Pathologies tumorales coliques Flashcards

1
Q

Les polypes sont fréquents. En effet, ils sont rencontrés chez ______% des individus lors
de la coloscopie de dépistage pour les 50 ans et plus.

A

Les polypes sont fréquents. En effet, ils sont rencontrés chez 25 à 33% des individus lors
de la coloscopie de dépistage pour les 50 ans et plus.

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2
Q

Qu’est qu’une morphologie

  • Pédiculée :
  • Sessile
A
  • Pédiculé : Au bout d’une tige.
  • Sessile : Sans tige, aplati sur la muqueuse.
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3
Q

Nommer les 5 morphologies possibles des polypes

Laquel est le plus fréquente et la plus imp à reconnaitre ?

Pk ?

A

Adénomateux

Hyperplasique

Festonné

Hamartomateux

Inflammatoire

Adénomateu = plus fréquent = excroissance dysplasique epithélium = risque malignité augmentant avce la taille du polype

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4
Q

3 sous types de polypes adénomateux, lequel ets le moins a risque de malignité

A

3 sous-types :

  • Tubuleux (80 % des cas)
  • Tubulo-villeux
  • Villeux

Les petits polypes avec éléments tubuleux seulement sont moins à risque.

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5
Q

Qu’est ce qu’un polype hyperplasique ?

Type de taille ?

ou le retrouve-t-on le plus fréquement ?

Signification clinique ?

A
  • Il s’agit d’une excroissance d’épithélium colique normal, De petite taille, souvent autour de 5 mm de diamètre

Plus souvent retrouvé au côlon distal, au rectum et au sigmoïde.

Sans potentiel malin et n’a aucune signification clinique.

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6
Q

Qu’est ce qu’un polype Festonné ?

Type de taille ?

ou le retrouve-t-on le plus fréquement ?

Signification clinique ?

A
  • C’est un polype hyperplasique typique, mais qui présente des
    changements dysplasiques ou adénomateux (polype mixte).
  • Il est souvent de plus grande taille que les polypes hyperplasiques typiques.
  • Plus souvent localisé au côlon droit.
  • Ils sont capables de transformation maligne, donc ils sont considérés
    comme adénomateux.
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7
Q

Qu’est ce qu’un polype Hamartomateux ?

Chez qui est il retrouvé le plus souvent ?

Particularité par rapport au nombre de polype du même genre ?

A

À l’histologie, il y a présence d’un stroma avec hyperabondance de lamina propria et de glandes kystiques.

  • Unique le plus souvent
  • Surtout retrouvé chez l’enfant ou dans certaines formes de polypose
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8
Q

Chez qui retrouve-t-on des pseudopolypes ?

Signification clinique ?

A

• Muqueuse normale ou inflammée qui prolifère dans les maladies inflammatoires intestinales (MII) (polype inflammatoire)

• Bénin

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9
Q

Présentation clinique ?

Sx plus souvent associé au colon gauche ?

Sx plus souvent associé au colon droite ?

A

Les polypes sont souvent asymptomatiques

Sx si : muqueuse est friable ou ulcérée, comme
c’est plus souvent le cas avec un polype de grande taille (plus de 1 cm)

Des rectorragies, surtout si le polype est au côlon gauche.

Une anémie par spoliation chronique, plus souvent si le polype est au côlon droit.

Pas forcément de sang dans les selles dans ce cas, mais possible

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10
Q

Examn dx des polypes

A

La coloscopie est l’examen diagnostique approprié.

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11
Q

Traitement et prise en charge des polypes (3 points)

A

Polypectomie vs risque malin durant la coloscopie

=> analyse histologique

Coloscopie de controle par la suite, fréquence selon résultats de la coloscopie, de la pathologie des tissus réséqués et par les antécédents personnels ou familiaux.

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12
Q

Nommer la polypose la plus fréquente

A

Polypose familiale génétique (ou FAP pour familial adenomatous polyposis)

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13
Q

Fréquence de la FAP :

ratio H/F :

Gene en cause :

Moment de dev des polypes :

Risque de cancer associé :

A

Fréquence de la FAP : 1 personne sur 5000

ratio H/F : 1/1

Gene en cause : La mutation du gène APC (adenomatosis polyposis of the colon), située sur le chromosome 5

Moment de dev des polypes : développement de plus de 100 adénomes coliques, aussi tôt que dans l’enfance.

