Semaine 1 - Grondin, 2019, p. 1-21 Flashcards

1
Q

Quels sont les trois types de capacités d’intérêt étudiées par les psychophysiciens ?

A. L’analyse des comportements, la discrimination des stimuli, et l’échelonnage de leur valeur.

B. La détection des stimuli, l’analyse des comportements, et l’échelonnage de leur valeur.

C. La discrimination des stimuli, l’analyse des comportements, et l’échelonnage de leur valeur.

D. La détection des stimuli, la discrimination des stimuli, et l’analyse des comportements.

E. La détection des stimuli, la discrimination des stimuli, et l’échelonnage de leur valeur.

F. Aucune de ces réponses.

A

E.

« On y étudie le lien entre la mesure physique d’une stimulation et la mesure psychologique de cette stimulation. Les psychophysiciens s’intéressent essentiellement à trois types de capacités: la détection des stimuli, la discrimination de ceux-ci et l’estimation (l’échelonnage) de leur valeur. Les deux premiers types sont associés aux notions fondamentales de seuil absolu et de seuil différentiel, respectivement. » (Grondin, 2013, p. 1)

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2
Q

À quelles notions fondamentales sont associés les deux premiers types de capacités étudiées par les psychophysiciens que sont la détection de stimuli et leur discrimination?

A. Seuil absolu et seuil perceptuel.

B. Seuil absolu et seuil relatif.

C. Seuil différentiel et seuil relatif.

D. Seuil absolu et seuil différentiel.

E. Seuil perceptuel et seuil relatif.

F. Aucune de ces réponses.

A

D. Seuil absolu et seuil différentiel.

« Les psychophysiciens s’intéressent essentiellement à trois types de capacités: la détection des stimuli, la discrimination de ceux-ci et l’estimation (l’échelonnage) de leur valeur. Les deux premiers types sont associés aux notions fondamentales de seuil absolu et de seuil différentiel, respectivement. » (Grondin, 2013, p. 1)

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3
Q

Quel est l’objectif fondamental de la psychophysique ?

A. Évaluer les changements chimiques

B. Évaluer les changements physiques

C. Évaluer l’amplitude minimale des changements

D. Évaluer la quantité maximale d’énergie

E. Évaluer les stimuli constants

F. Aucune de ces réponses

A

C

« Un objectif fondamental de la psychophysique consiste à évaluer l’amplitude minimale que doivent avoir ces changements afin qu’un individu puisse en être averti. Cette amplitude minimale, c’est-à-dire la plus petite quantité d’énergie pouvant être détectée en l’absence de toute autre stimulation, est appelée seuil absolu. » (Grondin, 2013, p. 1)

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4
Q

Qu’est-ce que le seuil absolu ?

A. La plus grande quantité d’énergie détectable

B. La plus petite quantité d’énergie détectable

C. La quantité moyenne d’énergie détectable

D. La quantité d’énergie détectable en présence d’autres stimuli

E. La quantité d’énergie détectable en l’absence de stimuli

F. Aucune de ces réponses

A

B

« Cette amplitude minimale, c’est-à-dire la plus petite quantité d’énergie pouvant être détectée en l’absence de toute autre stimulation, est appelée seuil absolu. Sous ce seuil, la sensation n’est pas possible. Cependant, ce seuil est un point dont l’identification correspond à une définition opérationnelle pour une méthode donnée. » (Grondin, 2013, p. 1)

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5
Q

Quelle méthode n’est pas mentionnée comme conventionnelle pour estimer un seuil ?

A. Méthode des stimuli constants

B. Méthode des limites

C. Méthode de l’ajustement

D. Méthode de la détection

E. Méthode des stimuli variables

F. Aucune de ces réponses

A

D, E

« La psychophysique traditionnelle offre de nombreuses méthodes d’estimation d’un seuil. Les plus conventionnelles sont celles des stimuli constants, des limites et de l’ajustement. Pour l’instant, seule la méthode des stimuli constants est présentée. » (Grondin, 2013, p. 1)

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6
Q

Quelle est la définition opérationnelle du seuil absolu ?

A. La plus grande quantité d’énergie détectable

B. La plus petite quantité d’énergie détectable

C. La quantité d’énergie détectable en présence d’autres stimuli

D. La quantité d’énergie détectable en l’absence de stimuli

E. La quantité moyenne d’énergie détectable

F. Aucune de ces réponses

A

B

« Cette amplitude minimale, c’est-à-dire la plus petite quantité d’énergie pouvant être détectée en l’absence de toute autre stimulation, est appelée seuil absolu. Sous ce seuil, la sensation n’est pas possible. Cependant, ce seuil est un point dont l’identification correspond à une définition opérationnelle pour une méthode donnée. » (Grondin, 2013, p. 1)

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7
Q

Quand la psychophysique a-t-elle pris son envol selon le texte ?

A. 1801

B. 1887

C. 1860

D. 1985

E. 1870

F. Aucune de ces réponses

A

C

« On pourrait dire que la psychophysique a pris son envol en 1860 avec la parution du livre Éléments de psychophysique de l’Allemand Gustav Theodor Fechner (1801-1887). Philosophe et physicien, cet auteur désirait étudier les liens entre le monde interne et le monde externe. Aussi connu sous le pseudonyme “Dr Mise”, Fechner, qui a travaillé à Leipzig, avait un esprit particulier. » (Grondin, 2013, p. 2)

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8
Q

Quelle est la première étape pour mesurer un seuil absolu avec la méthode des stimuli constants ?

A. Déterminer d’un seul stimulus défini comme stimulus standard.

B. Présenter les stimuli dans un ordre fixe.

C. Déterminer une région de perception constante.

D. Faire un seul jugement.

E. Utiliser des stimuli de même intensité.

F. Aucune de ces réponses.

A

C. Déterminer une région de perception constante.

« Pour mesurer un seuil absolu avec la méthode des stimuli constants, aussi appelée la méthode constante, il faut d’abord déterminer le seuil de façon grossière en déterminant une région pour laquelle il n’y a presque jamais de perception et une pour laquelle il y a presque toujours perception. » (Grondin, 2013, p. 2)

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9
Q

Combien de stimuli sont généralement retenus pour mesurer un seuil absolu dans la méthode des stimuli constants ?

A. 2 à 4 stimuli.

B. 5 à 9 stimuli.

C. 10 à 15 stimuli.

D. 20 à 25 stimuli.

E. Plus de 30 stimuli.

F. Aucune de ces réponses.

A

B. 5 à 9 stimuli.

« On retient alors généralement de 5 à 9 stimuli situés entre ces régions, stimuli ensuite présentés plusieurs fois dans un ordre aléatoire. » (Grondin, 2013, p. 2)

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10
Q

Avec la méthode des stimuli constants, combien de jugements un observateur doit-il rendre au minimum pour estimer un seuil absolu ?

A. 10 jugements.

B. 50 jugements.

C. 100 jugements.

D. 200 jugements.

E. 500 jugements.

F. Aucune de ces réponses.

A

C. 100 jugements.

« La méthode nécessite qu’un observateur rende au moins une centaine de jugements… » (Grondin, 2013, p. 2)

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11
Q

Dans la méthode des stimuli constants comme en général en psychophysiologie, quelle est l’importance d’augmenter le nombre d’essais pour estimer un seuil absolu ?

A. Pour augmenter la difficulté.

B. Pour réduire le risque d’erreur.

C. Pour rendre l’expérience plus longue.

D. Pour tester différents stimuli.

E. Pour améliorer la précision.

F. Aucune de ces réponses.

A

B. Pour réduire le risque d’erreur.

« …plus il y a d’essais pour estimer un seuil, plus on minimise le risque que la valeur estimée soit éloignée de ce qu’est le seuil réel. » (Grondin, 2013, p. 2)

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12
Q

Quelle est la forme générale d’une fonction psychométrique ?

A. Une ligne droite

B. Une courbe en cloche

C. Une ogive

D. Un cercle

E. Une parabole

F. Aucune de ces réponses

A

C. Une ogive

« La fonction qui relie la probabilité sur l’axe des y à la magnitude d’un continuum physique, sur l’axe des x, est appelée fonction psychométrique. Une telle fonction a généralement la forme d’une ogive – une espèce de S – et le seuil est défini opérationnellement comme étant le point qui correspond à une capacité de percevoir lors de 50% des essais. » (Grondin, 2013, p. 2)

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13
Q

À quel pourcentage des essais le seuil est-il défini opérationnellement ?

A. 25%

B. 50%

C. 75%

D. 100%

E. 0%

F. Aucune de ces réponses

A

B. 50%

« Une telle fonction a généralement la forme d’une ogive – une espèce de S – et le seuil est défini opérationnellement comme étant le point qui correspond à une capacité de percevoir lors de 50% des essais. Cette valeur, 50%, représente le point à partir duquel un observateur réussit à détecter le stimulus à un niveau supérieur à celui que leur auraient procuré, avec une procédure où deux réponses (oui ou non) sont possibles, des réponses rendues au hasard. » (Grondin, 2013, p. 2)

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14
Q

Que représente l’axe des y dans une fonction psychométrique ?

A. La magnitude des stimuli

B. Le nombre de stimuli

C. Le pourcentage de détection du stimulus

D. La fréquence des stimuli

E. La probabilité de non-détection

F. Aucune de ces réponses

A

C. Le pourcentage de détection du stimulus

« Après avoir calculé les probabilités pour chaque stimulus, on peut rapporter celles-ci sur une figureCom. » (Grondin, 2013, p. 2)

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15
Q

Quelle est la première étape pour mesurer un seuil absolu avec la méthode des stimuli constants ?

A. Calculer les probabilités

B. Déterminer le seuil de façon grossière

C. Présenter les stimuli plusieurs fois

D. Transformer les fréquences en probabilités

E. Tracer une fonction psychométrique

F. Aucune de ces réponses

A

B. Déterminer le seuil de façon grossière

« Pour mesurer un seuil absolu avec la méthode des stimuli constants, aussi appelée la méthode constante, il faut d’abord déterminer le seuil de façon grossière en déterminant une région pour laquelle il n’y a presque jamais de perception et une pour laquelle il y a presque toujours perception. » (Grondin, 2013, p. 2)

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16
Q

Que représente une valeur de 50% dans une fonction psychométrique ?

A. Le point où le stimulus est toujours détecté

B. Le point où le stimulus n’est jamais détecté

C. Le point où le stimulus est détecté 50% du temps

D. Le point où le stimulus est détecté 25% du temps

E. Le point où le stimulus est détecté 75% du temps

F. Aucune de ces réponses

A

C. Le point où le stimulus est détecté 50% du temps

« Une telle fonction a généralement la forme d’une ogive – une espèce de S – et le seuil est défini opérationnellement comme étant le point qui correspond à une capacité de percevoir lors de 50% des essais. Cette valeur, 50%, représente le point à partir duquel un observateur réussit à détecter le stimulus à un niveau supérieur à celui que leur auraient procuré, avec une procédure où deux réponses (oui ou non) sont possibles, des réponses rendues au hasard. » (Grondin, 2013, p. 2)

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17
Q

Que représente la ligne verticale pointillée sur l’axe des x dans la Figure 1.1 ?

A. Le seuil différentiel

B. Le seuil absolu

C. La fréquence du son

D. L’amplitude du son

E. La méthode des stimuli constants

F. Aucune de ces réponses

A

B. Le seuil absolu

« La ligne verticale pointillée arrivant sur l’axe des x indique le seuil absolu. Pour mesurer un seuil absolu avec la méthode des stimuli constants, aussi appelée la méthode constante, il faut d’abord déterminer le seuil de façon grossière en déterminant une région pour laquelle il n’y a presque jamais de perception et une pour laquelle il y a presque toujours perception. » (Grondin, 2013, p. 2)

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18
Q

Quelle méthode est utilisée pour mesurer un seuil absolu dans la Figure 1.1 ?

A. La méthode des limites

B. La méthode de l’ajustement

C. La méthode des stimuli constants

D. La méthode adaptative

E. La méthode de l’échelonnage

F. Aucune de ces réponses

A

C. La méthode des stimuli constants

« Pour mesurer un seuil absolu avec la méthode des stimuli constants, aussi appelée la méthode constante, il faut d’abord déterminer le seuil de façon grossière en déterminant une région pour laquelle il n’y a presque jamais de perception et une pour laquelle il y a presque toujours perception. » (Grondin, 2013, p. 2)

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19
Q

Quelle est la première hypothèse à poser pour tracer une fonction sur la base d’une série de points ?

A. Que le phénomène étudié soit une variable aléatoire continue.

B. Que la distribution discrète soit une approximation d’une fonction continue.

C. Que la fonction soit une distribution normale.

D. Que la fonction soit une distribution Weibull.

E. Que la fonction soit une distribution logistique.

F. Aucune de ces réponses

A

A. Que le phénomène étudié soit une variable aléatoire continue.

« Pour tracer une fonction sur la base d’une série de points, il faut poser certaines hypothèses. Une première hypothèse est celle selon laquelle le phénomène étudié soit une variable aléatoire continue. Ainsi croirons-nous que la distribution discrète obtenue (série de points) est une approximation d’une fonction continue. » (Grondin, 2013, p. 3)

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20
Q

Quelle forme de fonction est souvent retenue en psychologie pour tracer une fonction psychométrique ?

A. Distribution normale.

B. Distribution Weibull.

C. Distribution logistique.

D. Distribution uniforme.

E. Distribution exponentielle.

F. Aucune de ces réponses

A

A. Distribution normale.

« Aussi, il faudra poser une hypothèse sur la forme de cette fonction. Les mathématiques offrent plusieurs possibilités, mais une fonction souvent retenue en psychologie est la distribution normale. Le lecteur est probablement déjà familier avec la notion de distribution normale (courbe normale, ou courbe de Gauss, en forme de cloche). » (Grondin, 2013, p. 3)

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21
Q

Quelle fonction est utilisée pour tracer une fonction psychométrique ?

A. Fonction de densité de probabilités.

B. Fonction normale cumulée.

C. Fonction de répartition.

D. Fonction de distribution.

E. Fonction de probabilité.

F. Aucune de ces réponses

A

B. Fonction normale cumulée.

« La fonction utilisée pour tracer une fonction psychométrique est dérivée de la fonction en forme de cloche (fonction de densité de probabilités) et est appelée fonction normale cumulée. C’est après avoir tracé cette fonction qu’il sera possible d’estimer précisément la valeur du seuil. » (Grondin, 2013, p. 3)

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22
Q

Quelles autres fonctions, en plus de la fonction normale cumulée, sont susceptibles d’être utilisées pour tracer une fonction psychométrique ?

