Semaine 1 (3 sept) : Présentation du cours et introduction Flashcards

1
Q

Quel est le niveau d’analyse qui étudie la relation entre un stimulus et la perception ?

A. Niveau d’analyse psychophysique

B. Niveau d’analyse physiologique

C. Niveau d’analyse comportementale

D. Niveau d’analyse cognitif

E. Niveau d’analyse sensoriel

F. Aucune de ces réponses

A

A

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Q

Quelle méthode de recherche consiste à demander aux participants ce qu’ils perçoivent ?

A. Description

B. Reconnaissance

C. Recherche

D. Discrimination

E. Détection

F. Aucune de ces réponses

A

A

« Méthodes de recherche

Description

On demande aux participants ce qu’ils perçoivent

Reconnaissance

On présente un stimulus et le participant va le nommer »

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Q

Quelle méthode de recherche consiste à présenter un stimulus et à demander au participant de le nommer ?

A. Description

B. Reconnaissance

C. Recherche

D. Discrimination

E. Détection

F. Aucune de ces réponses

A

B

« Reconnaissance

On présente un stimulus et le participant va le nommer

Recherche

On demande au participant e trouver un stimulus parmi d’autres. On calcule les temps de réaction »

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4
Q

Quelle méthode de recherche consiste à demander au participant de trouver un stimulus parmi d’autres et de calculer les temps de réaction ?

A. Description

B. Reconnaissance

C. Recherche

D. Discrimination

E. Détection

F. Aucune de ces réponses

A

C

« Recherche

On demande au participant e trouver un stimulus parmi d’autres. On calcule les temps de réaction

Discrimination

On présente 2 stimuli, sont-ils pareil ou différent ? »

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5
Q

Quelle méthode de recherche consiste à présenter deux stimuli et à demander s’ils sont pareils ou différents ?

A. Description

B. Reconnaissance

C. Recherche

D. Discrimination

E. Détection

F. Aucune de ces réponses

A

D

« Discrimination

On présente 2 stimuli, sont-ils pareil ou différent ?

Détection SEUIL ABSOLU (rose) SEUIL DIFFÉRENTIEL (mauve) »

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6
Q

Quelle méthode de recherche consiste à demander aux participants d’indiquer s’ils détectent une différence entre deux stimuli ?

A. Description

B. Reconnaissance

C. Recherche

D. Discrimination

E. Détection

F. Aucune de ces réponses

A

E

« Détection SEUIL ABSOLU (rose) SEUIL DIFFÉRENTIEL (mauve)

Demander aux participants d’indiquer s’ils détectent une différence entre 2 stimuli

Stimulus standard versus stimulus de comparaison »

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7
Q

Quel est le terme pour la plus petite différence physique entre deux stimuli pour produire une perception juste perceptible ?

A. Seuil absolu

B. Seuil différentiel

C. Seuil perceptuel

D. Seuil sensoriel

E. Seuil minimal

F. Aucune de ces réponses

A

B

« SEUIL DIFFÉRENTIEL (mauve)

La plus petite différence physique entre 2 stimuli pour produire une perception juste perceptible

Demander aux participants d’indiquer s’ils détectent une différence entre 2 stimuli »

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8
Q

8Quelle méthode de recherche utilise un stimulus standard et un stimulus de comparaison pour déterminer la perception ?

A. Description

B. Reconnaissance

C. Recherche

D. Discrimination

E. Détection

F. Aucune de ces réponses

A

E

« Stimulus standard versus stimulus de comparaison

Plus le standard et la différence est éloigné, plus il sera facile à détecter et vis-versa

Détection SEUIL ABSOLU (rose) SEUIL DIFFÉRENTIEL (mauve) »

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9
Q

Quel est le niveau d’analyse qui étudie la relation entre un stimulus et la perception ?

A. Niveau d’analyse physiologique

B. Niveau d’analyse psychophysique

C. Niveau d’analyse comportementale

D. Niveau d’analyse cognitif

E. Niveau d’analyse sensoriel

F. Aucune de ces réponses

A

B. Niveau d’analyse psychophysique

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10
Q

Quel niveau d’analyse se concentre sur la relation entre un stimulus et la physiologie ?

A. Niveau d’analyse psychophysique

B. Niveau d’analyse comportementale

C. Niveau d’analyse physiologique

D. Niveau d’analyse cognitif

E. Niveau d’analyse sensoriel

F. Aucune de ces réponses

A

C. Niveau d’analyse physiologique

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11
Q

Quel niveau d’analyse examine la relation entre la physiologie et la perception ?

A. Niveau d’analyse physiologique

B. Niveau d’analyse psychophysique

C. Niveau d’analyse comportementale

D. Niveau d’analyse cognitif

E. Niveau d’analyse sensoriel

F. Aucune de ces réponses

A

A. Niveau d’analyse physiologique

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12
Q

Quel niveau d’analyse est décrit comme l’étude de la relation entre un stimulus et la perception ?

A. Niveau d’analyse physiologique

B. Niveau d’analyse psychophysique

C. Niveau d’analyse comportementale

D. Niveau d’analyse cognitif

E. Niveau d’analyse sensoriel

F. Aucune de ces réponses

A

B. Niveau d’analyse psychophysique

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13
Q

Quel niveau d’analyse est impliqué dans l’étude de la relation entre la physiologie et la perception ?

A. Niveau d’analyse physiologique

B. Niveau d’analyse psychophysique

C. Niveau d’analyse comportementale

D. Niveau d’analyse cognitif

E. Niveau d’analyse sensoriel

F. Aucune de ces réponses

A

A. Niveau d’analyse physiologique

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14
Q

Quel niveau d’analyse est simplement l’étude de la relation entre un stimulus et la perception ?

A. Niveau d’analyse physiologique

B. Niveau d’analyse psychophysique

C. Niveau d’analyse comportementale

D. Niveau d’analyse cognitif

E. Niveau d’analyse sensoriel

F. Aucune de ces réponses

A

B. Niveau d’analyse psychophysique

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15
Q

Quelle méthode n’est pas attribuée à Fechner ?

A. Propriétés du courant électrique

B. Esthétique expérimentale

C. La vie après la mort

D. Théorie de la relativité

E. Aucune de ces réponses

F. Toutes ces réponses

A

D. Théorie de la relativité

« On lui doit plusieurs méthodes encore utilisé en psychophysique :

propriétés du courant électrique

esthétique expérimentale

la vie après la mort »

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16
Q

Que représente DL dans la loi de Weber ?

A. La valeur du stimulus standard

B. Une constante

C. Le seuil différentiel

D. La fraction de Weber

E. Aucune de ces réponses

F. Toutes ces réponses

A

C. Le seuil différentiel

« Loi de Weber (DL/S=K)

DL : le seuil différentiel (différence juste perceptible).

S : la valeur du stimulus standard »

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17
Q

Que signifie K dans la loi de Weber ?

A. La valeur du stimulus standard

B. Une constante

C. Le seuil différentiel

D. La fraction de Weber

E. Aucune de ces réponses

F. Toutes ces réponses

A

B. Une constante

« Loi de Weber (DL/S=K)

DL : le seuil différentiel

S : la valeur du stimulus standard

K : une constance, « fraction de Weber » »

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18
Q

Quelle est la formule de la loi de Weber ?

A. DL/S=K

B. DL+S=K

C. DL-S=K

D. DL*S=K

E. Aucune de ces réponses

F. Toutes ces réponses

A

A. DL/S=K

« Loi de Weber (DL/S=K)

DL/S=K

DL : le seuil différentiel »

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19
Q

Quelle affirmation est vraie concernant la loi de Weber ?

A. Le seuil différentiel varie beaucoup

B. La fraction de Weber est constante

C. La valeur du stimulus standard est variable

D. La loi de Weber n’est pas applicable aux dimensions sensorielles

E. Aucune de ces réponses

F. Toutes ces réponses

A

B. La fraction de Weber est constante

« Loi de Weber (DL/S=K)

DL : le seuil différentiel

S : la valeur du stimulus standard

K : une constance, « fraction de Weber »

Ça reste assez constant pour les différentes dimensions sensorielles »

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20
Q

Quelle méthode présente des stimuli de manière progressive ?

A. Méthode des limites.

B. Méthode d’ajustement.

C. Méthode des stimuli constants.

D. Méthode de comparaison.

E. Méthode de détection.

F. Aucune de ces réponses.

A

A.

« Méthode des limites

Présentation progressive de stimuli »

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21
Q

Quelle méthode est plus rapide mais moins précise ?

A. Méthode des limites.

B. Méthode d’ajustement.

C. Méthode des stimuli constants.

D. Méthode de comparaison.

E. Méthode de détection.

F. Aucune de ces réponses.

A

B.

« Méthodes d’ajustement

Plus rapide, mais moins précise. »

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22
Q

. Dans quelle méthode le participant ajuste-t-il le stimulus jusqu’à ce qu’il ne puisse presque plus le détecter ?

A. Méthode des limites.

B. Méthode d’ajustement.

C. Méthode des stimuli constants.

D. Méthode de comparaison.

E. Méthode de détection.

F. Aucune de ces réponses.

A

B.

« Méthodes d’ajustement

Le participant ou le chercheur ajuste le stimulus (par exemple, l’intensité) de manière continue, jusqu’à ce que le participant ne puisse presque plus détecter le stimulus »

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23
Q

Quelle méthode nécessite de choisir une région où il n’y a presque jamais de perception et une région où il y a presque toujours perception ?

A. Méthode des limites.

B. Méthode d’ajustement.

C. Méthode des stimuli constants.

D. Méthode de comparaison.

E. Méthode de détection.

F. Aucune de ces réponses.

A

C.

« Méthode des stimuli constants (ou méthode constante)

Il faut déterminer le seuil de façon grossière en choisissant une région pour laquelle il n’y a presque jamais de perception et une région pour laquelle il y a presque toujours une perception »

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24
Q

Quelle méthode minimise le risque que la valeur estimée soit éloignée du seuil réel en augmentant le nombre d’essais ?

A. Méthode des limites.

B. Méthode d’ajustement.

C. Méthode des stimuli constants.

D. Méthode de comparaison.

E. Méthode de détection.

F. Aucune de ces réponses.

A

C.

« Méthode des stimuli constants (ou méthode constante)

Plus il y a d’essais pour estimer un seuil, plus on minimise le risque que la valeur estimée soit éloignée de ce qu’est le seuil réel »

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25
Q

Quelle méthode demande au participant de dire s’il détecte le stimulus à chaque présentation ?

A. Méthode des limites.

B. Méthode d’ajustement.

C. Méthode des stimuli constants.

D. Méthode de comparaison.

E. Méthode de détection.

F. Aucune de ces réponses.

A

C.

« Méthode des stimuli constants (ou méthode constante)

À chaque présentation, le participant dit s’il détecte le stimuli (oui ou non) »

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26
Q

Quelle méthode est utilisée pour déterminer le seuil de manière grossière ?

A. Méthode des limites.

B. Méthode d’ajustement.

C. Méthode des stimuli constants.

D. Méthode de comparaison.

E. Méthode de détection.

F. Aucune de ces réponses.

A

C.

« Méthode des stimuli constants (ou méthode constante)

Il faut déterminer le seuil de façon grossière »

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27
Q

8Quelle méthode implique une présentation progressive de stimuli ?

A. Méthode des limites.

B. Méthode d’ajustement.

C. Méthode des stimuli constants.

D. Méthode de comparaison.

E. Méthode de détection.

F. Aucune de ces réponses.

A

A.

« Méthode des limites

Présentation progressive de stimuli »

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28
Q

Quelle est la première étape de la méthode des stimuli constants ?

A. Déterminer le seuil de façon précise.

B. Choisir une région où il y a toujours une perception.

C. Choisir une région où il n’y a jamais de perception.

D. Choisir une région où il y a presque toujours une perception.

E. Choisir une région où il n’y a presque jamais de perception.

F. Aucune de ces réponses.

A

E

« Il faut déterminer le seuil de façon grossière en choisissant une région pour laquelle il n’y a presque jamais de perception et une région pour laquelle il y a presque toujours une perception. »

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29
Q

Que se passe-t-il à chaque présentation dans la méthode des stimuli constants ?

A. Le participant ajuste le stimulus.

B. Le participant dit s’il détecte le stimulus.

C. Le chercheur ajuste le stimulus.

D. Le participant ignore le stimulus.

E. Le chercheur ignore le stimulus.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« À chaque présentation, le participant dit s’il détecte le stimuli (oui ou non). »

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30
Q

. Comment sont transformées les séquences dans la méthode des stimuli constants ?

A. En valeurs absolues.

B. En valeurs relatives.

C. En probabilités.

D. En fréquences.

E. En magnitudes.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« On transforme ces séquences en probabilités. »

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31
Q

Quelle est la fonction de la fonction psychométrique ?