Risque de cancer colique associé : 100 % avant l’âge de 40 ans si aucun traitement ou suivi n’est entrepris.

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14
Q

Définir :

  • Sdx de Gardner
  • Sdx de Turcotte

Qu’elle type de cellules/cancers associés ?

A

- Syndrome de Gardner
• Polypose familiale adénomateuse accompagnée de tumeurs desmoïdes et ostéomes
• La conduite est de procéder à une colectomie et à de multiples résections
tumorales desmoïdes lorsqu’elles sont symptomatiques.

- Syndrome de Turcot
• Polypose familiale adénomateuse accompagnée de _tumeurs du système
nerveux centra_l (glioblastomes, médulloblastomes)

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15
Q

Méthode dx des polyposes familiales

Suivi éffectué

A
  • Gastroduodénoscopie (OGD), car il y a un risque de néoplasie gastro-duodénale
    associée.
  • Sigmoïdoscopie (ou coloscopie courte)
  • • Chez les patients ayant une histoire familiale positive, on effectuera une
  • surveillance par sigmoïdoscopie chaque année dès l’âge de 10 à 12 ans.
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16
Q

Traitement des polyposes familiales

A

- Proctocolectomie prophylactique au moment du diagnostic (lorsque la
sigmoïdoscopie confirme l’apparition de polypes) :

possibilité d’iléostomie permanente,

d’anastomose iléoanale avec création d’un réservoir ou « poche »
iléale

ou d’anastomose iléorectale après discussion avec le chirurgien et le patient.

Counseling familial avec un médecin généticien obligatoire.

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17
Q

Qu’est ce que la polypose de Peutz-Jeghers ?

Site atteint ?

Nommer 1 S/S particulié distinctif ?

Gene en cause ?

Risque néoplasique ?

Cancers associés ?

A

Polypose est caractérisée par des polypes de type hamartomateux

Situés surtout au niveau du grêle

Taches brunâtres au niveau de la muqueuse buccale

STK11/LKB1, situé sur le chromosome 19

Risque accru de néoplasie (90 % à 40-50 ans)

Le diagnostic est habituellement posé entre 20 et 40 ans.

  • *D’autres cancers y sont également associés :**
  • Estomac ou pancréas (40 %)
  • Sein (50 %)
  • Ovaires (10-20 %)
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18
Q

Lien entre les harmatomes et les néo coliques en polypose de Peutz-Jeghers

A

Pas de lien ent ant que tel

les néoplasies coliques sont indépendantes des hamartomes qui se développent surtout au niveau du grêle.

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19
Q

Qu,est ce que la Polypose familiale juvénile

A

Cette polypose est rare. Elle entraîne des polypes hamartomateux au niveau du côlon.
Malgré le caractère hamartomateux (bénin) des polypes, il y a une i_ncidence accrue de
néoplasie chez ces patients._

+ colon vs grêle dans peutz-jheger

20
Q

Qu,est ce que la Polypose hyperplasique

A

Cette polypose est assez nouvellement connue.

Elle implique la présence de polypes festonnés multiples (5 et plus), de grande taille (plus de 1 cm) et localisés entre autres au côlon proximal

21
Q

Qu’elle est la plus fréquente des diverses anomalies génétiques liées au cancer du côlon.

A

HNPCC (hereditary non-polyposis colon cancer) ou syndrome de Lynch

22
Q

Définir le sdx de Lynch

genes touchés

A

Ce n’est pas à proprement parler une polypose, car ce syndrome n’entraîne pas la formation de multiples polypes

Les gènes en cause (MLH-1, MSH-2, MSH-6, PMS2 et EPCAM) sont des gènes normalement impliqués dans le processus de réparation des anomalies génétiques.

s’il y a formation d’un polype, la transformation de celuici en cancer sera potentiellement accélérée puisque la réparation des anomalies ne pourra
pas être faite adéquatement.

23
Q

Différence entre sdx de Lynch 1 et 2

A

Lynch 1 : e_ntraîne exclusivement_ un risque accru de néoplasie au côlon et au rectum.

Lynch 2 : entraîne aussi un risque accru de néoplasie touchant d’autres organes (estomac, intestin grêle, utérus (endomètre), ovaires, voies urinaires, seins, pancréas, foie et voies biliaires).

