RAISONNEMENT - Notions de Base Flashcards

1
Q

Raisonnement démonstratif ou raisonnement [?] ou raisonnement [?] part de [?] réputées [?] pour bâtir une conclusion sans [?] possible (conclusion [?]).

A

Raisonnement démonstratif ou raisonnement [déductif] ou raisonnement [certain] part de [prémisses] réputées [vraies] pour bâtir une conclusion sans [alternative] possible (conclusion [certaine]).

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2
Q

Caractéristiques du raisonnement démonstratif (= déductif = certain) :
⬜️ la vérité des prémisses garantie [?]
⬜️ la validité est basée uniquement sur [?] (et non [?])
⬜️ la conclusion n’ajoute pas [?]
⬜️ la conclusion consiste à [?] ([?/?])

A

Caractéristiques du raisonnement démonstratif (= déductif = certain) :
⬜️ la vérité des prémisses garantie [la vérité de la conclusion]
⬜️ la validité est basée uniquement sur [la structure formelle] (et non [le contenu])
⬜️ la conclusion n’ajoute pas [d’information aux prémisses]
⬜️ la conclusion consiste à [affecter une valeur de vérité à une proposition] ([vraie/fausse])

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3
Q

Quelles sont les deux formes de raisonnements démonstratifs étudiées ?

A

Les deux formes de raisonnements démonstratifs étudiées sont :

1) Raisonnement propositionnel
2) Raisonnement catégorique

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4
Q

On peut distinguer 3 catégories de raisonnement. Lesquelles ?

A

1) la déduction,
2) l’induction,
3) l’abduction.

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5
Q

En quoi consiste la déduction ?

A

La déduction consiste à appliquer une règle à une situation particulière.

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6
Q

En quoi consiste l’induction ?

A

L’induction consiste à généraliser des connaissances à un ensemble de situations.

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7
Q

En quoi consiste l’abduction ?

A

Le raisonnement par abduction consiste à trouver une règle explicative permettant de mettre en relation des faits connus, en formulant l’hypothèse la plus plausible possible.

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8
Q

VRAI ou FAUX ?
Dans un raisonnement par induction ou par abduction les propositions de départ ne permettent pas de garantir la vérité de la conclusion.

A

VRAI

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9
Q

VRAI ou FAUX ?
Dans le cadre des théories du raisonnement déductif, il est possible de produire une conclusion en l’absence d’une prémisse.

A

FAUX

→ Dans le cadre d’un syllogisme, 2 PROPOSITIONS SONT NÉCESSAIRES POUR PRODUIRE LA TROISIÈME.

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10
Q

Par convention, les propositions sont désignées par des [?] et les connecteurs sont désignés par des [?].

A

Par convention, les propositions sont désignées par des [lettres] et les connecteurs sont désignés par des [symboles].

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11
Q

La conclusion est introduite par le signe « ∴ ».

A

VRAI

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12
Q

Un argument valide est un argument qui accepte [?], c’est à dire qu’il n’y a pas de conclusion [?] possible.

A

Un argument valide est un argument qui accepte [une seule conclusion], c’est à dire qu’il n’y a pas de conclusion [alternative] possible.

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13
Q

Demander à des sujets d’évaluer, de produire ou de sélectionner une conclusion à partir de prémisses permet d’étudier les [?].

A

les mécanismes de raisonnement

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14
Q

Wason (1968) a imaginé une variante de la [tâche ? de la ? de ?] qui a connu un grand succès, tant pour l’étude des [?] dans la [?] que dans [?].

A

Wason (1968) a imaginé une variante de la [tâche d’évaluation de la table de vérité] qui a connu un grand succès, tant pour l’étude des [syllogismes] dans la [déduction] que dans [l’induction].

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15
Q

Que permet d’étudier la tâche de Wason ?

A

La tâche de Wason permet d’étudier les syllogismes conditionnels.

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16
Q

La table de vérité proposée en logique propositionnelle à pour objectif de démontrer comment les individus raisonnent.

A

FAUX
→ Les individus n’aboutissent pas toujours à des conclusions valides.
→ La table de vérité permet de décrire formellement un certain nombre de règles de raisonnement aboutissant à une conclusion certaine.

17
Q

La logique a dû s’inventer son propre langage pour exprimer les propositions et les connecteurs.
Comment s’écrit formellement le modus tollens ?

A

Le modus tollens, qui correspond à la négation du conséquent, s’écrit formellement :
p => q ; ¬ q ∴ ¬ p.
VRAI

18
Q

VRAI ou FAUX ?
Il est toujours possible de ramener un énoncé à une écriture formelle correspondant à un connecteur ou à un contenu logique, puisque le contenu des prémisses et les connecteurs employés par la logique formelle, correspondent bien à la richesse du langage.

