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Maladies infectieuses > Réponse immunitaire spécifique > Flashcards

Réponse immunitaire spécifique Flashcards

16 janvier AM et PM

1
Q

Nommez des modalités préventives pour aider le système immunitaire.

A
  1. Vaccins
  2. Tests diagnostiques (grossesse, infection)
  3. Médicaments
  4. Transfusions (globules rouges ou blancs)
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Q

Vrai ou faux, la génétique est le seul facteur dans le développement des maladies autoimmunes.

A

Faux, il existe aussi des facteurs environnementaux

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3
Q

Quelle immunité, inné ou spécifique, joue un rôle en premier ?

A

L’immunité innée

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4
Q

Quelles cellules ont des rôles à jouer dans l’immunité innée ? Et dans l’immunité spécifique ?

A

Innée : épithéliale (barrière), neutrophiles, macrophages
Spécifique : lymphocyte

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5
Q

Quel est le principal moyen de défense de l’immunité spécifique ?

A

Les anticorps

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6
Q

Qu’est-ce que la diapédèse ?

A

La migration des leucocytes à travers la couche endothéliale des capillaires.

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7
Q

Quels sont les organes lymphatiques primaires ? Pourquoi sont-ils primaires ?

A

Moelle osseuse et thymus. Primaires car développement des globules blancs est là.

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8
Q

Vrai ou faux, les cellules souches donnent naissances à tous les types de cellules du système immunitaire.

A

Faux, ce sont les cellules pluripotentes. Il existe 2 types de cellules souches dans ce contexte, myéloïde et lymphoïde.

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9
Q

Vrai ou faux, les cellules souches lymphoïdes sont impliquées dans l’immunité acquise.

A

Vrai, elles donnent naissance aux lymphocytes B et T.

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10
Q

En sortant de la moelle osseuse, quel type de lymphocyte est déjà mature ?

A

Les lymphocytes B

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11
Q

Où la maturation des lymphocytes T a-t-elle lieu ?

A

Dans le thymus

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12
Q

Vrai ou faux, les plaquettes sont des cellules ?

A

Faux, des fragments de cellules, un mégacaryocyte.

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13
Q

Quels sont les leucocytes présents en plus grand nombre ?

A

Les neutrophiles.

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14
Q

Les anticorps reconnaissent ils les mêmes choses que les PRR ?

A

Pas nécessairement, les anticorps peuvent reconnaitre les PAMPs, mais ils reconnaissent surtout des caractères spécifiques à chaque pathogène.

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15
Q

Quelles cellules sont responsables de la sécrétion d’anticorps ?

A

Les lymphocytes B

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16
Q

Vrai au faux, les anticorps reconnaissent des structures communes à plusieurs antigènes.

A

Faux, du moins pas généralement. Les anticorps reconnaissent une particularité structurale de l’antigène.

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17
Q

Qu’est-ce que l’opsonisation ?

A

Recouvrir un pathogène d’anticorps, afin de le rendre plus “appétissant” pour les macrophages.

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18
Q

Quelle est la structure générale d’un anticorps ? Quels sont les rôles des différentes parties ?

A

Tige constante, “bras” variables.
Partie constante : propriétés fonctionnelles, liaison à récepteur Fc
Partie variable : reconnaissance de l’antigène spécifique

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19
Q

Quels sont les différents types d’antigènes ? Qu’est-ce qui détermine le type de l’antigène ?

A

IgG, IgM, IgA, IgD, IgE.
Le type est déterminé par la structure des chaines lourdes de la partie constante.

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20
Q

Vrai ou faux, les IgM sont les premiers anticorps libérés.

A

Vrai

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21
Q

L’antigène IgM est sécrété sous quelle forme ?

A

Pentamérique

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22
Q

Pourquoi les IgM prennent-ils une forme pentamérique ?

A

Augmenter l’affinité

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23
Q

Quelle forme ont les antigènes IgG ?

A

Monomérique (Y)

24
Q

Vrai ou faux, les IgA sont sécrétés sous forme monomérique.

A

Faux, dimérique

25
Q

Vrai ou faux, les IgA sont les anticorps les plus présents dans le sérum.

A

Faux, ce sont les IgG (70-75%)

26
Q

Quelle est la fonction principale des IgA ?

A

Fonction neutralisante.

27
Q

Dans quel type de réaction les IgE sont-ils souvent sécrétés ?

A

Les réactions allergiques.

28
Q

Qu’est-ce que l’histamine et quel est son rôle dans les réactions allergiques ?

A

Constituant des granules, relargué rapidement lors de la dégranulation. C’est formé par la décarboxylation de la L-histidine.

29
Q

Lors d’une même réaction immunitaire, quelle partie des anticorps doit être réarrangée ?

A

La partie constante, car la partie variable doit toujours reconnaitre l’antigène.

30
Q

Combien d’anticorps différents peuvent être synthétisés par un seul lymphocyte B ?

A

1 seul type d’anticorps par cellule B

31
Q

Qu’est-ce que l’expansion clonale, et quand a-t-elle lieu ?

A

C’est une réplication de cellules B, qui se clone, avec son anticorps spécifique, lorsque la réaction immunitaire demande cet anticorps.

32
Q

Vrai ou faux, la réponse innée change d’une infection à l’autre par le même pathogène.

