Néoplasie d'origine lymphoïde Flashcards
Leucémies aiguës lymphoïdes: Intro
- Tout comme pour les néoplasies d’origine myéloïdes, les néoplasies d’origine lymphoïde ont fait l’objet pendant longtemps d’une classification basée sur l’aspect morphologique des cellules pathologiques impliquées.
- La classification de l’OMS de 2000, révisée pour la dernière fois en 2016 propose une classification basée sur des caractéristiques morphologiques, immunologiques et moléculaire. Il s’agit d’une classification complexe qui permet toutefois de regrouper ces maladies en plusieurs sous-groupes aux caractéristiques propres.
- Ces sous-classes sont indispensables dans la recherche d’agents thérapeutiques efficaces puisque chacune de ces sous-classes pourrait potentiellement réagir de manière différente à un agent donné.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Intro
- classification
- Tout comme pour les néoplasies d’origine myéloïdes, les néoplasies d’origine lymphoïde ont fait l’objet pendant longtemps d’une classification basée sur l’aspect morphologique des cellules pathologiques impliquées.
- La classification de l’OMS de 2000, révisée pour la dernière fois en 2016 propose une classification basée sur des caractéristiques morphologiques, immunologiques et moléculaire. Il s’agit d’une classification complexe qui permet toutefois de regrouper ces maladies en plusieurs sous-groupes aux caractéristiques propres.
- Ces sous-classes sont indispensables dans la recherche d’agents thérapeutiques efficaces puisque chacune de ces sous-classes pourrait potentiellement réagir de manière différente à un agent donné.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Intro
- utilité de la classification
- Tout comme pour les néoplasies d’origine myéloïdes, les néoplasies d’origine lymphoïde ont fait l’objet pendant longtemps d’une classification basée sur l’aspect morphologique des cellules pathologiques impliquées.
- La classification de l’OMS de 2000, révisée pour la dernière fois en 2016 propose une classification basée sur des caractéristiques morphologiques, immunologiques et moléculaire. Il s’agit d’une classification complexe qui permet toutefois de regrouper ces maladies en plusieurs sous-groupes aux caractéristiques propres.
- Ces sous-classes sont indispensables dans la recherche d’agents thérapeutiques efficaces puisque chacune de ces sous-classes pourrait potentiellement réagir de manière différente à un agent donné.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Grandes classes
Les grandes classes néoplasies lymphoïdes sont donc :
- Les néoplasies des précurseurs lymphoïdes :
* Leucémie/lymphome lymphoblastique B
* Leucémie/lymphome lymphoblastique T - Les néoplasies lymphoïdes matures :
* Les néoplasies à cellules B matures
* Les néoplasies à cellules T matures et NK
* Les lymphomes hodgkiniens
* Les maladies lymphoprolifératives post transplantation d’organe
* Les néoplasies à cellules histiocytaires et dendritiques
Leucémies aiguës lymphoïdes: Grandes classes
- nommez les: néoplasies des précurseurs lymphoïdes
Les grandes classes néoplasies lymphoïdes sont donc :
-
Les néoplasies des précurseurs lymphoïdes :
* Leucémie/lymphome lymphoblastique B
* Leucémie/lymphome lymphoblastique T - Les néoplasies lymphoïdes matures :
* Les néoplasies à cellules B matures
* Les néoplasies à cellules T matures et NK
* Les lymphomes hodgkiniens
* Les maladies lymphoprolifératives post transplantation d’organe
* Les néoplasies à cellules histiocytaires et dendritiques
Leucémies aiguës lymphoïdes: Grandes classes
- nommez les: néoplasies lymphoïdes matures
Les grandes classes néoplasies lymphoïdes sont donc :
- Les néoplasies des précurseurs lymphoïdes :
* Leucémie/lymphome lymphoblastique B
* Leucémie/lymphome lymphoblastique T -
Les néoplasies lymphoïdes matures :
* Les néoplasies à cellules B matures
* Les néoplasies à cellules T matures et NK
* Les lymphomes hodgkiniens
* Les maladies lymphoprolifératives post transplantation d’organe
* Les néoplasies à cellules histiocytaires et dendritiques
Leucémies aiguës lymphoïdes: Mécanisme
- La leucémie aiguë lymphoïde (LAL) ou leucémie/lymphome lymphoblastique résulte d’une prolifération maligne des précurseurs lymphoïdes immatures de la moelle osseuse, associée à des altérations génomiques de ces cellules.
- Cette maladie est appelée leucémie lorsqu’il y a 20% de blastes lymphoïdes ou plus dans la moelle osseuse.
- Lorsqu’il y a < 20% de blastes dans le moelle et qu’il y a présence d’une masse, la maladie aura alors l’appellation de lymphome.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Noms possibes
- La leucémie aiguë lymphoïde (LAL) ou leucémie/lymphome lymphoblastique résulte d’une prolifération maligne des précurseurs lymphoïdes immatures de la moelle osseuse, associée à des altérations génomiques de ces cellules.
- Cette maladie est appelée leucémie lorsqu’il y a 20% de blastes lymphoïdes ou plus dans la moelle osseuse.
- Lorsqu’il y a < 20% de blastes dans le moelle et qu’il y a présence d’une masse, la maladie aura alors l’appellation de lymphome.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Différence entre leucémies vs lymphoïdes
- La leucémie aiguë lymphoïde (LAL) ou leucémie/lymphome lymphoblastique résulte d’une prolifération maligne des précurseurs lymphoïdes immatures de la moelle osseuse, associée à des altérations génomiques de ces cellules.
- Cette maladie est appelée leucémie lorsqu’il y a 20% de blastes lymphoïdes ou plus dans la moelle osseuse.
- Lorsqu’il y a < 20% de blastes dans le moelle et qu’il y a présence d’une masse, la maladie aura alors l’appellation de lymphome.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Lymphoblastes
- Cette prolifération s’accompagne du passage des cellules malignes au sang périphérique sous forme de lymphoblastes, cellules nettement anormales qui ne se rencontrent jamais dans les lymphocytoses réactionnelles ni dans les syndromes mononucléosiques.
- Ainsi, dans la majorité des cas (environ 80%), il est possible de suspecter la présence de ces blastes dans le sang périphérique lors d’un examen du frottis.
- Dans plusieurs cas, les lymphoblastes leucémiques peuvent aussi envahir secondairement les organes lymphoïdes périphériques, c’est-à-dire les ganglions et la rate.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Frottis
- Cette prolifération s’accompagne du passage des cellules malignes au sang périphérique sous forme de lymphoblastes, cellules nettement anormales qui ne se rencontrent jamais dans les lymphocytoses réactionnelles ni dans les syndromes mononucléosiques.
- Ainsi, dans la majorité des cas (environ 80%), il est possible de suspecter la présence de ces blastes dans le sang périphérique lors d’un examen du frottis.
- Dans plusieurs cas, les lymphoblastes leucémiques peuvent aussi envahir secondairement les organes lymphoïdes périphériques, c’est-à-dire les ganglions et la rate.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Envahissement organes périphériques
- Cette prolifération s’accompagne du passage des cellules malignes au sang périphérique sous forme de lymphoblastes, cellules nettement anormales qui ne se rencontrent jamais dans les lymphocytoses réactionnelles ni dans les syndromes mononucléosiques.
- Ainsi, dans la majorité des cas (environ 80%), il est possible de suspecter la présence de ces blastes dans le sang périphérique lors d’un examen du frottis.
- Dans plusieurs cas, les lymphoblastes leucémiques peuvent aussi envahir secondairement les organes lymphoïdes périphériques, c’est-à-dire les ganglions et la rate.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Observées chez qui?
- La leucémie aiguë est la forme de cancer la plus souvent observée chez le jeune l’enfant.
- Dans 80% des cas, à cet âge, il s’agira d’une leucémie aiguë lymphoïde plutôt que myéloïde.
- La leucémie aiguë lymphoïde se rencontre aussi chez l’adulte, mais elle ne représente que 20% environ des cas de leucémie aiguë observés après l’âge de 20 ans.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Adultes vs enfants
- La leucémie aiguë est la forme de cancer la plus souvent observée chez le jeune l’enfant.
- Dans 80% des cas, à cet âge, il s’agira d’une leucémie aiguë lymphoïde plutôt que myéloïde.
- La leucémie aiguë lymphoïde se rencontre aussi chez l’adulte, mais elle ne représente que 20% environ des cas de leucémie aiguë observés après l’âge de 20 ans.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Chez l’enfant
- La leucémie aiguë est la forme de cancer la plus souvent observée chez le jeune l’enfant.
- Dans 80% des cas, à cet âge, il s’agira d’une leucémie aiguë lymphoïde plutôt que myéloïde.
- La leucémie aiguë lymphoïde se rencontre aussi chez l’adulte, mais elle ne représente que 20% environ des cas de leucémie aiguë observés après l’âge de 20 ans.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Chez l’adulte
- La leucémie aiguë est la forme de cancer la plus souvent observée chez le jeune l’enfant.
- Dans 80% des cas, à cet âge, il s’agira d’une leucémie aiguë lymphoïde plutôt que myéloïde.
