Semaine 1 - Grondin, 2019, p. 1-21 Flashcards
Quels sont les trois types de capacités d’intérêt étudiées par les psychophysiciens ?
A. L’analyse des comportements, la discrimination des stimuli, et l’échelonnage de leur valeur.
B. La détection des stimuli, l’analyse des comportements, et l’échelonnage de leur valeur.
C. La discrimination des stimuli, l’analyse des comportements, et l’échelonnage de leur valeur.
D. La détection des stimuli, la discrimination des stimuli, et l’analyse des comportements.
E. La détection des stimuli, la discrimination des stimuli, et l’échelonnage de leur valeur.
F. Aucune de ces réponses.
E.
« On y étudie le lien entre la mesure physique d’une stimulation et la mesure psychologique de cette stimulation. Les psychophysiciens s’intéressent essentiellement à trois types de capacités: la détection des stimuli, la discrimination de ceux-ci et l’estimation (l’échelonnage) de leur valeur. Les deux premiers types sont associés aux notions fondamentales de seuil absolu et de seuil différentiel, respectivement. » (Grondin, 2013, p. 1)
À quelles notions fondamentales sont associés les deux premiers types de capacités étudiées par les psychophysiciens que sont la détection de stimuli et leur discrimination?
A. Seuil absolu et seuil perceptuel.
B. Seuil absolu et seuil relatif.
C. Seuil différentiel et seuil relatif.
D. Seuil absolu et seuil différentiel.
E. Seuil perceptuel et seuil relatif.
F. Aucune de ces réponses.
D. Seuil absolu et seuil différentiel.
« Les psychophysiciens s’intéressent essentiellement à trois types de capacités: la détection des stimuli, la discrimination de ceux-ci et l’estimation (l’échelonnage) de leur valeur. Les deux premiers types sont associés aux notions fondamentales de seuil absolu et de seuil différentiel, respectivement. » (Grondin, 2013, p. 1)
Quel est l’objectif fondamental de la psychophysique ?
A. Évaluer les changements chimiques
B. Évaluer les changements physiques
C. Évaluer l’amplitude minimale des changements
D. Évaluer la quantité maximale d’énergie
E. Évaluer les stimuli constants
F. Aucune de ces réponses
C
« Un objectif fondamental de la psychophysique consiste à évaluer l’amplitude minimale que doivent avoir ces changements afin qu’un individu puisse en être averti. Cette amplitude minimale, c’est-à-dire la plus petite quantité d’énergie pouvant être détectée en l’absence de toute autre stimulation, est appelée seuil absolu. » (Grondin, 2013, p. 1)
Qu’est-ce que le seuil absolu ?
A. La plus grande quantité d’énergie détectable
B. La plus petite quantité d’énergie détectable
C. La quantité moyenne d’énergie détectable
D. La quantité d’énergie détectable en présence d’autres stimuli
E. La quantité d’énergie détectable en l’absence de stimuli
F. Aucune de ces réponses
B
« Cette amplitude minimale, c’est-à-dire la plus petite quantité d’énergie pouvant être détectée en l’absence de toute autre stimulation, est appelée seuil absolu. Sous ce seuil, la sensation n’est pas possible. Cependant, ce seuil est un point dont l’identification correspond à une définition opérationnelle pour une méthode donnée. » (Grondin, 2013, p. 1)
Quelle méthode n’est pas mentionnée comme conventionnelle pour estimer un seuil ?
A. Méthode des stimuli constants
B. Méthode des limites
C. Méthode de l’ajustement
D. Méthode de la détection
E. Méthode des stimuli variables
F. Aucune de ces réponses
D, E
« La psychophysique traditionnelle offre de nombreuses méthodes d’estimation d’un seuil. Les plus conventionnelles sont celles des stimuli constants, des limites et de l’ajustement. Pour l’instant, seule la méthode des stimuli constants est présentée. » (Grondin, 2013, p. 1)
Quelle est la définition opérationnelle du seuil absolu ?
A. La plus grande quantité d’énergie détectable
B. La plus petite quantité d’énergie détectable
C. La quantité d’énergie détectable en présence d’autres stimuli
D. La quantité d’énergie détectable en l’absence de stimuli
E. La quantité moyenne d’énergie détectable
F. Aucune de ces réponses
B
« Cette amplitude minimale, c’est-à-dire la plus petite quantité d’énergie pouvant être détectée en l’absence de toute autre stimulation, est appelée seuil absolu. Sous ce seuil, la sensation n’est pas possible. Cependant, ce seuil est un point dont l’identification correspond à une définition opérationnelle pour une méthode donnée. » (Grondin, 2013, p. 1)
Quand la psychophysique a-t-elle pris son envol selon le texte ?
A. 1801
B. 1887
C. 1860
D. 1985
E. 1870
F. Aucune de ces réponses
C
« On pourrait dire que la psychophysique a pris son envol en 1860 avec la parution du livre Éléments de psychophysique de l’Allemand Gustav Theodor Fechner (1801-1887). Philosophe et physicien, cet auteur désirait étudier les liens entre le monde interne et le monde externe. Aussi connu sous le pseudonyme “Dr Mise”, Fechner, qui a travaillé à Leipzig, avait un esprit particulier. » (Grondin, 2013, p. 2)
Quelle est la première étape pour mesurer un seuil absolu avec la méthode des stimuli constants ?
