Neutropénie Flashcards
Granulopoïèse: Physiologie
- Les polynucléaires neutrophiles jouent un rôle important dans la défense de l’organisme contre les infections.
- Cette fonction est principalement due à la capacité qu’ont ces cellules de phagocyter et de détruire les bactéries, surtout lorsque ces dernières ont été préalablement opsonisées (i.e. recouvertes d’anticorps).
- Afin d’assurer la présence d’un nombre suffisant de polynucléaires en tout temps dans le sang circulant, la moelle osseuse pourvoit un renouvellement constant de ces cellules par le mécanisme de la granulopoïèse, équivalent à celui de l’érythropoïèse pour les globules rouges.
- La granulopoïèse comporte les compartiments suivants :
- Compartiment médullaire
- Compartiment sanguin
- Comaprtiment tissulaire
Granulopoïèse: Physiologie
- rôles des PN
- Les polynucléaires neutrophiles jouent un rôle important dans la défense de l’organisme contre les infections.
- Cette fonction est principalement due à la capacité qu’ont ces cellules de phagocyter et de détruire les bactéries, surtout lorsque ces dernières ont été préalablement opsonisées (i.e. recouvertes d’anticorps).
- Afin d’assurer la présence d’un nombre suffisant de polynucléaires en tout temps dans le sang circulant, la moelle osseuse pourvoit un renouvellement constant de ces cellules par le mécanisme de la granulopoïèse, équivalent à celui de l’érythropoïèse pour les globules rouges.
- La granulopoïèse comporte les compartiments suivants :
- Compartiment médullaire
- Compartiment sanguin
- Comaprtiment tissulaire
Granulopoïèse: Physiologie
- PN: décrire la fonction de défense
- Les polynucléaires neutrophiles jouent un rôle important dans la défense de l’organisme contre les infections.
- Cette fonction est principalement due à la capacité qu’ont ces cellules de phagocyter et de détruire les bactéries, surtout lorsque ces dernières ont été préalablement opsonisées (i.e. recouvertes d’anticorps).
- Afin d’assurer la présence d’un nombre suffisant de polynucléaires en tout temps dans le sang circulant, la moelle osseuse pourvoit un renouvellement constant de ces cellules par le mécanisme de la granulopoïèse, équivalent à celui de l’érythropoïèse pour les globules rouges.
- La granulopoïèse comporte les compartiments suivants :
- Compartiment médullaire
- Compartiment sanguin
- Comaprtiment tissulaire
Granulopoïèse: Physiologie
- Renouvellement des PN
- Les polynucléaires neutrophiles jouent un rôle important dans la défense de l’organisme contre les infections.
- Cette fonction est principalement due à la capacité qu’ont ces cellules de phagocyter et de détruire les bactéries, surtout lorsque ces dernières ont été préalablement opsonisées (i.e. recouvertes d’anticorps).
- Afin d’assurer la présence d’un nombre suffisant de polynucléaires en tout temps dans le sang circulant, la moelle osseuse pourvoit un renouvellement constant de ces cellules par le mécanisme de la granulopoïèse, équivalent à celui de l’érythropoïèse pour les globules rouges.
- La granulopoïèse comporte les compartiments suivants :
- Compartiment médullaire
- Compartiment sanguin
- Comaprtiment tissulaire
Granulopoïèse: Physiologie
- Nommez les différents compartiments
- Les polynucléaires neutrophiles jouent un rôle important dans la défense de l’organisme contre les infections.
- Cette fonction est principalement due à la capacité qu’ont ces cellules de phagocyter et de détruire les bactéries, surtout lorsque ces dernières ont été préalablement opsonisées (i.e. recouvertes d’anticorps).
- Afin d’assurer la présence d’un nombre suffisant de polynucléaires en tout temps dans le sang circulant, la moelle osseuse pourvoit un renouvellement constant de ces cellules par le mécanisme de la granulopoïèse, équivalent à celui de l’érythropoïèse pour les globules rouges.
-
La granulopoïèse comporte les compartiments suivants :
- Compartiment médullaire
- Compartiment sanguin
- Compartiment tissulaire
Granulopoïèse: Compartiment médullaire
- nommez les différents stades
- Prolifération
- Maturation
- Réserves
Granulopoïèse: Compartiment médullaire
- Prolifération
- Lorsque stimulés de façon adéquate par divers facteurs de croissance, les précurseurs “myéloïdes” (par opposition à lymphoïdes ou érythroïdes) de la moelle osseuse se divisent pour produire une génération de 16 ou 32 cellules qui développeront éventuellement les attributs morphologiques et fonctionnels de granulocytes ou polynucléaires neutrophiles.
Granulopoïèse: Compartiment médullaire
- Prolifération: décrire
- Lorsque stimulés de façon adéquate par divers facteurs de croissance, les précurseurs “myéloïdes” (par opposition à lymphoïdes ou érythroïdes) de la moelle osseuse se divisent pour produire une génération de 16 ou 32 cellules qui développeront éventuellement les attributs morphologiques et fonctionnels de granulocytes ou polynucléaires neutrophiles.
Granulopoïèse: Compartiment médullaire
- Prolifération: ce qui la stimule
- Lorsque stimulés de façon adéquate par divers facteurs de croissance, les précurseurs “myéloïdes” (par opposition à lymphoïdes ou érythroïdes) de la moelle osseuse se divisent pour produire une génération de 16 ou 32 cellules qui développeront éventuellement les attributs morphologiques et fonctionnels de granulocytes ou polynucléaires neutrophiles.
Granulopoïèse: Compartiment médullaire
- Prolifération: nommez les précurseurs
- Lorsque stimulés de façon adéquate par divers facteurs de croissance, les précurseurs “myéloïdes” (par opposition à lymphoïdes ou érythroïdes) de la moelle osseuse se divisent pour produire une génération de 16 ou 32 cellules qui développeront éventuellement les attributs morphologiques et fonctionnels de granulocytes ou polynucléaires neutrophiles.
Granulopoïèse: Compartiment médullaire
- Prolifération: décrire les cellules filles
- Lorsque stimulés de façon adéquate par divers facteurs de croissance, les précurseurs “myéloïdes” (par opposition à lymphoïdes ou érythroïdes) de la moelle osseuse se divisent pour produire une génération de 16 ou 32 cellules qui développeront éventuellement les attributs morphologiques et fonctionnels de granulocytes ou polynucléaires neutrophiles.
Granulopoïèse: Compartiment médullaire
- Maturation
- Parallèlement à ce premier phénomène d’amplification cellulaire (aka la prolifération) s’amorce un processus de maturation au cours duquel la cellule acquiert ses granulations spécifiques (neutrophiles) et son pouvoir de phagocytose.
- À l’examen au microscope, on distingue les différentes étapes de cette maturation d’abord sous forme de myéloblastes, pro- myélocytes et myélocytes, trois stades morphologiques au cours desquels la cellule conserve son pouvoir de se diviser.
- Aux stades suivants de métamyélocyte, stab (cellule à noyau en bandeau) et polynucléaire, la cellule ne se divise plus.
