Semaine 3 : Fatigue/Anémie/Asthme/Insuffisance surrénalienne/MPOC/Dépression Flashcards
Nommez les red flags de la fatigue (5)
- Fièvre
- Perte de poids
- Sudations nocturnes
- Déficits neurologiques
- Patient ayant l’air malade
Définir sommairement : Apnée centrale du sommeil (2)
- est un groupe hétérogène de maladies caractérisées par
- des modifications de la commande ventilatoire ou
- une diminution de la capacité à respirer sans obstruction des voies respiratoires
- La plupart de ces maladies entraînent des modifications asymptomatiques du système respiratoire au cours du sommeil.
Nommez les sx : Apnée centrale du sommeil
- Le plus souvent asymptomatique
- Détectée par les soignants ou les conjoints qui remarquent de -> longues pauses respiratoires -> une respiration superficielle -> un sommeil agité
- **Les patients qui présentent des formes hypercapniques peuvent ressentir
- somnolence diurne
- une léthargie
- Céphalées matinales
Définir sommairement : Apnée obstructive du sommeil (2)
- Consiste en des épisodes de fermeture partielle et/ou complète des voies respiratoires supérieures pendant le sommeil, provoquant l’interruption de la respiration
- définie comme une apnée durant > 10 s
Nommez les sx : Apnée obstructive du sommeil (8)
- une agitation
- un ronflement
- des réveils intermittents
- une céphalée matinale
- une somnolence diurne excessive
- sensations d’étouffement
- des halètements ou reniflements pendant le sommeil
- = difficultés d’endormissement et un sommeil non réparateur
C’est quoi le dx : Apnée obstructive du sommeil (1)
Le diagnostic repose sur l’interrogatoire et la polysomnographie.
C’est quoi le tx : Apnée obstructive du sommeil (2)
- Repose sur l’application la ventilation nasale spontanée avec pression expiratoire positive, soit des appareillages buccaux et
- dans les cas réfractaires, sur la chirurgie.
C’est quoi le pronostic : Apnée obstructive du sommeil
Le pronostic sous traitement est favorable
Vrai ou Faux
La plupart des cas d’apnée obstructive du sommeil ne sont pas diagnostiqués et donc non traités
Vrai
La plupart des cas d’apnée obstructive du sommeil ne sont pas diagnostiqués et donc non traités. C’est alors souvent associés à quoi? (3)
- une HTA,
- une insuffisance cardiaque,
- à des blessures ou décès par accidents de la route en rapport avec l’hypersomnolence
Bien que des ronflements perturbateurs bruyants soient rapportés par ___% des patients atteints d’apnée obstructive du sommeil, la plupart des sujets qui ronflent n’ont pas d’apnée obstructive du sommeil
Bien que des ronflements perturbateurs bruyants soient rapportés par 85% des patients atteints d’apnée obstructive du sommeil, la plupart des sujets qui ronflent n’ont pas d’apnée obstructive du sommeil
Nommez les manifestations nocturnes pour les hommes ET femmes : Apnée obstructive du sommei (7)
- Ronflements
- Pauses respiratoires
- Étouffements
- Sommeils agités
- Transpiration
- Réveils répétés
- Mauvaise qualité du sommeil
Nommez les manifestations nocturnes pour les femmes : Apnée obstructive du sommei (5)
- Insomnie
- Mouvements des jambes
- Cauchemars
- Palpitations
- Hallucinations
Vrai ou Faux
Dans l’apnée obstructive du sommeil, la fréquence des plaintes liées aux troubles du sommeil et l’importance de la somnolence diurne ne sont pas bien corrélées avec le nombre et l’étendue des réveils nocturnes.
Vrai
Les patients qui présentent une apnée centrale du sommeil peuvent être classés en __ catégories
Les patients qui présentent une apnée centrale du sommeil peuvent être classés en 2 catégories
Les patients qui présentent une apnée centrale du sommeil peuvent être classés en 2 catégories.
Nommez les.
- Un premier groupe se présente avec une hypercapnie associée à une diminution de la commande ventilatoire
- L’autre groupe se présente avec une eucapnie ou une hypocapnie associée à une augmentation de la commande ventilatoire, mais avec des périodes d ‘apnée sommeil et/ou une respiration périodique
Nommez les causes d’apnée centrale du sommeil HYPERCAPNIQUE (4)
- L’hypothyroïdie
- Les lésions centrales
- L’infarctus du tronc cérébral
- Les encéphalites
- La malformation d’Arnold Chiari.