A. Relier la probabilité sur l’axe des X à la magnitude d’un continuum physique sur l’axe des Y.

B. Relier la probabilité sur l’axe des Y à la magnitude d’un continuum physique sur l’axe des X.

C. Relier la fréquence sur l’axe des Y à la magnitude d’un continuum physique sur l’axe des X.

D. Relier la fréquence sur l’axe des X à la magnitude d’un continuum physique sur l’axe des Y.

E. Relier la magnitude sur l’axe des Y à la probabilité d’un continuum physique sur l’axe des X.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« Fonction psychométrique : Fonction qui relie la probabilité sur l’axe des Y à la magnitude d’un continuum physique, sur l’axe des X. »

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32
Q

. Comment est défini le seuil dans la méthode des stimuli constants ?

A. Comme le point qui correspond à une capacité de percevoir lors de 25% des essais.

B. Comme le point qui correspond à une capacité de percevoir lors de 50% des essais.

C. Comme le point qui correspond à une capacité de percevoir lors de 75% des essais.

D. Comme le point qui correspond à une capacité de percevoir lors de 100% des essais.

E. Comme le point qui correspond à une capacité de percevoir lors de 10% des essais.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« Le seuil est défini comme étant le point qui correspond à une capacité de percevoir lors de 50% des essais. »

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33
Q

Quelle hypothèse est prise en compte pour l’estimation du seuil ?

A. Variable aléatoire discrète.

B. Distribution uniforme.

C. Fonction exponentielle.

D. Variable aléatoire continue.

E. Distribution bimodale.

F. Aucune de ces réponses.

A

D

« On prend pour acquis (on fait l’hypothèse que…) Variable aléatoire continue. »

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34
Q

Quelle est la relation entre la magnitude des stimuli et la probabilité de détection dans la méthode des stimuli constants ?

A. La probabilité de détection diminue avec la magnitude des stimuli.

B. La probabilité de détection reste constante quelle que soit la magnitude des stimuli.

C. La probabilité de détection augmente avec la magnitude des stimuli.

D. La probabilité de détection est indépendante de la magnitude des stimuli.

E. La probabilité de détection est inversement proportionnelle à la magnitude des stimuli.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« Il faut placer le % de fois ou le stimulus est détecté sur l’axe des Y en fonction de la magnitude des stimuli (axe des X, en ordre croissant). »

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35
Q

8Quelle est la distribution utilisée pour l’estimation du seuil dans la méthode des stimuli constants ?

A. Distribution normale.

B. Distribution uniforme.

C. Distribution bimodale.

D. Distribution exponentielle.

E. Distribution logarithmique.

F. Aucune de ces réponses.

A

A

« On prend pour acquis (on fait l’hypothèse que…) Distribution normale. »

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36
Q

Qu’est-ce qu’une détection correcte ?

A. Un signal est présenté et l’observateur ne déclare pas l’avoir perçu.

B. Un signal n’est pas présenté et l’observateur signale l’avoir perçu.

C. Un signal est présenté et l’observateur déclare l’avoir perçu.

D. Un signal n’est pas présenté et l’observateur ne déclare pas l’avoir perçu.

E. Un signal est présenté et l’observateur signale l’avoir perçu.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« Détection correcte Un signal est présenté

L’observateur déclare l‘avoir perçu

Omission Un signal est présenté »

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37
Q

Qu’est-ce qu’une omission ?

A. Un signal est présenté et l’observateur ne déclare pas l’avoir perçu.

B. Un signal n’est pas présenté et l’observateur signale l’avoir perçu.

C. Un signal est présenté et l’observateur déclare l’avoir perçu.

D. Un signal n’est pas présenté et l’observateur ne déclare pas l’avoir perçu.

E. Un signal est présenté et l’observateur signale l’avoir perçu.

F. Aucune de ces réponses.

A

A

« L’observateur déclare l‘avoir perçu

Omission Un signal est présenté

L’observateur ne déclare pas l’avoir perçu »

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38
Q

Qu’est-ce qu’une fausse alarme ?

A. Un signal est présenté et l’observateur ne déclare pas l’avoir perçu.

B. Un signal n’est pas présenté et l’observateur signale l’avoir perçu.

C. Un signal est présenté et l’observateur déclare l’avoir perçu.

D. Un signal n’est pas présenté et l’observateur ne déclare pas l’avoir perçu.

E. Un signal est présenté et l’observateur signale l’avoir perçu.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« Omission Un signal est présenté

Fausse alarme Le signal n’est pas présenté

L’observateur signale l’avoir perçu »

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39
Q

Qu’est-ce qu’un rejet correct ?

A. Un signal est présenté et l’observateur ne déclare pas l’avoir perçu.

B. Un signal n’est pas présenté et l’observateur signale l’avoir perçu.

C. Un signal est présenté et l’observateur déclare l’avoir perçu.

D. Un signal n’est pas présenté et l’observateur ne déclare pas l’avoir perçu.

E. Un signal est présenté et l’observateur signale l’avoir perçu.

F. Aucune de ces réponses.

A

D

« Fausse alarme Le signal n’est pas présenté

Rejet correct Le signal n’est pas présenté

L’observateur ne déclare pas l’avoir perçu »

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40
Q

Quelle est la probabilité d’une détection correcte ?

A. 50%

B. 25%

C. 75%

D. 100%

E. 0%

F. Aucune de ces réponses.

A

A

« Page 5 – Détection (SEUIL ABSOLU)

50% Détection correcte

Un signal est présenté »

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41
Q

Quelle est la probabilité d’une fausse alarme ?

A. 50%

B. 25%

C. 75%

D. 100%

E. 0%

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« Page 5 – Détection (SEUIL ABSOLU)

25% de fausses alarmes

Puisque la valeur de 90% en cote Z est de 1,28 »

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42
Q

Quel type d’observateur dit avoir perçu quelque chose au moindre de ses doutes ?

A. Observateur conservateur.

B. Observateur audacieux.

C. Observateur sensible.

D. Observateur neutre.

E. Observateur prudent.

F. Aucune de ces réponses.

A

B. Observateur audacieux

« Observateur audacieux et observateur conservateur

AUDACIEUX : le sujet dit avoir perçu quelque chose au moindre de ses doutes.

CONSERVATEUR : le sujet dit avoir perçu quelque chose que s’il en est vraiment sur »

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43
Q

Quel type d’observateur dit avoir perçu quelque chose seulement s’il en est vraiment sûr ?

A. Observateur audacieux.

B. Observateur sensible.

C. Observateur conservateur.

D. Observateur neutre.

E. Observateur prudent.

F. Aucune de ces réponses.

A

C. Observateur conservateur

« AUDACIEUX : le sujet dit avoir perçu quelque chose au moindre de ses doutes.

CONSERVATEUR : le sujet dit avoir perçu quelque chose que s’il en est vraiment sur

Sensibilité semblable, MAIS ADOPTE DES STRATÉGIES DÉCISIONNELLES DIFFÉRENTES »

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44
Q

Quelle est la principale différence entre un observateur audacieux et un observateur conservateur ?

A. Leur sensibilité.

B. Leur stratégie décisionnelle.

C. Leur niveau de doute.

D. Leur capacité de perception.

E. Leur méthode d’observation.

F. Aucune de ces réponses.

A

B. Leur stratégie décisionnelle

« Observateur audacieux et observateur conservateur

Sensibilité semblable, MAIS ADOPTE DES STRATÉGIES DÉCISIONNELLES DIFFÉRENTES

»

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45
Q

Quel type d’observateur a une sensibilité semblable à celle d’un observateur conservateur ?

A. Observateur neutre.

B. Observateur prudent.

C. Observateur audacieux.

D. Observateur sensible.

E. Observateur méthodique.

F. Aucune de ces réponses.

A

C. Observateur audacieux

« Observateur audacieux et observateur conservateur

Sensibilité semblable, MAIS ADOPTE DES STRATÉGIES DÉCISIONNELLES DIFFÉRENTES

»

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46
Q

Quel type d’observateur adopte des stratégies décisionnelles différentes de celles d’un observateur audacieux ?

A. Observateur neutre.

B. Observateur prudent.

C. Observateur sensible.

D. Observateur conservateur.

E. Observateur méthodique.

F. Aucune de ces réponses.

A

D. Observateur conservateur

« Observateur audacieux et observateur conservateur

Sensibilité semblable, MAIS ADOPTE DES STRATÉGIES DÉCISIONNELLES DIFFÉRENTES

»

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47
Q

Quel type d’observateur est décrit comme ayant une sensibilité semblable mais adoptant des stratégies décisionnelles différentes ?

A. Observateur neutre.

B. Observateur prudent.

C. Observateur sensible.

D. Observateur conservateur.

E. Observateur audacieux.

F. Aucune de ces réponses.

A

D. Observateur conservateur et E. Observateur audacieux

« Observateur audacieux et observateur conservateur

Sensibilité semblable, MAIS ADOPTE DES STRATÉGIES DÉCISIONNELLES DIFFÉRENTES

»

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48
Q

Quelle est la formule pour calculer d’ ?

A. d’ = (B+S) - B

B. d’ = (B+S) / B

C. d’ = (B+S) * B

D. d’ = (B+S) + B

E. d’ = (B+S) - (B / S)

F. Aucune de ces réponses

A

A

« d’ = différence entre les moyennes des distributions B (bruit) et B+S (signal + bruit), divisé par l’écart-type de la distribution B (bruit). »

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49
Q

Que représente d’ ?

A. Un indice de bruit

B. Un indice de signal

C. Un indice pur de détectabilité

D. Un indice de fausse alarme

E. Un indice de détection correcte

F. Aucune de ces réponses

A

C

« d’ est un indice pur de détectabilité en ce sens qu’il n‘est pas influencé par le critère décisionnel. »

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50
Q

. Comment calcule-t-on d’ ?

A. d’ = cote Z (détection correcte) + cote Z (fausse alarme)

B. d’ = cote Z (détection correcte) - cote Z (fausse alarme)

C. d’ = cote Z (détection correcte) * cote Z (fausse alarme)

D. d’ = cote Z (détection correcte) / cote Z (fausse alarme)

E. d’ = cote Z (détection correcte) - (cote Z (fausse alarme) / 2)

F. Aucune de ces réponses

A

B

« d ’ = cote Z (détection correcte) – cote Z (fausse alarme). »

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51
Q

À effacer

Quelle est la valeur de d’ si la cote Z pour une détection correcte est de 1,28 et la cote Z pour une fausse alarme est de -0,67 ?

A. 1,95

B. 0,61

C. 1,28

D. -0,67

E. 2,00

F. Aucune de ces réponses

A

A

« On fait le calcul suivant : d’ = 1,28 – ( - 0,67) = 1,9. »

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52
Q

À effacer

Quelle est la cote Z pour une détection correcte de 90% ?

A. 1,28

B. -0,67

C. 0,90

D. 1,00

E. 0,67

F. Aucune de ces réponses

A

A

« Puisque la valeur de 90% en cote Z est de 1,28. »

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53
Q

Quelle est la cote Z pour une fausse alarme de 25% ?

A. 1,28

B. -0,67

C. 0,25

D. 1,00

E. 0,67

F. Aucune de ces réponses

A

B

« Puisque la valeur de 25% en cote Z est de -0,6. »

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54
Q

Que permet de faire le calcul de A’ ?

A. Estimer la sensibilité lorsque la distribution est normale

B. Estimer la sensibilité lorsque la distribution n’est pas normale

C. Estimer la détection correcte

D. Estimer la fausse alarme

E. Estimer le bruit

F. Aucune de ces réponses

A

B

« CALCUL DE A’

Permet d’estimer la sensibilité lorsque la distribution n’est pas normale. »

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55
Q

8Quelle est la formule pour calculer d’ si la cote Z pour une détection correcte est de 1,28 et la cote Z pour une fausse alarme est de -0,67 ?

A. d’ = 1,28 + (-0,67)

B. d’ = 1,28 - (-0,67)

C. d’ = 1,28 * (-0,67)

D. d’ = 1,28 / (-0,67)

E. d’ = 1,28 - (0,67)

F. Aucune de ces réponses

A

B

« On fait le calcul suivant : d’ = 1,28 – ( - 0,67) = 1,9. »

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56
Q

Quelle est la méthode la plus rapide mais moins précise pour déterminer le seuil absolu ?

A. Méthode des limites.

B. Méthode des stimuli constants.

C. Méthode d’ajustement.

D. Méthode de l’escalier.

E. Méthode de la partition.

F. Aucune de ces réponses.

A

C. Méthode d’ajustement.

« Méthodes d’ajustement

Plus rapide, mais moins précise. Le participant ou le chercheur ajuste le stimulus (par exemple, l’intensité) de manière continue, jusqu’à ce que le participant ne puisse presque plus détecter le stimulus. »

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57
Q

. Selon la loi de Weber, comment le seuil différentiel varie-t-il avec l’intensité des stimuli ?

