Adénopathies réactionnelles Flashcards
Adénopathies: Approche clinique
- Les ganglions, dérivés du mésoderme, sont des petites formations allongées servant de relais immunologiques interposés sur le trajet des vaisseaux lymphatiques un peu partout dans l’organisme.
- Comme la rate, et les plaques de Peyer, ils font partie des organes lymphatiques dits périphériques.
- Les ganglions sont nombreux (de 500 à 600) et généralement très petits : leur diamètre varie de 1 à 5 mm (0,5 cm), parfois jusqu’à 1 cm dans les chaînes profondes. Ils sont donc rarement palpables à l’état normal, ou visibles sur des radiographies.
- Lorsqu’ils sont augmentés de volume (>1 cm de diamètre) on parle alors d’adénomégalie ou d’adénopathie.
Adénopathies: Approche clinique
- de quoi sont dérivés les ganglions?
- Les ganglions, dérivés du mésoderme, sont des petites formations allongées servant de relais immunologiques interposés sur le trajet des vaisseaux lymphatiques un peu partout dans l’organisme.
- Comme la rate, et les plaques de Peyer, ils font partie des organes lymphatiques dits périphériques.
- Les ganglions sont nombreux (de 500 à 600) et généralement très petits : leur diamètre varie de 1 à 5 mm (0,5 cm), parfois jusqu’à 1 cm dans les chaînes profondes. Ils sont donc rarement palpables à l’état normal, ou visibles sur des radiographies.
- Lorsqu’ils sont augmentés de volume (>1 cm de diamètre) on parle alors d’adénomégalie ou d’adénopathie.
Adénopathies: Approche clinique
- décire les ganglions
- Les ganglions, dérivés du mésoderme, sont des petites formations allongées servant de relais immunologiques interposés sur le trajet des vaisseaux lymphatiques un peu partout dans l’organisme.
- Comme la rate, et les plaques de Peyer, ils font partie des organes lymphatiques dits périphériques.
- Les ganglions sont nombreux (de 500 à 600) et généralement très petits : leur diamètre varie de 1 à 5 mm (0,5 cm), parfois jusqu’à 1 cm dans les chaînes profondes. Ils sont donc rarement palpables à l’état normal, ou visibles sur des radiographies.
- Lorsqu’ils sont augmentés de volume (>1 cm de diamètre) on parle alors d’adénomégalie ou d’adénopathie.
Adénopathies: Approche clinique
- nommez les organes périphériques
- Les ganglions, dérivés du mésoderme, sont des petites formations allongées servant de relais immunologiques interposés sur le trajet des vaisseaux lymphatiques un peu partout dans l’organisme.
- Comme la rate, et les plaques de Peyer, ils font partie des organes lymphatiques dits périphériques.
- Les ganglions sont nombreux (de 500 à 600) et généralement très petits : leur diamètre varie de 1 à 5 mm (0,5 cm), parfois jusqu’à 1 cm dans les chaînes profondes. Ils sont donc rarement palpables à l’état normal, ou visibles sur des radiographies.
- Lorsqu’ils sont augmentés de volume (>1 cm de diamètre) on parle alors d’adénomégalie ou d’adénopathie.
Adénopathies: Approche clinique
- nombre de ganglions
- Les ganglions, dérivés du mésoderme, sont des petites formations allongées servant de relais immunologiques interposés sur le trajet des vaisseaux lymphatiques un peu partout dans l’organisme.
- Comme la rate, et les plaques de Peyer, ils font partie des organes lymphatiques dits périphériques.
- Les ganglions sont nombreux (de 500 à 600) et généralement très petits : leur diamètre varie de 1 à 5 mm (0,5 cm), parfois jusqu’à 1 cm dans les chaînes profondes. Ils sont donc rarement palpables à l’état normal, ou visibles sur des radiographies.
- Lorsqu’ils sont augmentés de volume (>1 cm de diamètre) on parle alors d’adénomégalie ou d’adénopathie.
Adénopathies: Approche clinique
- grosseur des ganglions
- Les ganglions, dérivés du mésoderme, sont des petites formations allongées servant de relais immunologiques interposés sur le trajet des vaisseaux lymphatiques un peu partout dans l’organisme.
- Comme la rate, et les plaques de Peyer, ils font partie des organes lymphatiques dits périphériques.
- Les ganglions sont nombreux (de 500 à 600) et généralement très petits : leur diamètre varie de 1 à 5 mm (0,5 cm), parfois jusqu’à 1 cm dans les chaînes profondes.
- Ils sont donc rarement palpables à l’état normal, ou visibles sur des radiographies.
- Lorsqu’ils sont augmentés de volume (>1 cm de diamètre) on parle alors d’adénomégalie ou d’adénopathie.
Adénopathies: Approche clinique
- palpables à l’état normal?
- Les ganglions, dérivés du mésoderme, sont des petites formations allongées servant de relais immunologiques interposés sur le trajet des vaisseaux lymphatiques un peu partout dans l’organisme.
- Comme la rate, et les plaques de Peyer, ils font partie des organes lymphatiques dits périphériques.
- Les ganglions sont nombreux (de 500 à 600) et généralement très petits : leur diamètre varie de 1 à 5 mm (0,5 cm), parfois jusqu’à 1 cm dans les chaînes profondes.
- Ils sont donc rarement palpables à l’état normal, ou visibles sur des radiographies.
- Lorsqu’ils sont augmentés de volume (>1 cm de diamètre) on parle alors d’adénomégalie ou d’adénopathie.
Adénopathies: Approche clinique
- comment on appelle des ganglions augmentés de volume?
- Les ganglions, dérivés du mésoderme, sont des petites formations allongées servant de relais immunologiques interposés sur le trajet des vaisseaux lymphatiques un peu partout dans l’organisme.
- Comme la rate, et les plaques de Peyer, ils font partie des organes lymphatiques dits périphériques.
- Les ganglions sont nombreux (de 500 à 600) et généralement très petits : leur diamètre varie de 1 à 5 mm (0,5 cm), parfois jusqu’à 1 cm dans les chaînes profondes. Ils sont donc rarement palpables à l’état normal, ou visibles sur des radiographies.
- Lorsqu’ils sont augmentés de volume (>1 cm de diamètre) on parle alors d’adénomégalie ou d’adénopathie.
Ganglions: Rappel anatomique
- Bien que répartis un peu partout le long du système lymphatique, les ganglions ont tendance à se regrouper dans certains territoires appelés chaînes ganglionnaires où ils drainent la lymphe provenant des diverses régions anatomiques de l’organisme.
Ganglions: Rappel anatomique
- qu’est-ce que des chaînes ganglionnaires?
- Bien que répartis un peu partout le long du système lymphatique, les ganglions ont tendance à se regrouper dans certains territoires appelés chaînes ganglionnaires où ils drainent la lymphe provenant des diverses régions anatomiques de l’organisme.
Chaînes ganglionnaires: Nommez-les
- Chaînes supérieures
* Aire sous-mentonnière
* Aires sous-mandibulaires
* Aires amygdaliennes - Chaînes cervicales
* Antérieures superficielles
* Antérieures profondes
* Postérieures - Aires sus-claviculaires
- Aires axillaires
- Aires inguinales et fémorales (ou crurales)
- Aires hilaires et médiastinales
- Aires rétropéritonéales et iliaques
- Aires mésentériques
Chaînes ganglionnaires: Nommez les différentes chaînes supérieures
-
Chaînes supérieures
* Aire sous-mentonnière
* Aires sous-mandibulaires
* Aires amygdaliennes - Chaînes cervicales
* Antérieures superficielles
* Antérieures profondes
* Postérieures - Aires sus-claviculaires
- Aires axillaires
- Aires inguinales et fémorales (ou crurales)
- Aires hilaires et médiastinales
- Aires rétropéritonéales et iliaques
- Aires mésentériques
Chaînes ganglionnaires: Nommez les différentes chaînes cervicales
- Chaînes supérieures
* Aire sous-mentonnière
* Aires sous-mandibulaires
* Aires amygdaliennes -
Chaînes cervicales
* Antérieures superficielles
* Antérieures profondes
* Postérieures - Aires sus-claviculaires
- Aires axillaires
- Aires inguinales et fémorales (ou crurales)
- Aires hilaires et médiastinales
- Aires rétropéritonéales et iliaques
- Aires mésentériques
Dire le territoire drainé par: Chaînes supérieures
- Nez
- Bouche
- Langue
- Pharynx
- Dents
Dire le territoire drainé par: Chaînes cervicales
- Antérieures superificielles: Oreille inférieure et Parotide
- Antérieures profondes: Oreille – Cou - Langue – Trachée – Pharynx - Cavité nasale – Palais – Oesophage – Thyroïde
- Postérieures: Oreille - Cou - Pharynx
Dire le territoire drainé par: Aires sus-claviculaires
- Thyroïde
- Œsophage supérieur
- Région mammaire
- Thorax et abdomen supérieur
- Ganglions sus-claviculaires gauches = organes sousdiaphragmatiques Ex : ganglion de Troisier (estomac)
- Ganglions sus-claviculaires droits = organes sus-diaphragmatiques
Dire le territoire drainé par: Aires axillaires
- Membres supérieurs
- Seins
Dire le territoire drainé par: Aires inguinales et fémorales (ou crurales)
- Membres inférieurs
- Organes génitaux
- Anus
Dire le territoire drainé par: Aires hilaires et médiastinales
- Trachée, bronches - poumons - larynx
Dire le territoire drainé par: Aires rétropéritonéales et iliaque
- Organes pelviens - rein - membres inférieurs
Dire le territoire drainé par: Aires mésentériques
Intestin
Caractéristiques générales des adénopathies: Aiguës
- Volume variable (> 1 cm) - douloureux spontanément et sensibles à la palpation mobiles.
- La consistance est plutôt molle et parfois il peut y avoir fluctuation.
- Le problème est différent selon que l’adénopathie est localisée/régionale, ou si elle est généralisée.
Caractéristiques générales des adénopathies: Aiguës
- volume
- Volume variable (> 1 cm) - douloureux spontanément et sensibles à la palpation mobiles.
- La consistance est plutôt molle et parfois il peut y avoir fluctuation.
- Le problème est différent selon que l’adénopathie est localisée/régionale, ou si elle est généralisée.
Caractéristiques générales des adénopathies: Aiguës
- douleur?
- Volume variable (> 1 cm) - douloureux spontanément et sensibles à la palpation mobiles.
- La consistance est plutôt molle et parfois il peut y avoir fluctuation.
- Le problème est différent selon que l’adénopathie est localisée/régionale, ou si elle est généralisée.
Caractéristiques générales des adénopathies: Aiguës
- consistance
- Volume variable (> 1 cm) - douloureux spontanément et sensibles à la palpation mobiles.
