Relation soignante fin session Flashcards

1
Q

Examiner les composantes de l’anxiété (peur vs anxiété normale vs anxiété pathologique, facteurs contribuant à l’anxiété)

A

La peur: une réaction d’alarme utile
* Une réaction émotionnelle normale et
instinctive
* En réponse à un danger ou une
menace spécifique
* L’organisme est mobilisé pour passer
à l’action (lutte, fuite, fige).
* Réaction d’alarme très ancienne
* vise à nous protéger
* assure la survie
* réaction désagréable, mais
inoffensive : est une sorte de
garde du corps

Anxiété normale
* État émotionnel caractérisé par la crainte ou l’APPRÉHENSION
* Réponse normale face à une menace anticipée (réel ou imaginaire)
* Sentiment diffus, subjectif, vague et imprécis, de malaise, de tension intérieure, d’appréhension, d’inquiétude et parfois même de terreur ou de crainte d’une catastrophe imminente sans objet identifiable.
* L’organisme est mobilisé pour passer à l’action : réactions physiologiques
* Fonction adaptative
Attention et concentration augmentée, Energ

L’anxiété pathologique (trouble anxieux)
* L’anxiété, qui est plus intense et plus fréquente, perturbe de manière non négligeable la vie de la personne affectée: son comportement, ses pensées et ses émotions
* Elle entraine une grande détresse
* Elle devient très difficile à contrôler: la personne n’arrive plus à la gérer avec les stratégies qui fonctionnaient auparavant
* Elle amène la personne à éviter certaines situations.
* Différents stades: léger, modéré, grave, panique
Diminue attention, perte mémoire, hypervigilance…

Facteurs contribuant à l’apparition et au maintien de l’anxiété
1- Les pensées (catastrophiques, distorsions cognitives)
2- 2- Les comportements:
a. * Évitement cognitif
b. * Évitement comportemental
c. * Recherche de fausse réassurance
3- 3- L’intolérance à l’incertitude

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2
Q

Connaître des interventions de faibles intensités pour gérer les symptômes anxieux (ex: stratégies d’adaptation actives vs passives, l’approche cognitivo-comportementale, restructuration cognitive, défusion cognitive, types d’inquiétudes)

A

Permet de comprendre et d’agir sur le lien entre les pensées (cognitions, distorsions, etc.) et les émotions. * COMPRENDRE : Fiches auto-enregistrement (situation, pensées, émotions et comportements) * AGIR : Renforcer et augmenter ses stratégies d’adaptation actives : cognitives et comportementales 1- Modifier le lien pensées-émotions (cognitif) 2- Réduire l’évitement (comportemental)

Interventions éducatives lors d’anxiété * ÉDUQUER sur l’anxiété * émotion désagréable, mais qui n’est pas dangereuse * réflexe appris : évitement * importance de faire face activement en commençant par reconnaître qu’il s’agit d’anxiété * Éducation sur l’incertitude, les inquiétudes et les scénarios catastrophiques qui sont souvent à la base de l’anxiété; sur le processus d’adaptation à vivre avec l’incertitude: qui nécessite du temps. * IMPORTANCE DE L’ACCEPTATION (l’approche plutôt que l’évitement) * Commence par reconnaitre qu’il y a de l’anxiété. Renforcer l’ACCEPTATION de ce sentiment difficile : normaliser, soutenir, encourager le soigné à ne pas chercher à éviter de ressentir la peur ou d’autres émotions; se concentrer sur le présent plutôt que de se faire des scénarios catastrophiques; retrouver son souffle, affronter ces peurs et développer des outils plutôt qu’éviter

  • Importance de distinguer les problèmes des inquiétudes
  • Apprendre à diminuer les distorsions de la situation
  • Apprendre à régler les problèmes réels (souvent par des stratégies
    comportementales) et diminuer les inquiétudes inutiles (par des stratégies
    cognitives)
  • Importance des stratégies cognitives : permettent de diminuer le danger anticipé

Stratégies cognitives lors d’anxiété Deux sortes d’inquiétudes à distinguer : * Un problème à résoudre (Résolution de problèmes à planifier) * Un souci ou une préoccupation (inquiétude) sur ce qui pourrait aller mal (Boite des inquiétudes). La restructuration cognitive ou la défusion cognitive: * Préciser les pensées effrayantes avec l’ABC-D (souvent en lien avec l’incertitude) * Augmenter sa tolérance à l’incertitude (peut être que oui, peut être que non!) plutôt que rechercher des certitudes qui n’existent peut-être pas face aux préoccupations.

