Quizz divers Flashcards

1
Q

Vrai ou faux : La croissance de la connaissance lexicale chez l’enfant d’âge scolaire est principalement une addition de mots dans le lexique.

A

Faux! La connaissance lexicale de l’enfant se développe tant en termes d’apprentissage de nouveaux mots que d’organisation plus élaborée du réseau sémantique. ( Donc lexique + sémantique)

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2
Q

Vrai ou faux : L’élaboration de la sémantique exige de l’enfant décontextualisation et raisonnement analogique.

A

Vrai

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3
Q

Vrai ou faux :Les mots que l’enfant apprend sont graduellement plus abstraits, moins transparents sur le plan du sens et moins usuels

A

Vrai : complexification en fonction du niveau scolaire

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4
Q

Le raffinement de la signification d’un mot se fait avec :

A
  • L’ajout de caractéristiques sémantiques dans sa représentation sémantique.
  • L’augmentation de la complexité dans l’organisation des caractéristiques sémantiques de sa représentation sémantique.
  • L’augmentation de la justesse de l’association signifié/signifiant.
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5
Q

Vrai ou faux : L’apprentissage de la synonymie et de l’antonymie repose davantage sur la capacité d’abstraction que sur la flexibilité mentale.

A

Faux

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6
Q

Vrai ou faux : Les habiletés morphologiques permettent à l’enfant d’accorder les temps de verbes correctement alors que la conscience morphologique permet à l’enfant d’utiliser le genre et le nombre adéquatement lorsqu’il parle.

A

Faux

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7
Q
A
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8
Q

Vrai ou faux : La prise en compte de la structure morphologique des mots mène à la reconnaissance des éléments significatifs dans un nouveau mot.

A

Vrai

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9
Q

Vrai ou faux : Une relation bidirectionnelle existe entre la conscience morphologique et la conscience phonologique et l’identification de mots.

A

Vrai

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10
Q

Vrai ou faux : L’appréhension et la maîtrise des irrégularités de conversion graphophonémiques et des lettres muettes dans l’orthographe s’appuient peu sur la morphologie.

A

Faux

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11
Q

Un enfant de 6 ans dit : « Mon chien a été très gentil. À la maison, je lui donnerai une méritation ». Sur quoi s’est-il appuyé pour créer ce mot?

A

Ses connaissances en morphologie dérivationnelles

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12
Q

Quelle est la description de la fluidité en lecture?

A

La fluidité en lecture est l’habileté à lire un texte approprié au niveau scolaire avec justesse, sans effort et avec une expression et une intonation appropriées.

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13
Q

Vrai ou faux :

​Le vocabulaire des enfants à l’oral, qui permet de comprendre le sens des mots qu’ils ont décodés, décritla relation entre le vocabulaire à l’oral et leurs capacités de décodage en lecture,

A

Vrai

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14
Q

Des élèves de 3e cycle ont à lire le paragraphe suivant :

Le loup s’arrêta au bord de la crête, reniflant avec espoir. La lune jetait une lueur sur le paysage enneigé, rendant les arbres et les rochers argentés. Quelque chose bruissait dans les broussailles. Soudainement, le loup vola jusqu’au bas de la crête, comme une flèche se dirigeant droit vers sa cible.

Quelle est l’habileté la moins sollicitée dans cet extrait:

A

La moins est SYNTAXIQUE ( car les habiletés lexicale, sémantique et inférencielle sont beauoup sollicitées)

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15
Q

Lorsqu’un enfant écrit un texte et qu’il fait différentes tentatives pour combiner plusieurs idées dans une même phrase, il s’agit d’un comportement associé à :

A

La conscience syntaxique

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16
Q

Lorsqu’un enfant répond à une question au sujet de l’intention de l’auteur à la suite de la lecture d’un texte, il s’agit d’un comportement associé à :

A

Conscience PRAGMATIQUE

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17
Q

La conscience syntaxique permet essentiellement à l’enfant de juger si une phrase entendue/produite est bien construite ou non.

A

FAUX

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18
Q

Pour comprendre un texte, l’élève doit pouvoir lier la majorité des pronoms au bon antécédent.

A

Vrai

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19
Q

Pour bien inférer, l’enfant doit mettre en relation l’ensemble des informations du texte avec ses connaissances antérieures.

A

Faux ( ensemble?)

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20
Q

La production de plusieurs types d’inférences se fait de façon automatique, sans effort conscient.

A

Vrai

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21
Q

Les élèves qui présentent de bonnes habiletés de décodage n’ont pas de difficulté à produire des inférences.

A

Faux

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22
Q

Les habiletés inférentielles sont, pour l’essentiel, entièrement développées chez l’enfant qui débute sa scolarisation.

A

Faux

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23
Q

Certaines inférences sont obligatoires à la compréhension du texte alors que d’autres ne sont pas essentielles.

