Physio respiratoire 2 Flashcards
Inspiration : état du volume de la cage thoracique, des poumons et de la pression des poumons
Comment bougent les éléments de la cage thoracique?
Inspiration = contraction des muscles de la respiration
Hausse volume de la cage thoracique –> hausse du volume des poumons –> baisse de la pression alvéoles sous Patm : entrée d’air dans les poumons
On peut donc dire que l’inspiration agit selon…
un gradient de pression (différence de P entre alvéoles et atm permet entrée ou non d’air)
Muscles impliqués dans l’inspiration normale (pas forcée)
- Muscles intercostaux et élévateurs des côtes : se contractent et lèvent côtes vers le haut
- Diaphragme : se contracte et s’abbaisse
V ou F
Inspiration et expiration normale sont des processus actifs
Faux
Inspiration = actif Expiration = passif
Quel est le muscle PRINCIPAL de l’inspiration?
Le diaphragme : muscle plat
V ou F
Le diaphragme s’étend entre le thorax et l’abdomen, et est un muscle rayonné à 4 faisceaux
Faux
Il ne possède que 3 faisceaux
3 faisceaux du diaphragme
- F. costal : fibres originent des 7-12e côtes
- F. vertébral : fibres originent des vertèbres lombaires
- F. sternal : fibres originent de l’apophyse xyphoïde
Le diaphragme laisse passer 3 tuyaux par ses hiatus : lesquels?
Aorte
Veine cave inférieure
Oesophage
La contraction du diaphragme permet agrandissement de 3 diamètres du thorax : lesquels?
Diamètre vertical
Diamètre latéral
Diamètre antéro-postérieur
V ou F
Les muscles intercostaux internes participent à l’inspiration
Faux
Ce sont les externes qui font inspiration!
Rôle des intercostaux externes et comment sont-ils innervés?
Ils permettent d’augmenter le diamètre antéro-postérieur et latéral du thorax
Ils sont innervés par les nerfs intercostaux thoraciques : de T1 à T11
Inspiration forcée : quels muscles sont impliqués? Leur rôle? Et où sont-ils?
Encore intercostaux externes et diaphragme, mais s’ajoutent…
- scalène : élévation des 2 1ères côtes
- sterno-cleïdo-mastoïdien : élévation du sternum
ensembles, ces 2 muscle élèvent la partie supérieure de la cage thoracique
Ces muscles sont des muscles du cou
Origine et insertion des SCM et scalènes
SCM
origine : ligne occipitale mastoïdien
insertion : sternum et partie médiane de la clavicule
Scalène
ANT
origine : C3-C6
insertion : 1ère côte
MOY
origine : C2-C7
insertion : derrière scalène ant 1ère côte
POST
origine : C4-C6
insertion : 2ème côte
Expiration : mouvements des côtes et du diaphragme
Les côtes sont reculées et repoussées vers le bas, par le relâchement des muscles intercostaux externes
Le diaphragme est relâché et repoussé vers le haut
Processus passif, de relaxation des muscles
Expiration forcée : quels muscles sont utilisés?
Relâchement du diaphragme et intercostaux externes n’est pas suffisant, nécessite contraction des muscles pour augmenter force expiration (pour l’exercice, la toux…)
- Muscles abdominaux
- Muscles intercostaux internes
Innervation et fonctionnement des muscles accessoires de l’expiration
Muscles abdominaux (grand droit, obliques internes et externes, transverse) Innervation nerfs de T7 à L2 Hausse de la pression intra-abdominale, ce qui pousse sur le diaphragme et hausse la pression intra-thoracique en diminuant le diamètre vertical
Muscles intercostaux internes
Innervation de T1 à T11
Diminuent le diamètre antéro-postérieur et latéral du thorax
Courants gazeux s’établissent à partir de zone de ___ vers zone de ____
Haute pression vers basse pression
V ou F
La pression d’un gaz dans un contenant (poumons) est proportionnel au volume du contenant
Faux
Plus le volume est grand, plus la pression est petite, et plus le volume est petit, plus la pression est grande
Observable par la formule PxV = constante
Le volume et la pression sont inversement proportionnels
Quelles sont les 2 composantes de l’appareil inspiratoire, qui permettent la respiration?