La défusion cognitive FUSION : croire que nos pensées sont importantes, utiles, réelles, vraies (ex: Je n’y arriverai pas. Je ne suis pas à la hauteur.) DÉFUSION : développer une relation différente avec les pensées * Reconnaître qu’il s’agit d’une pensée, une sensation, une sorte de sécrétion du corps… (ex: J’ai la pensée que je ne suis pas à la hauteur: c’est une pensée) * Accueillir l’émotion et la laisser être ce qu’elle est. (ex: cette pensée arrive spontanément et va passer) * Investiguer, nommer l’émotion, défusionner de la pensée (je suis plus que ma pensée…cette pensée entraine des conséquences inutiles, je peux diriger mon attention sur un autre objet si je le désire…) * Ne pas s’identifier à ces pensées et s’autoréguler (ex: espace de respiration) * Prendre du recul (J’ai la pensée que…, c’est une pensée, elle disparaitra comme elle est apparue, spontanément, tout passe, si je nourris la pensée cela entraine des conséquences inutiles, je peux diriger mon attention sur autre chose et défusionner)

Stratégies comportementales lors d’anxiété - Auto-régulation (respiration diaphragmatique, cohérence cardiaque, pleine conscience, etc.) - Réduire l’évitement - Exposition - Méthode de résolution de problèmes si probleme et non inquiétude

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3
Q

Appliquer le modèle GRACE dans un contexte d’anxiété

A

voir word

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4
Q

Les distorsions cognitives

A

erreur de pensée

cognitives ou erreurs de pensées (cognitions irréalistes).
* Vision approximative, déformée, voire inexacte du monde
* Vision négative et souvent catastrophique des événements
futurs
Lors d’anxiété :
* Tendance à surestimer la présence de danger
(catastrophisation)
* Tendance à sous-estimer ses ressources pour faire face à
la situation
* Évite de faire face à la situation
* Cela peut conduire à un cercle vicieux, car si on ne remet
pas en question le danger et il est plus difficile de
développer des stratégies efficaces permettant de faire face
à la situatio

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5
Q

Fondements principaux intégrés dans
l’approche cognitivo-comportementale

A

1- Les pensées influent sur les émotions et les comportements
2- Les pensées peuvent être évaluées et remises en question
3- Les changements de comportementaux désirés peuvent
découler d’une modification cognitive

Propose des stratégies axées sur l’action :
Permet de comprendre et d’agir sur le lien entre les pensées
(cognitions, distorsions, etc.) et les émotions.
* COMPRENDRE : Fiches auto-enregistrement (situation,
pensées, émotions et comportements)
* AGIR : Renforcer et augmenter ses stratégies d’adaptation
actives : cognitives et comportementales
1- Modifier le lien pensées-émotions (cognitif)
2- Réduire l’évitement (comportemental)

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6
Q

Analyser les caractéristiques de la tristesse

A
  • Provoquée par :
     Expériences de deuil, de perte, d’échec ou de séparation
     Dans un contexte d’attachement proche /proximité/implication
  • Réaction subjective
  • Réaction corporelle : moins énergie, ralenti, difficulté à s’habiller
  • Réaction expressive : regard fuyant, faciès neutre, non verbal/paraverbal
  • Réaction intentionnelle (finalité)
     Oriente notre attention vers l’intérieur et favorise la réflexion personnelle.
     Permet de prendre le temps pour faire le point et s’ajuster à la perte/séparation.
     Offre l’occasion de restaurer l’état antérieur
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7
Q

Explorer l’humeur triste/dépressive et les comportements pouvant favoriser la dépression

A
  • La tristesse peut se prolonger dans le temps
  • La tristesse peut se transformer en dépression.

Émotion et humeur
* L’humeur définit l’affect, « l’état d’âme » ou le sentiment intérieur général.
 L’émotion est spécifique, intense et de courte durée, en réaction à un événement précis significatif.
 L’humeur est moins précise, mais stable et durable
* L’humeur se trouve sur un continuum  Opposant l’humeur positive à l’humeur négative

Humeur négative
* Humeur dépressive
 Humeur négative accompagnée d’une vision pessimiste du monde et de soimême; humeur sombre et pessimiste
 Bien que peut durer quelques jours, ne se maintient pas dans le temps.

  • Comment distinguer de la dépression?
     Cause diffuse (ne sais pas pourquoi que comme ca)
     Humeur dépressive ou triste : depuis 2 semaines à tous les jours et persiste pendant la majeure partie de la journée
     Doit rencontrer 4 autres critères du DSM 5

Comportements pouvant favoriser la déperssion
* Rumination mentale
 Pensées excessives et récurrentes, difficiles à contrôler
 Processus central dans l’installation et le maintien de la dépression et facteur de rechute.
Impact motivation et résolution de problème
* L’apathie
 Forme d’inertie, d’indolence, d’indifférence souvent accompagnée de lenteur et de passivité
 Augmente les pensées et sentiments qui dénigrent le soi
Entretien motivationnel n’est pas approprié car la personne n’a pas de médication. 1- gérer émotions et ruminations avant stratégies d’adaptation (sinon fuite en avant)

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8
Q

Mener un entretien en contexte de tristesse avec le modèle de GRACE

A

voir ppt

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9
Q

Intervenir pour soulager une personne qui vit de la tristesse en utilisant la TCC.