- Contrairement au cas des érythrocytes, les cellules de cette lignée atteignent leur maturation finale dans la moelle osseuse.
Granulopoïèse: Compartiment médullaire
- Maturation: ce qui se passe pendant cette phase
- Parallèlement à ce premier phénomène d’amplification cellulaire (aka la prolifération) s’amorce un processus de maturation au cours duquel la cellule acquiert ses granulations spécifiques (neutrophiles) et son pouvoir de phagocytose.
- À l’examen au microscope, on distingue les différentes étapes de cette maturation d’abord sous forme de myéloblastes, pro- myélocytes et myélocytes, trois stades morphologiques au cours desquels la cellule conserve son pouvoir de se diviser.
- Aux stades suivants de métamyélocyte, stab (cellule à noyau en bandeau) et polynucléaire, la cellule ne se divise plus.
- Contrairement au cas des érythrocytes, les cellules de cette lignée atteignent leur maturation finale dans la moelle osseuse.
Granulopoïèse: Compartiment médullaire
- Maturation: nommez les différents stades
- Parallèlement à ce premier phénomène d’amplification cellulaire (aka la prolifération) s’amorce un processus de maturation au cours duquel la cellule acquiert ses granulations spécifiques (neutrophiles) et son pouvoir de phagocytose.
- À l’examen au microscope, on distingue les différentes étapes de cette maturation d’abord sous forme de myéloblastes, pro- myélocytes et myélocytes, trois stades morphologiques au cours desquels la cellule conserve son pouvoir de se diviser.
- Aux stades suivants de métamyélocyte, stab (cellule à noyau en bandeau) et polynucléaire, la cellule ne se divise plus.
- Contrairement au cas des érythrocytes, les cellules de cette lignée atteignent leur maturation finale dans la moelle osseuse.
Granulopoïèse: Compartiment médullaire
- Maturation: à quel étape la division des cellules arrête-t-elle?
- Parallèlement à ce premier phénomène d’amplification cellulaire (aka la prolifération) s’amorce un processus de maturation au cours duquel la cellule acquiert ses granulations spécifiques (neutrophiles) et son pouvoir de phagocytose.
- À l’examen au microscope, on distingue les différentes étapes de cette maturation d’abord sous forme de myéloblastes, pro- myélocytes et myélocytes, trois stades morphologiques au cours desquels la cellule conserve son pouvoir de se diviser.
- Aux stades suivants de métamyélocyte, stab (cellule à noyau en bandeau) et polynucléaire, la cellule ne se divise plus.
- Contrairement au cas des érythrocytes, les cellules de cette lignée atteignent leur maturation finale dans la moelle osseuse.
Granulopoïèse: Compartiment médullaire
- Maturation: à quel endroit se termine la maturation?
- Parallèlement à ce premier phénomène d’amplification cellulaire (aka la prolifération) s’amorce un processus de maturation au cours duquel la cellule acquiert ses granulations spécifiques (neutrophiles) et son pouvoir de phagocytose.
- À l’examen au microscope, on distingue les différentes étapes de cette maturation d’abord sous forme de myéloblastes, pro- myélocytes et myélocytes, trois stades morphologiques au cours desquels la cellule conserve son pouvoir de se diviser.
- Aux stades suivants de métamyélocyte, stab (cellule à noyau en bandeau) et polynucléaire, la cellule ne se divise plus.
- Contrairement au cas des érythrocytes, les cellules de cette lignée atteignent leur maturation finale dans la moelle osseuse.
Granulopoïèse: Compartiment médullaire
- Réserves: Localisation
- À la différence des cellules des autres lignées hématopoïétiques, les polynucléaires matures demeurent dans la moelle pour y former un immense pool de réserve équivalent à près de 15 fois le nombre des polynucléaires circulants eux-mêmes.
- Cette masse de cellules peut être mobilisée rapidement en cas d’infection grave par exemple.
- Le passage des granulocytes au sang circulant se fait, comme dans le cas des réticulocytes, directement à travers la paroi endothéliale des sinus médullaires.
Granulopoïèse: Compartiment médullaire
- Réserves: Nombre de PN dans le réserves
- À la différence des cellules des autres lignées hématopoïétiques, les polynucléaires matures demeurent dans la moelle pour y former un immense pool de réserve équivalent à près de 15 fois le nombre des polynucléaires circulants eux-mêmes.
- Cette masse de cellules peut être mobilisée rapidement en cas d’infection grave par exemple.
- Le passage des granulocytes au sang circulant se fait, comme dans le cas des réticulocytes, directement à travers la paroi endothéliale des sinus médullaires.
Granulopoïèse: Compartiment médullaire
- Réserves: utilité
- À la différence des cellules des autres lignées hématopoïétiques, les polynucléaires matures demeurent dans la moelle pour y former un immense pool de réserve équivalent à près de 15 fois le nombre des polynucléaires circulants eux-mêmes.
- Cette masse de cellules peut être mobilisée rapidement en cas d’infection grave par exemple.
- Le passage des granulocytes au sang circulant se fait, comme dans le cas des réticulocytes, directement à travers la paroi endothéliale des sinus médullaires.
Granulopoïèse: Compartiment médullaire
- Réserves: comment le passage de PN dans le sang se fait-il?
- À la différence des cellules des autres lignées hématopoïétiques, les polynucléaires matures demeurent dans la moelle pour y former un immense pool de réserve équivalent à près de 15 fois le nombre des polynucléaires circulants eux-mêmes.
- Cette masse de cellules peut être mobilisée rapidement en cas d’infection grave par exemple.
- Le passage des granulocytes au sang circulant se fait, comme dans le cas des réticulocytes, directement à travers la paroi endothéliale des sinus médullaires.
Granulopoïèse: Compartiment sanguin
- Le sang périphérique constitue seulement une voie de passage pour les polynucléaires dont la fonction s’exerce principalement dans les tissus.
- La durée de vie de ces cellules est en moyenne d’une dizaine d’heures seulement, soit environ 300 fois plus courte que celle des globules rouges.
- Les polynucléaires du sang sont de plus répartis en deux sous compartiments : un premier appelé circulant proprement dit et un second appelé marginé, puisque cette portion des cellules, sous l’effet de molécules de surface appelées intégrines, demeure fixe, accolée aux parois vasculaires.
- En temps normal, l’importance relative de ces deux sous compartiments est à peu près équivalente (50/50). Il faut bien réaliser que, lors d’une numération sanguine, seule la portion circulante peut être appréciée numériquement.
Granulopoïèse: Compartiment sanguin
- utilité du compartiment sanguin
- Le sang périphérique constitue seulement une voie de passage pour les polynucléaires dont la fonction s’exerce principalement dans les tissus.
- La durée de vie de ces cellules est en moyenne d’une dizaine d’heures seulement, soit environ 300 fois plus courte que celle des globules rouges.
- Les polynucléaires du sang sont de plus répartis en deux sous compartiments : un premier appelé circulant proprement dit et un second appelé marginé, puisque cette portion des cellules, sous l’effet de molécules de surface appelées intégrines, demeure fixe, accolée aux parois vasculaires.