- Ce type d’apnée centrale du sommeil peut également compliquer ?
- Les maladies neuromusculaires
- Dystrophiemusculaire
- Sclérose latérale amyotrophique
- Syndromepost-polio
- Les maladies neuromusculaires
- Des anomalies de la paroi thoracique
- La cyphoscoliose
C’est quoi le lien entre l’apnée centrale du sommeil eucapnique/hypocapnique et la respiration de Cheyne-Stokes
La respiration de Cheyne-Stokes est une forme clinique de cette variété d’apnée centrale du sommeil considérée comme étant la conséquence de retards dans l’hémodynamique cérébrale qui, à son tour, entraîne un retard dans la reconnaissance des centres respiratoires de l’acidose et/ou hypoxie (déclenchant une hyperpnée) et de l’alcalose et/ou hypocapnie (provoquant l’apnée)
Choisir la bonne réponse
La haute altitude est une autre cause d’apnées centrales du sommeil récurrentesse manifestant par une (hyper/eu/hypo)capnie
hypocapnie
Vrai ou Faux
L’utilisation d’opiacés peut provoquer des apnées centrales du sommeil hypercapniques ou eucapniques.
Faux
L’utilisation d’opiacés peut provoquer des apnées centrales du sommeil hypercapniques ou hypocapniques.
Décrire : Syndrome d’Ondine (2)
- L’hypoventilation alvéolaire centrale congénitale est une forme rare d’apnée centraledu sommeil idiopathique chez le nouveau-né et peut être associée à la maladie d’Hirschsprung.
- Une mutation du gène PHOX2 est responsable de 80 à 90% des cas.Cettemutation produit des phénotypes variables et les cas cliniquement évidents sont hérités dans un modèle dominant.
Nommez les facteurs de risque ANATOMIQUES pour l’anée obstructive du sommeil (6)
- Une éventuelle obésité
- **L’obésité étant un facteur de risque fréquent tant pour l’apnée obstructive du sommeil que pour le syndrome d’hypoventilation ; les 2 maladies pouvent coexister
- Oropharynx “ refoulé “ par une mandibule courte ou rétrognathe
- Langue proéminente
- Hypertrophie amygdalienne
- Grosses formations latérales (para) pharyngées
- Un cou “ court “ et dont la circonférence est > 43 cm
- Le risque d’apnée est faible en bas de 37 cm et élevé en haut de 48 cm
Nommez les AUTRES facteurs de risque pour l’anée obstructive du sommeil (3)
- Ménopause
- Vieillissement
- Consommation d’alcool ou de sédatifs
Il existe un indice appelé circonférence du cou ajustée. Expliquez.
Le risque d’apnée est comment (faible/modéré/élevé) selon la circonférence du cou?
- < 43 cm : Faible
- 43 - 48 cm : Modéré
- > 48 cm : Élevé
Décrire les liens familiaux pour l’apnée du sommeil (2)
- Les antécédents familiaux d’apnée du sommeil sont présents dans 25 à 40% des cas, reflétant peut-être ainsi la commande ventilatoire intrinsèque ou la structure pharyngée.
- La probabilité que d’autres membres des parents soient atteints d’apnée du sommeil augmente progressivement avec le nombre de membres de la famille qui en souffrent.
L’apnée du sommeil est souvent associée à une maladie chronique. Nommez des exemples. (8)
- HTA
- Accident vasculaire cérébral
- Diabète
- RGO
- Angor nocturne
- Insuffisance cardiaque
- Acromégalie ou une hypothyroïdie
- Peut également être associée à des troubles du rythme cardiaque (p.ex.,fibrillation auriculaire).
Nommez les effets d’une obstruction des voies respiratoire ()
- Crises d’effort inspiratoire
- Réductions dans les échanges gazeux
- Anomalies dans l’architecture du sommeil normal
- Éveils partiels ou complets. Les facteurs qui peuvent interagir pour provoquer une symptomatologie caractéristique comprennent l’hypoxie, hypercapnie et une fragmentation du sommeil.