A

Ramener au moment présent éviter de rester dans le passé comment les choses étaient ou voudrait qu’elles soient

Comment appliquer TCC
* À la suite de l’ÉVALUATION et l’ENSEIGNEMENT
 Établir un objectif thérapeutique
* Force de la TCC
En modifiant les pensées ou les comportements problématiques, on régule  l’émotion.
* Deux types de stratégies
 Cognitive : restructuration et défusion cognitive
 Comportementale : activation comportementale

***Modifier pensées dysfonctionnelles

De manière verbale ou sous forme de tableau

Modifier : si une amie lui dirait ce qu’elle dit comment elle réagirait, ou vivrait la même situation. Quoi lui dire pour faire en sorte que la situation soit atténuée/rassurer.

Défusion cognitives
* Chez une personne déprimée, ces cognitions et leur expression ne sont pas de simples paroles en l’air destinées à attirer l’attention.
* Elle correspondent à la véritable représentation mentale qu’elle se fait du mondeet d’elle-même et témoignent de la souffrance.
Éviter de se laisser entrainer dans la spirale des pensées négatives
* Reconnaître l’émotion et la pensée, qu’il s’agit d’une pensée…
* Accueillir l’émotion et laisser la pensée être ce qu’elle est
* Investiguer, nommer l’émotion et « Dé-fusionner » de la pensée
* Ne pas s’identifier à cette pensée et s’autoréguler en créant un espace de respiration.
* Prendre du recul

Fusion cognitive : camion de bois en longueur sur autoroute fusion réalité en image film et réalité
- La personne se dit qu’elle est nul et le croit réellement. Essayer de décoller l’étiquette
Visualisation une fois situation réglée comment va se sentir et quoi fait pour se sentir ainsi
Métaphores restent davantage

Réduire l’évitement (pas propre à la TCC)
L’évitement est comme un comportement de défense mise en place pour se protéger de la souffrance.La personne évite de ressentir pour se protéger. Malheureusement, plus elle évite, plus la souffrance s’aggrave

Principes activation comportementale
* Explorer des activités intéressantes et pertinentes
* En choisir une et se donner un objectif précis
* Se PRÉPARER à l’ACTION (au changement) :
 Se rappeler la pertinence de passer du mode APATHIE au mode ACTION
 Ne pas attendre la motivation, la motivation vient dans l’action
 Voir le changement de mode APATHIE à ACTION comme un apprentissage (pas comme une évaluation de volonté ou de valeur)
 Procéder pas à pas (attentes réalistes)
 Développer une attitude d’ouverture (non jugement de la performance/ du résultat immédiat)
- Éviter de se critiquer *
Persévérer dans l’EFFORT : S’aider à se motiver dans les efforts de se mettre en mode action

Grille d’enregistrement des activités 4As
4 AS : Les quatre As qui vous aident à persévérer dans vos efforts de passer du mode APATHIE au mode ACTION
* Antécédents. Avant d’aller marcher, qu’est ce que vous vous êtes dits pour vous motiver ? Qu’est-ce qui vous a aidé à commencer ?
* Activités. Décrivez moi ce que vous avez fait, comment ça c’est passé, comment vous sentiez vous durant l’activité, qu’est ce que vous vous disiez? Était-ce une activité intéressante et pertinente pour vous?
* Avantages à court terme (conséquences favorables). Juste après cette courte marche, avez vous remarqué des conséquences favorables?
* Avantages à plus long terme (conséquences favorables). À plus long terme, un peu après dans votre journée, avez vous remarqué d’autres avantages associées à cette marche

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10
Q

revoir modèle de grace

A
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11
Q

Analyser le processus de perte et de deuil :
Les phases et la courbe du deuil

A

Chalifour
Le deuil est vu comme un processus:
§ Phase initiale (choc et protestation)
§ Phase centrale (désorganisation et dépression)
§ Phase finale (réorganisation, adaptation, acceptation et croissance)

§ Adapter ses interventions selon les phases du deuil et les émotions
PHASE INITIALE : § possibilité de déni et de colère
PHASE CENTRALE: § Soutien et accompagnement avec GRACE § Explorer les émotions (tristesse, anxiété) § Aider à l’expression des souvenirs et la résolution du deuil (Lecture, art-thérapie, soutien, rituels, pardon)
PHASE FINALE : § Trouver un sens constitue une étape essentielle du travail du deuil § Faire un bilan des bénéfices perçus est utile
§ Demeurer attentif aux symptômes de dépression et au risque suicidaire
§ Lors de facteurs de risque plus élevés, suggérer des groupes de soutien ou référer à des professionnels.