- Poumons : permettent les échanges gazeux
- Cage thoracique (vertèbres/côtes) –> os + muscles, permettent de créer des différences de pression entre les poumons et l’atmosphère, afin de servir de pompe pour permettre entrée ou sortie air
Le diaphragme permet de séparer le thorax de l’abdomen, et de faire varier la pression thoracique
V ou F
Le volume pulmonaire est plus petit que le volume thoracique, en raison de l’espace pleural : espace d’air entre plèvre pariétale et viscérale
Faux
Vthorax = Vpoumons, car l’espace pleural est virtuel
Contient juste mince couche de liquide (10-20µm) qui sert de lubrifiant
V ou F
- Au repos : Ppulmonaire = Patm
- Inspiration : Ppulmonaire > Patm
- Expiration : Ppulmonaire < Patm
- Vrai
- faux
- faux
inspiration : Ppulmonaire est plus basse que Patm, pour favoriser entrée d’air de milieu haute P –> milieu basse P
expiration : Ppulmonaire est plus haute que Patm, pour encourager sortie air vers extérieur
Quel est le débit normal inspiré/expiré?
500ml/2s pour inspiration
500ml/2-3s pour expiration
Pourquoi ne peut-on pas inspirer à l’infini?
Parce que inspiration et expiration cessent quand Ppulmonaire=Patm : les gaz n’ont plus d’incitatifs à sortir/entrer, car le gradient de pression est nul
Qu’est-ce que la résistance statique des poumons?
Tendance des alvéoles à s’affaisser
La résistance statique des poumons dépend de 2 facteurs:
- Fibres élastiques du tissu pulmonaire
- Tension de surface du liquide qui recouvre les alvéoles : elle résulte de l’interface air-liquide à la surface des alvéoles
V ou F
- La tension de surface joue pour 50% du repliement élastique des poumons.
- Les alvéoles sont recouvertes de liquide
- Le surfactant est moins efficace à l’inspiration qu’à l’expiration
- Faux : Elle joue pour le 2/3-3/4
- Vrai!
- Vrai
Comment fonctionne la tension de surface? Comment est-elle contrée dans les poumons de façon générale?
Tension de surface résulte des molécules d’eau sur une surface qui veulent se rapprocher en faisant des liens H entre les molécules d’H2O : entraîne contraction de la surface sur laquelle les molécules se trouvent, et affaissement de la surface
Tension de surface par eau est contrée dans les poumons par le surfactant (à la surface des alvéoles) –> liquide avec phospholipides
Comment le surfactant réduit-il la tension de surface?
La tête hydrophile des phopsholipides se lie avec le liquide à la surface des alvéoles, et empêche les molécules d’eau de se lier entre elles, alors que la partie hydrophobe reste loin du liquide, dans l’air
L’interaction liquide-tête hydrophile réduit l’attraction des molécules d’eau entre elles, et augmente la surface des alvéoles, et diminue tension de surface de 2-10x
Comment est sécrété le surfactant?
Par les pneumocytes de type II des alvéoles, et est emmagasiné dans les corps d’inclusion lamellaires
V ou F
Le thorax et les poumons possède des forces opposées : centripètes et centrifuges
Vrai
Les poumons ont tendance à vouloir se replier vers l’intérieur, et réduire leur pression : force centripète/résistance statique
Le thorax à tendance à vouloir s’ouvrir vers l’inférieur : force centrifuge/propriétés élastiques du thorax
Comment sont créées les propriétés élastiques du thorax?
Par les muscles, les tendons et le tissu conjonctif du thorax qui le pousse à s’ouvrir
V ou F
La résistance statique des poumons est plus forte que les propriétés élastiques du thorax, et cela engendre une pression intra-pleurale positive
Faux! C’est l’inverse :
La force centrifuge thoracique est plus forte que la force centripète des poumons, ce qui crée une pression entre les 2 plèvres négative –> sous-atmosphérique
Comment peut être mesurée la pression intra-pleurale?
Par mesure de la pression oesophagienne intra-thoracique
Explication des pressions pulmonaires et intra-pleurales à l’inspiration et expiration
Fin de l’expiration : Les poumons et le thorax sont relachés, la Pcentripète alvéolaire compense presque la Pcentrifuge thoracique : Palvéolaire = 0 cm H2O, et Ppleurale = -5 cm H2O
Inspiration : force expansion du thorax dépasse bcp la force de contraction des poumons, car contraction des muscles inspiratoires : Palvéolaire = -1 cm H2O, et Ppleurale = -8 cm H2O
Compliance : mesure quoi et par quel rapport, et dépend de quels 2 facteurs?