A. Fonction de répartition et fonction de densité.

B. Fonction de distribution et fonction de probabilité.

C. Fonction Weibull et fonction logistique.

D. Fonction uniforme et fonction exponentielle.

E. Fonction de Gauss et fonction de Poisson.

F. Aucune de ces réponses

A

C. Fonction Weibull et fonction logistique.

« Outre la fonction gaussienne cumulée, les fonctions Weibull et logistiques, qui ont des formes semblables, sont probablement les plus susceptibles d’être utilisées (Macmillan et Creelman, 1991). » (Grondin, 2013, p. 3)

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23
Q

Quelle est la fonction dérivée de la distribution normale utilisée pour tracer une fonction psychométrique ?

A. Fonction de densité de probabilités.

B. Fonction de répartition.

C. Fonction normale cumulée.

D. Fonction de distribution.

E. Fonction de probabilité.

F. Aucune de ces réponses

A

C. Fonction normale cumulée.

« La fonction utilisée pour tracer une fonction psychométrique est dérivée de la fonction en forme de cloche (fonction de densité de probabilités) et est appelée fonction normale cumulée. C’est après avoir tracé cette fonction qu’il sera possible d’estimer précisément la valeur du seuil. » (Grondin, 2013, p. 3)

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24
Q

Quel problème majeur peut survenir lors de l’estimation de la capacité de détecter un stimulus avec la méthode des stimuli constants ?

A. La variabilité des stimuli.

B. La sensibilité de l’observateur.

C. La manière dont l’observateur rend ses décisions.

D. La fréquence des essais.

E. La durée des essais.

F. Aucune de ces réponses

A

B. La sensibilité de l’observateur

C. La manière dont l’observateur rend ses décisions.

« La capacité estimée pourrait dépendre non seulement de la sensibilité d’un observateur, mais aussi de la manière avec laquelle celui-ci rend ses décisions. Un observateur pourrait très bien attendre d’être sûr avant de rendre une décision, avant de déclarer percevoir le stimulus tandis qu’un autre, en situation de doute, aurait plutôt tendance à dire «oui, je perçois». » (Grondin, 2013, p. 4)

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25
Q

Quelle méthode a été élaborée dans les années 1940 pour déterminer la sensibilité de l’observateur tout en corrigeant le problème des processus décisionnels ?

A. La méthode des stimuli constants.

B. La méthode des limites.

C. La méthode de l’ajustement.

D. La théorie sur la détection du signal.

E. La méthode de l’échelonnage.

F. Aucune de ces réponses

A

D. La théorie sur la détection du signal.

« Il existe une méthode, élaborée dans les années 1940, pour déterminer la sensibilité de l’observateur à détecter un stimulus tout en corrigeant le problème que pose le rôle des processus décisionnels. C’est ainsi que la théorie sur la détection du signal (TDS), également appelée la théorie sur la décision sensorielle, utilise deux paramètres pour décrire la performance: l’un relié à la sensibilité et l’autre à la manière de décider de l’observateur. » (Grondin, 2013, p. 4)

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26
Q

Quels sont les deux paramètres utilisés par la théorie sur la détection du signal pour décrire la performance ?

A. La sensibilité et la spécificité.

B. La sensibilité et la manière de décider.

C. La spécificité et la manière de décider.

D. La précision et la sensibilité.

E. La précision et la spécificité.

F. Aucune de ces réponses

A

B. La sensibilité et la manière de décider.

« C’est ainsi que la théorie sur la détection du signal (TDS), également appelée la théorie sur la décision sensorielle, utilise deux paramètres pour décrire la performance: l’un relié à la sensibilité et l’autre à la manière de décider de l’observateur. » (Grondin, 2013, p. 4)

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27
Q

Comment un observateur peut-il influencer l’estimation de sa capacité à détecter un stimulus ?

A. En augmentant la fréquence des essais.

B. En réduisant la durée des essais.

C. En attendant d’être sûr avant de rendre une décision.

D. En déclarant percevoir le stimulus en situation de doute.

E. En utilisant des stimuli constants.

F. Aucune de ces réponses

A

C. En attendant d’être sûr avant de rendre une décision

D. En déclarant percevoir le stimulus en situation de doute.

« Un observateur pourrait très bien attendre d’être sûr avant de rendre une décision, avant de déclarer percevoir le stimulus tandis qu’un autre, en situation de doute, aurait plutôt tendance à dire «oui, je perçois». » (Grondin, 2013, p. 4)

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28
Q

Quel est l’autre nom de la théorie sur la détection du signal ?

A. La théorie de la décision sensorielle.

B. La théorie de la perception sensorielle.

C. La théorie de la sensibilité sensorielle.

D. La théorie de la détection sensorielle.

E. La théorie de la réponse sensorielle.

F. Aucune de ces réponses

A

A. La théorie de la décision sensorielle.

« C’est ainsi que la théorie sur la détection du signal (TDS), également appelée la théorie sur la décision sensorielle, utilise deux paramètres pour décrire la performance: l’un relié à la sensibilité et l’autre à la manière de décider de l’observateur. » (Grondin, 2013, p. 4)

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29
Q

Pourquoi la théorie sur la détection du signal a-t-elle été développée ?

A. Pour améliorer la précision des essais.

B. Pour corriger le problème des processus décisionnels.

C. Pour déterminer la sensibilité de l’observateur à détecter un stimulus.

D. Pour réduire la durée des essais.

E. Pour utiliser des stimuli constants.

F. Aucune de ces réponses

A

B. Pour corriger le problème des processus décisionnels.

C. Pour déterminer la sensibilité de l’observateur à détecter un stimulus.

« Il existe une méthode, élaborée dans les années 1940, **pour déterminer la sensibilité de l’observateur à détecter un stimulus tout en corrigeant le problème que pose le rôle des processus décisionnels. » (Grondin, 2013, p. 4)

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30
Q

Outre les deux paramètres fondamentaux de la TDS que sont la sensibilité et la manière de décider, quels en sont les deux concepts fondamentaux pour comprendre et appréhender la TDS ?

A. Le signal et le bruit

B. Le stimulus et la réponse

C. La perception et l’attention

D. La sensation et la perception

E. Le seuil absolu et le seuil différentiel

F. Aucune de ces réponses

A

A. Le signal et le bruit

« Pour comprendre la TDS, il faut d’abord connaître deux concepts fondamentaux : le signal et le bruit. Le signal (S) et le bruit (B) sont à la base de tout message sensoriel. Le stimulus que l’on tente de détecter, appelé signal, a des caractéristiques précises et stables. » (Grondin, 2013, p. 4)

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31
Q

Dans la TDS, comment le bruit peut-il être défini ?

A. Comme une variable aléatoire

B. Comme une variable stable

C. Comme une variable constante

D. Comme une variable fixe

E. Comme une variable déterminée

F. Aucune de ces réponses

A

A. Comme une variable aléatoire

« Le bruit peut être défini comme une variable aléatoire et il varie constamment. Cette variable prend différentes valeurs qui se distribuent, assume-t-on le plus souvent, selon les caractéristiques de la courbe normale. » (Grondin, 2013, p. 4)

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32
Q

Dans la TDS, qu’est-ce que le bruit comprend ?

A. Une activité externe

B. Une activité interne

C. Une activité externe et interne

D. Une activité sensorielle

E. Une activité perceptive

F. Aucune de ces réponses

A

C. Une activité externe et interne

« Ce bruit comprend une activité externe (contrôlée par l’expérimentateur) et l’activité physiologique interne (générée par le système nerveux). » (Grondin, 2013, p. 4)

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33
Q

Dans une tâche propre à la TDS, que doit faire un observateur dans une tâche de détection de signal ?

A. Détecter le bruit seul

B. Détecter le signal seul

C. Détecter le bruit et le signal

D. Décider si c’était le bruit seul ou le bruit avec un signal

E. Décider si c’était le signal seul ou le bruit avec un signal

F. Aucune de ces réponses

A

D. Décider si c’était le bruit seul ou le bruit avec un signal

« Dans une tâche propre à la TDS, un observateur doit rendre la décision suivante à propos de ce qui a été présenté: était-ce le bruit seul ou le bruit à travers lequel un signal était ajouté (S+B)?8 » (Grondin, 2013, p. 4)

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34
Q

Dans une tâche propre à la TDS, que doit adopter un observateur soumis à une tâche de détection de signal ?

A. Un critère de décision

B. Un seuil absolu

C. Un seuil différentiel

D. Une méthode d’ajustement

E. Une méthode des limites

F. Aucune de ces réponses

A

A. Un critère de décision

« Un observateur soumis à une tâche de détection de signal doit adopter un critère de décision. Ce critère est appelé bêta (ß). » (Grondin, 2013, p. 4)

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35
Q

Quelle est la relation entre le signal et le bruit dans la TDS ?

A. Le signal est stable et le bruit varie

B. Le signal varie et le bruit est stable

C. Le signal et le bruit sont stables

D. Le signal et le bruit varient

E. Le signal et le bruit sont constants

F. Aucune de ces réponses

A

A. Le signal est stable et le bruit varie

« Le stimulus que l’on tente de détecter, appelé signal, a des caractéristiques précises et stables. Le bruit peut être défini comme une variable aléatoire et il varie constamment. » (Grondin, 2013, p. 4)

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36
Q

Quel est l’indice de performance le plus conventionnel pour mesurer la sensibilité en TDS ?

A. d’

B. Z

C. A’

D. ß

E. c

F. Aucune de ces réponses

A

A. d’

« Parmi les indices de performance utilisés pour mesurer la sensibilité, le plus conventionnel est probablement d’ (on prononce d prime). On peut définir d’ comme la différence entre les moyennes des distributions B et SB, divisée par l’écart-type de la distribution bruit ; d’ est un indice pur de détectabilité en ce sens qu’il n’est pas influencé par le critère décisionnel. » (Grondin, 2013, p. 5)

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37
Q

Dans la TDS, comment est défini l’indice d’ ?

A. La différence entre les moyennes des distributions B et SB

B. La somme des moyennes des distributions B et SB

C. La différence entre les écarts-types des distributions B et SB

D. La somme des écarts-types des distributions B et SB

E. La différence entre les moyennes des distributions B et SB, divisée par l’écart-type de la distribution bruit

F. Aucune de ces réponses

A

E. La différence entre les moyennes des distributions B et SB, divisée par l’écart-type de la distribution bruit

« On peut définir d’ comme la différence entre les moyennes des distributions B et SB, divisée par l’écart-type de la distribution bruit ; d’ est un indice pur de détectabilité en ce sens qu’il n’est pas influencé par le critère décisionnel. » (Grondin, 2013, p. 5)

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38
Q

Pour un observateur soumis à une tâche de détection, quel indice est influencé par le critère décisionnel ?

A. d’

B. Z

C. A’

D. ß

E. c

F. Aucune de ces réponses

A

D. ß

« En ce qui concerne le critère décisionnel, il peut être estimé à l’aide de ß. Cet indice consiste en un rapport des ordonnées correspondant à l’emplacement du critère décisionnel pour chaque distribution (B et S+B). » (Grondin, 2013, p. 5)

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39
Q

Pour la TDS, quelle est la formule pour calculer d’ ?

A. Z(détection correcte) + Z(fausse alarme)

B. Z(détection correcte) - Z(fausse alarme)

C. Z(détection correcte) * Z(fausse alarme)

D. Z(détection correcte) / Z(fausse alarme)

E. Z(détection correcte) - Z(fausse alarme) / 2

F. Aucune de ces réponses

A

B. Z(détection correcte) - Z(fausse alarme)

« On peut calculer facilement d’ sur la base des détections correctes et des fausses alarmes obtenues empiriquement. On obtiendra une évaluation de d’ en transformant en scores Z les probabilités d’obtenir une détection correcte et une fausse alarme. Ainsi : d’ = Z(détection correcte) – Z(fausse alarme) » (Grondin, 2013, p. 5)

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40
Q

TDS: comment peut-on calculer facilement d’ ?

A. En utilisant les détections correctes et les fausses alarmes obtenues empiriquement.

B. En utilisant les détections correctes et les fausses alarmes obtenues théoriquement.

C. En utilisant uniquement les détections correctes.

D. En utilisant uniquement les fausses alarmes.

E. En utilisant les détections correctes et les omissions.

F. Aucune de ces réponses

A

A. En utilisant les détections correctes et les fausses alarmes obtenues empiriquement.

« On peut calculer facilement d’ sur la base des détections correctes et des fausses alarmes obtenues empiriquement. On obtiendra une évaluation de d’ en transformant en scores Z les probabilités d’obtenir une détection correcte et une fausse alarme. » (Grondin, 2013, p. 6)

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41
Q

TDS: Quelle est la formule pour calculer d’ ?

A. d’ = Z(détection correcte) + Z(fausse alarme)

B. d’ = Z(détection correcte) - Z(fausse alarme)

C. d’ = Z(détection correcte) * Z(fausse alarme)

D. d’ = Z(détection correcte) / Z(fausse alarme)

E. d’ = Z(détection correcte) - Z(fausse alarme) / 2

F. Aucune de ces réponses

A

B. d’ = Z(détection correcte) - Z(fausse alarme)

« d’ = Z(détection correcte) – Z(fausse alarme). » (Grondin, 2013, p. 6)

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42
Q

Quelle est la valeur de Z pour une détection correcte de 90 % ?

A. 0,67

B. 1,28

C. -0,67

D. -1,28

E. 0,90

F. Aucune de ces réponses

A

B. 1,28

« Puisque la valeur de 90% en score Z = 1,28 et celle de 25 % = - 0,67, sa sensibilité est estimée à une valeur de d’ égale à 1,95 (c’est-à-dire 1,28 – (- 0,67)). » (Grondin, 2013, p. 6)

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43
Q

Quelle est la valeur de Z pour une fausse alarme de 25 % ?

