Notes de cours Flashcards
Dépression unipolaire
Les dépressions
- Léger
- Moyen
- Grave
Dépression bipolaire :
- Moins commun, beaucoup plus rare (moins de 1% de la population)
Troubles bipolaires et apparentés
- Trouble bipolaire de type 1
- Trouble bipolaire de type II
- Trouble cyclothymique
- Trouble bipolaire ou apparenté induit par une substance/un médicament
- Trouble bipolaire ou apparenté dû à une autre affection médicale
4 sortes de symptômes : émotionnels, cognitifs, motivationnel et somatique
unipolaire VS bipolaire
Unipolaire :
- Émotionnels : je me sens triste, sans espoir, impuissant, humilier, inquiet, coupable, à fleur de peaux, amis/ famille absent, aucune importance pour relation, sex…
- Cognitives : pensée négative envers soi, envers le futur et envers les expériences (triade cognitive), manque d’estime, pense qu’elle est la cause de l’échec (même si pas encore arrivé), l’avenir est noir, ne peut pas voir le changement
- Motivationnel : difficile de se lever le matin, travailler est difficile, prendre des décisions est difficile, ralentissement psychomoteur (difficile de se lever et marche courber), ne parle pas beaucoup, difficile de faire part à la discussion
- Somatiques : perte d’appétit, perte de poids, insomnie/hypersomnie, problème d’érection/lubrification vaginale, perte d’intérêt sexuelle, devient très sensible à son corps, plus susceptible à tomber malade.
Bipolaire :
Même ensemble de symptômes, mais manifestation différente :
- Émotionnels : euphorie, irritable et on peut aussi changer entre les deux
- Cognitifs : pensée grandiose, pas de limite ni de conséquence négative dans le futur, fuite des idées, facilement distrait, délusionnel (messager de dieu, ami intime d’une personne célèbre)
- Motivationnel : hyperactivité, activité sont nombreuse, gambling compulsif, conduite dangereuse
- Somatiques : toujours sur le go, pas besoin de beaucoup de sommeil, très actif
Dysthymique :
humeur triste, déprimée et/ou irritable, une perte de plaisir et une fatigue constante
désordre dépressive persistant
- Plus de deux ans
Cyclothymique :
tempérament qui oscille entre deux pôles, la tristesse et la gaieté
relié à bipolaire
- Plus de deux ans
- Ligne bleue donc manie moins intense
Bipolaire :
souvent besoins d’une hospitalisation car l’entourage c’est très difficile à gérer.
Différence entre type 1 et 2 :
- Sévérité des symptômes dans la phase maniaque
- Type 2 sont moins pire, la personne est capable de fonctionner dans la vie en générale
Dépression :
fluide et dynamique donc peut être changé
Théories de la dépression
§ Psychodynamique
- La dépression est causée par la colère dirigé envers nous-même. Colère génère un état dépressif. Dans notre vie, on forme des attachements, investissement envers les gens.
- Si on a une déception / une perte importante = tristesse et douleur
- Investissement d’énergie libidinale dans une personne et maintenant n’est plus là, donc réabsorbe. On réabsorbe aussi toute nos sentiments par rapport à la personne = on absorbe aussi la colère reliée à l’abandon. Rage et déception crée la dépression
- Traitement : faire la paix, faire face à notre colère
Théories de la dépression
§ Cognitives
Vision qui prédomine
- Triade cognitive
- Théorie de Beck à lire en diagonal
- Confronter les distorsions cognitives qui deviennent plus intense lors de dépression
- Croyance de base fondamentale qui a été violé = le monde est mauvais
- Effet sur la triade cognitive, expérience/futur/moi
- Formulation de pensé dysfonctionnel avec des croyances négatives
Théories de la dépression
§ Béhavioral
- Impuissance acquise (expérience des chiens)
o Deux groupes de chiens : groupe 1 peut apprendre à éviter le choc, groupe 2 n’a pas le choix d’avoir le choix
o Après on met les chiens du groupe 2 dans la cage du groupe 1 : mais les chiens n’allaient pas dans la partie où il n’y avait pas de chocs = impuissance acquise.
- Début des années 80 : évitement + interprétation des évitements
- Va encourager afin de faire les bons comportements (thérapie)
- Penser à l’action = améliore les symptômes dépressifs
Théories de la dépression
§ Bio-médicale
Vision qui prédomine
III. Traitement de la dépression
Amines Biogènes
Catecholamines Indolamines
Noradrénaline Sérotonine
Adrénaline Histamine
Dopamine
Monoamine–oxydase (inhibiteurs de monoamine-oxydase IMAO)
Tricycliques
Inhibiteurs spécifiques de la recapture de la sérotonine (ISRS)
Anti-dépresseur ont un effet sur la production de neuropédéphine
Espace synaptique : entre deux neurones (ne se touche pas)
La neuropédéphine est relâché par neurone 1, neurone deux absorbe mais pas tout. Neurone 1 aussi.
