🏜 OPEX / OPINT Flashcards

1
Q

BARKHANE

A

4500 militaires déployés au Sahel.

Combat contre les groupes djhadistes.

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2
Q

BARKHANE :

Qui qualifie l’opĂ©ration BKN d’impuissante et pourquoi ?

A

Ambassadeur Nicolas NORMAND

â–ș Parce que la neutralisation des groupes terroristes n’est pas suivie d’une occupation du territoire libĂ©rĂ© par les reprĂ©sentants de l’Etat malien.

â–ș Il n’y a pas de quadrillage rĂ©galien mais la crĂ©ation d’un vide rĂ©cupĂ©rĂ© par les djihadistes.

â–ș Parce qu’il y a une susceptibilitĂ© locale aprĂšs 6 ans de prĂ©sence de l’armĂ©e FR. Elle devient de plus en plus perçue comme une force Ă©trangĂšre d’occupation.

â–ș Parce que Serval puis Barkhane ont des alliances dangereuses : ne connaissant pas bien le TRN, elles s’appuient parfois sur des groupes armĂ©s locaux :

  • sĂ©paratistes du MNLA (Mouvement national de libĂ©ration de l’Azawad) pour Serval ;
  • Groupes tribaux mon ethniques pour BKN.

Cela crĂ©Ă© des risques d’instrumentalisation dans des conflits intercommunautaires.

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3
Q

Capacité de projection française

A

La France est le deuxiùme prestataire d’OPEX aprùs les Etats-Unis :

cette capacitĂ© de projection contribue Ă  lĂ©gitimer son siĂšge permanent au Conseil de SĂ©curitĂ© de l’ONU alors qu’elle pĂšse moins de 1% de la population mondiale.

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4
Q

CHAMMAL

A

2014

« L’opération Chammal, depuis 4 ans, réunit 1 200 militaires : soldats, marins et aviateurs, déployés sur différentes bases en Irak et dans des pays partenaires. La mission qu’ils mènent est au service de tous les Français. » Florence Parly, le 19 septembre (Twitter)

Aux côtés des 70 nations contribuant à l’opération Inherent Resolve, l’engagement de la France a porté ses fruits : Daech est aujourd’hui acculé sur 1% de ses conquêtes initiales.

L’opération Chammal s’articule autour de deux piliers :

 un pilier « appui » destiné à soutenir les troupes engagées au sol et à frapper les capacités militaires de l’organisation terroriste avec les moyens aériens français, basés en Jordanie, aux Emirats Arabes Unis ou depuis le porte-avions Charles de Gaulle, mais aussi avec les moyens artillerie de la Task Force Wagram ;

 Un pilier « formation » mis en Ɠuvre par deux détachements : la Task Force Wagram et la Task Force Monsabert.

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5
Q

eAP

A

Enhanced Air Presence

Mission otanienne de Police du ciel au profit des Ă©tats baltes.

Depuis 2004.

◘ La France :

  • y contribue de façon rĂ©guliĂšre dans le cadre de Baltic Air Policing (BAP).
  • est engagĂ©e dans l’eAP depuis avril 2018 avec 100 militaires de l’armĂ©e de l’air qui assurent des missions de surveillance, contrĂŽle et identification.
  • 4 avions de chasse Mirage 2000-5F ont Ă©tĂ© dĂ©ployĂ©s.
  • a rĂ©alisĂ© 23 dĂ©collages sur alerte (alpha scramble) ce qui aura permis d’identifier 29 aĂ©ronefs ne respectant pas les rĂšgles de circulation aĂ©rienne.
  • a pu pendant ce mandat participer Ă  diffĂ©rents exercices OTAN tels que
    • SIIL du 02 au 14 mai,
    • BALTOPS du 1er au 15 juin,
    • Ramstein Alloy 18-2 du 26 au 27 juin.
    • qui permettent d’amĂ©liorer l’interopĂ©rabilitĂ© du dĂ©tachement avec les partenaires de l’OTAN.
  • a transmis le 31/08/2018 le relai Ă  la Luftwaffe, l’armĂ©e de l’air allemande, et ses 4 Eurofighter Typhoon.