A. 0,67

B. 1,28

C. -0,67

D. -1,28

E. 0,25

F. Aucune de ces réponses

A

C. -0,67

« Puisque la valeur de 90% en score Z = 1,28 et celle de 25 % = - 0,67, sa sensibilité est estimée à une valeur de d’ égale à 1,95 (c’est-à-dire 1,28 – (- 0,67)). » (Grondin, 2013, p. 6)

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44
Q

Quelle est la sensibilité estimée pour un observateur avec 90 % de détections correctes et 25 % de fausses alarmes ?

A. 0,61

B. 1,28

C. 1,95

D. 2,00

E. 2,28

F. Aucune de ces réponses

A

C. 1,95

« Puisque la valeur de 90% en score Z = 1,28 et celle de 25 % = - 0,67, sa sensibilité est estimée à une valeur de d’ égale à 1,95 (c’est-à-dire 1,28 – (- 0,67)). » (Grondin, 2013, p. 6)

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45
Q

Que représente la ligne verticale continue dans la Figure 1.2 ?

A. d’

B. ß

C. A’

D. Dm

E. d’e

F. Aucune de ces réponses

A

B. ß

« Figure 1.2 – Distributions Bruit et Signal + Bruit de la théorie sur la détection du signal (TDS). La ligne verticale continue représente ß, le critère décisionnel. La distance entre les lignes pointillées représente d’, l’indice de sensibilité. » (Grondin, 2013, p. 6)

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46
Q

Que représente la distance entre les lignes pointillées dans la Figure 1.2 ?

A. ß

B. A’

C. Dm

D. d’

E. d’e

F. Aucune de ces réponses

A

D. d’

« Figure 1.2 – Distributions Bruit et Signal + Bruit de la théorie sur la détection du signal (TDS). La ligne verticale continue représente ß, le critère décisionnel. La distance entre les lignes pointillées représente d’, l’indice de sensibilité. » (Grondin, 2013, p. 6)

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47
Q

Quelle hypothèse est posée pour rendre légitime la transformation de pourcentages en scores Z ?

A. Les distributions B et S+B sont uniformes.

B. Les distributions B et S+B sont exponentielles.

C. Les distributions B et S+B sont normales.

D. Les distributions B et S+B sont binomiales.

E. Les distributions B et S+B sont logistiques.

F. Aucune de ces réponses

A

C. Les distributions B et S+B sont normales.

« Il importe de souligner que cette transformation de pourcentages en scores Z est rendue légitime en posant l’hypothèse que les distributions B et S+B sont normales. » (Grondin, 2013, p. 6)

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48
Q

En ce qui concerne le critère décisionnel, comment peut-il être estimé ?

A. À l’aide de d’

B. À l’aide de ß

C. À l’aide de la méthode des stimuli constants

D. À l’aide de la méthode des limites

E. À l’aide de la méthode de l’ajustement

F. Aucune de ces réponses

A

B

« En ce qui concerne le critère décisionnel, il peut être estimé à l’aide de ß. (p. 7)

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49
Q

Comment est défini le seuil différentiel ?

A. Par une méthode subjective

B. Par une méthode arbitraire

C. Par une méthode scientifique

D. Par une méthode expérimentale

E. Par une méthode comparative

F. Aucune de ces réponses

A

B. Par une méthode arbitraire

« Ce seuil différentiel est défini, comme c’était le cas pour le seuil absolu, de façon arbitraire en fonction de la méthode utilisée, c.-à-d. sur la base d’une définition opérationnelle. Ce seuil, qui est le point à partir duquel un observateur devient capable de faire la différence entre deux stimuli, est parfois aussi appelé la “différence juste perceptible” » (p. 7)

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50
Q

Quelle est l’autre appellation du seuil différentiel ?

A. Seuil absolu

B. Seuil perceptuel

C. Différence juste perceptible

D. Seuil de détection

E. Seuil de perception

F. Aucune de ces réponses

A

C. Différence juste perceptible

« Ce seuil, qui est le point à partir duquel un observateur devient capable de faire la différence entre deux stimuli, est parfois aussi appelé la “différence juste perceptible” (DJP, ou JND en anglais, just noticeable difference) » (p. 7)

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51
Q

À partir de quel point un observateur devient-il capable de faire la différence entre deux stimuli ?

A. Seuil absolu

B. Seuil différentiel

C. Seuil perceptuel

D. Seuil de détection

E. Seuil de perception

F. Aucune de ces réponses

A

B. Seuil différentiel

« La différence d’intensité minimale nécessaire pour que deux stimuli puissent être différenciés est appelée seuil différentiel. Ce seuil différentiel est défini, comme c’était le cas pour le seuil absolu, de façon arbitraire en fonction de la méthode utilisée » (p. 7)

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52
Q

Combien de valeurs peut prendre le stimulus de comparaison dans la méthode des stimuli constants?

A. 3 à 5 valeurs.

B. 5 à 7 valeurs.

C. 7 à 9 valeurs.

D. 9 à 11 valeurs.

E. 11 à 13 valeurs.

F. Aucune de ces réponses.

A

C. 7 à 9 valeurs.

« Ce dernier peut prendre l’une de 7 à 9 valeurs réparties autour de la valeur standard. » (Grondin, 2013, p. 7)

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53
Q

Que doit faire un observateur dans la méthode des stimuli constants?

A. Ajuster l’intensité du stimulus.

B. Déterminer lequel des deux stimuli est de plus grande magnitude.

C. Identifier la présence d’un signal.

D. Estimer la fréquence d’un son.

E. Mesurer la durée d’un stimulus.

F. Aucune de ces réponses.

A

B. Déterminer lequel des deux stimuli est de plus grande magnitude.

« Afin d’estimer un seuil différentiel avec la méthode des stimuli constants, un observateur se voit présenter deux stimuli et doit déterminer lequel des deux stimuli est de plus grande magnitude. » (Grondin, 2013, p. 7)

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54
Q

Quelle est la première étape pour estimer un seuil différentiel avec la méthode des stimuli constants?

A. Présenter un stimulus de comparaison.

B. Déterminer le seuil absolu.

C. Présenter un stimulus standard.

D. Déterminer la région de perception.

E. Calculer la probabilité de détection.

F. Aucune de ces réponses.

A

C. Présenter un stimulus standard.

« La méthode comprend la présentation à chaque essai d’un stimulus standard et d’un stimulus de comparaison. » (Grondin, 2013, p. 7)

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55
Q

Compléter:

« Dans l’exemple suivant, on tente de déterminer le seuil différentiel pour un poids standard de 250 g à l’aide de présentations ———— du standard et d’un stimulus de comparaison. » (p. 8)

A. Conjointement

B. Successivement

C. Aléatoirement

D. Simultanément

E. De manière continue

F. Aucune de ces réponses

A

B

« Dans l’exemple suivant, on tente de déterminer le seuil différentiel pour un poids standard de 250 g à l’aide de présentations successives du standard et d’un stimulus de comparaison. » (p. 8)

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56
Q

Pour la méthode des stimuli constant, que représente l’axe des x dans la fonction psychométrique construite après les jugements ?

A. Les différentes valeurs des stimuli de comparaison

B. Les différentes valeurs des standards

C. Les différentes valeurs des stimuli de référence

D. Les différentes valeurs des stimuli de contrôle

E. Les différentes valeurs des stimuli de test

F. Aucune de ces réponses

A

A

« Sur l’axe des x de cette fonction, on place en ordre croissant les différentes valeurs des stimuli de comparaison. Sur l’axe des y, il y a la probabilité de trouver que le stimulus de comparaison est plus lourd que le standard. » (p. 8)

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57
Q

Que représente l’axe des y dans la fonction psychométrique construite après les jugements ?

A. La probabilité de trouver que le stimulus de comparaison est plus léger que le standard

B. La probabilité de trouver que le stimulus de comparaison est identique au standard

C. La probabilité de trouver que le stimulus de comparaison est plus lourd que le standard

D. La probabilité de trouver que le stimulus de comparaison est différent du standard

E. La probabilité de trouver que le stimulus de comparaison est similaire au standard

F. Aucune de ces réponses

A

C

« Sur l’axe des x de cette fonction, on place en ordre croissant les différentes valeurs des stimuli de comparaison. Sur l’axe des y, il y a la probabilité de trouver que le stimulus de comparaison est plus lourd que le standard. » (p. 8)

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58
Q

Quelle est la signification de la ligne verticale pointillée dans la figure 1.3 ?

A. Elle indique le seuil absolu.

B. Elle indique le point d’égalité subjective.

C. Elle indique le seuil différentiel supérieur.

D. Elle indique le seuil différentiel inférieur.

E. Elle indique la moyenne des valeurs.

F. Aucune de ces réponses.

A

B. Elle indique le point d’égalité subjective.

« La ligne verticale pointillée indique sur l’axe des x le point d’égalité subjective. Les deux autres lignes indiquent les valeurs qui peuvent être utilisées pour calculer le seuil différentiel (voir texte). » (Grondin, 2013, p. 8)

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59
Q

Que permettent d’identifier les deux autres lignes dans la figure 1.3 ?

A. Le seuil absolu.

B. Le seuil différentiel supérieur et inférieur.

C. Le point d’égalité subjective.

D. La moyenne des valeurs.

E. La probabilité de détection.

F. Aucune de ces réponses.

A

B. Le seuil différentiel supérieur et inférieur.

« Les deux autres lignes indiquent les valeurs qui peuvent être utilisées pour calculer le seuil différentiel (voir texte). » (Grondin, 2013, p. 8)

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60
Q

Lorsqu’on étudie la discrimination à l’aide de la méthode des stimuli constants, quelles sont les deux variables importantes identifiées par la fonction psychométrique ?

A. Le seuil absolu et le seuil différentiel.

B. Le point d’égalité subjective et le seuil différentiel.

C. Le seuil absolu et le point d’égalité subjective.

D. Le seuil différentiel et l’erreur constante.

E. Le point d’égalité subjective et l’erreur constante.

F. Aucune de ces réponses.

A

B. Le point d’égalité subjective et le seuil différentiel.

« Cette fonction permet d’identifier deux variables qui peuvent être importantes lorsqu’on étudie la sensation : le point d’égalité subjective (PES) et le seuil différentiel. Le PES est le point sur l’axe des x qui correspond à 0,50 sur l’axe des y: la probabilité de répondre que le standard est plus long que le stimulus de comparaison est la même que la probabilité de répondre que le stimulus de comparaison est plus long que le standard. » (p. 8-9)

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61
Q

Qu’est-ce que le point d’égalité subjective (PES) ?

A. Le point où la probabilité de répondre que le standard est plus long que le stimulus de comparaison est de 0,75.

B. Le point où la probabilité de répondre que le stimulus de comparaison est plus long que le standard est de 0,25.

C. Le point où la probabilité de répondre que le standard est plus long que le stimulus de comparaison est de 0,50.

D. Le point où la probabilité de répondre que le stimulus de comparaison est plus long que le standard est de 0,75.

E. Le point où la probabilité de répondre que le standard est plus long que le stimulus de comparaison est de 0,25.

F. Aucune de ces réponses.

A

C. Le point où la probabilité de répondre que le standard est plus long que le stimulus de comparaison est de 0,50.

« Le PES est le point sur l’axe des x qui correspond à 0,50 sur l’axe des y: la probabilité de répondre que le standard est plus long que le stimulus de comparaison est la même que la probabilité de répondre que le stimulus de comparaison est plus long que le standard. Par ailleurs, on appelle erreur constante la différence entre le PES et la valeur du standard. » (p. 8-9)

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62
Q

Comment appelle-t-on la différence entre le PES et la valeur du standard ?

A. Le seuil absolu.

B. Le seuil différentiel.

C. L’erreur constante.

D. La différence juste perceptible.

E. La méthode des stimuli constants.

F. Aucune de ces réponses.

A

C. L’erreur constante.

« Le PES est le point sur l’axe des x qui correspond à 0,50 sur l’axe des y: la probabilité de répondre que le standard est plus long que le stimulus de comparaison est la même que la probabilité de répondre que le stimulus de comparaison est plus long que le standard. Par ailleurs, on appelle erreur constante la différence entre le PES et la valeur du standard. » (p. 8-9)

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63
Q

Quelle est la probabilité de répondre que le standard est plus long que le stimulus de comparaison au point d’égalité subjective (PES) ?

A. 0,25

B. 0,50

C. 0,75

D. 1,00

E. 0,00

F. Aucune de ces réponses.

A

B. 0,50

« Le PES est le point sur l’axe des x qui correspond à 0,50 sur l’axe des y: la probabilité de répondre que le standard est plus long que le stimulus de comparaison est la même que la probabilité de répondre que le stimulus de comparaison est plus long que le standard. Par ailleurs, on appelle erreur constante la différence entre le PES et la valeur du standard. » (p. 8-9)

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64
Q

Comment obtient-on le seuil différentiel supérieur ?

A. En soustrayant les points sur l’axe des x correspondant à 0,50 et 0,25 sur l’axe des y.

B. En soustrayant les points sur l’axe des x correspondant à 0,75 et 0,50 sur l’axe des y.

C. En ajoutant les points sur l’axe des x correspondant à 0,75 et 0,50 sur l’axe des y.

D. En ajoutant les points sur l’axe des x correspondant à 0,50 et 0,25 sur l’axe des y.

E. En divisant les points sur l’axe des x correspondant à 0,75 et 0,50 sur l’axe des y.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« Pour obtenir le premier, il faut soustraire les points sur l’axe des x qui, sur la fonction, correspondent à 0,75 et 0,50 sur l’axe des y. Le raisonnement est le suivant: cette valeur, 0,75, est le point milieu entre une parfaite discrimination (100%) et la totale incapacité de discriminer (50%). » (p. 9)

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65
Q

Quelle valeur sur l’axe des y correspond à une parfaite discrimination ?

A. 0,25

B. 0,50

C. 0,75

D. 1,00

E. 0,00

F. Aucune de ces réponses.

A

D

« Le raisonnement est le suivant: cette valeur, 0,75, est le point milieu entre une parfaite discrimination (100%) et la totale incapacité de discriminer (50%). » (p. 9)

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66
Q

Comment obtient-on le seuil différentiel inférieur ?