Mesure l’expansibilité des poumons
Mesurée par le rapport de la différence de volumes/différence de pressions entre les alvéoles et l’extérieur
La compliance dépend de l’élasticité des structures, et de la tension superficielle des alvéoles
Comment les pressions de recul sur les poumons et le thorax fonctionnent-ils différement?
Thorax : sous 70% de la capacité pulmonaire totale, le thorax subit une pression de recul vers l’extérieur : il a tendance à vouloir s’expandre
À partir de 70%+ de de la CPT, le thorax est expandu au maximum, et sa pression de recul est exercée vers l’intérieur, car il est trop étiré
Poumons : sa pression de recul est toujours vers l’intérieur, peut importe la pression alvéolaire
À haut volume, la pression pulmonaire est donc positive, car les 2 composantes veulent revenir vers l’intérieur
À bas volume, la pression pulmonaire est négative, car les forces de recul vers l’extérieur du thorax sont plus fortes que les pressions de recul vers l’intérieur des poumons
Pneumothorax?
Insertion d’air entre la plèvre pariétale (paroi thoracique) et la plèvre viscérale (poumons)
Peut entraîner, si pneumothrax sous tension, un repliement/affaissement complet du poumon en raison de la autre pression d’air intra-pleurale, ce qui est une condition pathologique urgente
Quelle modification interne, autre que l’affaissement du poumon, permet de déceler un pneumothorax sous tension?
Médiastin dérivé du coté inverse au pneumothorax
Écoulement d’un fluide dans un tuyau dépend de…
- Pression rencontrée dans le tuyau (Palv-Patm)
- Résistance rencontrée dans le tuyau à laquelle se heurte l’air : due à une différence de pressions entre 2 points du tuyau
V ou F
La vitesse d’écoulement dans l’arbre bronchique augmente plus l’air chemine vers les alvéoles
Faux
Plus l’air avance dans l’arbre, plus il est ralentit. La vitesse est proportionnelle au gradient de pression entre alvéoles et atm, mais inversement proportionnel à la résistance rencontrée dans les bronches
Différentes vitesses d’écoulement de l’air dans les parties de l’arbre bronchique
- Trachée : écoulement TURBULENT à 200cm/sec
- Arbre bronchique : écoulement transitionnel, ralentit
- Bronchiole terminales : écoulement laminaire, 0,4mm/sec, très lent p/r à la vitesse dans la trachée
Quelle composante des voies aériennes peut modifier la résistance, et de quelle façon?
Comment le contrôle de cette fonction se fait-il?
Le muscle lisse des parois peut entrainer une bronchodilatation/bronchoconstriction, ce qui peut faire varier la résistance dans les tuyaux (hausse/baisse du rayon de la voie)
Le muscle lisse est modulé par le sn sympathique et parasympathique, et peut être influencé aussi par des hormones et autres substances –> CONTRÔLE NEUROHORMONAL
Sn sympathique : voie de modulation de la bronchomotricité
- Origine neurones pré-ganglionnaires
- État des 2 types axones
- Origine neurones post-ganglionnaires
- Actions/rôles
- Origine dans moelle thoraco-lombaire
- Axones préganglionnaires courts, et postganglionnaires longs
- Origine dans les ganglions pré-/para-vertébraux, à proximité de la moelle
- a. Tachycardie
b. Tachypnée
c. vasoconstriction des viscères
d. vasodilatation coronarienne et des mx squelettiques
e. Bronchodilatation
Sn parasympathique : voie de modulation de la bronchomotricité
- Origine neurones pré-ganglionnaires
- État des 2 types axones
- Origine neurones post-ganglionnaires
- Actions/rôles
- Tronc cérébral et sacré
- Prégangli longs, postgangli courts
- Dans les ganglions à proximité ou directement dans les organes viscéraux
- Baisse consommation énergie par le métabolisme
Maintien des activités corporelles de base (élimination des déchets, digestion)
Hausse de la sécrétion glandulaire
Baisse de la fréquence cardiaque
Bronchoconstriction
Hausse de la motilité intestinale
7 rôles physiologiques respiratoires
- Réchauffement
- Conduction
- Humidification
- broncho-motricité
- épuration
- immunité
- sécrétion
Composantes de la paroi des bronches (anatomie bronchique)
- Épithélium pseudo-stratifié cilié, avec mucus (permettent de ramener les particules inhalées vers les bronches supérieures) + cellules caliciformes
- Vaisseaux sanguins : communication avec les cellules immonucompétentes, et permettent échanges entre muqueuse et surface des voies aériennes
- Muscle lisse : disparaît au niveau des bronchioles terminales : zone de transition
- Glandes sous-muqueuses séreuses et muqueuses + cellules immunocompétentes (ilôt lymphoïdes)
Quelles sont les 3 composantes qui influencent la résistance dans un tuyau?