◘ RĂ©alisĂ©e traditionnellement depuis la Lituanie (base de Ć iauliai), a Ă©tĂ© complĂ©tĂ©e par l’adoption des mesures d’assurance lors du sommet du Pays de Galle (2014).

◘ Depuis cette date, les missions eAP sont rĂ©alisĂ©es depuis l’Estonie (Ämari) et la Pologne (Malbork).

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6
Q

Effectifs Barkhane et Chammal en 2018

A
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7
Q

eFP

A

Enhanced Forward Presence

Posture de présence avancée renforcée

Mission opĂ©rationnelle rĂ©alisĂ©e dans le cadre de l’OTAN

Estonie : avril => décembre 2017

Bascule en Lituanie : depuis décembre 2017

◘ DĂ©cidĂ©e par les chefs d’État et de gouvernement au sommet de Varsovie en 2016, l’eFP permet aux AlliĂ©s de dĂ©ployer, en nombre limitĂ©, des forces militaires dans les pays baltes et en Pologne (nations - hĂŽtes).

◘ Cet engagement non permanent vise Ă  renforcer encore la posture de dĂ©fense de l’Alliance par un dispositif dissuasif, Ă  caractĂšre purement dĂ©fensif, selon une planification validĂ©e collectivement.

◘ Dans ce cadre, la France engage en Lituanie en 2018 un dispositif articulĂ© autour de :

  • 300 militaires français
  • S-GTIA composĂ© de 4 chars Leclerc et de 13 VBCI.

◘ Cette mission Lynx est intĂ©grĂ©e au sein d’un bataillon commandĂ© par l’Allemagne.

◘ Les nombrexu exercices alliĂ©s menĂ©s depuis 2017 ont permis à l’OTAN de prononcer, le 19 juin 2017, la pleine capacité opérationnelle de l’ensemble des Battle Group déployés dans les pays Baltes.

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8
Q

Fast in / Fast out

Quelles en sont les conditions ?

A

Il s’agit de l’intervention Ă©clair reposant sur une victoire et un dĂ©sengagement rapides.

Fast in/fast out signifie essentiellement ĂȘtre capable de projeter un maximum de moyens, loin de la mĂ©tropole en un minimum de temps, puis de rĂ©aliser la mĂȘme opĂ©ration en sens inverse.

Si le modĂšle Fast in/Fast out est sĂ©duisant Ă  bien des Ă©gards, peu de nations dans le monde peuvent actuellement se le permettre. Mais surtout, le modĂšle peut aussi rapidement montrer ses limites: ne pas occuper le terrain suite Ă  un conflit, c’est organiser le chaos au profit d’autres forces de tous ordres (politique, militaire, civile) qui sauront l’occuper et donc produire un effet inverse Ă  celui recherchĂ©, crĂ©ant de nouvelles zones d’instabilitĂ© qui menaceraient l’ordre rĂ©gional.

Ce concept repose sur 4 conditions :

âžĄïžDisposer d’une force expĂ©ditionnaire trĂšs entraĂźnĂ©e et toujours disponible, capable de mener tout le spectre d’action possibles et d’assigner toutes les missions assignĂ©es en un minimum de temps. Ce raccourcissement du temps opĂ©ratif et tactique s’apparente au concept de “blitzkrieg”, guerre courte et brutale, dĂ©veloppĂ© en 1920 par la Wehrmacht.

âžĄïžObĂ©ir Ă  une volontĂ© politique inĂ©branlable, construite autour d’un calendrier prĂ©cis et d’objectifs clairs.

Exemple : l’opĂ©ration Harmattan fut une opĂ©ration «coup de poing» Ă  coĂ»t relativement maĂźtrisĂ© et Ă  l’image mĂ©diatique soignĂ©e. Harmattan reprĂ©sente peut-ĂȘtre l’avenir de nos opĂ©rations, Ă  condition ensuite de tolĂ©rer une situation de crise post-conflit.

âžĄïžPossĂ©der un outil logistique militaire, efficace et bien pensĂ©. La logistique doit donc ĂȘtre pensĂ©e au niveau stratĂ©gique et comprise comme un facteur de puissance, car elle reprĂ©sente sans aucun doute le centre de gravitĂ© des batailles contemporaines. La France, dans ce domaine, reste encore vulnĂ©rable, avec notamment des capacitĂ©s d’acheminement stratĂ©gique nationales comptĂ©es.