- En temps normal, l’importance relative de ces deux sous compartiments est à peu près équivalente (50/50). Il faut bien réaliser que, lors d’une numération sanguine, seule la portion circulante peut être appréciée numériquement.
Granulopoïèse: Compartiment sanguin
- durée de vie des PN
- Le sang périphérique constitue seulement une voie de passage pour les polynucléaires dont la fonction s’exerce principalement dans les tissus.
- La durée de vie de ces cellules est en moyenne d’une dizaine d’heures seulement, soit environ 300 fois plus courte que celle des globules rouges.
- Les polynucléaires du sang sont de plus répartis en deux sous compartiments : un premier appelé circulant proprement dit et un second appelé marginé, puisque cette portion des cellules, sous l’effet de molécules de surface appelées intégrines, demeure fixe, accolée aux parois vasculaires.
- En temps normal, l’importance relative de ces deux sous compartiments est à peu près équivalente (50/50). Il faut bien réaliser que, lors d’une numération sanguine, seule la portion circulante peut être appréciée numériquement.
Granulopoïèse: Compartiment sanguin
- sous-compartiments
- Le sang périphérique constitue seulement une voie de passage pour les polynucléaires dont la fonction s’exerce principalement dans les tissus.
- La durée de vie de ces cellules est en moyenne d’une dizaine d’heures seulement, soit environ 300 fois plus courte que celle des globules rouges.
- Les polynucléaires du sang sont de plus répartis en deux sous compartiments : un premier appelé circulant proprement dit et un second appelé marginé, puisque cette portion des cellules, sous l’effet de molécules de surface appelées intégrines, demeure fixe, accolée aux parois vasculaires.
- En temps normal, l’importance relative de ces deux sous compartiments est à peu près équivalente (50/50). Il faut bien réaliser que, lors d’une numération sanguine, seule la portion circulante peut être appréciée numériquement.
Granulopoïèse: Compartiment sanguin
- compartiment circulant vs marginé
- Le sang périphérique constitue seulement une voie de passage pour les polynucléaires dont la fonction s’exerce principalement dans les tissus.
- La durée de vie de ces cellules est en moyenne d’une dizaine d’heures seulement, soit environ 300 fois plus courte que celle des globules rouges.
- Les polynucléaires du sang sont de plus répartis en deux sous compartiments : un premier appelé circulant proprement dit et un second appelé marginé, puisque cette portion des cellules, sous l’effet de molécules de surface appelées intégrines, demeure fixe, accolée aux parois vasculaires.
- En temps normal, l’importance relative de ces deux sous compartiments est à peu près équivalente (50/50). Il faut bien réaliser que, lors d’une numération sanguine, seule la portion circulante peut être appréciée numériquement.
Granulopoïèse: Compartiment sanguin
- compartiment circulant vs marginé: proportion
- Le sang périphérique constitue seulement une voie de passage pour les polynucléaires dont la fonction s’exerce principalement dans les tissus.
- La durée de vie de ces cellules est en moyenne d’une dizaine d’heures seulement, soit environ 300 fois plus courte que celle des globules rouges.
- Les polynucléaires du sang sont de plus répartis en deux sous compartiments : un premier appelé circulant proprement dit et un second appelé marginé, puisque cette portion des cellules, sous l’effet de molécules de surface appelées intégrines, demeure fixe, accolée aux parois vasculaires.
- En temps normal, l’importance relative de ces deux sous compartiments est à peu près équivalente (50/50).
- Il faut bien réaliser que, lors d’une numération sanguine, seule la portion circulante peut être appréciée numériquement.
Granulopoïèse: Compartiment tissulaire
- Tôt ou tard, les polynucléaires marginés quittent le sang circulant par diapédèse à travers les parois vasculaires et migrent vers les sites possibles d’invasion microbienne dans les tissus.
- Cette migration est généralement favorisée par une attraction chimique qui incite les cellules à se mouvoir dans la bonne direction plutôt qu’au hasard (le chimiotactisme).
- Lorsque cette migration est suffisamment importante, elle donne rapidement lieu à la formation d’un exsudat inflammatoire purulent, se collectant parfois sous forme d’un abcès.
- Une fois leur fonction de phagocytose accomplie, les polynucléaires sont généralement détruits et remplacés.
Granulopoïèse: Compartiment tissulaire
- les PN dans les tissus viennent d’où?
- Tôt ou tard, les polynucléaires marginés quittent le sang circulant par diapédèse à travers les parois vasculaires et migrent vers les sites possibles d’invasion microbienne dans les tissus.
- Cette migration est généralement favorisée par une attraction chimique qui incite les cellules à se mouvoir dans la bonne direction plutôt qu’au hasard (le chimiotactisme).
- Lorsque cette migration est suffisamment importante, elle donne rapidement lieu à la formation d’un exsudat inflammatoire purulent, se collectant parfois sous forme d’un abcès.
- Une fois leur fonction de phagocytose accomplie, les polynucléaires sont généralement détruits et remplacés.
Granulopoïèse: Compartiment tissulaire
- qu’est-ce que le chimiotactisme?
- Tôt ou tard, les polynucléaires marginés quittent le sang circulant par diapédèse à travers les parois vasculaires et migrent vers les sites possibles d’invasion microbienne dans les tissus.
- Cette migration est généralement favorisée par une attraction chimique qui incite les cellules à se mouvoir dans la bonne direction plutôt qu’au hasard (le chimiotactisme).
- Lorsque cette migration est suffisamment importante, elle donne rapidement lieu à la formation d’un exsudat inflammatoire purulent, se collectant parfois sous forme d’un abcès.
- Une fois leur fonction de phagocytose accomplie, les polynucléaires sont généralement détruits et remplacés.
Granulopoïèse: Compartiment tissulaire
- ce qui se passe lorsque cette migration est suffisament importante
- Tôt ou tard, les polynucléaires marginés quittent le sang circulant par diapédèse à travers les parois vasculaires et migrent vers les sites possibles d’invasion microbienne dans les tissus.
- Cette migration est généralement favorisée par une attraction chimique qui incite les cellules à se mouvoir dans la bonne direction plutôt qu’au hasard (le chimiotactisme).
- Lorsque cette migration est suffisamment importante, elle donne rapidement lieu à la formation d’un exsudat inflammatoire purulent, se collectant parfois sous forme d’un abcès.
- Une fois leur fonction de phagocytose accomplie, les polynucléaires sont généralement détruits et remplacés.
Granulopoïèse: Compartiment tissulaire
- ce qui se passe lorsque une fois que les PN ont accompli leur fonction de phagocytose
- Tôt ou tard, les polynucléaires marginés quittent le sang circulant par diapédèse à travers les parois vasculaires et migrent vers les sites possibles d’invasion microbienne dans les tissus.
- Cette migration est généralement favorisée par une attraction chimique qui incite les cellules à se mouvoir dans la bonne direction plutôt qu’au hasard (le chimiotactisme).