- La leucémie aiguë lymphoïde se rencontre aussi chez l’adulte, mais elle ne représente que 20% environ des cas de leucémie aiguë observés après l’âge de 20 ans.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Taux de curabilité chez l’enfant
- La leucémie aiguë lymphoïde de l’enfant est associée à un taux de curabilité élevé, de l’ordre de 80 à 90% des cas, d’où l’importance de savoir reconnaître cette maladie afin de pouvoir instituer le plus rapidement possible un traitement approprié.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Importance de reconnaître cette patho
- La leucémie aiguë lymphoïde de l’enfant est associée à un taux de curabilité élevé, de l’ordre de 80 à 90% des cas, d’où l’importance de savoir reconnaître cette maladie afin de pouvoir instituer le plus rapidement possible un traitement approprié.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Étiologie
- Comme pour les autres formes de leucémies aiguës, l’étiologie de cette maladie n’est pas connue à l’heure actuelle.
- Elle survient de manière aléatoire, atteint également les deux sexes et il n’existe pas présentement de mesure préventive reconnue.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Mesures préventives
- Comme pour les autres formes de leucémies aiguës, l’étiologie de cette maladie n’est pas connue à l’heure actuelle.
- Elle survient de manière aléatoire, atteint également les deux sexes et il n’existe pas présentement de mesure préventive reconnue.
Leucémies aiguës lymphoïdes: H vs F
- Comme pour les autres formes de leucémies aiguës, l’étiologie de cette maladie n’est pas connue à l’heure actuelle.
- Elle survient de manière aléatoire, atteint également les deux sexes et il n’existe pas présentement de mesure préventive reconnue.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Intro
- La LAL comporte plusieurs sous-catégories.
- L’intérêt principal dans ce type de maladie consiste à reconnaître si le précurseur pathologique prédominant est d’origine T ou B. En morphologie, la distinction de ces deux types de cellules est impossible.
- Le système de classification FAB basée sur la morphologie demeure encore utilisé de nos jours.
- Ce système distingue trois variantes morphologiques de LAL dénommées L1, L2 et L3.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Utilité des sous-catégories
- La LAL comporte plusieurs sous-catégories.
- L’intérêt principal dans ce type de maladie consiste à reconnaître si le précurseur pathologique prédominant est d’origine T ou B.
- En morphologie, la distinction de ces deux types de cellules est impossible.
- Le système de classification FAB basée sur la morphologie demeure encore utilisé de nos jours.
- Ce système distingue trois variantes morphologiques de LAL dénommées L1, L2 et L3.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Distinction en morphologie
- La LAL comporte plusieurs sous-catégories.
- L’intérêt principal dans ce type de maladie consiste à reconnaître si le précurseur pathologique prédominant est d’origine T ou B.
- En morphologie, la distinction de ces deux types de cellules est impossible.
- Le système de classification FAB basée sur la morphologie demeure encore utilisé de nos jours.
- Ce système distingue trois variantes morphologiques de LAL dénommées L1, L2 et L3.
Leucémies aiguës lymphoïdes: sur quoi est basée la classification FAB?
- La LAL comporte plusieurs sous-catégories.
- L’intérêt principal dans ce type de maladie consiste à reconnaître si le précurseur pathologique prédominant est d’origine T ou B.
- En morphologie, la distinction de ces deux types de cellules est impossible.
- Le système de classification FAB basée sur la morphologie demeure encore utilisé de nos jours.
- Ce système distingue trois variantes morphologiques de LAL dénommées L1, L2 et L3.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Variantes morphologiques
- La LAL comporte plusieurs sous-catégories.
- L’intérêt principal dans ce type de maladie consiste à reconnaître si le précurseur pathologique prédominant est d’origine T ou B.
- En morphologie, la distinction de ces deux types de cellules est impossible.
- Le système de classification FAB basée sur la morphologie demeure encore utilisé de nos jours.
- Ce système distingue trois variantes morphologiques de LAL dénommées L1, L2 et L3.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Type L1 vs L2 vs L3
- Le type L1 est celui que l’on observe le plus souvent (80%) chez le jeune enfant.
- Il se distingue par une population blastique très homogène.
- Le type L2 est le type le plus souvent observé chez l’adulte (80%) avec une population blastique plus hétéromorphe.
- Le type L3 ne représente que 3 à 4% de tous les cas de leucémie aiguë lymphoïde, aussi bien chez l’enfant que chez l’adulte.
- Il se caractérise par une population de lymphocytes B matures à cytoplasme hyperbasophile (très bleuté), souvent vacuolé, ressemblant en tous points aux cellules observées dans le lymphome de Burkitt.
- C’est pourquoi la LAL de type L3 est aussi souvent appelée LAL de type Burkitt.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Type L1
-
Le type L1 est celui que l’on observe le plus souvent (80%) chez le jeune enfant.
- Il se distingue par une population blastique très homogène.
- Le type L2 est le type le plus souvent observé chez l’adulte (80%) avec une population blastique plus hétéromorphe.
- Le type L3 ne représente que 3 à 4% de tous les cas de leucémie aiguë lymphoïde, aussi bien chez l’enfant que chez l’adulte.
- Il se caractérise par une population de lymphocytes B matures à cytoplasme hyperbasophile (très bleuté), souvent vacuolé, ressemblant en tous points aux cellules observées dans le lymphome de Burkitt.
- C’est pourquoi la LAL de type L3 est aussi souvent appelée LAL de type Burkitt.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Type L1 - chez qui?
-
Le type L1 est celui que l’on observe le plus souvent (80%) chez le jeune enfant.
- Il se distingue par une population blastique très homogène.
- Le type L2 est le type le plus souvent observé chez l’adulte (80%) avec une population blastique plus hétéromorphe.
- Le type L3 ne représente que 3 à 4% de tous les cas de leucémie aiguë lymphoïde, aussi bien chez l’enfant que chez l’adulte.
- Il se caractérise par une population de lymphocytes B matures à cytoplasme hyperbasophile (très bleuté), souvent vacuolé, ressemblant en tous points aux cellules observées dans le lymphome de Burkitt.
- C’est pourquoi la LAL de type L3 est aussi souvent appelée LAL de type Burkitt.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Type L1 - se distingue par quoi?
- Le type L1 est celui que l’on observe le plus souvent (80%) chez le jeune enfant.
- Il se distingue par une population blastique très homogène.
- Le type L2 est le type le plus souvent observé chez l’adulte (80%) avec une population blastique plus hétéromorphe.
- Le type L3 ne représente que 3 à 4% de tous les cas de leucémie aiguë lymphoïde, aussi bien chez l’enfant que chez l’adulte.
- Il se caractérise par une population de lymphocytes B matures à cytoplasme hyperbasophile (très bleuté), souvent vacuolé, ressemblant en tous points aux cellules observées dans le lymphome de Burkitt.
- C’est pourquoi la LAL de type L3 est aussi souvent appelée LAL de type Burkitt.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Type L2 - chez qui?
- Le type L1 est celui que l’on observe le plus souvent (80%) chez le jeune enfant.
- Il se distingue par une population blastique très homogène.
- Le type L2 est le type le plus souvent observé chez l’adulte (80%) avec une population blastique plus hétéromorphe.
- Le type L3 ne représente que 3 à 4% de tous les cas de leucémie aiguë lymphoïde, aussi bien chez l’enfant que chez l’adulte.
- Il se caractérise par une population de lymphocytes B matures à cytoplasme hyperbasophile (très bleuté), souvent vacuolé, ressemblant en tous points aux cellules observées dans le lymphome de Burkitt.
- C’est pourquoi la LAL de type L3 est aussi souvent appelée LAL de type Burkitt.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Type L2 - se distingue par quoi?
- Le type L1 est celui que l’on observe le plus souvent (80%) chez le jeune enfant.
- Il se distingue par une population blastique très homogène.
- Le type L2 est le type le plus souvent observé chez l’adulte (80%) avec une population blastique plus hétéromorphe.
- Le type L3 ne représente que 3 à 4% de tous les cas de leucémie aiguë lymphoïde, aussi bien chez l’enfant que chez l’adulte.
- Il se caractérise par une population de lymphocytes B matures à cytoplasme hyperbasophile (très bleuté), souvent vacuolé, ressemblant en tous points aux cellules observées dans le lymphome de Burkitt.
- C’est pourquoi la LAL de type L3 est aussi souvent appelée LAL de type Burkitt.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Type L3
- Le type L1 est celui que l’on observe le plus souvent (80%) chez le jeune enfant.
- Il se distingue par une population blastique très homogène.
- Le type L2 est le type le plus souvent observé chez l’adulte (80%) avec une population blastique plus hétéromorphe.
-
Le type L3 ne représente que 3 à 4% de tous les cas de leucémie aiguë lymphoïde, aussi bien chez l’enfant que chez l’adulte.
- Il se caractérise par une population de lymphocytes B matures à cytoplasme hyperbasophile (très bleuté), souvent vacuolé, ressemblant en tous points aux cellules observées dans le lymphome de Burkitt.
- C’est pourquoi la LAL de type L3 est aussi souvent appelée LAL de type Burkitt.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Type L3 - fréquence
- Le type L1 est celui que l’on observe le plus souvent (80%) chez le jeune enfant.
- Il se distingue par une population blastique très homogène.
- Le type L2 est le type le plus souvent observé chez l’adulte (80%) avec une population blastique plus hétéromorphe.
-
Le type L3 ne représente que 3 à 4% de tous les cas de leucémie aiguë lymphoïde, aussi bien chez l’enfant que chez l’adulte.
- Il se caractérise par une population de lymphocytes B matures à cytoplasme hyperbasophile (très bleuté), souvent vacuolé, ressemblant en tous points aux cellules observées dans le lymphome de Burkitt.
- C’est pourquoi la LAL de type L3 est aussi souvent appelée LAL de type Burkitt.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Type L3 - chez qui?