Tricycliques empêche les neuropédéphine d’être réabsorber (inhibition)
Monoamine–oxydase (inhibiteurs de monoamine-oxydase IMAO)
Deux classes d’antidépresseurs : (?)
- L’absence de Sérotonine est vraiment la cause de la dépression, et non la neuropénéphrine.
- Prozac = pas bcp d’effet secondaire, moins de surdosage, première vue = wow, très populaire pour traiter la dépression, essaie sur l’anxiété et les délinquances sexuelles (n’a pas fonctionné). Risque de surdosage encore là mais risque minimiser
- Les compagnies ont créé leurs propres médicaments pour $$
Comment choisir entre les 3 types de médicaments
- Monoamine–oxydase (inhibiteurs de monoamine-oxydase IMAO)
- Tricycliques
- Inhibiteurs spécifiques de la recapture de la sérotonine (ISRS) les plus prescrits car le moins dangereux
Pas de données entres les trois qui permettent de savoir lequel marche mieux
La plupart des anti-dépresseur sont déterminer aux hasards et non empiriques : c’est par rapport ce que le médecin a dans son bureau, vendu par les compagnies pharmaceutiques
FUBAR
FUCKED
UP
BEYOND
ALL
REPAIR
Système de classification basé sur 5 axes
Ø L’Axe 1 sert à décrire l’ensemble des troubles ou des situations de la classification (à l’exception des Troubles de la personnalité et du Retard Mental)
Ø Troubles liés à une substance
Ø Schizophrénie
Ø Troubles de l’humeur
Ø Troubles anxieux
Ø Troubles somatoformes
Ø Troubles factices
Ø Troubles dissociatifs
Ø Troubles sexuels
Ø Troubles d’alimentation
Ø Troubles de sommeil
Ø Troubles de l’adaptation
Ø Axe I - L’ensemble des troubles
Ø Axe II – Troubles de la personnalité et le Retard Mental.
Ø Axe III – Affectations médicales générales
Ø Axe IV - Problèmes psychosociaux et environnementaux
Ø Axe V - Évaluation globale du fonctionnement
Personnalité anciennes théories
- Les éléments ont été pensé qu’ils auraient un effet sur la personnalité des gens
- Constellation des tendances qui sont rigides et durable dans le temps
- Ont une influence sur notre façon d’agir
- Individuelle à nous =notre personnalité
On a divisé en 12 les éléments (les signes astros)
Terre Feu Eau Air Ø Taureau Leo Cancer Verseau Ø Vierge Sagittaire Scorpion Gémeaux Ø Capricorne Bélier Poisson Balance
Les traits de caractères du Scorpion
Le Scorpion est le huitième signe de l’année astrologique, les personnes de ce signe du zodiaque sont nées entre le 23 octobre et 22 novembre.
C’est la planètes et les astres qui nous forme (personnalité)
Élément : Eau
Qualités : passionné, ingénieux, observateur, énergique, dynamique, courageux, têtu, magnétique, de véritables amis
Défauts : jaloux, possessif, très obsessionnel(le), méfiant, manipulateur, inflexible, secret, mystérieux, violent
Ce qu’aiment les Scorpions : la vérité, les faits, avoir raison, les amis de longue date, les taquineries, les grandes passions
Ce que détestent les Scorpions : malhonnêteté, divulguer les secrets, les gens passifs
Les Scorpions sont connus par leur comportement calme et détaché et leur côté mystérieux. Les personnes nées en Scorpion sont énigmatiques, dynamiques, passionnées, extrêmes dans leurs opinions et ont une forte volonté.