- Lorsque cette migration est suffisamment importante, elle donne rapidement lieu à la formation d’un exsudat inflammatoire purulent, se collectant parfois sous forme d’un abcès.
- Une fois leur fonction de phagocytose accomplie, les polynucléaires sont généralement détruits et remplacés.
Particularités de la granulopoïèse
Bien que analogue à l’érythropoïèse comme système, la granulopoïèse comporte les particularités suivantes :
- L’existence, dans la moelle osseuse, d’un immense compartiment de réserve mobilisable en cas d’urgence.
- Un taux de renouvellement sanguin 300 fois supérieur à celui des érythrocytes, imposé par la survie sanguine très courte des polynucléaires (10-12 heures environ).
- Une répartition cellulaire sanguine en deux sous compartiments dont l’un n’est jamais directement apprécié lors d’une formule sanguine.
- L’existence d’un compartiment tissulaire où s’accomplit la fonction ultime des polynucléaires.
Particularités de la granulopoïèse: Réserves
Bien que analogue à l’érythropoïèse comme système, la granulopoïèse comporte les particularités suivantes :
- L’existence, dans la moelle osseuse, d’un immense compartiment de réserve mobilisable en cas d’urgence.
- Un taux de renouvellement sanguin 300 fois supérieur à celui des érythrocytes, imposé par la survie sanguine très courte des polynucléaires (10-12 heures environ).
- Une répartition cellulaire sanguine en deux sous compartiments dont l’un n’est jamais directement apprécié lors d’une formule sanguine.
- L’existence d’un compartiment tissulaire où s’accomplit la fonction ultime des polynucléaires.
Particularités de la granulopoïèse: Taux de renouvellement
Bien que analogue à l’érythropoïèse comme système, la granulopoïèse comporte les particularités suivantes :
- L’existence, dans la moelle osseuse, d’un immense compartiment de réserve mobilisable en cas d’urgence.
- Un taux de renouvellement sanguin 300 fois supérieur à celui des érythrocytes, imposé par la survie sanguine très courte des polynucléaires (10-12 heures environ).
- Une répartition cellulaire sanguine en deux sous compartiments dont l’un n’est jamais directement apprécié lors d’une formule sanguine.
- L’existence d’un compartiment tissulaire où s’accomplit la fonction ultime des polynucléaires.
Particularités de la granulopoïèse: Répartition des cellules sanguines
Bien que analogue à l’érythropoïèse comme système, la granulopoïèse comporte les particularités suivantes :
- L’existence, dans la moelle osseuse, d’un immense compartiment de réserve mobilisable en cas d’urgence.
- Un taux de renouvellement sanguin 300 fois supérieur à celui des érythrocytes, imposé par la survie sanguine très courte des polynucléaires (10-12 heures environ).
- Une répartition cellulaire sanguine en deux sous compartiments dont l’un n’est jamais directement apprécié lors d’une formule sanguine.
- L’existence d’un compartiment tissulaire où s’accomplit la fonction ultime des polynucléaires.
Particularités de la granulopoïèse: Compartiment particulier
Bien que analogue à l’érythropoïèse comme système, la granulopoïèse comporte les particularités suivantes :
- L’existence, dans la moelle osseuse, d’un immense compartiment de réserve mobilisable en cas d’urgence.
- Un taux de renouvellement sanguin 300 fois supérieur à celui des érythrocytes, imposé par la survie sanguine très courte des polynucléaires (10-12 heures environ).
- Une répartition cellulaire sanguine en deux sous compartiments dont l’un n’est jamais directement apprécié lors d’une formule sanguine.
- L’existence d’un compartiment tissulaire où s’accomplit la fonction ultime des polynucléaires.
Neutropénie: Définition biologique
- La neutropénie est une diminution du nombre absolu des granulocytes neutrophiles circulants (stabs + polynucléaires) en deçà de la limite inférieure des valeurs normales établies.
- Chez l’adulte caucasien normal, il y existe en moyenne de 3,5 à 4,0 milliards (109) de neutrophiles par litre de sang avec un écart qui s’étale entre 2,0 et 7,0 x 109/L.
- Par définition donc, toute diminution du nombre de neutrophiles ayant une valeur absolue inférieure à 2,0 x 109/L constitue une neutropénie.
- Chez l’enfant de 1 à 6 ans, on accepte une valeur de 1,5 x 109 de granulocytes par litre comme limite inférieure de la normale, de sorte que la définition d’une neutropénie doit être ajustée en conséquence.
Neutropénie: Définition biologique
- définition
- La neutropénie est une diminution du nombre absolu des granulocytes neutrophiles circulants (stabs + polynucléaires) en deçà de la limite inférieure des valeurs normales établies.
- Chez l’adulte caucasien normal, il y existe en moyenne de 3,5 à 4,0 milliards (109) de neutrophiles par litre de sang avec un écart qui s’étale entre 2,0 et 7,0 x 109/L.
- Par définition donc, toute diminution du nombre de neutrophiles ayant une valeur absolue inférieure à 2,0 x 109/L constitue une neutropénie.
- Chez l’enfant de 1 à 6 ans, on accepte une valeur de 1,5 x 109 de granulocytes par litre comme limite inférieure de la normale, de sorte que la définition d’une neutropénie doit être ajustée en conséquence.
Neutropénie: Définition biologique
- chez adulte
- La neutropénie est une diminution du nombre absolu des granulocytes neutrophiles circulants (stabs + polynucléaires) en deçà de la limite inférieure des valeurs normales établies.
-
Chez l’adulte caucasien normal, il y existe en moyenne de 3,5 à 4,0 milliards (10^9) de neutrophiles par litre de sang avec un écart qui s’étale entre 2,0 et 7,0 x 10^9/L.
- Par définition donc, toute diminution du nombre de neutrophiles ayant une valeur absolue inférieure à 2,0 x 109/L constitue une neutropénie.
- Chez l’enfant de 1 à 6 ans, on accepte une valeur de 1,5 x 109 de granulocytes par litre comme limite inférieure de la normale, de sorte que la définition d’une neutropénie doit être ajustée en conséquence.
Neutropénie: Définition biologique
- valeurs chez adulte
- La neutropénie est une diminution du nombre absolu des granulocytes neutrophiles circulants (stabs + polynucléaires) en deçà de la limite inférieure des valeurs normales établies.
-
Chez l’adulte caucasien normal, il y existe en moyenne de 3,5 à 4,0 milliards (10^9) de neutrophiles par litre de sang avec un écart qui s’étale entre 2,0 et 7,0 x 10^9/L.
- Par définition donc, toute diminution du nombre de neutrophiles ayant une valeur absolue inférieure à 2,0 x 109/L constitue une neutropénie.
- Chez l’enfant de 1 à 6 ans, on accepte une valeur de 1,5 x 109 de granulocytes par litre comme limite inférieure de la normale, de sorte que la définition d’une neutropénie doit être ajustée en conséquence.
Neutropénie: Définition biologique
- chez enfant
- La neutropénie est une diminution du nombre absolu des granulocytes neutrophiles circulants (stabs + polynucléaires) en deçà de la limite inférieure des valeurs normales établies.