âžĄïžAgir en national, mais penser transfert vers une force multinationale. Le caractĂšre strictement national du fast in/fast out reprĂ©sente souvent un atout si l’on vise l’efficacitĂ© sur le terrain, car agir dans un contexte international ne favorise pas le facteur vitesse.

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9
Q

“Forces de prĂ©sence” françaises ?

A
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10
Q

Forces de souveraineté françaises

A
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11
Q

G5 SAHEL

A
  • G5 SAHEL est une force conjointe composĂ©e de 5 Etats africains lancĂ©e en juillet 2017 :
    • Burkina Faso
    • Mauritanie
    • ​Mali
    • Niger
    • Tchad
  • Objectif : l’Afrique doit pouvoir assurer sa propre sĂ©curitĂ©.
  • G5 SAHEL assure dĂ©sormais ses propres opĂ©rations militaires.
  • L’opĂ©ration BARKHANE joue un rĂŽle de soutien Ă  cette nouvelle force africaine qui monte en puissance.
  • PĂ©riode de conceptualisation laborieuse (de novembre 2015 Ă  fĂ©vrier 2017).
  • Phase d’opĂ©rationnalisation enclenchĂ©e lors du Sommet de Bamako de juillet 2017.
  • Les trois premiĂšres opĂ©rations de la FC-G5S, qualifiĂ©es d’« exercices » par Emmanuel Macron, n’ont pas encore permis aux contingents sahĂ©liens de croiser le fer avec les djihadistes, laissant Barkhane en premiĂšre ligne.
  • Octobre 2018 : 31 officiers supĂ©rieurs inaugurent la toute premiĂšre Ă©cole de guerre baptisĂ©e CollĂšge de DĂ©fense du G5 sahel (CDG5S) basĂ©e Ă  Nouakchott en Mauritanie.
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12
Q

SP-G5S

A

Secrétariat Permanent du G5 Sahel

SiĂšge Ă  Nouakchott

RĂŽle politique et de coordinateur

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13
Q

G5 Sahel : CollÚge de défense

A

Octobre 2018

31 officiers supérieurs inaugurent la toute premiÚre école de guerre baptisée CollÚge de Défense du G5 sahel (CDG5S) basée à Nouakchott en Mauritanie.

â–ș 2020 : 13,5 millions d’€ hors ressources humaines

â–ș Le CDG5S intĂ©resse diffĂ©rents Etats du MO tels que les Emirats (financement de 7 millions) ou l’Egypte (mise Ă  disposition d’instructeurs).

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14
Q

G5 Sahel : présidence

A

2020 : Mauritanie

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15
Q

G5 Sahel : RACC

A

Cellule de conseil et de coordination régionale

Juillet 2019

C’est une rĂ©ponse forte de l’UE aux enjeux de coordination des initiatives sĂ©curitaires.

A été mise en place face aux limites du SP-G5S.

C’est le gĂ©nĂ©ral FR Daniel GRAMMATICO qui est Ă  la tĂȘte de cette cellule.

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16
Q

HĂ©phaĂŻstos

A

Le personnel et les moyens militaires sont engagĂ©s depuis 1984, en appui des pompiers, en Ă©troite coordination avec la sĂ©curitĂ© civile et l’office national des ForĂȘts, dans un contexte opĂ©rationnel dense Ă  l’extĂ©rieur (Chammal, Barkhane) comme sur le territoire national (Sentinelle, Irma).

Cet engagement conjoint des moyens de plusieurs ministĂšres et la bonne coordination entre les diffĂ©rents services de l’État sont rĂ©alisĂ©s au profit de la protection de la population et pour la sauvegarde du patrimoine Ă©cologique du Sud de la France.

L’opĂ©ration HĂ©phaĂŻstos a reprĂ©sentĂ© 2635 mouvements aĂ©riens coordonnĂ©s et 258 dĂ©tections de dĂ©part de feu.

17
Q

Kolwezi

A

Il y a 40 ans, les légionnaires du 2e REP sautaient sur Kolwezi et delivraient la ville.

Le Général Bruno DARY, lieutenant en 1978 participa au saut et à la bataille de cette ville du Zaïre (ancienne RDC).

