Semaine 4 - Rock, 2000, chap. 7 Flashcards
Qu’est-ce qui bouge à une vitesse que nous pouvons détecter ?
A. La lune
B. Les nuages
C. Les étoiles
D. Le soleil
E. Aucune de ces réponses
F. Toutes ces réponses
B
« Bien que ce soit les nuages qui bougent à une vitesse que nous pouvons détecter, c’est la lune que nous percevons en mouvement. » (Rock, 2000, p. 187)
Effacer
Comment les objets semblent-ils bouger dans le monde perceptif ?
A. Relativement à un cadre de référence
B. Absolument
C. Ils ne bougent pas
D. Ils changent de forme
E. Aucune de ces réponses
F. Toutes ces réponses
B
« Bien qu’en physique on puisse dire qu’aucun objet ne bouge absolument, mais change seulement de position par rapport à quelque cadre de référence, dans le monde perceptif les objets semblent bouger dans l’absolu ou rester stationnaires. » (Rock, 2000, p. 187)
Quelle est la vitesse de l’aiguille des secondes par rapport à notre seuil de détection ?
A. Inférieure
B. Supérieure
C. Égale
D. Variable
E. Aucune de ces réponses
F. Toutes ces réponses
B
« Alors que les aiguilles des minutes et des secondes d’une montre bougent toutes les deux, nous voyons bouger l’aiguille des secondes, mais l’aiguille des minutes bouge la plupart du temps à une vitesse inférieure à notre seuil de détection du mouvement. » (Rock, 2000, p. 187)
Quelle est la relation entre la perception du mouvement et la physique du mouvement ?
A. Identique
B. Complètement différente
C. Partiellement liée
D. Inexistante
E. Aucune de ces réponses
F. Toutes ces réponses
C
« La perception du mouvement n’est donc pas simplement une expression de la physique du mouvement, de ce qui arrive dans le monde. » (Rock, 2000, p. 187)
Que se passe-t-il lorsque nous lisons le journal et qu’un chat saute d’une chaise dans notre champ visuel ?
A. L’image du chat reste fixe sur notre rétine.
B. L’image du chat se déplace sur notre rétine.
C. Nous ne percevons pas le mouvement du chat.
D. Le chat disparaît de notre champ visuel.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
B
« Si un chat saute d’une chaise, dans notre champ visuel, tandis que nous lisons le journal, l’image du chat se déplacera sur notre rétine et nous percevrons son mouvement. Il peut donc sembler plausible de penser que les bases de la perception du mouvement sont les conséquences sensorielles d’une image qui se déplace. » (Rock, 2000, p. 188)
Où les physiologistes ont-ils découvert des cellules qui déchargent rapidement en réponse au mouvement ?
A. Dans le cerveau.
B. Dans la rétine.
C. Dans le cortex visuel.
D. Dans les muscles.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
B.
C
« Les physiologistes ont effectivement découvert des cellules dans la rétine ou dans le cortex visuel de certains animaux, qui déchargent rapidement si et seulement si un contour ou un point traverse la région de la rétine à laquelle ces cellules sont connectées. Il est probable que ces cellules existent aussi dans le système visuel humain. » (Rock, 2000, p. 188)
Quelle est la condition pour que les cellules détectrices de mouvement déchargent rapidement ?
A. La présence de rayons lumineux en mouvement.
B. Le passage d’un contour ou d’un point.
C. Le changement de luminance de l’objet.
D. La taille de l’objet.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
B
« Les physiologistes ont effectivement découvert des cellules dans la rétine ou dans le cortex visuel de certains animaux, qui déchargent rapidement si et seulement si un contour ou un point traverse la région de la rétine à laquelle ces cellules sont connectées. Il est probable que ces cellules existent aussi dans le système visuel humain. » (Rock, 2000, p. 188)
Pourquoi le déplacement de contours sur la rétine n’est-il pas une condition suffisante pour la perception du mouvement chez les animaux qui peuvent bouger leurs yeux ?
A. Parce que les contours sont trop petits.
B. Parce que les animaux ne peuvent pas voir les contours.
C. Parce que les animaux peuvent suivre des yeux un objet en mouvement.
D. Parce que les contours ne bougent pas.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
C
« Chez les animaux qui peuvent bouger leurs yeux, comme nous, le déplacement de contours sur la rétine n’est une condition ni nécessaire ni suffisante pour la perception du mouvement. Cela n’est pas nécessaire, parce nous pouvons poursuivre des yeux un objet en mouvement, maintenant ainsi son image plus ou moins stationnaire sur la rétine. » (Rock, 2000, p. 188)
Quelle est la conséquence de suivre des yeux un objet en mouvement ?
A. L’image de l’objet disparaît.
B. L’image de l’objet reste stationnaire sur la rétine.
C. L’image de l’objet se déplace rapidement.
D. L’objet change de couleur.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
B
« Cela n’est pas nécessaire, parce nous pouvons poursuivre des yeux un objet en mouvement, maintenant ainsi son image plus ou moins stationnaire sur la rétine. » (Rock, 2000, p. 188)
Que se passe-t-il souvent avec l’image d’un objet sur la rétine sans créer l’impression de mouvement ?