- Chez l’adulte caucasien normal, il y existe en moyenne de 3,5 à 4,0 milliards (109) de neutrophiles par litre de sang avec un écart qui s’étale entre 2,0 et 7,0 x 109/L.
- Par définition donc, toute diminution du nombre de neutrophiles ayant une valeur absolue inférieure à 2,0 x 109/L constitue une neutropénie.
- Chez l’enfant de 1 à 6 ans, on accepte une valeur de 1,5 x 10^9 de granulocytes par litre comme limite inférieure de la normale, de sorte que la définition d’une neutropénie doit être ajustée en conséquence.
Neutropénie: Définition biologique
- valeurs chez enfant
- La neutropénie est une diminution du nombre absolu des granulocytes neutrophiles circulants (stabs + polynucléaires) en deçà de la limite inférieure des valeurs normales établies.
- Chez l’adulte caucasien normal, il y existe en moyenne de 3,5 à 4,0 milliards (109) de neutrophiles par litre de sang avec un écart qui s’étale entre 2,0 et 7,0 x 109/L.
- Par définition donc, toute diminution du nombre de neutrophiles ayant une valeur absolue inférieure à 2,0 x 109/L constitue une neutropénie.
- Chez l’enfant de 1 à 6 ans, on accepte une valeur de 1,5 x 10^9 de granulocytes par litre comme limite inférieure de la normale, de sorte que la définition d’une neutropénie doit être ajustée en conséquence.
Leucocytose totale vs absolue
- Il est toujours extrêmement important de bien faire la distinction entre la leucocytose totale et le nombre absolu des neutrophiles.
- Comme en témoignent les exemples ci-dessous, il peut exister une leucopénie sans neutropénie (Exemple A) de même que, dans certains cas, une hyperleucocytose avec neutropénie (Exemple B).
- Donc, dans le but d’apprécier la présence ou l’absence d’une neutropénie, il faut toujours convertir les valeurs de la différentielle leucocytaire indiquées sur le résultat de la formule sanguine de façon à obtenir le nombre absolu des neutrophiles.
Leucocytose totale vs absolue: Les différencier
- Il est toujours extrêmement important de bien faire la distinction entre la leucocytose totale et le nombre absolu des neutrophiles.
- Comme en témoignent les exemples ci-dessous, il peut exister une leucopénie sans neutropénie (Exemple A) de même que, dans certains cas, une hyperleucocytose avec neutropénie (Exemple B).
- Donc, dans le but d’apprécier la présence ou l’absence d’une neutropénie, il faut toujours convertir les valeurs de la différentielle leucocytaire indiquées sur le résultat de la formule sanguine de façon à obtenir le nombre absolu des neutrophiles.
Neutropénie: Manifestations cliniques
- Les symptômes et signes cliniques d’une neutropénie sont essentiellement liés à la diminution ou à la perte de la fonction phagocytaire de ces cellules et du rôle normal de prévention anti-infectieuse qu’elles jouent dans l’organisme.
Neutropénie: Manifestations cliniques - en général
- Les symptômes et signes cliniques d’une neutropénie sont essentiellement liés à la diminution ou à la perte de la fonction phagocytaire de ces cellules et du rôle normal de prévention anti-infectieuse qu’elles jouent dans l’organisme.
Neutropénie: Manifestations cliniques
- Dans l’agranulocytose
On observe tôt ou tard l’une, l’autre ou plusieurs des manifestations suivantes :
➢ Ulcération des muqueuses (orale, anale, vaginale)
➢ Pharyngite avec dysphagie et adénites cervicales douloureuses
➢ Frissons solennels et température en clocher
➢ Infections cutanées (cellulite, furoncles)
➢ Septicémie avec état de choc éventuellement.
Neutropénie: Manifestations cliniques
- Dans les neutropénies modérées
- On observe surtout une fréquence anormalement grande d’infections bactériennes diverses d’intensité variable selon la sévérité de la neutropénie elle-même.
- Ces infections se manifestent surtout :
➢ Aux voies respiratoires (sinusites, bronchites, pneumonies)
➢ À la peau (furoncles, cellulite)
➢ À la muqueuse digestive (stomatites, gingivites, rectites).
Neutropénie: Manifestations cliniques
- Dans les neutropénies modérées: particularités
- On observe surtout une fréquence anormalement grande d’infections bactériennes diverses d’intensité variable selon la sévérité de la neutropénie elle-même.
- Ces infections se manifestent surtout :
➢ Aux voies respiratoires (sinusites, bronchites, pneumonies)
➢ À la peau (furoncles, cellulite)
➢ À la muqueuse digestive (stomatites, gingivites, rectites).
Neutropénie: Manifestations cliniques
- Dans les neutropénies modérées: quelles sont les structures affectées?
- On observe surtout une fréquence anormalement grande d’infections bactériennes diverses d’intensité variable selon la sévérité de la neutropénie elle-même.
-
Ces infections se manifestent surtout :
➢ Aux voies respiratoires (sinusites, bronchites, pneumonies)
➢ À la peau (furoncles, cellulite)
➢ À la muqueuse digestive (stomatites, gingivites, rectites).
Neutropénie: Manifestations cliniques
- Dans les neutropénies modérées
- Dans un cas comme dans l’autre, la sévérité des manifestations cliniques est fonction de la rapidité d’apparition de la neutropénie et de son importance numérique.
- Les souches microbiennes les plus souvent impliquées dans les infections sont le staphylocoque, l’hemophilus, le pseudomonas, le klebsiella et l’escherichia coli.
- Étant donné l’impossibilité pour l’organisme de former des exsudats chez les patients neutropéniques, il arrive souvent que certaines manifestations cliniques ou radiologiques habituelles ne peuvent être retrouvées chez ces patients, ce qui complique parfois l’appréciation du tableau infectieux.
- Il n’est pas rare, par exemple, que ces patients souffrent d’une pneumonie importante sans image de condensation sur la radiographie du poumon !
- De la même manière, les infections des tissus mous prennent le plus souvent l’aspect d’une cellulite diffuse alors qu’on s’attendrait plutôt à y retrouver un abcès.
Neutropénie: Manifestations cliniques
- Dans les neutropénies modérées: de quoi dépend la sévérité des manifestations cliniques?
- Dans un cas comme dans l’autre, la sévérité des manifestations cliniques est fonction de la rapidité d’apparition de la neutropénie et de son importance numérique.
- Les souches microbiennes les plus souvent impliquées dans les infections sont le staphylocoque, l’hemophilus, le pseudomonas, le klebsiella et l’escherichia coli.
- Étant donné l’impossibilité pour l’organisme de former des exsudats chez les patients neutropéniques, il arrive souvent que certaines manifestations cliniques ou radiologiques habituelles ne peuvent être retrouvées chez ces patients, ce qui complique parfois l’appréciation du tableau infectieux.
- Il n’est pas rare, par exemple, que ces patients souffrent d’une pneumonie importante sans image de condensation sur la radiographie du poumon !