choc-déni-colère-peur-tristesse-acceptation-pardon-quete de sens renouveau-sérénité croissance

voir doc pour courbe complète

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12
Q

Manifestation d’un deuil complexifié

A

§ Absence de réaction émotionnelle à l’égard de la perte (déni) qui se maintient au-delà de la phase initiale (deuil inhibé)
§ Autre type de déni qui se prolonge **(des faits, des impacts, de l’affect)******* et qui retarde la seconde phase du travail de deuil (deuil différé)
§ Difficultés à fonctionner, à se concentrer sur les tâches quotidiennes ou à entreprendre de nouvelles activités
§ Préoccupations excessives à l’égard de l’objet perdu et difficulté à investir dans autre chose (deuil prolongé)
§ Manifestations extrêmes comme la présence persistante de blâme, de culpabilité, de colère dirigée contre l’autre ou contre soi
§ Désordres comportementaux: retrait social prolongé, apathie, état persistant d’agitation ou d’hyperactivité
§ Accumulation importante de problèmes de santé ou manifestations prolongées de troubles psychosomatiques: anorexie, trouble du sommeil
§ État dépressif prolongé et absence de plaisir ou d’émotions agréables accompagné d’agitation, d’insomnie, d’autoaccusation et de dévalorisation (deuil pathologique)

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13
Q

Deuil vs depression

A

Deuil
- Définition et prévalence: Réaction où la
tristesse & le chagrin sont
attendus (normal)
- Signes et sx: Détresse somatique,
perturbation sommeil,
appétit, diminution
concentration, retrait
social
- Autres signes: ** Plaisir encore présent; **
réactions viennent par
vagues; capable
d’envisager le futur

Dépression
- Définition et prévalence: Humeur dépressive sur une période d’au moins 2 semaines;
- Signes et sx: Idem +
Désespoir, impuissance,
culpabilité, dévalorisation,
idéations suicidaires qui
se maintiennent.
- Autres signes: Rien d’agréable; constant,
inlassable, idéations
intenses et persistantes,
avenir sombre

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14
Q

Interventions en situation de deuil

A

Ce qui facilite le travail de deuil:
Attitudes et habiletés relationnelles :
§ Accueillir la personne
§ Présence attentive
§ Empathie
§ Authenticité
§ Écoute non directive et active
§ Respect du rythme
§ Reformulation, questions ouvertes
parler permet de sortir du déni

Psycho-éducation:
§ Informations sur le processus de deuil et l’évolution de la
souffrance

Soutien :
§ Favoriser l’expression du vécu et des émotions
§ Faire raconter l’histoire du décès
§ Faire raconter l’histoire de la relation
§ Proposer de terminer les dialogues non résolus
§ Explorer les stratégies de gestion de la détresse ou
d’autorégulation (techniques de respiration, relaxation)
§ Autres: journal de deuil, boite de souvenirs, échange de
pardon

§ Adapter ses interventions selon les phases du deuil et les émotions
PHASE INITIALE :
§ possibilité de déni et de colère
PHASE CENTRALE:
§ Soutien et accompagnement avec GRACE
§ Explorer les émotions (tristesse, anxiété)
§ Aider à l’expression des souvenirs et la résolution du deuil
(Lecture, art-thérapie, soutien, rituels, pardon)
PHASE FINALE :
§ Trouver un sens constitue une étape essentielle du travail du
deuil
§ Faire un bilan des bénéfices perçus est utile
§ Demeurer attentif aux symptômes de dépression et au risque suicidaire
§ Lors de facteurs de risque plus élevés, suggérer des groupes de
soutien ou référer à des professionnels.

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15
Q

Examiner le concept de déni:
Définition

A

§ Selon Freud, le déni correspond à un mécanisme de défense inconscient.
§ Pour d’autres, on le décrit comme un mécanisme psychologique plus ou moins conscient et involontaire utilisé face à un trauma ou une menace.
§ Permet de minimiser ou d’annuler une partie ou la totalité d’une réalité ou sa signification (Razavi, Delvaux, Farvaques, 2008)
****§ Déni des faits(situation), de l’impact ou de l’affect *****
§ Le déni : À la fois un mécanisme de défense et une stratégie d’adaptation
———————————————————
§ Les stratégies passives permettent d’éviter la souffrance immédiate. Sur le coup, elles permettent un soulagement.

§ Elles demeurent peu efficaces pour gérer la détresse.

§ Exemples de stratégies d’adaptation passives:
§ Déni, répression, minimisation
§ Isolement social
§ Évitement cognitif et comportemental
§ Consommation excessive d’alcool/drogue
——————————————————
§ À l’annonce d’une mauvaise nouvelle, le déni peut jouer un rôle positif dans le processus d’adaptation à la perte.
§ Permet de prendre une distance temporaire (se ressaisir pour mieux rebondir). § S’il persiste, il peut toutefois nuire à la réhabilitation et même contribuer à l’évolution d’un trouble clinique
§ Durée d’un déni « adaptatif »: imprécis.
§ Plus c’est long, plus c’est complexe (souvent < 1 semaine).