A. Elle reste stationnaire.
B. Elle disparaît.
C. Elle se déplace.
D. Elle change de couleur.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
C
« Cette condition n’est pas non plus nécessaire, parce que l’image d’un objet se déplace souvent sur la rétine sans créer la moindre impression de mouvement. Lorsque nous parcourons une pièce du regard, par exemple, la position des chaises et des tables reste apparemment inchangée bien que leurs images bougent sur la rétine. » (Rock, 2000, p. 189)
Comment les chercheurs ont-ils nommé le phénomène où la position des objets semble inchangée malgré le mouvement de leurs images sur la rétine ?
La constance de la position.
« Lorsque nous parcourons une pièce du regard, par exemple, la position des chaises et des tables reste apparemment inchangée bien que leurs images bougent sur la rétine. Les chercheurs ont nommé ce phénomène la constance de la position. » (Rock, 2000, p. 189)
Que doit faire le système perceptif lorsque seuls les yeux bougent ?
A. Disqualifier ce signal comme signalant le mouvement d’un objet
B. Disqualifier ce signal comme signalant le mouvement des yeux.
C. Disqualifier ce signal comme signalant le mouvement d’un objet de la tête.
D. Faire l’hypothèse que ce mouvement a été causé par les propres mouvements des yeux de l’observateur
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
A
D
« Par exemple, si ces détecteurs signalent du mouvement lorsque seuls les yeux bougent, le système perceptif doit disqualifier ce signal comme signalant le mouvement d’un objet. Le système perceptif doit alors faire l’hypothèse que ce mouvement a été causé par les propres mouvements des yeux de l’observateur. » (Rock, 2000, p. 189)
Que doit faire le système perceptif si le signal de mouvement survient lorsque les yeux sont stationnaires ?
A. Ignorer le signal.
B. Interpréter le signal comme un mouvement d’objet.
C. Interpréter le signal comme un mouvement des yeux.
D. Interpréter le signal comme un mouvement de la tête.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
B
« Au contraire, si le signal survient lorsque que les yeux sont stationnaires, il est alors interprété comme un mouvement d’objet. » (Rock, 2000, p. 189)
Que peut conclure le système perceptif si les mécanismes détecteurs de mouvement ne signalent aucun mouvement mais que les yeux sont en mouvement ?
A. Que l’objet est stationnaire.
B. Que l’objet bouge.
C. Que l’objet change de couleur.
D. Que l’objet change de forme.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
B
« Si les détecteurs ne signalent aucun mouvement, comme lorsque nous poursuivons un objet mobile et que les images rétiniennes restent stationnaires, le système perceptif peut cependant conclure que l’objet bouge. » (Rock, 2000, p. 189)
Que doit savoir le système perceptif pour conclure qu’un objet bouge lorsque les images rétiniennes restent stationnaires ?
A. Que les yeux sont en mouvement.
B. Que la tête est en mouvement.
C. Que l’objet est en mouvement.
D. Que la pièce est en mouvement.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
A
« Pour faire cette inférence, le système doit forcément savoir que les yeux sont en mouvement. » (Rock, 2000, p. 189)
Comment le cerveau sait-il si les yeux bougent, dans quelle direction et à quelle vitesse ? (2)
Par le feedback sensoriel
Par le feedback proprioceptique
« Étant donné notre niveau de compréhension de la manière dont le cerveau obtient de l’information à propos des mouvements d’autres parties du corps, nous pourrions supposer que cette information provient de retours (feedback) d’information sensorielle. » (Rock, 2000, p. 189)
Quelle est la source d’information proprioceptive pour le mouvement des yeux selon les physiologistes ?
A. Les articulations.
B. Les muscles.
C. Les yeux.
D. La peau.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
A
B
C
« Pendant longtemps, ce type d’information proprioceptive a été supposé provenir non seulement des articulations mais aussi des muscles. Des récepteurs dans les muscles des yeux seraient alors la source d’une information similaire à propos du mouvement des yeux. » (Rock, 2000, p. 189)
Pourquoi est-il improbable que l’information sur le mouvement des yeux provienne d’un feedback sensoriel ?
A. Parce que les yeux ne bougent pas.
B. Parce que les yeux sont toujours en mouvement.
C. Parce que les yeux peuvent être immobiles mais perçus en mouvement.
D. Parce que les yeux ne fournissent pas de feedback sensoriel.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
C
« Il est cependant improbable que l’information qui nous informe que l’œil bouge ne provienne d’un feedback sensoriel. Considérez deux contre-exemples. D’abord, il y a tous les cas où les yeux restent parfaitement immobiles — il n’y a donc aucun feedback proprioceptif indiquant qu’ils bougent — et où ils sont cependant perçus comme étant en mouvement. » (Rock, 2000, p. 189)
Que se passe-t-il lorsque les muscles des yeux sont paralysés ou empêchés de bouger ?