- Le type L1 est celui que l’on observe le plus souvent (80%) chez le jeune enfant.
- Il se distingue par une population blastique très homogène.
- Le type L2 est le type le plus souvent observé chez l’adulte (80%) avec une population blastique plus hétéromorphe.
- Le type L3 ne représente que 3 à 4% de tous les cas de leucémie aiguë lymphoïde, aussi bien chez l’enfant que chez l’adulte.
- Il se caractérise par une population de lymphocytes B matures à cytoplasme hyperbasophile (très bleuté), souvent vacuolé, ressemblant en tous points aux cellules observées dans le lymphome de Burkitt.
- C’est pourquoi la LAL de type L3 est aussi souvent appelée LAL de type Burkitt.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Type L3 - se caractérise par quoi?
- Le type L1 est celui que l’on observe le plus souvent (80%) chez le jeune enfant.
- Il se distingue par une population blastique très homogène.
- Le type L2 est le type le plus souvent observé chez l’adulte (80%) avec une population blastique plus hétéromorphe.
- Le type L3 ne représente que 3 à 4% de tous les cas de leucémie aiguë lymphoïde, aussi bien chez l’enfant que chez l’adulte.
- Il se caractérise par une population de lymphocytes B matures à cytoplasme hyperbasophile (très bleuté), souvent vacuolé, ressemblant en tous points aux cellules observées dans le lymphome de Burkitt.
- C’est pourquoi la LAL de type L3 est aussi souvent appelée LAL de type Burkitt.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Type L3 - autre nom
- Le type L1 est celui que l’on observe le plus souvent (80%) chez le jeune enfant.
- Il se distingue par une population blastique très homogène.
- Le type L2 est le type le plus souvent observé chez l’adulte (80%) avec une population blastique plus hétéromorphe.
- Le type L3 ne représente que 3 à 4% de tous les cas de leucémie aiguë lymphoïde, aussi bien chez l’enfant que chez l’adulte.
- Il se caractérise par une population de lymphocytes B matures à cytoplasme hyperbasophile (très bleuté), souvent vacuolé, ressemblant en tous points aux cellules observées dans le lymphome de Burkitt.
- C’est pourquoi la LAL de type L3 est aussi souvent appelée LAL de type Burkitt.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Classification selon leur phénotype
- Les LAL peuvent aussi être catégorisées selon leur phénotype, tel que révélé par une analyse cytométrique des marqueurs cellulaires en immunofluorescence.
- La majorité des LAL origine des lymphocytes B immatures et porte l’antigène CD19.
- Les LAL d’origine T sont moins fréquentes.
- Certains marqueurs spécifiques à la lignée B ou T peuvent nous renseigner sur le niveau de maturation de la cellule.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Classification selon leur phénotype
- comment est faite?
- Les LAL peuvent aussi être catégorisées selon leur phénotype, tel que révélé par une analyse cytométrique des marqueurs cellulaires en immunofluorescence.
- La majorité des LAL origine des lymphocytes B immatures et porte l’antigène CD19.
- Les LAL d’origine T sont moins fréquentes.
- Certains marqueurs spécifiques à la lignée B ou T peuvent nous renseigner sur le niveau de maturation de la cellule.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Classification selon leur phénotype
- lymphocyte T ou B?
- Les LAL peuvent aussi être catégorisées selon leur phénotype, tel que révélé par une analyse cytométrique des marqueurs cellulaires en immunofluorescence.
- La majorité des LAL origine des lymphocytes B immatures et porte l’antigène CD19.
- Les LAL d’origine T sont moins fréquentes.
- Certains marqueurs spécifiques à la lignée B ou T peuvent nous renseigner sur le niveau de maturation de la cellule.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Classification selon leur phénotype
- marqueur
- Les LAL peuvent aussi être catégorisées selon leur phénotype, tel que révélé par une analyse cytométrique des marqueurs cellulaires en immunofluorescence.
- La majorité des LAL origine des lymphocytes B immatures et porte l’antigène CD19.
- Les LAL d’origine T sont moins fréquentes.
- Certains marqueurs spécifiques à la lignée B ou T peuvent nous renseigner sur le niveau de maturation de la cellule.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Cytogénétique
- La cytogénétique permet aussi d’apporter des distinctions d’importance pronostique fondamentale dans les cas de LAL.
- La présence du chromosome de Philadelphie (translocation 9;22 ou gène bcr-abl) – le même que celui qui caractérise la leucémie myéloïde chronique – s’observe dans une proportion des LAL qui augmente avec l’âge (plutôt rare chez l’enfant), jusqu’à 30% chez les adultes atteints de cette forme de leucémie.
- De même, la présence du réarrangement du gène MLL (11q23) ou d’un caryotype hypodiploïde (< 45 chromosomes) sont d’autres variables de mauvais pronostic justifiant l’intensification du plan de traitement.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Cytogénétique
- utilité
- La cytogénétique permet aussi d’apporter des distinctions d’importance pronostique fondamentale dans les cas de LAL.
- La présence du chromosome de Philadelphie (translocation 9;22 ou gène bcr-abl) – le même que celui qui caractérise la leucémie myéloïde chronique – s’observe dans une proportion des LAL qui augmente avec l’âge (plutôt rare chez l’enfant), jusqu’à 30% chez les adultes atteints de cette forme de leucémie.
- De même, la présence du réarrangement du gène MLL (11q23) ou d’un caryotype hypodiploïde (< 45 chromosomes) sont d’autres variables de mauvais pronostic justifiant l’intensification du plan de traitement.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Cytogénétique
- chromosome Philadelphie
- La cytogénétique permet aussi d’apporter des distinctions d’importance pronostique fondamentale dans les cas de LAL.
- La présence du chromosome de Philadelphie (translocation 9;22 ou gène bcr-abl) – le même que celui qui caractérise la leucémie myéloïde chronique – s’observe dans une proportion des LAL qui augmente avec l’âge (plutôt rare chez l’enfant), jusqu’à 30% chez les adultes atteints de cette forme de leucémie.
- De même, la présence du réarrangement du gène MLL (11q23) ou d’un caryotype hypodiploïde (< 45 chromosomes) sont d’autres variables de mauvais pronostic justifiant l’intensification du plan de traitement.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Cytogénétique
- réarrangement du gène
- La cytogénétique permet aussi d’apporter des distinctions d’importance pronostique fondamentale dans les cas de LAL.
- La présence du chromosome de Philadelphie (translocation 9;22 ou gène bcr-abl) – le même que celui qui caractérise la leucémie myéloïde chronique – s’observe dans une proportion des LAL qui augmente avec l’âge (plutôt rare chez l’enfant), jusqu’à 30% chez les adultes atteints de cette forme de leucémie.
- De même, la présence du réarrangement du gène MLL (11q23) ou d’un caryotype hypodiploïde (< 45 chromosomes) sont d’autres variables de mauvais pronostic justifiant l’intensification du plan de traitement.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Cytogénétique
- caryotype
- La cytogénétique permet aussi d’apporter des distinctions d’importance pronostique fondamentale dans les cas de LAL.
- La présence du chromosome de Philadelphie (translocation 9;22 ou gène bcr-abl) – le même que celui qui caractérise la leucémie myéloïde chronique – s’observe dans une proportion des LAL qui augmente avec l’âge (plutôt rare chez l’enfant), jusqu’à 30% chez les adultes atteints de cette forme de leucémie.
- De même, la présence du réarrangement du gène MLL (11q23) ou d’un caryotype hypodiploïde (< 45 chromosomes) sont d’autres variables de mauvais pronostic justifiant l’intensification du plan de traitement.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Cytogénétique
- indicateurs de mauvais pronostic
- La cytogénétique permet aussi d’apporter des distinctions d’importance pronostique fondamentale dans les cas de LAL.
- La présence du chromosome de Philadelphie (translocation 9;22 ou gène bcr-abl) – le même que celui qui caractérise la leucémie myéloïde chronique – s’observe dans une proportion des LAL qui augmente avec l’âge (plutôt rare chez l’enfant), jusqu’à 30% chez les adultes atteints de cette forme de leucémie.
- De même, la présence du réarrangement du gène MLL (11q23) ou d’un caryotype hypodiploïde (< 45 chromosomes) sont d’autres variables de mauvais pronostic justifiant l’intensification du plan de traitement.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Manifestations cliniques - nommez-les
- Insuffisance médullaire
- Prolifération cellulaire
- Douleurs osseuse
- Envahissement méningé
- Envahissement testiculaire
Leucémies aiguës lymphoïdes: Insuf médullaire
- Comme pour les leucémies aiguës myéloïdes, l’inhibition de l’hématopoïèse normale se manifeste par des symptômes :
- i. d’anémie (dyspnée à l’effort, pâleur, fatigabilité, tachycardie);
- ii. de neutropénie (infections répétées ou rebelles);
- iii. de thrombopénie (pétéchies/ purpura, ecchymoses ou autres (saignements).
Leucémies aiguës lymphoïdes: Insuf médullaire
- mécanisme en jeu
-
Comme pour les leucémies aiguës myéloïdes, l’inhibition de l’hématopoïèse normale se manifeste par des symptômes :
- i. d’anémie (dyspnée à l’effort, pâleur, fatigabilité, tachycardie);
- ii. de neutropénie (infections répétées ou rebelles);
- iii. de thrombopénie (pétéchies/ purpura, ecchymoses ou autres (saignements).