A. En soustrayant les points sur l’axe des x correspondant à 0,50 et 0,25 sur l’axe des y.

B. En soustrayant les points sur l’axe des x correspondant à 0,75 et 0,50 sur l’axe des y.

C. En ajoutant les points sur l’axe des x correspondant à 0,75 et 0,50 sur l’axe des y.

D. En ajoutant les points sur l’axe des x correspondant à 0,50 et 0,25 sur l’axe des y.

E. En divisant les points sur l’axe des x correspondant à 0,75 et 0,50 sur l’axe des y.

F. Aucune de ces réponses.

A

A

« Dans le même esprit, on obtient le seuil différentiel inférieur: les points sur l’axe des x qui, sur la fonction, correspondent à 0,50 et 0,25 sur l’axe des y. Le 0,25 se trouve au milieu, entre l’incapacité de discriminer (50 %) et une parfaite discrimination (0 %). » (p. 9)

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67
Q

Comment peut-on calculer directement le seuil différentiel ?

A. En soustrayant les points sur l’axe des x correspondant à 0,75 et 0,25 sur l’axe des y, puis en divisant cette valeur par deux.

B. En ajoutant les points sur l’axe des x correspondant à 0,75 et 0,25 sur l’axe des y, puis en divisant cette valeur par deux.

C. En soustrayant les points sur l’axe des x correspondant à 0,50 et 0,25 sur l’axe des y, puis en divisant cette valeur par deux.

D. En ajoutant les points sur l’axe des x correspondant à 0,50 et 0,25 sur l’axe des y, puis en divisant cette valeur par deux.

E. En multipliant les points sur l’axe des x correspondant à 0,75 et 0,25 sur l’axe des y, puis en divisant cette valeur par deux.

F. Aucune de ces réponses.

A

A

« On peut aussi calculer directement ce seuil différentiel en soustrayant les points sur l’axe des x correspondant à 0,75 et 0,25 sur l’axe des y, puis en divisant cette valeur par deux. » (p. 9)

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68
Q

Que faut-il faire pour éviter les erreurs spatiales lors de la présentation conjointe des stimuli ?

A. Présenter les stimuli simultanément.

B. Varier de manière aléatoire l’endroit où est présenté le standard.

C. Présenter les stimuli successivement.

D. Utiliser des stimuli de même intensité.

E. Utiliser des stimuli de différentes intensités.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« Quand les stimuli sont présentés conjointement, c’est-à-dire en même temps, il faut varier de manière aléatoire l’endroit, à gauche ou à droite, où est présenté le standard. Cette variation vise à contrer le cas où il y aura une nette préférence pour un côté ou l’autre. » (p. 9)

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69
Q

Comment appelle-t-on les erreurs causées par une préférence pour un côté lors de la présentation conjointe des stimuli ?

A. Erreurs d’ordre temporel.

B. Erreurs de discrimination.

C. Erreurs de perception.

D. Erreurs spatiales.

E. Erreurs de jugement.

F. Aucune de ces réponses.

A

D

« Cette variation vise à contrer le cas où il y aura une nette préférence pour un côté ou l’autre. Cette préférence cause ce qu’il est convenu d’appeler des erreurs spatiales. » (p. 9)

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70
Q

Quel type d’erreur systématique peut survenir lorsque les stimuli sont comparés successivement ?

A. Erreur de perception.

B. Erreur de jugement.

C. Erreur d’ordre temporel.

D. Erreur de discrimination.

E. Erreur spatiale.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« Lorsque les stimuli à discriminer sont comparés successivement, plutôt que simultanément, il risque de se produire un type d’erreur systématique appelé erreur d’ordre temporel. » (p. 9)

71
Q

Quelle tendance peut être observée lors de la comparaison successive des stimuli ?

A. Une surestimation de la valeur du premier stimulus.

B. Une sous-estimation de la valeur du premier stimulus.

C. Une surestimation de la valeur du deuxième stimulus.

D. Une sous-estimation de la valeur du deuxième stimulus.

E. Une estimation correcte des deux stimuli.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« Dans pareil cas, on aura une tendance plus ou moins marquée à juger que le premier ou que le deuxième stimulus est de plus grande magnitude. On assiste souvent à une sous-estimation de la valeur du premier stimulus, ce qui pourrait être interprété comme une diminution de la trace laissée en mémoire par celui-ci. » (p. 9)

72
Q

Comment peut-on interpréter la sous-estimation de la valeur du premier stimulus lors de la comparaison successive des stimuli ?

A. Comme une augmentation de la trace laissée en mémoire par celui-ci.

B. Comme une diminution de la trace laissée en mémoire par celui-ci.

C. Comme une augmentation de la perception de celui-ci.

D. Comme une diminution de la perception de celui-ci.

E. Comme une erreur de jugement.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« On assiste souvent à une sous-estimation de la valeur du premier stimulus, ce qui pourrait être interprété comme une diminution de la trace laissée en mémoire par celui-ci. » (p. 9)

73
Q

. Selon la loi de Weber, comment varie le seuil différentiel en fonction de l’intensité des stimuli ?

A. Il diminue.

B. Il reste constant.

C. Il augmente.

D. Il fluctue.

E. Il est indépendant de l’intensité.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« Selon la loi de Weber, parfois appelée aussi la Loi de Bouguer-Weber (Bonnet, 1986), le seuil différentiel augmente en fonction de l’intensité des stimuli à l’étude. » (p. 9-10)

74
Q

Quelle est la relation entre la différence de magnitude minimale (Δϕ) et la magnitude des stimuli (f) selon la loi de Weber ?

A. Δϕ est inversement proportionnelle à f.

B. Δϕ est proportionnelle à f.

C. Δϕ est égale à f.

D. Δϕ est indépendante de f.

E. Δϕ est exponentielle par rapport à f.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« En d’autres termes, selon cette loi, la relation entre Δϕ et ϕ est proportionnelle: Δϕ = Δϕ (ou Δϕ/ϕ = K) où K, la fraction de Weber, est une constante. » (p. 9-10)

75
Q

Comment est également appelée la loi de Weber ?

A. La loi de Fechner.

B. La loi de Stevens.

C. La loi de Bouguer-Weber.

D. La loi de Weber-Fechner.

E. La loi de Weber-Stevens.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« Selon la loi de Weber, parfois appelée aussi la Loi de Bouguer-Weber (Bonnet, 1986), le seuil différentiel augmente en fonction de l’intensité des stimuli à l’étude. » (p. 9-10)

76
Q

Que représente K dans la formule ΔΦ = KΦ ?

A. Une variable.

B. Une constante.

C. Une fonction.

D. Une proportion.

E. Une équation.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« En d’autres termes, selon cette loi, la relation entre ΔΦ et Φ est proportionnelle: ΔΦ = KΦ (ou ΔΦ/Φ = K) où K, la fraction de Weber, est une constante. » (p. 9-10)

77
Q

Quelle est l’utilité de la loi de Weber ?

A. Fournir un outil pour mesurer l’intensité des stimuli.

B. Fournir un outil pour regarder les mécanismes impliqués lors de la discrimination de quantités sensorielles.

C. Fournir un outil pour mesurer la perception des couleurs.

D. Fournir un outil pour mesurer la perception de la profondeur.

E. Fournir un outil pour mesurer la perception auditive.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« Cette loi de Weber est en fait un principe qui fournit un outil pour regarder les mécanismes impliqués lors de la discrimination de quantités sensorielles dans une modalité sensorielle donnée. » (p. 9-10)

78
Q

Quelle est la formule de la loi de Weber ?

A. ΔΦ = KΦ

B. ΔΦ = K/Φ

C. ΔΦ = Φ/K

D. ΔΦ = K+ Φ

E. ΔΦ = K-Φ

F. Aucune de ces réponses.

A

A

« En d’autres termes, selon cette loi, la relation entre Δϕ et ϕ est proportionnelle: Δϕ = Δϕ (ou Δϕ/ϕ = K) où K, la fraction de Weber, est une constante. » (p. 9-10)

79
Q

Quelle est la différence minimale pour distinguer deux poids si le standard est de 500 g selon la loi de Weber ?

A. 25 g

B. 50 g

C. 75 g

D. 100 g

E. 10 g

F. Aucune de ces réponses

A

B. 50 g

« Si l’on sait que le seuil différentiel pour un poids de 250 g est de 25 g, on peut prédire sur la base de la loi de Weber que la différence minimale pour distinguer deux poids sera de 50 g si le standard est de 500 g. Autrement dit, le ratio entre le seuil différentiel et le standard demeurera le méme, soit 10% (50/500 ou 25/250) dans le présent exemple. » (Grondin, 2019, p. 10)

80
Q

🤡

A
81
Q

. Pour quelle étendue la loi de Weber est-elle exacte ?

A. Pour toutes les valeurs d’un continuum sensoriel

B. Pour certaines valeurs d’un continuum sensoriel

C. Pour aucune valeur d’un continuum sensoriel

D. Pour les valeurs très basses

E. Pour les valeurs très élevées

F. Aucune de ces réponses

A

B. Pour certaines valeurs d’un continuum sensoriel

« Bien que la loi de Weber puisse être exacte pour une certaine étendue d’un continuum sensoriel donné, elle se révèle inexacte pour certaines valeurs de ce continuum. Cet échec de la forme stricte de la loi de Weber a mené à une nouvelle formulation de la relation entre le seuil différentiel et la magnitude du stimulus. » (Grondin, 2019, p. 10)

82
Q

Quelle est la nouvelle formulation de la relation entre le seuil différentiel et la magnitude du stimulus ?

A. Δϕ = Kp

B. Δϕ = Δϕ + a

C. Δϕ = Δϕ - a

D. Δϕ = Δϕ / a

E. Δϕ = Δϕ * a

F. Aucune de ces réponses

A

B. Δϕ = Δϕ + a

« Cet échec de la forme stricte de la loi de Weber a mené à une nouvelle formulation de la relation entre le seuil différentiel et la magnitude du stimulus. En fait, la fraction de Weber n’est valide que pour une gamme limitée sur un continuum sensoriel. Pour des valeurs très basses ou très élevées, la fraction de Weber est plus élevée. Pour des valeurs basses, cette augmentation de la fraction peut être décrite facilement sur la base d’une transformation de la loi de Weber. Il s’agit simplement d’ajouter une constante, a, interprétée comme le résultat d’un bruit sensoriel : Δϕ = Δϕ + a » (Grondin, 2019, p. 10)

83
Q

Quelle est la fraction de Weber pour un poids standard de 250 g si le seuil différentiel est de 25 g ?

A. 5%

B. 10%

C. 15%

D. 20%

E. 25%

F. Aucune de ces réponses

A

B. 10%

« Dans la section précédente, un standard de 250 g était utilisé9. Si l’on sait que le seuil différentiel pour un poids de 250 g est de 25 g, on peut prédire sur la base de la loi de Weber que la différence minimale pour distinguer deux poids sera de 50 g si le standard est de 500 g. Autrement dit, le ratio entre le seuil différentiel et le standard demeurera le méme, soit 10% (50/500 ou 25/250) dans le présent exemple. » (Grondin, 2019, p. 10)

84
Q

. La fraction de Weber est valide pour :

A. Toutes les valeurs d’un continuum sensoriel.

B. Une gamme limitée sur un continuum sensoriel.

C. Seulement les valeurs très basses.

D. Seulement les valeurs très élevées.

E. Les valeurs moyennes.

F. Aucune de ces réponses.

A

B. Une gamme limitée sur un continuum sensoriel.

« En fait, la fraction de Weber n’est valide que pour une gamme limitée sur un continuum sensoriel. Pour des valeurs très basses ou très élevées, la fraction de Weber est plus élevée. Pour des valeurs basses, cette augmentation de la fraction peut être décrite facilement sur la base d’une transformation de la loi de Weber. » (Grondin, 2019, p. 10)

85
Q

. Pour des valeurs très basses sur un continuum sensoriel, la fraction de Weber :

A. Diminue.

B. Reste constante.

C. Augmente.

D. Devient nulle.

E. Devient infinie.

F. Aucune de ces réponses.

A

C. Augmente.

« En fait, la fraction de Weber n’est valide que pour une gamme limitée sur un continuum sensoriel. Pour des valeurs très basses ou très élevées, la fraction de Weber est plus élevée. Pour des valeurs basses, cette augmentation de la fraction peut être décrite facilement sur la base d’une transformation de la loi de Weber. » (Grondin, 2019, p. 10)

86
Q

. La constante ajoutée dans la transformation de la loi de Weber est interprétée comme :

A. Une erreur de mesure.

B. Un biais expérimental.

C. Un bruit sensoriel.

D. Une variation aléatoire.

E. Une erreur systématique.

F. Aucune de ces réponses.

A

C. Un bruit sensoriel.

« Pour des valeurs basses, cette augmentation de la fraction peut être décrite facilement sur la base d’une transformation de la loi de Weber. Il s’agit simplement d’ajouter une constante, a, interprétée comme le résultat d’un bruit sensoriel : ΔΦ=KΦ+a. » (Grondin, 2019, p. 10)

87
Q

. La formule ΔΦ=KΦ+a est utilisée pour :

A. Décrire la loi de Weber.

B. Décrire la transformation de la loi de Weber.

C. Calculer la fraction de Weber.

D. Déterminer la magnitude d’un stimulus.

E. Mesurer l’intensité d’un stimulus.

F. Aucune de ces réponses.

A

B. Décrire la transformation de la loi de Weber.

« Pour des valeurs basses, cette augmentation de la fraction peut être décrite facilement sur la base d’une transformation de la loi de Weber. Il s’agit simplement d’ajouter une constante, a, interprétée comme le résultat d’un bruit sensoriel : ΔΦ=KΦ+a. » (Grondin, 2019, p. 10)

88
Q

Quelle est la valeur du seuil calculé pour un standard de 250 g avec une valeur de “a” de 10 ?

A. 25

B. 35

C. 50

D. 260

E. 250

F. Aucune de ces réponses

A

B

« Si prend une valeur de 10, le seuil calculé pour un standard Φ, de 250 g est de 35, plutôt que de 25 comme ça aurait été le cas sans le bruit additionnel (a). » (Grondin, 2019, p. 10)

89
Q

Quelle est la fraction de Weber pour un standard de 250 g avec une valeur de “a” de 10 ?

A. 10 %

B. 14 %

C. 10,4 %

D. 50 %

E. 25 %

F. Aucune de ces réponses

A

B

« La fraction de Weber passe donc de 10 % à 14 %. » (Grondin, 2019, p. 10)

90
Q

Quelle est la valeur du seuil calculé pour un standard de 2500 g avec une valeur de “a” de 10 ?