A. Il reste constant.

B. Il diminue.

C. Il augmente.

D. Il fluctue.

E. Il est indépendant de l’intensité.

F. Aucune de ces réponses.

A

C. Il augmente.

« Loi de Weber

Selon la loi de Weber, le seuil différentiel augmente en fonction de l’intensité des stimuli à l’étude. Cette loi stipule que la différence de magnitude minimale ou seuil différentiel (ΔΦ) dépend de leur magnitude (Φ). »

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58
Q

Qu’est-ce que le calcul de β implique ?

A. La sensibilité de l’observateur.

B. Le critère décisionnel.

C. La fréquence des potentiels d’action.

D. La magnitude des stimuli.

E. La relation stimulus-perception.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« CALCUL DE β

· Critère décisionnel

· Rapport des ordonnées correspondant à l’emplacement du critère décisionnel pour chaque distribution (B et S+B) »

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59
Q

Que signifie un β élevé ?

A. L’observateur est très audacieux.

B. L’observateur est très conservateur.

C. L’observateur est neutre.

D. L’observateur a une sensibilité élevée.

E. L’observateur a une sensibilité faible.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« CALCUL DE β

· Critère décisionnel

· Rapport des ordonnées correspondant à l’emplacement du critère décisionnel pour chaque distribution (B et S+B)

· β élevée = l’observateur est très CONSERVATEUR »

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60
Q

Que signifie un β faible ?

A. L’observateur est très audacieux.

B. L’observateur est très conservateur.

C. L’observateur est neutre.

D. L’observateur a une sensibilité élevée.

E. L’observateur a une sensibilité faible.

F. Aucune de ces réponses.

A

A

« CALCUL DE β

· Critère décisionnel

· Rapport des ordonnées correspondant à l’emplacement du critère décisionnel pour chaque distribution (B et S+B)

· β faible = l’observateur est très AUDACIEUX »

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61
Q

Quel est le rapport des ordonnées utilisé pour ?

A. Déterminer la sensibilité.

B. Déterminer la magnitude des stimuli.

C. Déterminer le critère décisionnel.

D. Déterminer la fréquence des potentiels d’action.

E. Déterminer la relation stimulus-perception.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« CALCUL DE β

· Critère décisionnel

· Rapport des ordonnées correspondant à l’emplacement du critère décisionnel pour chaque distribution (B et S+B) »

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62
Q

Quelle est la relation entre β et la stratégie décisionnelle ?

A. β élevée = observateur audacieux.

B. β faible = observateur conservateur.

C. β élevée = observateur conservateur.

D. β faible = observateur neutre.

E. β élevée = observateur neutre.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« CALCUL DE β

· Critère décisionnel

· Rapport des ordonnées correspondant à l’emplacement du critère décisionnel pour chaque distribution (B et S+B)

· β élevée = l’observateur est très CONSERVATEUR »

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63
Q

Quelle est la relation entre β et l’audace de l’observateur ?

A. β élevée = observateur audacieux.

B. β faible = observateur conservateur.

C. β faible = observateur audacieux.

D. β élevée = observateur neutre.

E. β faible = observateur neutre.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« CALCUL DE β

· Critère décisionnel

· Rapport des ordonnées correspondant à l’emplacement du critère décisionnel pour chaque distribution (B et S+B)

· β faible = l’observateur est très AUDACIEUX »

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64
Q

Quelle est la définition du seuil différentiel ?

A. La plus petite quantité d’énergie physique pouvant être détectée.

B. La différence d’intensité minimale nécessaire pour que 2 stimuli puissent être différenciés.

C. La capacité de percevoir un stimulus dans 50% des essais.

D. La relation entre stimulus et perception.

E. La relation entre stimulus et physiologie.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« Seuil différentiel

o Différence d’intensité minimal nécessaire pour que 2 stimuli puissent être différenciés

o Point à partir duquel un observateur est capable de faire la différence entre 2 stimuli

o Aussi nommée différence juste perceptible ou DJP »

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65
Q

Comment appelle-t-on également le seuil différentiel ?

A. Seuil absolu.

B. Différence juste perceptible.

C. Seuil de détection.

D. Seuil de perception.

E. Seuil de reconnaissance.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« Seuil différentiel

o Différence d’intensité minimal nécessaire pour que 2 stimuli puissent être différenciés

o Point à partir duquel un observateur est capable de faire la différence entre 2 stimuli

o Aussi nommée différence juste perceptible ou DJP »

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66
Q

À partir de quel point un observateur est-il capable de faire la différence entre deux stimuli ?

A. Lorsque l’intensité des stimuli est maximale.

B. Lorsque l’intensité des stimuli est minimale.

C. Lorsque l’intensité des stimuli est égale.

D. Lorsque l’intensité des stimuli est différente.

E. Lorsque l’intensité des stimuli est perceptible.

F. Aucune de ces réponses.

A

D

« Seuil différentiel

o Différence d’intensité minimal nécessaire pour que 2 stimuli puissent être différenciés

o Point à partir duquel un observateur est capable de faire la différence entre 2 stimuli

o Aussi nommée différence juste perceptible ou DJP »

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67
Q

Quelle est la plus petite différence physique entre deux stimuli pour produire une perception juste perceptible ?

A. Seuil absolu.

B. Seuil différentiel.

C. Seuil de détection.

D. Seuil de perception.

E. Seuil de reconnaissance.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« Seuil différentiel

o Différence d’intensité minimal nécessaire pour que 2 stimuli puissent être différenciés

o Point à partir duquel un observateur est capable de faire la différence entre 2 stimuli

o Aussi nommée différence juste perceptible ou DJP »

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68
Q

Comment appelle-t-on le point à partir duquel un observateur est capable de faire la différence entre deux stimuli ?

A. Seuil absolu.

B. Seuil différentiel.

C. Seuil de détection.

D. Seuil de perception.

E. Seuil de reconnaissance.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« Seuil différentiel

o Différence d’intensité minimal nécessaire pour que 2 stimuli puissent être différenciés

o Point à partir duquel un observateur est capable de faire la différence entre 2 stimuli

o Aussi nommée différence juste perceptible ou DJP »

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69
Q

Quelle est la méthode des stimuli constants ?

A. Présenter un seul stimulus à un observateur.

B. Présenter deux stimuli à un observateur.

C. Présenter plusieurs stimuli à un observateur.

D. Présenter des stimuli de manière aléatoire.

E. Présenter des stimuli de manière constante.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« Méthode des stimuli constants

On présente 2 stimuli à un observateur et celui-ci doit déterminer lequel des deux stimuli est de plus grande magnitude. »

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70
Q

Que doit déterminer l’observateur dans la méthode des stimuli constants ?

A. La couleur des stimuli.

B. La forme des stimuli.

C. La magnitude des stimuli.

D. La texture des stimuli.

E. La température des stimuli.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« On présente 2 stimuli à un observateur et celui-ci doit déterminer lequel des deux stimuli est de plus grande magnitude. »

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71
Q

Quels sont les types de stimuli présentés dans la méthode des stimuli constants ?

A. Stimulus standard et stimulus de comparaison.

B. Stimulus variable et stimulus fixe.

C. Stimulus léger et stimulus lourd.

D. Stimulus visuel et stimulus auditif.

E. Stimulus tactile et stimulus olfactif.

F. Aucune de ces réponses.

A

A

« On présente 2 stimuli

o Stimulus standard

o Stimulus de comparaison »

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72
Q

Quel est l’exemple donné pour déterminer le seuil différentiel ?

A. Un poids de 100 grammes.

B. Un poids de 150 grammes.

C. Un poids de 200 grammes.

D. Un poids de 250 grammes.

E. Un poids de 300 grammes.

F. Aucune de ces réponses.

A

D

« Exemple :

o On tente de déterminer le seuil différentiel pour un poids de standard de 250 grammes. »

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73
Q

Quelles valeurs peuvent prendre le stimulus de comparaison dans l’exemple donné ?

A. 200, 210, 220, 230, 240.

B. 210, 220, 230, 240, 250.

C. 220, 230, 240, 250, 260.

D. 230, 235, 240, 245, 250.

E. 240, 250, 260, 270, 280.

F. Aucune de ces réponses.

A

D

« o Le stimulus de comparaison peut prendre les valeurs suivantes :

230, 235, 240, 245, 250 »

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74
Q

Que doit dire l’observateur à chaque essai ?

A. Si le stimulus de comparaison est plus léger ou plus lourd que le standard.

B. Si le stimulus de comparaison est plus grand ou plus petit que le standard.

C. Si le stimulus de comparaison est plus rapide ou plus lent que le standard.

D. Si le stimulus de comparaison est plus chaud ou plus froid que le standard.

E. Si le stimulus de comparaison est plus clair ou plus foncé que le standard.

F. Aucune de ces réponses.

A

A

« À chaque essai, l’observateur doit dire si le stimulus de comparaison est PLUS LÉGER ou PLUS LOURD que le standard »

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75
Q

Que représente l’ordre des X dans la méthode des stimuli constants ?

A. Les valeurs des stimuli de comparaison.

B. Les valeurs des stimuli standards.

C. Les valeurs des stimuli variables.

D. Les valeurs des stimuli fixes.

E. Les valeurs des stimuli aléatoires.

F. Aucune de ces réponses.

A

A

« o Ordre des X = valeurs des stimuli de comparaison »

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76
Q

Que représente l’ordre des Y dans la méthode des stimuli constants ?

A. La probabilité de trouver que le stimulus de comparaison est plus léger que le standard.

B. La probabilité de trouver que le stimulus de comparaison est plus grand que le standard.

C. La probabilité de trouver que le stimulus de comparaison est plus rapide que le standard.

D. La probabilité de trouver que le stimulus de comparaison est plus chaud que le standard.

E. La probabilité de trouver que le stimulus de comparaison est plus lourd que le standard.

F. Aucune de ces réponses.

A

E

« o Ordre des Y = probabilité de trouver que le stimulus de comparaison est PLUS LOURD que le standard »

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77
Q

Qu’est-ce que le Point d’Égalité Subjective (PES) ?

A. Point sur l’axe des Y qui correspond à 0,50 sur l’axe des X.

B. Point sur l’axe des X qui correspond à 0,50 sur l’axe des Y.

C. Point sur l’axe des X qui correspond à 0,25 sur l’axe des Y.

D. Point sur l’axe des Y qui correspond à 0,25 sur l’axe des X.

E. Point sur l’axe des X qui correspond à 0,75 sur l’axe des Y.

F1. Aucune de ces réponses.

A

B

« CALCUL DU POINT D’ÉGALITÉ SUBJECTIVE (PES)

Point sur l’axe des X qui correspond à 0,50 sur l’axe des Y

Probabilité de répondre que le standard est plus lourd que le stimulus de comparaison

Probabilité de répondre que le stimulus de comparaison est plus lourd que le standard »

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78
Q

. Comment calcule-t-on l’erreur constante ?

A. PES + valeur du standard.

B. PES - valeur du standard.

C. PES x valeur du standard.

D. PES / valeur du standard.

E. PES + 2 x valeur du standard.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« CALCUL DE L’ERREUR CONSTANTE

Erreur constante = PES - valeur du standard

Probabilité de répondre que le standard est plus lourd que le stimulus de comparaison

Probabilité de répondre que le stimulus de comparaison est plus lourd que le standard »

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79
Q

Quelle est la probabilité de répondre que le standard est plus lourd que le stimulus de comparaison au PES ?

A. 0,25

B. 0,50

C. 0,75

D. 1,00

E. 0,10

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« Point sur l’axe des X qui correspond à 0,50 sur l’axe des Y

Probabilité de répondre que le standard est plus lourd que le stimulus de comparaison

Probabilité de répondre que le stimulus de comparaison est plus lourd que le standard

CALCUL DE L’ERREUR CONSTANTE »

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80
Q

Que représente le PES dans le contexte de la perception ?

A. La probabilité de détecter un stimulus.

B. La probabilité de répondre que le standard est plus lourd que le stimulus de comparaison.

C. La probabilité de répondre que le stimulus de comparaison est plus lourd que le standard.

D. La probabilité de répondre que le standard est plus léger que le stimulus de comparaison.

E. La probabilité de répondre que le stimulus de comparaison est plus léger que le standard.

F. Aucune de ces réponses.

A

B et C

« Probabilité de répondre que le standard est plus lourd que le stimulus de comparaison

Probabilité de répondre que le stimulus de comparaison est plus lourd que le standard

CALCUL DE L’ERREUR CONSTANTE

Erreur constante = PES - valeur du standard »

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81
Q

Quelle est la relation entre le PES et la valeur du standard ?