A

FAUX
→ Bien au contraire justement, le contenu des prémisses peut être problématique, comme dans le cas des connecteurs. En effet, il n’est pas toujours possible de ramener un énoncé à une écriture formelle correspondant à un connecteur ou à un contenu logique.

19
Q

Voici une forme d’affirmation du conséquent :
Si A alors B, B est vrai, alors A.
Est-elle valide ?

A

NON ! Ici l’affirmation du conséquent est fallacieux car 2 valeurs de vérités sont possibles.

20
Q

Dans les syllogismes conditionnels, pour une même prémisse majeure, la combinaison des deux propositions simples et des deux valeurs de vérité nous permet de construire quatre arguments possibles.
Deux d’entre eux sont déductivement valides quelle que soit [?].
Les deux autres arguments ne sont valides qu’avec [?].

A

Dans les syllogismes conditionnels, pour une même prémisse majeure, la combinaison des deux propositions simples et des deux valeurs de vérité nous permet de construire quatre arguments possibles.
Deux d’entre eux sont déductivement valides quelle que soit [l’interprétation de la majeure].
Les deux autres arguments ne sont valides qu’avec [le connecteur de l’équivalence].

21
Q

VRAI ou FAUX ?
Dans son expérience, Wason (1968) montre à un groupe de sujets 4 cartes posées sur une table. Il leur explique que chacune de ces cartes comporte sur une face une lettre et sur l’autre un chiffre.
Puis il énonce la règle suivante : « s’il y a une voyelle d’un côté, alors il y a un chiffre impair de l’autre ».
Le sujet doit ensuite sélectionner les cartes nécessaires et suffisantes pour décider si la règle a bien été respectée.

A

FAUX
→ La règle correcte est la suivante :
« S’il y a une VOYELLE d’un côté, alors il y a un CHIFFRE PAIR de l’autre ».

22
Q

Proposés par [Qui et Qui ?] (Date ?)] pour rendre compte du ? ?, les schémas pragmatiques ont surtout été étudiés dans les situations de [?] et d’[?].

A

Proposés par [Cheng et Holyak (1984)] pour rendre compte du raisonnement déontique, les schémas pragmatiques ont surtout été étudiés dans les situations de [permission] et d’[obligation].

23
Q

Pour rendre compte des résultats obtenus auprès des sujets sur le raisonnement [?] (par ex : Wason, 1968 ; Rips et Marcus, 1977), de nombreuses [?] ont été avancées.
Dans une tâche de sélection comme celle de Wason, par exemple, ce ne sont pas les cas valides qui sont retenus. La validité apparaît comme un facteur secondaire par rapport à d’autres facteurs comme le [?] ou la [?].

A

Pour rendre compte des résultats obtenus auprès des sujets sur le raisonnement [conditionnel] (par ex : Wason, 1968 ; Rips et Marcus, 1977), de nombreuses [hypothèses explicatives] ont été avancées.
Dans une tâche de sélection comme celle de Wason, par exemple, ce ne sont pas les cas valides qui sont retenus. La validité apparaît comme un facteur secondaire par rapport à d’autres facteurs comme le [contenu sémantique] ou la [référence à la réalité].

24
Q

Les syllogismes catégoriques constituent une classe particulière de syllogismes propositionnels où les prémisses associent un prédicat à une catégorie ou à un membre d’une catégorie.

A

VRAI

25
Q

Décrivez les différentes sortes de propositions catégoriques.

A
Il existe 4 sortes de propositions catégoriques :
\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_
o A : Universelle Affirmative
–> Tous les S sont P
\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_
o E : Universelle Négative
–> Aucun S n’est P
\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_
o I : Particulière Affirmative
–> Quelques S sont P
\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_
o O : Particulière Négative
–> Quelques S ne sont pas P
26
Q

On appelle « inférences immédiates » les propositions déduites facilement et rapidement.

A

FAUX

→ Les inférences immédiates sont qualifiées ainsi car elles sont déduites immédiatement à partir d’une seule prémisse.

27
Q

La relation de subalterne du carré d’Aristote se définit comment ?

A

“La vérité d’une universelle entraîne la vérité de la particulière de même qualité.”

28
Q

Décrivez le syllogisme catégorique.

A

Le syllogisme catégorique est un raisonnement à 2 prémisses faisant appel à 3 termes : le sujet, le prédicat et le moyen terme.
→La majeure met en relation le prédicat et le moyen terme.
→La mineure met en relation le sujet et le moyen terme.
→La conclusion concerne la relation entre le sujet et le prédicat.

29
Q

Que sont les figures syllogistiques ?

A

Dans le syllogisme catégorique 3 termes dans les prémisses déterminent 4 configurations appelées « figures syllogistiques » :

1) le sujet (S)
2) le prédicat (P)
3) le moyen terme (M)