A. 25

B. 35

C. 50

D. 260

E. 250

F. Aucune de ces réponses

A

D

« Par contre, pour un standard Φ, de 2500 g le seuil calculé est de 260 plutôt que de 250. » (Grondin, 2019, p. 10)

91
Q

Quelle est la fraction de Weber pour un standard de 2500 g avec une valeur de “a” de 10 ?

A. 10 %

B. 14 %

C. 10,4 %

D. 50 %

E. 25 %

F. Aucune de ces réponses

A

C

« La fraction de Weber passe donc de 10% à 10,4 %. » (Grondin, 2019, p. 10)

92
Q

Quelle est la tâche de l’observateur dans la méthode de l’ajustement ?

A. Observer passivement le stimulus.

B. Ajuster l’intensité du stimulus.

C. Noter les différences entre deux stimuli.

D. Répondre à des questions sur le stimulus.

E. Ignorer le stimulus.

F. Aucune de ces réponses.

A

B. Ajuster l’intensité du stimulus.

« À chaque essai, il procède à un changement. Lorsqu’il s’agit de déterminer le seuil absolu, l’observateur se voit présenter un stimulus dont l’intensité se situe loin au-dessous ou au-dessus du niveau du seuil. Sa tâche consiste à ajuster l’intensité du stimulus, soit en l’augmentant ou en la diminuant, de telle manière que celui-ci se trouve tout juste à la limite de ce qui est perceptible. » (Grondin, 2019, p. 11)

93
Q

Comment est déterminée la valeur estimée du seuil absolu dans la méthode de l’ajustement ?

A. Par une seule mesure.

B. Par la moyenne de plusieurs mesures.

C. Par la mesure la plus élevée.

D. Par la mesure la plus basse.

E. Par une estimation subjective.

F. Aucune de ces réponses.

A

B. Par la moyenne de plusieurs mesures.

« Cette méthode comporte une série d’essais ascendants et descendants. C’est la moyenne de tous les points de transition observés, entre ce qui est perceptible et ce qui ne l’est pas, qui constitue la valeur estimée du seuil absolu. » (Grondin, 2019, p. 11)

94
Q

Quelle autre appellation est donnée à la méthode de l’ajustement ?

A. La méthode des erreurs moyennes.

B. La méthode des limites.

C. La méthode des stimuli constants.

D. La méthode de l’estimation directe.

E. La méthode de la détection de signal.

F. Aucune de ces réponses.

A

A. La méthode des erreurs moyennes.

« C’est la moyenne de tous les points de transition observés, entre ce qui est perceptible et ce qui ne l’est pas, qui constitue la valeur estimée du seuil absolu. Cette méthode est aussi appelée la « méthode des erreurs moyennes ». » (Grondin, 2019, p. 11)

95
Q

Dans quel contexte l’observateur ajuste-t-il l’intensité du stimulus ?

A. Lorsque l’intensité est juste au-dessus du seuil.

B. Lorsque l’intensité est juste au-dessous du seuil.

C. Lorsque l’intensité est loin au-dessus ou au-dessous du seuil.

D. Lorsque l’intensité est à un niveau moyen.

E. Lorsque l’intensité est constante.

F. Aucune de ces réponses.

A

C. Lorsque l’intensité est loin au-dessus ou au-dessous du seuil.

« Lorsqu’il s’agit de déterminer le seuil absolu, l’observateur se voit présenter un stimulus dont l’intensité se situe loin au-dessous ou au-dessus du niveau du seuil. Sa tâche consiste à ajuster l’intensité du stimulus, soit en l’augmentant ou en la diminuant, de telle manière que celui-ci se trouve tout juste à la limite de ce qui est perceptible. » (Grondin, 2019, p. 11)

96
Q

Pour quelle utilisation la méthode de l’ajustement est-elle principalement employée ?

A. Déterminer un seuil absolu.

B. Déterminer un seuil différentiel.

C. Mesurer l’intensité d’un stimulus.

D. Comparer deux stimuli.

E. Évaluer la perception auditive.

F. Aucune de ces réponses.

A

B. Déterminer un seuil différentiel.

« Cette méthode de l’ajustement n’est pas vraiment utilisée pour déterminer un seuil absolu ; elle est plutôt utile pour la détermination d’un seuil différentiel. Dans ce dernier cas, un observateur doit ajuster un stimulus de comparaison de telle manière que celui-ci paraisse égal à un stimulus standard. » (Grondin, 2019, p. 11)

97
Q

Que doit faire un observateur dans la méthode de l’ajustement pour déterminer un seuil différentiel ?

A. Ajuster un stimulus de comparaison.

B. Observer passivement un stimulus.

C. Répondre à des questions sur un stimulus.

D. Ignorer un stimulus.

E. Mesurer l’intensité d’un stimulus.

F. Aucune de ces réponses.

A

A. Ajuster un stimulus de comparaison.

« Dans ce dernier cas, un observateur doit ajuster un stimulus de comparaison de telle manière que celui-ci paraisse égal à un stimulus standard. » (Grondin, 2019, p. 11)

98
Q

Quelles conditions doivent être remplies pour utiliser la méthode de l’ajustement ?

A. Les stimuli doivent être présentés successivement.

B. Les stimuli doivent être constants.

C. Les stimuli doivent varier de façon continue.

D. Les stimuli doivent être présentés simultanément.

E. Les stimuli doivent être de faible intensité.

F. Aucune de ces réponses.

A

C. Les stimuli doivent varier de façon continue.

D. Les stimuli doivent être présentés simultanément.

« Pour utiliser cette méthode, il est impératif que les stimuli à l’étude puissent varier de façon continue (pour les seuils absolu et différentiel) et puissent être présentés simultanément (pour le seuil différentiel). » (Grondin, 2019, p. 11)

99
Q

Pourquoi la méthode de l’ajustement n’est-elle pas indiquée pour estimer le seuil différentiel de l’intensité auditive ?

A. Parce que les stimuli auditifs ne peuvent pas varier de façon continue.

B. Parce que les stimuli auditifs ne peuvent pas être présentés simultanément.

C. Parce que les stimuli auditifs sont trop faibles.

D. Parce que les stimuli auditifs sont trop intenses.

E. Parce que les stimuli auditifs sont constants.

F. Aucune de ces réponses.

A

B. Parce que les stimuli auditifs ne peuvent pas être présentés simultanément.

« Le choix de la méthode de l’ajustement ne serait pas indiqué, par exemple, pour tenter d’estimer le seuil différentiel pour l’intensité auditive. » (Grondin, 2019, p. 11)

100
Q

Que révèle l’écart-type dans la méthode de l’ajustement ?

A. L’erreur constante.

B. Le seuil absolu.

C. Le seuil différentiel.

D. La moyenne des points d’égalité.

E. La sensibilité de l’organisme.

F. Aucune de ces réponses.

A

C. Le seuil différentiel.

« En soustrayant la valeur du stimulus standard de la moyenne, l’on obtient l’erreur constante ; et le seuil différentiel sera révélé par l’écart-type. » (Grondin, 2019, p. 11)

101
Q

Que signifie un grand écart-type dans la méthode de l’ajustement ?

A. Une meilleure discrimination.

B. Une moins bonne discrimination.

C. Une plus grande sensibilité de l’organisme.

D. Une plus faible sensibilité de l’organisme.

E. Une plus grande égalité des stimuli.

F. Aucune de ces réponses.

A

B. Une moins bonne discrimination.

D. Une plus faible sensibilité de l’organisme.

« On comprend bien l’esprit de cette définition opérationnelle du seuil : plus l’écart-type est grand, plus élevé est le seuil (moins bonne est la discrimination, et moins sensible est l’organisme). » (Grondin, 2019, p. 11)

102
Q

Quelle information est utilisée pour établir le niveau de sensibilité ?

A. La moyenne des ajustements.

B. La variabilité des scores.

C. La valeur fictive du standard.

D. Le point d’égalité subjective.

E. Le seuil absolu.

F. Aucune de ces réponses.

A

B. La variabilité des scores.

« On peut voir qu’en moyenne il y a peu de différence entre eux, mais on comprend qu’il y a beaucoup plus de variabilité dans les scores de l’observateur B. C’est l’estimation de cette variabilité qui sert à établir le niveau de sensibilité, c’est-à-dire, le seuil différentiel. » (Grondin, 2019, p. 11)

103
Q

Quelle est la différence principale entre les observateurs À et B ?

A. La moyenne des ajustements.

B. La valeur fictive du standard.

C. La variabilité des scores.

D. Le point d’égalité subjective.

E. Le seuil absolu.

F. Aucune de ces réponses.

A

C. La variabilité des scores.

« On peut voir qu’en moyenne il y a peu de différence entre eux, mais on comprend qu’il y a beaucoup plus de variabilité dans les scores de l’observateur B. » (Grondin, 2019, p. 11)

104
Q

Que révèle un seuil différentiel élevé ?

A. Une meilleure discrimination.

B. Une moins bonne discrimination.

C. Une plus grande sensibilité.

D. Une plus faible sensibilité.

E. Une plus grande égalité des stimuli.

F. Aucune de ces réponses.

A

B. Une moins bonne discrimination.

D. Une plus faible sensibilité.

« C’est l’estimation de cette variabilité qui sert à établir le niveau de sensibilité, c’est-à-dire, le seuil différentiel. On comprend qu’il y a beaucoup plus de variabilité dans les scores de l’observateur B. » (Grondin, 2019, p. 11)

105
Q

Quelle méthode permet de mesurer à la fois un seuil absolu et un seuil différentiel ?

A. La méthode des stimuli constants.

B. La méthode de l’ajustement.

C. La méthode des limites.

D. La méthode de la détection du signal.

E. La méthode de l’échelonnage.

F. Aucune de ces réponses.

A

C. La méthode des limites.

« On peut tout aussi bien mesurer un seuil absolu qu’un seuil différentiel avec la méthode des limites. Dans chaque cas, on prévoit la présentation de deux types de séries de stimuli, une dite ascendante et l’autre descendante. Cependant, en plus de présenter un seul stimulus à la fois (seuil absolu) plutôt que deux (seuil différentiel), le moment de cesser la montée ou la descente change en fonction du type de seuil. » (Grondin, 2019, p. 12)

106
Q

Quel type de série de stimuli est utilisé dans la méthode des limites pour estimer un seuil absolu ?

A. Une série ascendante uniquement.

B. Une série descendante uniquement.

C. Une série aléatoire.

D. Une série ascendante et une série descendante.

E. Une série fixe.

F. Aucune de ces réponses.

A

D. Une série ascendante et une série descendante.

« Dans chaque cas, on prévoit la présentation de deux types de séries de stimuli, une dite ascendante et l’autre descendante. Cependant, en plus de présenter un seul stimulus à la fois (seuil absolu) plutôt que deux (seuil différentiel), le moment de cesser la montée ou la descente change en fonction du type de seuil. Ainsi, pour estimer un seuil absolu spécifiquement, il faut identifier d’avance une série de stimuli plus ou moins rapprochés de ce que l’on croit être le seuil. » (Grondin, 2019, p. 12)

107
Q

Comment sont présentés les stimuli dans une série ascendante pour estimer un seuil absolu ?

A. En ordre décroissant.

B. En ordre croissant.

C. En ordre aléatoire.

D. En ordre fixe.

E. En ordre variable.

F. Aucune de ces réponses.

A

B. En ordre croissant.

« Dans une série de présentations ascendantes, le premier stimulus présenté est nettement sous le seuil absolu; on augmente ensuite graduellement l’intensité d’un essai à l’autre, jusqu’à ce que l’observateur rapporte avoir perçu le stimulus. » (Grondin, 2019, p. 12)

108
Q

Quel est le critère pour cesser la présentation des stimuli dans une série ascendante pour estimer un seuil absolu ?

A. Lorsque l’observateur ne perçoit plus le stimulus.

B. Lorsque l’observateur perçoit le stimulus.

C. Lorsque l’intensité maximale est atteinte.

D. Lorsque l’intensité minimale est atteinte.

E. Lorsque l’observateur demande d’arrêter.

F. Aucune de ces réponses.

A

B. Lorsque l’observateur perçoit le stimulus.

« Dans une série de présentations ascendantes, le premier stimulus présenté est nettement sous le seuil absolu; on augmente ensuite graduellement l’intensité d’un essai à l’autre, jusqu’à ce que l’observateur rapporte avoir perçu le stimulus. » (Grondin, 2019, p. 12)

109
Q

Quelle est la méthode utilisée pour déterminer le seuil absolu lors d’une série d’essais descendants ?

A. Utiliser un stimulus de faible intensité

B. Augmenter progressivement l’intensité du stimulus

C. Diminuer progressivement l’intensité du stimulus

D. Utiliser des stimuli constants

E. Utiliser des stimuli variables

F. Aucune de ces réponses

A

C. Diminuer progressivement l’intensité du stimulus

« Dans la même veine, lors d’une série d’essais descendants, on utilise d’abord un stimulus qui peut être perçu facilement et l’on diminue peu à peu son intensité, et ce, jusqu’au moment de faire la transition entre un essai où le stimulus est perçu et celui où il ne l’est pas. Il faut noter que les séries ascendantes et les séries descendantes ne commencent pas toutes au même point (tableau 1.3). Cela a pour but de contourner le problème que pose la possibilité de commettre des erreurs dites d’anticipation et d’habituation. » (Grondin, 2019, p. 12)

110
Q

Quel est l’objectif des séries ascendantes et descendantes ne commençant pas toutes au même point ?

A. Éviter les erreurs d’anticipation

B. Éviter les erreurs d’habituation

C. Éviter les erreurs de perception

D. Éviter les erreurs de jugement

E. Éviter les erreurs de mémoire

F. Aucune de ces réponses

A

A. Éviter les erreurs d’anticipation

« Il faut noter que les séries ascendantes et les séries descendantes ne commencent pas toutes au même point (tableau 1.3). Cela a pour but de contourner le problème que pose la possibilité de commettre des erreurs dites d’anticipation et d’habituation. Pour déterminer le seuil absolu, il faut faire la moyenne des points de transition, de non perçu à perçu dans les séries ascendantes, et de perçu à non perçu dans les séries descendantes. » (Grondin, 2019, p. 12)

111
Q

Comment détermine-t-on le seuil absolu ?

