Semaine 5 : Hypotension/Désordres acido-basiques/Douleur/œdème unilatéral aux membres inférieurs/IR Flashcards
Décrire : Pré-choc (2)
- État de choc compensé
- Les mécanismes de vasoconstriction périphérique et de tachycardie, entre autres, permettent de subvenir temporairement
Nommez : Les différentes classes étiologiques de choc (4)
- Hypovolémique
- Cardiogénique
- Distributif
- septique
- anaphylactique
- neurogénique
- Obstrutif
- Endocrinien
Décrire : Choc hypovolémique (2)
- Plus fréquent
- Survient lorsque baisse importante VCE
Décrire : Choc cardiogénique (2)
- Incapacité du coeur à assurer un débit d’éjection adéquat
- Causé par un dommage cardiaque : IDM, valvulo, arythmie, cardiomyopathie
Décrire : Choc distributif (2)
- choc “pseu-hypovolémique” par vasodilatation pathologique
- 3 types : septique, anaphylactique, neurogénique
Décrire : Choc septique (1)
- Causé par une infection systémique majeure menant à une vasodilatation périphérique importante et à l’hypotension
Décrire : Choc anaphylactique (2)
- Causé par une libération systémique d’histamine suite à une exposition à un allergène
- menant à une hausse de perméabilité capillaire avec hypotension secondaire
Décrire : Choc neurogénique (2)
- Causé par un traumatisme médullaire, menant à une eprte de fonctions regulatrices du SNA en-dessous du niveau de traumatisme, avec dilatation incontrôlée des vaisseaux périphériques et hypotension
- choc neurogénique doit être écarté en l’absence de traumatisme
Décrire : Choc obstructif (2)
- Obstruction ou aciton extra-myocardique, mais qui empêche tout de même le coeur à assurer un débit optimal; peut évoluer vers l’arrêt cardiaque
- Multiples causes : EP massive, épanchement péricardique avec tamponnade, pneumothorax sous-tension avec compression ventriculaire et IC secondaire, sténose aortique sévère
Nommez les choc endocrinien (3)
- Choc myxoedémateux (Hypothyroïdie sévère) -> choc cardiogénique
- Thyrotoxicose/Tempête thyroïdienne -> Choc caridogénique
- Choc addisonien (Inssuf. surrénalienne aiguë) -> Choc distributif
Décrire la présentation clinique d’un état de choc (8)
- Fréquent
- Léthargie,confusion et somnolence
- Pâleur : mains et pied, de même que les lobes de l’oreille, le nez ou les ongles.
- Aussi: Froids, moites et souvent cyanosés
- Refil capillaire allongé et peau grisâtre, brunâtre ou moite (sauf en cas de choc distributif)
- Possible transpiration importante
- Pouls périphériques faibles et généralement rapides
- Souvent, seuls les pouls fémoraux ou carotidiens sont palpables
- Possible tachypnée et hyperventilation
- TA tend à être basse (systolique < 90 mmHg) ou non mesurable
- la mesure directe de la tension par cathéterintra-artériel,si elle est pratiquée,donne souvent des valeurs plus élevées et plus précises
- La diurèse est diminuée.
Décrire présentation : Choc distributif (3)
- Entraîne des symptômes comparables, mais
- La peau peut apparaître chaude ou rouge,en particulier en cas de sepsis
- Le pouls peut être bondissant plutôt que faible.
- Dans un choc septique
- Fièvre précédée de frissons
- Certains patients en état de choc anaphylactique présentent une urticaire ou un wheezing.
Comment faire le dx du choc (4)
- Le diagnostic est surtout clinique fondé sur
- les signes de perfusion tissulaire insuffisante (obnubilation,oligurie,cyanose périphérique)
- les signes témoignant de mécanismes compensatoires (tachycardie,tachypnée,transpiration)
- Critères spécifiques
- Les examens de laboratoire (pour étayer le diagnostic)
- Récemment, la mesure de la PCO2 sublinguale a été introduite comme une mesure non invasive et rapide de la gravité du choc.