A

Vrai

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24
Q

L’enrichissement du vocabulaire favorise le développement des habiletés inférentielles et l’habileté à produire des inférences contribue au développement du vocabulaire. La relation est bidirectionnelle.

A

Yep!!!

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25
Q

L’habileté de l’enfant à comprendre l’implicite a peu d’impacts sur la qualité de ses productions écrites.

A

Faux

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26
Q

La qualité du discours d’un enfant à l’oral et à l’écrit est lien avec

A
  • La quantité des informations données
  • La pertinence des informations sélectionnées
  • L’organisation des idées les unes par rapport aux autres
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27
Q

La qualité du discours produit par un enfant est constante peu importe son type.

A

Faux

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28
Q

Lorsque les habiletés langagières sont bien développées, la compréhension de lecture ne peut qu’être adéquate.

A

Faux

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29
Q

Les stratégies métacognitives permettent à l’élève de gérer sa compréhension de lecture en lui permettant de détecter et de réparer les bris de compréhension.

A

Vrai

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30
Q

Le «réflexe» de vérifier sa production écrite et de s’auto-corriger est en lien davantage avec:

A

Les fonctions exécutives

31
Q

La motivation de l’élève joue un rôle qui est davantage majeur en production écrite qu’en compréhension de textes.

A

Yep

32
Q

Quelle est la conscience exprimée par l’habileté à réfléchir au sujet de la composition phonologique et syllabique des mots, de même qu’à les manipuler?

A

La conscience phonologique

33
Q

Quelle est la conscience référant à la capacité des enfants de réfléchir consiciemment sur les plus ptites unités de sens, i.e. les morphèmes?

A

La conscience morphologique

34
Q

Nommer trois manipulations que permet la conscience morphologique

A
  • Reconnaître la présence d’un morphème en position finale ou initiale d’un mot
  • Juger un mot sur la base de ses caractéristiques morphologiques
  • Manipuler les éléments morphologiques du mot
35
Q

Les nuances grammaticales réfère à lamorphologie ____________.

A

Flexionnelle

36
Q

Comprendreles mots non familliers sur la base de leurs constituants morphologiues ( affixes/racines) réfère à la morphologie ______________.

A

Dérivationelle

37
Q

Quelleest la conscience morphologique la plus utilisé lors de la conjugaison des verbes en personne, temps et nombre.

A

Morphologie flexionelle

38
Q

Vrai ou faux : Un enfant qui présence de bonnes habiletés de conscience morpho peut conjuguer ou accorder correctement un pseudomots dans une phrase porteuse.

A

Oui, car il applique les flexions

39
Q

Quelles seraient des exemple de tâches en morphologie dérivationelle?

A
  • Rassemler des mots de mêmes racines
  • Manipuler les affixes ( rouler VS dérouler)
  • Nouveau mot : peinturier pour peintre
40
Q

La capacité à réfléchir sur la structure interne des mots est un puissant moteur pour le développement et l’élaboration du _____________.

A

Vocabulaire

41
Q

Quelle conscience est sollicité quand l’enfant doit extraire consciemment le sens de différentes structures syntaxiques non comprise et juger de la grammaticalité d’une P?

A

La conscience syntaxique ( connaissance des caractéristique des phrases et réflexion/manipulation sur les constituants)

42
Q

Vrai ou faux : La connaissance syntaxique est explicite tandis que la connaissance grammaticale est implicite.

A

Faux! La syntaxique est implicite et la grammaticale, explicite!

43
Q

Que permet la conscience syntaxique au lecteur/scripteut?

A
  • Synthétiser info d’un texte lu ou écrit
  • Réfléchir à l’utilisation et compréhension des marques de ponctuation
  • Analyser la classe lexcicale des motset leur rôle dans la P
  • Lever les ambiguités sémantico-syntaxique
44
Q

Quelles consicence réfère à l’habileté à reconnaître le langage en tant que code conventionnel et arbitraire, ainsi qu’à l’habileté à manipuler les mots/unités de sens sans que les référents en soi affectés?

A

La conscience sémantique ; bref, les mots sont distincts des habiletés représentées

45
Q

Quel tâche réfère à la conscience sémantique?

A
  • Juger un mot sur la base de ses caractéristiques sémantiques ( polysémie, antonymie, synonymie)
  • Devinettes
  • Évocation de mots aux caactéristiques cibles
  • Explication différence/similitude sur la base de caractéristiques sémantiques
  • Compréhension et utilisation de métaphore
46
Q

Quelle conscience décrit l’habileté à isoler un mot et à l’identifier en tant qu’élément faisant partie du lexique, ainsi que l’habileté à accéder intentionellement au lexique?

A

La conscience lexicale

47
Q

Quel tâche travaille la conscience lexicale?

A
  • Tâche de décision lexicale ( la forme sonore ou écrite est-elle un mot?)
48
Q

Les mots ____________ sont plus difficiles à être identifier comme des mots que les mots __________.