A. En utilisant uniquement des séries ascendantes

B. En utilisant uniquement des séries descendantes

C. En utilisant des stimuli constants

D. En faisant la moyenne des points de transition

E. En utilisant des stimuli variables

F. Aucune de ces réponses

A

D. En faisant la moyenne des points de transition

« Cela a pour but de contourner le problème que pose la possibilité de commettre des erreurs dites d’anticipation et d’habituation. Pour déterminer le seuil absolu, il faut faire la moyenne des points de transition, de non perçu à perçu dans les séries ascendantes, et de perçu à non perçu dans les séries descendantes. » (Grondin, 2019, p. 12)

112
Q

Que signifie le terme “seuil absolu” dans le passage suivant:

Pour déterminer le seuil absolu, il faut faire la moyenne des points de transition, de non perçu à perçu dans les séries ascendantes, et de perçu à non perçu dans les séries descendantes.

A. La plus petite quantité d’énergie pouvant être détectée

B. La plus grande quantité d’énergie pouvant être détectée

C. La moyenne des points de transition

D. La différence entre les points de transition

E. La somme des points de transition

F. Aucune de ces réponses

A

A. La plus petite quantité d’énergie pouvant être détectée

« Pour déterminer le seuil absolu, il faut faire la moyenne des points de transition, de non perçu à perçu dans les séries ascendantes, et de perçu à non perçu dans les séries descendantes. Cette amplitude minimale, c’est-à-dire la plus petite quantité d’énergie pouvant être détectée en l’absence de toute autre stimulation, est appelée seuil absolu. » (Grondin, 2019, p. 12)

113
Q

Quelle est une erreur d’habituation ?

A. Répondre «oui» lors d’une série ascendante

B. Répondre «non» lors d’une série descendante

C. Répondre «non» lors d’une série ascendante

D. Répondre «oui» lors d’une série descendante

E. Répondre «oui» et «non» de manière aléatoire

F. Aucune de ces réponses

A

C. Répondre «non» lors d’une série ascendante

D. Répondre «oui» lors d’une série descendante

«On commet une erreur d’habituation quand on prend l’habitude de répondre «non» lors d’une série ascendante ou «oui» lors d’une série descendante. Un tel type d’erreur entraînera dans le premier cas une surestimation de la valeur réelle du seuil absolu et dans le second cas une sous-estimation.» (Grondin, 2019, p. 13)

114
Q

Quelle est une conséquence d’une erreur d’anticipation dans une série descendante ?

A. Surestimation de la valeur réelle du seuil absolu

B. Sous-estimation de la valeur réelle du seuil absolu

C. Surestimation de la valeur réelle du seuil différentiel

D. Sous-estimation de la valeur réelle du seuil différentiel

E. Surestimation de la valeur réelle du seuil absolu et différentiel

F. Aucune de ces réponses

A

A. Surestimation de la valeur réelle du seuil absolu

«Une erreur d’anticipation survient lorsqu’un observateur, sachant qu’il y aura un point de transition, passe trop rapidement de «oui» à «non» (série descendante) ou de «non» à «oui» (série ascendante). Dans le premier cas, l’erreur d’anticipation aura pour effet de surestimer la valeur du seuil par rapport à ce qu’est le seuil réel, et à la sous-estimer dans le deuxième cas.» (Grondin, 2019, p. 13)

115
Q

Quelle méthode est utilisée pour estimer un seuil différentiel ?

A. Méthode des stimuli constants

B. Méthode des limites

C. Méthode de l’ajustement

D. Méthode de la moyenne

E. Méthode de la variance

F. Aucune de ces réponses

A

B. Méthode des limites

«Lorsqu’il s’agit d’estimer un seuil différentiel à l’aide de la méthode des limites, on utilise deux stimuli, un standard et un stimulus de comparaison (tableau 1.4). Ces stimuli sont donc présentés par paires, soit simultanément, soit successivement.» (Grondin, 2019, p. 13)

116
Q

Comment sont présentés les stimuli dans la méthode des limites pour le son ?

A. Simultanément

B. Successivement

C. Aléatoirement

D. En série ascendante

E. En série descendante

F. Aucune de ces réponses

A

B. Successivement

«Ces stimuli sont donc présentés par paires, soit simultanément, soit successivement. Pour le son, par exemple, mieux vaut présenter les stimuli successivement.» (Grondin, 2019, p. 13)

117
Q

Quelle est une conséquence d’une erreur d’habituation dans une série descendante ?

A. Surestimation de la valeur réelle du seuil absolu

B. Sous-estimation de la valeur réelle du seuil absolu

C. Surestimation de la valeur réelle du seuil différentiel

D. Sous-estimation de la valeur réelle du seuil différentiel

E. Surestimation de la valeur réelle du seuil absolu et différentiel

F. Aucune de ces réponses

A

B. Sous-estimation de la valeur réelle du seuil absolu

«On commet une erreur d’habituation quand on prend l’habitude de répondre «non» lors d’une série ascendante ou «oui» lors d’une série descendante. Un tel type d’erreur entraînera dans le premier cas une surestimation de la valeur réelle du seuil absolu et dans le second cas une sous-estimation.» (Grondin, 2019, p. 13)

118
Q

Quelle est la nature du continuum sensoriel évalué qui détermine la pertinence du mode de présentation ?

A. La fréquence

B. L’intensité

C. La nature du stimulus

D. La nature du continuum sensoriel

E. La méthode utilisée

F. Aucune de ces réponses

A

D. La nature du continuum sensoriel

«Ces stimuli sont donc présentés par paires, soit simultanément, soit successivement. C’est la nature du continuum sensoriel évalué qui détermine la pertinence du mode de présentation.» (Grondin, 2019, p. 13)

119
Q

Quelle est la tâche de l’observateur après la présentation des deux stimuli ?

A. Déterminer si un stimulus est plus petit que l’autre.

B. Déterminer si un stimulus est plus grand que l’autre.

C. Déterminer si les stimuli sont égaux.

D. Déterminer si un stimulus est plus léger que l’autre.

E. Déterminer si un stimulus est plus lourd que l’autre.

F. Aucune de ces réponses.

A

A, B, C

« Après la présentation des deux stimuli, l’observateur doit déterminer si tel stimulus est plus petit ou plus grand que l’autre, ou si ces stimuli apparaissent comme étant égaux. » (Grondin, 2019, p. 13)

120
Q

Comment varient les stimuli de comparaison d’un essai à l’autre ?

A. Ils restent constants.

B. Ils varient de manière aléatoire.

C. Ils varient de manière systématique.

D. Ils varient pour augmenter la difficulté de discrimination.

E. Ils varient pour diminuer la difficulté de discrimination.

F. Aucune de ces réponses.

A

D

« Les stimuli de comparaison varient d’un essai à l’autre de telle façon que la difficulté de discrimination soit peu à peu augmentée. » (Grondin, 2019, p. 13)

121
Q

Que se passe-t-il dans une série ascendante de stimuli de comparaison ?

A. La magnitude des stimuli est augmentée.

B. La magnitude des stimuli est diminuée.

C. La magnitude des stimuli reste constante.

D. La magnitude des stimuli varie de manière aléatoire.

E. La magnitude des stimuli varie de manière systématique.

F. Aucune de ces réponses.

A

A

« S’il s’agit d’une série ascendante, la magnitude de ces derniers est augmentée; pour une série descendante, la magnitude est diminuée. » (Grondin, 2019, p. 13)

122
Q

Que se passe-t-il lors de la première transition dans une série ascendante ?

A. Le stimulus de comparaison apparaît plus grand que le standard.

B. Le stimulus de comparaison apparaît plus petit que le standard.

C. Les stimuli apparaissent égaux.

D. Le stimulus de comparaison disparaît.

E. Le stimulus standard disparaît.

F. Aucune de ces réponses.

A

B. Le stimulus de comparaison apparaît plus petit que le standard.

« En fait, dans le cas d’une série ascendante par exemple, la première transition que rencontre l’observateur est celle où le stimulus de comparaison apparaît être plus petit que le standard puis, l’essai suivant, les stimuli apparaissent égaux. » (Grondin, 2019, p. 13)

123
Q

Que doit faire l’observateur après la première transition dans une série ascendante ?

A. Arrêter la série.

B. Continuer à augmenter la valeur des stimuli de comparaison.

C. Diminuer la valeur des stimuli de comparaison.

D. Maintenir la valeur des stimuli de comparaison constante.

E. Réduire la valeur du stimulus standard.

F. Aucune de ces réponses.

A

B. Continuer à augmenter la valeur des stimuli de comparaison.

« Il faut continuer à augmenter la valeur des stimuli de comparaison jusqu’à ce que les stimuli, standard et de comparaison, cessent de sembler égaux. » (Grondin, 2019, p. 13)

124
Q

Quand la série ascendante s’arrête-t-elle ?

A. Lorsque les stimuli apparaissent égaux.

B. Lorsque le stimulus de comparaison apparaît plus petit que le standard.

C. Lorsque le stimulus de comparaison apparaît plus grand que le standard.

D. Lorsque le stimulus standard disparaît.

E. Lorsque le stimulus de comparaison disparaît.

F. Aucune de ces réponses.

A

C. Lorsque le stimulus de comparaison apparaît plus grand que le standard.

« Il faut atteindre la transition qui mène à l’impression que le stimulus de comparaison est plus grand que le standard. Dès que cette réponse est rendue une première fois, la série s’arrête. » (Grondin, 2019, p. 13)

125
Q

Quel est le processus respecté avec les séries descendantes ?

A. Arrêter la série après la première transition.

B. Continuer à diminuer la valeur des stimuli de comparaison.

C. Augmenter la valeur des stimuli de comparaison.

D. Maintenir la valeur des stimuli de comparaison constante.

E. Réduire la valeur du stimulus standard.

F. Aucune de ces réponses.

A

B. Continuer à diminuer la valeur des stimuli de comparaison.

« Le même processus est respecté avec les séries descendantes. » (Grondin, 2019, p. 13)

126
Q

Pourquoi les séries ascendantes et descendantes varient-elles d’une fois à l’autre ?

A. Pour éviter les erreurs d’anticipation.

B. Pour éviter les erreurs d’habituation.

C. Pour éviter les erreurs de jugement.

D. Pour éviter les erreurs de perception.

E. Pour éviter les erreurs de mémoire.

F. Aucune de ces réponses.

A

A. Pour éviter les erreurs d’anticipation.

« Aussi, tout comme c’était le cas pour le seuil absolu, on alterne les séries ascendantes et descendantes et le point à partir duquel une série varie d’une fois à l’autre pour les séries ascendantes et d’une fois à l’autre pour les séries descendantes. » (Grondin, 2019, p. 13)

127
Q

Quel est l’objectif de la méthode des limites dans la détermination du seuil différentiel ?

A. Arrêter la série après la première transition.

B. Continuer à augmenter ou diminuer la valeur des stimuli de comparaison.

C. Maintenir la valeur des stimuli de comparaison constante.

D. Réduire la valeur du stimulus standard.

E. Alterner les séries ascendantes et descendantes.

F. Aucune de ces réponses.

A

B. Continuer à augmenter ou diminuer la valeur des stimuli de comparaison.

« Lors de la détermination du seuil différentiel avec la méthode des limites, la méthode a la particularité de ne pas voir une série, descendante ou ascendante, s’arrêter lorsqu’un point de transition est observé. » (Grondin, 2019, p. 13)

128
Q

Comment identifie-t-on une limite supérieure (Ls) dans une série descendante ?

A. Lorsque le stimulus de comparaison est perçu comme plus petit que le standard.

B. Lorsque le stimulus de comparaison est perçu comme égal au standard.

C. Lorsque le stimulus de comparaison est perçu comme plus grand que le standard.

D. Lorsque le stimulus de comparaison est perçu comme plus grand que le standard après avoir été perçu comme égal.

E. Lorsque le stimulus de comparaison est perçu comme égal après avoir été perçu comme plus grand.

F. Aucune de ces réponses.

A

E. Lorsque le stimulus de comparaison est perçu comme égal après avoir été perçu comme plus grand.

« Par exemple, dans le cas d’une série descendante, on atteint la Ls au moment où, après que le stimulus de comparaison a été perçu comme étant plus grand que le standard, ces stimuli sont maintenant perçus comme étant égaux. » (Grondin, 2019, p. 14)

129
Q

Comment identifie-t-on une limite inférieure (Li) dans une série descendante ?

A. Lorsque le stimulus de comparaison est perçu comme plus grand que le standard.

B. Lorsque le stimulus de comparaison est perçu comme égal au standard.

C. Lorsque le stimulus de comparaison est perçu comme plus petit que le standard.

D. Lorsque le stimulus de comparaison est perçu comme plus petit après avoir été perçu comme égal.

E. Lorsque le stimulus de comparaison est perçu comme égal après avoir été perçu comme plus petit.

F. Aucune de ces réponses.

A

D. Lorsque le stimulus de comparaison est perçu comme plus petit après avoir été perçu comme égal.

« De même, on atteint une Li lorsque, après avoir été perçu comme étant égal au standard lors d’un essai ou de plusieurs essais, le stimulus de comparaison est maintenant perçu comme étant plus petit que le standard. » (Grondin, 2019, p. 14)

130
Q

Comment calcule-t-on un intervalle d’incertitude ?

A. En soustrayant la moyenne des Li de la moyenne des Ls.

B. En soustrayant la moyenne des Ls de la moyenne des Li.

C. En additionnant la moyenne des Ls et des Li.

D. En divisant la moyenne des Ls par la moyenne des Li.

E. En multipliant la moyenne des Ls par la moyenne des Li.

F. Aucune de ces réponses.

A

B. En soustrayant la moyenne des Ls de la moyenne des Li.

« On peut calculer un intervalle d’incertitude en soustrayant la moyenne des Ls de la moyenne des Li, le seuil différentiel étant ensuite obtenu en divisant cet intervalle par . » (Grondin, 2019, p. 14)

131
Q

Comment obtient-on le seuil différentiel à partir de l’intervalle d’incertitude ?