- De la même manière, les infections des tissus mous prennent le plus souvent l’aspect d’une cellulite diffuse alors qu’on s’attendrait plutôt à y retrouver un abcès.
Neutropénie: Manifestations cliniques
- Dans les neutropénies modérées: pathogènes impliqués
- Dans un cas comme dans l’autre, la sévérité des manifestations cliniques est fonction de la rapidité d’apparition de la neutropénie et de son importance numérique.
- Les souches microbiennes les plus souvent impliquées dans les infections sont le staphylocoque, l’hemophilus, le pseudomonas, le klebsiella et l’escherichia coli.
- Étant donné l’impossibilité pour l’organisme de former des exsudats chez les patients neutropéniques, il arrive souvent que certaines manifestations cliniques ou radiologiques habituelles ne peuvent être retrouvées chez ces patients, ce qui complique parfois l’appréciation du tableau infectieux.
- Il n’est pas rare, par exemple, que ces patients souffrent d’une pneumonie importante sans image de condensation sur la radiographie du poumon !
- De la même manière, les infections des tissus mous prennent le plus souvent l’aspect d’une cellulite diffuse alors qu’on s’attendrait plutôt à y retrouver un abcès.
Neutropénie: Manifestations cliniques
- Dans les neutropénies modérées: ce qui complique le dx
- Dans un cas comme dans l’autre, la sévérité des manifestations cliniques est fonction de la rapidité d’apparition de la neutropénie et de son importance numérique.
- Les souches microbiennes les plus souvent impliquées dans les infections sont le staphylocoque, l’hemophilus, le pseudomonas, le klebsiella et l’escherichia coli.
- Étant donné l’impossibilité pour l’organisme de former des exsudats chez les patients neutropéniques, il arrive souvent que certaines manifestations cliniques ou radiologiques habituelles ne peuvent être retrouvées chez ces patients, ce qui complique parfois l’appréciation du tableau infectieux.
- Il n’est pas rare, par exemple, que ces patients souffrent d’une pneumonie importante sans image de condensation sur la radiographie du poumon !
- De la même manière, les infections des tissus mous prennent le plus souvent l’aspect d’une cellulite diffuse alors qu’on s’attendrait plutôt à y retrouver un abcès.
Neutropénie: Manifestations cliniques
- Dans les neutropénies modérées: manifestations possibles des pneumonies et cellulites
- Dans un cas comme dans l’autre, la sévérité des manifestations cliniques est fonction de la rapidité d’apparition de la neutropénie et de son importance numérique.
- Les souches microbiennes les plus souvent impliquées dans les infections sont le staphylocoque, l’hemophilus, le pseudomonas, le klebsiella et l’escherichia coli.
- Étant donné l’impossibilité pour l’organisme de former des exsudats chez les patients neutropéniques, il arrive souvent que certaines manifestations cliniques ou radiologiques habituelles ne peuvent être retrouvées chez ces patients, ce qui complique parfois l’appréciation du tableau infectieux.
- Il n’est pas rare, par exemple, que ces patients souffrent d’une pneumonie importante sans image de condensation sur la radiographie du poumon !
- De la même manière, les infections des tissus mous prennent le plus souvent l’aspect d’une cellulite diffuse alors qu’on s’attendrait plutôt à y retrouver un abcès.
Neutropénie: Manifestations cliniques
- Dans les neutropénies légères
- Il n’y a habituellement aucune symptomatologie et cette condition est presque toujours découverte à l’occasion d’une formule sanguine effectuée pour une autre raison.
Mécanismes de production d’une neutropénie
Les mécanismes physiopathologiques de la neutropénie sont :
- A. Défaut de prolifération, comme c’est le cas, par exemple, dans les neutropénies secondaires à l’administration de chimiothérapie anticancéreuse.
- B. Défaut de maturation, dont l’exemple classique est celui de la neutropénie qui accompagne souvent l’anémie de Biermer.
- C. Survie raccourcie des polynucléaires : ce mécanisme semble prévaloir dans certaines neutropénies immunes associées à la prise de médicaments (Aminopyrine, Quinidine) ou à certaines maladies à caractère auto-immun comme le lupus érythémateux et l’arthrite rhumatoïde.
- D. Margination excessive : ce mécanisme peut donner lieu à l’existence d’une “pseudo-neutropénie”, car le nombre total des granulocytes du compartiment sanguin n’est pas véritablement diminué, seul celui du sous compartiment circulant étant anormal.
Mécanismes de production d’une neutropénie: Défaut de prolifération - décrire
Les mécanismes physiopathologiques de la neutropénie sont :
- A. Défaut de prolifération, comme c’est le cas, par exemple, dans les neutropénies secondaires à l’administration de chimiothérapie anticancéreuse.
- B. Défaut de maturation, dont l’exemple classique est celui de la neutropénie qui accompagne souvent l’anémie de Biermer.
- C. Survie raccourcie des polynucléaires : ce mécanisme semble prévaloir dans certaines neutropénies immunes associées à la prise de médicaments (Aminopyrine, Quinidine) ou à certaines maladies à caractère auto-immun comme le lupus érythémateux et l’arthrite rhumatoïde.
- D. Margination excessive : ce mécanisme peut donner lieu à l’existence d’une “pseudo-neutropénie”, car le nombre total des granulocytes du compartiment sanguin n’est pas véritablement diminué, seul celui du sous compartiment circulant étant anormal.
Mécanismes de production d’une neutropénie: Défaut de maturation - décrire
Les mécanismes physiopathologiques de la neutropénie sont :
- A. Défaut de prolifération, comme c’est le cas, par exemple, dans les neutropénies secondaires à l’administration de chimiothérapie anticancéreuse.
- B. Défaut de maturation, dont l’exemple classique est celui de la neutropénie qui accompagne souvent l’anémie de Biermer.
- C. Survie raccourcie des polynucléaires : ce mécanisme semble prévaloir dans certaines neutropénies immunes associées à la prise de médicaments (Aminopyrine, Quinidine) ou à certaines maladies à caractère auto-immun comme le lupus érythémateux et l’arthrite rhumatoïde.
- D. Margination excessive : ce mécanisme peut donner lieu à l’existence d’une “pseudo-neutropénie”, car le nombre total des granulocytes du compartiment sanguin n’est pas véritablement diminué, seul celui du sous compartiment circulant étant anormal.
Mécanismes de production d’une neutropénie: Survie raccourcie - décrire
Les mécanismes physiopathologiques de la neutropénie sont :
- A. Défaut de prolifération, comme c’est le cas, par exemple, dans les neutropénies secondaires à l’administration de chimiothérapie anticancéreuse.
- B. Défaut de maturation, dont l’exemple classique est celui de la neutropénie qui accompagne souvent l’anémie de Biermer.
- C. Survie raccourcie des polynucléaires : ce mécanisme semble prévaloir dans certaines neutropénies immunes associées à la prise de médicaments (Aminopyrine, Quinidine) ou à certaines maladies à caractère auto-immun comme le lupus érythémateux et l’arthrite rhumatoïde.