- La consistance est plutôt molle et parfois il peut y avoir fluctuation.
- Le problème est différent selon que l’adénopathie est localisée/régionale, ou si elle est généralisée.
Caractéristiques générales des adénopathies: Aiguës
- comment différencier la cause du problème?
- Volume variable (> 1 cm) - douloureux spontanément et sensibles à la palpation mobiles.
- La consistance est plutôt molle et parfois il peut y avoir fluctuation.
- Le problème est différent selon que l’adénopathie est localisée/régionale, ou si elle est généralisée.
Caractéristiques générales des adénopathies: Aiguës
- Locorégionale
- La localisation, la mobilité et la consistance permettent généralement d’éviter la confusion avec des lésions telles un kyste, un lipome infecté, une inflammation de glandes salivaires, une hydro-adénite (à l’aisselle en particulier).
- Ne pas confondre une artère fémorale saillante (athérosclérose) avec une adénomégalie.
- L’artère est pulsatile.
- Dans la région inguinale, attention de ne pas confondre avec une hernie inguinale, souvent proéminente en position verticale mais qui disparaît en position déclive.
Caractéristiques générales des adénopathies: Aiguës
- Locorégionale: utilité de connaître la localisation
- La localisation, la mobilité et la consistance permettent généralement d’éviter la confusion avec des lésions telles un kyste, un lipome infecté, une inflammation de glandes salivaires, une hydro-adénite (à l’aisselle en particulier).
- Ne pas confondre une artère fémorale saillante (athérosclérose) avec une adénomégalie.
- L’artère est pulsatile.
- Dans la région inguinale, attention de ne pas confondre avec une hernie inguinale, souvent proéminente en position verticale mais qui disparaît en position déclive.
Caractéristiques générales des adénopathies: Aiguës
- Locorégionale: ne pas confondre l’adénopathie avec quoi?
- La localisation, la mobilité et la consistance permettent généralement d’éviter la confusion avec des lésions telles un kyste, un lipome infecté, une inflammation de glandes salivaires, une hydro-adénite (à l’aisselle en particulier).
- Ne pas confondre une artère fémorale saillante (athérosclérose) avec une adénomégalie.
- L’artère est pulsatile.
- Dans la région inguinale, attention de ne pas confondre avec une hernie inguinale, souvent proéminente en position verticale mais qui disparaît en position déclive.
Caractéristiques générales des adénopathies: Aiguës
- Locorégionale: comment différencier l’artère fémorale saillante vs adénomégalie?
- La localisation, la mobilité et la consistance permettent généralement d’éviter la confusion avec des lésions telles un kyste, un lipome infecté, une inflammation de glandes salivaires, une hydro-adénite (à l’aisselle en particulier).
- Ne pas confondre une artère fémorale saillante (athérosclérose) avec une adénomégalie.
- L’artère est pulsatile.
- Dans la région inguinale, attention de ne pas confondre avec une hernie inguinale, souvent proéminente en position verticale mais qui disparaît en position déclive.
Caractéristiques générales des adénopathies: Aiguës
- Locorégionale: ddx dans la région inguinale
- La localisation, la mobilité et la consistance permettent généralement d’éviter la confusion avec des lésions telles un kyste, un lipome infecté, une inflammation de glandes salivaires, une hydro-adénite (à l’aisselle en particulier).
- Ne pas confondre une artère fémorale saillante (athérosclérose) avec une adénomégalie.
- L’artère est pulsatile.
- Dans la région inguinale, attention de ne pas confondre avec une hernie inguinale, souvent proéminente en position verticale mais qui disparaît en position déclive.
Caractéristiques générales des adénopathies: Aiguës
Devant une adénopathie aiguë locale ou locorégionale, il faut chercher :
- a) avant tout une cause infectieuse dans le voisinage ou dans le territoire correspondant : ex: ganglions cervicaux : infection de la sphère ORL, des dents, du cuir chevelu ex: ganglions axillaires : blessure aux membres supérieurs, griffure chat ou autre, infection de la peau, cellulite, etc.
- b) la présence d’autres adénopathies;
- c) en l’absence de cause infectieuse, se méfier d’une néoplasie du territoire correspondant, car dans certains cas, la croissance rapide de ganglions métastatiques s’accompagne de phénomènes inflammatoires qui donnent temporairement à ces ganglions un aspect réactionnel. De même, un lymphome (hodgkinien ou non hodgkinien) peut avoir un début locorégional et les ganglions peuvent prendre les caractères d’adénopathies aiguës avec parfois diminution spontanée ou régression complète, temporaire, des masses ganglionnaires.
Caractéristiques générales des adénopathies: Aiguës
- il faut chercher quoi dans le cas d’ADNP locorégionale?
Devant une adénopathie aiguë locale ou locorégionale, il faut chercher :
- a) avant tout une cause infectieuse dans le voisinage ou dans le territoire correspondant :
- ex: ganglions cervicaux : infection de la sphère ORL, des dents, du cuir chevelu
- ex: ganglions axillaires : blessure aux membres supérieurs, griffure chat ou autre, infection de la peau, cellulite, etc.
- b) la présence d’autres adénopathies;
- c) en l’absence de cause infectieuse, se méfier d’une néoplasie du territoire correspondant, car dans certains cas, la croissance rapide de ganglions métastatiques s’accompagne de phénomènes inflammatoires qui donnent temporairement à ces ganglions un aspect réactionnel. De même, un lymphome (hodgkinien ou non hodgkinien) peut avoir un début locorégional et les ganglions peuvent prendre les caractères d’adénopathies aiguës avec parfois diminution spontanée ou régression complète, temporaire, des masses ganglionnaires.
Caractéristiques générales des adénopathies: Aiguës
- chercher cause infectieuse
Devant une adénopathie aiguë locale ou locorégionale, il faut chercher :
- a) avant tout une cause infectieuse dans le voisinage ou dans le territoire correspondant :
- ex: ganglions cervicaux : infection de la sphère ORL, des dents, du cuir chevelu
- ex: ganglions axillaires : blessure aux membres supérieurs, griffure chat ou autre, infection de la peau, cellulite, etc.
- b) la présence d’autres adénopathies;
- c) en l’absence de cause infectieuse, se méfier d’une néoplasie du territoire correspondant, car dans certains cas, la croissance rapide de ganglions métastatiques s’accompagne de phénomènes inflammatoires qui donnent temporairement à ces ganglions un aspect réactionnel. De même, un lymphome (hodgkinien ou non hodgkinien) peut avoir un début locorégional et les ganglions peuvent prendre les caractères d’adénopathies aiguës avec parfois diminution spontanée ou régression complète, temporaire, des masses ganglionnaires.
Caractéristiques générales des adénopathies: Aiguës
- cause infectieuse –> ganglions cervicaux
Devant une adénopathie aiguë locale ou locorégionale, il faut chercher :
- a) avant tout une cause infectieuse dans le voisinage ou dans le territoire correspondant :
- ex: ganglions cervicaux : infection de la sphère ORL, des dents, du cuir chevelu
- ex: ganglions axillaires : blessure aux membres supérieurs, griffure chat ou autre, infection de la peau, cellulite, etc.
- b) la présence d’autres adénopathies;
- c) en l’absence de cause infectieuse, se méfier d’une néoplasie du territoire correspondant, car dans certains cas, la croissance rapide de ganglions métastatiques s’accompagne de phénomènes inflammatoires qui donnent temporairement à ces ganglions un aspect réactionnel. De même, un lymphome (hodgkinien ou non hodgkinien) peut avoir un début locorégional et les ganglions peuvent prendre les caractères d’adénopathies aiguës avec parfois diminution spontanée ou régression complète, temporaire, des masses ganglionnaires.
Caractéristiques générales des adénopathies: Aiguës
- cause infectieuse –> ganglions axillaires
Devant une adénopathie aiguë locale ou locorégionale, il faut chercher :
- a) avant tout une cause infectieuse dans le voisinage ou dans le territoire correspondant :
- ex: ganglions cervicaux : infection de la sphère ORL, des dents, du cuir chevelu
- ex: ganglions axillaires : blessure aux membres supérieurs, griffure chat ou autre, infection de la peau, cellulite, etc.
- b) la présence d’autres adénopathies;
- c) en l’absence de cause infectieuse, se méfier d’une néoplasie du territoire correspondant, car dans certains cas, la croissance rapide de ganglions métastatiques s’accompagne de phénomènes inflammatoires qui donnent temporairement à ces ganglions un aspect réactionnel. De même, un lymphome (hodgkinien ou non hodgkinien) peut avoir un début locorégional et les ganglions peuvent prendre les caractères d’adénopathies aiguës avec parfois diminution spontanée ou régression complète, temporaire, des masses ganglionnaires.
Caractéristiques générales des adénopathies: Aiguës
- chercher autres ADNP
Devant une adénopathie aiguë locale ou locorégionale, il faut chercher :
- a) avant tout une cause infectieuse dans le voisinage ou dans le territoire correspondant :
- ex: ganglions cervicaux : infection de la sphère ORL, des dents, du cuir chevelu
- ex: ganglions axillaires : blessure aux membres supérieurs, griffure chat ou autre, infection de la peau, cellulite, etc.
- b) la présence d’autres adénopathies;
- c) en l’absence de cause infectieuse, se méfier d’une néoplasie du territoire correspondant, car dans certains cas, la croissance rapide de ganglions métastatiques s’accompagne de phénomènes inflammatoires qui donnent temporairement à ces ganglions un aspect réactionnel. De même, un lymphome (hodgkinien ou non hodgkinien) peut avoir un début locorégional et les ganglions peuvent prendre les caractères d’adénopathies aiguës avec parfois diminution spontanée ou régression complète, temporaire, des masses ganglionnaires.
Caractéristiques générales des adénopathies: Aiguës
- chercher quoi en absence de cause infectieuse
Devant une adénopathie aiguë locale ou locorégionale, il faut chercher :
- a) avant tout une cause infectieuse dans le voisinage ou dans le territoire correspondant :
- ex: ganglions cervicaux : infection de la sphère ORL, des dents, du cuir chevelu
- ex: ganglions axillaires : blessure aux membres supérieurs, griffure chat ou autre, infection de la peau, cellulite, etc.
- b) la présence d’autres adénopathies;
- c) en l’absence de cause infectieuse, se méfier d’une néoplasie du territoire correspondant, car dans certains cas, la croissance rapide de ganglions métastatiques s’accompagne de phénomènes inflammatoires qui donnent temporairement à ces ganglions un aspect réactionnel. De même, un lymphome (hodgkinien ou non hodgkinien) peut avoir un début locorégional et les ganglions peuvent prendre les caractères d’adénopathies aiguës avec parfois diminution spontanée ou régression complète, temporaire, des masses ganglionnaires.