Loi de Poiseuille
Viscosité de la substance circulante
Rayon du tuyau
Longueur du tuyau
Asthme : que ce passe-t-il et ça cause quoi?
Contraction des bronches par le muscle lisse (réduit le volume), hausse de l’inflammation des parois et hausse des sécrétions circulantes : hausse de la résistance
Cause difficulté à respirer, toux, sécrétions, essoufflement, respiration sifflante, etc
v ou F
De façon générale, le tonus sympathique (relaché) des poumons domine
Faux
En temps normale, il y a une petite bronchoconstriction induite par le parasympathique qui domine
Dans les poumons, le sna contrôle essentiellement 3 composantes :
- la bronchomotricité (bronchodilatation ou constriction des bronches)
- La sécrétion
- La vasomotricité (vasoconstriction-dilatation des vaisseaux sanguins des parois bronchiques)
Système nerveux parasympathique
- Fibres afférentes : types de récepteurs associés aux terminaisons nerveuses et type de terminaison nerveuse
- terminaisons amyélinisées
- Chimiorécepteurs : détectent signal chimique
- Mécanorécepteurs : détectent étirement pulmonaire et changement physiologique
- Thermorécepteurs : sensibles au froid
V ou F
Les fibres afférentes parasympathiques sont en contact avec les vaisseaux et les cellules élipthéliales, et sont dans le nerf crânien XI
Faux : nerf vague X est le nerf afférent parasympathique!
Mais vrai que les terminaisons nerveuses amyélinisées sont en contact avec les cellules épithéliales et les vaisseaux
Système nerveux parasympathique
- Fibres efférentes : neurone utilisé et synapses avec quel NT et récepteurs
Fibres efférentes dans le nerf vague X, dans sa composante motrice et sécrétoire
1er neurone synapse dans le ganglion dans le ganglion de la paroi bronchique, et libération ACH entre 1er et 2ème neurone
2ème neurone synapse avec mx lisse et libère ACH, qui se lie avec récepteurs muscariniques M2 et M3 du mx lisse bronchique
3 types de récepteurs muscariniques parasympathiques
M1 : dans le ganglion parasympathique dnas la paroi bronchique, entre le 1er neurone et le 2eme neurone, favorisent la neurotransmission
M2 : sur les terminaisons nerveuses pré-synaptiques, les muscles lisses bronchiques et les glandes sécrétoires bronchiques. Permettent de limiter la relaxation musculaire (donc favorisent bronchoconstriction) et inhibent le relargage du ACH
M3 : aussi présents au muscle lisse et aux glandes sécrétoires bronchiques, permettent la contraction musculaire lisse des bronches
Fibres efférentes sympathiques : lieu de départ des post-ganglionnaires et entrent dans le poumon comment? innervent quoi?
Post-ganglionnaires partent des ganglions sympathiques cervicaux et paravertébraux, entrent dans le hile et se rendent jusqu’aux muscles lisses
Innervent le muscle lisse et les glandes sécrétoires sous-muqueuses
V ou F
L’innervation des voies aérienne est faible et peu de fibres nerveuses atteingnent le muscle lisse
Vrai
Quel type de récepteur sympathique retrouve-t-on au niveau des myocytes?
B-adrénergique
Comment la voie sympathique peut-elle influencer la parasympathique?
La noradrénaline des neurones post-ganglionnaires sympathiques peut moduler la transmission cholinergique (ACH) au niveau des ganglions parasympathiques : inhiber la production de ACH par les ganglions parasympathiques
V ou F
Les récepteurs adrénergiques ne sont que stimulés par la noradrénaline des neurones post-ganglionnaires sympathiques
Faux
Adrénaline de la surrénale peu agir sur les récepteurs et entraîner dilatation des voies aériennes
Quelle est la particularité des nerfs post-ganglionnaires sympathiques?