Hypocrate : psychologie psychiatrique, problème avec le soma
- Personnalité à été determiner par les flujide dans le corps
- Balencement de ses fluide qui influence directement la personnalité
o Ex : mélancolie causé par un excès de bile noir
o Ex. un excès de lymphe = lymphatique, lent, froid, non répétorié
o Ex. un excès de bile jaune = coléreux/amer/irritable
o Ex. excès de sang = vif et émotif/hypethymique
- À durer des 100 d’année ce mouvement de pensé
La Phrénologie
Ø Fondateur: Franz Joseph Gall
Ø Populaire: entre 1810 et 1840
- S’intéresse à la forme du crane
- La formation de différente partie du cerveau qui pousse sur le crâne et qui déforme
- Certaine façon d’agir peuvent être expliquer par les bosses
- Tu touches le crane à la recherche de bosse
Freud :
- Personnalité est influencer par les stades oral, anal, phallique et génital
- Préoccupation dans des parties du corps
- Si on reste pris dans un stade = influence sur la personnalité
o Ex. Oral est souvent associé aux dépendance (drogue et alcool)
Émergence des modèles statistiques/mathématique
- Moyenne, médiane, variance, corrélation
- Décrire selon les statistiques
- Permet de développer des modèles sofistiqués = permet de dévelloper des théories et des tests de personnalité plus sofistiqué
- Avec des mesures sofistiqué, on peut vérifier la fidèlité et validité
- Et valider les tests
- Cattels 16 PF
o Utiliepour décrire comment les gens fonctionne dans la vie
Eysenck & Eysenck (1964)
Eysenck Personality Inventory
- Émotions stables vs changeante
- Extravertiveintrovertive
- Inventaire pour les continuums des émotions et des traits
The big 5
- Ensemble de caractérise qui permettent d’expliquer la personnalité
- Domine encore le domaine de la personnalité
- Les 5 caractéristiques sont composées de sous-catégories
- Continuum
MMPI/tests de personnalité
- Mode mésadapté qui permette de déterminer les gens et de les classifier
- Mesure de personnalité pour les mesadapté
- Pas de psychologie anormale dans la plupart des tests de personnalité
o Sauf MMPI
Diagnostic and statistical manuel
Troubles de la personnalité
- Progressivement raffiné pour la personnalité, mais depuis 1994 (?) rien
Axe II – Troubles de la personnalité et Retard mental
L’existence des Troubles de la personnalité et du Retard mental sur un axe séparé est le garant de la prise en considération des Troubles de la personnalité ou du Retard mental susceptibles d’être négligées lorsque l’attention est exclusivement centrée sur les troubles de l’Axe I habituellement plus florides. Le codage des Troubles de la personnalité sur l’Axe II ne signifie pas que leur pathogénie ou le choix du traitement approprié soient fondamentalement différents des troubles codées sur l’Axe I (DSM IV-TR, p. 23).
Absence d’un système axiale = gros problème
Mettre les troubles de personnalité sur un autres axe
Axe II de 4-tr= important surtout pour tr de personnalité : ont besoin d’être situé : système multiaxial: attention sur les troubles de personnalité : tr qui a besoin d’être traité
- Les troubles de personnalités ont besoins d’être situé
- Les TP ont « besoins d’être traité », mais pas nécessairement tout le temps
- C’est rare les gens qui consulte pour des TP car égosyntonique (c’est les autres le problème)
- On va découvrir un trouble lorsque les gens consultes pour autre chose
o Peut-être qu’on ne va pas traiter car peut être pas de traitement adéquat - On ne change pas notre traitement en fonction du trouble de personnalité, on peut essayer de comprendre en quoi s’a l’affecte mais on ne change pas le traitement
- Mettre l’emphase sur les troubles de personnalité (fascination envers les TP) = pas la bonne chose à faire
Critères diagnostique généraux des troubles de la personnalité
- Applicable à tous les troubles de personnalité
Ø Il y en a six (critères A – F)
A) Modalité durable de l’expérience vécue et des conduites qui dévie notablement de ce qui est attendu dans la culture de l’individu. Cette déviation est manifeste dans au moins deux des domaines suivants:
1) la cognition (c’est-à-dire la perception et la vision de soi-même, d’autrui et des événements);
2) l’affectivité (c’est-à-dire la diversité, l’intensité, la labilité et l’adéquation de la réponse émotionnelle (change rapidement));
3) le fonctionnement interpersonnel;
4) le contrôle des impulsions
A) Modalité durable de l’expérience vécue de des conduites qui dévie notablement de ce qui est attendu dans la culture de l’individu.
B) Ces modalités durables sont rigides et envahissent des situations personnelles et sociales très diverses;
C) Ce mode durable entraîne une souffrance (vécu mais pas à cause de lui (perso ou sa façon car égosyntonyque) cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants;
D) Ce mode est stable et prolongé et ses premières manifestations sont décelable au plus tard à l’adolescence ou au début de l’âge adulte; (on ne veut pas diagnostiquer à l’enfance car pas prolongé, c’est en formation)
E) Ce tableau n’est pas mieux expliqué par les manifestations ou les conséquences d’un autre trouble
F) Ce mode durable n’est pas dû aux effets physiologiques directs d’une substance (p. ex. une drogue donnant lieu à abus ou un médicament) ou d’une affection médicale générale (par exemple un traumatisme crânien).