L’apnée obstructive du sommeil représente une forme extrême de résistance des voies respiratoires supérieures liée au sommeil. Nommez les formes moins sévères qui n’entraînent pas de désaturation d’O2 (3)
- Leronflement
- Résistance au flux aérien pharyngé provoquant une inspiration bruyante mais sans réveil
- Le syndrome de résistance des voies respiratoires supérieures
Le syndrome de résistance des voies respiratoires supérieures est caractérisé par quoi? (1)
Caractérisé par des ronflements crescendo qui se terminent par des réveils liés aux réflexes respiratoires centraux.
Qui sont atteintes par le syndrome de résistance des voies respiratoires supérieures ? (2)
- plus jeunes et moins obèses que celles qui présentent une apnée obstructive du sommeil
- se plaignent plus de somnolences diurnes que ne le font ceux qui ont un ronflement essentiel
Vrai ou Faux
Les symptômes, le bilan diagnostique et le traitement du ronflement et du syndrome de résistance des voies respiratoires supérieures sont par ailleurs les mêmes que celui de l’apnée obstructive du sommeil
Vrai
Comment faire le dx : Apnée centrale du sommeil (3)
- Suspecté après l’anamnèse clinique
- Confirmé par la polysomnographie
- **Cependant, le test peut ne pas être nécessaire si l’apnée centrale du sommeil ne provoque aucun symptôme ou est clairement liée à un trouble identifiable.
- Pour diagnostiquer les causes d’apnée centrale du sommeil, une imagerie du cerveau ou du tronc cérébral, peut être indiquée
Décrire : Échelle d’Epworth
Nommez : Critères dx de SAOS (3)
Par rapport aux atcd de troubles du sommeil, une recherche extensive doit être effectuée chez quels patients?
- > 65 ans
- Signalent une fatigue diurne, une somnolence ou une insomnie
- Ont un surpoids (IMC > 30)
- Ont une HTA mal contrôlée (qui peut être causée ou aggravée par l’apnée obstructive du sommeil), une insuffisance cardiaque (qui peut entraîner une apnée obstructive du sommeil), un accident vasculaire cérébral ou un diabète
Les patients qui ne rapportent qu’un ronflement, sans autre symptôme ou risques cardiovasculaires ont-il besoin d’un bilan complet à la recherche d’une apnée obstructive du sommeil?
Non
La plupart des patients qui ne rapportent qu’un ronflement, sans autre symptôme ou risques cardiovasculaires n’ont pas besoin d’un bilan complet à la recherche d’une apnée obstructive du sommeil.
Il faut rechercher quoi à l’examen clinique pour un patient ayant troubles du sommeil? (4)
- Rechercher
- obstruction nasale
- hypertrophie amygdalienne
- sténose pharyngée
- Identification de signes d’hypothyroïdie et d’acromégalie.
Nommez les investigations pour ASOS? (3)
- Saturométrie nocturne
- Polysomnographie
- Investigations ambulatoires du SAOS
Décrire : Saturométrie nocturne
Décrire : Polysomnographie
Décrire : Investigations ambulatoires du SAOS
Le Polysomnographie comprend quoi? (6)
- La mesure en continu des efforts de respiration par pléthysmographie
- Flux d’air au nez et à la bouche en utilisant des capteurs de débit
- La saturation en O2 paroxymétrie
- L’architecture du sommeil par un EEG
- Électromyographie du menton (recherche d’une hypotonie)
- Électro-oculogrammes pour évaluer la sur venue de mouvements oculaires rapides
Nommez les autres tests pour ASOS (4)
- Le patient est également observé par vidéo
- La surveillance ECG est utilisée pour déterminer si les troubles du rythme surviennent en conjonction avec les épisodes d’apnée.
- L’activité musculaire des membres (afin d’évaluer les causes non respiratoires des réveils pendant le sommeil, tels que le syndrome des jambes sans repos et le syndrome des mouvements périodiques des membres)
- La position corporelle (l’apnée peut ne survenir qu’en position couchée).
L’indicateur le plus fréquemment utilisé pour décrire les troubles respiratoires pendant le sommeil est quoi? (1)
l’indice d’apnée-hypopnée (nombre total des épisodes d’apnée et d’hypopnée pendant le sommeil divisé par le nombre d’heures de sommeil)
Un indice d’apnée-hypopnée de combien est nécessaire pour le diagnostic d’apnée obstructive du sommeil?