A

1) abstraits
2) concrers

49
Q

Vrai ou faux : La conscience lexicale permet de réfléchir sur les frontière d’un mots : l’arrosoir VS la rosoir

A

Vrau

50
Q

Quelle habileté est essentielle pour comprendre un mot écrit isolé pour lequel des homophones existent ou faire le choix de la bonne forme orthograpique de l’homophonone?

A

Conscience lexicale

51
Q

Vrai ou faux : La sélection du bon homophone ne repose que sur la conscience lexicale.

A

Faux, il y a aussi la consciencesémantique/syntaxique

52
Q

Quelle consience permet de comprendre le sens figuré et la flexibilité des mots dans des métaphores?

A

Conscience lexicale

53
Q

Vrai ou faux : La conscience lexicale développe les habiletés syntaxiques et discursives de l’enfant.

A

Vrai !

Syntaxique, car segmenter des phrases en motspermet à l’enfant de bien délimiter les mots dans un texte

Discursives : Marque de cohésion dans le texte et vocabulaire varié. Substituer un mot par un mot différent

54
Q

Quelle conscience décrit la réflexion à propos de l’utilisation du langage et représente/organise/régule l’expression orale?

A

Conscience pragmatique ( conscience qu’à l’individu des règles sociales du langage)

55
Q

Quelle conscience réfère à la réflexion et à la gestion des procédés linguistiques associés à la cohérence/cohésion/ respect de la grammaire du texte?

A

Conscience discursive

56
Q

Nommer des tâches propres à consicence discursive?

A
  • Identifier éléments de la SI- ÉD-Épisodes-SF…
  • En production de texte, organiser les éléments, marqueur de cohérence + cohésion
57
Q

Vrai ou faux : Créer un lien entre ses phrases est de la cohérence globale.

A

Faux ; locale

58
Q

Vrai ou faux : Mettre le texte en lien avec ses CA est de la cohérence globale

A

Vrai

59
Q

Vrai ou faux : L’écrit sollicite davantage les inférences

A

Oui, car moins contextualisé

60
Q

Quelle habiletés est nécessaire à la construction des représentations mentales?

A

Inférences

61
Q

Vrai ou faux : La compréhension des anaphores génèrent des inférences obligatoires.

A

Vrai

62
Q

Inférer le sentiment d’un personnage est une inférence obligatoire.

A

Faux, c’est une inférence facultative.

63
Q

Quels sont les 2 types de raisonnement requis pour faire une inférence?

A
  • Logique
  • Pragmatique
64
Q

Vrai ou faux : Les inférences logiques demeurent invariable, peu importe le contexte et se base sur des règles formelles d’induction/déduction, i.e. une possibilité.

Tous les enfants vieillissent. Samuel est un enfant ( il vieillit)

A

Vrai

65
Q

Les inférences pragmatiques dépendent des _____________connaissances antérieures du lecteur.

Elle a payé son plein d’essence et s’est dirigé chez sa soeur ( soit en auto ou moto)

A

Connaissances antérieures

66
Q

Quelles sont les2 directions prisent par les inférences?

A
  • Antérogrades
  • Rétrogrades
67
Q

Vrai ou faux : Les inférences rétrogrades utilisent des infos déjà tirées du texte pour faire un lien avec ce que le lecteur est en train de lire. Nature essentiellement associative ( lien entre un pronom et son référent)

A

Faux! Ces inférences associatives sont dites antérogrades

68
Q

Vrai ou faux : Les inférences rétrogrades sont davantage de nature prédictive et générer à partir des CA du lecteur ( inventer la fin d’une histoire)

A

Vrai

69
Q

Vrai ou faux : Les inférences contribuent à la construction des représentations mentales des infos contenues dans le texte, mais aussi à l’élaboration d’une représentation plus globale et situationelle du texte, en fonction de la mise en relation des idées transmises dans le texte avec les CA du lecteur.

A

Vrai

70
Q

Vrai ou faux : Les CA facillitent l’allocation sélective, réalisation d’inférences, recherche d’infos en mémoire, détection de l’incompréhension, capacité à résumer/reconstituer le contenu d’un texte.

A

Vrai

71
Q

Quelles sont les habiletés périphériques?

A

Facteurs d’ordre sensoriel et moteur

  • Traitement visuel
  • Traitement auditif
  • Geste moteur pour la calligraphie
72
Q

Quels sont les facteurs d’ordre cognitif?

A
  • FX E
  • Attention
  • Métacognition
  • Mémoire de travail
73
Q

Quels sont les 2 aspects lié à la réflexion que le lecteur porte sur son niveau de compréhension?

A
  • Détection de l’incompréhension ( manque de concordance entre ses schèmes personnels et le contenu du texte)
  • Gestion des stratégies de la compréhension