Représentation Flashcards

1
Q

Quelle est la distinction importante dans la notion de représentation mentale ?

A

La distinction importante est entre mentale et cérébrale.

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2
Q

Quelles sont les disciplines regroupées pour élaborer une science de l’esprit ?

A

Les disciplines regroupées sont la psychologie cognitive, la philo de l’esprit, les neuroscience et l’Intelligence Artificielle.

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3
Q

Quels sont les apports de la psychologie cognitive, des neurosciences et de l’IA dans les sciences cognitives ?

A

La psychologie cognitive fournit les modèles de bases, les questions de bases ; les neurosciences donnent un éclairage sur le support matériel, substrat anatomique ; l’IA pousse à une démarche analytique précise, décomposition.

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4
Q

Qu’est-ce que la cognition ?

A

La cognition désigne l’ensemble des mécanismes impliqués dans l’élaboration et le stockage des connaissances chez l’homme, l’animal et les systèmes artificiels.

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5
Q

Quelles sont les activités liées à la cognition ?

A

Les activités de la cognition incluent la sensorimotricité, la perception, le langage, l’apprentissage, la mémoire, la représentation des connaissances, la décision, le raisonnement, la planification, la coordination motrice, entre autres.

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6
Q

Quel est l’objetif des sciences de la cognition ?

A

Les sciences de la cognition ont pour objectif de décrire, expliquer et éventuellement simuler les principales dispositions et capacités de l’esprit humain.

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7
Q

Quelles sont les trois manières différentes d’envisager les relations cerveau-esprit ?

A

Les trois manières différentes d’envisager les relations cerveau-esprit sont le matérialisme, le dualisme ontologique et le fonctionnalisme.

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8
Q

Qu’est-ce que le matérialisme en relation avec les relations cerveau-esprit ?

A

Le matérialisme est l’idée que l’esprit s’ancrant dans le cerveau, on peut réduire l’act de l’esprit à l’act cérébral, c’est le réductionnisme matérialiste.

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9
Q

Qu’est-ce que le dualisme ontologique en relation avec les relations cerveau-esprit ?

A

Le dualisme ontologique est la séparation de l’esprit et de son substrat anatomique qui est le cerveau, considérant que comprendre le fonctionnement du cerveau ne nous dira rien sur le fonctionnement de l’esprit.

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10
Q

Qu’est-ce que le fonctionnalisme en relation avec les relations cerveau-esprit ?

A

Le fonctionnalisme est une approche qui concilie une forme de matérialisme non réductionniste et une forme de dualisme non ontologique, considérant que l’esprit survient et émerge de l’activité cérébrale.

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11
Q

Qu’est-ce que la distinction entre les états mentaux et les états cérébraux ?

A

La distinction entre les états mentaux et les états cérébraux considère que les états mentaux sont des états fonctionnels, non réductibles aux propriétés de leur substrat biologique.

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12
Q

Quels sont les trois niveaux d’étude dans l’étude de la cognition ?

A

Les trois niveaux d’étude dans l’étude de la cognition sont les propriétés physiques du cerveau, les propriétés comportementales et les propriétés fonctionnelles de l’esprit.

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13
Q

Quelle est la différence entre le processus de perception et celui de représentation ?

A

Le processus de perception nécessite la présence d’un stimulus, alors que la représentation opère en son absence.

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14
Q

Qu’est-ce que la représentation en tant que processus produit ?

A

La représentation en tant que processus produit un objet mental qui se substitue à l’objet en soi.

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15
Q

Comment fonctionne l’esprit ?

A

L’esprit est vu comme une suite d’états ou d’événements modifié par des processus.

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16
Q

Quelle est la vision courante des sciences cognitives concernant l’esprit ?

A

La vision courante des sciences cognitives est que l’esprit est comme un ordinateur, mais cette vision a tendance à séparer le traitement de l’information des aspects émotionnels, de la motivation et de la personnalité.

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17
Q

Qu’est-ce que l’ambiguïté ?

A

L’ambiguïté se réfère à une situation où un mot ou une expression a plusieurs significations différentes.

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18
Q

Qu’est-ce que la polysémie ?

A

La polysémie est un type d’ambiguïté où un mot a plusieurs significations liées mais distinctes.

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19
Q

Quelle est la différence entre l’ambiguïté et la polysémie ?

A

L’ambiguïté se réfère à des cas où un mot a plusieurs significations différentes, tandis que la polysémie se réfère à des cas où un mot a plusieurs significations liées mais distinctes.

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20
Q

Pouvez-vous donner un exemple d’un mot polysémique avec des significations distinctes ?

A

“Rame” peut se référer à la rame d’un bateau ou à un ensemble de papier, qui sont des significations distinctes.

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21
Q

Pouvez-vous donner un exemple d’un mot polysémique avec des significations moins distinctes ?

A

“Prendre” est un exemple de mot polysémique où les significations peuvent varier considérablement en fonction du contexte, comme “se faire prendre par derrière”, “prendre la porte”, “prendre ses jambes à son cou”, etc.

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22
Q

Qu’est-ce qu’un réseau sémantique ?