A. Les yeux ne peuvent pas voir.
B. Les yeux bougent plus rapidement.
C. Le champ visuel semble se déplacer.
D. Les yeux deviennent plus sensibles.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
C
« Si les muscles des yeux sont paralysés ou si on les empêche de bouger, l’observateur peut cependant essayer de regarder un objet en périphérie. Chaque fois que cela arrive, le champ visuel tout entier semble se déplacer rapidement dans la direction du mouvement projeté. » (Rock, 2000, p. 189)
Quelle est la conséquence de l’absence de feedback proprioceptif des yeux ?
A. Les yeux ne peuvent pas bouger.
B. Les yeux deviennent plus sensibles.
C. Les yeux semblent bouger même s’ils sont immobiles.
D. Les yeux ne peuvent pas voir.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
C
« D’abord, il y a tous les cas où les yeux restent parfaitement immobiles — il n’y a donc aucun feedback proprioceptif indiquant qu’ils bougent — et où ils sont cependant perçus comme étant en mouvement. » (Rock, 2000, p. 189)
Que signalent les cellules réceptrices dans le coude lorsque le bras se plie ?
Le changement de position
« Par exemple, les physiologistes croient que, lorsque le bras se plie, des cellules réceptrices dans le coude signalent le changement. » (Rock, 2000, p. 189)
Quelle hypothèse les physiologistes ont-ils faite concernant les récepteurs dans les muscles des yeux ?
Qu’ils fournissent une information proprioceptive sur le mouvement des yeux.
« Des récepteurs dans les muscles des yeux seraient alors la source d’une information similaire à propos du mouvement des yeux. » (Rock, 2000, p. 189)
Comment le système perceptif traite-t-il l’intention de bouger les yeux ?
A. Comme un signal sonore.
B. Comme un mouvement réel.
C. Comme une image fixe.
D. Comme une absence de mouvement.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
B
« Helmholtz et d’autres chercheurs après lui, ont conclu à partir de ce résultat que le système perceptif traite l’intention ou la commande de bouger les yeux comme équivalents au mouvement lui-même. D’habitude, la commande est suivie immédiatement du mouvement des yeux. » (Rock, 2000, p. 190)
Que se passe-t-il si les yeux ne peuvent pas bouger après une commande de mouvement ?
A. L’image est interprétée comme stationnaire.
B. L’image est interprétée comme floue.
C. L’image est interprétée comme en mouvement.
D. L’image disparaît.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
C
« Cependant, si les yeux ne peuvent pas bouger, cette commande est cependant enregistrée, et l’interprétation est que les yeux bougent. En conséquence, l’image stationnaire est incorrectement interprétée comme signifiant que l’objet est en mouvement. » (Rock, 2000, p. 190)
Que se passe-t-il lorsque vous poussez doucement vos yeux sur le côté avec votre doigt ?
A. Les yeux bougent rapidement.
B. Les yeux restent immobiles.
C. La scène entière semble se déplacer.
D. La scène devient floue.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
C
« Si vous poussez doucement vos yeux sur le côté avec votre doigt, il existe probablement un feedback proprioceptif pour cet effet, comme il en existerait un si vous souleviez un bras passif par un mouvement actif de l’autre bras. Cependant, nous pouvons inférer du fait que la scène entière semble alors se déplacer que le système perceptif traite ce mouvement imposé à l’œil comme une absence de mouvement. » (Rock, 2000, p. 190)
Pourquoi la constance de la position n’est-elle pas obtenue lorsque les yeux sont poussés par un doigt ?
A. Parce que le mouvement de l’œil n’est pas enregistré.
B. Parce que l’image est floue.
C. Parce que l’œil ne bouge pas réellement.
D. Parce que l’œil bouge trop vite.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
A
« La constance de la position n’est pas obtenue parce que, puisqu’aucun mouvement de l’œil n’est enregistré, le système perceptif ne compense pas le déplacement de l’image. » (Rock, 2000, p. 190)
Comment savons-nous ce que nos yeux font réellement ?
A. Par le feedback sensoriel.
B. Par l’observation directe.
C. Par la commande de mouvement.
D. Par la vision périphérique.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
C
« Ainsi, il semble que nous savons ce que nos yeux font, non par ce qu’ils font réellement, mais par ce que nous leur commandons de faire une fraction de seconde avant qu’ils ne bougent. » (Rock, 2000, p. 190)
Quelle est la nature de l’information qui informe le mouvement des yeux ?
A. Efférente.
B. Afférente.
C. Proprioceptive.
D. Visuelle.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
A
« L’information est efférente (dérivant de signaux se dirigeant vers les organes effecteurs) plutôt qu’afférente (dérivant de signaux se dirigeant vers les organes sensoriels). » (Rock, 2000, p. 190)
Comment le système perceptif obtient-il de l’information sur le déplacement de contours sur la rétine ?
A. Par la vision périphérique.
B. Par la décharge de cellules détectrices de mouvement.
C. Par le feedback proprioceptif.
D. Par la vision centrale.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
B
« Nous avons vu que le système perceptif obtient de l’information sur le déplacement de contours sur la rétine (ou sur l’absence de déplacement) par la décharge de cellules détectrices de mouvement. Le système perceptif ne fait pas seulement usage de cette information à propos du mouvement de l’image, mais il prend aussi en compte de l’information à propos du mouvement des yeux. » (Rock, 2000, p. 190)
Quelle règle générale de la perception du mouvement est mentionnée ?