A. Déterminer d’un seul stimulus défini comme stimulus standard.
B. Présenter les stimuli dans un ordre fixe.
C. Déterminer une région de perception constante.
D. Faire un seul jugement.
E. Utiliser des stimuli de même intensité.
F. Aucune de ces réponses.
C. Déterminer une région de perception constante.
« Pour mesurer un seuil absolu avec la méthode des stimuli constants, aussi appelée la méthode constante, il faut d’abord déterminer le seuil de façon grossière en déterminant une région pour laquelle il n’y a presque jamais de perception et une pour laquelle il y a presque toujours perception. » (Grondin, 2013, p. 2)
Combien de stimuli sont généralement retenus pour mesurer un seuil absolu dans la méthode des stimuli constants ?
A. 2 à 4 stimuli.
B. 5 à 9 stimuli.
C. 10 à 15 stimuli.
D. 20 à 25 stimuli.
E. Plus de 30 stimuli.
F. Aucune de ces réponses.
B. 5 à 9 stimuli.
« On retient alors généralement de 5 à 9 stimuli situés entre ces régions, stimuli ensuite présentés plusieurs fois dans un ordre aléatoire. » (Grondin, 2013, p. 2)
Avec la méthode des stimuli constants, combien de jugements un observateur doit-il rendre au minimum pour estimer un seuil absolu ?
A. 10 jugements.
B. 50 jugements.
C. 100 jugements.
D. 200 jugements.
E. 500 jugements.
F. Aucune de ces réponses.
C. 100 jugements.
« La méthode nécessite qu’un observateur rende au moins une centaine de jugements… » (Grondin, 2013, p. 2)
Dans la méthode des stimuli constants comme en général en psychophysiologie, quelle est l’importance d’augmenter le nombre d’essais pour estimer un seuil absolu ?
A. Pour augmenter la difficulté.
B. Pour réduire le risque d’erreur.
C. Pour rendre l’expérience plus longue.
D. Pour tester différents stimuli.
E. Pour améliorer la précision.
F. Aucune de ces réponses.
B. Pour réduire le risque d’erreur.
« …plus il y a d’essais pour estimer un seuil, plus on minimise le risque que la valeur estimée soit éloignée de ce qu’est le seuil réel. » (Grondin, 2013, p. 2)
Quelle est la forme générale d’une fonction psychométrique ?
A. Une ligne droite
B. Une courbe en cloche
C. Une ogive
D. Un cercle
E. Une parabole
F. Aucune de ces réponses
C. Une ogive
« La fonction qui relie la probabilité sur l’axe des y à la magnitude d’un continuum physique, sur l’axe des x, est appelée fonction psychométrique. Une telle fonction a généralement la forme d’une ogive – une espèce de S – et le seuil est défini opérationnellement comme étant le point qui correspond à une capacité de percevoir lors de 50% des essais. » (Grondin, 2013, p. 2)
À quel pourcentage des essais le seuil est-il défini opérationnellement ?
A. 25%
B. 50%
C. 75%
D. 100%
E. 0%
F. Aucune de ces réponses
B. 50%
« Une telle fonction a généralement la forme d’une ogive – une espèce de S – et le seuil est défini opérationnellement comme étant le point qui correspond à une capacité de percevoir lors de 50% des essais. Cette valeur, 50%, représente le point à partir duquel un observateur réussit à détecter le stimulus à un niveau supérieur à celui que leur auraient procuré, avec une procédure où deux réponses (oui ou non) sont possibles, des réponses rendues au hasard. » (Grondin, 2013, p. 2)
Que représente l’axe des y dans une fonction psychométrique ?
A. La magnitude des stimuli
B. Le nombre de stimuli
C. Le pourcentage de détection du stimulus
D. La fréquence des stimuli
E. La probabilité de non-détection
F. Aucune de ces réponses
C. Le pourcentage de détection du stimulus
« Après avoir calculé les probabilités pour chaque stimulus, on peut rapporter celles-ci sur une figureCom. » (Grondin, 2013, p. 2)
Quelle est la première étape pour mesurer un seuil absolu avec la méthode des stimuli constants ?
A. Calculer les probabilités
B. Déterminer le seuil de façon grossière
C. Présenter les stimuli plusieurs fois
D. Transformer les fréquences en probabilités
E. Tracer une fonction psychométrique
F. Aucune de ces réponses
B. Déterminer le seuil de façon grossière
« Pour mesurer un seuil absolu avec la méthode des stimuli constants, aussi appelée la méthode constante, il faut d’abord déterminer le seuil de façon grossière en déterminant une région pour laquelle il n’y a presque jamais de perception et une pour laquelle il y a presque toujours perception. » (Grondin, 2013, p. 2)
Que représente une valeur de 50% dans une fonction psychométrique ?
A. Le point où le stimulus est toujours détecté
B. Le point où le stimulus n’est jamais détecté
C. Le point où le stimulus est détecté 50% du temps
D. Le point où le stimulus est détecté 25% du temps
E. Le point où le stimulus est détecté 75% du temps
F. Aucune de ces réponses
C. Le point où le stimulus est détecté 50% du temps
« Une telle fonction a généralement la forme d’une ogive – une espèce de S – et le seuil est défini opérationnellement comme étant le point qui correspond à une capacité de percevoir lors de 50% des essais. Cette valeur, 50%, représente le point à partir duquel un observateur réussit à détecter le stimulus à un niveau supérieur à celui que leur auraient procuré, avec une procédure où deux réponses (oui ou non) sont possibles, des réponses rendues au hasard. » (Grondin, 2013, p. 2)
Que représente la ligne verticale pointillée sur l’axe des x dans la Figure 1.1 ?