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16
Q

Examiner le concept de déni:Différences entre le déni des faits, de l’impacts ou de l’affect
****à l’examen*******

A

o Faits : ex paralysie main comprend pas pk peut pas la serrer tandis que paraplégique. Déni de la situation. N’existe pas. Amputation non j’ai encore ma jambe. Pas de cœur fœtal parle du baby shower à planifier

o Impacts : déni des conséquences de l’évènement. Marathon prévu dans 2 mois, dit que va le faire même si vient de se faire amputer(impossible de réaliser en un si court terme)

o Affect : déni des émotions, non je ne suis pas malheureux, anxieux… tout va super bien

17
Q

Examiner le concept de déni: Interventions en contexte de déni, selon le modèle de GRACE

A

G= Guider et centrer l’attention sur le
moment présent (souffle, contact sol)

R= Rappel de l’intention
§ Se rappeler pourquoi j’ai choisi de soigner, les
valeurs auxquelles je tiens et le sentiment
ressenti à l’idée d’aider = se connecter à soi
même.
§ Se rappeler que le soigné est une personne
unique.

A= Ajustement vers soi.
§ Chaque soignant apporte avec lui son bagage
sur le plan affectif (émotions), cognitif
(pensées, biais), comportemental (rythme) et
physique (tensions).
§ Un scan corporel rapide peut permettre de
prendre conscience de son état, de
s’autoréguler, d’ajuster son tonus et sa
posture, d’être plus disponible pour l’autre

A= Ajustement vers l’autre
§ Débuter la rencontre avec une attitude de
non-jugement, de respect, d’acceptation et
d’ouverture.
§ Créer un espace permettant au soigné de
s’exprimer.
§ Écouter en pleine conscience, avec
ouverture, sans jugement et empathie

  • Observer le non verbal de la personne (posture, ouverture)
  • Saluer/nommer la personne et se présenter
  • Accueillir et questionner sur comment elle va
    Même si la personne semble minimiser les impacts négatifs :
  • Cheminer vers une compréhension mutuelle de ce qu’elle vit
  • L’inviter à discuter de ce qu’elle comprend de cette situation
    de santé.
  • Négocier le nom de l’état vécu (choc, comme pas de
    réaction…)
  • Démontrer de la compassion
    plus on fait parler la personne plus cela semble vrai pour elle va minimiser déni et va intégrer
    —————————————
    C= Considération de l’objectif de soin
    § De quoi est-ce que cette personne a besoin
    dans l’immédiat ? Comment puis-je bien la
    soigner ?
    § S’ajuster au rythme de la personne soignée.
    § S’assurer que je dégage une attitude
    bienveillante et aidante.

§ Si la personne soignée préfère ne pas discuter de sa
condition, ou si vous percevez qu’il est difficile de
poursuivre l’entretien, vous pouvez reconsidérer
l’objectif de soin et offrir de reporter la rencontre
§ Reconnaître le choix du soigné et normaliser cette
position
§ S’assurer alors d’un suivi clinique et vérifier les
occasions d’offrir à nouveau l’occasion d’en parler en
respectant le rythme.
§ Noter au dossier les impressions face au déni et le suivi
planifié
—————————–
E= Engagement dans l’action
§ S’engager dans la réalisation de l’objectif.
§ Utiliser différentes stratégies thérapeutiques
tout en demeurant centré sur la personne et
en utilisant les habiletés de base en
communication.
§ Observer jusqu’à quel point les actions
choisies et posées sont cohérentes avec nos
valeurs et notre intention.
§ Manifester de l’empathie (rester centré sur le
soigné, distinguer l’expérience de l’autre de la
sienne)

§ Attitude présente et attentive
§ Offrir de l’information
§ Soutenir (explorer stratégies d’adaptation
ex., gestion de détresse, réseau de soutien)
§ Maintenir l’espoir (le temps est nécessaire
pour sentir un mieux-être, processus normal)
———————————————–
E= END (fin de l’entretien)
§ Marquer la fin de la relation pour soi aussi :
relâcher, respirer, laisser aller et de faire place
au prochain moment, à la prochaine
personne. Reconnaître que c’est terminé et
que vous avez bien travaillé.
§ Être en relation soignante demande
beaucoup de notre attention : il faut créer un
espace après la rencontre pour clore cet
épisode de soin et faire une transition pou
l’épisode suivant.
§ Reconnaître et apprécier votre travail, même
si peu de résultats peuvent avoir été atteints.