Nommez : Critères spécifiques pour choc (5)
- Obnubilation
- Fréquence cardiaque>100
- Fréquence respiratoire>22
- Hypotension (TA systolique < 90mm Hg) ou une baisse de 30 mmHg par rapport à la TA de base
- Diurèse <0,5 mL/kg/h
Décrire : Une embolie pulmonaire suffisamment grave pour produire un choc (2)
- Entraîne généralement une saturationen O2 diminuée
- Se produit plus souvent dans des contextes particuliers
- L’alitement prolongé et après une intervention chirurgicale
Nommez les examens pour une embolie pulmonaire suffisamment grave pour produire un choc (7)
- ECG
- Dosage de la troponine I
- Rx thorax
- Dosage des GSA
- Scintigraphie pulmonaire
- TDM hélicoïdale
- Échocardiographie
Décrire présentation clinique de cette cause sous-jacente de choc : IDM, dissection aortique ou embolie pulmonaire (1)
Une douleur thoracique (avec ou sans dyspnée)
Décrire présentation clinique de cette cause sous-jacente de choc : Rupture du septum interventriculaire ou une insuffisance mitrale aiguë due à un IDM (1)
Un souffle systolique
Décrire présentation clinique de cette cause sous-jacente de choc : Régurgitation aortique due à une dissection aortique impliquant la racine de l’aorte (1)
Un souffle diastolique
Décrire présentation clinique de cette cause sous-jacente de choc : Tamponnade cardiaque (3)
- Turgescence des jugulaires
- Assourdissement des bruits du cœur
- Pouls paradoxal
Décrire présentation clinique de cette cause sous-jacente de choc : Pancréatite, Rupture d’anévrisme aortique abdominal, Péritonite, Grossesse ectopique rompue (2)
- Des douleurs abdominales ou dorsales
- Abdomen douloureux
Décrire présentation clinique de cette cause sous-jacente de choc : Pancréatite, Rupture d’anévrisme aortique abdominal, Péritonite, Rupture d’anévrisme aortique abdominal (1)
Une masse pulsatile de la ligne médiane
Décrire présentation clinique de cette cause sous-jacente de choc : Grossesse extra-utérine (1)
Masse annexielle douloureuse
Le bilan pour une grossesse extra-utérine comprend habituellement quoi? (4)
- TDM abdominale (si le patient est instable, une échographie au lit peut être utile)
- NFS
- Amylase et une lipase
- Chez la femme en âge de procréeràtest urinaire de grossesse
Décrire présentation clinique de cette cause sous-jacente de choc : Choc septique, en particulier chez le patient immunodéprimé (2)
- Fièvre, frissons
- Signes locaux d’infection
Décrire présentation clinique de cette cause sous-jacente de choc : Possiblement coup de chaleur (1)
Une fièvre isolée, en fonction de l’anamnèse et du tableau clinique
Décrire les examens pour : Possiblement coup de chaleur + choc (7)
- Rx thorax
- Une analyse d’urine
- FSC
- Culture de la plaie
- Culture des urines
- Hémocultures
- Autres liquides corporels importants
Les patients n’ayant pas de signes focaux évocateurs d’une cause de choc particulière doivent subir quoi? (3)
- ECG
- Rx thorax
- Dosage des GSA
Les patients n’ayant pas de signes focaux évocateurs d’une cause de choc particulière doivent subir : ECG, rx hthorac et dosage des GSA.
Si les résultats de ces examens sont normaux, les causes les plus probables sont quoi? (3)
- Intoxication médicamenteuse
- Infection occulte (dont le choc toxique)
- Choc obstructif
Prescrire et interpréter l’investigation pertinente pour le patient en choc (7)
- Monitoring : TA, FC, RR, SaO2, T°, ECG
- Biochimie générale : sodium, potassium, chlorures, bicarbonates, créatinine sérique, urée, lactates, bilan hépatique (AST/ALT entres autres), amylase/lipase, CK-MB, Troponines, INR + Temps de céphaline activée, B-HCG
- Gazométrie sanguine
- Formule sanguine complète
- SMU-DCA
- Radiologie (RXP)
- Cathétérisme des artères pulmonaires (lorsque les tests précédents orientent difficilement vers la cause)
Nommez : Stades de choc (3)
- Le pré-choc
- Choc
- Défaillance terminale de l’organe
Décrire : Le pré-choc (3)
- Également connu sous le nom de choc compensé ou choc cryptique.