A. En multipliant l’intervalle par 2.

B. En divisant l’intervalle par 2.

C. En soustrayant l’intervalle de 2.

D. En ajoutant 2 à l’intervalle.

E. En prenant la racine carrée de l’intervalle.

F. Aucune de ces réponses.

A

B. En divisant l’intervalle par 2.

« On peut calculer un intervalle d’incertitude en soustrayant la moyenne des Ls de la moyenne des Li, le seuil différentiel étant ensuite obtenu en divisant cet intervalle par . » (Grondin, 2019, p. 14)

132
Q

Comment estime-t-on un point d’égalité subjective ?

A. En additionnant les Ls et les Li.

B. En soustrayant les Ls des Li.

C. En multipliant les Ls par les Li.

D. En divisant les Ls par les Li.

E. En prenant la moyenne des Ls et des Li.

F. Aucune de ces réponses.

A

E. En prenant la moyenne des Ls et des Li.

« Un point d’égalité subjective est estimé comme suit: (Ls + Li)/2 » (Grondin, 2019, p. 14)

133
Q

Quelle est l’une des procédures mentionnées pour estimer les seuils ?

A. Méthode des stimuli constants.

B. Méthode des limites.

C. Méthode de l’ajustement.

D. Méthode de l’escalier.

E. Méthode de la moyenne.

F. Aucune de ces réponses.

A

D. Méthode de l’escalier.

«Une de ces procédures est dite de l’escalier (Bonnet, 1986). Pour l’utiliser, il faut choisir un niveau de départ (plus ou moins loin du seuil) ; il faut choisir un cran (step) qui permet de faire un changement du niveau de difficulté, en diminuant ou en augmentant la magnitude du stimulus, selon qu’on passe de l’état “je ne perçois pas” à “je perçois”, ou de “je perçois” à “je ne perçois pas” ; il faut décider si l’on change ou non la magnitude dès qu’une réponse indique le passage d’un état à un autre; et enfin, il faut décider à quel moment s’arréte la procédure, par exemple après un certain nombre de changements d’état ou après un nombre fixe d’essais.» (Grondin, 2019, p. 15)

134
Q

Quel est le but de la procédure de l’escalier ?

A. Réduire le nombre d’essais.

B. Augmenter la précision.

C. Simplifier l’expérimentation.

D. Améliorer la détection.

E. Faciliter l’analyse des données.

F. Aucune de ces réponses.

A

A. Réduire le nombre d’essais.

«En général, ces méthodes permettent de faire une bonne estimation des seuils en un nombre moindre d’essais, notamment en diminuant le nombre de ceux-ci dans une région plutôt éloignée du seuil.» (Grondin, 2019, p. 15)

135
Q

Que faut-il choisir pour utiliser la procédure de l’escalier ?

A. Un niveau de départ.

B. Un cran.

C. Un nombre fixe d’essais.

D. Un niveau de difficulté.

E. Une série de variations.

F. Aucune de ces réponses.

A

A. Un niveau de départ.

«Pour l’utiliser, il faut choisir un niveau de départ (plus ou moins loin du seuil) ; il faut choisir un cran (step) qui permet de faire un changement du niveau de difficulté, en diminuant ou en augmentant la magnitude du stimulus, selon qu’on passe de l’état “je ne perçois pas” à “je perçois”, ou de “je perçois” à “je ne perçois pas” ; il faut décider si l’on change ou non la magnitude dès qu’une réponse indique le passage d’un état à un autre; et enfin, il faut décider à quel moment s’arréte la procédure, par exemple après un certain nombre de changements d’état ou après un nombre fixe d’essais.» (Grondin, 2019, p. 15)

136
Q

Quelle est une caractéristique de la procédure de l’escalier ?

A. Utilise des stimuli constants.

B. Utilise des stimuli variables.

C. Utilise des stimuli aléatoires.

D. Utilise des stimuli fixes.

E. Utilise des stimuli croissants.

F. Aucune de ces réponses.

A

B. Utilise des stimuli variables.

«Pour l’utiliser, il faut choisir un niveau de départ (plus ou moins loin du seuil) ; il faut choisir un cran (step) qui permet de faire un changement du niveau de difficulté, en diminuant ou en augmentant la magnitude du stimulus, selon qu’on passe de l’état “je ne perçois pas” à “je perçois”, ou de “je perçois” à “je ne perçois pas” ; il faut décider si l’on change ou non la magnitude dès qu’une réponse indique le passage d’un état à un autre; et enfin, il faut décider à quel moment s’arréte la procédure, par exemple après un certain nombre de changements d’état ou après un nombre fixe d’essais.» (Grondin, 2019, p. 15)

137
Q

Quelle est une des décisions à prendre lors de l’utilisation de la procédure de l’escalier ?

A. Le nombre de stimuli.

B. La magnitude des stimuli.

C. Le nombre de changements d’état.

D. La durée des essais.

E. La fréquence des essais.

F. Aucune de ces réponses.

A

C. Le nombre de changements d’état.

«il faut décider à quel moment s’arréte la procédure, par exemple après un certain nombre de changements d’état ou après un nombre fixe d’essais.» (Grondin, 2019, p. 15)

138
Q

Quelle est une variante de la procédure de l’escalier ?

A. Escalier simple.

B. Escalier multiple.

C. Escalier croissant.

D. Escalier décroissant.

E. Escalier fixe.

F. Aucune de ces réponses.

A

A. Escalier simple.

«Avec la procédure de l’escalier, on peut utiliser un escalier simple qui ne compte qu’une seule série de variations, ou un escalier double comportant deux séries indépendantes, une série partant bien au-dessus du seuil, l’autre bien au-dessous.» (Grondin, 2019, p. 15)

139
Q

Quelle méthode Fechner a-t-il proposé pour la relation entre la magnitude d’un stimulus physique et la magnitude psychologique ?

A. Une méthode directe

B. Une méthode indirecte

C. Une méthode logarithmique

D. Une méthode exponentielle

E. Une méthode linéaire

F. Aucune de ces réponses

A

B

« Les présents travaux sont dans la foulée de ceux de Fechner qui avait proposé, à l’aide d’une méthode indirecte, que cette relation entre la magnitude d’un stimulus physique et la magnitude psychologique est nécessairement logarithmique. » (Grondin, 2019, p. 16)

140
Q

Quelle est la nature de la relation entre la magnitude d’un stimulus physique et la magnitude psychologique selon Fechner ?

A. Linéaire

B. Exponentielle

C. Logarithmique

DQuadratique

E. Cubique

F. Aucune de ces réponses

A

C

« Fechner qui avait proposé, à l’aide d’une méthode indirecte, que cette relation entre la magnitude d’un stimulus physique et la magnitude psychologique est nécessairement logarithmique. » (Grondin, 2019, p. 16)

141
Q

Quelle question la loi de Weber pose-t-elle ?

A. La relation entre la magnitude d’un stimulus physique et la magnitude psychologique

B. La relation entre deux quantités physiques

C. La relation entre deux quantités psychologiques

D. La relation entre la détection et la discrimination

E. La relation entre la méthode directe et indirecte

F. Aucune de ces réponses

A

B

« Une telle question diffère nettement de celle qui est posée dans le cadre de la loi de Weber qui met en relation deux quantités physiques. » (Grondin, 2019, p. 16)

142
Q

Quelle est la différence entre la question de la relation entre la magnitude d’un stimulus physique et la magnitude psychologique et celle de la loi de Weber ?

A. La première met en relation deux quantités physiques

B. La première met en relation deux quantités psychologiques

C. La première met en relation une quantité physique et une quantité psychologique

D. La première met en relation une quantité physique et une quantité chimique

E. La première met en relation une quantité psychologique et une quantité chimique

F. Aucune de ces réponses

A

C

« Une telle question diffère nettement de celle qui est posée dans le cadre de la loi de Weber qui met en relation deux quantités physiques. » (Grondin, 2019, p. 16)

143
Q

Quelle est la méthode proposée par Stanley Smith Stevens pour mesurer l’expérience sensorielle le plus directement possible ?

A. Méthode des stimuli constants.

B. Méthode des limites.

C. Méthode de l’ajustement.

D. Méthode directe.

E. Méthode indirecte.

F. Aucune de ces réponses.

A

D

« Afin de procéder à une vérification empirique d’une loi sur la relation entre les quantités physiques, pour un continuum sensoriel donné, et l’expérience sensorielle qu’on en fait, il faut tenter de quantifier cette expérience. Stanley Smith Stevens propose d’adopter différentes méthodes afin de mesurer le plus directement possible cette expérience. Les démonstrations empiriques de Stevens reposent sur de nombreuses méthodes d’échelonnage. » (Grondin, 2019, p. 17)

144
Q

Quelles sont les deux principales catégories de méthodes d’échelonnage selon Stevens ?

A. Échelles de partition et échelles de rapport.

B. Échelles de cotation et échelles d’équisection.

C. Échelles de bissection et échelles de cotation.

D. Échelles de rapport et échelles de bissection.

E. Échelles de partition et échelles de bissection.

F. Aucune de ces réponses.

A

A

« Les démonstrations empiriques de Stevens reposent sur de nombreuses méthodes d’échelonnage. On distingue essentiellement les «échelles de partition» des «échelles de rapport». Parmi les échelles de partition, il existe notamment les échelles de cotation et les échelles d’équisection. » (Grondin, 2019, p. 17)

145
Q

Quelle méthode d’échelonnage implique de coter les stimuli dans des catégories prédéterminées ?

A. Échelles de rapport.

B. Échelles de bissection.

C. Échelles de cotation.

D. Échelles d’équisection.

E. Échelles de partition.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« Parmi les échelles de partition, il existe notamment les échelles de cotation et les échelles d’équisection. Dans le premier cas, un observateur doit coter chacun des stimuli d’un ensemble dans certaines catégories (par exemple de 1 à 5). Le nombre de stimuli de l’ensemble et le nombre de catégories sont déterminés d’avance. » (Grondin, 2019, p. 17)

146
Q

Quelle méthode d’échelonnage implique de diviser un continuum psychologique en distances égales ?

A. Échelles de cotation.

B. Échelles de rapport.

C. Échelles de partition.

D. Échelles d’équisection.

E. Échelles de bissection.

F. Aucune de ces réponses.

A

D

« Par ailleurs, avec les échelles d’équisection, un observateur doit diviser son continuum psychologique en une série de distances considérées comme égales. Par exemple, l’observateur pourrait être amené à déterminer que la distance entre les sensations créées par les stimuli A et B sur un continuum sensoriel est plus petite que, égale à, ou plus grande que la distance entre les sensations produites entre les stimuli C et D, ailleurs sur ce continuum. » (Grondin, 2019, p. 17)

147
Q

Quelle méthode d’échelonnage implique de choisir un stimulus dont l’intensité se trouve à mi-chemin entre deux autres stimuli ?

A. Échelles de cotation.

B. Échelles de rapport.

C. Échelles de partition.

D. Échelles d’équisection.

E. Échelles de bissection.

F. Aucune de ces réponses.

A

E

« Parmi les méthodes propres aux échelles d’équisection, on note la bissection. Dans un tel cas, l’observateur est appelé à choisir un stimulus dont l’intensité se trouve à mi-chemin entre les intensités de deux autres stimuli. » (Grondin, 2019, p. 17)

148
Q

Quelle est la différence principale entre les échelles de partition et les échelles de rapport ?

A. Les échelles de partition impliquent de coter les stimuli dans des catégories prédéterminées.

B. Les échelles de rapport impliquent de diviser un continuum psychologique en distances égales.

C. Les échelles de partition impliquent de choisir un stimulus dont l’intensité se trouve à mi-chemin entre deux autres stimuli.

D. Les échelles de rapport impliquent de coter les stimuli dans des catégories prédéterminées.

E. Les échelles de partition impliquent de diviser un continuum psychologique en distances égales.

F. Aucune de ces réponses.

A

A

« Parmi les échelles de partition, il existe notamment les échelles de cotation et les échelles d’équisection. Dans le premier cas, un observateur doit coter chacun des stimuli d’un ensemble dans certaines catégories (par exemple de 1 à 5). Le nombre de stimuli de l’ensemble et le nombre de catégories sont déterminés d’avance. » (Grondin, 2019, p. 17)

149
Q

Quelle méthode d’échelonnage implique de déterminer que la distance entre les sensations créées par deux stimuli est plus petite, égale ou plus grande que celle entre deux autres stimuli ?

A. Échelles de cotation.

B. Échelles de rapport.

C. Échelles de partition.

D. Échelles d’équisection.

E. Échelles de bissection.

F. Aucune de ces réponses.

A

D

« Par ailleurs, avec les échelles d’équisection, un observateur doit diviser son continuum psychologique en une série de distances considérées comme égales. Par exemple, l’observateur pourrait être amené à déterminer que la distance entre les sensations créées par les stimuli A et B sur un continuum sensoriel est plus petite que, égale à, ou plus grande que la distance entre les sensations produites entre les stimuli C et D, ailleurs sur ce continuum. » (Grondin, 2019, p. 17)

150
Q

Quelles sont les deux principales tâches des échelles de rapport ?

A. Tâches de cotation et tâches de production.

B. Tâches d’estimation et tâches de production.

C. Tâches de bissection et tâches d’estimation.

D. Tâches de cotation et tâches d’équisection.

E. Tâches de production et tâches de bissection.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« Pour ce qui est des échelles de rapport, on distingue les tâches d’estimation des tâches de production. Une procédure souvent utilisée est appelée «l’estimation de la magnitude»Quand cette procédure est utilisée, un observateur se voit exposer à un stimulus standard, aussi appelé modulus, auquel on assigne une valeur numérique. » (Grondin, 2019, p. 18)

151
Q

Quelle procédure est souvent utilisée dans les échelles de rapport ?

A. La production de rapport.

B. La bissection.

C. L’estimation de la magnitude.

D. La cotation.

E. L’équisection.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« Pour ce qui est des échelles de rapport, on distingue les tâches d’estimation des tâches de production. Une procédure souvent utilisée est appelée «l’estimation de la magnitude»Quand cette procédure est utilisée, un observateur se voit exposer à un stimulus standard, aussi appelé modulus, auquel on assigne une valeur numérique. » (Grondin, 2019, p. 18)

152
Q

Que doit faire un observateur lors de l’estimation de la magnitude ?