A

Faux, c’est la réponse adaptative qui change après la première infection. Les cellules B mémoires vont être activées plus rapidement et la réponse immunitaire sera plus intense.

33
Q

Comparez l’immunité active à l’immunité passive.

A

Active : Le corps fait un effort pour reconnaitre le pathogène. Le corps doit faire ses propres antigènes
Passive : Les anticorps sont transmis directement dans une autre personne, comme de l’allaitement

34
Q

Qu’est-ce qui détermine le type sanguin d’un individu ?

A

La présence de glucides (ou non) à la surface des globules rouges, reconnus par les anticorps (A et/ou B)

35
Q

Qu’indique une grande présence d’IgM par rapport à la progression de l’infection ?

A

On est au début de l’infection

36
Q

On trouve-t-on les anticorps IgA ?

A

Dans les muqueuses

37
Q

Comment les cellules T auxiliaires aident-elles les cellules B ?

A

Lors de contact entre cellules B et T auxiliaires, les cellules T induisent de la traduction génique qui favorise l’expression des cellules B.

38
Q

Quels sont les 3 types de cellules présentatrices d’antigènes ?

A

Cellules dendritiques
Macrophages
Cellules B

39
Q

Vrai au faux, les facteurs CD4 et CD8 sont exprimés dans les T auxiliaires et les T cytotoxiques respectivement.

A

Vrai

40
Q

Qu’est-ce que le CMH ?

A

Des structures protéiques auxquelles s’associent les antigènes apprêtés, afin de les transporter et les présenter à la surface d’une cellule infectée.

41
Q

Qu’est-ce qui différencie le CMH I du CMH II ?

A

Le CMH I est présent dans toutes les cellules nucléées, alors que le CMH II est seulement présents dans les cellules présentatrices d’antigènes.

42
Q

Sur quel chromosome trouve-t-on les gènes qui codent pour les CMH ?

A

Le chromosome 6

43
Q

Vrai ou faux, les cellules B et T sont ensemble dans les ganglions ?

A

Faux, T plus près du centre, B plus près du tour.

44
Q

Quelle est l’utilité d’avoir plusieurs entrée, mais une seule sortie dans un ganglion lymphatique ?

A

Augment les chances de contact des cellules B et T

45
Q

Qu’est-ce que le pléiotropisme chez les cytokines ? Donnez un exemple.

A

Une même cytokine peut avoir des effets différents sur plusieurs types cellulaires.
Exemple, IL-4 :
Sur cellule B : activation
Sur précurseur T CD8 : prolifération et différenciation
Sur mastocyte : prolifération

46
Q

Expliquez la redondance, la synergie et l’antagonisme chez les cytokines.

A

Redondance : plusieurs cytokines = même effet sur même cellule
Synergie : 2 cytokines ensemble plus efficaces que seules
Antagonisme : une cytokine en inhibe une autre

47
Q

Nommez les effets des cytokines suivantes :
IL-2
IL-4
IL-5
TGF-B
IFN-y

A

IL-2 : prolifération cellules B et T
IL-4 : communication de classe vers IgE
IL-5 : activation et production des éosinophiles
TGF-B : inhibition de prolifération et fonction des cellules B et T et des macrophages, puis favoriser communication vers IgA
IFN-y : Activation macrophages, CMH I et II, augmenter présentation antigénique

48
Q

Vrai ou faux, tous les lymphocytes T auxiliaires sont les mêmes.

A

Faux, il en existe plusieurs types, comme les Th1 et Th2, qui reconnaissent des cytokines différentes et ont des rôles différents

49
Q

L’immunité cellulaire implique-t-elle les cellules B ou T ?

A

Les cellules T. L’immunité humorale implique les cellules B

50
Q

Vrai ou faux, les symptômes de la polyarthrite rhumatoïdes peuvent apparaitre des années après le début de la maladie.

A

Vrai, il y a la phase préparatoire, durant laquelle les symptômes ne sont pas encore présents.

51
Q

Que trouve-t-on dans le liquide synovial pendant les poussées inflammatoires de la PAR ?

A

Des neutrophiles

52
Q

Qu’est-ce que l’autoimmunité ?

A

Des lymphocytes avec une activité contre le soi, la présence d’auto-anticorps.

53
Q

Décrivez l’effet que la fumée de cigarette pourrait avoir lors de la phase préparatoire de la PAR.

A

Le tabac induit l’activation des macrophages, qui activent ensuite la peptidylarginine déiminase (PAD). PAD modifie l’arginine en citrulline qui est reconnu comme du non soi, ce qui entraine une réponse immunitaire.

54
Q

Qu’est-ce que l’ACPA, et quel est son effet sur l’évolution de PAR ?

A

ACPA = anticorps anti-citrulline. Si présent en plus grande quantité, la citrulline est plus facilement reconnue et le taux de mort est plus élevé chez les patients avec un haut taux d’ACPA.

55
Q

Qu’utilise-t-on dans la biothérapie ?

A

Les anticorps monoclonaux.

56
Q

Dans le cas de PAR, quelle est la cible en biothérapie ? Pourquoi cible-t-on cette molécule ?

A

Le TNF, cette molécule a plusieurs effets que favorisent PAR, comme faciliter le passage des neutrophiles et l’induction des cytokines. Inhiber TNF pourrait permettre de diminuer la progression de la maladie.

Maladies infectieuses (13 decks)

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