Leucémies aiguës lymphoïdes: Insuf médullaire
- nommez les sx
- Comme pour les leucémies aiguës myéloïdes, l’inhibition de l’hématopoïèse normale se manifeste par des symptômes :
- i. d’anémie (dyspnée à l’effort, pâleur, fatigabilité, tachycardie);
- ii. de neutropénie (infections répétées ou rebelles);
- iii. de thrombopénie (pétéchies/ purpura, ecchymoses ou autres (saignements).
Leucémies aiguës lymphoïdes: Insuf médullaire
- sx anémie
- Comme pour les leucémies aiguës myéloïdes, l’inhibition de l’hématopoïèse normale se manifeste par des symptômes :
- i. d’anémie (dyspnée à l’effort, pâleur, fatigabilité, tachycardie);
- ii. de neutropénie (infections répétées ou rebelles);
- iii. de thrombopénie (pétéchies/ purpura, ecchymoses ou autres (saignements).
Leucémies aiguës lymphoïdes: Insuf médullaire
- sx de neutropénie
- Comme pour les leucémies aiguës myéloïdes, l’inhibition de l’hématopoïèse normale se manifeste par des symptômes :
- i. d’anémie (dyspnée à l’effort, pâleur, fatigabilité, tachycardie);
- ii. de neutropénie (infections répétées ou rebelles);
- iii. de thrombopénie (pétéchies/ purpura, ecchymoses ou autres (saignements).
Leucémies aiguës lymphoïdes: Insuf médullaire
- sx de thrombopénie
- Comme pour les leucémies aiguës myéloïdes, l’inhibition de l’hématopoïèse normale se manifeste par des symptômes :
- i. d’anémie (dyspnée à l’effort, pâleur, fatigabilité, tachycardie);
- ii. de neutropénie (infections répétées ou rebelles);
- iii. de thrombopénie (pétéchies/ purpura, ecchymoses ou autres (saignements).
Leucémies aiguës lymphoïdes: Prolifération cellulaire
- Syndrome tumoral avec polyadénopathie, hépato-splénomégalie, parfois masse médiastinale (LAL-T en particulier) causant compression vasculaire et/ou respiratoire.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Prolifération cellulaire
- signes
- Syndrome tumoral avec polyadénopathie, hépato-splénomégalie, parfois masse médiastinale (LAL-T en particulier) causant compression vasculaire et/ou respiratoire.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Douleurs osseuse
- Elles reflètent l’envahissement médullaire massif et sont parfois le premier et seul symptôme de la maladie chez les enfants.
- Parfois, la radiographie osseuse peut révéler la présence de soulèvements périostés aux sites les plus douloureux.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Douleurs osseuse
- mécanisme en jeu
- Elles reflètent l’envahissement médullaire massif et sont parfois le premier et seul symptôme de la maladie chez les enfants.
- Parfois, la radiographie osseuse peut révéler la présence de soulèvements périostés aux sites les plus douloureux.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Douleurs osseuse
- pertinence de ce sx
- Elles reflètent l’envahissement médullaire massif et sont parfois le premier et seul symptôme de la maladie chez les enfants.
- Parfois, la radiographie osseuse peut révéler la présence de soulèvements périostés aux sites les plus douloureux.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Douleurs osseuse
- utilité radiographie
- Elles reflètent l’envahissement médullaire massif et sont parfois le premier et seul symptôme de la maladie chez les enfants.
- Parfois, la radiographie osseuse peut révéler la présence de soulèvements périostés aux sites les plus douloureux.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Envahissement méningé
- Contrairement au cas des leucémies aiguës myéloïdes, l’infiltration leucémique des méninges est fréquente dans les LAL, soit au moment du diagnostic, soit au cours de l’évolution de la maladie.
- Elle se manifeste principalement par des céphalées, des douleurs rachidiennes, une raideur de la nuque, des nausées et/ou vomissements et par divers signes neurologiques focaux reflétant une atteinte des nerfs émergeant à la base du crâne.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Envahissement méningé
- fréquence
- Contrairement au cas des leucémies aiguës myéloïdes, l’infiltration leucémique des méninges est fréquente dans les LAL, soit au moment du diagnostic, soit au cours de l’évolution de la maladie.
- Elle se manifeste principalement par des céphalées, des douleurs rachidiennes, une raideur de la nuque, des nausées et/ou vomissements et par divers signes neurologiques focaux reflétant une atteinte des nerfs émergeant à la base du crâne.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Envahissement méningé
- est retrouvé à quel moment de l’évolutiom?
- Contrairement au cas des leucémies aiguës myéloïdes, l’infiltration leucémique des méninges est fréquente dans les LAL, soit au moment du diagnostic, soit au cours de l’évolution de la maladie.
- Elle se manifeste principalement par des céphalées, des douleurs rachidiennes, une raideur de la nuque, des nausées et/ou vomissements et par divers signes neurologiques focaux reflétant une atteinte des nerfs émergeant à la base du crâne.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Envahissement méningé
- symptômes
- Contrairement au cas des leucémies aiguës myéloïdes, l’infiltration leucémique des méninges est fréquente dans les LAL, soit au moment du diagnostic, soit au cours de l’évolution de la maladie.
- Elle se manifeste principalement par des céphalées, des douleurs rachidiennes, une raideur de la nuque, des nausées et/ou vomissements et par divers signes neurologiques focaux reflétant une atteinte des nerfs émergeant à la base du crâne.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Envahissement méningé
- comment est confirmé le dx?
- Le diagnostic est confirmé par l’évaluation du liquide céphalorachidien prélevé par ponction lombaire ou si il y a atteinte d’un/des nerf(s) crânien(s) à la présentation clinique initiale.
- Une imagerie cérébrale par IRM n’est pas effectuée de routine.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Envahissement méningé
- IRM
- Le diagnostic est confirmé par l’évaluation du liquide céphalorachidien prélevé par ponction lombaire ou si il y a atteinte d’un/des nerf(s) crânien(s) à la présentation clinique initiale.
- Une imagerie cérébrale par IRM n’est pas effectuée de routine.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Envahissement testiculaire
- pourquoi cet endroit est envahi?
- Comme les méninges, les testicules, protégés par la membrane albuginée, constituent chez les garçons un « territoire sanctuaire » où les cellules leucémiques peuvent échapper à l’action des médicaments de chimiothérapie.
- Les récidives testiculaires se présentent habituellement sous forme d’une masse anormale, indolore mais toujours suspecte.
- Une simple ponction cytologique à l’aiguille fine suffit habituellement à confirmer l’envahissement lymphoblastique.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Envahissement testiculaire
- sx de récidives testiculaires
- Comme les méninges, les testicules, protégés par la membrane albuginée, constituent chez les garçons un « territoire sanctuaire » où les cellules leucémiques peuvent échapper à l’action des médicaments de chimiothérapie.
- Les récidives testiculaires se présentent habituellement sous forme d’une masse anormale, indolore mais toujours suspecte.
- Une simple ponction cytologique à l’aiguille fine suffit habituellement à confirmer l’envahissement lymphoblastique.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Envahissement testiculaire
- comment confirmer le dx?
- Comme les méninges, les testicules, protégés par la membrane albuginée, constituent chez les garçons un « territoire sanctuaire » où les cellules leucémiques peuvent échapper à l’action des médicaments de chimiothérapie.
- Les récidives testiculaires se présentent habituellement sous forme d’une masse anormale, indolore mais toujours suspecte.
- Une simple ponction cytologique à l’aiguille fine suffit habituellement à confirmer l’envahissement lymphoblastique.
Leucémies aiguës lymphoïdes: FSC
- La formule sanguine est habituellement révélatrice d’une hyperleucocytose anormale faite d’éléments mononucléés immatures suggérant d’emblée l’existence possible d’une leucémie aiguë.
- Chez les adolescents et les jeunes adultes, le diagnostic différentiel d’une lymphocytose anormale doit cependant toujours inclure la possibilité d’un syndrome mononucléosique.
- L’anémie, la neutropénie et la thrombopénie peuvent exister à des degrés divers, selon chaque cas.
Leucémies aiguës lymphoïdes: FSC
- GB
- La formule sanguine est habituellement révélatrice d’une hyperleucocytose anormale faite d’éléments mononucléés immatures suggérant d’emblée l’existence possible d’une leucémie aiguë.
- Chez les adolescents et les jeunes adultes, le diagnostic différentiel d’une lymphocytose anormale doit cependant toujours inclure la possibilité d’un syndrome mononucléosique.
- L’anémie, la neutropénie et la thrombopénie peuvent exister à des degrés divers, selon chaque cas.
Leucémies aiguës lymphoïdes: FSC
- décrire l’hyperleucocytose
- La formule sanguine est habituellement révélatrice d’une hyperleucocytose anormale faite d’éléments mononucléés immatures suggérant d’emblée l’existence possible d’une leucémie aiguë.
- Chez les adolescents et les jeunes adultes, le diagnostic différentiel d’une lymphocytose anormale doit cependant toujours inclure la possibilité d’un syndrome mononucléosique.
- L’anémie, la neutropénie et la thrombopénie peuvent exister à des degrés divers, selon chaque cas.
Leucémies aiguës lymphoïdes: FSC
- ddx de la lymphoctose anormale
- La formule sanguine est habituellement révélatrice d’une hyperleucocytose anormale faite d’éléments mononucléés immatures suggérant d’emblée l’existence possible d’une leucémie aiguë.
- Chez les adolescents et les jeunes adultes, le diagnostic différentiel d’une lymphocytose anormale doit cependant toujours inclure la possibilité d’un syndrome mononucléosique.
- L’anémie, la neutropénie et la thrombopénie peuvent exister à des degrés divers, selon chaque cas.