Caractéristiques générales des adénopathies: Aiguës
- lymphome
Devant une adénopathie aiguë locale ou locorégionale, il faut chercher :
- a) avant tout une cause infectieuse dans le voisinage ou dans le territoire correspondant :
- ex: ganglions cervicaux : infection de la sphère ORL, des dents, du cuir chevelu
- ex: ganglions axillaires : blessure aux membres supérieurs, griffure chat ou autre, infection de la peau, cellulite, etc.
- b) la présence d’autres adénopathies;
- c) en l’absence de cause infectieuse, se méfier d’une néoplasie du territoire correspondant, car dans certains cas, la croissance rapide de ganglions métastatiques s’accompagne de phénomènes inflammatoires qui donnent temporairement à ces ganglions un aspect réactionnel.
- De même, un lymphome (hodgkinien ou non hodgkinien) peut avoir un début locorégional et les ganglions peuvent prendre les caractères d’adénopathies aiguës avec parfois diminution spontanée ou régression complète, temporaire, des masses ganglionnaires.
Caractéristiques générales des adénopathies: Généralisée
- Les adénopathies aiguës généralisées s’accompagnent le plus souvent de symptômes systémiques : T°, courbatures, frissons, sudations.
- Leurs causes les plus fréquentes sont des maladies systémiques et des infections comme la mononucléose infectieuse, la primo-infection par le VIH, la toxoplasmose, l’infection à cytomégalovirus, l’histoplasmose, la brucellose, la tularémie.
- Il peut parfois s’agir d’une réaction immune aiguë, par exemple : une maladie sérique
Caractéristiques générales des adénopathies: Aiguë - Généralisée
- autres symptômes associés
- Les adénopathies aiguës généralisées s’accompagnent le plus souvent de symptômes systémiques : T°, courbatures, frissons, sudations.
- Leurs causes les plus fréquentes sont des maladies systémiques et des infections comme la mononucléose infectieuse, la primo-infection par le VIH, la toxoplasmose, l’infection à cytomégalovirus, l’histoplasmose, la brucellose, la tularémie.
- Il peut parfois s’agir d’une réaction immune aiguë, par exemple : une maladie sérique
Caractéristiques générales des adénopathies: Aiguë - Généralisée
- causes les plus fréquentes
- Les adénopathies aiguës généralisées s’accompagnent le plus souvent de symptômes systémiques : T°, courbatures, frissons, sudations.
- Leurs causes les plus fréquentes sont des maladies systémiques et des infections comme la mononucléose infectieuse, la primo-infection par le VIH, la toxoplasmose, l’infection à cytomégalovirus, l’histoplasmose, la brucellose, la tularémie.
- Il peut parfois s’agir d’une réaction immune aiguë, par exemple : une maladie sérique
Caractéristiques générales des adénopathies: Aiguë - Généralisée
- réaction aiguë
- Les adénopathies aiguës généralisées s’accompagnent le plus souvent de symptômes systémiques : T°, courbatures, frissons, sudations.
- Leurs causes les plus fréquentes sont des maladies systémiques et des infections comme la mononucléose infectieuse, la primo-infection par le VIH, la toxoplasmose, l’infection à cytomégalovirus, l’histoplasmose, la brucellose, la tularémie.
- Il peut parfois s’agir d’une réaction immune aiguë, par exemple : une maladie sérique
Caractéristiques générales des adénopathies: Chroniques
- Les ganglions sont de volume variable mais peuvent parfois être très volumineux, en particulier dans les lymphomes. Ils ne sont pas douloureux.
- Leur consistance est ferme, plutôt caoutchouteuse dans les lymphomes et ligneuse (consistance de bois) dans les métastases de carcinomes ou de sarcomes.
- Ils sont généralement mobiles, mais peuvent être fixés sur les plans profonds dans les pathologies malignes.
- Ils peuvent être séparés les uns des autres ou devenir confluents et former des masses pluri-ganglionnaires.
- Ils peuvent s’accompagner ou non de symptômes généraux (fièvre, etc.).
Caractéristiques générales des adénopathies: Chroniques
- volume ganglion
- Les ganglions sont de volume variable mais peuvent parfois être très volumineux, en particulier dans les lymphomes.
- Ils ne sont pas douloureux.
- Leur consistance est ferme, plutôt caoutchouteuse dans les lymphomes et ligneuse (consistance de bois) dans les métastases de carcinomes ou de sarcomes.
- Ils sont généralement mobiles, mais peuvent être fixés sur les plans profonds dans les pathologies malignes.
- Ils peuvent être séparés les uns des autres ou devenir confluents et former des masses pluri-ganglionnaires.
- Ils peuvent s’accompagner ou non de symptômes généraux (fièvre, etc.).
Caractéristiques générales des adénopathies: Chroniques
- ganglions: douleureux?
- Les ganglions sont de volume variable mais peuvent parfois être très volumineux, en particulier dans les lymphomes.
- Ils ne sont pas douloureux.
- Leur consistance est ferme, plutôt caoutchouteuse dans les lymphomes et ligneuse (consistance de bois) dans les métastases de carcinomes ou de sarcomes.
- Ils sont généralement mobiles, mais peuvent être fixés sur les plans profonds dans les pathologies malignes.
- Ils peuvent être séparés les uns des autres ou devenir confluents et former des masses pluri-ganglionnaires.
- Ils peuvent s’accompagner ou non de symptômes généraux (fièvre, etc.).
Caractéristiques générales des adénopathies: Chroniques
- consistances des ADNP
- Les ganglions sont de volume variable mais peuvent parfois être très volumineux, en particulier dans les lymphomes. Ils ne sont pas douloureux.
- Leur consistance est ferme, plutôt caoutchouteuse dans les lymphomes et ligneuse (consistance de bois) dans les métastases de carcinomes ou de sarcomes
- Ils sont généralement mobiles, mais peuvent être fixés sur les plans profonds dans les pathologies malignes.
- Ils peuvent être séparés les uns des autres ou devenir confluents et former des masses pluri-ganglionnaires.
- Ils peuvent s’accompagner ou non de symptômes généraux (fièvre, etc.).
Caractéristiques générales des adénopathies: Chroniques
- ADNP: fixes?
- Les ganglions sont de volume variable mais peuvent parfois être très volumineux, en particulier dans les lymphomes. Ils ne sont pas douloureux.
- Leur consistance est ferme, plutôt caoutchouteuse dans les lymphomes et ligneuse (consistance de bois) dans les métastases de carcinomes ou de sarcomes
- Ils sont généralement mobiles, mais peuvent être fixés sur les plans profonds dans les pathologies malignes.
- Ils peuvent être séparés les uns des autres ou devenir confluents et former des masses pluri-ganglionnaires.
- Ils peuvent s’accompagner ou non de symptômes généraux (fièvre, etc.).
Caractéristiques générales des adénopathies: Chroniques
- ADNP: séparés ou collés?
- Les ganglions sont de volume variable mais peuvent parfois être très volumineux, en particulier dans les lymphomes. Ils ne sont pas douloureux.
- Leur consistance est ferme, plutôt caoutchouteuse dans les lymphomes et ligneuse (consistance de bois) dans les métastases de carcinomes ou de sarcomes
- Ils sont généralement mobiles, mais peuvent être fixés sur les plans profonds dans les pathologies malignes.
- Ils peuvent être séparés les uns des autres ou devenir confluents et former des masses pluri-ganglionnaires.
- Ils peuvent s’accompagner ou non de symptômes généraux (fièvre, etc.).
Caractéristiques générales des adénopathies: Chroniques
- sx généraux?
- Les ganglions sont de volume variable mais peuvent parfois être très volumineux, en particulier dans les lymphomes. Ils ne sont pas douloureux.
- Leur consistance est ferme, plutôt caoutchouteuse dans les lymphomes et ligneuse (consistance de bois) dans les métastases de carcinomes ou de sarcomes
- Ils sont généralement mobiles, mais peuvent être fixés sur les plans profonds dans les pathologies malignes.
- Ils peuvent être séparés les uns des autres ou devenir confluents et former des masses pluri-ganglionnaires.
- Ils peuvent s’accompagner ou non de symptômes généraux (fièvre, etc.).
Caractéristiques générales des adénopathies: Aiguë
- régionaux ou généralisées?
Comme pour les formes aiguës, les adénopathies chroniques peuvent être localisées, régionales ou généralisées.
Caractéristiques générales des adénopathies: Chroniques
- locorégionales: il faut chercher quoi?
- a) une cause infectieuse : elles sont moins probables, mais la tuberculose peut donner des adénites subaiguës ou chroniques, confluentes, adhérentes à la peau, qui peuvent être confondues avec des adénites malignes lorsqu’il n’y a pas de fluctuation ni de fistule.
- b) une tumeur maligne dans le territoire correspondant. L’investigation doit être très soignée car la tumeur primitive n’est pas toujours évidente. En l’absence de lésion causale, il faut faire une biopsie de toute adénopathie chronique suspecte, locale ou loco-régionale.
- c) la présence d’adénopathies dans d’autres territoires. Un lymphome commence souvent par un ou quelques ganglions régionaux, non douloureux, dont le volume augmente lentement, sans s’accompagner de signes généraux.
Caractéristiques générales des adénopathies: Chroniques
- Locorégionale: chercher - causes infectieuses
- a) une cause infectieuse : elles sont moins probables, mais la tuberculose peut donner des adénites subaiguës ou chroniques, confluentes, adhérentes à la peau, qui peuvent être confondues avec des adénites malignes lorsqu’il n’y a pas de fluctuation ni de fistule.
- b) une tumeur maligne dans le territoire correspondant. L’investigation doit être très soignée car la tumeur primitive n’est pas toujours évidente. En l’absence de lésion causale, il faut faire une biopsie de toute adénopathie chronique suspecte, locale ou loco-régionale.
- c) la présence d’adénopathies dans d’autres territoires. Un lymphome commence souvent par un ou quelques ganglions régionaux, non douloureux, dont le volume augmente lentement, sans s’accompagner de signes généraux.
Caractéristiques générales des adénopathies: Chroniques
- Locorégionale: causes infectieuses - nommez des causes possibles
- a) une cause infectieuse : elles sont moins probables, mais la tuberculose peut donner des adénites subaiguës ou chroniques, confluentes, adhérentes à la peau, qui peuvent être confondues avec des adénites malignes lorsqu’il n’y a pas de fluctuation ni de fistule.
- b) une tumeur maligne dans le territoire correspondant. L’investigation doit être très soignée car la tumeur primitive n’est pas toujours évidente. En l’absence de lésion causale, il faut faire une biopsie de toute adénopathie chronique suspecte, locale ou loco-régionale.
- c) la présence d’adénopathies dans d’autres territoires. Un lymphome commence souvent par un ou quelques ganglions régionaux, non douloureux, dont le volume augmente lentement, sans s’accompagner de signes généraux.