24
Q

Criteres dx du Sdx de Lynch (3)

A
  • 1 cancer colorectal ou de l’endomètre (utérus) chez un individu avant 50 ans
  • Des cancers colorectaux ou « Lynch » sur 2 générations successives
  • 3 membres d’une même famille atteints d’un cancer colorectal ou « Lynch » et l’un
    de ces patients doit être parent du premier
    degré de 2 autres
25
Q

Suivi du Sdx de lynch (3 choses)

A

Une coloscopie à tous les deux à trois ans à partir de l’âge de 20-25 ans (ou à l’« âge
de moins 5 ans » du premier diagnostic de cancer dans la famille).

  • Une OGD chaque 3 à 5 ans ainsi qu’une recherche du Helicobacter pylori lors de
    la première OGD.
  • Une surveillance de l’endomètre, des ovaires, des voies urinaires et de la peau en
    raison du risque de néoplasie associé au Lynch.
26
Q

Polypose familiale associée au gène MUTYH

A

Il s’agit d’une polypose à transmission autosomique récessive. Elle entraîne la formation
de multiples adénomes au niveau colorectal et augmente aussi le risque de cancer
colorectal

27
Q

Adénocarcinome colique :

  • Fréquence :
  • FR non modifiables :
A
  • Fréquence : très fréquent. Il touchera jusqu’à 5 % de la population.
  • FR non modifiables :
    • Sa fréquence augmente avec l’âge.
    • Il touche davantage les hommes que les femmes.
    • Il touche davantage les Noirs que les Blancs.
    • Il est plus prévalant chez les patients atteints d’acromégalie, de maladie inflammatoire de l’intestin (maladie colique), de diabète ou de syndrome métabolique.
28
Q

FR épidémiologiques modifiables adénocarci colique

A
  • Obésité et syndrome métabolique
  • Tabagisme
  • Alcool
  • Viandes rouges ou cuites au barbecue, charcuteries
29
Q

Facteurs protecteurs adenocarci colique

A
  • Activité physique régulière
  • Diète riche en fibres
  • Apport suffisant en calcium
30
Q

Voir facteurs prédisposants adenocarci notes cours

A

.

31
Q

Les adenocarci coliques sont ils sporadiques ou familial/génétique ?

A

Grande majorité sporadique !!!

  • 80 % des cas de cancer sont sporadiques.
  • 20 % des cas de cancer ont une histoire familiale positive.
    o 5 % ont une polypose familiale (PAF, PAFA, HNPCC, MUYTH)
    o 15 % ont des facteurs génétiques inconnus.

On sait cependant que le risque de cancer est doublé s’il y a eu un cancer ou un polype chez un parent de premier degré.

32
Q

V/F néo maligne, toutes les parties du côlon peuvent être touchées

A

vrAI

  • Côlon droit : 30 %
  • Transverse : 15 %
  • Côlon descendant : 5 %
  • Sigmoïde : 25 %
  • Rectum : 20 %
33
Q

Associer la présentation clinique à la localisation du cancer colique :

Côlon proximal

A

Côlon proximal

• Saignement, souvent occulte : dans le cas d’un saignement occulte, la
recherche de sang occulte dans les selles (RSOSi) pourra être positive.

  • Anémie ferriprive
  • Masse abdominale (si avancé)
34
Q

Associer la présentation clinique à la localisation du cancer colique :

colon distal

A

Saignements ou rectorragies
Changement du calibre des selles
• Changement dans la fréquence des selles, diarrhée ou constipation
• Mucus dans les selles
• Douleur abdominale
• Occlusion intestinale (si la lumière colique est très diminuée)
• Masse abdominale (si avancé ou si fécalome dû à l’obstruction)

35
Q

Bilan d,extension si néo colique détectée

quand faire un I_RM pelvienne/rectale_

A
  • TDM thoraco-abdomino-pelvien avec contraste
  • Dosage CEA, à des fins de suivi
  • I_RM pelvienne/rectale si néoplasie du rectum_, parfois échoendoscopie rectale
  • Scintigraphie osseuse et/ou TEP-scan au besoin (si des métastases sont suspectées
    et si on désire plus de précision)
36
Q

Pour les cancers coliques, Définir le

T:

N:

M:

Ou les métastases sont-elles le pnus souvent retrouvées ?