A

Un réseau sémantique est un ensemble de nœuds et d’arcs qui permettent de représenter les relations entre les significations des mots et des concepts.

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23
Q

Comment sont représentées les significations dans un réseau sémantique ?

A

Les significations sont représentées par des nœuds dans le réseau sémantique. La position du nœud dans le réseau décrit la signification de l’unité sémantique.

24
Q

Quels étaient les premiers modèles de représentations sémantiques ?

A

Les premiers modèles de représentations sémantiques étaient proposés par Collins et Quillian (1970) et Collins et Loftus (1975), où tous les liens entre les nœuds étaient considérés équivalents.

25
Q

Comment vérifie-t-on qu’un nœud peut être plus ou moins distant d’autres nœuds dans un réseau sémantique ?

A

On peut vérifier la distance entre les nœuds par l’inclusion catégorielle (ex: un canari est un oiseau qui est un animal) ou la vérification d’énoncé (ex: un canari est jaune).

26
Q

Quel est le principe d’héritage dans l’organisation des concepts dans un réseau sémantique ?

A

Le principe d’héritage consiste à stocker chaque propriété (ppté) d’un concept une seule fois au niveau le plus haut possible dans le réseau, pour une organisation rationnelle des concepts. Cependant, cette organisation ne correspond pas forcément à l’organisation conceptuelle.

27
Q

Quels sont les deux types de relations d’arc possibles dans un réseau sémantique ?

A

Soit une relation quasi logiques d’appartenance et de hiérarchie conceptuelle, avec
l’attachement, également hiérarchisé, des propriétés aux objets, soit une relation qui repose sur une proximité sémantique.

28
Q

Comment détermine-t-on la proximité sémantique dans un réseau sémantique ?

A

On détermine la proximité sémantique avec de l’association libre, en déterminant des normes d’associations. Par exemple, si on dit “chaise”, la réponse primaire est généralement “table”.

29
Q

Qu’est-ce que les fréquences de réponses dans un réseau sémantique censées rendre manifeste ?

A

Les fréquences de réponses sont censées rendre manifeste une liaison cognitive, qui n’est pas seulement un lien catégoriel, logique.

30
Q

Comment deviennent les réseaux sémantiques plus complexes s’ils sont basés sur des associations ?

A

Les réseaux sémantiques deviennent plus complexes si on les base sur des associations, cela devient plus logique et plus complexe, ce qui pose également le problème de l’absence de symétrie.

31
Q

Quel est le premier problème lié aux liens cognitifs basés sur l’expérience et non sur la logique ?

A

Le premier problème est l’asymétrie dans les relations, où un mot peut évoquer un autre mot, mais pas nécessairement l’inverse.

32
Q

Comment les réseaux étiquetés se différencient-ils des réseaux catégoriels ?

A

Les réseaux étiquetés se différencient des réseaux catégoriels en ce que les arcs peuvent avoir différentes natures, et non pas seulement des liens systématiques d’appartenance.

33
Q

Comment les réseaux augmentés se basent-ils sur les scripts ?

A

Les réseaux augmentés se basent sur les scripts en activant un script et en remplissant des slots avec des instances pour comprendre les relations entre les différents éléments.

34
Q

Qu’est-ce qui reste commun dans la façon dont la signification est exprimée dans les réseaux sémantiques ?

A

Ce qui reste commun dans la façon dont la signification est exprimée dans les réseaux sémantiques est que la signification d’un nœud reste très dépendante de la position du nœud dans le réseau.

35
Q

Comment les modèles les plus récents ont-ils ajouté de l’expérience cognitive dans les réseaux sémantiques ?

A

Les modèles les plus récents ont ajouté de l’expérience cognitive par rapport à une classification de type logique en introduisant des liens entre les concepts qui ne sont plus uniquement basés sur un format logique, mais sont bien basés sur de l’application d’expérience.

36
Q

Quelle est l’autre façon de représenter les significations dans les réseaux sémantiques ?

A

L’autre façon de représenter les significations dans les réseaux sémantiques est de considérer les traits.

37
Q

Quelle est la notion de traits sémantiques ?

A

La notion de traits sémantiques consiste à décomposer la signification d’un mot en unités de base plus petites appelées “sèmes”, “marqueurs” ou “composants sémantiques”.

38
Q

L’unité de signification de base est-elle le mot ?

A

Non, l’unité de signification de base n’est pas le mot mais un sème, marqueur ou composant sémantique.

39
Q

Comment peut-on décomposer la signification en traits sémantiques ?

A

On peut décomposer la signification en traits sémantiques en utilisant des termes primitifs et des distingueurs pour construire des faisceaux de composantes de sens élémentaires.

40
Q

Quelle est la différence entre les primitives et les distingueurs ?

A

Les primitives sont des traits généraux qui tendent à prendre des valeurs positives ou négatives, tandis que les distingueurs reflètent quelque chose de particulier ou d’idiosyncrasique dans la signification.

41
Q

Comment peut-on hiérarchiser les traits sémantiques ?