Nous avons vu que le système perceptif obtient de l’information sur le déplacement de contours sur la rétine (ou sur l’absence de déplacement) par la décharge de cellules détectrices de mouvement. Le système perceptif ne fait pas seulement usage de cette information ä propos du mouvement de l’image, mais il prend aussi en compte de l’information ä propos du mouvement des yeux, pour arriver à une inférence sur le fait que l’objet qui produit une telle image est en mouvement ou non.
A. Un objet qui change de couleur est perçu en mouvement (perspective atmosphérique)
B. Un objet qui change de taille est perçu en mouvement.
C. Un objet qui change sa direction perçue à un rythme rapide est perçu en mouvement.
D. Un objet qui change de forme est perçu en mouvement.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
C
« La règle générale de la perception du mouvement est alors, semble-t-il : un objet qui change sa direction perçue à un rythme suffisamment rapide pour que le cerveau le détecte sera généralement perçu en mouvement, sinon il semblera stationnaire. » (Rock, 2000, p. 190)
De quoi dépend la perception de la vitesse ?
A. De la détection d’un changement de couleur.
B. De la détection d’un changement de taille.
C. De la détection d’un rythme de changement de la direction perçue.
D. De la détection d’un changement de forme.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
C
« Si la perception du mouvement dépend de la détection d’un changement dans la direction perçue, la perception de la vitesse dépend alors de la détection d’un rythme de changement de la direction perçue. » (Rock, 2000, p. 190)
Comment la vitesse perçue varie-t-elle avec la distance de l’objet ?
A. Elle augmente.
B. Elle diminue.
C. Elle reste constante.
D. Elle fluctue.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
B
« On pourrait alors s’attendre à ce que la vitesse perçue décroisse avec la distance de l’objet, parce que le taux de changement de la direction angulaire d’un objet en déplacement dans le champ visuel à vitesse constante est d’autant plus faible que l’objet est éloigné. » (Rock, 2000, p. 190)
Pourquoi la vitesse perçue décroît-elle avec la distance de l’objet ?
A. Parce que l’objet devient plus petit.
B. Parce que l’angle visuel traversé par l’objet diminue.
C. Parce que l’objet change de couleur.
D. Parce que l’objet change de forme.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
B
« Après tout, plus l’objet est loin, plus petit sera l’angle visuel qu’il traversera par unité de temps. » (Rock, 2000, p. 190)
Jusqu’à quelle distance la constance de la vitesse perçue s’applique-t-elle ?
A. Jusqu’à une distance infinie.
B. Jusqu’à une certaine distance.
C. Jusqu’à une distance très courte.
D. Jusqu’à une distance moyenne.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
B
« Néanmoins, la constance s’applique, au moins, jusqu’à une certaine distance. » (Rock, 2000, p. 190)
Quelle information le système perceptif prend-il en compte pour inférer le mouvement d’un objet ?
A. Le mouvement de l’image.
B. Le mouvement des yeux.
C. Les deux.
D. Aucun des deux.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
C
« Le système perceptif ne fait pas seulement usage de cette information à propos du mouvement de l’image, mais il prend aussi en compte de l’information à propos du mouvement des yeux, pour arriver à une inférence sur le fait que l’objet qui produit une telle image est en mouvement ou non. » (Rock, 2000, p. 190)
Comment la vitesse d’un objet est-elle perçue, qu’il soit proche ou éloigné ?
A. Comme plus rapide.
B. Comme plus lente.
C. Comme identique.
D. Comme variable.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
C
« La vitesse de l’objet est perçue comme étant à peu près identique, que l’objet soit proche ou éloigné. » (Rock, 2000, p. 191)
Quelle est l’une des explications possibles de la constance de la vitesse perçue ?
A. La couleur de l’objet.
B. La distance de l’objet.
C. La taille de l’objet.
D. La forme de l’objet.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
B
« L’explication d’une telle constance est encore débattue, avec deux possibilités : soit nous prenons en compte la distance de l’objet, comme lorsque nous parvenons à la constance de la taille, et nous interprétons alors l’angle visuel traversé par unité de temps en conséquence. » (Rock, 2000, p. 191)
Comment jugeons-nous la vitesse en termes de proportion de l’étendue traversée par un objet ?
A. Par rapport à la couleur de l’objet.
B. Par rapport à la taille de l’objet.
C. Par rapport au cadre de référence de l’objet.
D. Par rapport à la forme de l’objet.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
C
« Ou alors nous jugeons la vitesse en termes de la proportion de l’étendue traversée par un objet par unité de temps, par rapport au cadre de référence de l’objet (par exemple, une souris traversera un corridor dans le même temps, qu’elle soit proche ou éloignée de nous). » (Rock, 2000, p. 191)
Quelle analogie est utilisée pour expliquer la constance de la vitesse perçue ?