C’est quoi un niveau modéré? C’est quoi un niveau sévère? (3)
- Un indice d’apnée-hypopnée > 5 est nécessaire pour le diagnostic d’apnée obstructive du sommeil
- Niveau modéré : une valeur > 15
- Niveau sévère : une valeur > 30
C’est quoi l’influence d’un ronflement fort sur l’indice d’apnée-hypopnée? (1)
S’il est assez fort pour être entendu de la pièce d’à côté confère un coefficient multiplicateur de 10 à la probabilité d’avoir un indice d’apnée-hypopnée > 5
Décrire : L’indice de trouble respiratoire
- Le nombre de fois par heure que la saturation du sang en O2 chute de > 3%
- Les réveils liés aux réflexes respiratoires centraux
Décrire : L’indice d’éveil (3)
- (peut être calculé si une surveillance EEG est utilisée)
- Représente le nombre de réveils par heure de sommeil
- Peut être corrélé avec l’indice d’apnée-hypopnée ou l’indicede trouble respiratoire, mais près de 20% des épisodes d’apnée et de désaturation ne sont pas accompagnés par des réveils
- D’autres causes de réveil sont alors présentes
C’est quoi la corrélation entre l’indice d’éveil et l’indice de trouble respiratoire et les sx du patient?
L’indice d’éveil et l’indice de trouble respiratoire ne sont corrélés que modérément avec les symptômes du patient
C’est quoi l’utilité des outils de dx ambulatoires pour l’apnée obstructive du sommeil? (5)
- Souvent utilisés pour diagnostiquer l’apnée obstructive du sommeil
- Des appareils portatifs peuvent mesurer
- La fréquence cardiaque
- L’oxymétrie pulsée
- L’effort respiratoire
- La position
- Le flux d’air nasal
- Sont souvent associés aux outils qui calculent le risque des patients (la sensibilité et la spécificité du test dépendent de la probabilité prétest).
- **Ceux-ci fournissent
- Des estimations des troubles respiratoires au cours du sommeil
- Une valeur pour l’indice d’apnée-hypopnée/indice de trouble respiratoire. Des outils de diagnostic ambulatoires
- Si le diagnostic est effectué en ambulatoire, des troubles du sommeil (p. ex., syndrome des jambes sans repos) ne sont pas exclus. Le suivi polysomnographique peut encore être nécessaire.
Nommez les examens complémentaires pour ASOS (3)
- Imagerie médicale des voies respiratoires supérieures
- Dosage de la TSH
- Autres tests appropriés, afin d’évaluer les maladies chroniques en relation avec l’apnée obstructive du sommeil
Prescrire et interpréter l’investigation pertinente de la fatigue en fonction des diagnostics les plus probables. (10)
- FSC + bilan martial
- Glycémie
- Électrolytes (Na, K, Cl) + Calcium + Phosphate
- Urée, créatinine, DFG
- TSH
- Bilan hépatique (AST/ALT, PAL, GGT, bilirubine, albumine, B12)
- Protéine C-Réactive, VSM
- ß-HCG
- SMU-DCA
- Selon la suspicion clinique :
- Sérologies : maladie de Lyme, VIH, anticorps anti-nucléaires, hépatites
- ECG
- Étude du sommeil
- PCR
C’est quoi la définition biologique de l’anémie en fonction de l’âge, du sexe et de la grossesse (tableau)
Nommez les éléments pertinents à l’histoire d’un patient anémique en tenant compte des différentes hypothèses diagnostiques (7)
- Symptômes généraux d’anémie : fatigue, dyspnée à l’effort
- ATCD familiaux pour les causes héréditaires et les néoplasies : thalassémies, hémoglobinopathie, sphérocytose héréditaire, néoplasie colorectale
- Médication
- Red flags (anémie secondaire à une néo hémorragique)
- Symptômes reliés à la cause d’hémorragie : douleur secondaire à un ulcère, méléna, hématémèse, méno/métrorragie, insuffisance rénale sévère
- Symptômes de mécanismes compensatoires
- Palpitations
- Céphalée pulsatile
- Acouphènes
- Dyspnée d’effort
- Symptômes de l’état de circulation
- Claudication intermittente
Nommez les éléments pertinents à l’examen physique d’un patient anémique en tenant compte des différentes hypothèses diagnostiques (4)
- Signes généraux : pâleur, dyspnée, ictère (cause hémolytique)