- Elle se caractérise par des réponses compensatoires à une diminution de la perfusion tissulaire.
- A titre d’exemple, lors d’un pré-choc hypovolémique précoce, une tachycardie compensatoire et une vasoconstriction périphérique peuvent permettre à un adulte en bonne santé d’être asymptomatique et de préserver une tension artérielle normale malgré une réduction de 10% du volume sanguin artériel total.
- Avec une gestion rapide et appropriée, la détérioration peut être évitée et des signes de détérioration imminente peuvent être inversés (par exemple, la normalisation des taux sériques de lactate).
Nommez : Les seuls signes cliniques de choc précoce (3)
- La tachycardie
- Un changement modeste de la pression artérielle systémique (augmentation ou diminution)
- Hyperlactatemie légère à modérée
Au cours du choc, les mécanismes compensatoires deviennent dépassés et les signes et symptômes de dysfonctionnement organique apparaissent.
Nommez les (8)
- Tachycardie symptomatique
- Dyspnée
- Agitation
- Diaphorèse
- Acidose métabolique
- Hypotension
- Oligurie
- Peau froide et moite
Décrire : Défaillance terminale de l’organe à cause du choc (8)
Le choc progressif entraîne
- Dommages irréversibles aux organes
- Une défaillance multiorganique (MOF)
- La mort
Au cours de cette étape
- L’anurie et l’insuffisance rénale aiguë se développent
- L’acidémie déprime encore le CO
- L’hypotension devient sévère et récalcitrante au traitement
- L’hyperlactatemie s’aggrave souvent
- L’agitation évolue vers l’obnubilation et le coma. La mort est commune dans cette phase de choc.
Décrire : Classification du choc hémorragique (Tableau)
Exposer les principes de prise en charge du patient en choc (3)
Le choc, peu importe sa cause, constitue une urgence médicale dont la recherche étiologique et le traitement doivent être simultanés. Il faut toujours essayer de prévenir le choc lors d’apparition de signes de pré-choc (choc compensé).
- Réplétion du volume intravasculaire par voie intraveineuse (2-3L NaCl 0,9% sur 20-30 min) ; en général, les patients répondent favorablement à l’expansion du VCE peu importe la cause du choc.
- Prise en charge des voies respiratoires et oxygénation ; en cas d’insuffisance respiratoire (acidose, perte de conscience, etc.), l’intubation endo-trachéale et la ventilation mécanique sont indiquées.
- Traitement spécifique au type de choc
Décrire tx : Choc hypovolémique (1)
traitement de l’hypovolémie
Décrire tx : Choc obstructif (3)
- décompression thoracique,
- péricardique,
- thrombolyse, etc.