A. Un oiseau volant.
B. Une voiture roulant.
C. Une souris traversant un corridor.
D. Un poisson nageant.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
C
« Par exemple, une souris traversera un corridor dans le même temps, qu’elle soit proche ou éloignée de nous. » (Rock, 2000, p. 191)
Que se passe-t-il lorsque nous bougeons ?
A. Les objets changent de couleur.
B. Les objets changent de taille.
C. Les objets changent leur direction par rapport à notre position.
D. Les objets disparaissent.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
C
« Souvent, c’est nous-mêmes qui bougeons, et non les objets qui nous entourent. Lorsque nous bougeons, tous les objets changent leur direction par rapport à notre position. Alors, selon la règle générale de la perception du mouvement, ils devraient sembler bouger. » (Rock, 2000, p. 191)
Comment notre système perceptif attribue-t-il le changement de direction des objets ?
A. À leur propre mouvement.
B. À notre propre mouvement.
C. À un changement de couleur.
D. À un changement de taille.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
B
« Au lieu de cela, cependant, notre système perceptif attribue le changement de direction des objets à notre propre mouvement. » (Rock, 2000, p. 191)
Qu’est-ce que la parallaxe de mouvement ?
A. Le changement de couleur des objets.
B. Le changement de taille des objets.
C. Le changement de direction des objets à une vitesse donnée.
D. Le changement de forme des objets.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
C
« Pour chaque mouvement de notre part, un objet à une distance donnée subira un changement correspondant de sa propre direction, et cela à une vitesse donnée (c’est la parallaxe de mouvement). » (Rock, 2000, p. 191)
Quand un objet est-il perçu comme immobile ?
A. Lorsque sa couleur change.
B. Lorsque sa taille change.
C. Lorsque sa direction change.
D. Lorsque sa distance est perçue correctement.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
D
« Dans la mesure où la distance de l’objet est perçue correctement, celui-ci est perçu immobile. » (Rock, 2000, p. 191)
Quelle règle générale de la perception du mouvement est mentionnée ?
A. Les objets qui changent de couleur semblent bouger.
B. Les objets qui changent de taille semblent bouger.
C. Les objets qui changent de direction semblent bouger.
D. Les objets qui changent de forme semblent bouger.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
C
« Lorsque nous bougeons, tous les objets changent leur direction par rapport à notre position. Alors, selon la règle générale de la perception du mouvement, ils devraient sembler bouger. » (Rock, 2000, p. 191)
Que change habituellement un objet en mouvement par rapport à nous ?
A. Sa couleur.
B. Sa taille.
C. Sa direction.
D. Sa forme.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
C
« Habituellement, un objet en mouvement ne change pas seulement de direction par rapport à nous, mais change de position par rapport à tous les objets stationnaires de la scène. » (Rock, 2000, p. 194)
Comment est appelée l’induction de mouvement sur un objet stationnaire par un autre objet en mouvement ?
A. Mouvement relatif.
B. Mouvement absolu.
C. Mouvement induit.
D. Mouvement perçu.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
C
« Cet effet est appelé mouvement induit, c’est-à-dire l’induction de mouvement sur un objet stationnaire par un autre objet proche en mouvement. » (Rock, 2000, p. 194)
Pourquoi percevons-nous la lune bouger lorsque les nuages passent devant elle ?
A. Parce que la lune change de direction.
B. Parce que les nuages changent de direction.
C. Parce que la lune change de couleur.
D. Parce que les nuages changent de couleur.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
B
« Lorsque la lune semble croiser les nuages, sa direction exprimée relativement à nous — sa direction égocentrique — ne change pas, c’est la direction des nuages qui change. » (Rock, 2000, p. 194)
Quel est un déterminant puissant du mouvement perçu ?
A. Le changement de couleur d’un objet.
B. Le changement de taille d’un objet.
C. Le changement de position d’un objet par rapport à d’autres objets.
D. Le changement de forme d’un objet.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
C
« Le fait que nous percevions la lune bouger suggère que le changement de position d’un objet par rapport à d’autres objets décrivant un arrière-plan soit un déterminant puissant du mouvement perçu. » (Rock, 2000, p. 194)
Pourquoi les nuages devraient-ils sembler bouger ?
A. Parce qu’ils changent de couleur.
B. Parce qu’ils changent de taille.
C. Parce qu’ils changent de direction par rapport à l’observateur.
D. Parce qu’ils changent de forme.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
C
« Les nuages devraient sembler bouger parce qu’ils changent de direction par rapport à l’observateur. » (Rock, 2000, p. 194)
Qu’est-ce qui pourrait renforcer l’effet de mouvement des nuages ?
A. La couleur des nuages.
B. La taille des nuages.
C. La présence de la lune.
D. La forme des nuages.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
C
« On pourrait s’attendre à ce que la présence de la lune renforce cet effet par l’impression de changement relatif qu’elle procure. » (Rock, 2000, p. 194)
Pourquoi la détection du mouvement est-elle faible pour des changements lents de direction égocentrique ?