A. Le seuil différentiel
B. Le seuil absolu
C. La fréquence du son
D. L’amplitude du son
E. La méthode des stimuli constants
F. Aucune de ces réponses
B. Le seuil absolu
« La ligne verticale pointillée arrivant sur l’axe des x indique le seuil absolu. Pour mesurer un seuil absolu avec la méthode des stimuli constants, aussi appelée la méthode constante, il faut d’abord déterminer le seuil de façon grossière en déterminant une région pour laquelle il n’y a presque jamais de perception et une pour laquelle il y a presque toujours perception. » (Grondin, 2013, p. 2)
Quelle méthode est utilisée pour mesurer un seuil absolu dans la Figure 1.1 ?
A. La méthode des limites
B. La méthode de l’ajustement
C. La méthode des stimuli constants
D. La méthode adaptative
E. La méthode de l’échelonnage
F. Aucune de ces réponses
C. La méthode des stimuli constants
« Pour mesurer un seuil absolu avec la méthode des stimuli constants, aussi appelée la méthode constante, il faut d’abord déterminer le seuil de façon grossière en déterminant une région pour laquelle il n’y a presque jamais de perception et une pour laquelle il y a presque toujours perception. » (Grondin, 2013, p. 2)
Quelle est la première hypothèse à poser pour tracer une fonction sur la base d’une série de points ?
A. Que le phénomène étudié soit une variable aléatoire continue.
B. Que la distribution discrète soit une approximation d’une fonction continue.
C. Que la fonction soit une distribution normale.
D. Que la fonction soit une distribution Weibull.
E. Que la fonction soit une distribution logistique.
F. Aucune de ces réponses
A. Que le phénomène étudié soit une variable aléatoire continue.
« Pour tracer une fonction sur la base d’une série de points, il faut poser certaines hypothèses. Une première hypothèse est celle selon laquelle le phénomène étudié soit une variable aléatoire continue. Ainsi croirons-nous que la distribution discrète obtenue (série de points) est une approximation d’une fonction continue. » (Grondin, 2013, p. 3)
Quelle forme de fonction est souvent retenue en psychologie pour tracer une fonction psychométrique ?
A. Distribution normale.
B. Distribution Weibull.
C. Distribution logistique.
D. Distribution uniforme.
E. Distribution exponentielle.
F. Aucune de ces réponses
A. Distribution normale.
« Aussi, il faudra poser une hypothèse sur la forme de cette fonction. Les mathématiques offrent plusieurs possibilités, mais une fonction souvent retenue en psychologie est la distribution normale. Le lecteur est probablement déjà familier avec la notion de distribution normale (courbe normale, ou courbe de Gauss, en forme de cloche). » (Grondin, 2013, p. 3)
Quelle fonction est utilisée pour tracer une fonction psychométrique ?
A. Fonction de densité de probabilités.
B. Fonction normale cumulée.
C. Fonction de répartition.
D. Fonction de distribution.
E. Fonction de probabilité.
F. Aucune de ces réponses
B. Fonction normale cumulée.
« La fonction utilisée pour tracer une fonction psychométrique est dérivée de la fonction en forme de cloche (fonction de densité de probabilités) et est appelée fonction normale cumulée. C’est après avoir tracé cette fonction qu’il sera possible d’estimer précisément la valeur du seuil. » (Grondin, 2013, p. 3)
Quelles autres fonctions, en plus de la fonction normale cumulée, sont susceptibles d’être utilisées pour tracer une fonction psychométrique ?
A. Fonction de répartition et fonction de densité.
B. Fonction de distribution et fonction de probabilité.
C. Fonction Weibull et fonction logistique.
D. Fonction uniforme et fonction exponentielle.
E. Fonction de Gauss et fonction de Poisson.
F. Aucune de ces réponses
C. Fonction Weibull et fonction logistique.
« Outre la fonction gaussienne cumulée, les fonctions Weibull et logistiques, qui ont des formes semblables, sont probablement les plus susceptibles d’être utilisées (Macmillan et Creelman, 1991). » (Grondin, 2013, p. 3)
Quelle est la fonction dérivée de la distribution normale utilisée pour tracer une fonction psychométrique ?
A. Fonction de densité de probabilités.
B. Fonction de répartition.
C. Fonction normale cumulée.
D. Fonction de distribution.
E. Fonction de probabilité.
F. Aucune de ces réponses
C. Fonction normale cumulée.
« La fonction utilisée pour tracer une fonction psychométrique est dérivée de la fonction en forme de cloche (fonction de densité de probabilités) et est appelée fonction normale cumulée. C’est après avoir tracé cette fonction qu’il sera possible d’estimer précisément la valeur du seuil. » (Grondin, 2013, p. 3)
Quel problème majeur peut survenir lors de l’estimation de la capacité de détecter un stimulus avec la méthode des stimuli constants ?
A. La variabilité des stimuli.
B. La sensibilité de l’observateur.
C. La manière dont l’observateur rend ses décisions.
D. La fréquence des essais.
E. La durée des essais.
F. Aucune de ces réponses
B. La sensibilité de l’observateur
C. La manière dont l’observateur rend ses décisions.
« La capacité estimée pourrait dépendre non seulement de la sensibilité d’un observateur, mais aussi de la manière avec laquelle celui-ci rend ses décisions. Un observateur pourrait très bien attendre d’être sûr avant de rendre une décision, avant de déclarer percevoir le stimulus tandis qu’un autre, en situation de doute, aurait plutôt tendance à dire «oui, je perçois». » (Grondin, 2013, p. 4)
Quelle méthode a été élaborée dans les années 1940 pour déterminer la sensibilité de l’observateur tout en corrigeant le problème des processus décisionnels ?