A. Choisir un stimulus dont l’intensité se trouve à mi-chemin entre deux autres stimuli.

B. Diviser un continuum psychologique en distances égales.

C. Attribuer une valeur numérique à chaque stimulus relativement au standard.

D. Coter les stimuli dans des catégories prédéterminées.

E. Produire l’intensité d’un stimulus correspondant à un pourcentage donné d’un autre stimulus.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« Quand cette procédure est utilisée, un observateur se voit exposer à un stimulus standard, aussi appelé modulus, auquel on assigne une valeur numérique. Ensuite, à chaque présentation d’un stimulus, l’observateur doit lui attribuer une valeur numérique relativement au standard. L’observateur établit lui-même son barème autour de la valeur du modulus, tout en prenant soin de ne jamais choisir zéro. » (Grondin, 2019, p. 18)

153
Q

Que doit faire un observateur si un stimulus apparaît être deux fois plus intense qu’un modulus de 50 ?

A. Lui attribuer une valeur de 50.

B. Lui attribuer une valeur de 25.

C. Lui attribuer une valeur de 100.

D. Lui attribuer une valeur de 75.

E. Lui attribuer une valeur de 10.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« L’observateur établit lui-même son barème autour de la valeur du modulus, tout en prenant soin de ne jamais choisir zéro. Si un stimulus apparaît être deux fois plus intense (plus grand) qu’un modulus de 50, l’observateur lui attribuera une valeur de 100. Ainsi devient-il possible d’établir une correspondance des différentes valeurs assignées (la magnitude psychologique sur l’axe des y), en fonction de la magnitude sur le plan physique (sur l’axe des x). » (Grondin, 2019, p. 18)

154
Q

Quelle est la variante de la catégorie des échelles de rapport mentionnée dans le texte ?

A. La bissection.

B. La cotation.

C. L’estimation de la magnitude.

D. La production de rapport.

E. L’équisection.

F. Aucune de ces réponses.

A

D

« Parmi les variantes dans la catégorie des échelles de rapport, on note la production de rapport (ou fractionnement). Par exemple, un observateur peut être appelé à produire l’intensité d’un stimulus de telle manière qu’il corresponde à un pourcentage (par exemple, la moitié ou le tiers) donné d’un autre stimulus. » (Grondin, 2019, p. 19)

155
Q

Que doit faire un observateur lors de la production de rapport ?

A. Attribuer une valeur numérique à chaque stimulus relativement au standard.

B. Diviser un continuum psychologique en distances égales.

C. Choisir un stimulus dont l’intensité se trouve à mi-chemin entre deux autres stimuli.

D. Produire l’intensité d’un stimulus correspondant à un pourcentage donné d’un autre stimulus.

E. Coter les stimuli dans des catégories prédéterminées.

F. Aucune de ces réponses.

A

D

« Parmi les variantes dans la catégorie des échelles de rapport, on note la production de rapport (ou fractionnement). Par exemple, un observateur peut être appelé à produire l’intensité d’un stimulus de telle manière qu’il corresponde à un pourcentage (par exemple, la moitié ou le tiers) donné d’un autre stimulus. » (Grondin, 2019, p. 19)

156
Q

Quelle est la meilleure expression de la relation entre l’ampleur d’une sensation perçue et l’intensité d’un stimulus selon Stevens ?

A. Une fonction logarithmique.

B. Une fonction exponentielle.

C. Une fonction linéaire.

D. Une fonction de puissance.

E. Une fonction quadratique.

F. Aucune de ces réponses.

A

D

« Ainsi, Stevens a établi que la meilleure expression de la relation entre l’ampleur d’une sensation perçue et l’intensité d’un stimulus est exprimée à l’aide d’une fonction de puissance: S = K Φ^b où S est la sensation, K est une constante dont la valeur dépend des unités de mesure utilisées et b est l’exposant propre à une dimension sensorielle donnée. » (Grondin, 2019, p. 18)

157
Q

Comment est appelée la loi qui exprime la relation entre l’ampleur d’une sensation perçue et l’intensité d’un stimulus ?

A. La loi de Weber.

B. La loi de Fechner.

C. La loi de puissance de Stevens.

D. La loi de Weber-Fechner.

E. La loi de Stevens.

F. Aucune de ces réponses.

A

C, E

« Cette loi est appelée la loi de puissance ou la loi de Stevens, et parfois aussi la loi de puissance de Stevens. L’exposant b constitue en quelque sorte la principale caractéristique ou, comme on le dit parfois, la signature d’un continuum sensoriel. » (Grondin, 2019, p. 18)

158
Q

Que représente l’exposant b dans la loi de Stevens ?

A. Une constante.

B. Une variable.

C. Une dimension sensorielle.

D. Une signature d’un continuum sensoriel.

E. Une unité de mesure.

F. Aucune de ces réponses.

A

D

« L’exposant b constitue en quelque sorte la principale caractéristique ou, comme on le dit parfois, la signature d’un continuum sensoriel. Sa valeur égale 1 si la relation est linéaire, est plus petite que 1 si la relation est logarithmique et est plus grande que 1 si la relation est exponentielle. » (Grondin, 2019, p. 18)

159
Q

Quelle est la valeur de l’exposant b si la relation est linéaire ?

A. 0,55.

B. 0,60.

C. 1,00.

D. 3,50.

E. 0,90.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« Sa valeur égale 1 si la relation est linéaire, est plus petite que 1 si la relation est logarithmique et est plus grande que 1 si la relation est exponentielle. Les valeurs de b rapportées par Stevens (1961) sont par exemple de 0,55 pour l’odorat, de 0,60 pour l’intensité sonore, de 1,00 pour la température, et de 3,50 pour les décharges électriques. » (Grondin, 2019, p. 18)

160
Q

Quelle est la valeur de l’exposant b pour l’odorat selon Stevens (1961) ?

A. 0,60.

B. 1,00.

C. 3,50.

D. 0,55.

E. 0,90.

F. Aucune de ces réponses.

A

D

« Les valeurs de b rapportées par Stevens (1961) sont par exemple de 0,55 pour l’odorat, de 0,60 pour l’intensité sonore, de 1,00 pour la température, et de 3,50 pour les décharges électriques. » (Grondin, 2019, p. 18)

161
Q

Quelle est la valeur de l’exposant b pour les décharges électriques selon Stevens (1961) ?

A. 0,55.

B. 0,60.

C. 1,00.

D. 3,50.

E. 0,90.

F. Aucune de ces réponses.

A

D

« Les valeurs de b rapportées par Stevens (1961) sont par exemple de 0,55 pour l’odorat, de 0,60 pour l’intensité sonore, de 1,00 pour la température, et de 3,50 pour les décharges électriques. Il faut bien comprendre que ces valeurs sont susceptibles de fluctuer d’une expérience à l’autre. » (Grondin, 2019, p. 18)

162
Q

Quelle est la meilleure approximation de la valeur de l’exposant b pour la durée selon Eisler (1976) ?

A. 0,55.

B. 0,60.

C. 1,00.

D. 3,50.

E. 0,90.

F. Aucune de ces réponses.

A

E

« Par exemple, Stevens (1961) rapporte une valeur de b de 1,0 pour la durée, mais au terme d’une longue recension des écrits sur la question, Eisler (1976) en est venu à la conclusion que 0,90 est probablement une meilleure approximation. » (Grondin, 2019, p. 18)

163
Q

Quel type de continuum sensoriel repose sur un processus physiologique additif ?

A. Continuum métathétique

B. Continuum prothétique

C. Continuum perceptuel

D. Continuum cognitif

E. Continuum sensoriel

F. Aucune de ces réponses

A

B. Continuum prothétique

« Stevens (1975) apporte une nuance fondamentale à propos des différents types d’expériences sensorielles. Celles-ci s’inscrivent dans l’un des deux continuums sensoriels suivants appelés prothétique et métathétique. Dans le cas d’un continuum prothétique, il s’agit d’expériences qui reposent sur un processus physiologique additif, c’est-à-dire un processus où l’augmentation de l’intensité physique d’un stimulus entraîne une augmentation de la fréquence des potentiels d’action par les neurones responsables de la réception de ces stimuli. » (Grondin, 2019, p. 19)

164
Q

Quel continuum sensoriel est basé sur l’idée de substitution ?

A. Continuum prothétique

B. Continuum perceptuel

C. Continuum métathétique

D. Continuum cognitif

E. Continuum sensoriel

F. Aucune de ces réponses

A

C. Continuum métathétique

« Par opposition, un continuum métathétique ne repose pas sur cette idée d’addition, mais plutôt sur celle de substitution. » (Grondin, 2019, p. 19)

165
Q

Quelle est la caractéristique principale d’un continuum prothétique ?

A. Basé sur un processus de substitution

B. Basé sur un processus physiologique additif

C. Basé sur un processus cognitif

D. Basé sur un processus perceptuel

E. Basé sur un processus sensoriel

F. Aucune de ces réponses

A

B. Basé sur un processus physiologique additif

« Dans le cas d’un continuum prothétique, il s’agit d’expériences qui reposent sur un processus physiologique additif, c’est-à-dire un processus où l’augmentation de l’intensité physique d’un stimulus entraîne une augmentation de la fréquence des potentiels d’action par les neurones responsables de la réception de ces stimuli. » (Grondin, 2019, p. 19)

166
Q

Quelle est la différence principale entre un continuum prothétique et un continuum métathétique ?

A. L’un repose sur un processus additif, l’autre sur un processus de substitution

B. Les deux reposent sur un processus additif

C. Les deux reposent sur un processus de substitution

D. L’un repose sur un processus cognitif, l’autre sur un processus perceptuel

E. L’un repose sur un processus sensoriel, l’autre sur un processus perceptuel

F. Aucune de ces réponses

A

A. L’un repose sur un processus additif, l’autre sur un processus de substitution

« Dans le cas d’un continuum prothétique, il s’agit d’expériences qui reposent sur un processus physiologique additif, c’est-à-dire un processus où l’augmentation de l’intensité physique d’un stimulus entraîne une augmentation de la fréquence des potentiels d’action par les neurones responsables de la réception de ces stimuli. Par opposition, un continuum métathétique ne repose pas sur cette idée d’addition, mais plutôt sur celle de substitution. » (Grondin, 2019, p. 19)

167
Q

Quel type de continuum est associé à la question « combien? » ?

A. Continuum prothétique

B. Continuum métathétique

C. Continuum ordinal

D. Continuum nominal

E. Continuum ratio

F. Aucune de ces réponses

A

A. Continuum prothétique

« Ainsi, avec un continuum prothétique, il est logique de tenter de répondre à une question reposant sur l’idée de « combien? » tandis qu’avec le deuxième type, le continuum métathétique, la question consiste plutôt à savoir «de quelle nature?» est la sensation. » (Grondin, 2019, p. 20)

168
Q

Quel type de continuum est associé à la question « de quelle nature? » ?

A. Continuum prothétique

B. Continuum métathétique

C. Continuum ordinal

D. Continuum nominal

E. Continuum ratio

F. Aucune de ces réponses

A

B. Continuum métathétique

« Ainsi, avec un continuum prothétique, il est logique de tenter de répondre à une question reposant sur l’idée de « combien? » tandis qu’avec le deuxième type, le continuum métathétique, la question consiste plutôt à savoir «de quelle nature?» est la sensation. » (Grondin, 2019, p. 20)

169
Q

Quel changement est considéré comme additif dans la modalité visuelle?

A. Changement de brillance

B. Changement de couleur

C. Changement de tonalité

D. Changement de fréquence

E. Changement de phase

F. Aucune de ces réponses

A

A. Changement de brillance

« Par exemple, dans la modalité visuelle, un changement de brillance sera additif ; une source lumineuse sera plus ou moins intense qu’une autre. » (Grondin, 2019, p. 20)

170
Q

Quel changement est considéré comme substitutif dans la modalité visuelle?

A. Changement de brillance

B. Changement de couleur

C. Changement de tonalité

D. Changement de fréquence

E. Changement de phase

F. Aucune de ces réponses

A

B. Changement de couleur

« Si c’est d’un changement de la longueur d’onde qu’il est question, le changement sera substitutif, c’est-à-dire que ce qui sera observé ne tiendra pas d’une différence quantitative sur le plan sensoriel, mais d’un simple changement d’apparence, en l’occurrence, un changement de couleur (de tonalité). » (Grondin, 2019, p. 20)

171
Q

Quelle échelle de mesure ne sert qu’à identifier un objet?

A. Échelle nominale

B. Échelle ordinale

C. Échelle intervallaire

D. Échelle ratio

E. Échelle prothétique

F. Aucune de ces réponses

A

A. Échelle nominale

« Comme il a été mentionné plus haut, Stevens est également à l’origine de l’identification des différentes échelles de mesure. Il en avait distingué quatre: l’échelle nominale, qui ne sert qu’à identifier un objet. » (Grondin, 2019, p. 20)

172
Q

Quelle échelle de mesure indique le rang ou l’ordre des scores?

A. Échelle nominale

B. Échelle ordinale

C. Échelle intervallaire

D. Échelle ratio

E. Échelle prothétique

F. Aucune de ces réponses

A

B. Échelle ordinale

« Comme il a été mentionné plus haut, Stevens est également à l’origine de l’identification des différentes échelles de mesure. Il en avait distingué quatre: […] l’échelle ordinale, qui indique le rang ou l’ordre des scores. » (Grondin, 2019, p. 20)

173
Q

Quelle échelle de mesure comprend la notion de distance entre les scores?

A. Échelle nominale

B. Échelle ordinale

C. Échelle intervallaire

D. Échelle ratio

E. Échelle prothétique

F. Aucune de ces réponses

A

C. Échelle intervallaire

« Comme il a été mentionné plus haut, Stevens est également à l’origine de l’identification des différentes échelles de mesure. Il en avait distingué quatre: […] l’échelle intervallaire, qui comprend la notion de distance entre les scores. » (Grondin, 2019, p. 20)

174
Q

Quelle échelle de mesure comporte un zéro absolu?

A. Échelle nominale

B. Échelle ordinale

C. Échelle intervallaire

D. Échelle ratio

E. Échelle prothétique

F. Aucune de ces réponses

A

D. Échelle ratio

« Comme il a été mentionné plus haut, Stevens est également à l’origine de l’identification des différentes échelles de mesure. Il en avait distingué quatre: […] l’échelle ratio qui comporte, en plus de la notion de distance, un zéro absolu. » (Grondin, 2019, p. 20)