A. Le PES est toujours supérieur à la valeur du standard.

B. Le PES est toujours inférieur à la valeur du standard.

C. Le PES est égal à la valeur du standard.

D. Le PES peut être supérieur ou inférieur à la valeur du standard.

E. Le PES est indépendant de la valeur du standard.

F. Aucune de ces réponses.

A

D

« CALCUL DU POINT D’ÉGALITÉ SUBJECTIVE (PES)

Point sur l’axe des X qui correspond à 0,50 sur l’axe des Y

Probabilité de répondre que le standard est plus lourd que le stimulus de comparaison

Probabilité de répondre que le stimulus de comparaison est plus lourd que le standard »

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82
Q

Quel est le seuil différentiel inférieur dans l’exemple donné ?

A. 3

B. 4

C. 5

D. 6

E. 7

F. Aucune de ces réponses

A

C

« Seuil différentiel inférieur = valeur de x à 0,50 – valeur de x à 0,25

Seuil différentiel inférieur = 248 – 243

Seuil différentiel inférieur = 5 »

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83
Q

Quel est le seuil différentiel supérieur dans l’exemple donné ?

A. 3

B. 4

C. 5

D. 6

E. 7

F. Aucune de ces réponses

A

C

« Seuil différentiel supérieur = valeur de x à 0,75 – valeur de x à 0,50

Seuil différentiel supérieur = 253 – 248

Seuil différentiel supérieur = 5 »

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84
Q

Quelle est la valeur de x à 0,50 pour le seuil différentiel inférieur ?

A. 243

B. 245

C. 248

D. 250

E. 253

F. Aucune de ces réponses

A

C

« Seuil différentiel inférieur = valeur de x à 0,50 – valeur de x à 0,25

Seuil différentiel inférieur = 248 – 243

Seuil différentiel inférieur = 5 »

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85
Q

Quelle est la valeur de x à 0,25 pour le seuil différentiel inférieur ?

A. 243

B. 245

C. 248

D. 250

E. 253

F. Aucune de ces réponses

A

A

« Seuil différentiel inférieur = valeur de x à 0,50 – valeur de x à 0,25

Seuil différentiel inférieur = 248 – 243

Seuil différentiel inférieur = 5 »

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86
Q

Quelle est la valeur de x à 0,75 pour le seuil différentiel supérieur ?

A. 243

B. 245

C. 248

D. 250

E. 253

F. Aucune de ces réponses

A

E

« Seuil différentiel supérieur = valeur de x à 0,75 – valeur de x à 0,50

Seuil différentiel supérieur = 253 – 248

Seuil différentiel supérieur = 5 »

87
Q

Pourquoi utilise-t-on le point 0,25 pour le calcul du seuil différentiel inférieur ?

A. C’est le point milieu entre l’incapacité à discriminer et une parfaite discrimination

B. C’est le point milieu entre deux valeurs arbitraires

C. C’est le point milieu entre deux seuils absolus

D. C’est le point milieu entre deux seuils relatifs

E. C’est le point milieu entre deux seuils différentiels

F. Aucune de ces réponses

A

A

« Pourquoi on fait cela :

Le 0,25 est le point milieu entre l’incapacité à discriminer (0,50) et une parfaite discrimination (0%)

Seuil différentiel inférieur = valeur de x à 0,50 – valeur de x à 0,25 »

88
Q

Quelle est la formule pour calculer le seuil différentiel inférieur ?

A. valeur de x à 0,75 – valeur de x à 0,50

B. valeur de x à 0,50 – valeur de x à 0,25

C. valeur de x à 0,25 – valeur de x à 0,50

D. valeur de x à 0,50 – valeur de x à 0,75

E. valeur de x à 0,75 – valeur de x à 0,25

F. Aucune de ces réponses

A

B

« Seuil différentiel inférieur = valeur de x à 0,50 – valeur de x à 0,25

Seuil différentiel inférieur = 248 – 243

Seuil différentiel inférieur = 5 »

89
Q

8Quelle est la formule pour calculer le seuil différentiel supérieur ?

A. valeur de x à 0,75 – valeur de x à 0,50

B. valeur de x à 0,50 – valeur de x à 0,25

C. valeur de x à 0,25 – valeur de x à 0,50

D. valeur de x à 0,50 – valeur de x à 0,75

E. valeur de x à 0,75 – valeur de x à 0,25

F. Aucune de ces réponses

A

A

« Seuil différentiel supérieur = valeur de x à 0,75 – valeur de x à 0,50

Seuil différentiel supérieur = 253 – 248

Seuil différentiel supérieur = 5 »

90
Q

Qu’est-ce qu’une erreur spatiale ?

A. Une erreur due à la présentation aléatoire des stimuli.

B. Une erreur causée par la préférence pour un côté.

C. Une erreur liée à la magnitude des stimuli.

D. Une erreur due à la variation de l’intensité des stimuli.

E. Une erreur causée par la présentation simultanée des stimuli.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« Quand les stimuli sont présentés conjointement (en même temps), il faut varier de manière aléatoire l’endroit (à gauche ou à droite) ou est présenté le standard. Évite les préférences qui causent les erreurs spatiale. »

91
Q

. Comment éviter les erreurs spatiales ?

A. En présentant les stimuli de manière aléatoire.

B. En présentant les stimuli à des moments différents.

C. En variant l’endroit de présentation des stimuli.

D. En augmentant l’intensité des stimuli.

E. En réduisant la magnitude des stimuli.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« Quand les stimuli sont présentés conjointement (en même temps), il faut varier de manière aléatoire l’endroit (à gauche ou à droite) ou est présenté le standard. Évite les préférences qui causent les erreurs spatiale. »

92
Q

Qu’est-ce qu’une erreur d’ordre temporel ?

A. Une erreur due à la présentation simultanée des stimuli.

B. Une erreur causée par la préférence pour un côté.

C. Une erreur liée à la magnitude des stimuli.

D. Une erreur due à la variation de l’intensité des stimuli.

E. Une erreur causée par la présentation aléatoire des stimuli.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« Tendance plus ou moins marquée à juger que le premier ou que le deuxième stimulus est de plus grande magnitude. »

93
Q

Quelle est la cause des erreurs d’ordre temporel ?

A. La présentation simultanée des stimuli.

B. La préférence pour un côté.

C. La variation de l’intensité des stimuli.

D. La magnitude des stimuli.

E. La présentation aléatoire des stimuli.

F. Aucune de ces réponses.

A

D

« Erreurs d’ordre temporel

Tendance plus ou moins marquée à juger que le premier ou que le deuxième stimulus est de plus grande magnitude. »

94
Q

. Comment peut-on éviter les erreurs d’ordre temporel ?

A. En présentant les stimuli de manière aléatoire.

B. En présentant les stimuli à des moments différents.

C. En variant l’endroit de présentation des stimuli.

D. En augmentant l’intensité des stimuli.

E. En réduisant la magnitude des stimuli.

F. Aucune de ces réponses.

A

F

« Erreurs d’ordre temporel

Tendance plus ou moins marquée à juger que le premier ou que le deuxième stimulus est de plus grande magnitude. »

95
Q

Quelle est la relation entre ΔΦ et Φ selon la loi de Weber ?

A. Inverse

B. Proportionnelle

C. Exponentielle

D. Logarithmique

E. Linéaire

F. Aucune de ces réponses

A

B

« Selon la loi de Weber, le seuil différentiel augmente en fonction de l’intensité des stimuli à l’étude. Cette loi stipule que la différence de magnitude minimale ou seuil différentiel (ΔΦ) dépend de leur magnitude (Φ). En d’autres termes, la relation entre ΔΦ et Φ est PROPORTIONNELLE. »

96
Q

Que représente K dans la loi de Weber ?

A. Une variable

B. Une constante

C. Une fonction

D. Une équation

E. Une proportion

F. Aucune de ces réponses

A

B

« Cette loi stipule que la différence de magnitude minimale ou seuil différentiel (ΔΦ) dépend de leur magnitude (Φ). K est une constante. Le ratio entre le seuil différentiel et le standard demeurera le même. »

97
Q

. Comment varie le seuil différentiel selon la loi de Weber ?

A. Il diminue avec l’intensité des stimuli

B. Il reste constant

C. Il augmente avec l’intensité des stimuli

D. Il fluctue de manière aléatoire

E. Il est indépendant de l’intensité des stimuli

F. Aucune de ces réponses

A

C

« Il n’existe pas une seule valeur de seuil différentiel pour une modalité sensorielle donnée. Cette valeur varie en fonction de la magnitude des stimuli soumis à une investigation. Selon la loi de Weber, le seuil différentiel augmente en fonction de l’intensité des stimuli à l’étude. »

98
Q

Quelle est la formule de la loi de Weber ?

A. ΔΦ = Φ/K

B. ΔΦ = K/Φ

C. ΔΦ = KΦ

D. ΔΦ = KΦ²

E. ΔΦ = KΦ + a

F. Aucune de ces réponses

A

C

« Selon la loi de Weber, le seuil différentiel augmente en fonction de l’intensité des stimuli à l’étude. Cette loi stipule que la différence de magnitude minimale ou seuil différentiel (ΔΦ) dépend de leur magnitude (Φ). K est une constante. Le ratio entre le seuil différentiel et le standard demeurera le même. ΔΦ = KΦ. »

99
Q

Quelle est la nature de la relation entre ΔΦ et Φ selon la loi de Weber ?

A. Additive

B. Multiplicative

C. Proportionnelle

D. Exponentielle

E. Logarithmique

F. Aucune de ces réponses

A

C

« Selon la loi de Weber, le seuil différentiel augmente en fonction de l’intensité des stimuli à l’étude. Cette loi stipule que la différence de magnitude minimale ou seuil différentiel (ΔΦ) dépend de leur magnitude (Φ). En d’autres termes, la relation entre ΔΦ et Φ est PROPORTIONNELLE. »

100
Q

Quelle est la constance du ratio entre le seuil différentiel et le standard selon la loi de Weber ?

A. Il varie

B. Il reste constant

C. Il diminue

D. Il augmente

E. Il fluctue

F. Aucune de ces réponses

A

B

« Cette loi stipule que la différence de magnitude minimale ou seuil différentiel (ΔΦ) dépend de leur magnitude (Φ). K est une constante. Le ratio entre le seuil différentiel et le standard demeurera le même. ΔΦ = KΦ. »

101
Q

Quelle est l’implication principale de la loi de Weber pour les seuils différentiels ?

A. Ils sont fixes

B. Ils varient avec l’intensité des stimuli

C. Ils augmentent avec l’intensité des stimuli

D. Ils sont indépendants de l’intensité des stimuli

E. Ils diminuent avec l’intensité des stimuli

F. Aucune de ces réponses

A

B

C

« Il n’existe pas une seule valeur de seuil différentiel pour une modalité sensorielle donnée. Cette valeur varie en fonction de la magnitude des stimuli soumis à une investigation. Selon la loi de Weber, le seuil différentiel augmente en fonction de l’intensité des stimuli à l’étude. »

102
Q

8Quelle est la formule modifiée de la loi de Weber pour les valeurs très basses ou très élevées ?

A. ΔΦ = KΦ

B. ΔΦ = K/Φ

C. ΔΦ = Φ/K

D. ΔΦ = KΦ²

E. ΔΦ = KΦ + a

F. Aucune de ces réponses

A

E

« Pour des valeurs très basses ou très élevées, la fraction de Weber est plus élevée. Pour les valeurs basses, il suffit d’ajouter une constante (a). Constante a = résultat d’un bruit sensoriel. ΔΦ = KΦ + a. »

103
Q

Quelle est la conséquence de la fraction de Weber pour des valeurs très basses ou très élevées ?

A. La fraction de Weber est plus basse.

B. La fraction de Weber reste constante.

C. La fraction de Weber est plus élevée.

D. La fraction de Weber est nulle.

E. La fraction de Weber varie de manière aléatoire.

F. Aucune de ces réponses.

A

C. La fraction de Weber est plus élevée.

« Pour des valeurs très basses ou très élevées, la fraction de Weber est plus élevée. Pour les valeurs basses, il suffit d’ajouter une constante (a). »

104
Q

Que représente la constante « a » dans le contexte de la loi de Weber ?

A. Une constante de proportionnalité.

B. Une constante de temps.

C. Une constante de bruit sensoriel.

D. Une constante de luminosité.

E. Une constante de fréquence.

F. Aucune de ces réponses.

A

C. Une constante de bruit sensoriel.

« Pour les valeurs basses, il suffit d’ajouter une constante (a). Constante a = résultat d’un bruit sensoriel. Pour des valeurs faibles, la constante a aura beaucoup de poids. »

105
Q

Quel est l’effet de la constante a pour des valeurs faibles ?

A. La constante a n’a pas beaucoup de poids.

B. La constante a a beaucoup de poids.

C. La constante a est nulle.

D. La constante a varie de manière aléatoire.

E. La constante a est proportionnelle à la valeur.

F. Aucune de ces réponses.

A

B. La constante a a beaucoup de poids.

« Constante a = résultat d’un bruit sensoriel. Pour des valeurs faibles, la constante a aura beaucoup de poids. Pour les valeurs plus grandes, la constante a n’a pas beaucoup de poids. »

106
Q

Quel est l’effet de la constante a pour des valeurs plus grandes ?