A. La méthode des stimuli constants.
B. La méthode des limites.
C. La méthode de l’ajustement.
D. La théorie sur la détection du signal.
E. La méthode de l’échelonnage.
F. Aucune de ces réponses
D. La théorie sur la détection du signal.
« Il existe une méthode, élaborée dans les années 1940, pour déterminer la sensibilité de l’observateur à détecter un stimulus tout en corrigeant le problème que pose le rôle des processus décisionnels. C’est ainsi que la théorie sur la détection du signal (TDS), également appelée la théorie sur la décision sensorielle, utilise deux paramètres pour décrire la performance: l’un relié à la sensibilité et l’autre à la manière de décider de l’observateur. » (Grondin, 2013, p. 4)
Quels sont les deux paramètres utilisés par la théorie sur la détection du signal pour décrire la performance ?
A. La sensibilité et la spécificité.
B. La sensibilité et la manière de décider.
C. La spécificité et la manière de décider.
D. La précision et la sensibilité.
E. La précision et la spécificité.
F. Aucune de ces réponses
B. La sensibilité et la manière de décider.
« C’est ainsi que la théorie sur la détection du signal (TDS), également appelée la théorie sur la décision sensorielle, utilise deux paramètres pour décrire la performance: l’un relié à la sensibilité et l’autre à la manière de décider de l’observateur. » (Grondin, 2013, p. 4)
Comment un observateur peut-il influencer l’estimation de sa capacité à détecter un stimulus ?
A. En augmentant la fréquence des essais.
B. En réduisant la durée des essais.
C. En attendant d’être sûr avant de rendre une décision.
D. En déclarant percevoir le stimulus en situation de doute.
E. En utilisant des stimuli constants.
F. Aucune de ces réponses
C. En attendant d’être sûr avant de rendre une décision
D. En déclarant percevoir le stimulus en situation de doute.
« Un observateur pourrait très bien attendre d’être sûr avant de rendre une décision, avant de déclarer percevoir le stimulus tandis qu’un autre, en situation de doute, aurait plutôt tendance à dire «oui, je perçois». » (Grondin, 2013, p. 4)
Quel est l’autre nom de la théorie sur la détection du signal ?
A. La théorie de la décision sensorielle.
B. La théorie de la perception sensorielle.
C. La théorie de la sensibilité sensorielle.
D. La théorie de la détection sensorielle.
E. La théorie de la réponse sensorielle.
F. Aucune de ces réponses
A. La théorie de la décision sensorielle.
« C’est ainsi que la théorie sur la détection du signal (TDS), également appelée la théorie sur la décision sensorielle, utilise deux paramètres pour décrire la performance: l’un relié à la sensibilité et l’autre à la manière de décider de l’observateur. » (Grondin, 2013, p. 4)
Pourquoi la théorie sur la détection du signal a-t-elle été développée ?
A. Pour améliorer la précision des essais.
B. Pour corriger le problème des processus décisionnels.
C. Pour déterminer la sensibilité de l’observateur à détecter un stimulus.
D. Pour réduire la durée des essais.
E. Pour utiliser des stimuli constants.
F. Aucune de ces réponses
B. Pour corriger le problème des processus décisionnels.
C. Pour déterminer la sensibilité de l’observateur à détecter un stimulus.
« Il existe une méthode, élaborée dans les années 1940, **pour déterminer la sensibilité de l’observateur à détecter un stimulus tout en corrigeant le problème que pose le rôle des processus décisionnels. » (Grondin, 2013, p. 4)
Outre les deux paramètres fondamentaux de la TDS que sont la sensibilité et la manière de décider, quels en sont les deux concepts fondamentaux pour comprendre et appréhender la TDS ?
A. Le signal et le bruit
B. Le stimulus et la réponse
C. La perception et l’attention
D. La sensation et la perception
E. Le seuil absolu et le seuil différentiel
F. Aucune de ces réponses
A. Le signal et le bruit
« Pour comprendre la TDS, il faut d’abord connaître deux concepts fondamentaux : le signal et le bruit. Le signal (S) et le bruit (B) sont à la base de tout message sensoriel. Le stimulus que l’on tente de détecter, appelé signal, a des caractéristiques précises et stables. » (Grondin, 2013, p. 4)
Dans la TDS, comment le bruit peut-il être défini ?
A. Comme une variable aléatoire
B. Comme une variable stable
C. Comme une variable constante
D. Comme une variable fixe
E. Comme une variable déterminée
F. Aucune de ces réponses
A. Comme une variable aléatoire
« Le bruit peut être défini comme une variable aléatoire et il varie constamment. Cette variable prend différentes valeurs qui se distribuent, assume-t-on le plus souvent, selon les caractéristiques de la courbe normale. » (Grondin, 2013, p. 4)
Dans la TDS, qu’est-ce que le bruit comprend ?
A. Une activité externe
B. Une activité interne
C. Une activité externe et interne
D. Une activité sensorielle
E. Une activité perceptive
F. Aucune de ces réponses
C. Une activité externe et interne
« Ce bruit comprend une activité externe (contrôlée par l’expérimentateur) et l’activité physiologique interne (générée par le système nerveux). » (Grondin, 2013, p. 4)
Dans une tâche propre à la TDS, que doit faire un observateur dans une tâche de détection de signal ?
A. Détecter le bruit seul
B. Détecter le signal seul
C. Détecter le bruit et le signal
D. Décider si c’était le bruit seul ou le bruit avec un signal
E. Décider si c’était le signal seul ou le bruit avec un signal
F. Aucune de ces réponses
D. Décider si c’était le bruit seul ou le bruit avec un signal
« Dans une tâche propre à la TDS, un observateur doit rendre la décision suivante à propos de ce qui a été présenté: était-ce le bruit seul ou le bruit à travers lequel un signal était ajouté (S+B)?8 » (Grondin, 2013, p. 4)
Dans une tâche propre à la TDS, que doit adopter un observateur soumis à une tâche de détection de signal ?