Caractéristiques générales des adénopathies: Chroniques
- Locorégionale: tumeur maligne
- a) une cause infectieuse : elles sont moins probables, mais la tuberculose peut donner des adénites subaiguës ou chroniques, confluentes, adhérentes à la peau, qui peuvent être confondues avec des adénites malignes lorsqu’il n’y a pas de fluctuation ni de fistule.
- b) une tumeur maligne dans le territoire correspondant. L’investigation doit être très soignée car la tumeur primitive n’est pas toujours évidente. En l’absence de lésion causale, il faut faire une biopsie de toute adénopathie chronique suspecte, locale ou loco-régionale.
- c) la présence d’adénopathies dans d’autres territoires. Un lymphome commence souvent par un ou quelques ganglions régionaux, non douloureux, dont le volume augmente lentement, sans s’accompagner de signes généraux.
Caractéristiques générales des adénopathies: Chroniques
- Locorégionale: chercher - tumeur maligne quoi faire en l’absence de lésion causale?
- a) une cause infectieuse : elles sont moins probables, mais la tuberculose peut donner des adénites subaiguës ou chroniques, confluentes, adhérentes à la peau, qui peuvent être confondues avec des adénites malignes lorsqu’il n’y a pas de fluctuation ni de fistule.
- b) une tumeur maligne dans le territoire correspondant. L’investigation doit être très soignée car la tumeur primitive n’est pas toujours évidente. En l’absence de lésion causale, il faut faire une biopsie de toute adénopathie chronique suspecte, locale ou loco-régionale.
- c) la présence d’adénopathies dans d’autres territoires. Un lymphome commence souvent par un ou quelques ganglions régionaux, non douloureux, dont le volume augmente lentement, sans s’accompagner de signes généraux.
Caractéristiques générales des adénopathies: Chroniques
- Locorégionale: chercher - autres ADNP
- a) une cause infectieuse : elles sont moins probables, mais la tuberculose peut donner des adénites subaiguës ou chroniques, confluentes, adhérentes à la peau, qui peuvent être confondues avec des adénites malignes lorsqu’il n’y a pas de fluctuation ni de fistule.
- b) une tumeur maligne dans le territoire correspondant. L’investigation doit être très soignée car la tumeur primitive n’est pas toujours évidente. En l’absence de lésion causale, il faut faire une biopsie de toute adénopathie chronique suspecte, locale ou loco-régionale.
- c) la présence d’adénopathies dans d’autres territoires. Un lymphome commence souvent par un ou quelques ganglions régionaux, non douloureux, dont le volume augmente lentement, sans s’accompagner de signes généraux.
Caractéristiques générales des adénopathies: Chroniques
- Locorégionale: sx lymphome
- a) une cause infectieuse : elles sont moins probables, mais la tuberculose peut donner des adénites subaiguës ou chroniques, confluentes, adhérentes à la peau, qui peuvent être confondues avec des adénites malignes lorsqu’il n’y a pas de fluctuation ni de fistule.
- b) une tumeur maligne dans le territoire correspondant. L’investigation doit être très soignée car la tumeur primitive n’est pas toujours évidente. En l’absence de lésion causale, il faut faire une biopsie de toute adénopathie chronique suspecte, locale ou loco-régionale.
- c) la présence d’adénopathies dans d’autres territoires. Un lymphome commence souvent par un ou quelques ganglions régionaux, non douloureux, dont le volume augmente lentement, sans s’accompagner de signes généraux.
Caractéristiques générales des adénopathies: Chroniques
- généralisée: peut être associé à quoi?
Les adénopathies chroniques généralisées peuvent être associées à une splénomégalie.
Il peut s’agir :
- a) d’adénomégalies réactionnelles lors de maladies auto-immunes en particulier lupus érythémateux, arthrite rhumatoïde) ou de traitement avec certains médicaments ( par exemple, anticonvulsivants comme le Dilantin).
- b) de sarcoïdose où les ganglions sont le plus souvent médiastinaux, mais généralisés dans 30 % des cas.
- c) de pathologies hématologiques malignes : ce sont les premières causes à considérer pour ce genre d’adénopathies, soit principalement :
- i Les lymphomes hodgkinien ou non hodgkinien se présentent habituellement par des adénopathies situées dans l’une ou l’autre des chaînes palpables de même que dans le médiastin et les régions rétropéritonéales para-aortiques et iliaques.
- ii La leucémie lymphoïde chronique et les autres syndromes lymphoprolifératifs apparentés à expression leucémique comme les lymphomes du manteau, ou le syndrome de Sézary par exemple.
Caractéristiques générales des adénopathies: Chroniques
- généralisée: causes possibles
Les adénopathies chroniques généralisées peuvent être associées à une splénomégalie.
Il peut s’agir :
- a) d’adénomégalies réactionnelles lors de maladies auto-immunes en particulier lupus érythémateux, arthrite rhumatoïde) ou de traitement avec certains médicaments ( par exemple, anticonvulsivants comme le Dilantin).
- b) de sarcoïdose où les ganglions sont le plus souvent médiastinaux, mais généralisés dans 30 % des cas.
- c) de pathologies hématologiques malignes : ce sont les premières causes à considérer pour ce genre d’adénopathies, soit principalement :
- i Les lymphomes hodgkinien ou non hodgkinien se présentent habituellement par des adénopathies situées dans l’une ou l’autre des chaînes palpables de même que dans le médiastin et les régions rétropéritonéales para-aortiques et iliaques.
- ii La leucémie lymphoïde chronique et les autres syndromes lymphoprolifératifs apparentés à expression leucémique comme les lymphomes du manteau, ou le syndrome de Sézary par exemple.
Caractéristiques générales des adénopathies: Chroniques
- généralisée: maladies auto-immunes
Les adénopathies chroniques généralisées peuvent être associées à une splénomégalie.
Il peut s’agir :
- a) d’adénomégalies réactionnelles lors de maladies auto-immunes en particulier lupus érythémateux, arthrite rhumatoïde) ou de traitement avec certains médicaments ( par exemple, anticonvulsivants comme le Dilantin).
- b) de sarcoïdose où les ganglions sont le plus souvent médiastinaux, mais généralisés dans 30 % des cas.
- c) de pathologies hématologiques malignes : ce sont les premières causes à considérer pour ce genre d’adénopathies, soit principalement :
- i Les lymphomes hodgkinien ou non hodgkinien se présentent habituellement par des adénopathies situées dans l’une ou l’autre des chaînes palpables de même que dans le médiastin et les régions rétropéritonéales para-aortiques et iliaques.
- ii La leucémie lymphoïde chronique et les autres syndromes lymphoprolifératifs apparentés à expression leucémique comme les lymphomes du manteau, ou le syndrome de Sézary par exemple.
Caractéristiques générales des adénopathies: Chroniques
- généralisée: sarcoïdose - décrire les ADNP
Les adénopathies chroniques généralisées peuvent être associées à une splénomégalie.
Il peut s’agir :
- a) d’adénomégalies réactionnelles lors de maladies auto-immunes en particulier lupus érythémateux, arthrite rhumatoïde) ou de traitement avec certains médicaments ( par exemple, anticonvulsivants comme le Dilantin).
- b) de sarcoïdose où les ganglions sont le plus souvent médiastinaux, mais généralisés dans 30 % des cas.
- c) de pathologies hématologiques malignes : ce sont les premières causes à considérer pour ce genre d’adénopathies, soit principalement :
- i Les lymphomes hodgkinien ou non hodgkinien se présentent habituellement par des adénopathies situées dans l’une ou l’autre des chaînes palpables de même que dans le médiastin et les régions rétropéritonéales para-aortiques et iliaques.
- ii La leucémie lymphoïde chronique et les autres syndromes lymphoprolifératifs apparentés à expression leucémique comme les lymphomes du manteau, ou le syndrome de Sézary par exemple.
Caractéristiques générales des adénopathies: Chroniques
- généralisée: pathos hématos malignes
Les adénopathies chroniques généralisées peuvent être associées à une splénomégalie.
Il peut s’agir :
- a) d’adénomégalies réactionnelles lors de maladies auto-immunes en particulier lupus érythémateux, arthrite rhumatoïde) ou de traitement avec certains médicaments ( par exemple, anticonvulsivants comme le Dilantin).
- b) de sarcoïdose où les ganglions sont le plus souvent médiastinaux, mais généralisés dans 30 % des cas.
-
c) de pathologies hématologiques malignes : ce sont les premières causes à considérer pour ce genre d’adénopathies, soit principalement :
- i. Les lymphomes hodgkinien ou non hodgkinien se présentent habituellement par des adénopathies situées dans l’une ou l’autre des chaînes palpables de même que dans le médiastin et les régions rétropéritonéales para-aortiques et iliaques.
- ii. La leucémie lymphoïde chronique et les autres syndromes lymphoprolifératifs apparentés à expression leucémique comme les lymphomes du manteau, ou le syndrome de Sézary par exemple.
Caractéristiques générales des adénopathies: Chroniques
- généralisée: pathos hématos malignes - types
Les adénopathies chroniques généralisées peuvent être associées à une splénomégalie.
Il peut s’agir :
- a) d’adénomégalies réactionnelles lors de maladies auto-immunes en particulier lupus érythémateux, arthrite rhumatoïde) ou de traitement avec certains médicaments ( par exemple, anticonvulsivants comme le Dilantin).
- b) de sarcoïdose où les ganglions sont le plus souvent médiastinaux, mais généralisés dans 30 % des cas.
- c) de pathologies hématologiques malignes : ce sont les premières causes à considérer pour ce genre d’adénopathies, soit principalement :
- i Les lymphomes hodgkinien ou non hodgkinien se présentent habituellement par des adénopathies situées dans l’une ou l’autre des chaînes palpables de même que dans le médiastin et les régions rétropéritonéales para-aortiques et iliaques.
- ii La leucémie lymphoïde chronique et les autres syndromes lymphoprolifératifs apparentés à expression leucémique comme les lymphomes du manteau, ou le syndrome de Sézary par exemple.
Caractéristiques générales des adénopathies: Chroniques
- généralisée: présentation des lymphomes
Les adénopathies chroniques généralisées peuvent être associées à une splénomégalie.
Il peut s’agir :
- a) d’adénomégalies réactionnelles lors de maladies auto-immunes en particulier lupus érythémateux, arthrite rhumatoïde) ou de traitement avec certains médicaments ( par exemple, anticonvulsivants comme le Dilantin).
- b) de sarcoïdose où les ganglions sont le plus souvent médiastinaux, mais généralisés dans 30 % des cas.