A. La constante a a beaucoup de poids.

B. La constante a n’a pas beaucoup de poids.

C. La constante a est proportionnelle à la valeur.

D. La constante a est nulle.

E. La constante a varie de manière aléatoire.

F. Aucune de ces réponses.

A

B. La constante a n’a pas beaucoup de poids.

« Pour des valeurs faibles, la constante a aura beaucoup de poids. Pour les valeurs plus grandes, la constante a n’a pas beaucoup de poids. ΔΦ = KΦ + a »

107
Q

Quelle est la formule modifiée de la loi de Weber pour inclure la constante a ?

A. ΔΦ = KΦ.

B. ΔΦ = KΦ - a.

C. ΔΦ = KΦ + a.

D. ΔΦ = KΦ / a.

E. ΔΦ = KΦ * a.

F. Aucune de ces réponses.

A

C. ΔΦ = KΦ + a.

« Pour les valeurs plus grandes, la constante a n’a pas beaucoup de poids. ΔΦ = KΦ + a »

108
Q

. Lorsqu’il s’agit de déterminer le seuil ABSOLU, quelle est la tâche de l’observateur ?

A. Ajuster l’intensité du stimulus pour qu’il soit à peine perceptible.

B. Comparer deux stimuli pour déterminer lequel est plus intense.

C. Identifier la présence d’un stimulus parmi d’autres.

D. Décrire ce qu’il perçoit.

E. Trouver un stimulus parmi d’autres.

F. Aucune de ces réponses.

A

A

« Lorsqu’il s’agit de déterminer le seuil ABSOLU

L’observateur se voit présenter un stimulus dont l’intensité se situe loin au-dessus ou loin au-dessous du niveau du seuil

o Sa tâche est d’ajuster l’intensité du stimulus, de telle manière que celui-ci se trouve tout juste à la limite de ce qui est perceptible »

109
Q

Quelle méthode est utilisée pour déterminer le seuil absolu ?

A. Méthode des limites.

B. Méthode des stimuli constants.

C. Méthode de l’ajustement.

D. Méthode de la détection.

E. Méthode de la comparaison.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« Méthode de l’ajustement

Lorsqu’il s’agit de déterminer le seuil ABSOLU

o L’observateur se voit présenter un stimulus dont l’intensité se situe loin au-dessus ou loin au-dessous du niveau du seuil »

110
Q

Que signifie un écart-type élevé dans la méthode de l’ajustement ?

A. Une meilleure discrimination.

B. Une moins bonne discrimination.

C. Une sensibilité accrue.

D. Une sensibilité réduite.

E. Une erreur constante.

F. Aucune de ces réponses.

A

B, D

« Plus l’écart-type est grand, plus le seuil est élevé, moins bonne est la discrimination, moins sensible est l’organisme

Ø Cela veut dire que, sur une grande étendue, 2 stimulus paraitront égaux

»

111
Q

. Lorsqu’il s’agit de déterminer le seuil DIFFÉRENTIEL, que doit faire l’observateur ?

A. Ajuster un stimulus de comparaison pour qu’il paraisse égal à un stimulus standard.

B. Ajuster l’intensité du stimulus pour qu’il soit à peine perceptible.

C. Identifier la présence d’un stimulus parmi d’autres.

D. Décrire ce qu’il perçoit.

E. Trouver un stimulus parmi d’autres.

F. Aucune de ces réponses.

A

A

« Lorsqu’il s’agit de déterminer le seuil DIFFÉRENTIEL

Un observateur doit ajuster un stimulus de comparaison de telle manière que celui-ci paraisse égal à un stimulus standard

o Les stimulus à l’étude doivent varier de façon continue et être présentés simultanément »

112
Q

Quelle information est essentielle pour déterminer le seuil différentiel ?

A. La moyenne des points d’égalité.

B. L’écart-type.

C. La valeur du stimulus standard.

D. La valeur du stimulus de comparaison.

E. La constante de Weber.

F. Aucune de ces réponses.

A

A, B

« On pourra tirer deux informations essentielles en faisant la moyenne des points d’égalité et en calculant l’écart-type

§ Erreur constante = moyenne – valeur stimulus standard

§ Ecart-type »

113
Q

Que signifie une erreur constante dans la méthode de l’ajustement ?

A. La différence entre la moyenne et la valeur du stimulus standard.

B. La différence entre deux stimuli.

C. La différence entre la perception et la réalité.

D. La différence entre deux essais.

E. La différence entre deux observateurs.

F. Aucune de ces réponses.

A

A

« Erreur constante = moyenne – valeur stimulus standard

§ Écart-type

Ø Plus l’écart-type est grand, plus le seuil est élevé, moins bonne est la discrimination, moins sensible est l’organisme »

114
Q

Que se passe-t-il lorsque les stimuli sont présentés simultanément dans la méthode de l’ajustement ?

A. L’observateur doit ajuster l’intensité du stimulus.

B. L’observateur doit comparer les stimuli.

C. L’observateur doit décrire ce qu’il perçoit.

D. L’observateur doit trouver un stimulus parmi d’autres.

E. L’observateur doit identifier la présence d’un stimulus.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« Lorsqu’il s’agit de déterminer le seuil DIFFÉRENTIEL

Les stimulus à l’étude doivent varier de façon continue et être présentés simultanément

o On pourra tirer deux informations essentielles en faisant la moyenne des points d’égalité et en calculant l’écart-type »

115
Q

8Quelle est la tâche de l’observateur lorsqu’il s’agit de déterminer le seuil différentiel ?

A. Ajuster l’intensité du stimulus pour qu’il soit à peine perceptible.

B. Comparer deux stimuli pour déterminer lequel est plus intense.

C. Identifier la présence d’un stimulus parmi d’autres.

D. Décrire ce qu’il perçoit.

E. Trouver un stimulus parmi d’autres.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« Lorsqu’il s’agit de déterminer le seuil DIFFÉRENTIEL

Un observateur doit ajuster un stimulus de comparaison de telle manière que celui-ci paraisse égal à un stimulus standard

o Les stimulus à l’étude doivent varier de façon continue et être présentés simultanément »

116
Q

Quelle méthode permet de calculer des seuils absolus et différentiels ?

A. Méthode des stimuli constants

B. Méthode d’ajustement

C. Méthode des limites

D. Méthode de l’escalier

E. Méthode de partition

F. Aucune de ces réponses

A

C. Méthode des limites

« Méthode des limites

· On peut calculer des seuils absolus et différentiels avec cette méthode »

117
Q

. Combien de types de séries de stimuli sont prévus dans la méthode des limites ?

A. Un seul type

B. Deux types

C. Trois types

D. Quatre types

E. Cinq types

F. Aucune de ces réponses

A

B. Deux types

« On prévoit la présentation de 2 types de série se stimulus

o Ascendante et descendante »

118
Q

. Pour le calcul du seuil absolu, combien de stimuli sont présentés à la fois ?

A. Aucun stimulus

B. Un stimulus

C. Deux stimuli

D. Trois stimuli

E. Quatre stimuli

F. Aucune de ces réponses

A

B. Un stimulus

« On présente 1 stimulus à la fois pour le seuil absolu »

119
Q

. Pour le calcul du seuil différentiel, combien de stimuli sont présentés à la fois ?

A. Aucun stimulus

B. Un stimulus

C. Deux stimuli

D. Trois stimuli

E. Quatre stimuli

F. Aucune de ces réponses

A

C. Deux stimuli

« On présente 2 stimulus à la fois pour le seuil différentiel »

120
Q

Qu’est-ce qui change en fonction du type de seuil dans la méthode des limites ?

A. La présentation des stimuli

B. Le nombre de stimuli

C. Le moment de cesser la montée ou la descente

D. La durée de l’expérience

E. La méthode de calcul

F. Aucune de ces réponses

A

C. Le moment de cesser la montée ou la descente

« Le moment de cesser la montée ou la descente change en fonction du type de seuil »

121
Q

Qu’est-ce que le seuil absolu dans une série de présentations ascendantes ?

A. Le premier stimulus est au-dessus du seuil absolu.

B. Le premier stimulus est nettement sous le seuil absolu.

C. Le premier stimulus est au seuil absolu.

D. Le premier stimulus est au-dessus du seuil différentiel.

E. Le premier stimulus est au seuil différentiel.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« Dans une série de présentations ascendantes :

Le premier stimulus présenté est nettement sous le seuil absolu

o On augmente ensuite graduellement l’intensité d’un essai à l’autre,

jusqu’à ce que l’observateur rapporte avoir perçu le stimulus »

122
Q

Que se passe-t-il dans une série de présentations descendantes ?

A. On augmente l’intensité du stimulus.

B. On diminue l’intensité du stimulus.

C. On utilise un stimulus qui peut être perçu facilement.

D. On utilise un stimulus qui ne peut pas être perçu facilement.

E. On utilise un stimulus au seuil différentiel.

F. Aucune de ces réponses.

A

B, C

« Dans une série de présentations descendantes :

On utilise d’abord un stimulus qui peut être perçu facilement

o On diminue peu à peu son intensité, et ce, jusqu’au moment de la

transition entre un essai où le stimulus est perçu et où il ne l’est pas »

123
Q

Pourquoi les séries ascendantes et descendantes ne commencent-elles pas au même point ?

A. Pour éviter les erreurs d’anticipation.

B. Pour éviter les erreurs d’habituation.

C. Pour éviter les erreurs de perception.

D. Pour éviter les erreurs de jugement.

E. Pour éviter les erreurs de mémoire.

F. Aucune de ces réponses.

A

A, B

« Les séries ascendantes et descendants ne commencent pas au même point,

cela permet d’éviter les erreurs d’anticipation et d’habituation

o Erreur d’habituation :

o Quand on prend l’habitude de dire non lors d‘une série ascendante

(donne lieu à une surestimation de la valeur réelle du seuil absolu) »

124
Q

Qu’est-ce qu’une erreur d’habituation ?

A. Surestimation du seuil absolu dans une série ascendante.

B. Sous-estimation du seuil absolu dans une série ascendante.

C. Surestimation du seuil absolu dans une série descendante.

D. Sous-estimation du seuil absolu dans une série descendante.

E. Surestimation du seuil différentiel.

F. Aucune de ces réponses.

A

A, D

« o Erreur d’habituation :

Quand on prend l’habitude de dire non lors d‘une série ascendante

(donne lieu à une surestimation de la valeur réelle du seuil absolu)

o Quand on prend l’habitude de dire oui lors d’une série descendante

(donne lieu à un sous-estimation de la valeur réelle du seuil absolu) »

125
Q

Qu’est-ce qu’une erreur d’anticipation dans une série descendante ?

A. Surestimation du seuil absolu.

B. Sous-estimation du seuil absolu.

C. Surestimation du seuil différentiel.

D. Sous-estimation du seuil différentiel.

E. Surestimation du seuil de détection.

F. Aucune de ces réponses.

A

A

« o Erreur d’anticipation :

Lorsqu’un observateur, lorsqu’il sait qu’il y aura une transition, passe

trop vite de oui à non (série descendante), ce qui a pour effet de

surestimer la valeur du seuil par rapport à ce qu’est le seuil réel »

126
Q

Qu’est-ce qu’une erreur d’anticipation dans une série ascendante ?

A. Surestimation du seuil absolu.

B. Sous-estimation du seuil absolu.

C. Surestimation du seuil différentiel.

D. Sous-estimation du seuil différentiel.

E. Surestimation du seuil de détection.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« o Erreur d’anticipation :

Lorsqu’un observateur, lorsqu’il sait qu’il y aura une transition, passe

trop vite de non à oui (série ascendante), ce qui a pour effet de

sous-estimer la valeur du seuil par rapport à ce qu’est le seuil réel »

127
Q

Quelle est la conséquence d’une erreur d’habituation dans une série ascendante ?

A. Surestimation du seuil absolu.

B. Sous-estimation du seuil absolu.

C. Surestimation du seuil différentiel.

D. Sous-estimation du seuil différentiel.

E. Surestimation du seuil de détection.

F. Aucune de ces réponses.

A

A

« o Erreur d’habituation :

Quand on prend l’habitude de dire non lors d‘une série ascendante

(donne lieu à une surestimation de la valeur réelle du seuil absolu)

o Quand on prend l’habitude de dire oui lors d’une série descendante

(donne lieu à un sous-estimation de la valeur réelle du seuil absolu) »

128
Q

8Quelle est la conséquence d’une erreur d’habituation dans une série descendante ?