- D. Margination excessive : ce mécanisme peut donner lieu à l’existence d’une “pseudo-neutropénie”, car le nombre total des granulocytes du compartiment sanguin n’est pas véritablement diminué, seul celui du sous compartiment circulant étant anormal.
Mécanismes de production d’une neutropénie: Margination excessive - décrire
Les mécanismes physiopathologiques de la neutropénie sont :
- A. Défaut de prolifération, comme c’est le cas, par exemple, dans les neutropénies secondaires à l’administration de chimiothérapie anticancéreuse.
- B. Défaut de maturation, dont l’exemple classique est celui de la neutropénie qui accompagne souvent l’anémie de Biermer.
- C. Survie raccourcie des polynucléaires : ce mécanisme semble prévaloir dans certaines neutropénies immunes associées à la prise de médicaments (Aminopyrine, Quinidine) ou à certaines maladies à caractère auto-immun comme le lupus érythémateux et l’arthrite rhumatoïde.
- D. Margination excessive : ce mécanisme peut donner lieu à l’existence d’une “pseudo-neutropénie”, car le nombre total des granulocytes du compartiment sanguin n’est pas véritablement diminué, seul celui du sous compartiment circulant étant anormal.
Classification des neutropénies
- Contrairement au cas de l’anémie, il n’existe pas actuellement d’épreuves de laboratoire simples et efficaces permettant au clinicien d’apprécier la cinétique des divers compartiments de la granulopoïèse sauf, peut-être, pour un examen quantitatif et qualitatif du contenu de la moelle osseuse par ponction ou biopsie.
- Il demeure difficile sinon impossible dans bien des cas d’identifier en clinique le mécanisme probable d’une neutropénie. Pour cette raison, une classification qui serait fondée sur la physiopathologie n’apparaît guère utile en pratique.
- Par contre, après avoir éliminé toutes les neutropénies qui font partie d’un syndrome hématologique plus complexe, comme une pancytopénie, on peut classifier les neutropénies isolées ou sélectives en se fondant sur les principaux contextes cliniques qui les accompagnent.
- Une telle classification apparaît au tableau 1-3.
Classification des neutropénies: Tests de labo utiles
- Contrairement au cas de l’anémie, il n’existe pas actuellement d’épreuves de laboratoire simples et efficaces permettant au clinicien d’apprécier la cinétique des divers compartiments de la granulopoïèse sauf, peut-être, pour un examen quantitatif et qualitatif du contenu de la moelle osseuse par ponction ou biopsie.
- Il demeure difficile sinon impossible dans bien des cas d’identifier en clinique le mécanisme probable d’une neutropénie. Pour cette raison, une classification qui serait fondée sur la physiopathologie n’apparaît guère utile en pratique.
- Par contre, après avoir éliminé toutes les neutropénies qui font partie d’un syndrome hématologique plus complexe, comme une pancytopénie, on peut classifier les neutropénies isolées ou sélectives en se fondant sur les principaux contextes cliniques qui les accompagnent.
- Une telle classification apparaît au tableau 1-3.
Classification des neutropénies: Tests diagnostiques
- Contrairement au cas de l’anémie, il n’existe pas actuellement d’épreuves de laboratoire simples et efficaces permettant au clinicien d’apprécier la cinétique des divers compartiments de la granulopoïèse sauf, peut-être, pour un examen quantitatif et qualitatif du contenu de la moelle osseuse par ponction ou biopsie.
- Il demeure difficile sinon impossible dans bien des cas d’identifier en clinique le mécanisme probable d’une neutropénie. Pour cette raison, une classification qui serait fondée sur la physiopathologie n’apparaît guère utile en pratique.
- Par contre, après avoir éliminé toutes les neutropénies qui font partie d’un syndrome hématologique plus complexe, comme une pancytopénie, on peut classifier les neutropénies isolées ou sélectives en se fondant sur les principaux contextes cliniques qui les accompagnent.
- Une telle classification apparaît au tableau 1-3.
Classification des neutropénies: Identification du mécanisme
- Contrairement au cas de l’anémie, il n’existe pas actuellement d’épreuves de laboratoire simples et efficaces permettant au clinicien d’apprécier la cinétique des divers compartiments de la granulopoïèse sauf, peut-être, pour un examen quantitatif et qualitatif du contenu de la moelle osseuse par ponction ou biopsie.
- Il demeure difficile sinon impossible dans bien des cas d’identifier en clinique le mécanisme probable d’une neutropénie. Pour cette raison, une classification qui serait fondée sur la physiopathologie n’apparaît guère utile en pratique.
- Par contre, après avoir éliminé toutes les neutropénies qui font partie d’un syndrome hématologique plus complexe, comme une pancytopénie, on peut classifier les neutropénies isolées ou sélectives en se fondant sur les principaux contextes cliniques qui les accompagnent.
- Une telle classification apparaît au tableau 1-3.
Classification des neutropénies: Type de classification utilisé
- Contrairement au cas de l’anémie, il n’existe pas actuellement d’épreuves de laboratoire simples et efficaces permettant au clinicien d’apprécier la cinétique des divers compartiments de la granulopoïèse sauf, peut-être, pour un examen quantitatif et qualitatif du contenu de la moelle osseuse par ponction ou biopsie.
- Il demeure difficile sinon impossible dans bien des cas d’identifier en clinique le mécanisme probable d’une neutropénie.
- Pour cette raison, une classification qui serait fondée sur la physiopathologie n’apparaît guère utile en pratique.
- Par contre, après avoir éliminé toutes les neutropénies qui font partie d’un syndrome hématologique plus complexe, comme une pancytopénie, on peut classifier les neutropénies isolées ou sélectives en se fondant sur les principaux contextes cliniques qui les accompagnent.
- Une telle classification apparaît au tableau 1-3.