Leucémies aiguës lymphoïdes: FSC
- GR
- La formule sanguine est habituellement révélatrice d’une hyperleucocytose anormale faite d’éléments mononucléés immatures suggérant d’emblée l’existence possible d’une leucémie aiguë.
- Chez les adolescents et les jeunes adultes, le diagnostic différentiel d’une lymphocytose anormale doit cependant toujours inclure la possibilité d’un syndrome mononucléosique.
- L’anémie, la neutropénie et la thrombopénie peuvent exister à des degrés divers, selon chaque cas.
Leucémies aiguës lymphoïdes: FSC
- neutrophiles
- La formule sanguine est habituellement révélatrice d’une hyperleucocytose anormale faite d’éléments mononucléés immatures suggérant d’emblée l’existence possible d’une leucémie aiguë.
- Chez les adolescents et les jeunes adultes, le diagnostic différentiel d’une lymphocytose anormale doit cependant toujours inclure la possibilité d’un syndrome mononucléosique.
- L’anémie, la neutropénie et la thrombopénie peuvent exister à des degrés divers, selon chaque cas.
Leucémies aiguës lymphoïdes: FSC
- plaquettes
- La formule sanguine est habituellement révélatrice d’une hyperleucocytose anormale faite d’éléments mononucléés immatures suggérant d’emblée l’existence possible d’une leucémie aiguë.
- Chez les adolescents et les jeunes adultes, le diagnostic différentiel d’une lymphocytose anormale doit cependant toujours inclure la possibilité d’un syndrome mononucléosique.
- L’anémie, la neutropénie et la thrombopénie peuvent exister à des degrés divers, selon chaque cas.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Aspiration de moelle
- La ponction de moelle (aspiration) confirme un envahissement blastique dont les caractères morphologiques permettent de classifier la LAL selon la classification FAB.
- Un prélèvement est aussi effectué pour analyse cytofluorométrique des marqueurs cellulaires, permettant d’identifier le phénotype d’origine des cellules leucémiques (T ou B) et leur degré de maturité.
- Un caryotype, une analyse FISH et certaines analyses moléculaires seront également effectués.
- L’ensemble de ces examens permettra de classifier les divers sous-types leucémiques selon les critères de la classification de l’OMS.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Aspiration de moelle
- ce qu’on y trouve
- La ponction de moelle (aspiration) confirme un envahissement blastique dont les caractères morphologiques permettent de classifier la LAL selon la classification FAB.
- Un prélèvement est aussi effectué pour analyse cytofluorométrique des marqueurs cellulaires, permettant d’identifier le phénotype d’origine des cellules leucémiques (T ou B) et leur degré de maturité.
- Un caryotype, une analyse FISH et certaines analyses moléculaires seront également effectués.
- L’ensemble de ces examens permettra de classifier les divers sous-types leucémiques selon les critères de la classification de l’OMS.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Aspiration de moelle
- analyse cytofluorométrique
- La ponction de moelle (aspiration) confirme un envahissement blastique dont les caractères morphologiques permettent de classifier la LAL selon la classification FAB.
- Un prélèvement est aussi effectué pour analyse cytofluorométrique des marqueurs cellulaires, permettant d’identifier le phénotype d’origine des cellules leucémiques (T ou B) et leur degré de maturité.
- Un caryotype, une analyse FISH et certaines analyses moléculaires seront également effectués.
- L’ensemble de ces examens permettra de classifier les divers sous-types leucémiques selon les critères de la classification de l’OMS.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Aspiration de moelle
- autres analyses utiles
- La ponction de moelle (aspiration) confirme un envahissement blastique dont les caractères morphologiques permettent de classifier la LAL selon la classification FAB.
- Un prélèvement est aussi effectué pour analyse cytofluorométrique des marqueurs cellulaires, permettant d’identifier le phénotype d’origine des cellules leucémiques (T ou B) et leur degré de maturité.
- Un caryotype, une analyse FISH et certaines analyses moléculaires seront également effectués.
- L’ensemble de ces examens permettra de classifier les divers sous-types leucémiques selon les critères de la classification de l’OMS.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Aspiration de moelle
- pertinence de ces tests
- La ponction de moelle (aspiration) confirme un envahissement blastique dont les caractères morphologiques permettent de classifier la LAL selon la classification FAB.
- Un prélèvement est aussi effectué pour analyse cytofluorométrique des marqueurs cellulaires, permettant d’identifier le phénotype d’origine des cellules leucémiques (T ou B) et leur degré de maturité.
- Un caryotype, une analyse FISH et certaines analyses moléculaires seront également effectués.
- L’ensemble de ces examens permettra de classifier les divers sous-types leucémiques selon les critères de la classification de l’OMS.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Pronostic
Les principaux facteurs qui influencent de manière favorable le pronostic et la curabilité des LAL sont :
- L’âge : entre 1 et 10 ans;
- Sexe masculine (LAL-T seulement);
- L’absence ou la présence de certains marqueurs de surface spécifiques (LLA-T) et l’absence d’anomalies cytogénétiques complexes;
- La présence d’un donneur potentiel apparenté en vue d’une greffe de cellules souches (LLA-T);
- L’absence de rechute;
- La leucocytose initiale < 50 x 10^9/L;
- Le caryotype : hyperdiploïdie, absence du chromosome de Philadelphie et absence de réarrangement du gène MLL (11q23) (LLA-B);
- Le mode de traitement : protocoles plus intensifs (basés sur protocoles pédiatriques);
- La réponse initiale au traitement : rémission atteinte à la fin de l’induction (hématologique par la normalisation de la formule sanguine sans blastes, morphologique et moléculaire par un examen répété de la moelle osseuse).
Leucémies aiguës lymphoïdes: Facteurs de bon pronostic
Les principaux facteurs qui influencent de manière favorable le pronostic et la curabilité des LAL sont :
- L’âge : entre 1 et 10 ans;
- Sexe masculine (LAL-T seulement);
- L’absence ou la présence de certains marqueurs de surface spécifiques (LLA-T) et l’absence d’anomalies cytogénétiques complexes;
- La présence d’un donneur potentiel apparenté en vue d’une greffe de cellules souches (LLA-T);
- L’absence de rechute;
- La leucocytose initiale < 50 x 10^9/L;
- Le caryotype : hyperdiploïdie, absence du chromosome de Philadelphie et absence de réarrangement du gène MLL (11q23) (LLA-B);
- Le mode de traitement : protocoles plus intensifs (basés sur protocoles pédiatriques);
- La réponse initiale au traitement : rémission atteinte à la fin de l’induction (hématologique par la normalisation de la formule sanguine sans blastes, morphologique et moléculaire par un examen répété de la moelle osseuse).
Leucémies aiguës lymphoïdes: Facteurs de bon pronostic
- âge
Les principaux facteurs qui influencent de manière favorable le pronostic et la curabilité des LAL sont :
- L’âge : entre 1 et 10 ans;
- Sexe masculine (LAL-T seulement);
- L’absence ou la présence de certains marqueurs de surface spécifiques (LLA-T) et l’absence d’anomalies cytogénétiques complexes;
- La présence d’un donneur potentiel apparenté en vue d’une greffe de cellules souches (LLA-T);
- L’absence de rechute;
- La leucocytose initiale < 50 x 10^9/L;
- Le caryotype : hyperdiploïdie, absence du chromosome de Philadelphie et absence de réarrangement du gène MLL (11q23) (LLA-B);
- Le mode de traitement : protocoles plus intensifs (basés sur protocoles pédiatriques);
- La réponse initiale au traitement : rémission atteinte à la fin de l’induction (hématologique par la normalisation de la formule sanguine sans blastes, morphologique et moléculaire par un examen répété de la moelle osseuse).
Leucémies aiguës lymphoïdes: Facteurs de bon pronostic
- H vs F
Les principaux facteurs qui influencent de manière favorable le pronostic et la curabilité des LAL sont :
- L’âge : entre 1 et 10 ans;
- Sexe masculine (LAL-T seulement);
- L’absence ou la présence de certains marqueurs de surface spécifiques (LLA-T) et l’absence d’anomalies cytogénétiques complexes;
- La présence d’un donneur potentiel apparenté en vue d’une greffe de cellules souches (LLA-T);
- L’absence de rechute;
- La leucocytose initiale < 50 x 10^9/L;
- Le caryotype : hyperdiploïdie, absence du chromosome de Philadelphie et absence de réarrangement du gène MLL (11q23) (LLA-B);
- Le mode de traitement : protocoles plus intensifs (basés sur protocoles pédiatriques);
- La réponse initiale au traitement : rémission atteinte à la fin de l’induction (hématologique par la normalisation de la formule sanguine sans blastes, morphologique et moléculaire par un examen répété de la moelle osseuse).
Leucémies aiguës lymphoïdes: Facteurs de bon pronostic
- marqueurs
Les principaux facteurs qui influencent de manière favorable le pronostic et la curabilité des LAL sont :
- L’âge : entre 1 et 10 ans;
- Sexe masculine (LAL-T seulement);
- L’absence ou la présence de certains marqueurs de surface spécifiques (LLA-T) et l’absence d’anomalies cytogénétiques complexes;
- La présence d’un donneur potentiel apparenté en vue d’une greffe de cellules souches (LLA-T);
- L’absence de rechute;
- La leucocytose initiale < 50 x 10^9/L;
- Le caryotype : hyperdiploïdie, absence du chromosome de Philadelphie et absence de réarrangement du gène MLL (11q23) (LLA-B);
- Le mode de traitement : protocoles plus intensifs (basés sur protocoles pédiatriques);
- La réponse initiale au traitement : rémission atteinte à la fin de l’induction (hématologique par la normalisation de la formule sanguine sans blastes, morphologique et moléculaire par un examen répété de la moelle osseuse).