État vs trait (examen)
- Trouble de personnalité = trait (durable, stable, central…)
- État = performer d’une certaine façon, situationnel (état dépressif (pas ce que je vie naturellement, c’est une simulation)
Les types ou « clusters » de troubles de la personnalité
(persoSABNÉO)
Le type A
Ø La personnalité Paranoïaque
Ø La personnalité Schizoïde
Ø La personnalité Schizotypique
(aller voir les critères diagnostiques dans le PDF)
permet de prédire
Le troubles de la personnalité du type A sont généralement les personnes qui sont décrits comme bizarre ou excentriques
*DSM 5 si on avait psycho typique seulement les type A qui aurait resté (%???)
!On aurait laissé les autres et juste garder schizotypique car les autres n’ont pas assez d’évidence!
Les troubles de personnalité ont beaucoup de symptômes semblables, ce qui rend difficile les diagnostiques
Type B
Le troubles de la personnalité du type B sont généralement les personnes qui sont décrits comme dramatique, émotionnelle (pas stable).
Ø La personnalité Antisociale
Ø La personnalité Borderline
Ø La personnalité Histrionique
Ø La personnalité Narcissique
Type C
Le troubles de la personnalité du type C sont généralement les personnes qui sont décrits comme anxieuse.
Ø La personnalité Évitant
Ø La personnalité Dépendante
Ø La personnalité Obsessionnelle Compulsive
DSM-5 Alternative model
Ø La personnalité Schizotypique
Ø La personnalité Antisociale
Ø La personnalité Borderline
Ø La personnalité Narcissique
Ø La personnalité Évitant
Ø La personnalité Obsessionnelle Compulsive
Psychopathie
Ø Sociopathie versus psychopathie
Ø Hare Psychopathy Checklist
Ø La structure factorielle du PCL
Ø Personnalité antisocial vs psychopathie
Ø Traitement de la psychopathie
Hare Psychopathy Checklist (PCL)
- 20 items (voir PCL R item définition vf.doc)
- Coté à partir des dossiers institutionnels et les entrevues
- Chaque item coté 0 (pas présent), 1 ou 2 (définitivement présent)
- Est-ce que la psychopathie est un taxon? (Catégorielle et dimensionnel)
Psychopatho = taxon car pas de dimension (tu l’es ou tu ne l’es pas)
Psychopatho = dimensionnel (prof traite comme ça)
Les items du Hare PCL
1- Loquacité/charme superficiel
2- Surestimation de soi
3- Besoin de stimulation/tendance à s’ennuyer
4- Tendance au mensonge pathologique
5- Duperie/manipulation
6- Absence de remords ou de culpabilité
7 - Affect superficiel
8- Insensibilité/manque d’empathie
9- Tendance au parasitisme
10- Faible maîtrise de soi
11- Promiscuité sexuelle
12- Apparition précoce de problèmes de comportement
13- Incapacité de planifier à long terme et de façon réaliste
14- Impulsivité
15- Irresponsabilité
16- Incapacité d’assumer la responsabilité de ses faits et gestes
17 - Nombreuses cohabitations de courte durée
18- Délinquance juvénile
19- Violation des conditions de mise en liberté conditionnelle
20- Diversité des types de délits commis par le sujet
La structure factorielle du PCL
- Il y a des études qui montrent qu’il y a deux facteurs qui sont mesurés par le PCL, d’autres qui ont trouvé trois facteurs, et encore d’autres qui rapportent quatre facteurs. Pour illustrer la différence entre la psychopathie et la personnalité antisociale, j’utilise l’exemple le plus simple: deux facteurs. Toutefois, la logique est identiqu avec les modèles de trois facteurs et de quatre facteurs.