A. Parce que les objets changent de couleur.
B. Parce que les objets changent de taille.
C. Parce que les objets changent de forme.
D. Parce que les objets changent de direction lentement.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
D
« Pour des changements lents de direction égocentrique — comme ce serait le cas pour des nuages qui défilent lentement — la détection du mouvement est faible. » (Rock, 2000, p. 194)
Quelle est la direction exprimée relativement à nous appelée ?
A. Direction absolue.
B. Direction relative.
C. Direction égocentrique.
D. Direction périphérique.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
C
« Lorsque la lune semble croiser les nuages, sa direction exprimée relativement à nous — sa direction égocentrique — ne change pas, c’est la direction des nuages qui change. » (Rock, 2000, p. 194)
Que détectons-nous immédiatement ?
A. Un changement de couleur.
B. Un changement de taille.
C. Un changement de position relative.
D. Un changement de forme.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
C
« Cependant, un changement de position relative est immédiatement détecté. » (Rock, 2000, p. 194)
Que montre l’expérience avec deux points lumineux dans une salle noire ?
A. Que nous ne voyons pas les points.
B. Que nous voyons immédiatement le mouvement du premier point.
C. Que nous voyons les deux points bouger.
D. Que nous ne voyons pas le mouvement.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
B
« Dans une salle noire, un point lumineux isolé peut être mis en mouvement à une vitesse inférieure à notre seuil de détection du mouvement. Si un deuxième point lumineux stationnaire est introduit à proximité, nous verrons immédiatement que le premier bouge. » (Rock, 2000, p. 194)
À quoi sommes-nous très sensibles selon l’expérience avec les points lumineux ?
A. Au changement de couleur.
B. Au changement de taille.
C. Au changement de distance entre les points.
D. Au changement de forme.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
C
« Apparemment, nous sommes très sensibles au changement de distance entre les deux points. » (Rock, 2000, p. 194)
Quelle est la seule information utile de mouvement reçue dans l’expérience avec les points lumineux ?
A. L’information absolue.
B. L’information relative.
C. L’information de couleur.
D. L’information de taille.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
B
« Dans cette expérience, la seule information utile de mouvement que nous recevons est relative. » (Rock, 2000, p. 194)
Pourquoi la lune semble-t-elle bouger quand un nuage passe devant ?
A. Parce que la lune change de couleur.
B. Parce que la lune change de taille.
C. Parce que la lune change de forme.
D. Parce que la lune est plus petite et sert de cadre de référence.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
D
« Il existe un autre principe de mouvement induit qui doit être appliqué ici. Un objet qui en entoure un autre ou qui est beaucoup plus grand, semblera stationnaire. » (Rock, 2000, p. 194)
Quel principe de mouvement induit est appliqué dans le cas de la lune et des nuages ?
A. Un objet plus petit semblera bouger.
B. Un objet plus grand semblera bouger.
C. Un objet plus petit semblera stationnaire.
D. Un objet plus grand semblera stationnaire.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
D
« Un objet qui en entoure un autre ou qui est beaucoup plus grand, semblera stationnaire. L’objet le plus grand servira alors de cadre de référence, par rapport auquel le déplacement relatif d’autres objets sera évalué. » (Rock, 2000, p. 194)
Quelle expérience Karl Duncker a-t-il réalisée pour démontrer le mouvement induit ?
A. Remplacer le point en mouvement par un cercle.
B. Remplacer le point en mouvement par un rectangle.
C. Remplacer le point en mouvement par une ligne.
D. Remplacer le point en mouvement par un triangle.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
B
« Pour démontrer ce point, Karl Duncker, psychologue Gestaltiste qui a initié l’étude du mouvement induit à la fin des années 20, réalisa une variante de l’expérience qui vient d’être décrite, en remplaçant le point en mouvement par un rectangle qui entourait le point stationnaire. » (Rock, 2000, p. 195)
Pourquoi l’objet le plus grand ou englobant est-il perçu comme stationnaire ?
A. Parce qu’il change de couleur.
B. Parce qu’il change de taille.
C. Parce qu’il représente le monde visuel dans son ensemble.
D. Parce qu’il change de forme.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
C
« Peut-être parce que l’objet le plus grand ou englobant sert de représentant du monde visuel dans son ensemble. Le monde comme un tout est perçu comme stationnaire, de telle manière que toute chose qui le représente est perçue comme stationnaire. » (Rock, 2000, p. 195)
Comment le mouvement perçu d’un objet est-il déterminé lorsqu’il bouge devant un fond stationnaire ?
A. Par un seul facteur.
B. Par deux facteurs indépendants.
C. Par trois facteurs.
D. Par aucun facteur.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
B
« Lorsqu’un objet bouge devant un fond stationnaire, il peut sembler correct de conclure que son mouvement perçu est surdéterminé, c’est-à-dire déterminé par plus d’un facteur. […] Dans des cas typiques de mouvement d’objet, le mouvement perçu semble être gouverné par deux facteurs indépendants. » (Rock, 2000, p. 195)
Quand un objet est-il perçu en mouvement sur la seule base de son changement égocentrique ?