- c) de pathologies hématologiques malignes : ce sont les premières causes à considérer pour ce genre d’adénopathies, soit principalement :
- i Les lymphomes hodgkinien ou non hodgkinien se présentent habituellement par des adénopathies situées dans l’une ou l’autre des chaînes palpables de même que dans le médiastin et les régions rétropéritonéales para-aortiques et iliaques.
- ii La leucémie lymphoïde chronique et les autres syndromes lymphoprolifératifs apparentés à expression leucémique comme les lymphomes du manteau, ou le syndrome de Sézary par exemple.
Caractéristiques générales des adénopathies: Chroniques
- généralisée: pathos hématos malignes - leucémie lymphoïde chronique
Les adénopathies chroniques généralisées peuvent être associées à une splénomégalie.
Il peut s’agir :
- a) d’adénomégalies réactionnelles lors de maladies auto-immunes en particulier lupus érythémateux, arthrite rhumatoïde) ou de traitement avec certains médicaments ( par exemple, anticonvulsivants comme le Dilantin).
- b) de sarcoïdose où les ganglions sont le plus souvent médiastinaux, mais généralisés dans 30 % des cas.
- c) de pathologies hématologiques malignes : ce sont les premières causes à considérer pour ce genre d’adénopathies, soit principalement :
- i Les lymphomes hodgkinien ou non hodgkinien se présentent habituellement par des adénopathies situées dans l’une ou l’autre des chaînes palpables de même que dans le médiastin et les régions rétropéritonéales para-aortiques et iliaques.
- ii La leucémie lymphoïde chronique et les autres syndromes lymphoprolifératifs apparentés à expression leucémique comme les lymphomes du manteau, ou le syndrome de Sézary par exemple.
Démarche diagnostique des adénopathies: Éléments qui aident
- HMA
- Examen
- Recherche d’une cause
- Investigation radiologique
- Formule sanguine
- Sérologies pertinentes
- Ponction à l’aiguille
- Biopsie ganglionnaire
Démarche diagnostique des adénopathies: HMA
- l’histoire de l’adénopathie : âge du patient, mode de présentation du ou des ganglions, présence de symptômes associés (voir symptômes «B» dans la section sur la maladie de Hodgkin), durée des adénopathies, symptômes associés d’infection, facteurs de risque pour VIH, prise de médicaments (Dilantin);
Démarche diagnostique des adénopathies: Examen
- 1- nombre et caractéristiques des ganglions : dimensions, consistance, mobilité, sensibilité, distribution (vérification de toutes les aires ganglionnaires palpables);
- 2- recherche d’une hépatosplénomégalie clinique;
Démarche diagnostique des adénopathies: Examen
- nb et caractéristiques des ganglions
- 1- nombre et caractéristiques des ganglions : dimensions, consistance, mobilité, sensibilité, distribution (vérification de toutes les aires ganglionnaires palpables);
- 2- recherche d’une hépatosplénomégalie clinique;
Démarche diagnostique des adénopathies: Examen
- mégalie
- 1- nombre et caractéristiques des ganglions : dimensions, consistance, mobilité, sensibilité, distribution (vérification de toutes les aires ganglionnaires palpables);
- 2- recherche d’une hépatosplénomégalie clinique;
Démarche diagnostique des adénopathies: Recherche d’une cause
Recherche d’une cause locale ou régionale ou systémique
Démarche diagnostique des adénopathies: Investigation radiologique
- Investigation radiologique complémentaire : radiographie du poumon, échographie abdominale, tomodensitométrie thoracique, abdominale et pelvienne à la recherche d’adénopathies dans les chaînes profondes, tomographie par émission de protons (TEP/PET-scan) selon le contexte clinique.
Démarche diagnostique des adénopathies: Formule sanguine
- Formule sanguine à la recherche d’une lymphocytose (> 5x109 lymphocytes/litre) laquelle, si elle existe, devra ensuite être caractérisée morphologiquement (blastes vs lymphos atypiques vs petits lymphocytes matures) et/ou par une analyse cytométrique des marqueurs de surface (immunophénotype lymphocytaire).
Démarche diagnostique des adénopathies: Sérologies pertinentes
- Monotest
- EBV
- VIH
- CMV
- Toxoplasmose
Démarche diagnostique des adénopathies: Ponction à l’aiguille
- Ponction à l’aiguille du ganglion dans certains cas afin d’éliminer ou de confirmer rapidement un diagnostic particulier (exemple, métastase d’un carcinome)
Démarche diagnostique des adénopathies: Biopsie ganglionnaire
- Biopsie ganglionnaire en évitant autant que possible la petite adénomégalie inguinale souvent non spécifique.
Adénopathie palpable à l’examen physique: Algorithme DDX
Algorithme adénopathie: 1ère question à se poser
- Localisée vs disséminée
Algorithme adénopathie: Localisée - chercher quoi?
- Rechercher lymphocytose à la FSC (c.f. disséminé si lymphocytose)
Algorithme adénopathie: Localisée
- Si cause identifée: DDX
Infection:
- Bactérienne
- Fungique
- Virale
- Syphilis
- TB
- Néoplasie:
- Métastase régionale (sein, peau, ORL ?)
- Traiter!!!
Algorithme adénopathie: Localisée
- Prise en charge si ø cause identifiée
-
Observation 3-4 semaines
- Résolution spontanée: cesser investigation
- Persistance: biopsie du ganglion
Algorithme adénopathie: Localisée
- Prise en charge si ø cause identifiée: quoi faire si résolution spontanée
- Observation 3-4 semaines
- Résolution spontanée: cesser investigation
- Persistance: biopsie du ganglion
Algorithme adénopathie: Localisée
- Prise en charge si ø cause identifiée: quoi faire si persistance après 3-4 sem?
- Observation 3-4 semaines
- Résolution spontanée: cesser investigation
- Persistance: biopsie du ganglion
Algorithme adénopathie: Disséminée
- investigation
- FSC
- RXP
- VIH
Algorithme adénopathie: Disséminée
- si investigation normale
- Considérer recherche TB, FAN et monotest
- Biopsie si diagnostic incertin
Algorithme adénopathie: Disséminée
- si investigation anormale
- Traitement de la cause si identifiée
- Regarder FSC
Algorithme adénopathie: Disséminée
- si investigation anormale: 2ème étape investigation
- Regarder FSC: voir si lymphocytose
Algorithme adénopathie: Disséminée
- si investigation anormale + lymphocytose
- Biopsie seulement si diagnostic demeure incertin
- Atypiques:
- Mononucléose
- CMV, Toxo, hépatite
- Normaux matures:
- Lymphome à petites cellules
- Blastes:
- LLA
- Lymphome du manteau
- Lymphome à grandes cellules
- Leucémie prolymphocytaire chronique
Algorithme adénopathie: Disséminée
- si investigation anormale + lymphocytose: indication de biopsie
- Biopsie seulement si diagnostic demeure incertin
- Atypiques:
- Mononucléose
- CMV, Toxo, hépatite
- Normaux matures:
- Lymphome à petites cellules
- Blastes:
- LLA
- Lymphome du manteau
- Lymphome à grandes cellules
- Leucémie prolymphocytaire chronique
Algorithme adénopathie: Disséminée
- si investigation anormale + lymphocytose: ddx atypique
- Biopsie seulement si diagnostic demeure incertin
-
Atypiques:
- Mononucléose
- CMV, Toxo, hépatite
- Normaux matures:
- Lymphome à petites cellules
- Blastes:
- LLA
- Lymphome du manteau
- Lymphome à grandes cellules
- Leucémie prolymphocytaire chronique
Algorithme adénopathie: Disséminée
- si investigation anormale + lymphocytose: ddx si normaux matures
- Biopsie seulement si diagnostic demeure incertin
- Atypiques:
- Mononucléose
- CMV, Toxo, hépatite
-
Normaux matures:
- Lymphome à petites cellules
- Blastes:
- LLA
- Lymphome du manteau
- Lymphome à grandes cellules
- Leucémie prolymphocytaire chronique
Algorithme adénopathie: Disséminée
- si investigation anormale + lymphocytose: ddx si blastes
- Biopsie seulement si diagnostic demeure incertin
- Atypiques:
- Mononucléose
- CMV, Toxo, hépatite
- Normaux matures:
- Lymphome à petites cellules
-
Blastes:
- LLA
- Lymphome du manteau
- Lymphome à grandes cellules
- Leucémie prolymphocytaire chronique
Algorithme adénopathie: Disséminée
- si investigation anormale + ø lymphocytose: biopsie
- Hyperplasiie nonspécifique
- Viral
- Maladie immune
- Médicament
- Spécifique:
- Sarcoidose
- Toxoplasmose
- Tuberculose
- Néoplasie:
- Lymphome
- Métastase
Algorithme adénopathie: Disséminée
- si investigation anormale + ø lymphocytose: biopsie - ddx
-
Hyperplasiie non-spécifique
- Viral
- Maladie immune
- Médicament
-
Spécifique:
- Sarcoidose
- Toxoplasmose
- Tuberculose
-
Néoplasie:
- Lymphome
- Métastase
Algorithme adénopathie: Disséminée
- si investigation anormale + ø lymphocytose: biopsie - ddx hyperplasie non-spécifique
-
Hyperplasiie non-spécifique
- Viral
- Maladie immune
- Médicament
- Spécifique:
- Sarcoidose
- Toxoplasmose
- Tuberculose
- Néoplasie:
- Lymphome
- Métastase
Algorithme adénopathie: Disséminée
- si investigation anormale + ø lymphocytose: biopsie - ddx si spécifique
- Hyperplasiie non-spécifique
- Viral
- Maladie immune
- Médicament
-
Spécifique:
- Sarcoidose
- Toxoplasmose
- Tuberculose
- Néoplasie:
- Lymphome
- Métastase
Algorithme adénopathie: Disséminée
- si investigation anormale + ø lymphocytose: biopsie - ddx si néoplasie
- Hyperplasiie non-spécifique
- Viral
- Maladie immune
- Médicament
- Spécifique:
- Sarcoidose
- Toxoplasmose
- Tuberculose
-
Néoplasie:
- Lymphome
- Métastase
Causes principales des adénopathies profondes
- Adénopathies médiastinales isolée
a. Lymphome de HODGKIN
b. Lymphome non hodgkinien
c. Tuberculose
d. Sarcoïdose
e. Cancer du poumon ou de l’œsophage - Adénopathies abdomino-pelviennes isolées
a. Lymphome non hodgkinien
b. Lymphome de HODGKIN
c. Métastases de cancers
—- Digestifs
—- Rénaux
—- Ovaire
—- Prostate
—- Utérus
d. Adénite mésentérique (plus rare)
Causes principales des adénopathies profondes: DDX Adénopathies médiastinales isolée
-
Adénopathies médiastinales isolée
a. Lymphome de HODGKIN
b. Lymphome non hodgkinien
c. Tuberculose
d. Sarcoïdose
e. Cancer du poumon ou de l’œsophage - Adénopathies abdomino-pelviennes isolées
a. Lymphome non hodgkinien
b. Lymphome de HODGKIN
c. Métastases de cancers
—- Digestifs
—- Rénaux
—- Ovaire
—- Prostate
—- Utérus
d. Adénite mésentérique (plus rare)
Causes principales des adénopathies profondes: DDX Adénopathies abdomino-pelviennes isolées
- Adénopathies médiastinales isolée
a. Lymphome de HODGKIN
b. Lymphome non hodgkinien
c. Tuberculose
d. Sarcoïdose
e. Cancer du poumon ou de l’œsophage -
Adénopathies abdomino-pelviennes isolées
a. Lymphome non hodgkinien
b. Lymphome de HODGKIN
c. Métastases de cancers
—- Digestifs
—- Rénaux
—- Ovaire
—- Prostate
—- Utérus
d. Adénite mésentérique (plus rare)
Histologie du ganglion normal
- Les ganglions lymphatiques sont encapsulés.