§ Dangereux de le détruire tout simplement
§ Plus utile de chercher une fenêtre dans le déni, une fente qui pourra
éventuellement être élargie pour révéler une ouverture et une possibilité de
rejoindre la souffrance
§ Utilité du reflet et du résumé (attitude d’accueil)
§ Le déni est généralement non dangereux pour la personne
§ Peut être difficile pour les proches lorsqu’ils doivent se préparer pour le futur——-

18
Q

Déterminer comment intervenir lors de l’annonce d’une mauvaise nouvelle.
Concept de l’annonce d’une mauvaise nouvelle

A

« une nouvelle qui change radicalement et négativement l’idée que se fait le patient
de son (…) être et de son (…) avenir». (Buckman, R., 1994)
§ ne concerne pas uniquement un diagnostic, mais aussi les conséquences
possibles de la maladie ou des traitements, par exemple, de handicap ou de
déficience.
§ peut être ressentie comme une condamnation à mort, mais aussi une
condamnation à mal vivre.
§ peut être certaine ou possible, immédiate ou future.
§ peut également poser la question de la transmission génétique aux
descendants, d’une probabilité d’atteinte d’autres membres de la famille, de la
contamination d’autrui.
§ reste néanmoins subjective, intimement liée à l’histoire du patient
————————
§ C’est « communiquer », « faire savoir »
§ Non seulement informer, ni même « faire comprendre », mais
c’est transmettre quelque chose de complexe
§ Réaction de stress fort possible
§ Accueillir la réaction et donner à la personne soignée les
informations
————————
Règles d’or
Les règles d’or de l’annonce
- L’information fait partie du soin que l’on doit au malade.
- Une information progressive, pas à pas dans une relation authentique et sincère.
- Une information cohérente : ne rien dire qui ne soit vrai.
- Une information qui concerne d’abord le patient, puis ses proches.
- Une information adaptée à chaque sujet, à sa demande, à ses ressources.
-Présenter dès que possible les solutions et les ressources thérapeutiques.
- Ouvrir vers un espoir réaliste.
- Une information à reprendre sans cesse.

Lors de l’annonce d’une mauvaise
nouvelle, l’information est mise à
la disposition de la personne.
La personne prend ce qu’elle veut
et elle reçoit ce qu’elle peut.
L’important est ce qui est compris.

19
Q

Déterminer comment intervenir lors de l’annonce d’une mauvaise nouvelle
L’ABCDE
à l’examen**
dire quelle lettre dans cet extrait

A

L’: Lieu, environnement, endroit calme et privé, en présence d’un proche, à un moment approprié

A: Accueil de la réaction émotionnelle et précision des besoins de soutien ( …avec GRACE Accueillir les réactions émotionnelles et accompagner dans le processus de deuil .)

B: « Briefing&raquo_space; pré-rencontre

C: Communication: Informer, c’est d’abord écouter la personne,
*Que sait-elle de sa maladie, que souhaite-t-elle savoir ?
* Quel niveau d’information veut-elle ?
* Donner les informations pas à pas, dans une relation authentique, selon le rythme, s’assurer de la compréhension (refléter, résumer) *

D: Débriefing

E: Entretien de la relation thérapeutique (suivi) : revoir la personne et les proches, car envahie par l’émotion, peuvent n’avoir retenu qu’une partie

B: briefing
§ Permet de déterminer les rôles des intervenants avant la rencontre et
les informations médicales qui seront transmises.
§ Le médecin est invité à :
§ Faire un briefing
au préalable aux membres de l’équipe sur
l’information médicale qui serait transmise au patient
§ Recueillir auprès des membres de l’équipe des informations qui
l’aideront à gérer la rencontre, organiser la présentation de
l’information et à s’adapter à la réalité du patient (Soins centrés sur
la personne soignée et ses besoins d’information).

clarif role acteur clé
§ Clarifier son rôle
§ Diriger la rencontre de l’annonce
§ Informer sur le diagnostic, le pronostic et le plan de traitement
(information réaliste, simple, progressive)
§ Vérifier la compréhension de la nature, du but et des conséquences
possibles de l’examen, de l’investigation et du traitement prescrit
§ Faciliter la prise de décision du patient et la respecter
§ Transférer aux autres professionnels l’information qui est pertinente à
l’examen, à l’investigation et au traitement du patient

inf
§ Obtenir du médecin les renseignements pertinents autour du
diagnostic, du pronostic et du plan de traitement ;
§ Clarifier le contenu à communiquer au patient- famille ;
§ S’assurer que la personne (patient-famille) comprend
l’information médicale transmise ;
§ Clarifier son rôle de soutien et d’accompagnement auprès du
patient

c: communication lors rencontre
§ Permet au patient, aux membres de la famille et à l’équipe
interdisciplinaire de se réunir ;
§ Permet aux membres de la famille et au patient de poser des questions ;
§ Situation souhaitable, car permet à tous d’entendre la MÊME information
en mêmetemps (cohérence);
§ Permet à l’équipe soignante d’évaluer comment chacun s’adapte ;
§ Permet d’aborder les besoins du patient et des membres de la famille.

