 2: filler, rien

5) 7 jours passent ( journal d’intrusions 7)
6) intrusions provocation task (IPT) - tache de reconnaissance

Quel résultat ?

A

Après 7 jours de journal: La réactivation de souvenirs traumatiques et le Tetris ont eut une diminution forte par rapport au contrôle au niveau des intrusions dans le journal 7 et la tache IPT

32
Q

Re consolidation mnésique : Tetris et/ou reviviscence du souvenir trauma ?

On refait le paradigme du Tetris:

Conditions:

  • control
  • réactivation + Tetris
  • Tetris
  • réactivation

Quel résultat ?

Donc qui a raison?

A

C’est pas jouer au Tetris, c’est pas se rexposer au traumatisme

=> c’est le fait de s’exposer, se réactiver le souvenir et en même temps de le reencodé différemment avec une saturation de compétences vision spatiale

Donc : Brewin a raison : il y a 1 sys pour trauma et 1 pour le reste

33
Q

Attention: les souvenirs autobiographique intrusifs sont spécial mais pas si spécial que ça:

Ils ne sont pas si spécial pour qu’il soit expliqué en terme de leur propre système
mnesique ou en terme de système de mémoire qui leur appartient seulement

On observe les images intrusives dans autres choses aussi et pas que PTSD: lesquels ?

A
  • Toc
  • Tb panique
  • Dépression
  • TCA (Tb alimentaire)
  • Schizophrenie
  • Tb bipolaire
  • Tout un chacun sans patho! ( souvenirs intrusifs + et - )
34
Q

Les souvenirs autobiographique involontaire diffèrent des volontaires seulement par quoi ? (3)

Mais Qeski est pareil ?

A
  • La manière avec laquelle ils ont accès à la conscience (intrusives versus délibéré)
  • Leur processus de récupération mnesiques (involontaire versus volontaire) processus de récupération différent qui varie en terme de leur efficacité à activer certains types de souvenirs (variations de continu,qualité etc.)
  • Mais même processus d’encodage et de stockage ( effets mnésiques généraux comparable effet de l’âge effet de la répétition effet de l’émotion etc.)

=> On a plus de chance de récupérer des souvenirs chargé émotionnellement que dans des situations moins importantes où il y avait pas trop de détails à encoder et moins chargé émotionnellement

35
Q

Quels sont les effets mnésiques généraux ?

Souvenirs involontaires et volontaires (5)

A
    • de souvenirs événements récents
    • de souvenirs événement répétés (favorisé encodage et restitution in fine)
  • peu de souvenirs avant les premiers cinq ans de vie (amnésie enfantine)
  • > 40 ans, nombreuses souvenirs positifs d’adolescence- jeunes adultes (réminiscence Bump)
  • prédominance souvenirs d’événement chargé émotionnellement ; événement positif

=> On a une réminiscence span chez l’adulte on a des tranches de vie dans laquelle on a beaucoup de souvenirs et d’autres tranches de vie dans laquelle on a - de

+ de souvenirs positifs à l’adolescence car on a un biais de positivité et donc on rappellera des choses positifs mieux que négatif

36
Q

Exp: Souvenir involontaire et volontaire en fonction de l’âge de la personne au moment de l’événement

Quel résultat ?

A

On a + de souvenirs involontaire à l’adolescence surtout à 17 ans

(et à 7 ans aussi)

37
Q

Exp: Souvenir un volontaire en fonction de leur caractère émotionnel

A

+ les gens avance en âge et + les gens diminue en images intrusives positive et augmente en images intrusives négative de 30 à 50 ans

Chez gens non cliniques : haute fréquence de flash-back + que -

Donc : même choses que souvenirs verbales

38
Q

Même si il n’y a aucune raison particulière pour penser qu’il y a deux processus mnésique distincts

Brewin Dit que les flash-back ont pas une voix particulière alors pourquoi les images intrusives sont plus fréquentes chez les personnes présentant des troubles émotionnels ?

A

Une personne souffrant d’un trouble émotionnel reste prisonnière d’un cercle vicieux où les images intrusives sont induite par des émotions induites par un bais cognitif induit par un indice de récupération

39
Q

Explique les mécanismes des cercles vicieux (5)

A
  • Attention sélective vers la menace -> focalisation préférentiel vers les indices associées aux souvenirs émotionnels (peur, anxiété)
  • Évaluation cognitive -> biais négatif d’interprétation, ce qui augmente l’induction d’émotions négatives et la probabilité de récupérer en mémoire d’autres événements négatifs qui sont associés
  • Évitement -> effet paradoxal ( effet Wegner: on fait suppression de pensée mais selon peut vrm les supprimer ? Non ou à court terme -> + on essaie de supprimer, + on y pense)
  • Style cognitif ex: sur-généralisation d’un schéma pessimiste à partir d’un seul événement négatif, sous évaluation compétences de Copping etc.
  • Croyance sur soi biaisé m: ex: sentiment de sur-responsabilité pour ce qui s’est produit de sorte à créer des liens associatif avec des événements négatifs passé