A

T : envahissement de la tumeur selon couches histo muqueuse, sous-muqueuse, musculeuse, séreuse ou organes à proximité

N : envahissement lymphatique/ganglions (nodule) => Dépend du nombre de ganglions atteints

M : envahissement veineux (métastase)

Souvent d’abord hépatiques et pulmonaires

ou
Possibilité de métastases pulmonaires seules si cancer du rectum en raison
de son territoire de drainage veineux

37
Q

Qu’est ce qui détermine stade 3 et le stade 4 au TNM

A

Stade 3 => ganglion atteint

Stade 4 =>métastase

38
Q

Tx des néos :

Chx :

Chimio selon le stade (1-4):

Radiotx :

Résection (dans quelle situation ?):

A
  • Chirurgie
  • • Si in situ : par polypectomie (*si respect de certains critères)
  • • Sinon : exérèse chirurgicale segmentaire incluant les territoires de drainage
  • lymphatique/ganglions
  • Chimiothérapie
  • • Stade 1 : non requise
  • • Stade 2 : discutable
  • • Stade 3 : avantages nets à l’utiliser dans l’arsenal thérapeutique
  • • Stade 4 : à visée palliative
  • Radiothérapie/chimiothérapie
  • • Préopératoire pour le cancer rectal
  • Résection parfois possible pour métastases hépatiques (cas sélectionnés)
39
Q

Quand débuter le depistage de cancer coliques ?

A
  • À partir de 50 ans dans la population générale.
  • À 40 ans ou 10 avant l’âge d’apparition du cancer colorectal chez le proche atteint
    s’il y a présence d’antécédents familiaux (celui des deux qui est le plus tôt).
40
Q

Il y a plusieurs options quant à la modalité de dépistage qui sera employée. Le choix de
celle-ci dépend des facteurs de risque du patient ainsi que de la présence ou non de
symptômes.

Nommer les 4 options

A

Coloscopie optique

Coloscopie virtuelle (par tomodensitométrie)

Recherche de sang occulte dans les selles (RSOSi)

Lavement baryté

41
Q

Utilité de la coloscopie en dépistage

Chez qui est ce indiqué ?

Avantage vs inconvénient

A

l’examen de choix pour le dépistage

Permet de poser un diagnostic définitif et de procéder à la résection des polypes

Doit être proposée aux patients avec :

  • Avec antécédents familiaux ou personnels de polypes ou de cancer colorectal
  • Patients présentant des symptômes suggestifs (exemple : rectorragies,
    anémie ferriprive, etc.)
  • certaines pathologies conférant un risque plus élevé
    (polypose, maladie inflammatoire intestinale).
  • Avantages
  • • Excellente sensibilité
  • • Permet de réséquer les polypes
  • Désavantages (peu nombreux)
  • • Coûteux
  • • Liste d’attente
  • • Saignement post-polypectomie : 1-3 %
  • • Risque de perforation : 1/1000
42
Q

Coloscopie virtuelle :

Chez qui est elle indiquée ?

Désavantages ?

Quoi faire si le dépistage est positif ? Si négatif ?

A

bon examen pour les patients avec un risque normal, c’està- dire sans antécédents familiaux ou personnels et sans symptômes

Sensibilité est bonne, mais moins que la coloscopie optique.

Désavantage de s’accompagner d’irradiation (TDM).

Si le dépistage est négatif, l’examen sera à refaire dans 5 ans.

S’il est positif, il faudra effectuer une coloscopie optique afin de poursuivre
l’investigation et procéder à la résection des polypes objectivés à la coloscopie virtuelle

43
Q

Recherche de sang occulte dans les selles (RSOSi)

Utilité

Avantage

Inconvénient

Quoi faire +

Quoi faire si -

A

aux patients à risque normal de polype ou de cancer.

il a l’avantage de ne pas nécessiter de préparation laxative, de ne pas causer
d’inconfort et d’être facilement utilisable à large échelle dans un contexte de dépistage
populationnel

moins sensible que la coloscopie ou la coloscopie virtuelle

Si le dépistage est négatif, l’examen sera à refaire dans 1 à 2 ans.

S’il est positif, il faut effectuer une coloscopie afin de poursuivre l’investigation.

44
Q

se positionner sur le Lavement baryté pour despistage cancer néo

A

Il s’agit d’un examen peu utilisé de nos jours.

Tout comme la coloscopie et la coloscopie virtuelle, cet examen nécessite une préparation laxative et entraîne un certain inconfort

a le désavantage de causer de
l’irradiation (mais moins que la coloscopie virtuelle).

De nos jours, puisque la coloscopie
virtuelle est largement disponible, le lavement baryte est peu utilisé.

45
Q
A