D: defriefing après rencontre
§ Permet de partager les impressions pour s’assurer d’un partage
de perception ;
§ Mise en commun de l’interprétation et du plan de traitement à
venir entre tous les professionnels impliqués;
§ Chaque réunion dont le but était l’annonce d’une mauvaise
nouvelle devrait être complétée par un debriefing

E : ENTRETIEN DE LA RELATION
THÉRAPEUTIQUE (SUIVI) :
§ Rôle de relais de l’infirmier/ère
§ Revoit la personne et les proches après, car envahie par
l’émotion, n’ont possiblement retenu qu’une partie (suivi inscrit
au PTI surtout en présence de déni ou d’autres stratégies
d’évitement du soigné)
§ L’infirmier/ère fait une rétroaction à l’équipe (souvent via PTI)

20
Q

Conceptaliser l’émotion de la colère (définition,

A
  • Émotion humaine normale en réaction à ce qui se passe, souvent inévitable.
  • ni bonne, ni mauvaise
  • Sain de ressentir et d’exprimer de la colère
  • n’est pas un problème en soi, c’est ce qu’on en fait qui peut faire la différence
  • non néfaste si reconnue, exprimée avec affirmation (respect de soi et de l’autre)
  • Peut masquer une détresse (perception d’une grande menace)
  • sorte de stratégie passive, plutôt immature, comme le déni.

Peut devenir problématique lorsque son intensité, sa fréquence
et les comportements qui en découlent engendrent une
souffrance ou une perturbation significative des relations et du
fonctionnement.

La colère vs l’agressivité/violence
* La colère et la violence ne sont pas synonymes.
* La colère est une émotion tandis que la violence un comportement.
* Lorsqu’elle est contenue, la colère peut survenir sans qu’aucun comportement agressif ne
s’en suive.
* La violence peut s’observer à une phase de désorganisation ou de crise.
* Des comportements agressifs peuvent aussi survenir sans que la personne ne ressente
de la colère. Ils peuvent être émis sans état d’âme ou même avec une certaine excitation.

21
Q

Conceptaliser l’émotion de la colère
facteurs déclencheurs,

A
  • Sentiment d’incompréhension
  • Sentiment d’être victime d’une injustice
  • Sentiment de ne pas être respecté
  • Mauvaise nouvelle, déception (ex., échouer à un examen)
  • Style de communication de celui qui annonce la mauvaise nouvelle (manque d’empathie, manque d’écoute- on ne se sent pas compris)
  • Frustration d’un désir ou d’un besoin
  • Environnement irritant (ex., une personne qui demande tout le temps)
  • Menace à la sécurité et peur (ex., envahisseur)
  • État de stress avant l’événement (présence de fatigue, de stress) ***
  • Trop souvent lié à des ERREURS de PENSÉES : La signification donnée à un événement et une mauvaise interprétation. ***
  • Lien entre pensées et émotion : se sentir incompris par l’autre ou trouver cela injuste, se sentir diminué, pas à la hauteur- attentes élevées et sentiment d’infériorité- (impression d’être attaqué, égo menacé), se sentir en train de perdre le contrôle, se percevoir comme vulnérable (menacé).
22
Q

Conceptaliser l’émotion de la colère
réaction adaptative ou non,

A

ADAPTATIVE
* Émotion souvent utile pour défendre un droit ou reconnaître la présence d’un besoin non satisfait (et y répondre).
* Peut aussi masquer une détresse normale
* Dans le processus de deuil: quand le déni tombe, la colère fait partie de la phase initiale du deuil. Alors que le déni permettait de prendre une distance pour mieux rebondir. La colère est associée à une mobilisation d’énergie pouvant aider à se mettre en action et à affronter la situation.

Colère réactions EXplosives non adaptatives (réaction comportementales)
* Rendre l’autre coupable (accuser) de ne pas répondre à ses besoins
* Tempêter contre tout ou tout le monde
* Refuser d’entendre la version de l’autre
* Nourrir un désir de vengeance
* Forcer les limites de l’autre, harceler
* Proférer des menaces, intimider
* Menacer ou agresser verbalement et physiquement
* À l’extrême, commettre homicide

Colère réactions IMplosives non adaptatives (réaction comportementales)
* Nier ses besoins et ses émotions
* Refouler sa colère, ravaler, ne rien dire
* Se dénigrer, se culpabiliser,
* Autodestruction
* Automutilation
* Accumuler des frustrations
* Ruminer les sentiments et les pensées négatives
* Ne pas accepter et ne pas affirmer ses limites
* Retourner sa colère contre soi