A. Un critère de décision
B. Un seuil absolu
C. Un seuil différentiel
D. Une méthode d’ajustement
E. Une méthode des limites
F. Aucune de ces réponses
A. Un critère de décision
« Un observateur soumis à une tâche de détection de signal doit adopter un critère de décision. Ce critère est appelé bêta (ß). » (Grondin, 2013, p. 4)
Quelle est la relation entre le signal et le bruit dans la TDS ?
A. Le signal est stable et le bruit varie
B. Le signal varie et le bruit est stable
C. Le signal et le bruit sont stables
D. Le signal et le bruit varient
E. Le signal et le bruit sont constants
F. Aucune de ces réponses
A. Le signal est stable et le bruit varie
« Le stimulus que l’on tente de détecter, appelé signal, a des caractéristiques précises et stables. Le bruit peut être défini comme une variable aléatoire et il varie constamment. » (Grondin, 2013, p. 4)
Quel est l’indice de performance le plus conventionnel pour mesurer la sensibilité en TDS ?
A. d’
B. Z
C. A’
D. ß
E. c
F. Aucune de ces réponses
A. d’
« Parmi les indices de performance utilisés pour mesurer la sensibilité, le plus conventionnel est probablement d’ (on prononce d prime). On peut définir d’ comme la différence entre les moyennes des distributions B et SB, divisée par l’écart-type de la distribution bruit ; d’ est un indice pur de détectabilité en ce sens qu’il n’est pas influencé par le critère décisionnel. » (Grondin, 2013, p. 5)
Dans la TDS, comment est défini l’indice d’ ?
A. La différence entre les moyennes des distributions B et SB
B. La somme des moyennes des distributions B et SB
C. La différence entre les écarts-types des distributions B et SB
D. La somme des écarts-types des distributions B et SB
E. La différence entre les moyennes des distributions B et SB, divisée par l’écart-type de la distribution bruit
F. Aucune de ces réponses
E. La différence entre les moyennes des distributions B et SB, divisée par l’écart-type de la distribution bruit
« On peut définir d’ comme la différence entre les moyennes des distributions B et SB, divisée par l’écart-type de la distribution bruit ; d’ est un indice pur de détectabilité en ce sens qu’il n’est pas influencé par le critère décisionnel. » (Grondin, 2013, p. 5)
Pour un observateur soumis à une tâche de détection, quel indice est influencé par le critère décisionnel ?
A. d’
B. Z
C. A’
D. ß
E. c
F. Aucune de ces réponses
D. ß
« En ce qui concerne le critère décisionnel, il peut être estimé à l’aide de ß. Cet indice consiste en un rapport des ordonnées correspondant à l’emplacement du critère décisionnel pour chaque distribution (B et S+B). » (Grondin, 2013, p. 5)
Pour la TDS, quelle est la formule pour calculer d’ ?
A. Z(détection correcte) + Z(fausse alarme)
B. Z(détection correcte) - Z(fausse alarme)
C. Z(détection correcte) * Z(fausse alarme)
D. Z(détection correcte) / Z(fausse alarme)
E. Z(détection correcte) - Z(fausse alarme) / 2
F. Aucune de ces réponses
B. Z(détection correcte) - Z(fausse alarme)
« On peut calculer facilement d’ sur la base des détections correctes et des fausses alarmes obtenues empiriquement. On obtiendra une évaluation de d’ en transformant en scores Z les probabilités d’obtenir une détection correcte et une fausse alarme. Ainsi : d’ = Z(détection correcte) – Z(fausse alarme) » (Grondin, 2013, p. 5)
TDS: comment peut-on calculer facilement d’ ?
A. En utilisant les détections correctes et les fausses alarmes obtenues empiriquement.
B. En utilisant les détections correctes et les fausses alarmes obtenues théoriquement.
C. En utilisant uniquement les détections correctes.
D. En utilisant uniquement les fausses alarmes.
E. En utilisant les détections correctes et les omissions.
F. Aucune de ces réponses
A. En utilisant les détections correctes et les fausses alarmes obtenues empiriquement.
« On peut calculer facilement d’ sur la base des détections correctes et des fausses alarmes obtenues empiriquement. On obtiendra une évaluation de d’ en transformant en scores Z les probabilités d’obtenir une détection correcte et une fausse alarme. » (Grondin, 2013, p. 6)
TDS: Quelle est la formule pour calculer d’ ?
A. d’ = Z(détection correcte) + Z(fausse alarme)
B. d’ = Z(détection correcte) - Z(fausse alarme)
C. d’ = Z(détection correcte) * Z(fausse alarme)
D. d’ = Z(détection correcte) / Z(fausse alarme)
E. d’ = Z(détection correcte) - Z(fausse alarme) / 2
F. Aucune de ces réponses
B. d’ = Z(détection correcte) - Z(fausse alarme)
« d’ = Z(détection correcte) – Z(fausse alarme). » (Grondin, 2013, p. 6)
Quelle est la valeur de Z pour une détection correcte de 90 % ?
A. 0,67
B. 1,28
C. -0,67
D. -1,28
E. 0,90
F. Aucune de ces réponses
B. 1,28
« Puisque la valeur de 90% en score Z = 1,28 et celle de 25 % = - 0,67, sa sensibilité est estimée à une valeur de d’ égale à 1,95 (c’est-à-dire 1,28 – (- 0,67)). » (Grondin, 2013, p. 6)
Quelle est la valeur de Z pour une fausse alarme de 25 % ?