- Sous la capsule, on identifie un sinus où arrive la lymphe afférente qui circule à travers le tissu lymphoïde pour aboutir au niveau de la médullaire où l’on retrouve un ensemble bien développé de sinus anastomosés drainant dans un canal efférent.
- Le tissu lymphoïde du ganglion peut se subdiviser en deux zones : la zone B se retrouve au cortex et est caractérisée par des follicules lymphoïdes primaires et la zone T interfolliculaire et para-corticale.
- Après stimulation le follicule primaire se transforme en centre germinatif ou follicule secondaire.
Histologie du ganglion normal: capsule
- Les ganglions lymphatiques sont encapsulés.
- Sous la capsule, on identifie un sinus où arrive la lymphe afférente qui circule à travers le tissu lymphoïde pour aboutir au niveau de la médullaire où l’on retrouve un ensemble bien développé de sinus anastomosés drainant dans un canal efférent.
- Le tissu lymphoïde du ganglion peut se subdiviser en deux zones : la zone B se retrouve au cortex et est caractérisée par des follicules lymphoïdes primaires et la zone T interfolliculaire et para-corticale.
- Après stimulation le follicule primaire se transforme en centre germinatif ou follicule secondaire.
Histologie du ganglion normal: Décrire sinus
- Les ganglions lymphatiques sont encapsulés.
- Sous la capsule, on identifie un sinus où arrive la lymphe afférente qui circule à travers le tissu lymphoïde pour aboutir au niveau de la médullaire où l’on retrouve un ensemble bien développé de sinus anastomosés drainant dans un canal efférent.
- Le tissu lymphoïde du ganglion peut se subdiviser en deux zones : la zone B se retrouve au cortex et est caractérisée par des follicules lymphoïdes primaires et la zone T interfolliculaire et para-corticale.
- Après stimulation le follicule primaire se transforme en centre germinatif ou follicule secondaire.
Histologie du ganglion normal: Trajet menant au tissu lymphoïde
- Les ganglions lymphatiques sont encapsulés.
- Sous la capsule, on identifie un sinus où arrive la lymphe afférente qui circule à travers le tissu lymphoïde pour aboutir au niveau de la médullaire où l’on retrouve un ensemble bien développé de sinus anastomosés drainant dans un canal efférent.
- Le tissu lymphoïde du ganglion peut se subdiviser en deux zones : la zone B se retrouve au cortex et est caractérisée par des follicules lymphoïdes primaires et la zone T interfolliculaire et para-corticale.
- Après stimulation le follicule primaire se transforme en centre germinatif ou follicule secondaire.
Histologie du ganglion normal: Tissu lymphoïde - zones
- Les ganglions lymphatiques sont encapsulés.
- Sous la capsule, on identifie un sinus où arrive la lymphe afférente qui circule à travers le tissu lymphoïde pour aboutir au niveau de la médullaire où l’on retrouve un ensemble bien développé de sinus anastomosés drainant dans un canal efférent.
- Le tissu lymphoïde du ganglion peut se subdiviser en deux zones : la zone B se retrouve au cortex et est caractérisée par des follicules lymphoïdes primaires et la zone T interfolliculaire et para-corticale.
- Après stimulation le follicule primaire se transforme en centre germinatif ou follicule secondaire.
Histologie du ganglion normal: ce qui se passe après que le follicule primaire est stimulé
- Les ganglions lymphatiques sont encapsulés.
- Sous la capsule, on identifie un sinus où arrive la lymphe afférente qui circule à travers le tissu lymphoïde pour aboutir au niveau de la médullaire où l’on retrouve un ensemble bien développé de sinus anastomosés drainant dans un canal efférent.
- Le tissu lymphoïde du ganglion peut se subdiviser en deux zones : la zone B se retrouve au cortex et est caractérisée par des follicules lymphoïdes primaires et la zone T interfolliculaire et para-corticale.
- Après stimulation le follicule primaire se transforme en centre germinatif ou follicule secondaire.
Adénopathies: Désordres réactionnels et inflammatoires
- Diverses substances, organismes, cellules peuvent arriver par la lymphe au niveau d’un ganglion lymphatique et évoquer divers types de réactions.
- Les réactions peuvent être de nature inflammatoire ou immunologique.
Adénopathies: Désordres réactionnels et inflammatoires
- substances pouvant arriver par la lymphe
- Diverses substances, organismes, cellules peuvent arriver par la lymphe au niveau d’un ganglion lymphatique et évoquer divers types de réactions.
- Les réactions peuvent être de nature inflammatoire ou immunologique.
Adénopathies: Désordres réactionnels et inflammatoires
- types de réactions
- Diverses substances, organismes, cellules peuvent arriver par la lymphe au niveau d’un ganglion lymphatique et évoquer divers types de réactions.
- Les réactions peuvent être de nature inflammatoire ou immunologique.
Adénopathies: Réactions à prédominance inflammatoire
- Les lymphadénites inflammatoires peuvent être aiguës, subaiguës ou chroniques.
- Les lymphadénites aiguës accompagnent ordinairement des lésions infectieuses, le plus souvent bactériennes, ou des lésions néoplasiques ulcérées ou nécrotiques.
- Les lymphadénites chroniques sont ordinairement secondaires à la persistance de l’agent causal ou à des états réactionnels récidivants.
Adénopathies: Réactions à prédominance inflammatoire
- comment on appelle ça?
- Les lymphadénites inflammatoires peuvent être aiguës, subaiguës ou chroniques.
- Les lymphadénites aiguës accompagnent ordinairement des lésions infectieuses, le plus souvent bactériennes, ou des lésions néoplasiques ulcérées ou nécrotiques.
- Les lymphadénites chroniques sont ordinairement secondaires à la persistance de l’agent causal ou à des états réactionnels récidivants.
Adénopathies: Réactions à prédominance inflammatoire
- types de lymphadénites inflammatoires
- Les lymphadénites inflammatoires peuvent être aiguës, subaiguës ou chroniques.
- Les lymphadénites aiguës accompagnent ordinairement des lésions infectieuses, le plus souvent bactériennes, ou des lésions néoplasiques ulcérées ou nécrotiques.
- Les lymphadénites chroniques sont ordinairement secondaires à la persistance de l’agent causal ou à des états réactionnels récidivants.
Adénopathies: Réactions à prédominance inflammatoire
- lymphadénites inflammatoires aiguës: ddx
- Les lymphadénites inflammatoires peuvent être aiguës, subaiguës ou chroniques.
- Les lymphadénites aiguës accompagnent ordinairement des lésions infectieuses, le plus souvent bactériennes, ou des lésions néoplasiques ulcérées ou nécrotiques.
- Les lymphadénites chroniques sont ordinairement secondaires à la persistance de l’agent causal ou à des états réactionnels récidivants.
Adénopathies: Réactions à prédominance inflammatoire
- lymphadénites inflammatoires chroniques: ddx
- Les lymphadénites inflammatoires peuvent être aiguës, subaiguës ou chroniques.
- Les lymphadénites aiguës accompagnent ordinairement des lésions infectieuses, le plus souvent bactériennes, ou des lésions néoplasiques ulcérées ou nécrotiques.
- Les lymphadénites chroniques sont ordinairement secondaires à la persistance de l’agent causal ou à des états réactionnels récidivants.
Adénopathies: Réactions à prédominance inflammatoire
- lymphadénites granulomateuses
- Parmi celles-ci, les lymphadénites granulomateuses sont celles qui ont une importance clinique.
- Leurs causes sont variées et incluent entre autres : infections (mycobactéries, champignons, etc.), réactions médicamenteuses, substances étrangères, association à des néoplasies, maladie de Crohn, syndromes d’immunodéficience et sarcoïdose.
Adénopathies: Réactions à prédominance inflammatoire
- lymphadénites granulomateuses: causes possibles
- Parmi celles-ci, les lymphadénites granulomateuses sont celles qui ont une importance clinique.
- Leurs causes sont variées et incluent entre autres : infections (mycobactéries, champignons, etc.), réactions médicamenteuses, substances étrangères, association à des néoplasies, maladie de Crohn, syndromes d’immunodéficience et sarcoïdose.
Adénopathies: Réactions à prédominance immune
- Bien que les réactions à prédominance immune peuvent intéresser spécifiquement la zone B ou la zone T, le plus souvent, les deux zones sont impliquées en même temps (hyperplasie mixte).
- L’hyperplasie de la zone B, appelée hyperplasie folliculaire réactionnelle, survient ordinairement chez les enfants et les jeunes adultes.
- Il s’agit le plus souvent d’une réaction non spécifique accompagnant une maladie infectieuse, ordinairement virale.
- Plus rarement, surtout chez les adultes, elle peut accompagner une maladie auto-immune telle l’arthrite rhumatoïde.
- Le diagnostic différentiel à considérer est celui des du lymphome folliculaire (classe de lymphome non-hodgkinien).
- L’hyperplasie de la zone T est une réaction non spécifique qui accompagne ordinairement une infection virale.
- De plus, on la retrouve au niveau des ganglions lymphatiques drainant une lésion cutanée (lymphadénopathie dermatopathique).
- Le diagnostic différentiel inclut entre autres les lymphomes non hodgkiniens d’origine lymphocytaire T et la maladie de Hodgkin.
- La ponction–biopsie ganglionnaire, lorsque justifiée comme dans le cas d’adénopathies persistantes, pourra faire établir le diagnostic.
Adénopathies: Réactions à prédominance immune
- zones impliquées
- Bien que les réactions à prédominance immune peuvent intéresser spécifiquement la zone B ou la zone T, le plus souvent, les deux zones sont impliquées en même temps (hyperplasie mixte).
- L’hyperplasie de la zone B, appelée hyperplasie folliculaire réactionnelle, survient ordinairement chez les enfants et les jeunes adultes.