Cette cĂ©lĂšbre victoire de la LĂ©gion ÉtrangĂšre permit aux parachutistes de mettre fin au massacre de civils europĂ©ens et africains par les rebelles katangais venus d’Angola qui avaient repris le contrĂŽle de la ville.

Enjeux actuels :

■ succĂšs incontestĂ© de l’armĂ©e française, notre pays serait-il capable aujourd’hui de conduire une opĂ©ration similaire ?

■

18
Q

La France est-elle dans un Ă©tat permanent de guerre ou plutĂŽt de paix relative ?

A

Elle est dans une situation d’engagement quasi-permanent.

â–ș En particulier en Afrique subsaharienne oĂč se sont dĂ©roulĂ©es 44% des OPEX depuis 1962.

â–ș A l’occasion des travaux pour la constitution d’un monument commĂ©moratif des OPEX, le GAL THORETTE a dĂ©nombrĂ© 126 opĂ©rations entre 1963 et 2011.

â–ș Soit pour une pĂ©riode de 48 ans une moyenne de 2,6.

Nous sommes donc loin d’une pĂ©riode de paix dĂ©clarĂ©e et rĂ©elle sans pour autant que la guerre le soit non plus.

Il y a le sentiment d’ĂȘtre en Ă©tat de guerre.

On parle de dichotomie guerre / paix.

19
Q

LYNX

A

Mission opĂ©rationnelle de la France rĂ©alisĂ©e dans le cadre de l’eFP de l’OTAN

◘ La France engage en Lituanie en 2018 un dispositif articulĂ© autour de :

  • 300 militaires français
  • S-GTIA composĂ© de 4 chars Leclerc et de 13 VBCI.

◘ Cette mission Lynx est intĂ©grĂ©e au sein d’un bataillon commandĂ© par l’Allemagne.

20
Q

MĂ©morial des soldats morts en OPEX ?

A

Inauguré au parc André CITROEN en 2019

21
Q

Militaires déployés sur le TN en 2018

A
22
Q

Mission creep

A

Littéralement «glissement de mission».

Opération militaire dont les objectifs fixés en début de mandat glissent au cours des opérations vers des conséquences généralement indésirables, ce qui oblige le commandement à reformuler en conduite sans cesse de nouveaux objectifs.

23
Q

Missions de l’OTAN oĂč la France est engagĂ©e en 2018 ?

A
24
Q

Missions maritimes

A
25
Q

Nombre de morts français en Afghanistan

A

89 tuĂ©s au combat en 10 ans d’engagement

26
Q

Morts au combat

Serval + Barkhane

A

28 au 12/05/2019

27
Q

OMP

A

Opération de maintien de la paix

Une innovation du systĂšme onusien.

PremiĂšre OMP en 1948 : au PO, toujours en cours.

Budget 2017 : 6,8 milliards de $ / an

♩

Plus gros contributeurs : EU (28%), Chine (10%), Japon (9%)

♩

Plus gros contributeurs en troupes :

Ethiopie (8000)

Inde, Pakistan & Pakistan (7000)

♩

25 OMP en cours = 100 000 pax

28
Q

Opération Chammal

A

1 millier d’hommes en Irak et Syrie.

Membre de la coalition internationale menée par les Etats-Unis, les Français conduisent des :

  • missions aĂ©riennes depuis la Jordanie,
  • actions d’appui au sol des forces kurdes dans le nord syrien,
  • des opĂ©rations d’artillerie Ă  la frontiĂšre de l’Irak et,
  • en bilatĂ©ral, des formations auprĂšs de l’armĂ©e de Bagdad.

L’annĂ©e 2019 constituera un tournant :

  • la question de la fermeture de la base française projetĂ©e en Jordanie se posera.
  • Tout comme celle du maintien des missions de formation qui pourraient ĂȘtre transfĂ©rĂ©es Ă  l’OTAN si le gouvernement irakien retient cette proposition des Occidentaux
  • la France devra se prononcer sur une Ă©ventuelle participation Ă  la force terroriste US sur l’ensemble de la rĂ©gion.
29
Q

Participation et effectifs français aux missions de l’UE

A

6 missions

175 militaires

  • Sophia : 100
  • Atalante
  • Mali
  • Frontex Themis
  • Frontex Indalo
  • RĂ©publique centrafricaine
30
Q

Participation française aux missions de l’ONU

A
31
Q

Quels déploiement des militaires français dans le monde ?