A. 0,67
B. 1,28
C. -0,67
D. -1,28
E. 0,25
F. Aucune de ces réponses
C. -0,67
« Puisque la valeur de 90% en score Z = 1,28 et celle de 25 % = - 0,67, sa sensibilité est estimée à une valeur de d’ égale à 1,95 (c’est-à-dire 1,28 – (- 0,67)). » (Grondin, 2013, p. 6)
Quelle est la sensibilité estimée pour un observateur avec 90 % de détections correctes et 25 % de fausses alarmes ?
A. 0,61
B. 1,28
C. 1,95
D. 2,00
E. 2,28
F. Aucune de ces réponses
C. 1,95
« Puisque la valeur de 90% en score Z = 1,28 et celle de 25 % = - 0,67, sa sensibilité est estimée à une valeur de d’ égale à 1,95 (c’est-à-dire 1,28 – (- 0,67)). » (Grondin, 2013, p. 6)
Que représente la ligne verticale continue dans la Figure 1.2 ?
A. d’
B. ß
C. A’
D. Dm
E. d’e
F. Aucune de ces réponses
B. ß
« Figure 1.2 – Distributions Bruit et Signal + Bruit de la théorie sur la détection du signal (TDS). La ligne verticale continue représente ß, le critère décisionnel. La distance entre les lignes pointillées représente d’, l’indice de sensibilité. » (Grondin, 2013, p. 6)
Que représente la distance entre les lignes pointillées dans la Figure 1.2 ?
A. ß
B. A’
C. Dm
D. d’
E. d’e
F. Aucune de ces réponses
D. d’
« Figure 1.2 – Distributions Bruit et Signal + Bruit de la théorie sur la détection du signal (TDS). La ligne verticale continue représente ß, le critère décisionnel. La distance entre les lignes pointillées représente d’, l’indice de sensibilité. » (Grondin, 2013, p. 6)
Quelle hypothèse est posée pour rendre légitime la transformation de pourcentages en scores Z ?
A. Les distributions B et S+B sont uniformes.
B. Les distributions B et S+B sont exponentielles.
C. Les distributions B et S+B sont normales.
D. Les distributions B et S+B sont binomiales.
E. Les distributions B et S+B sont logistiques.
F. Aucune de ces réponses
C. Les distributions B et S+B sont normales.
« Il importe de souligner que cette transformation de pourcentages en scores Z est rendue légitime en posant l’hypothèse que les distributions B et S+B sont normales. » (Grondin, 2013, p. 6)
En ce qui concerne le critère décisionnel, comment peut-il être estimé ?
A. À l’aide de d’
B. À l’aide de ß
C. À l’aide de la méthode des stimuli constants
D. À l’aide de la méthode des limites
E. À l’aide de la méthode de l’ajustement
F. Aucune de ces réponses
B
« En ce qui concerne le critère décisionnel, il peut être estimé à l’aide de ß. (p. 7)
Comment est défini le seuil différentiel ?
A. Par une méthode subjective
B. Par une méthode arbitraire
C. Par une méthode scientifique
D. Par une méthode expérimentale
E. Par une méthode comparative
F. Aucune de ces réponses
B. Par une méthode arbitraire
« Ce seuil différentiel est défini, comme c’était le cas pour le seuil absolu, de façon arbitraire en fonction de la méthode utilisée, c.-à-d. sur la base d’une définition opérationnelle. Ce seuil, qui est le point à partir duquel un observateur devient capable de faire la différence entre deux stimuli, est parfois aussi appelé la “différence juste perceptible” » (p. 7)
Quelle est l’autre appellation du seuil différentiel ?
A. Seuil absolu
B. Seuil perceptuel
C. Différence juste perceptible
D. Seuil de détection
E. Seuil de perception
F. Aucune de ces réponses
C. Différence juste perceptible
« Ce seuil, qui est le point à partir duquel un observateur devient capable de faire la différence entre deux stimuli, est parfois aussi appelé la “différence juste perceptible” (DJP, ou JND en anglais, just noticeable difference) » (p. 7)
À partir de quel point un observateur devient-il capable de faire la différence entre deux stimuli ?
A. Seuil absolu
B. Seuil différentiel
C. Seuil perceptuel
D. Seuil de détection
E. Seuil de perception
F. Aucune de ces réponses
B. Seuil différentiel
« La différence d’intensité minimale nécessaire pour que deux stimuli puissent être différenciés est appelée seuil différentiel. Ce seuil différentiel est défini, comme c’était le cas pour le seuil absolu, de façon arbitraire en fonction de la méthode utilisée » (p. 7)
Combien de valeurs peut prendre le stimulus de comparaison dans la méthode des stimuli constants?
A. 3 à 5 valeurs.
B. 5 à 7 valeurs.
C. 7 à 9 valeurs.
D. 9 à 11 valeurs.
E. 11 à 13 valeurs.
F. Aucune de ces réponses.
C. 7 à 9 valeurs.
« Ce dernier peut prendre l’une de 7 à 9 valeurs réparties autour de la valeur standard. » (Grondin, 2013, p. 7)
Que doit faire un observateur dans la méthode des stimuli constants?
A. Ajuster l’intensité du stimulus.
B. Déterminer lequel des deux stimuli est de plus grande magnitude.
C. Identifier la présence d’un signal.
D. Estimer la fréquence d’un son.
E. Mesurer la durée d’un stimulus.
F. Aucune de ces réponses.
B. Déterminer lequel des deux stimuli est de plus grande magnitude.
« Afin d’estimer un seuil différentiel avec la méthode des stimuli constants, un observateur se voit présenter deux stimuli et doit déterminer lequel des deux stimuli est de plus grande magnitude. » (Grondin, 2013, p. 7)
Quelle est la première étape pour estimer un seuil différentiel avec la méthode des stimuli constants?