Tableau de classification des neutropénies
Schéma de classification des neutropénies: Nommez les principales causes
- Toxique
- Agranulocytose:
- Médicamenteuse (prévisible ex. chimio vs idiosynchrasique)
- Post-irradiation
- Agranulocytose:
- Infectieuse
- Bactérienne (ex. “neutropénie paradoxale”)
- Virale (ex. mononucléose infectieuse)
- Fungique
- Auto-immune
- Lupus érythrémateux disséminé
- Arthrite rhumatoïde
- Collagénoses
- Idiopathique
- Congénitale
- Neutropénie chronique idiopathique
- Acquise
- Neutropénie chronique
- Neutropénie cyclique
- Neutropénie ethnique idiopathique
- Congénitale
Schéma de classification des neutropénies: Toxique
- nommez les causes
-
Toxique
-
Agranulocytose:
- Médicamenteuse (prévisible ex. chimio vs idiosynchrasique)
- Post-irradiation
-
Agranulocytose:
- Infectieuse
- Bactérienne (ex. “neutropénie paradoxale”)
- Virale (ex. mononucléose infectieuse)
- Fungique
- Auto-immune
- Lupus érythrémateux disséminé
- Arthrite rhumatoïde
- Collagénoses
- Idiopathique
- Congénitale
- Neutropénie chronique idiopathique
- Acquise
- Neutropénie chronique
- Neutropénie cyclique
- Neutropénie ethnique idiopathique
- Congénitale
Schéma de classification des neutropénies: Infectieux
- Nommez les causes
- Toxique
- Agranulocytose:
- Médicamenteuse (prévisible ex. chimio vs idiosynchrasique)
- Post-irradiation
- Agranulocytose:
-
Infectieuse
- Bactérienne (ex. “neutropénie paradoxale”)
- Virale (ex. mononucléose infectieuse)
- Fungique
- Auto-immune
- Lupus érythrémateux disséminé
- Arthrite rhumatoïde
- Collagénoses
- Idiopathique
- Congénitale
- Neutropénie chronique idiopathique
- Acquise
- Neutropénie chronique
- Neutropénie cyclique
- Neutropénie ethnique idiopathique
- Congénitale
Schéma de classification des neutropénies: Auto-immune
- Nommez les causes
- Toxique
- Agranulocytose:
- Médicamenteuse (prévisible ex. chimio vs idiosynchrasique)
- Post-irradiation
- Agranulocytose:
- Infectieuse
- Bactérienne (ex. “neutropénie paradoxale”)
- Virale (ex. mononucléose infectieuse)
- Fungique
-
Auto-immune
- Lupus érythrémateux disséminé
- Arthrite rhumatoïde
- Collagénoses
- Idiopathique
- Congénitale
- Neutropénie chronique idiopathique
- Acquise
- Neutropénie chronique
- Neutropénie cyclique
- Neutropénie ethnique idiopathique
- Congénitale
Schéma de classification des neutropénies: Idiopathique
- Nommez les causes
- Toxique
- Agranulocytose:
- Médicamenteuse (prévisible ex. chimio vs idiosynchrasique)
- Post-irradiation
- Agranulocytose:
- Infectieuse
- Bactérienne (ex. “neutropénie paradoxale”)
- Virale (ex. mononucléose infectieuse)
- Fungique
- Auto-immune
- Lupus érythrémateux disséminé
- Arthrite rhumatoïde
- Collagénoses
-
Idiopathique
-
Congénitale
- Neutropénie chronique idiopathique
-
Acquise
- Neutropénie chronique
- Neutropénie cyclique
- Neutropénie ethnique idiopathique
-
Congénitale
Neutropénies associées à la prise de médicaments
- La prise de médicaments constitue probablement à l’heure actuelle la cause la plus fréquente de neutropénie isolée, pouvant être légère ou sévère comme dans les cas d’agranulocytoses pures.
- Dans tout cas de neutropénie n’ayant pas d’explication plus évidente, il faut donc toujours soupçonner en premier lieu un effet médicamenteux.
- Une liste abrégée des médicaments classés parmi les plus susceptibles de causer une neutropénie est donnée au tableau 1-4.
Neutropénies associées à la prise de médicaments: Fréquence
- La prise de médicaments constitue probablement à l’heure actuelle la cause la plus fréquente de neutropénie isolée, pouvant être légère ou sévère comme dans les cas d’agranulocytoses pures.
- Dans tout cas de neutropénie n’ayant pas d’explication plus évidente, il faut donc toujours soupçonner en premier lieu un effet médicamenteux.
- Une liste abrégée des médicaments classés parmi les plus susceptibles de causer une neutropénie est donnée au tableau 1-4.
Neutropénies associées à la prise de médicaments: Les suspectées quand?
- La prise de médicaments constitue probablement à l’heure actuelle la cause la plus fréquente de neutropénie isolée, pouvant être légère ou sévère comme dans les cas d’agranulocytoses pures.
- Dans tout cas de neutropénie n’ayant pas d’explication plus évidente, il faut donc toujours soupçonner en premier lieu un effet médicamenteux.
- Une liste abrégée des médicaments classés parmi les plus susceptibles de causer une neutropénie est donnée au tableau 1-4.
Neutropénies d’origine médicamenteuse
- En pratique, une neutropénie médicamenteuse peut être causée par 2 principaux mécanismes : la diminution de prolifération et la destruction excessive par mécanisme immun.
- Une agranulocytose sévère peut survenir de façon brutale et totalement inattendue (idiosyncrasie) ou encore de manière plus progressive et partiellement prévisible. Parmi les principales catégories de médicaments impliqués, il faut retenir :
- Chimiothérapie anticancéreuse
- Anti-inflammatoires ou antipyrétiques
- Dérivé des sulfamidés
- Antibiotiques
Neutropénies d’origine médicamenteuse: Mécanismes en cause
- En pratique, une neutropénie médicamenteuse peut être causée par 2 principaux mécanismes : la diminution de prolifération et la destruction excessive par mécanisme immun.
- Une agranulocytose sévère peut survenir de façon brutale et totalement inattendue (idiosyncrasie) ou encore de manière plus progressive et partiellement prévisible. Parmi les principales catégories de médicaments impliqués, il faut retenir :
- Chimiothérapie anticancéreuse
- Anti-inflammatoires ou antipyrétiques
- Dérivé des sulfamidés
- Antibiotiques
Neutropénies d’origine médicamenteuse: Survient en aigu ou chronique?
- En pratique, une neutropénie médicamenteuse peut être causée par 2 principaux mécanismes : la diminution de prolifération et la destruction excessive par mécanisme immun.
- Une agranulocytose sévère peut survenir de façon brutale et totalement inattendue (idiosyncrasie) ou encore de manière plus progressive et partiellement prévisible.
- Parmi les principales catégories de médicaments impliqués, il faut retenir :
- Chimiothérapie anticancéreuse
- Anti-inflammatoires ou antipyrétiques
- Dérivé des sulfamidés
- Antibiotiques
Neutropénies d’origine médicamenteuse: Nommez les catégories de médicaments impliqués
- En pratique, une neutropénie médicamenteuse peut être causée par 2 principaux mécanismes : la diminution de prolifération et la destruction excessive par mécanisme immun.
- Une agranulocytose sévère peut survenir de façon brutale et totalement inattendue (idiosyncrasie) ou encore de manière plus progressive et partiellement prévisible.
-
Parmi les principales catégories de médicaments impliqués, il faut retenir :
- Chimiothérapie anticancéreuse
- Anti-inflammatoires ou antipyrétiques
- Dérivé des sulfamidés
- Antibiotiques
Neutropénies d’origine médicamenteuse: Chimiotx médicamenteuse
- La grande majorité des médicaments utilisés en chimiothérapie du cancer ont pour effet de diminuer la prolifération cellulaire.
- La neutropénie constitue l’un des effets secondaires les plus fréquents et les plus à craindre de cette forme de traitement.
- Certaines formes de cancer (comme la leucémie aiguë) nécessitent des doses de chimiothérapie telles qu’une aplasie médullaire avec agranulocytose profonde s’ensuit nécessairement pour une période pouvant aller jusqu’à trois semaines.
- Heureusement, cette neutropénie sévère est toujours réversible à moins qu’une infection fatale ne survienne entre-temps.