A

En 40 ans, 70 opérations extérieures.

Deux grandes périodes se distinguent :

  • Entre 1978 et 1991 :

Dans le contexte de Guerre froide, les forces terrestres sont projetées dans des opérations majoritairement nationales, en Afrique (Zaïre, Tchad
) et au Liban.

  • De 1991 Ă  nos jours :

AprĂšs la chute de l’URSS, la recomposition stratĂ©gique est brutale : professionnalisation de l’armĂ©e, considĂ©rable dĂ©flation des effectifs, opĂ©rations extĂ©rieures multilatĂ©rales et rĂ©parties sur tous les continents.

Aujourd’hui, il y a 4 types d’opĂ©rations :

  • La sĂ©curitĂ© intĂ©rieure et la souverainetĂ©.
  • La participation Ă  des opĂ©rations multinationales, au sein de missions dirigĂ©es par l’OTAN, l’UE ou l’ONU
  • Les “forces de prĂ©sence”.
  • Les opĂ©rations extĂ©rieures
32
Q

SENTINELLE

A
  • MEP : 2015.
  • Triptique : PROTEGER - DISSUADER
  • OpĂ©ration SENTINELLE rĂ©novĂ©e : en lien avec le MinInt, le MinArm a mis en place en octobre 2017 un dispositif plus flexible, rĂ©actif et imprĂ©dictible. C’est un dispositif mobile qui met fin aux postures statiques et prĂ©visibles.
  • 7000 soldats => 10 000 soldats si besoin.
  • Le nouveau dispositif s’articule autour de 3 niveaux :
    • ​dispositif permanent : 7000 hommes.
    • un Ă©chelon de renforcement planifiĂ© adaptable en fonction des Ă©vĂšnements
    • une rĂ©serve stratĂ©gique mobilisable sur dĂ©cision du PR.
33
Q

Voeux 2019 du PR

A

â–ș A rĂ©affirmĂ© la reconnaissance de la Nation pour l’engagement sans faille des armĂ©es sur le territoire et en opĂ©rations car « la premiĂšre raison d’ĂȘtre de nos armĂ©es ce sont bien les opĂ©rations ».

â–ș OpĂ©rations militaires en cours :

  • Barkhane poursuit son combat pour la paix au Sahel et se tient aux cĂŽtĂ©s des forces armĂ©es africaines et des alliĂ©s pour la formation et de la coopĂ©ration. Il s’agit dĂ©sormais de dĂ©velopper une stratĂ©gie inĂ©dite associant les efforts de DĂ©fense, DĂ©veloppement et Diplomatie.
  • Au Levant, l’engagement de la France dans la lutte contre Daech se poursuit en 2019, tout en adaptant le dispositif militaire, en poursuivant les actions de coopĂ©ration en Irak et en recherchant une solution politique pour la Syrie.
  • La France reste Ă©galement prĂ©sente au Liban, aux Pays Baltes et en RCA, au sein de la mission europĂ©enne de formation.

â–ș Poursuite et intensification des chantiers de transformation du ministĂšre :

  • La modernisation des processus d’acquisition des Ă©quipements pour une vĂ©ritable adĂ©quation des moyens aux besoins.
  • La coopĂ©ration europĂ©enne, qui est stratĂ©giquement indispensable, crĂ©dible sur le plan opĂ©rationnel, Ă©conomiquement rentable, a connu des avancĂ©es historiques comme la CSP, le FED et surtout l’IEI.
  • L’amĂ©lioration des conditions d’exercice du mĂ©tier de militaires avec une LPM Ă  hauteur d’hommes et le Plan Famille illustre l’idĂ©e que «ce que nous devons Ă  chaque famille, c’est du sur-mesure».
  • Au sujet des retraites, les spĂ©cificitĂ©s du mĂ©â€er des militaires seront pris en compte dans les rĂ©formes Ă  venir.

Le PrĂ©sident a conclu en soulignant la force de l’engagement des militaires, la fiertĂ© de s’engager, de servir la France et ses valeurs universelles et la fiertĂ© de commander.