A. Surestimation du seuil absolu.

B. Sous-estimation du seuil absolu.

C. Surestimation du seuil différentiel.

D. Sous-estimation du seuil différentiel.

E. Surestimation du seuil de détection.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« o Erreur d’habituation :

Quand on prend l’habitude de dire non lors d‘une série ascendante

(donne lieu à une surestimation de la valeur réelle du seuil absolu)

o Quand on prend l’habitude de dire oui lors d’une série descendante

(donne lieu à un sous-estimation de la valeur réelle du seuil absolu) »

129
Q

Quels types de stimuli sont utilisés dans la méthode des limites pour déterminer le seuil différentiel ?

A. Un stimulus standard et un stimulus de comparaison.

B. Deux stimuli standards.

C. Deux stimuli de comparaison.

D. Un stimulus visuel et un stimulus auditif.

E. Un stimulus tactile et un stimulus olfactif.

F. Aucune de ces réponses.

A

A

« DIFFÉRENTIEL

On utilise 2 stimulus (un standard et un de comparaison)

Ces stimulus sont présentés par pair, simultanément ou successivement »

130
Q

. Comment sont présentés les stimuli dans la méthode des limites pour déterminer le seuil différentiel ?

A. Par pair, simultanément ou successivement.

B. Individuellement, de manière aléatoire.

C. Par groupe de trois, simultanément.

D. Par groupe de trois, successivement.

E. Individuellement, de manière séquentielle.

F. Aucune de ces réponses.

A

A

« On utilise 2 stimulus (un standard et un de comparaison)

Ces stimulus sont présentés par pair, simultanément ou successivement

L’observateur doit déterminer si tel stimulus est plus petit ou plus grand que l’autre OU si ces 2 stimulus apparaissent égaux »

131
Q

Que doit déterminer l’observateur dans la méthode des limites pour le seuil différentiel ?

A. Si un stimulus est plus petit ou plus grand que l’autre.

B. Si un stimulus est plus clair ou plus foncé que l’autre.

C. Si un stimulus est plus chaud ou plus froid que l’autre.

D. Si un stimulus est plus rapide ou plus lent que l’autre.

E. Si un stimulus est plus bruyant ou plus silencieux que l’autre.

F. Aucune de ces réponses.

A

A

« Ces stimulus sont présentés par pair, simultanément ou successivement

L’observateur doit déterminer si tel stimulus est plus petit ou plus grand que l’autre OU si ces 2 stimulus apparaissent égaux »

132
Q

Que se passe-t-il dans une série ascendante de la méthode des limites pour le seuil différentiel ?

A. La magnitude des stimuli est augmentée.

B. La magnitude des stimuli est diminuée.

C. La fréquence des stimuli est augmentée.

D. La fréquence des stimuli est diminuée.

E. La durée des stimuli est augmentée.

F. Aucune de ces réponses.

A

A

« Série ascendante : la magnitude de ces derniers est augmentée

Série descendante : la magnitude est diminuée »

133
Q

Que se passe-t-il dans une série descendante de la méthode des limites pour le seuil différentiel ?

A. La magnitude des stimuli est augmentée.

B. La magnitude des stimuli est diminuée.

C. La fréquence des stimuli est augmentée.

D. La fréquence des stimuli est diminuée.

E. La durée des stimuli est augmentée.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« Série ascendante : la magnitude de ces derniers est augmentée

Série descendante : la magnitude est diminuée »

134
Q

. Quand s’arrête une série dans la méthode des limites pour le seuil différentiel ?

A. Dès que l’observateur perçoit une différence.

B. Dès que l’observateur ne perçoit plus de différence.

C. Dès que l’observateur rapporte que les stimuli sont égaux.

D. Dès que l’observateur rapporte que le stimulus de comparaison est plus grand que le standard.

E. Dès que l’observateur rapporte que le stimulus de comparaison est plus petit que le standard.

F. Aucune de ces réponses.

A

D

« Il faut atteindre la transition qui mène à l’impression que le stimulus de comparaison est plus grand que le standard

Dès que cette réponse est rendue une première fois, la série s’arrête »

135
Q

. Combien de points de transition y a-t-il pour chaque série dans la méthode des limites pour le seuil différentiel ?

A. Un seul point de transition.

B. Deux points de transition.

C. Trois points de transition.

D. Quatre points de transition.

E. Cinq points de transition.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« On alterne les séries ascendantes et descendantes et le point à partir duquel une série varie d’une fois à l’autre pour les séries ascendantes et d’une fois à l’autre pour les séries descendantes

Pour chaque série, il y a donc 2 points de transition (limite supérieure et limite inférieure) »

136
Q
  1. Comment calcule-t-on le seuil différentiel dans la méthode des limites ?

A. En divisant l’intervalle d’incertitude par 2.

B. En multipliant l’intervalle d’incertitude par 2.

C. En soustrayant l’intervalle d’incertitude par 2.

D. En ajoutant l’intervalle d’incertitude par 2.

E. En divisant l’intervalle d’incertitude par 2.

F. Aucune de ces réponses.

A

A

« On peut calculer un intervalle d’incertitude en soustrayant la moyenne des Ls de la moyenne des Li, le seuil différentiel étant ensuite obtenu en divisant cet intervalle par 2 »

137
Q

Qu’est-ce que les méthodes adaptatives permettent de faire ?

A. Une estimation précise des seuils en un nombre moindre d’essais.

B. Une estimation rapide des seuils sans essais.

C. Une estimation des seuils avec un nombre élevé d’essais.

D. Une estimation des seuils sans essais.

E. Une estimation des seuils en un nombre élevé d’essais.

F. Aucune de ces réponses.

A

A

« Ces méthodes permettent de faire une bonne estimation des seuils en un nombre moindre d’essais »

138
Q

Que signifie “PEST” dans le contexte des méthodes adaptatives ?

A. Parameter estimation by sequential testing.

B. Parameter estimation by simultaneous testing.

C. Parameter estimation by standard testing.

D. Parameter estimation by specific testing.

E. Parameter estimation by systematic testing.

F. Aucune de ces réponses.

A

A

« PEST (parameter estimation by sequential testing) »

139
Q

Que se passe-t-il à chaque inversion dans une direction opposée dans la méthode PEST ?

A. Le cran retenu au départ est augmenté de moitié.

B. Le cran retenu au départ est diminué de moitié.

C. Le cran retenu au départ reste le même.

D. Le cran retenu au départ est doublé.

E. Le cran retenu au départ est triplé.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« À chaque inversion dans une direction opposée, le cran (step) retenu au départ est diminué de moitié »

140
Q

Que doit-on choisir dans la méthode de l’escalier ?

A. Un niveau de départ et un step.

B. Un niveau de départ et une fin.

C. Un step et une fin.

D. Un niveau de départ et une direction.

E. Un step et une direction.

F. Aucune de ces réponses.

A

A

« L’escalier : Choisir un niveau de départ, choisir un ‘’step’’ »

141
Q

Quelle est la fonction principale des méthodes adaptatives ?

A. Diminuer le nombre d’essais nécessaires pour estimer les seuils.

B. Augmenter le nombre d’essais nécessaires pour estimer les seuils.

C. Maintenir le nombre d’essais nécessaires pour estimer les seuils.

D. Éliminer les essais nécessaires pour estimer les seuils.

E. Doubler le nombre d’essais nécessaires pour estimer les seuils.

F. Aucune de ces réponses.

A

A

« Ces méthodes permettent de faire une bonne estimation des seuils en un nombre moindre d’essais »

142
Q

Quelle est la question fondamentale en psychophysique ?

A. La relation entre la perception et la cognition.

B. La relation entre la sensation et la perception.

C. La relation entre la magnitude d’un stimulus physique et la magnitude psychologique.

D. La relation entre la mémoire et la perception.

E. La relation entre la cognition et la mémoire.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« Question fondamentale en psychophysique :

Relation entre la magnitude d’un stimulus physique et la magnitude psychologique

Travaux de Fechner propose que cette relation entre la magnitude d’un stimulus physique et la magnitude psychologique est nécessairement logarithmique. »

143
Q

. Selon Fechner, comment la relation entre la magnitude d’un stimulus physique et la magnitude psychologique est-elle décrite ?

A. Linéaire.

B. Exponentielle.

C. Logarithmique.

D. Quadratique.

E. Cubique.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« Travaux de Fechner propose que cette relation entre la magnitude d’un stimulus physique et la magnitude psychologique est nécessairement logarithmique.

Selon la théorie de Fechner, l’intensité de la sensation subjective augmente moins vite que la réelle augmentation du stimulus.

Donc, la relation est logarithmique (ou exposant < 1). »

144
Q

Quelle est la caractéristique principale de la relation logarithmique selon Fechner ?

A. L’intensité de la sensation subjective augmente plus vite que la réelle augmentation du stimulus.

B. L’intensité de la sensation subjective augmente moins vite que la réelle augmentation du stimulus.

C. L’intensité de la sensation subjective reste constante.

D. L’intensité de la sensation subjective diminue.

E. L’intensité de la sensation subjective fluctue.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« Travaux de Fechner propose que cette relation entre la magnitude d’un stimulus physique et la magnitude psychologique est nécessairement logarithmique.

Selon la théorie de Fechner, l’intensité de la sensation subjective augmente moins vite que la réelle augmentation du stimulus.

Donc, la relation est logarithmique (ou exposant < 1). »

145
Q

Quel est l’exposant de la relation logarithmique selon Fechner ?

A. > 1

B. < 1

C. = 1

D. = 0

E. > 0

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« Selon la théorie de Fechner, l’intensité de la sensation subjective augmente moins vite que la réelle augmentation du stimulus.

Donc, la relation est logarithmique (ou exposant < 1).

Travaux de Fechner propose que cette relation entre la magnitude d’un stimulus physique et la magnitude psychologique est nécessairement logarithmique. »

146
Q

. Qui a proposé que la relation entre la magnitude d’un stimulus physique et la magnitude psychologique est logarithmique ?

A. Weber.

B. Stevens.

C. Fechner.

D. Helmholtz.

E. Wundt.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« Travaux de Fechner propose que cette relation entre la magnitude d’un stimulus physique et la magnitude psychologique est nécessairement logarithmique.

Selon la théorie de Fechner, l’intensité de la sensation subjective augmente moins vite que la réelle augmentation du stimulus.

Donc, la relation est logarithmique (ou exposant < 1). »

147
Q

Quelles sont les méthodes élaborées par Stevens pour étudier le lien entre la magnitude d’un stimulus physique et sa magnitude psychologique ?

A. Échelle de partition et échelle de rapport.

B. Échelle de partition et échelle de magnitude.

C. Échelle de rapport et échelle de magnitude.

D. Échelle de partition et échelle de fréquence.

E. Échelle de rapport et échelle de fréquence.

F. Aucune de ces réponses.

A

A

« o La loi de Stevens

o Élaboration de méthodes permettant d’étudier le lien entre la magnitude d’un stimulus physique et sa magnitude sur le plan psychologique

o Échelle de partition

o Échelle de rapport »

148
Q

. Selon la théorie de Stevens, de quoi dépend l’intensité de la sensation ?

A. De l’intensité du stimulus et de sa fréquence.

B. De l’intensité du stimulus et de sa durée.

C. De l’intensité du stimulus et de sa puissance.

D. De l’intensité du stimulus et de sa magnitude.

E. De l’intensité du stimulus et de sa vitesse.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« Selon la théorie de Stevens, l’intensité de la sensation est fonction de l’intensité du stimulus et de sa « puissance ».

On peut calculer la puissance d’un stimulus et l’exprimer avec un exposant. »

149
Q

. Comment peut-on exprimer la puissance d’un stimulus selon Stevens ?

A. Avec une constante.

B. Avec une variable.

C. Avec un exposant.

D. Avec une équation.

E. Avec une fonction.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« Selon la théorie de Stevens, l’intensité de la sensation est fonction de l’intensité du stimulus et de sa « puissance ».

On peut calculer la puissance d’un stimulus et l’exprimer avec un exposant. »

150
Q

Quel est l’exposant pour l’intensité lumineuse d’une chandelle selon Stevens ?

A. > 1

B. < 1

C. = 1

D. = 0

E. > 0

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« Par exemple, l’intensité lumineuse d’une chandelle. Entre 1 et 10 chandelles, on peut facilement voir la différence, mais entre 100 et 110, la différence sera moins marquée.

Dans ce dernier exemple, l’exposant est < 1 et c’est équivalent à la relation logarithmique de Fechner. »

151
Q

Quelle est la relation entre l’intensité lumineuse d’une chandelle et la perception selon Stevens ?

A. Linéaire.

B. Exponentielle.

C. Logarithmique.

D. Quadratique.

E. Cubique.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« Par exemple, l’intensité lumineuse d’une chandelle. Entre 1 et 10 chandelles, on peut facilement voir la différence, mais entre 100 et 110, la différence sera moins marquée.

Dans ce dernier exemple, l’exposant est < 1 et c’est équivalent à la relation logarithmique de Fechner. »

152
Q

Quelle est la relation entre l’intensité d’un choc électrique et la perception selon Stevens ?