A. Lorsqu’il bouge lentement.
B. Lorsqu’il change de couleur.
C. Lorsqu’il bouge assez vite.
D. Lorsqu’il change de forme.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
C
« S’il bouge assez vite, il sera perçu en mouvement sur la seule base de son changement égocentrique, même si rien d’autre n’est visible. » (Rock, 2000, p. 195)
Pourquoi un objet est-il vu bouger même si son mouvement est en dessous du seuil de perception ?
A. À cause de son déplacement relativement au fond.
B. À cause de son changement de couleur.
C. À cause de son changement de taille.
D. À cause de son changement de forme.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
A
« Mais, étant donné son déplacement relativement au fond, il sera vu bouger même si son mouvement est en dessous du seuil de perception. » (Rock, 2000, p. 195)
Quelle tendance pourrait être conçue comme une présupposition du système perceptif ?
A. La tendance à percevoir les objets en mouvement.
B. La tendance à percevoir les objets en couleur.
C. La tendance à percevoir les objets stationnaires.
D. La tendance à percevoir les objets en forme.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
C
« Le monde comme un tout est perçu comme stationnaire, de telle manière que toute chose qui le représente est perçue comme stationnaire. Cette tendance pourrait être conçue comme une présupposition ou une préférence exprimée par le système perceptif. » (Rock, 2000, p. 195)
Que ressentons-nous souvent lorsque nous nous arrêtons en voiture à un feu rouge et qu’une voiture voisine commence à reculer ?
A. Que notre propre voiture avance.
B. Que notre propre voiture recule.
C. Que la voiture voisine avance.
D. Que la voiture voisine reste immobile.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
A
« Si une voiture voisine commence à reculer, nous ressentons souvent que c’est notre propre voiture qui avance et nous freinons. » (Rock, 2000, p. 195)
Quelle illusion démontre le mouvement induit de soi ?
A. L’illusion de la balançoire hantée.
B. L’illusion de la voiture en mouvement.
C. L’illusion du train en mouvement.
D. L’illusion de la chute d’eau.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
A
« Le mouvement induit de soi fut démontré dans l’illusion de la balançoire hantée, une exhibition à la foire de San Francisco de 1894. » (Rock, 2000, p. 195)
Pourquoi les observateurs ne tombaient-ils pas dans l’illusion de la balançoire hantée ?
A. Parce que la balançoire était sécurisée.
B. Parce que la balançoire ne se déplaçait que légèrement.
C. Parce que les observateurs étaient attachés.
D. Parce que la pièce était en mouvement.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
B
« Personne ne tombait pourtant, pour la simple raison que la balançoire ne se déplaçait que légèrement. C’est la pièce qui se balançait. » (Rock, 2000, p. 195)
Quel facteur est déterminant dans les cas de mouvement induit de soi ?
A. Le changement de couleur.
B. Le changement de taille.
C. Le déplacement relatif.
D. Le changement de forme.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
C
« Le déplacement relatif est clairement le facteur déterminant dans ces cas. » (Rock, 2000, p. 195)
Que ressentons-nous parfois lorsque nous regardons une chute d’eau depuis un bateau ou un pont ?
A. Que la chute d’eau est immobile.
B. Que nous sommes en mouvement.
C. Que la chute d’eau change de couleur.
D. Que nous sommes immobiles.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
B
« Lorsque nous regardons une chute d’eau depuis un bateau ou un pont, nous nous sentons parfois en mouvement. » (Rock, 2000, p. 195)
Pourquoi l’information relative au changement de direction de la scène environnante est-elle ambiguë ?
A. Parce que nous avons une information claire sur notre propre mouvement.
B. Parce que nous n’avons pas une information claire sur notre propre mouvement.
C. Parce que la scène environnante change de couleur.
D. Parce que la scène environnante change de taille.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
B
« À moins que nous n’ayons une information claire à propos de notre propre mouvement, comme lorsque nous marchons, une information relative au changement de direction de la scène environnante sera ambiguë. » (Rock, 2000, p. 195)
Quelle pourrait être la cause du mouvement perçu ?
A. Un mouvement du monde extérieur.
B. Notre propre mouvement.
C. Un changement de couleur.
D. Un changement de taille.
E. Aucune de ces réponses.
F. A et B.
F
« Elle pourrait être le résultat d’un mouvement du monde extérieur ou encore elle pourrait être le résultat de notre propre mouvement. » (Rock, 2000, p. 196)
Comment est étudié le mouvement induit de soi en laboratoire ?
A. En faisant asseoir l’observateur dans un tambour en rotation.
B. En faisant courir l’observateur.
C. En faisant sauter l’observateur.
D. En faisant nager l’observateur.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
A
« En laboratoire, le mouvement induit de soi est étudié en faisant asseoir l’observateur dans un tambour en rotation tapissé de bandes. » (Rock, 2000, p. 196)
D’où provient habituellement l’information non visuelle sur notre mouvement ?
A. Des yeux.
B. Des oreilles.
C. De l’appareil vestibulaire dans l’oreille interne.
D. De la peau.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
C
« L’information non visuelle provient habituellement de l’appareil vestibulaire dans l’oreille interne. » (Rock, 2000, p. 196)
Quand l’information non visuelle sur notre mouvement est-elle disponible ?