A. Présenter un stimulus de comparaison.
B. Déterminer le seuil absolu.
C. Présenter un stimulus standard.
D. Déterminer la région de perception.
E. Calculer la probabilité de détection.
F. Aucune de ces réponses.
C. Présenter un stimulus standard.
« La méthode comprend la présentation à chaque essai d’un stimulus standard et d’un stimulus de comparaison. » (Grondin, 2013, p. 7)
Compléter:
« Dans l’exemple suivant, on tente de déterminer le seuil différentiel pour un poids standard de 250 g à l’aide de présentations ———— du standard et d’un stimulus de comparaison. » (p. 8)
A. Conjointement
B. Successivement
C. Aléatoirement
D. Simultanément
E. De manière continue
F. Aucune de ces réponses
B
« Dans l’exemple suivant, on tente de déterminer le seuil différentiel pour un poids standard de 250 g à l’aide de présentations successives du standard et d’un stimulus de comparaison. » (p. 8)
Pour la méthode des stimuli constant, que représente l’axe des x dans la fonction psychométrique construite après les jugements ?
A. Les différentes valeurs des stimuli de comparaison
B. Les différentes valeurs des standards
C. Les différentes valeurs des stimuli de référence
D. Les différentes valeurs des stimuli de contrôle
E. Les différentes valeurs des stimuli de test
F. Aucune de ces réponses
A
« Sur l’axe des x de cette fonction, on place en ordre croissant les différentes valeurs des stimuli de comparaison. Sur l’axe des y, il y a la probabilité de trouver que le stimulus de comparaison est plus lourd que le standard. » (p. 8)
Que représente l’axe des y dans la fonction psychométrique construite après les jugements ?
A. La probabilité de trouver que le stimulus de comparaison est plus léger que le standard
B. La probabilité de trouver que le stimulus de comparaison est identique au standard
C. La probabilité de trouver que le stimulus de comparaison est plus lourd que le standard
D. La probabilité de trouver que le stimulus de comparaison est différent du standard
E. La probabilité de trouver que le stimulus de comparaison est similaire au standard
F. Aucune de ces réponses
C
« Sur l’axe des x de cette fonction, on place en ordre croissant les différentes valeurs des stimuli de comparaison. Sur l’axe des y, il y a la probabilité de trouver que le stimulus de comparaison est plus lourd que le standard. » (p. 8)
Quelle est la signification de la ligne verticale pointillée dans la figure 1.3 ?
A. Elle indique le seuil absolu.
B. Elle indique le point d’égalité subjective.
C. Elle indique le seuil différentiel supérieur.
D. Elle indique le seuil différentiel inférieur.
E. Elle indique la moyenne des valeurs.
F. Aucune de ces réponses.
B. Elle indique le point d’égalité subjective.
« La ligne verticale pointillée indique sur l’axe des x le point d’égalité subjective. Les deux autres lignes indiquent les valeurs qui peuvent être utilisées pour calculer le seuil différentiel (voir texte). » (Grondin, 2013, p. 8)
Que permettent d’identifier les deux autres lignes dans la figure 1.3 ?
A. Le seuil absolu.
B. Le seuil différentiel supérieur et inférieur.
C. Le point d’égalité subjective.
D. La moyenne des valeurs.
E. La probabilité de détection.
F. Aucune de ces réponses.
B. Le seuil différentiel supérieur et inférieur.
« Les deux autres lignes indiquent les valeurs qui peuvent être utilisées pour calculer le seuil différentiel (voir texte). » (Grondin, 2013, p. 8)
Lorsqu’on étudie la discrimination à l’aide de la méthode des stimuli constants, quelles sont les deux variables importantes identifiées par la fonction psychométrique ?
A. Le seuil absolu et le seuil différentiel.
B. Le point d’égalité subjective et le seuil différentiel.
C. Le seuil absolu et le point d’égalité subjective.
D. Le seuil différentiel et l’erreur constante.
E. Le point d’égalité subjective et l’erreur constante.
F. Aucune de ces réponses.
B. Le point d’égalité subjective et le seuil différentiel.
« Cette fonction permet d’identifier deux variables qui peuvent être importantes lorsqu’on étudie la sensation : le point d’égalité subjective (PES) et le seuil différentiel. Le PES est le point sur l’axe des x qui correspond à 0,50 sur l’axe des y: la probabilité de répondre que le standard est plus long que le stimulus de comparaison est la même que la probabilité de répondre que le stimulus de comparaison est plus long que le standard. » (p. 8-9)
Qu’est-ce que le point d’égalité subjective (PES) ?
A. Le point où la probabilité de répondre que le standard est plus long que le stimulus de comparaison est de 0,75.
B. Le point où la probabilité de répondre que le stimulus de comparaison est plus long que le standard est de 0,25.
C. Le point où la probabilité de répondre que le standard est plus long que le stimulus de comparaison est de 0,50.
D. Le point où la probabilité de répondre que le stimulus de comparaison est plus long que le standard est de 0,75.
E. Le point où la probabilité de répondre que le standard est plus long que le stimulus de comparaison est de 0,25.
F. Aucune de ces réponses.
C. Le point où la probabilité de répondre que le standard est plus long que le stimulus de comparaison est de 0,50.
« Le PES est le point sur l’axe des x qui correspond à 0,50 sur l’axe des y: la probabilité de répondre que le standard est plus long que le stimulus de comparaison est la même que la probabilité de répondre que le stimulus de comparaison est plus long que le standard. Par ailleurs, on appelle erreur constante la différence entre le PES et la valeur du standard. » (p. 8-9)
Comment appelle-t-on la différence entre le PES et la valeur du standard ?