Leucémies aiguës lymphoïdes: Facteurs de bon pronostic
- anomalies cytogénétiques
Les principaux facteurs qui influencent de manière favorable le pronostic et la curabilité des LAL sont :
- L’âge : entre 1 et 10 ans;
- Sexe masculine (LAL-T seulement);
- L’absence ou la présence de certains marqueurs de surface spécifiques (LLA-T) et l’absence d’anomalies cytogénétiques complexes;
- La présence d’un donneur potentiel apparenté en vue d’une greffe de cellules souches (LLA-T);
- L’absence de rechute;
- La leucocytose initiale < 50 x 10^9/L;
- Le caryotype : hyperdiploïdie, absence du chromosome de Philadelphie et absence de réarrangement du gène MLL (11q23) (LLA-B);
- Le mode de traitement : protocoles plus intensifs (basés sur protocoles pédiatriques);
- La réponse initiale au traitement : rémission atteinte à la fin de l’induction (hématologique par la normalisation de la formule sanguine sans blastes, morphologique et moléculaire par un examen répété de la moelle osseuse).
Leucémies aiguës lymphoïdes: Facteurs de bon pronostic
- donneur
Les principaux facteurs qui influencent de manière favorable le pronostic et la curabilité des LAL sont :
- L’âge : entre 1 et 10 ans;
- Sexe masculine (LAL-T seulement);
- L’absence ou la présence de certains marqueurs de surface spécifiques (LLA-T) et l’absence d’anomalies cytogénétiques complexes;
- La présence d’un donneur potentiel apparenté en vue d’une greffe de cellules souches (LLA-T);
- L’absence de rechute;
- La leucocytose initiale < 50 x 10^9/L;
- Le caryotype : hyperdiploïdie, absence du chromosome de Philadelphie et absence de réarrangement du gène MLL (11q23) (LLA-B);
- Le mode de traitement : protocoles plus intensifs (basés sur protocoles pédiatriques);
- La réponse initiale au traitement : rémission atteinte à la fin de l’induction (hématologique par la normalisation de la formule sanguine sans blastes, morphologique et moléculaire par un examen répété de la moelle osseuse).
Leucémies aiguës lymphoïdes: Facteurs de bon pronostic
- rechute
Les principaux facteurs qui influencent de manière favorable le pronostic et la curabilité des LAL sont :
- L’âge : entre 1 et 10 ans;
- Sexe masculine (LAL-T seulement);
- L’absence ou la présence de certains marqueurs de surface spécifiques (LLA-T) et l’absence d’anomalies cytogénétiques complexes;
- La présence d’un donneur potentiel apparenté en vue d’une greffe de cellules souches (LLA-T);
- L’absence de rechute;
- La leucocytose initiale < 50 x 10^9/L;
- Le caryotype : hyperdiploïdie, absence du chromosome de Philadelphie et absence de réarrangement du gène MLL (11q23) (LLA-B);
- Le mode de traitement : protocoles plus intensifs (basés sur protocoles pédiatriques);
- La réponse initiale au traitement : rémission atteinte à la fin de l’induction (hématologique par la normalisation de la formule sanguine sans blastes, morphologique et moléculaire par un examen répété de la moelle osseuse).
Leucémies aiguës lymphoïdes: Facteurs de bon pronostic
- GB
Les principaux facteurs qui influencent de manière favorable le pronostic et la curabilité des LAL sont :
- L’âge : entre 1 et 10 ans;
- Sexe masculine (LAL-T seulement);
- L’absence ou la présence de certains marqueurs de surface spécifiques (LLA-T) et l’absence d’anomalies cytogénétiques complexes;
- La présence d’un donneur potentiel apparenté en vue d’une greffe de cellules souches (LLA-T);
- L’absence de rechute;
- La leucocytose initiale < 50 x 10^9/L;
- Le caryotype : hyperdiploïdie, absence du chromosome de Philadelphie et absence de réarrangement du gène MLL (11q23) (LLA-B);
- Le mode de traitement : protocoles plus intensifs (basés sur protocoles pédiatriques);
- La réponse initiale au traitement : rémission atteinte à la fin de l’induction (hématologique par la normalisation de la formule sanguine sans blastes, morphologique et moléculaire par un examen répété de la moelle osseuse).
Leucémies aiguës lymphoïdes: Facteurs de bon pronostic
- caryotype
Les principaux facteurs qui influencent de manière favorable le pronostic et la curabilité des LAL sont :
- L’âge : entre 1 et 10 ans;
- Sexe masculine (LAL-T seulement);
- L’absence ou la présence de certains marqueurs de surface spécifiques (LLA-T) et l’absence d’anomalies cytogénétiques complexes;
- La présence d’un donneur potentiel apparenté en vue d’une greffe de cellules souches (LLA-T);
- L’absence de rechute;
- La leucocytose initiale < 50 x 10^9/L;
- Le caryotype : hyperdiploïdie, absence du chromosome de Philadelphie et absence de réarrangement du gène MLL (11q23) (LLA-B);
- Le mode de traitement : protocoles plus intensifs (basés sur protocoles pédiatriques);
- La réponse initiale au traitement : rémission atteinte à la fin de l’induction (hématologique par la normalisation de la formule sanguine sans blastes, morphologique et moléculaire par un examen répété de la moelle osseuse).
Leucémies aiguës lymphoïdes: Facteurs de bon pronostic
- traitement
Les principaux facteurs qui influencent de manière favorable le pronostic et la curabilité des LAL sont :
- L’âge : entre 1 et 10 ans;
- Sexe masculine (LAL-T seulement);
- L’absence ou la présence de certains marqueurs de surface spécifiques (LLA-T) et l’absence d’anomalies cytogénétiques complexes;
- La présence d’un donneur potentiel apparenté en vue d’une greffe de cellules souches (LLA-T);
- L’absence de rechute;
- La leucocytose initiale < 50 x 10^9/L;
- Le caryotype : hyperdiploïdie, absence du chromosome de Philadelphie et absence de réarrangement du gène MLL (11q23) (LLA-B);
- Le mode de traitement : protocoles plus intensifs (basés sur protocoles pédiatriques);
- La réponse initiale au traitement : rémission atteinte à la fin de l’induction (hématologique par la normalisation de la formule sanguine sans blastes, morphologique et moléculaire par un examen répété de la moelle osseuse).
Leucémies aiguës lymphoïdes: Facteurs de bon pronostic
- mode de tx
Les principaux facteurs qui influencent de manière favorable le pronostic et la curabilité des LAL sont :
- L’âge : entre 1 et 10 ans;
- Sexe masculine (LAL-T seulement);
- L’absence ou la présence de certains marqueurs de surface spécifiques (LLA-T) et l’absence d’anomalies cytogénétiques complexes;
- La présence d’un donneur potentiel apparenté en vue d’une greffe de cellules souches (LLA-T);
- L’absence de rechute;
- La leucocytose initiale < 50 x 10^9/L;
- Le caryotype : hyperdiploïdie, absence du chromosome de Philadelphie et absence de réarrangement du gène MLL (11q23) (LLA-B);
- Le mode de traitement : protocoles plus intensifs (basés sur protocoles pédiatriques);
- La réponse initiale au traitement : rémission atteinte à la fin de l’induction (hématologique par la normalisation de la formule sanguine sans blastes, morphologique et moléculaire par un examen répété de la moelle osseuse).
Leucémies aiguës lymphoïdes: Facteurs de bon pronostic
- réponse initiale au tx
Les principaux facteurs qui influencent de manière favorable le pronostic et la curabilité des LAL sont :
- L’âge : entre 1 et 10 ans;
- Sexe masculine (LAL-T seulement);
- L’absence ou la présence de certains marqueurs de surface spécifiques (LLA-T) et l’absence d’anomalies cytogénétiques complexes;
- La présence d’un donneur potentiel apparenté en vue d’une greffe de cellules souches (LLA-T);
- L’absence de rechute;
- La leucocytose initiale < 50 x 10^9/L;
- Le caryotype : hyperdiploïdie, absence du chromosome de Philadelphie et absence de réarrangement du gène MLL (11q23) (LLA-B);
- Le mode de traitement : protocoles plus intensifs (basés sur protocoles pédiatriques);
- La réponse initiale au traitement : rémission atteinte à la fin de l’induction (hématologique par la normalisation de la formule sanguine sans blastes, morphologique et moléculaire par un examen répété de la moelle osseuse).
Leucémies aiguës lymphoïdes: Pronostic
- importance de l’âge
- Tel que déjà mentionné au début de ce chapitre, la LAL est une forme de leucémie qui, chez l’enfant, comporte à l’heure actuelle un potentiel de guérison très élevé (90%) (nettement amélioré par rapport aux années antérieures (Figure 8.1), tandis qu’à l’âge adulte, la curabilité ne dépasse guère 50% dans les meilleurs cas.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Traitement
- La polychimiothérapie en plusieurs phases (induction, intensification, consolidation et entretien) utilisant plusieurs médicaments différents constitue la base de tous les protocoles utilisés actuellement dans le traitement des LAL.
- En raison du risque d’envahissement méningé, certains médicaments capables de pénétrer efficacement la barrière hémato-encéphalique (ex : méthotrexate, hydrocortisone et cytarabine à fortes doses) sont incorporés systématiquement dès le début, en plus des injections intra- rachidiennes répétées des mêmes médicaments à doses plus faibles.