- Signes anémie ferriprive : chéilite, koïlonychie
- Signes vitaux
- Tachycardie, hypotension, SaO2 diminuée, fièvre (cause inflammatoire)
- Signes selon la cause, exemple :
- Douleur à la palpation abdominale
- Hépatosplénomégalie
- Ecchymoses (anomalies de coagulation) et pétéchies (thrombocytopénie)
Interprétez VGM
- > 100 fL
- 80-99 fL
- < 80 fL
- > 100 fL : Macrocytaire (Gros GR)
- 80-99 fL : Normocytaire (GR de volume normal)
- < 80 fL : Microcytaire (Petits GR)
- N : 80-99 fL (adulte)
Interprétez CGMH
- 320-360 mmol/L
- < 320 mmol/L
- 320-360 mmol/L : Normochromie (GR de couleur normale)
- < 320 mmol/L : Hypochromie (GR pâle)
Nommez les causes des anémies : Normochrome, normocytaire (2)
- Hémorragie aigüe
- Hémodilution
Nommez les causes des anémies : Hypochrome, microcytaire (2)
- Anémie ferriprive (hémorragie chronique -> perte chronique de fer)
- Thalassémies
Nommez les causes des anémies : Macrocytaire (4)
- Déficit en vitamine B12
- Déficit en folates
- Alcoolisme (malnutrition)
- Hémolyse
Nommez les causes des anémies : Normochrome, microcytaire (1)
Rare, associée à des phénomènes inflammatoires chroniques
Prescrire et interpréter le bilan initial de l’anémie (5)
- FSC et réticulocytes
- Frottis sanguin
- Bilan martial : Fer sérique, ferritine, capacité totale de fixation et le pourcentage totale de fixation de la transferrine
- Bilan hémolytique : Bilirubine non conjuguée, haptoglobine, LDH
- Autre : B12, créatinine, ponction biopsie/aspiration moelle
Décrire : Le sulfate ferreux (1)
est le supplément de fer le plus utilisé de par sa bonne efficacité, sa teneur élevée en fer élémentaire, une tolérabilité généralement acceptable, et son faible coût
La posologie du supplément de fer doit être établie selon quoi? (1)
selon la quantité de fer élémentaire quotidienne
Vrai ou Faux
À quantité égale de fer élémentaire, tous les sels présentent la même efficacité.
Vrai
Nommez les supplément de fer en orde croissant de fer élémentaire (4)
- Le gluconate ferreux contient le moins de fer élémentaire par comprimé (12%),
- suivi du sulfate ferreux (20 à 30%),
- fumarate ferreux (33%),
- et les complexes polysaccharide-fer qui en contiennent le plus (100%). Ces derniers sont toutefois plus coûteux.
Le choix du traitement initial de l’anémie ferriprive devrait être orienté en fonction de quoi? (3)
- devrait être orienté en fonction de la gravité de l’anémie ferriprive,
- des maladies concomitantes du patient
- et de sa tolérance aux effets indésirables.
Nommez les effets secondaires principaux des suppléments oraux de fer (2)
- les troubles gastro-intestinaux (crampes abdominales, nausées/vomissements, diarrhée et constipation).
- On notera aussi des selles noires.
Le fer peut aussi être administré par voie intraveineuse, particulièrement quand? (1)
si la forme orale n’est pas tolérée ou qu’elle est mal absorbée (ex: maladie inflammatoire intestinale).
Une diète normale contient de ___ mg de fer élémentaire par jour.
10 à 15 mg
Une diète normale contient de 10 à 15 mg de fer élémentaire par jour. Une personne en santé absorbe combien de ce fer en %? (1)
10-15% de ce fer, et ce pourcentage augmente jusqu’à 25% en cas de carence.
Décrire l’absorption du fer (2)
- L’acidité gastrique garde le fer sous forme ferreux, qui est la forme la plus soluble.
- Le fer sera par la suite absorbé au niveau duodénal.
Qu’est-ce favorise une meilleure absorption du fer? (2)
- Un supplément d’acide ascorbique (vitamine C)
- ou la prise de fer avec du jus d’orange favorise une meilleure absorption.
Qu’est-ce qui inhibient l’absorption du fer? (3)
Au contraire, plusieurs médicaments/aliments inhibent l’absorption du fer dont
- les suppléments de calcium,
- le soya
- et les anti-acides.
Nommer les catégories de facteurs déclencheurs de l’asthme (3)
- Pro-inflammatoires
- Mixtes
- Irritatifs