Ils n’ont pas de terminaisons nerveuses directement en contact avec les muscles lisses (comme parasymp) mais les mx possèdent des récepteurs adrénergiques réceptifs à l’adrénaline/noadré relâchée par les neurones sympathiques –> induit une relaxation musculaire
V ou F
Un stress physiologique entraîne le relargage de NT noradrénaline qui permet une bronchodilatation
Vrai
RECAP : 2 modes d’action de sympathique
- Inhibent contraction musculaire
2. Bloquent sécrétion de ACH parasympathique
Système NANC : explication
non adrénergique non colinergique
Système de 2 rameaux afférents et efférents, différenciés du système parasympathique
2 contingents : 1 inhibiteur et 1 excitateur de la contraction musculaire bronchique
Activé physiologiquement à l’état de base pour bloquer l’action du parasympathique
V ou F
Le NANC est bloqué par les bloqueurs du sympathique/bloqueurs adrnergiques
Faux
Il n’est pas bloqué par les bloqueurs adrénergiques ni cholinergiques
NANC excitatrice : fonctionnement
NANCe active le parasympathqiue pour permettre la bronchoconstriction : via neuromédiateurs…
- substance P
- tackykinines (neurokines A,B,P,Y)
- CGRP
les neuropeptides sont inhibés par entérokinase neutre
NANC inhibiteur : fonctionnement
NANCi inhibe le parasympathique pour permettre bronchodilatation via …
- VIP
- PHI
- PHM
- NO
V ou F
Les neuromédiateurs du NANCi sont de longue durée, donc longue action bronchodilatatrice
Faux
Ils sont métabolisés rapidement, alors très courte action
Hyperventilation (stimulation de la respiration) est médiée par 3 composantes
- Récepteurs : recueillent information (stimuli) et l’achemine auc centres respiratoires
- Centres respiratoires : intégration de l’information et envoie des commandes effectrices vers les muscles repiratoires
- Muscles respiratoires : permettent la respiration/mouvements
Stimulis qui entraînent leur détection par récepteurs centraux
baisse pH, hausse H+, hausse CO2
V ou F
Les chémorécepteurs sont très sensibles à l’hypoventilation : hausse du CO2 produit et emmagasiné dans les tissus car baisse de respiration
Vrai
Déclenche rapidement réflexe respiratoire pour bloquer ceci
Il existe des chémorécepteurs ___ et ____, qui permettent contrôle ____ de la respiration, et autres récepteurs qui permettent le contrôle via____
centraux et périphériques
chimique
neurones afférents
V ou F
L’hypothalamus et le cervelet on des effets sur le contrôle chimique de la respiration (peur, rage)
Faux
Ce sont l’hypothalamus et le système limbique, le cervelet n’a pas d’impact
Chémorécepteurs centraux : description
Dans le cerveau, à proximité des centres de la resp, mais en sont distincts
Ils sont entourés de liquide extra-cellulaire, et permettent 75% de la réponse repiratoire au PCO2
Ils stimulent la respiration si la PCO2 augmente, ou si le pH baisse
Chémorécepteurs périphériques : description
Dans la carotide et l’aorte
Les récepteurs carotidiens : fibres dans nc IX
Récepteurs aortiques : fibres dans nc X
ils sont exposés au sang artériel
Corpuscules carotidiens : fonctionnement
Ils sont alertés par baisse de PO2
Ils ne sont pas affectés par intoxication au CO ou anémie, car la PO2 reste intacte
Corpuscules aortiques : fonctionnement
Alertés par hausse CO2 et baisse pH
Constistuent 25% de la stimulation de la respratio par détection de CO2, complètent le travail des chémo centraux
Autre type de récepteurs : récepteurs pulmonaires
Fibres voyagent vers centres respiratoires via nerf vague X
3 sortes de récepteurs pulmonaires
1. Dans le mx lisse : stimulés par étirement muscle, engendre expiration et inhibent inspiration
- Dans les cellules épithéliales, stimulés par irritant et provoque la toux (poussière, fumée, froid, sécrétions bronchiques)
- Récepteurs J : dans l’espace entre la paroi alvéolaire et la paroi capillaire ; produisent ventilation rapide superficielle : à l’origine de la sensation de dypsnée dans insuffisance cardiaque
Autre type de récepteurs : récepteurs extra-pulmonaires
Dans le nez, nasopharynx, larynx, trachée
Responsables de la toux et éternuement pour enlever corps étranger des voies respiratoires
Responsables du spasme laryngé
Mécanorécepteurs :où et rôle?