A. Lors d’un changement de vitesse.
B. Lors d’un changement rapide de direction.
C. Lors d’un mouvement constant.
D. Lors d’un changement de couleur.
E. Aucune de ces réponses.
F. A et B.
F
« Elle est seulement disponible lors d’un changement de vitesse, ou d’un changement rapide de direction. » (Rock, 2000, p. 196)
Comment interprétons-nous l’absence de signaux non visuels à l’intérieur du tambour ?
A. Comme un signe que nous sommes stationnaires.
B. Comme un signe que nous tournons à vitesse constante.
C. Comme un signe que nous changeons de couleur.
D. Comme un signe que nous changeons de taille.
E. Aucune de ces réponses.
F. A et B.
F
« En conséquence, à l’intérieur du tambour, nous pouvons interpréter l’absence de signaux non visuels comme indiquant soit que nous sommes stationnaires soit que nous tournons à vitesse constante. » (Rock, 2000, p. 196)
Que suppose le système perceptif à propos du tambour ?
A. Qu’il est en mouvement.
B. Qu’il change de couleur.
C. Qu’il est stationnaire.
D. Qu’il change de taille.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
C
« Le système perceptif suppose que le tambour, représentant l’environnement, est stationnaire. » (Rock, 2000, p. 196)
Comment interprétons-nous les changements de direction des bandes du tambour ?
A. Comme un signe que nous changeons de couleur.
B. Comme un signe que nous changeons de taille.
C. Comme un signe que nous tournons.
D. Comme un signe que nous sommes stationnaires.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
C
« Ainsi, nous interprétons les changements de direction des bandes du tambour comme le signe que nous tournons. » (Rock, 2000, p. 196)
Quelle est la première interprétation du mouvement du tambour ?
A. Que le tambour est stationnaire.
B. Que le tambour est en rotation.
C. Que le tambour change de couleur.
D. Que le tambour change de taille.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
B
« Au début, le tambour semble en rotation. » (Rock, 2000, p. 196)
Que ressentons-nous lorsque le tambour semble s’arrêter complètement ?
A. Que nous sommes immobiles.
B. Que nous tournons à une vitesse proche de celle du tambour.
C. Que nous changeons de couleur.
D. Que nous changeons de taille.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
B
« Finalement, le tambour semble s’arrêter complètement, et nous nous sentons alors en rotation à une vitesse proche de celle du tambour. » (Rock, 2000, p. 196)
Qu’est-ce que la capture visuelle ?
A. La tendance qu’a une perception visuelle à ignorer les perceptions non visuelles.
B. La tendance qu’a une perception visuelle à forcer les perceptions non visuelles à s’accorder à elle.
C. La tendance qu’a une perception visuelle à changer de couleur.
D. La tendance qu’a une perception visuelle à changer de taille.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
B
« Le sentiment que nous tournons est un autre exemple de ce que nous avons appelé dans le chapitre 5 la capture visuelle — la tendance qu’a une perception visuelle à forcer les perceptions non visuelles, telles que celles liées au toucher, à la proprioception ou à l’audition, à s’accorder à elle. » (Rock, 2000, p. 196)
Quels sont les facteurs déterminants du mouvement induit de soi ?
A. Le changement de couleur.
B. Le changement de taille.
C. Le déplacement relatif et un cadre de référence.
D. Le changement de forme.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
C
« Il semble alors que le mouvement induit de soi suit les mêmes principes que le mouvement induit des objets. Un déplacement relatif et un cadre de référence sont encore ici les facteurs déterminants. » (Rock, 2000, p. 196)
Que fait l’animal dans l’effet optomoteur ?
A. Il change de couleur.
B. Il change de taille.
C. Il tourne ou se déplace dans la direction de la rotation du tambour.
D. Il change de forme.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
C
« Dans l’effet optomoteur, l’animal tourne ou se déplace dans la direction de la rotation du tambour. » (Rock, 2000, p. 196)
Que ressentent les observateurs dans l’effet de mouvement induit ?
A. Ils se sentent immobiles.
B. Ils se sentent en rotation.
C. Ils se sentent changer de couleur.
D. Ils se sentent changer de taille.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
B
« Dans l’effet de mouvement induit, les observateurs se sentent en rotation et ne font rien, si ce n’est avec leurs yeux. » (Rock, 2000, p. 196)
Que font les observateurs s’ils ne fixent pas un point stationnaire devant les bandes en mouvement ?
A. Ils changent de couleur.
B. Ils changent de taille.
C. Ils tournent les yeux, poursuivant les bandes mobiles.
D. Ils changent de forme.
E. Aucune de ces réponses.
F. Toutes ces réponses.
C
« Si on ne leur demande pas de fixer un point stationnaire devant les bandes en mouvement, les observateurs tourneront les yeux, poursuivant les bandes mobiles jusqu’à ce que chaque bande poursuivie ne sorte du champ visuel. » (Rock, 2000, p. 196)