A. Le seuil absolu.
B. Le seuil différentiel.
C. L’erreur constante.
D. La différence juste perceptible.
E. La méthode des stimuli constants.
F. Aucune de ces réponses.
C. L’erreur constante.
« Le PES est le point sur l’axe des x qui correspond à 0,50 sur l’axe des y: la probabilité de répondre que le standard est plus long que le stimulus de comparaison est la même que la probabilité de répondre que le stimulus de comparaison est plus long que le standard. Par ailleurs, on appelle erreur constante la différence entre le PES et la valeur du standard. » (p. 8-9)
Quelle est la probabilité de répondre que le standard est plus long que le stimulus de comparaison au point d’égalité subjective (PES) ?
A. 0,25
B. 0,50
C. 0,75
D. 1,00
E. 0,00
F. Aucune de ces réponses.
B. 0,50
« Le PES est le point sur l’axe des x qui correspond à 0,50 sur l’axe des y: la probabilité de répondre que le standard est plus long que le stimulus de comparaison est la même que la probabilité de répondre que le stimulus de comparaison est plus long que le standard. Par ailleurs, on appelle erreur constante la différence entre le PES et la valeur du standard. » (p. 8-9)
Comment obtient-on le seuil différentiel supérieur ?
A. En soustrayant les points sur l’axe des x correspondant à 0,50 et 0,25 sur l’axe des y.
B. En soustrayant les points sur l’axe des x correspondant à 0,75 et 0,50 sur l’axe des y.
C. En ajoutant les points sur l’axe des x correspondant à 0,75 et 0,50 sur l’axe des y.
D. En ajoutant les points sur l’axe des x correspondant à 0,50 et 0,25 sur l’axe des y.
E. En divisant les points sur l’axe des x correspondant à 0,75 et 0,50 sur l’axe des y.
F. Aucune de ces réponses.
B
« Pour obtenir le premier, il faut soustraire les points sur l’axe des x qui, sur la fonction, correspondent à 0,75 et 0,50 sur l’axe des y. Le raisonnement est le suivant: cette valeur, 0,75, est le point milieu entre une parfaite discrimination (100%) et la totale incapacité de discriminer (50%). » (p. 9)
Quelle valeur sur l’axe des y correspond à une parfaite discrimination ?
A. 0,25
B. 0,50
C. 0,75
D. 1,00
E. 0,00
F. Aucune de ces réponses.
D
« Le raisonnement est le suivant: cette valeur, 0,75, est le point milieu entre une parfaite discrimination (100%) et la totale incapacité de discriminer (50%). » (p. 9)
Comment obtient-on le seuil différentiel inférieur ?
A. En soustrayant les points sur l’axe des x correspondant à 0,50 et 0,25 sur l’axe des y.
B. En soustrayant les points sur l’axe des x correspondant à 0,75 et 0,50 sur l’axe des y.
C. En ajoutant les points sur l’axe des x correspondant à 0,75 et 0,50 sur l’axe des y.
D. En ajoutant les points sur l’axe des x correspondant à 0,50 et 0,25 sur l’axe des y.
E. En divisant les points sur l’axe des x correspondant à 0,75 et 0,50 sur l’axe des y.
F. Aucune de ces réponses.
A
« Dans le même esprit, on obtient le seuil différentiel inférieur: les points sur l’axe des x qui, sur la fonction, correspondent à 0,50 et 0,25 sur l’axe des y. Le 0,25 se trouve au milieu, entre l’incapacité de discriminer (50 %) et une parfaite discrimination (0 %). » (p. 9)
Comment peut-on calculer directement le seuil différentiel ?
A. En soustrayant les points sur l’axe des x correspondant à 0,75 et 0,25 sur l’axe des y, puis en divisant cette valeur par deux.
B. En ajoutant les points sur l’axe des x correspondant à 0,75 et 0,25 sur l’axe des y, puis en divisant cette valeur par deux.
C. En soustrayant les points sur l’axe des x correspondant à 0,50 et 0,25 sur l’axe des y, puis en divisant cette valeur par deux.
D. En ajoutant les points sur l’axe des x correspondant à 0,50 et 0,25 sur l’axe des y, puis en divisant cette valeur par deux.
E. En multipliant les points sur l’axe des x correspondant à 0,75 et 0,25 sur l’axe des y, puis en divisant cette valeur par deux.
F. Aucune de ces réponses.
A
« On peut aussi calculer directement ce seuil différentiel en soustrayant les points sur l’axe des x correspondant à 0,75 et 0,25 sur l’axe des y, puis en divisant cette valeur par deux. » (p. 9)
Que faut-il faire pour éviter les erreurs spatiales lors de la présentation conjointe des stimuli ?
A. Présenter les stimuli simultanément.
B. Varier de manière aléatoire l’endroit où est présenté le standard.
C. Présenter les stimuli successivement.
D. Utiliser des stimuli de même intensité.
E. Utiliser des stimuli de différentes intensités.
F. Aucune de ces réponses.
B
« Quand les stimuli sont présentés conjointement, c’est-à-dire en même temps, il faut varier de manière aléatoire l’endroit, à gauche ou à droite, où est présenté le standard. Cette variation vise à contrer le cas où il y aura une nette préférence pour un côté ou l’autre. » (p. 9)
Comment appelle-t-on les erreurs causées par une préférence pour un côté lors de la présentation conjointe des stimuli ?
A. Erreurs d’ordre temporel.
B. Erreurs de discrimination.
C. Erreurs de perception.
D. Erreurs spatiales.
E. Erreurs de jugement.
F. Aucune de ces réponses.
D
« Cette variation vise à contrer le cas où il y aura une nette préférence pour un côté ou l’autre. Cette préférence cause ce qu’il est convenu d’appeler des erreurs spatiales. » (p. 9)