Décrire tx : Choc cardiogénique (2)
- reperfusion cardiaque,
- agents vasopresseurs (NAdr)
Décrire tx : Choc addisonien (1)
Dexaméthasone 4 mg IV STAT
Décrire tx : Choc septique (1)
Antibiothérapie IV agressive
Un choc peut mener au Syndrome de Détresse Respiratoire Aigüe de l’adulte (SDRA ), une atteinte aigüe sévère du parenchyme pulmonaire caractérisée par quoi? (2)
- Des infiltrats alvéolaires bilatéraux à la radiologie;
- Un rapport PaO2 / FiO2 < 200 (FiO2 = fraction inspirée en oxygène; i.e. fraction d’oxygène donnée par support)
Décrire : Les premiers soins du choc (5)
- Maintenir le patient chaud
- Surveiller une éventuelle hémorragie
- Vérifier la respiration et les voies respiratoires
- Assistance respiratoire mise en place si nécessaire
- Le patient ne doit rien ingérer
- Tourner la tête du patient sur le côté pour éviter les inhalations en cas de vomissement
Le tx du choc débute quand? (1)
Le traitement débute en même temps que le diagnostic
Décrire tx : Choc (5)
- Administer O2 par masque facial
- En cas de choc grave ou si la ventilation est insuffisante
- Intubation endotrachéale avec ventilation artificielle
- Deux grands (calibre 16 à 18) cathéters IV sont posés dans des veines périphériques différentes
- ***Une voie veineuse centrale ou, chez l’enfant, une aiguille intraosseuse, est une alternative lorsqu’on ne peut accéder rapidement aux veines périphériques
- Sérum physiologique
Décrire : Sérum physiologique pour tx choc (4)
- 1L (ou 20 mL/kg chez l’enfant) à 0,9% est perfusé en 15min
- Dans les hémorragies très importantes
- Ringer-lactate est fréquemment utilisé
- On répète la perfusion à moins que les paramètres cliniques ne reviennent à la normale
- Si signes de hautes tensions droites (p.ex.,distension des veines du cou) ou d’IDM
- Utiliser des volumes moindres (p. ex., 250 à 500 mL)
Lors du tx du choc, un test liquidien ne doit pas être pratiqué quand? (2)
- Un test liquidien ne doit pas être pratiqué en présence de signes d’œdème pulmonaire.
- Le traitement liquidien ultérieur dépend de la maladie sous-jacente et peut nécessiter une surveillance de la pression veineuse centrale ou de la pression d’occlusion de l’artère pulmonaire.
Décrire : La surveillance du choc (15)
- ECG
- Mesures des TA systolique, diastolique et moyenne, de préférence par l’intermédiaire d’un cathéter intra-artériel
- Fréquence respiratoire et de sa profondeur
- Oxymétrie pulsée
- Débit d’urine par une sonde vésicale
- Température corporelle
- État clinique, y compris cognitif
- Échelle de coma de Glasgow
- L’amplitude du pouls
- Température et coloration cutanées.
- La mesure de la TVC
- Mesure de la pression d’occlusion de l’artère pulmonaire
- Débit cardiaque par thermodilution par l’intermédiaire d’un cathéter à ballonnet placé dans l’artère pulmonaire est également utile pour le diagnostic et le traitement initial chez le patient souffrant d’un choc d’origine incertaine, mixte ou grave, en particulier si celui-ci s’accompagne d’une oligurie grave ou d’un œdème du poumon
- L’échocardiographie (au lit ou transœsophagienne) représente une alternative moins invasive
- Mesures répétées
- GSA
- Hte
- Électrolytes(ionogramme)
- Créatininémie
- Lactate plasmatique
- Mesure du CO2 sublingual, si elle est réalisable, est un indicateur non invasif de suivi de la perfusion viscérale
Nommez les critères pour Échelle de Glasgow
En état de choc, les médicaments sont administré comment? (1)
L’hypoperfusion tissulaire rendant l’absorption intramusculaire des médicaments peu fiableàtous les médicaments parentéraux sont administrés par voie IV
C’est quoi la pertinence des opiacés dans le tx du choc? (3)
- Les opiacés sont généralement évités
- Peuvent provoquer une vasodilatation
- Mais une douleur aiguë peut être traitée par la morphine 1 à 4 mg IV administrée en 2 min et répétée q 10 à 15 min si nécessaire
C’est quoi la pertinence des sédatifs et tranquillisants dans le tx du choc? (1)
Bien que l’hypoperfusion cérébrale puisse être source d’anxiété, les sédatifs ou les tranquillisants ne sont pas systématiquement administrés.
Décrire pronostic : État de choc (3)
- Non traité, un état de choc est habituellement mortel
- Même avec traitement, la mortalité du choc cardiogénique par IDM et du choc septique reste très élevée (60 à 65%)
- Le pronostic dépend de
- La cause
- Affection préexistante ou d’une complication
- Délai pour établir le diagnostic
- La rapidité et de l’adéquation du traitement
L’organisme produit des acides volatiles et des acides non-volatiles.