- La radiothérapie crânienne, en traitement ou en prophylaxie méningée, est parfois utilisée dans certaines situations (ex. hyperleucocytose initiale à plus de 100 x 10^9/L, persistance de blastes dans le liquide céphalo-rachidien au Jour +18 de la chimiothérapie d’induction initiale).
Leucémies aiguës lymphoïdes: Traitement
- chimiotx
- La polychimiothérapie en plusieurs phases (induction, intensification, consolidation et entretien) utilisant plusieurs médicaments différents constitue la base de tous les protocoles utilisés actuellement dans le traitement des LAL.
- En raison du risque d’envahissement méningé, certains médicaments capables de pénétrer efficacement la barrière hémato-encéphalique (ex : méthotrexate, hydrocortisone et cytarabine à fortes doses) sont incorporés systématiquement dès le début, en plus des injections intra- rachidiennes répétées des mêmes médicaments à doses plus faibles.
- La radiothérapie crânienne, en traitement ou en prophylaxie méningée, est parfois utilisée dans certaines situations (ex. hyperleucocytose initiale à plus de 100 x 10^9/L, persistance de blastes dans le liquide céphalo-rachidien au Jour +18 de la chimiothérapie d’induction initiale).
Leucémies aiguës lymphoïdes: Traitement
- chimiotx: différentes phases
- La polychimiothérapie en plusieurs phases (induction, intensification, consolidation et entretien) utilisant plusieurs médicaments différents constitue la base de tous les protocoles utilisés actuellement dans le traitement des LAL.
- En raison du risque d’envahissement méningé, certains médicaments capables de pénétrer efficacement la barrière hémato-encéphalique (ex : méthotrexate, hydrocortisone et cytarabine à fortes doses) sont incorporés systématiquement dès le début, en plus des injections intra- rachidiennes répétées des mêmes médicaments à doses plus faibles.
- La radiothérapie crânienne, en traitement ou en prophylaxie méningée, est parfois utilisée dans certaines situations (ex. hyperleucocytose initiale à plus de 100 x 10^9/L, persistance de blastes dans le liquide céphalo-rachidien au Jour +18 de la chimiothérapie d’induction initiale).
Leucémies aiguës lymphoïdes: Traitement
- chimiotx: médicaments
- La polychimiothérapie en plusieurs phases (induction, intensification, consolidation et entretien) utilisant plusieurs médicaments différents constitue la base de tous les protocoles utilisés actuellement dans le traitement des LAL.
- En raison du risque d’envahissement méningé, certains médicaments capables de pénétrer efficacement la barrière hémato-encéphalique (ex : méthotrexate, hydrocortisone et cytarabine à fortes doses) sont incorporés systématiquement dès le début, en plus des injections intra- rachidiennes répétées des mêmes médicaments à doses plus faibles.
- La radiothérapie crânienne, en traitement ou en prophylaxie méningée, est parfois utilisée dans certaines situations (ex. hyperleucocytose initiale à plus de 100 x 10^9/L, persistance de blastes dans le liquide céphalo-rachidien au Jour +18 de la chimiothérapie d’induction initiale).
Leucémies aiguës lymphoïdes: Traitement
- pour le risque d’envahissement méningé
- La polychimiothérapie en plusieurs phases (induction, intensification, consolidation et entretien) utilisant plusieurs médicaments différents constitue la base de tous les protocoles utilisés actuellement dans le traitement des LAL.
- En raison du risque d’envahissement méningé, certains médicaments capables de pénétrer efficacement la barrière hémato-encéphalique (ex : méthotrexate, hydrocortisone et cytarabine à fortes doses) sont incorporés systématiquement dès le début, en plus des injections intra- rachidiennes répétées des mêmes médicaments à doses plus faibles.
- La radiothérapie crânienne, en traitement ou en prophylaxie méningée, est parfois utilisée dans certaines situations (ex. hyperleucocytose initiale à plus de 100 x 10^9/L, persistance de blastes dans le liquide céphalo-rachidien au Jour +18 de la chimiothérapie d’induction initiale).
Leucémies aiguës lymphoïdes: Traitement
- intra-rachidien
- La polychimiothérapie en plusieurs phases (induction, intensification, consolidation et entretien) utilisant plusieurs médicaments différents constitue la base de tous les protocoles utilisés actuellement dans le traitement des LAL.
- En raison du risque d’envahissement méningé, certains médicaments capables de pénétrer efficacement la barrière hémato-encéphalique (ex : méthotrexate, hydrocortisone et cytarabine à fortes doses) sont incorporés systématiquement dès le début, en plus des injections intra- rachidiennes répétées des mêmes médicaments à doses plus faibles.
- La radiothérapie crânienne, en traitement ou en prophylaxie méningée, est parfois utilisée dans certaines situations (ex. hyperleucocytose initiale à plus de 100 x 10^9/L, persistance de blastes dans le liquide céphalo-rachidien au Jour +18 de la chimiothérapie d’induction initiale).
Leucémies aiguës lymphoïdes: Traitement
- radiotx: indications
- La polychimiothérapie en plusieurs phases (induction, intensification, consolidation et entretien) utilisant plusieurs médicaments différents constitue la base de tous les protocoles utilisés actuellement dans le traitement des LAL.
- En raison du risque d’envahissement méningé, certains médicaments capables de pénétrer efficacement la barrière hémato-encéphalique (ex : méthotrexate, hydrocortisone et cytarabine à fortes doses) sont incorporés systématiquement dès le début, en plus des injections intra- rachidiennes répétées des mêmes médicaments à doses plus faibles.
- La radiothérapie crânienne, en traitement ou en prophylaxie méningée, est parfois utilisée dans certaines situations (ex. hyperleucocytose initiale à plus de 100 x 10^9/L, persistance de blastes dans le liquide céphalo-rachidien au Jour +18 de la chimiothérapie d’induction initiale).
Leucémies aiguës lymphoïdes: Traitement
- allogreffe
- L’allogreffe de cellules souches hématopoïétiques peut être envisagée dans les cas de moins bon pronostic (ex : chez l’adulte) ou lors d’un état réfractaire au traitement standard ou encore d’une rechute de la maladie chez le patient pédiatrique.
Leucémies aiguës lymphoïdes: Traitement
- allogreffe: utilité
- L’allogreffe de cellules souches hématopoïétiques peut être envisagée dans les cas de moins bon pronostic (ex : chez l’adulte) ou lors d’un état réfractaire au traitement standard ou encore d’une rechute de la maladie chez le patient pédiatrique.
Hôpital Saint-Jude : Enfants traités pour LAL entre 1962 et 2000
Syndromes lymphoprolifératifs à expression leucémique
- décrire c’est quoi
- Cette section regroupe un ensemble de néoplasies chroniques caractérisées par une lymphocytose anormale (>5 x 10^9/L) mais de morphologie mature (c’est-à-dire non- blastique), ce qui permet de les distinguer d’emblée de l’aspect morphologique habituel des leucémies aiguës.
- Ces maladies sont souvent associées à la présence d’adénopathies et/ou d’une splénomégalie.
- Avant l’avènement des techniques permettant d’identifier les antigènes de la surface lymphocytaire (immunofluorescence, cytométrie de flux), toutes ces entités étaient regroupées sous le terme de « leucémie lymphoïde chronique » dont on admettait l’existence d’une certaine variabilité morphologique sans toutefois en connaître l’origine.
- On distingue maintenant pas moins d’une dizaine de variantes de ce syndrome lymphoprolifératif chronique leucémique.
- Nous décrivons dans ce chapitre les entités les plus fréquentes.
Syndromes lymphoprolifératifs à expression leucémique
- décrire les pathos incluses
- Cette section regroupe un ensemble de néoplasies chroniques caractérisées par une lymphocytose anormale (>5 x 10^9/L) mais de morphologie mature (c’est-à-dire non- blastique), ce qui permet de les distinguer d’emblée de l’aspect morphologique habituel des leucémies aiguës.
- Ces maladies sont souvent associées à la présence d’adénopathies et/ou d’une splénomégalie.
- Avant l’avènement des techniques permettant d’identifier les antigènes de la surface lymphocytaire (immunofluorescence, cytométrie de flux), toutes ces entités étaient regroupées sous le terme de « leucémie lymphoïde chronique » dont on admettait l’existence d’une certaine variabilité morphologique sans toutefois en connaître l’origine.
- On distingue maintenant pas moins d’une dizaine de variantes de ce syndrome lymphoprolifératif chronique leucémique.
- Nous décrivons dans ce chapitre les entités les plus fréquentes.
Syndromes lymphoprolifératifs à expression leucémique
- examen physique
- Cette section regroupe un ensemble de néoplasies chroniques caractérisées par une lymphocytose anormale (>5 x 10^9/L) mais de morphologie mature (c’est-à-dire non- blastique), ce qui permet de les distinguer d’emblée de l’aspect morphologique habituel des leucémies aiguës.
- Ces maladies sont souvent associées à la présence d’adénopathies et/ou d’une splénomégalie.
- Avant l’avènement des techniques permettant d’identifier les antigènes de la surface lymphocytaire (immunofluorescence, cytométrie de flux), toutes ces entités étaient regroupées sous le terme de « leucémie lymphoïde chronique » dont on admettait l’existence d’une certaine variabilité morphologique sans toutefois en connaître l’origine.
- On distingue maintenant pas moins d’une dizaine de variantes de ce syndrome lymphoprolifératif chronique leucémique.