- Il s’agit le plus souvent d’une réaction non spécifique accompagnant une maladie infectieuse, ordinairement virale.
- Plus rarement, surtout chez les adultes, elle peut accompagner une maladie auto-immune telle l’arthrite rhumatoïde.
- Le diagnostic différentiel à considérer est celui des du lymphome folliculaire (classe de lymphome non-hodgkinien).
- L’hyperplasie de la zone T est une réaction non spécifique qui accompagne ordinairement une infection virale.
- De plus, on la retrouve au niveau des ganglions lymphatiques drainant une lésion cutanée (lymphadénopathie dermatopathique).
- Le diagnostic différentiel inclut entre autres les lymphomes non hodgkiniens d’origine lymphocytaire T et la maladie de Hodgkin.
- La ponction–biopsie ganglionnaire, lorsque justifiée comme dans le cas d’adénopathies persistantes, pourra faire établir le diagnostic.
Adénopathies: Réactions à prédominance immune
- hyperplasie de la zone B
- Bien que les réactions à prédominance immune peuvent intéresser spécifiquement la zone B ou la zone T, le plus souvent, les deux zones sont impliquées en même temps (hyperplasie mixte).
- L’hyperplasie de la zone B, appelée hyperplasie folliculaire réactionnelle, survient ordinairement chez les enfants et les jeunes adultes.
- Il s’agit le plus souvent d’une réaction non spécifique accompagnant une maladie infectieuse, ordinairement virale.
- Plus rarement, surtout chez les adultes, elle peut accompagner une maladie auto-immune telle l’arthrite rhumatoïde.
- Le diagnostic différentiel à considérer est celui des du lymphome folliculaire (classe de lymphome non-hodgkinien).
- L’hyperplasie de la zone T est une réaction non spécifique qui accompagne ordinairement une infection virale.
- De plus, on la retrouve au niveau des ganglions lymphatiques drainant une lésion cutanée (lymphadénopathie dermatopathique).
- Le diagnostic différentiel inclut entre autres les lymphomes non hodgkiniens d’origine lymphocytaire T et la maladie de Hodgkin.
- La ponction–biopsie ganglionnaire, lorsque justifiée comme dans le cas d’adénopathies persistantes, pourra faire établir le diagnostic.
Adénopathies: Réactions à prédominance immune
- hyperplasie de la zone B: autre nom
- Bien que les réactions à prédominance immune peuvent intéresser spécifiquement la zone B ou la zone T, le plus souvent, les deux zones sont impliquées en même temps (hyperplasie mixte).
- L’hyperplasie de la zone B, appelée hyperplasie folliculaire réactionnelle, survient ordinairement chez les enfants et les jeunes adultes.
- Il s’agit le plus souvent d’une réaction non spécifique accompagnant une maladie infectieuse, ordinairement virale.
- Plus rarement, surtout chez les adultes, elle peut accompagner une maladie auto-immune telle l’arthrite rhumatoïde.
- Le diagnostic différentiel à considérer est celui des du lymphome folliculaire (classe de lymphome non-hodgkinien).
- L’hyperplasie de la zone T est une réaction non spécifique qui accompagne ordinairement une infection virale.
- De plus, on la retrouve au niveau des ganglions lymphatiques drainant une lésion cutanée (lymphadénopathie dermatopathique).
- Le diagnostic différentiel inclut entre autres les lymphomes non hodgkiniens d’origine lymphocytaire T et la maladie de Hodgkin.
- La ponction–biopsie ganglionnaire, lorsque justifiée comme dans le cas d’adénopathies persistantes, pourra faire établir le diagnostic.
Adénopathies: Réactions à prédominance immune
- hyperplasie de la zone B: survient chez qui?
- Bien que les réactions à prédominance immune peuvent intéresser spécifiquement la zone B ou la zone T, le plus souvent, les deux zones sont impliquées en même temps (hyperplasie mixte).
- L’hyperplasie de la zone B, appelée hyperplasie folliculaire réactionnelle, survient ordinairement chez les enfants et les jeunes adultes.
- Il s’agit le plus souvent d’une réaction non spécifique accompagnant une maladie infectieuse, ordinairement virale.
- Plus rarement, surtout chez les adultes, elle peut accompagner une maladie auto-immune telle l’arthrite rhumatoïde.
- Le diagnostic différentiel à considérer est celui des du lymphome folliculaire (classe de lymphome non-hodgkinien).
- L’hyperplasie de la zone T est une réaction non spécifique qui accompagne ordinairement une infection virale.
- De plus, on la retrouve au niveau des ganglions lymphatiques drainant une lésion cutanée (lymphadénopathie dermatopathique).
- Le diagnostic différentiel inclut entre autres les lymphomes non hodgkiniens d’origine lymphocytaire T et la maladie de Hodgkin.
- La ponction–biopsie ganglionnaire, lorsque justifiée comme dans le cas d’adénopathies persistantes, pourra faire établir le diagnostic.
Adénopathies: Réactions à prédominance immune
- hyperplasie de la zone B: type de réaction
- Bien que les réactions à prédominance immune peuvent intéresser spécifiquement la zone B ou la zone T, le plus souvent, les deux zones sont impliquées en même temps (hyperplasie mixte).
- L’hyperplasie de la zone B, appelée hyperplasie folliculaire réactionnelle, survient ordinairement chez les enfants et les jeunes adultes.
- Il s’agit le plus souvent d’une réaction non spécifique accompagnant une maladie infectieuse, ordinairement virale.
- Plus rarement, surtout chez les adultes, elle peut accompagner une maladie auto-immune telle l’arthrite rhumatoïde.
- Le diagnostic différentiel à considérer est celui des du lymphome folliculaire (classe de lymphome non-hodgkinien).
- L’hyperplasie de la zone T est une réaction non spécifique qui accompagne ordinairement une infection virale.
- De plus, on la retrouve au niveau des ganglions lymphatiques drainant une lésion cutanée (lymphadénopathie dermatopathique).
- Le diagnostic différentiel inclut entre autres les lymphomes non hodgkiniens d’origine lymphocytaire T et la maladie de Hodgkin.
- La ponction–biopsie ganglionnaire, lorsque justifiée comme dans le cas d’adénopathies persistantes, pourra faire établir le diagnostic.
Adénopathies: Réactions à prédominance immune
- hyperplasie de la zone B: chez les adultes
- Bien que les réactions à prédominance immune peuvent intéresser spécifiquement la zone B ou la zone T, le plus souvent, les deux zones sont impliquées en même temps (hyperplasie mixte).
- L’hyperplasie de la zone B, appelée hyperplasie folliculaire réactionnelle, survient ordinairement chez les enfants et les jeunes adultes.
- Il s’agit le plus souvent d’une réaction non spécifique accompagnant une maladie infectieuse, ordinairement virale.
- Plus rarement, surtout chez les adultes, elle peut accompagner une maladie auto-immune telle l’arthrite rhumatoïde.
- Le diagnostic différentiel à considérer est celui des du lymphome folliculaire (classe de lymphome non-hodgkinien).
- L’hyperplasie de la zone T est une réaction non spécifique qui accompagne ordinairement une infection virale.
- De plus, on la retrouve au niveau des ganglions lymphatiques drainant une lésion cutanée (lymphadénopathie dermatopathique).
- Le diagnostic différentiel inclut entre autres les lymphomes non hodgkiniens d’origine lymphocytaire T et la maladie de Hodgkin.
- La ponction–biopsie ganglionnaire, lorsque justifiée comme dans le cas d’adénopathies persistantes, pourra faire établir le diagnostic.
Adénopathies: Réactions à prédominance immune
- hyperplasie de la zone B: ddx
- Bien que les réactions à prédominance immune peuvent intéresser spécifiquement la zone B ou la zone T, le plus souvent, les deux zones sont impliquées en même temps (hyperplasie mixte).
- L’hyperplasie de la zone B, appelée hyperplasie folliculaire réactionnelle, survient ordinairement chez les enfants et les jeunes adultes.
- Il s’agit le plus souvent d’une réaction non spécifique accompagnant une maladie infectieuse, ordinairement virale.
- Plus rarement, surtout chez les adultes, elle peut accompagner une maladie auto-immune telle l’arthrite rhumatoïde.
- Le diagnostic différentiel à considérer est celui des du lymphome folliculaire (classe de lymphome non-hodgkinien).
- L’hyperplasie de la zone T est une réaction non spécifique qui accompagne ordinairement une infection virale.
- De plus, on la retrouve au niveau des ganglions lymphatiques drainant une lésion cutanée (lymphadénopathie dermatopathique).
- Le diagnostic différentiel inclut entre autres les lymphomes non hodgkiniens d’origine lymphocytaire T et la maladie de Hodgkin.
- La ponction–biopsie ganglionnaire, lorsque justifiée comme dans le cas d’adénopathies persistantes, pourra faire établir le diagnostic.
Adénopathies: Réactions à prédominance immune
- hyperplasie de la zone T: type de réaction
- Bien que les réactions à prédominance immune peuvent intéresser spécifiquement la zone B ou la zone T, le plus souvent, les deux zones sont impliquées en même temps (hyperplasie mixte).
- L’hyperplasie de la zone B, appelée hyperplasie folliculaire réactionnelle, survient ordinairement chez les enfants et les jeunes adultes.
- Il s’agit le plus souvent d’une réaction non spécifique accompagnant une maladie infectieuse, ordinairement virale.
- Plus rarement, surtout chez les adultes, elle peut accompagner une maladie auto-immune telle l’arthrite rhumatoïde.
- Le diagnostic différentiel à considérer est celui des du lymphome folliculaire (classe de lymphome non-hodgkinien).
- L’hyperplasie de la zone T est une réaction non spécifique qui accompagne ordinairement une infection virale.
- De plus, on la retrouve au niveau des ganglions lymphatiques drainant une lésion cutanée (lymphadénopathie dermatopathique).
- Le diagnostic différentiel inclut entre autres les lymphomes non hodgkiniens d’origine lymphocytaire T et la maladie de Hodgkin.
- La ponction–biopsie ganglionnaire, lorsque justifiée comme dans le cas d’adénopathies persistantes, pourra faire établir le diagnostic.
Adénopathies: Réactions à prédominance immune
- hyperplasie de la zone T: causes
- Bien que les réactions à prédominance immune peuvent intéresser spécifiquement la zone B ou la zone T, le plus souvent, les deux zones sont impliquées en même temps (hyperplasie mixte).
- L’hyperplasie de la zone B, appelée hyperplasie folliculaire réactionnelle, survient ordinairement chez les enfants et les jeunes adultes.
- Il s’agit le plus souvent d’une réaction non spécifique accompagnant une maladie infectieuse, ordinairement virale.
- Plus rarement, surtout chez les adultes, elle peut accompagner une maladie auto-immune telle l’arthrite rhumatoïde.