A. Linéaire.

B. Exponentielle.

C. Logarithmique.

D. Quadratique.

E. Cubique.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« Ce que Stevens ajoute, c’est que différents types de stimuli vont avoir différente puissance.

Pour un choc électrique par exemple, la relation va être exponentiel (exposant 2) puisque qu’entre 1 et 10 volts on voit peu de différence, mais entre 90 et 100 volts, on va percevoir une plus grande différence. »

153
Q

Qu’est-ce que l’échelle de cotation ?

A. Une méthode pour mesurer la magnitude d’un stimulus.

B. Une méthode pour diviser un continuum psychologique.

C. Une méthode pour coter des stimuli dans des catégories.

D. Une méthode pour ajuster l’intensité d’un stimulus.

E. Une méthode pour estimer la sensibilité.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« Échelle de cotation :

Un observateur doit coter chacun des stimuli d’un ensemble dans certaines catégories

Le nombre de stimuli de l’ensemble et le nombre de catégories sont déterminés d’avance »

154
Q

Quelle est la tâche principale dans une échelle d’équisection ?

A. Coter des stimuli dans des catégories.

B. Diviser un continuum psychologique en distances égales.

C. Ajuster l’intensité d’un stimulus.

D. Estimer la sensibilité.

E. Choisir un stimulus à mi-chemin entre deux autres.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« Échelle d’équisection :

Un observateur doit diviser son continuum psychologique en une série de distances considérées comme égales

Bisection : L’observateur est appelé à choisir un stimulus dont l’intensité se trouve à mi-chemin entre les intensités de deux autres stimuli »

155
Q

Que doit faire un observateur dans une échelle de cotation ?

A. Diviser un continuum psychologique.

B. Ajuster l’intensité d’un stimulus.

C. Coter des stimuli dans des catégories.

D. Estimer la sensibilité.

E. Choisir un stimulus à mi-chemin entre deux autres.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« Échelle de cotation :

Un observateur doit coter chacun des stimuli d’un ensemble dans certaines catégories

Le nombre de stimuli de l’ensemble et le nombre de catégories sont déterminés d’avance »

156
Q

Quelle méthode implique de choisir un stimulus à mi-chemin entre deux autres ?

A. Échelle de cotation.

B. Échelle d’équisection.

C. Ajustement de stimulus.

D. Estimation de la sensibilité.

E. Méthode des limites.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« Échelle d’équisection :

Un observateur doit diviser son continuum psychologique en une série de distances considérées comme égales

Bisection : L’observateur est appelé à choisir un stimulus dont l’intensité se trouve à mi-chemin entre les intensités de deux autres stimuli »

157
Q

Quel est le nombre de catégories dans une échelle de cotation ?

A. Déterminé par l’observateur.

B. Déterminé par le chercheur.

C. Déterminé par le nombre de stimuli.

D. Déterminé d’avance.

E. Déterminé par la méthode des limites.

F. Aucune de ces réponses.

A

D

« Échelle de cotation :

Un observateur doit coter chacun des stimuli d’un ensemble dans certaines catégories

Le nombre de stimuli de l’ensemble et le nombre de catégories sont déterminés d’avance »

158
Q

Quelle méthode utilise la bisection ?

A. Échelle de cotation.

B. Échelle d’équisection.

C. Ajustement de stimulus.

D. Estimation de la sensibilité.

E. Méthode des limites.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« Échelle d’équisection :

Un observateur doit diviser son continuum psychologique en une série de distances considérées comme égales

Bisection : L’observateur est appelé à choisir un stimulus dont l’intensité se trouve à mi-chemin entre les intensités de deux autres stimuli »

159
Q

Quelle méthode implique de coter des stimuli dans des catégories déterminées d’avance ?

A. Échelle de cotation.

B. Échelle d’équisection.

C. Ajustement de stimulus.

D. Estimation de la sensibilité.

E. Méthode des limites.

F. Aucune de ces réponses.

A

A

« Échelle de cotation :

Un observateur doit coter chacun des stimuli d’un ensemble dans certaines catégories

Le nombre de stimuli de l’ensemble et le nombre de catégories sont déterminés d’avance »

160
Q

Quelle est la tâche d’estimation dans l’échelle de rapport ?

A. Estimation de la magnitude.

B. Production de rapport.

C. Ajustement de stimulus.

D. Détection de seuil.

E. Discrimination de stimulus.

F. Aucune de ces réponses.

A

A

« Tâche d’estimation

Estimation de la magnitude

Un observateur se voit exposer à un stimulus standard, aussi nommé ‘’modulus’’, auquel on assigne une valeur numérique. »

161
Q

Que doit faire un observateur lors de la tâche d’estimation ?

A. Attribuer une valeur numérique au stimulus.

B. Ajuster l’intensité du stimulus.

C. Détecter la présence d’un stimulus.

D. Comparer deux stimuli.

E. Identifier un stimulus.

F. Aucune de ces réponses.

A

A

« À chaque présentation d’un stimulus, l’observateur doit lui attribuer une valeur numérique relativement au standard.

L’observateur établit lui-même son barème autour de la valeur du modulus, tout en prenant soin de ne jamais choisir zéro. »

162
Q

Quelle valeur l’observateur ne doit-il jamais choisir lors de la tâche d’estimation ?

A. 1

B. 10

C. 0

D. 100

E. 50

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« L’observateur établit lui-même son barème autour de la valeur du modulus, tout en prenant soin de ne jamais choisir zéro.

Ainsi, il est possible d’établir une correspondance des différentes valeurs assignées (la magnitude psychologique sur l’axe des Y), en fonction de la magnitude sur le plan physique (sur l’axe des X). »

163
Q

Que représente l’axe des Y dans la tâche d’estimation ?

A. La magnitude physique.

B. La magnitude psychologique.

C. La valeur du modulus.

D. L’intensité du stimulus.

E. Le pourcentage de réponse.

F. Aucune de ces réponses.

A

B

« la magnitude psychologique sur l’axe des Y, en fonction de la magnitude sur le plan physique (sur l’axe des X).

Tâche de production

Production de rapport »

164
Q

Que doit produire un observateur lors de la tâche de production ?

A. Une valeur numérique.

B. Un pourcentage.

C. Une intensité de stimulus.

D. Une correspondance.

E. Une échelle.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« Un observateur peut être appelé à produire l’intensité d’un stimulus de telle manière qu’il corresponde à un pourcentage (%) (ex : la moitié et le tier) donné d’un autre stimulus.

Tâche d’estimation

Estimation de la magnitude »

165
Q

. À quoi doit correspondre l’intensité produite lors de la tâche de production ?

A. À une valeur numérique.

B. À une intensité standard.

C. À un pourcentage donné d’un autre stimulus.

D. À une échelle de rapport.

E. À une magnitude psychologique.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« Production de rapport

Un observateur peut être appelé à produire l’intensité d’un stimulus de telle manière qu’il corresponde à un pourcentage (%) (ex : la moitié et le tier) donné d’un autre stimulus.

Tâche d’estimation

Estimation de la magnitude »

166
Q

Quelle est la relation entre la magnitude psychologique et la magnitude physique dans l’échelle de rapport ?

A. Linéaire.

B. Exponentielle.

C. Logarithmique.

D. Proportionnelle.

E. Inverse.

F. Aucune de ces réponses.

A

D

« Ainsi, il est possible d’établir une correspondance des différentes valeurs assignées (la magnitude psychologique sur l’axe des Y), en fonction de la magnitude sur le plan physique (sur l’axe des X).

Tâche de production

Production de rapport »

167
Q

Quelle est la relation entre la magnitude de la sensation et la magnitude d’un stimulus sur le plan physique selon Stevens ?

A. Linéaire

B. Exponentielle

C. Logarithmique

D. Fonction de puissance

E. Quadratique

F. Aucune de ces réponses

A

D

« Stevens a établi que la meilleure expression de la relation entre l’ampleur d’une sensation perçue et l’intensité d’un stimulus est exprimée à l’aide d’une fonction de puissance. »

168
Q

Quel type d’accroissement observe-t-on pour des stimuli de faible amplitude selon Stevens ?

A. Rapide

B. Lent

C. Constant

D. Exponentiel

E. Logarithmique

F. Aucune de ces réponses

A

A

« Quel est la nature exacte de l’accroissement entre la magnitude physique et psychologique? Rapide au début pour des stimulus de faible amplitude et plus lent lorsque les stimuli sont de plus grande magnitude? »

169
Q

Quel type d’accroissement observe-t-on pour des stimuli de grande amplitude selon Stevens ?

A. Rapide

B. Lent

C. Constant

D. Exponentiel

E. Logarithmique

F. Aucune de ces réponses

A

B

« Quel est la nature exacte de l’accroissement entre la magnitude physique et psychologique?3 Rapide au début pour des stimulus de faible amplitude et plus lent lorsque les stimuli sont de plus grande magnitude? »

170
Q

Quels types d’accroissement Stevens a-t-il observé ?

A. Exponentiel

B. Linéaire

C. Logarithmique

D. Quadratique

E. A, B et C

F. Aucune de ces réponses

A

E

« Stevens a trouvé qu’on observe 3 types d’accroissement : Exponentiel, Linéaire, Logarithmique. »

171
Q

Quelle est la constante dans l’équation de Stevens ?

A. S

B. K

C. b

D. Φ

E. ΔΦ

F. Aucune de ces réponses

A

B

« S = sensation

K = constante

b = l’exposant propre à une dimension sensorielle donnée »

172
Q

Quelle est la valeur de l’exposant b si la relation est linéaire ?

A. 0

B. 1

C. < 1

D. > 1

E. Variable

F. Aucune de ces réponses

A

B

« Sa valeur égale 1 si la relation est linéaire. »

173
Q

Quelle est la valeur de l’exposant b si la relation est logarithmique ?

A. 0

B. 1

C. < 1

D. > 1

E. Variable

F. Aucune de ces réponses

A

C

« Sa valeur est plus petite que 1 si la relation est logarithmique. »

174
Q

Quelle est la formule de la loi de Stevens ?

A. S = K Φ b

B. S = K Φ + b

C. S = K b Φ

D. S = Φ K b

E. S = b K Φ

F. Aucune de ces réponses

A

A

« Page 19 - Loi de Stevens

S = K Φ b

S = sensation »

175
Q

Que représente ‘S’ dans la loi de Stevens ?

A. Constante

B. Sensation

C. Exposant

D. Stimulus

E. Magnitude

F. Aucune de ces réponses

A

B

« Page 19 - Loi de Stevens

S = K Φ b

S = sensation »

176
Q

Que représente ‘K’ dans la loi de Stevens ?

A. Constante

B. Sensation

C. Exposant

D. Stimulus

E. Magnitude

F. Aucune de ces réponses

A

A

« Page 19 - Loi de Stevens

S = K Φ b

K = constante »

177
Q

Que représente ‘b’ dans la loi de Stevens ?

A. Constante

B. Sensation

C. Exposant

D. Stimulus

E. Magnitude

F. Aucune de ces réponses

A

C

« Page 19 - Loi de Stevens

S = K Φ b

b = l’exposant propre à une dimension sensorielle donnée »

178
Q

Quelle est la valeur de ‘b’ si la relation est linéaire ?

A. Plus grande que 1

B. Plus petite que 1

C. Égale à 1

D. Égale à 0

E. Négative

F. Aucune de ces réponses

A

C

« Page 19 - Loi de Stevens

Sa valeur égale 1 si la relation est linéaire »

179
Q

Quelle est la valeur de ‘b’ si la relation est logarithmique ?

A. Plus grande que 1

B. Plus petite que 1

C. Égale à 1

D. Égale à 0

E. Négative

F. Aucune de ces réponses

A

B

« Page 19 - Loi de Stevens

Sa valeur est plus petite que 1 si la relation est logarithmique »

180
Q

Quels sont les deux types de continuum proposés par Stevens ?

A. Continuum prothétique et continuum méthatique.

B. Continuum additif et continuum substitutif.

C. Continuum sensoriel et continuum perceptuel.

D. Continuum physiologique et continuum psychologique.

E. Continuum nominal et continuum ordinal.

F. Aucune de ces réponses.

A

A.

« Stevens propose que les différents types d’expérience sensorielles s’inscrivent dans 2 continuum : Continuum prothétique et Continuum méthatique. »

181
Q

. Le continuum prothétique repose sur quel type de processus ?

A. Processus de substitution.

B. Processus physiologique additif.

C. Processus de réduction.

D. Processus de transformation.

E. Processus de modulation.

F. Aucune de ces réponses.

A

B.

« Continuum prothétique : Il s’agit de l’expérience qui reposent sur un processus physiologique additif. »

182
Q

Quel type de question le continuum prothétique cherche-t-il à répondre ?

A. Combien ?

B. De quelle nature est la sensation ?

CPourquoi ?