A

On peut hiérarchiser les traits sémantiques en ne considérant que les marqueurs et en éliminant les distingueurs, puis en déterminant des relations hiérarchiques entre les marqueurs.

42
Q

Selon Eve Clark, comment les enfants acquièrent-ils les significations des mots ?

A

Selon Eve Clark, les enfants acquièrent d’abord la forme des mots, puis ajoutent progressivement des traits sémantiques à ces mots.

43
Q

Qu’est-ce que les surextensions dans le contexte de l’apprentissage du langage ?

A

Les surextensions sont des applications de mots à des catégories beaucoup plus larges que ce qui est normalement considéré comme étant inclus dans la signification du mot. Cela peut se produire lorsque certains traits sémantiques ne sont pas encore acquis.

44
Q

Qu’est-ce que l’erreur sur un trait selon Donald et Bafous ?

A

L’erreur sur un trait, selon Donald et Bafous, est une erreur qui se produit sur des mots qui ne diffèrent que sur un seul trait sémantique. Par exemple, une erreur peut se produire sur les termes “plus” et “moins”, car bien que les deux traits renvoient à la quantité, la polarité n’est pas encore acquise.

45
Q

Pourquoi le couple grand/petit est-il acquis avant le couple haut/bas et long/court ?

A

Le couple grand/petit est acquis avant le couple haut/bas et long/court, car ces derniers comportent des traits sémantiques supplémentaires tels que vertical et horizontal, qui sont plus difficiles à acquérir que la simple différence de taille.

46
Q

Quelle est l’expérience menée par Denhiere et Taillanter sur l’apprentissage de phrases ?

A

L’expérience menée par Denhiere et Taillanter consistait à faire apprendre deux types de phrases : une phrase générale et une phrase spécifique avec plusieurs traits sémantiques. Ils ont ensuite évalué la capacité des participants à apprendre une phrase spécifique similaire à celle de la phase 1.

47
Q

Quels sont les résultats de l’expérience de Denhiere et Taillanter ?

A

Les résultats ont montré que les phrases avec plus de traits sémantiques étaient plus difficiles à apprendre que les phrases avec moins de traits sémantiques. Cependant, lorsqu’il y avait un transfert d’apprentissage entre les deux phases, les participants qui avaient appris les phrases spécifiques avant les phrases générales avaient un temps d’apprentissage plus court pour la phase 2. Cela indique que la notion de traits sémantiques est importante dans l’apprentissage des phrases.

48
Q

Quelle est la conclusion de l’expérience de Denhiere et Taillanter sur la notion de traits sémantiques chez l’adulte ?

A

La conclusion de l’expérience de Denhiere et Taillanter est que la notion de traits sémantiques est importante dans l’apprentissage des phrases chez l’adulte. Les participants qui avaient appris des phrases spécifiques avec plus de traits sémantiques ont pu transférer cet apprentissage à des phrases similaires avec moins de temps d’apprentissage. Cela suggère que l’acquisition de traits sémantiques est une méthode efficace pour l’apprentissage du langage chez l’adulte.

49
Q

Quelle était la tâche des participants dans l’expérience de Denis et Ny, 1986 ?

A

Les participants devaient lire des phrases et identifier si une image présentée correspondait à la phrase.

50
Q

Quelle était la manipulation des auteurs dans l’expérience de Denis et Ny, 1986 ?

A

Les auteurs ont manipulé l’attention des participants vers deux dimensions spécifiques de l’église présentée dans les phrases.

51
Q

Quels sont les résultats de l’expérience de Denis et Ny, 1986 ?

A

Les résultats montrent que le sens d’un mot peut avoir des traits sémantiques activés plus ou moins selon le contexte, sans que l’on prononce le mot. Les temps de réponse sont plus rapides lorsque l’image présentée est compatible avec le contexte de la phrase.

52
Q

Quel est le type de trait sémantique étudié dans l’expérience de Glenbera Mever Lindem ?

A

Le type de trait sémantique étudié est la notion de “transporté” et “transportable”.

53
Q

Quelle est la question posée aux participants dans l’expérience de Glenbera Mever Lindem ?

A

Les participants sont questionnés sur la présence du mot “sac” dans le texte.

54
Q

Pourquoi les participants répondent plus rapidement “oui” dans la version 1 de l’expérience de Glenbera Mever Lindem ?

A

Les participants répondent plus rapidement “oui” dans la version 1 car la localisation du personnage et du sac est restée la même dans cette version, tandis que dans la version 2, la localisation est différente, ce qui ralentit la réponse.

55
Q

Comment peut-on considérer les unités sémantiques ?

A

Les unités sémantiques peuvent être considérées comme des traits sémantiques. La différence entre différents objets peut être expliquée par l’ajout ou la suppression de certains traits sémantiques.

56
Q

Qu’est-ce que l’approche en traits sémantiques permet de faire en termes d’analyse des réseaux sémantiques ?

A

L’approche en traits sémantiques permet d’analyser les réseaux sémantiques en termes de nombre de traits et de réinterpréter ces réseaux. On peut rajouter des traits pour des sous-ordres ou en garder que les traits communs pour des super-ordres.