- Le diagnostic différentiel à considérer est celui des du lymphome folliculaire (classe de lymphome non-hodgkinien).
- L’hyperplasie de la zone T est une réaction non spécifique qui accompagne ordinairement une infection virale.
- De plus, on la retrouve au niveau des ganglions lymphatiques drainant une lésion cutanée (lymphadénopathie dermatopathique).
- Le diagnostic différentiel inclut entre autres les lymphomes non hodgkiniens d’origine lymphocytaire T et la maladie de Hodgkin.
- La ponction–biopsie ganglionnaire, lorsque justifiée comme dans le cas d’adénopathies persistantes, pourra faire établir le diagnostic.
Adénopathies: Réactions à prédominance immune
- hyperplasie de la zone T: lymphadénopathie dermatopathique
- Bien que les réactions à prédominance immune peuvent intéresser spécifiquement la zone B ou la zone T, le plus souvent, les deux zones sont impliquées en même temps (hyperplasie mixte).
- L’hyperplasie de la zone B, appelée hyperplasie folliculaire réactionnelle, survient ordinairement chez les enfants et les jeunes adultes.
- Il s’agit le plus souvent d’une réaction non spécifique accompagnant une maladie infectieuse, ordinairement virale.
- Plus rarement, surtout chez les adultes, elle peut accompagner une maladie auto-immune telle l’arthrite rhumatoïde.
- Le diagnostic différentiel à considérer est celui des du lymphome folliculaire (classe de lymphome non-hodgkinien).
- L’hyperplasie de la zone T est une réaction non spécifique qui accompagne ordinairement une infection virale.
- De plus, on la retrouve au niveau des ganglions lymphatiques drainant une lésion cutanée (lymphadénopathie dermatopathique).
- Le diagnostic différentiel inclut entre autres les lymphomes non hodgkiniens d’origine lymphocytaire T et la maladie de Hodgkin.
- La ponction–biopsie ganglionnaire, lorsque justifiée comme dans le cas d’adénopathies persistantes, pourra faire établir le diagnostic.
Adénopathies: Réactions à prédominance immune
- hyperplasie de la zone T: ddx
- Bien que les réactions à prédominance immune peuvent intéresser spécifiquement la zone B ou la zone T, le plus souvent, les deux zones sont impliquées en même temps (hyperplasie mixte).
- L’hyperplasie de la zone B, appelée hyperplasie folliculaire réactionnelle, survient ordinairement chez les enfants et les jeunes adultes.
- Il s’agit le plus souvent d’une réaction non spécifique accompagnant une maladie infectieuse, ordinairement virale.
- Plus rarement, surtout chez les adultes, elle peut accompagner une maladie auto-immune telle l’arthrite rhumatoïde.
- Le diagnostic différentiel à considérer est celui des du lymphome folliculaire (classe de lymphome non-hodgkinien).
- L’hyperplasie de la zone T est une réaction non spécifique qui accompagne ordinairement une infection virale.
- De plus, on la retrouve au niveau des ganglions lymphatiques drainant une lésion cutanée (lymphadénopathie dermatopathique).
- Le diagnostic différentiel inclut entre autres les lymphomes non hodgkiniens d’origine lymphocytaire T et la maladie de Hodgkin.
- La ponction–biopsie ganglionnaire, lorsque justifiée comme dans le cas d’adénopathies persistantes, pourra faire établir le diagnostic.
Adénopathies: Réactions à prédominance immune
- hyperplasie de la zone T: ce qui permet de déterminer le dx
- Bien que les réactions à prédominance immune peuvent intéresser spécifiquement la zone B ou la zone T, le plus souvent, les deux zones sont impliquées en même temps (hyperplasie mixte).
- L’hyperplasie de la zone B, appelée hyperplasie folliculaire réactionnelle, survient ordinairement chez les enfants et les jeunes adultes.
- Il s’agit le plus souvent d’une réaction non spécifique accompagnant une maladie infectieuse, ordinairement virale.
- Plus rarement, surtout chez les adultes, elle peut accompagner une maladie auto-immune telle l’arthrite rhumatoïde.
- Le diagnostic différentiel à considérer est celui des du lymphome folliculaire (classe de lymphome non-hodgkinien).
- L’hyperplasie de la zone T est une réaction non spécifique qui accompagne ordinairement une infection virale.
- De plus, on la retrouve au niveau des ganglions lymphatiques drainant une lésion cutanée (lymphadénopathie dermatopathique).
- Le diagnostic différentiel inclut entre autres les lymphomes non hodgkiniens d’origine lymphocytaire T et la maladie de Hodgkin.
- La ponction–biopsie ganglionnaire, lorsque justifiée comme dans le cas d’adénopathies persistantes, pourra faire établir le diagnostic.
Lymphadénites spécifiques: Causes
- Certaines conditions pathologiques, le plus souvent infectieuses, donnent des altérations morphologiques relativement spécifiques.
- Certaines de ces lymphadénopathies telles la toxoplasmose, la maladie de la griffure de chat (lymphadénite granulomateuse pyo-épithéliale), la mononucléose infectieuse et les réactions médicamenteuses sont importantes à reconnaître principalement en raison du diagnostic différentiel qu’elles impliquent.
- En effet, une toxoplasmose (lymphadénite granulomateuse à cellules épithélioïdes en foyers) peut parfois être confondue avec une maladie de Hodgkin.
- La mononucléose infectieuse peut également être confondue avec une maladie de Hodgkin ou même un lymphome non hodgkinien.
- Finalement, certaines sont importantes par le fait qu’un traitement approprié peut alors être institué (eg. : tuberculose).
Lymphadénites spécifiques: Toxoplasmose - peut être confude avec quoi?
- Certaines conditions pathologiques, le plus souvent infectieuses, donnent des altérations morphologiques relativement spécifiques.
- Certaines de ces lymphadénopathies telles la toxoplasmose, la maladie de la griffure de chat (lymphadénite granulomateuse pyo-épithéliale), la mononucléose infectieuse et les réactions médicamenteuses sont importantes à reconnaître principalement en raison du diagnostic différentiel qu’elles impliquent.
- En effet, une toxoplasmose (lymphadénite granulomateuse à cellules épithélioïdes en foyers) peut parfois être confondue avec une maladie de Hodgkin.
- La mononucléose infectieuse peut également être confondue avec une maladie de Hodgkin ou même un lymphome non hodgkinien.
- Finalement, certaines sont importantes par le fait qu’un traitement approprié peut alors être institué (eg. : tuberculose).
Lymphadénites spécifiques: Mononucléose peut être confondue avec quoi?
- Certaines conditions pathologiques, le plus souvent infectieuses, donnent des altérations morphologiques relativement spécifiques.
- Certaines de ces lymphadénopathies telles la toxoplasmose, la maladie de la griffure de chat (lymphadénite granulomateuse pyo-épithéliale), la mononucléose infectieuse et les réactions médicamenteuses sont importantes à reconnaître principalement en raison du diagnostic différentiel qu’elles impliquent.
- En effet, une toxoplasmose (lymphadénite granulomateuse à cellules épithélioïdes en foyers) peut parfois être confondue avec une maladie de Hodgkin.
- La mononucléose infectieuse peut également être confondue avec une maladie de Hodgkin ou même un lymphome non hodgkinien.
- Finalement, certaines sont importantes par le fait qu’un traitement approprié peut alors être institué (eg. : tuberculose).
Lymphadénites spécifiques: Importance de les diagnostiquer
- Certaines conditions pathologiques, le plus souvent infectieuses, donnent des altérations morphologiques relativement spécifiques.
- Certaines de ces lymphadénopathies telles la toxoplasmose, la maladie de la griffure de chat (lymphadénite granulomateuse pyo-épithéliale), la mononucléose infectieuse et les réactions médicamenteuses sont importantes à reconnaître principalement en raison du diagnostic différentiel qu’elles impliquent.
- En effet, une toxoplasmose (lymphadénite granulomateuse à cellules épithélioïdes en foyers) peut parfois être confondue avec une maladie de Hodgkin.
- La mononucléose infectieuse peut également être confondue avec une maladie de Hodgkin ou même un lymphome non hodgkinien.
- Finalement, certaines sont importantes par le fait qu’un traitement approprié peut alors être institué (eg. : tuberculose).
Désordres immunitaires: Lien avec le système immunitaire
- Les ganglions lymphatiques peuvent parfois témoigner de la présence d’anomalies au niveau du système immunitaire.
- Les syndromes d’immunodéficience, quelques maladies auto-immunes et états d’hypersensibilité peuvent présenter un aspect caractéristique au niveau des ganglions lymphatiques.
- Le syndrome d’immunodéficience acquise (SIDA), et certaines affections rares tel le lymphome T angio-immunoblastique sont des exemples de désordres immunitaires pouvant donner lieu à des changements ganglionnaires caractéristiques.
Désordres immunitaires: Causes en lien avec système immunitaire
- Les ganglions lymphatiques peuvent parfois témoigner de la présence d’anomalies au niveau du système immunitaire.
- Les syndromes d’immunodéficience, quelques maladies auto-immunes et états d’hypersensibilité peuvent présenter un aspect caractéristique au niveau des ganglions lymphatiques.
- Le syndrome d’immunodéficience acquise (SIDA), et certaines affections rares tel le lymphome T angio-immunoblastique sont des exemples de désordres immunitaires pouvant donner lieu à des changements ganglionnaires caractéristiques.
Dans quelle circonstance peut-on parler d’adénopathie ou d’adénomégalie?
- Lorsqu’il y a des ganglions lymphatiques (palpables ou visibles radiologiquement) dont le diamètre excède 1 cm.
Décrire l’histologie d’un ganglion lymphatique normal.
Capsule, sinus sous-capsulaire et ensuite autres sinus drainant vers la médullaire et le vaisseau lymphatique efférent. Tissu lymphoïde divisé en deux zones :
- a) La Zone B, corticale, formée de follicules lymphoïdes primaires contenant surtout des lymphocytes B;
- b) La Zone T, constituée surtout de lymphocytes T, se subdivise en deux zones connexes : la région interfolliculaire (en périphérie) et le paracortex, lequel sépare le cortex de la médullaire.
Causes d’hyperplasie lymphoïde folliculaire dans un ganglion lymphatique
- a) Immunostimulation spécifique (exemple, infection chez l’enfant ou le jeune adulte).
- b) Réaction non spécifique à une infection virale (exemple, mononucléose infectieuse).
- c) Maladie auto-immune, chez les adultes surtout (exemple, arthrite rhumatoïde).
L’hyperplasie de la zone T est-elle spécifique d’une maladie précise?
- NON.
- L’hyperplasie de la zone T est une réaction non spécifique.
- Elle accompagne souvent une infection virale.