Facteur 1: Caractéristiques interpersonnel et affectives
Facteur 2: Caractéristiques comportementaux
la différence entre la psychopathie et la personnalité antisociale
Facteur 1: Caractéristiques interpersonnel et affectives
Pas considérer par le DSM
Ø Loquacité/charme superficiel (interpersonnel)
Ø Surestimation de soi
Ø Tendance au mensonge pathologique
Ø Duperie/manipulation
Ø Absence de remords ou de culpabilité
Ø Affect superficiel
Ø Insensibilité/manque d’empathie
Ø Incapacité d’assumer la responsabilité de ses faits et gestes
Facteur 2: Caractéristiques comportementaux
(psychopathie)
(regroupement de corrélation) on est capable de dire c’est quoi le comportement
Ø Besoin de stimulation/tendance à s’ennuyer
Ø Tendance au parasitisme
Ø Faible maîtrise de soi
Ø Apparition précoce de problèmes de comportement
Ø Incapacité de planifier à long terme et de façon réaliste
Ø Impulsivité
Ø Irresponsabilité
Ø Délinquance juvénile
Ø Violation des conditions de mise en liberté conditionnelle
Ø Diversité des types de délits commis par le sujet
Le DSM ignore le côté affectif = différence entre psychopathie et personnalité antisociale
Ex : de modèle à 4 facteurs
- Si diagnostique psychopathe = garantie de remplir les critères de personnalité antisociale
- Si diagnostique anti-sociale = pas toutes les caractéristiques affectives de psychopathe
Le type B
Ø La personnalité Antisociale *
Ø La personnalité Borderline *
Ø La personnalité Histrionique
Ø La personnalité Narcissique *
Le troubles de la personnalité du type B sont généralement les personnes qui sont décrits comme dramatique, émotionnelle (pas stable).
Le type C
Ø La personnalité Évitant *
Ø La personnalité Dépendante
Ø La personnalité Obsessionnelle Compulsive * (pas la même chose que le trouble OC)
Le troubles de la personnalité du type C sont généralement les personnes qui sont décrits comme anxieuse.
Le trouble est toujours plus handicapé (plus anormale) que le TP (toujours moins handicapant)
définition des différents troubles de personnalités
Personnalité paranoiaque est caractérisée par une méfiance soupçonneus envers les autres dont les intentions sont interprétées comme malveillantes.
La Personnalité schizoïde est caractérisée par un détachement des relation sociales et une restriction de la variété des expressions émotionnelles.
La Personnalité schizotypique est caractérisée par une gêne aiguë dans les relations proches, par des distorsions cognitives et perceptuelles et des conduites excentriques.
La Personnalité antisociale est caractérisée par un mépris et une transgression des droits d’autrui
La Personnalité borderline est caractérisée par une impulsivité marquée et une instabilité des relations interpersonneiles, de l’image de soi et des affects.
La Personnalité histrionique est caractérisée par des réponses émotionnelles excessives et une quête d’attention.
La Personnalité narcissique est caractérisée par des fantaisies ou des comportements grandioses, un besoin d’être admiré et un manque d’empathie.
La Personnalité évitante est caractérisée par une inhibition sociale, par des sentiments de ne pas être à la hauteur et une hypersensibilité au jugement négatif d’autrui.
La Personnalité dépendante est caractérisée par un comportement soumis et «collant » lié à un besoin excessif d’être pris en charge.
La personnalité obsessionnelle-compulsive est caractérisée par une préoccupation, par l’ordre, la perfection et le contrôle.
Trouble de la personnalité non spécifié
Ø Cette catégorie est réservée aux troubles de la personnalité qui ne remplissent pas les critères d’un trouble de la personnalité spécifique. Un exemple en est la présence de caractéristiques appartenant à plusieurs troubles de la personnalité, sans que les critères d’un Trouble particulier de la personnalité soient remplis (« personnalité mixte ») mais néanmoins responsables d’une souffrance cliniquement significative ou d’une altération du fonctionnement dans un ou plusieurs domaines importants (p. ex. social ou professionnel). Cette catégorie peut aussi être utilisée lorsque le clinicien estime qu’un diagnostic spécifique de Trouble de la personnalité ne figurant pas dans la classification est approprié, par exemple celui de personnalité dépressive ou de personnalité passive-agressive
- Modèle actuariel
o Va toujours être supérieur au modèle clinique
o Toujours moins d’erreur
o Modèle mathématique : prendre une décision importante (ex : utilisé par compagnie d’assurance)
o Pose questions style : homme vs femmes, âge, temps de permis, quartier
o Chaque question dans modèle actuariel : qui prédit probabilité d’avoir un accident, même chose pour un prêt bancaire
o Modèle actuariel va toujours batte un modèle clinique : tjrs moins d’erreur dans modèle actuariel basé sur des recherches empiriques qui sont basés sur des facteurs qui sont impliqués dans comportement (on le sait depuis 1954)
o En tant que psychologue ou société : est-ce que on devrait laisser aller ou intervenir
x Est-ce que les personnes impliquer dans les actes sexuels ont 18 ans et plus
x Si non = problème, si oui : est ce que les deux personnes sont consentante
x Si oui = nous ne sommes pas impliquées (judiciaire et psycho…)
x Si non = problème !!
o Si les personnes ont plus de 18 ans, nous n’avons pas d’intérêt à s’y intéresser à part si il y a un manque de consentement
o Zoophilie : attirance émotionnelle et sexuelle VS bestialité : attirance sexuelle