Dans les tendons, articulations et fuseau neuro-musculaire
Détectent la position des muscles intercostaux et autres mx resiration, et permettent leur mouvement pour hyperventilation et ralentissement pour fin de hyperventilation
3 centres de la respiration et rôles
- Centre bulbaire : influence des phases inspiratoires (région dorsale) et expiratoires (région ventrale)
- Centre apneustique (2/3 inf protubérance) : favorise inspiration
- Centre pneumotaxique (partie haute protubérance) : inhibe inspiration
pneumo. et apneu. coordonnent les transitions entre inp et exp
Contrôle volontaire de la respiration
Par le cortex : peut augmenter ou diminuer la ventilation, et modifier action des muscles respiratoires
Prend rarement le dessus, normalement la respiration est inconsciente
Dirige la parole, chanter, crier, siffler, jouer instrument, et hausse pression intra-abdominale pour pipi et caca
Influence aussi hausse/baisse subite ventilation durant début/fin exercice
Centres de la respiration permettent de modifier ___ et ____ de la respiration en agissant sur les muscles respiratoires
Mx reçoivent des informations ___ et ___ pour se dilater ou contracter
rythme et amplitude
nerveuses centrales et humorales
Voie complète de stimulation de la respiration en commencant par hausse PCO2, baisse pH et baisse O2
Stimulation chémorécepteurs centraux, aortiques et/ou carotidiens
Affluences par les nerfs crâniens IX et X vers centres respiratoires
Centre respiaratoire apneutique : intégration information
Efférences dans les voies motrices nerveuses
Action sur les muscles de la respiration
Hausse rythme et amplitude respiration
Retour des valeurs de PO2, PCO2 et pH à la normale
V ou F
Exercice augmente brutalement la ventilation au début, puis augmentation progressive
Même chose pour la fin de l’exercice, baisse brutale ventilation, puis progressive
Vrai
Pas clair pourquoi telle hausse, car PO2 et PCO2 et pH sont ____ dans le sang ____
Il se peut que cette hausse de la ventilation soit causée par ___, ou par une détection des ___ par les ____
___ peut aussi anticiper le début ou l’arrêt de l’exercice, et modifier ventilation
relativement constants
artériel
une hausse de la température
mouvements des muscles des membres
mécanorécepteurs
cortex cérébral
Les seuils respiratoires SV1 et SV2
SV1 : seuil de demande d’énergie atteint pour que l’énergie passe d’être générée de façon aérobie à un hybride aérobie-anaérobie
SV2 : seuil de demande d’énergie pour lequel l’énergie se met à être générée uniquement sous forme anaérobie
Hausse ventilation avec exercice
- repos : volume courant de 500ml x 12resp/min = 6L/min
- Exercice : hausse volume courant en empiêtrant sur volume de réserve inspiratoire et expiratoire : mais ne les comprend pas au complet : volume courant augment jusqu’à 50% de la capacité vitale
SV2 est atteint quand le volume courant ne peut plus augmenter - À ce moment, hausse de la fréquence respiratoire
Donc, sport améliore alvéoles fonctionnelles, et on repousse le seuil d’essoufflement
Apnée du sommeil
Arrêt respiration pendant 10secondes ou plus
Centrale ( <5%) : dépression centre respiratoire (syndrome mort subite nourrison)
Obstructive : relaxation des muscles squelettiques voies respiratoires, surtout oropharynx : pression négative dans les voies resp supérieures entraîne obstruction oropharynx à la respiration
Obstruction partielle : ronflement, vibration palais moi
Obstruction complète : apnée obstructive
Appareil correction:
CPAP
Pourquoi est-ce dérangeant?
Hausse PCO2 et baisse O2 stimule chémorécepteurs, entraîne réveil –> sommeil très perturbé
Qui est le plus affecté par apnée du sommeil
Hommes et obèses