Les volatiles proviennet d’où?
Métabolisme lipides + glucides -> CO2 + H2O -> H2 CO3- -> CO2 + H2O -> Excrétion pulmonaire (15 mol/jour)
L’organisme produit des acides volatiles et des acides non-volatiles.
Les non-volatiles proviennet d’où?
Métabolisme protéines -> H+ -> Tamponné par un tampon extracellulaire (surtout HCO3- ) (1 mmol/kg/jour)
Dans l’organisme, les acides volatiles sont excrété où et sous quelle forme? (2)
- s sont excrétés par les poumons
- sous forme de CO2 + H2O
Dans l’organisme, les acides non-volatiles sont excrété où et sous quelle forme? (2)
- Les acides non-volatiles sont des charges acides dont l’excrétion ne peut être respiratoire d’emblée
- Les charges acides (H+) sont d’abord tamponnées par un tampon extracellulaire (surtout HCO3-), pour ensuite être excrétées sous forme de CO2 + H2O par les poumons.
La bicarbonatémie doit osciller autour de quelle valeur en (en mEq/L)? (1)
24 mEq/L
Complétez
La bicarbonatémie doit osciller autour de 24 mEq/L et l’excrétion de chaque charge acide non-volatile nécessite l’utilisation d’un ___ pour fins de tampon.
HCO3-
Qu’est-ce qui resynthétise le bicarbonate? (1)
Les reins se chargent alors de resynthétiser les bicarbonates perdus en deux étapes
Les reins se chargent alors de resynthétiser les bicarbonates perdus en deux étapes.
Nommez les étapes.
- Réabsorption au tubule proximal des HCO3- filtrés au glomérule -> Combinaison de HCO3- et de H+ par action de l’anhydrase carbonique.
- Formation de nouveaux bicarbonates au tubule collecteur (cellule intercalaire, riche en anhydrase carbonique) -> Combinasion du CO2 + H2O du métabolisme de la cellule par action de l’AC, puis excrétion de H+ via une pompe sur la surface luminale, et réabsorption de HCO3- par la surface basale.
Nommez : Étapes pour interpréter les résultats de la gazométrie sanguine (4)
- Évaluer le pH : acidémie ou alcalémie ?
- Analyser les valeurs de PaCO2 et de HCO3- : trouble respiratoire ou métabolique ?
- Calculer les compensations : trouble simple ou mixte (ex. : PaCO2 et HCO3- vont dans des directions opposées) ?
- Calculer les « trous » :
- trou anionique sanguin,
- trou anionique urinaire
- trou osmolaire
Décrire variation pH, [H+], Trouble et compensation de :
- Acidose métabolique
- Alcalose métabolique
- Acidose respiratoire
- Alcalose respiratoire
Décrire : Trou anionique sanguin (4)
- Égal à la différence entre la concentration plasmatique du cation principal (sodium) et la somme des principaux anions mesurés (chlore et bicarbonate) :
- Trou anionique sanguin = Na+ - (Cl- + HCO3- )
- Déceler des anions non mesurés dans le sang (trace d’une production anormale d’un acide). Il aide à déceler catégoriser les acidoses métaboliques.
- Il faut toujours calculer le trou anionique en acidose métabolique.
C’est quoi la valeur normale : Trou anionique plasmatique (1)
< 10-12 mmol/L.
Une augmentation du trou anionique plasmatique est secondaire à quoi? (2)
- est presque toujours secondaire à une augmentation de la concentration d’anions non mesurés au cours d’une acidose métabolique, par exemple le lactate ;
- plus rarement elle peut être due à l’élévation de la concentration plasmatique d’albumine à cause d’une hémoconcentration chez un sujet hypovolémique.
Lors d’acidose métabolique, l’excès d’acide est rapidement tamponné par quoi? (1)
le bicarbonate extracellulaire