23
Q

Conceptaliser l’émotion de la colère
réactions explosives vs implosives)

A

Colère réactions EXplosives non adaptatives (réaction comportementales)
* Rendre l’autre coupable (accuser) de ne pas répondre à ses besoins
* Tempêter contre tout ou tout le monde
* Refuser d’entendre la version de l’autre
* Nourrir un désir de vengeance
* Forcer les limites de l’autre, harceler
* Proférer des menaces, intimider
* Menacer ou agresser verbalement et physiquement
* À l’extrême, commettre homicide

Colère réactions IMplosives non adaptatives (réaction comportementales)
* Nier ses besoins et ses émotions
* Refouler sa colère, ravaler, ne rien dire
* Se dénigrer, se culpabiliser,
* Autodestruction
* Automutilation
* Accumuler des frustrations
* Ruminer les sentiments et les pensées négatives
* Ne pas accepter et ne pas affirmer ses limites
* Retourner sa colère contre soi

24
Q

semi sentiment finalité colère

A
  • Si elle est bien gérée, la colère permet de s’affirmer, de faire respecter ses droits, de répondre à ses besoins.
  • La colère mobilise de l’énergie pour faire face à la situation. Cette charge doit toutefois être dirigée vers la résolution de problèmes et s’exprimer de façon respectueuse tant envers soi et que l’autre.
  • L’affirmation de soi se situe d’ailleurs entre la soumission (oubli ou non-respect de soi) et l’agression (oubli ou non-respect de l’autre).
25
Q

Quand une émotion en cache une autre
SE RAPPELER QUE BIEN SOUVENT L’ÉMOTION DE LA COLÈRE CACHE UNE
DÉTRESSE
semi

A
  • Émotion primaire
  • réaction de défense pour contrer injustice (réaction de lutte pour ses droits)
  • reconnaît la présence d’un besoin non satisfait (et y répondre)
  • Émotion secondaire
  • réaction de défense permettant de masquer une détresse
  • en réaction à un sentiment d’incompréhension ou à une frustration de l’ÉGO qui se sent
    diminué
  • une façon d’éviter de ressentir une détresse plus profonde (un peu comme le déni),
    préfère ici trouver un coupable plutôt que d’accepter la situation douloureuse (ex:
    processus de deuil
26
Q

Les manifestations de la colère
(réactions corporelles) semi

A
  • Bouleversement intense
  • Air renfrogné
  • Grincement des dents
  • Allées et venues dans la pièce
  • Haussement des sourcils
  • Poings serrés
  • Énergie accrue
  • Fatigue
  • Repli sur soi
  • Visage empourpré
  • Retenue émotionnelle excessive
  • Ton de voix modifié (ton élevé, voix plus basse, mots marmonnés entre les dents,
    cris ou vocifération)
27
Q

Quoi faire colère 8
semi

A
  1. Reconnaître les symptômes physiques (sensations corporelles) et psychologiques de
    la colère (cognition, affect, comportement)
  2. Faire une pause (auto-régulation), respirer
  3. Identifier ses frustrations et ses besoins non comblés.
  4. Reconnaître les distorsions cognitives, restructurer/dédramatiser et modifier le
    discours interne ou « défusionner » avec les pensées
  5. Accepter d’écouter ce que l’autre a à dire
  6. Choisir d’exprimer ou non sa colère
    * si oui, le faire d’une façon affirmative – s’attendre à ce que cela puisse « déranger » ,
    donc préparer le terrain en demandant à l’autre s’il a du temps et de l’espace pour
    écouter quelque chose de difficile à exprimer ; s’exprimer de façon constructive en
    commençant par indiquer l’importance du lien que l’on veut préserver ;
    * Sinon, penser à une autre façon de libérer la charge d’énergie: écrire, décharger sa
    colère sur un objet inanimé (solution temporaire; danger de cercle vicieux si utilisé
    sur base régulière), faire de l’exercice, pratiquer sa capacité à lâcher prise.
  7. Trouver une réponse constructive à ses besoins
  8. Apprendre de ses épisodes de colère (connaître ses boutons ou ses zones de
    vulnérabilité), en parler, consulter
28
Q

5 dimensions émotion

A

Expérience subjective (affectif) :- Qu’est-ce que vous ressentez face à cette situation?- Quelle émotion cela vous fait vivre?

Réaction cognitive:–
Qu’est ce qui vous traverse l’esprit quand vous vous sentez comme cela?
Comment voyez-vous la situation?

Réaction corporelle (biologique):- Qu’est-ce que la situation vous fait ressentir dans votre corps (manifestions et symptômes): ?

Réaction comportementale:- Qu’avez vous tendance à faire lorsque vous ressentez cette émotion? Est-ce aidant?

Sentiment de finalité/dimension motivationnelle : - Quelle est votre intention dans cette situation (ex: se défendre, réaction de lutte)