D. Comment ?

E. Où ?

F. Aucune de ces réponses.

A

A.

« Un processus ou l’augmentation de l’intensité physique d’un stimulus entraine une augmentation de la fréquence des potentiels d’action par les neurones responsables de la réception de ces stimuli. On essaye de répondre à ‘’combien?’’ »

183
Q

. Le continuum méthatique repose sur quel type de processus ?

A. Processus de substitution.

B. Processus physiologique additif.

C. Processus de réduction.

D. Processus de transformation.

E. Processus de modulation.

F. Aucune de ces réponses.

A

A.

« Continuum méthatique : Ne repose pas sur cette idée d’addition, mais plutôt sur celle de substitution. »

184
Q

Quel type de question le continuum méthatique cherche-t-il à répondre ?

A. Combien ?

B. De quelle nature est la sensation ?

CPourquoi ?

D. Comment ?

E. Où ?

F. Aucune de ces réponses.

A

B.

« Ne repose pas sur cette idée d’addition, mais plutôt sur celle de substitution. On essaye de répondre à ‘’de quelle nature est la sensation?’’ »

185
Q

Quelle échelle est utilisée pour indiquer le rang ou l’ordre des scores ?

A. Échelle nominale.

B. Échelle ordinale.

C. Échelle intervallaire.

D. Échelle de ratio.

E. Échelle de partition.

F. Aucune de ces réponses.

A

B.

« Échelle ordinale : Indique le rang ou l’ordre des scores. »

186
Q

Quelle échelle comprend la notion de distance et de zéro ?

A. Échelle nominale.

B. Échelle ordinale.

C. Échelle intervallaire.

D. Échelle de ratio.

E. Échelle de partition.

F. Aucune de ces réponses.

A

D.

« Échelle de ratio : En plus de la notion de distance, comprend aussi la notion de zéro. »

187
Q

Qu’est-ce que signifie une présentation de N dans un critère libéral ?

A. La plupart de la distribution de N est à gauche du critère.

B. La probabilité d’une fausse alarme est faible.

C. La probabilité d’une fausse alarme est forte.

D. La probabilité d’un hit est faible.

E. La probabilité d’un hit est forte.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« Présentation de N

La probabilité d’une fausse alarme est forte

Présentation de S + N »

188
Q

Que se passe-t-il lors de la présentation de S + N dans un critère libéral ?

A. 50% de la distribution de S + N est à droite du critère.

B. La probabilité d’une fausse alarme est faible.

C. La probabilité d’un hit est faible.

D. 100% de la distribution de S + N est à droite du critère.

E. La probabilité d’un hit est faible.

F. Aucune de ces réponses.

A

D

« Présentation de N

La probabilité d’une fausse alarme est forte

Présentation de S + N

o 100% de la distribution de S + N est à droite du ‘’criterion’’ »

189
Q

Quelle est la probabilité d’un hit dans un critère libéral ?

A. Faible.

B. Moyenne.

C. Forte.

D. Nulle.

E. Variable.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« Présentation de S + N

Probabilité de ‘’hit’’ = forte

o Probabilité de ‘’false alarm’’ = forte »

190
Q

Quelle est la probabilité d’une fausse alarme dans un critère libéral ?

A. Faible.

B. Moyenne.

C. Forte.

D. Nulle.

E. Variable.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« Présentation de N

La probabilité d’une fausse alarme est forte

Présentation de S + N »

191
Q

Que signifie un critère libéral pour la présentation de N ?

A. La probabilité d’une fausse alarme est faible.

B. La probabilité d’un hit est faible.

C. La probabilité d’une fausse alarme est forte.

D. La probabilité d’un hit est forte.

E. La plupart de la distribution de N est à gauche du critère.

F. Aucune de ces réponses.

A

C

« Présentation de N

La probabilité d’une fausse alarme est forte

Présentation de S + N »

192
Q

Qu’est-ce que le taux de fausses alarmes pour un critère neutre ?

A. Élevé

B. Modéré

C. Bas

D. Inexistant

E. Variable

F. Aucune de ces réponses

A

C. Bas

« Neutral criterion

Présentation de N

False alarm rate = low

Présentation de S + N

L’observateur répondra ‘’oui’’ plus fréquemment »

193
Q

. Comment l’observateur répond-il lorsqu’un signal et du bruit (S + N) sont présentés avec un critère neutre ?

A. Rarement “oui”

B. Fréquemment “oui”

C. Parfois “oui”

D. Jamais “oui”

E. Toujours “oui”

F. Aucune de ces réponses

A

B. Fréquemment “oui”

« Neutral criterion

Présentation de N

L’observateur répondra ‘’oui’’ rarement quand N est présenté, car une petite portion de N se trouve à droite du ‘’criterion’’

Présentation de S + N

L’observateur répondra ‘’oui’’ plus fréquemment »

194
Q

Quelle est la probabilité de détection correcte (hit rate) pour un critère neutre ?

A. Élevée

B. Modérée

C. Faible

D. Inexistante

E. Variable

F. Aucune de ces réponses

A

A. Élevée

« Neutral criterion

Présentation de N

L’observateur répondra ‘’oui’’ rarement quand N est présenté, car une petite portion de N se trouve à droite du ‘’criterion’’

Présentation de S + N

Hit rate = high (but not as high as for the L criterion) »

195
Q

Pourquoi l’observateur répond-il rarement “oui” lorsqu’un bruit (N) est présenté avec un critère neutre ?

A. Parce que la courbe de N est à gauche du critère

B. Parce que la courbe de N est à droite du critère

C. Parce que la courbe de N est au centre du critère

D. Parce que la courbe de N est en dessous du critère

E. Parce que la courbe de N est au-dessus du critère

F. Aucune de ces réponses

A

A. Parce que la courbe de N est à gauche du critère

« Neutral criterion

Présentation de N

L’observateur répondra ‘’oui’’ rarement quand N est présenté, car une petite portion de N se trouve à droite du ‘’criterion’’

False alarm rate = low »

196
Q

Quelle est la différence principale entre la réponse de l’observateur pour N et S + N avec un critère neutre ?

A. La réponse pour N est plus fréquente

B. La réponse pour S + N est plus fréquente

C. La réponse pour N est moins fréquente

D. La réponse pour S + N est moins fréquente

E. La réponse pour N et S + N est égale

F. Aucune de ces réponses

A

B. La réponse pour S + N est plus fréquente

« Neutral criterion

Présentation de N

L’observateur répondra ‘’oui’’ rarement quand N est présenté, car une petite portion de N se trouve à droite du ‘’criterion’’

Présentation de S + N

L’observateur répondra ‘’oui’’ plus fréquemment »

197
Q

. Qu’indique une grande séparation (d’) sur une courbe ROC ?

A. Haute sensibilité

B. Faible sensibilité

C. Critère libéral

D. Critère conservateur

E. Aucune de ces réponses

F. Toutes ces réponses

A

A

« High sensitivity = large separation (d’) Low sensitivity = small separation (d’) »

198
Q

Quelle méthode permet de déterminer la sensibilité d’une personne sans effectuer un grand nombre d’essais ?

A. Méthode des limites

B. Méthode d’ajustement

C. Méthode des stimuli constants

D. Méthode de détection du signal

E. Aucune de ces réponses

F. Toutes ces réponses

A

D

« This mathematical procedure for calculating d’ enables us to determine a person’s sensitivity by determining only one data point on a ROC curve, thus using the signal detection procedure without running a large number of trials »

199
Q

Quel style de réponse est associé à un grand nombre de détections correctes mais aussi à de nombreuses fausses alarmes ?

A. Critère neutre

B. Critère libéral

C. Critère conservateur

D. Critère strict

E. Aucune de ces réponses

F. Toutes ces réponses

A

B

« On peut ainsi observer si une personne a un critère de réponse davantage libéral (beaucoup de détections correctes mais beaucoup de fausses alarmes) ou conservateur (Moins de détections correctes mais plus de rejets corrects). »

200
Q

. Dans quelle condition de détection du signal la tâche est-elle effectuée sans renforcement ?

A. Neutre

B. Libérale

C. Conservatrice

D. Stricte

E. Aucune de ces réponses

F. Toutes ces réponses

A

A

« Dans les exemples qui vous sont présentés, on place la personne dans trois conditions : 1) Neutre : Tâche de détection du signal sans renforcement 2) Libérale : Tâche de détection du signal en renforçant un style de réponse libéral 3) Conservateur : Tâche de détection du signal en renforçant un style de réponse conservateur. »

201
Q

. Comment peut-on déterminer la sensibilité d’une personne en utilisant une courbe ROC ?

A. En comparant sa courbe à celle d’une autre personne

B. En utilisant la méthode des limites

C. En utilisant la méthode d’ajustement

D. En utilisant la méthode des stimuli constants

E. Aucune de ces réponses

F. Toutes ces réponses

A

A

« Il est aussi possible de déterminer la sensibilité d’une personne en comparant sa courbe à celle d’une autre. Plus la courbe est arquée, plus la personne est sensible au signal »

202
Q

Quelle est la caractéristique d’une courbe ROC pour une personne avec une haute sensibilité ?

A. La courbe est droite

B. La courbe est arquée vers le coin supérieur gauche

C. La courbe est arquée vers le coin inférieur droit

D. La courbe est plate

E. Aucune de ces réponses

F. Toutes ces réponses

A

B

« As the observer’s increase, the curve bows upward toward the upper left corner »

203
Q

Quelle est la probabilité de détection correcte dans une condition de critère libéral ?

A. Faible

B. Moyenne

C. Haute

D. Nulle

E. Aucune de ces réponses

F. Toutes ces réponses

A

C

« Présentation de S + N o 100% de la distribution de S + N est à droite du ‘’criterion’’ o Ceci veut dire que les chance sont fortes de dire ‘’oui’’ lorsqu’il y a la présentation du signal o Probabilité de ‘’hit’’ = forte »

204
Q

Quel est le taux de fausses alarmes pour un critère libéral lors de la présentation de N ?

A. Faible

B. Modéré

C. Élevé

D. Inexistant

E. Variable

F. Aucune de ces réponses

A

C

« Présentation de N

o High false alarm

Présentation de S + N

o High hits »

205
Q

Quel est le taux de détections correctes pour un critère libéral lors de la présentation de S + N ?

A. Faible

B. Modéré

C. Élevé

D. Inexistant

E. Variable

F. Aucune de ces réponses

A

C

« Présentation de N

o High false alarm

**Présentation de S + N

o High hits** »

206
Q

Quel est le taux de fausses alarmes pour un critère neutre lors de la présentation de N ?

A. Faible

B. Modéré

C. Élevé

D. Inexistant

E. Variable

F. Aucune de ces réponses

A

A

« Neutral criterion

**Présentation de N

o Low false alarm**

Présentation de S + N

o High hits »

207
Q

Quel est le taux de détections correctes pour un critère neutre lors de la présentation de S + N ?

A. Faible

B. Modéré

C. Élevé

D. Inexistant

E. Variable

F. Aucune de ces réponses

A

C

« Neutral criterion

Présentation de N

o Low false alarm

**Présentation de S + N

o High hits** »

208
Q

Quel est le taux de fausses alarmes pour un critère conservateur lors de la présentation de N ?

A. Faible

B. Modéré

C. Élevé

D. Inexistant

E. Variable

F. Aucune de ces réponses

A

A

« Conservative criterion

**Présentation de N

o Low false alarm**

Présentation de S + N

o Low hits »

209
Q

Quel est le taux de détections correctes pour un critère conservateur lors de la présentation de S + N ?

A. Faible

B. Modéré

C. Élevé

D. Inexistant

E. Variable

F. Aucune de ces réponses

A

A

« Conservative criterion

Présentation de N

o Low false alarm

**Présentation de S + N

o Low hits** »

210
Q

Quel critère présente un taux élevé de fausses alarmes lors de la présentation de N ?

A. Libéral

B. Neutre

C. Conservateur

D. Aucun

E. Tous

F. Aucune de ces réponses

A

A

« Présentation de N

o High false alarm

Présentation de S + N

o High hits »

211
Q

8Quel critère présente un taux élevé de détections correctes lors de la présentation de S + N ?

A. Libéral

B. Neutre

C. Conservateur

D. Aucun

E. Tous

F. Aucune de ces réponses

A

A, B

« Présentation de N

o High false alarm

**Présentation de S + N

o High hits**

Neutral criterion

Présentation de N

o Low false alarm

Présentation de S + N

o High hits »

212
Q

SI la différence juste perceptible (DJP) pour la pesée de 200 g est le 10g, combien sera la DJP pour une pesée de 800 g? (Loi de Weber, c’est proportionnel)

A

40 g

213
Q

Dans la théorie de la détection du signal, quelles sont les 2 mesures nécessaires pour calculer le coefficient de sensibilité d’ ?

A

hit et false alarm (le total devrait faire 100%)