- Nous décrivons dans ce chapitre les entités les plus fréquentes.
Syndromes lymphoprolifératifs à expression leucémique
- avant l’avènement des technologies
- Cette section regroupe un ensemble de néoplasies chroniques caractérisées par une lymphocytose anormale (>5 x 10^9/L) mais de morphologie mature (c’est-à-dire non- blastique), ce qui permet de les distinguer d’emblée de l’aspect morphologique habituel des leucémies aiguës.
- Ces maladies sont souvent associées à la présence d’adénopathies et/ou d’une splénomégalie.
- Avant l’avènement des techniques permettant d’identifier les antigènes de la surface lymphocytaire (immunofluorescence, cytométrie de flux), toutes ces entités étaient regroupées sous le terme de « leucémie lymphoïde chronique » dont on admettait l’existence d’une certaine variabilité morphologique sans toutefois en connaître l’origine.
- On distingue maintenant pas moins d’une dizaine de variantes de ce syndrome lymphoprolifératif chronique leucémique.
- Nous décrivons dans ce chapitre les entités les plus fréquentes.
Syndromes lymphoprolifératifs à expression leucémique
- variantes
- Cette section regroupe un ensemble de néoplasies chroniques caractérisées par une lymphocytose anormale (>5 x 10^9/L) mais de morphologie mature (c’est-à-dire non- blastique), ce qui permet de les distinguer d’emblée de l’aspect morphologique habituel des leucémies aiguës.
- Ces maladies sont souvent associées à la présence d’adénopathies et/ou d’une splénomégalie.
- Avant l’avènement des techniques permettant d’identifier les antigènes de la surface lymphocytaire (immunofluorescence, cytométrie de flux), toutes ces entités étaient regroupées sous le terme de « leucémie lymphoïde chronique » dont on admettait l’existence d’une certaine variabilité morphologique sans toutefois en connaître l’origine.
- On distingue maintenant pas moins d’une dizaine de variantes de ce syndrome lymphoprolifératif chronique leucémique.
- Nous décrivons dans ce chapitre les entités les plus fréquentes.
Syndromes lymphoprolifératifs à expression leucémique
- Cette section regroupe un ensemble de néoplasies chroniques caractérisées par une lymphocytose anormale (>5 x 10^9/L) mais de morphologie mature (c’est-à-dire non- blastique), ce qui permet de les distinguer d’emblée de l’aspect morphologique habituel des leucémies aiguës.
- Ces maladies sont souvent associées à la présence d’adénopathies et/ou d’une splénomégalie.
- Avant l’avènement des techniques permettant d’identifier les antigènes de la surface lymphocytaire (immunofluorescence, cytométrie de flux), toutes ces entités étaient regroupées sous le terme de « leucémie lymphoïde chronique » dont on admettait l’existence d’une certaine variabilité morphologique sans toutefois en connaître l’origine.
- On distingue maintenant pas moins d’une dizaine de variantes de ce syndrome lymphoprolifératif chronique leucémique.
- Nous décrivons dans ce chapitre les entités les plus fréquentes.
LLC-B: Nom long
La leucémie lymphoïde chronique (LLC) -B
LLC-B: Fréquence
- La LLC-B est la leucémie la plus fréquemment rencontrée dans la population en général.
- Elle ne s’observe que chez l’adulte, généralement de plus de 50 ans, avec une incidence qui augmente avec l’âge.
- La LLC-B est une maladie chronique, incurable, évoluant la plupart du temps sur plusieurs années.
LLC-B: âge
- La LLC-B est la leucémie la plus fréquemment rencontrée dans la population en général.
- Elle ne s’observe que chez l’adulte, généralement de plus de 50 ans, avec une incidence qui augmente avec l’âge.
- La LLC-B est une maladie chronique, incurable, évoluant la plupart du temps sur plusieurs années.
LLC-B: chronique ou aiguë?
- La LLC-B est la leucémie la plus fréquemment rencontrée dans la population en général.
- Elle ne s’observe que chez l’adulte, généralement de plus de 50 ans, avec une incidence qui augmente avec l’âge.
- La LLC-B est une maladie chronique, incurable, évoluant la plupart du temps sur plusieurs années.
LLC-B: curable?
- La LLC-B est la leucémie la plus fréquemment rencontrée dans la population en général.
- Elle ne s’observe que chez l’adulte, généralement de plus de 50 ans, avec une incidence qui augmente avec l’âge.
- La LLC-B est une maladie chronique, incurable, évoluant la plupart du temps sur plusieurs années.
LLC-B: durée de l’évolution
- La LLC-B est la leucémie la plus fréquemment rencontrée dans la population en général.
- Elle ne s’observe que chez l’adulte, généralement de plus de 50 ans, avec une incidence qui augmente avec l’âge.
- La LLC-B est une maladie chronique, incurable, évoluant la plupart du temps sur plusieurs années.
LLC-B: C’est quoi?
- La LLC origine d’un clone lymphocytaire B de phénotype CD5+/CD19+/CD23+.
- Pour des raisons encore inconnues (perte de la fonction physiologique d’apoptose ?), le clone s’accumule de façon lente et inexorable d’abord dans la moelle osseuse, puis dans le sang pour envahir finalement la plupart des organes lymphoïdes périphériques.
- Les cellules sont le plus souvent de petite taille avec un noyau à chromatine condensée en «carapace de tortue» et sans nucléole visible, ressemblant fort aux petits lymphocytes normaux du sang circulant.
- Leur origine monoclonale et leur phénotype caractéristique (les lymphocytes CD5+/CD19+/CD23+ constituent moins de 1% des lymphocytes chez les individus normaux) peuvent être facilement démontrés sur un échantillon sanguin par une analyse des marqueurs de la surface lymphocytaire (cytométrie de flux).
LLC-B: Origine
- La LLC origine d’un clone lymphocytaire B de phénotype CD5+/CD19+/CD23+.
- Pour des raisons encore inconnues (perte de la fonction physiologique d’apoptose ?), le clone s’accumule de façon lente et inexorable d’abord dans la moelle osseuse, puis dans le sang pour envahir finalement la plupart des organes lymphoïdes périphériques.
- Les cellules sont le plus souvent de petite taille avec un noyau à chromatine condensée en «carapace de tortue» et sans nucléole visible, ressemblant fort aux petits lymphocytes normaux du sang circulant.
- Leur origine monoclonale et leur phénotype caractéristique (les lymphocytes CD5+/CD19+/CD23+ constituent moins de 1% des lymphocytes chez les individus normaux) peuvent être facilement démontrés sur un échantillon sanguin par une analyse des marqueurs de la surface lymphocytaire (cytométrie de flux).
LLC-B: ce qui se passe avec le clone
- La LLC origine d’un clone lymphocytaire B de phénotype CD5+/CD19+/CD23+.
- Pour des raisons encore inconnues (perte de la fonction physiologique d’apoptose ?), le clone s’accumule de façon lente et inexorable d’abord dans la moelle osseuse, puis dans le sang pour envahir finalement la plupart des organes lymphoïdes périphériques.
- Les cellules sont le plus souvent de petite taille avec un noyau à chromatine condensée en «carapace de tortue» et sans nucléole visible, ressemblant fort aux petits lymphocytes normaux du sang circulant.
- Leur origine monoclonale et leur phénotype caractéristique (les lymphocytes CD5+/CD19+/CD23+ constituent moins de 1% des lymphocytes chez les individus normaux) peuvent être facilement démontrés sur un échantillon sanguin par une analyse des marqueurs de la surface lymphocytaire (cytométrie de flux).
LLC-B: Pourquoi le clone s’accumule?
- La LLC origine d’un clone lymphocytaire B de phénotype CD5+/CD19+/CD23+.
- Pour des raisons encore inconnues (perte de la fonction physiologique d’apoptose ?), le clone s’accumule de façon lente et inexorable d’abord dans la moelle osseuse, puis dans le sang pour envahir finalement la plupart des organes lymphoïdes périphériques.
- Les cellules sont le plus souvent de petite taille avec un noyau à chromatine condensée en «carapace de tortue» et sans nucléole visible, ressemblant fort aux petits lymphocytes normaux du sang circulant.
- Leur origine monoclonale et leur phénotype caractéristique (les lymphocytes CD5+/CD19+/CD23+ constituent moins de 1% des lymphocytes chez les individus normaux) peuvent être facilement démontrés sur un échantillon sanguin par une analyse des marqueurs de la surface lymphocytaire (cytométrie de flux).
LLC-B: décrire l’accumulation du clone
- La LLC origine d’un clone lymphocytaire B de phénotype CD5+/CD19+/CD23+.
- Pour des raisons encore inconnues (perte de la fonction physiologique d’apoptose ?), le clone s’accumule de façon lente et inexorable d’abord dans la moelle osseuse, puis dans le sang pour envahir finalement la plupart des organes lymphoïdes périphériques.
- Les cellules sont le plus souvent de petite taille avec un noyau à chromatine condensée en «carapace de tortue» et sans nucléole visible, ressemblant fort aux petits lymphocytes normaux du sang circulant.
- Leur origine monoclonale et leur phénotype caractéristique (les lymphocytes CD5+/CD19+/CD23+ constituent moins de 1% des lymphocytes chez les individus normaux) peuvent être facilement démontrés sur un échantillon sanguin par une analyse des marqueurs de la surface lymphocytaire (cytométrie de flux).
LLC-B: Décrire les cellules
- La LLC origine d’un clone lymphocytaire B de phénotype CD5+/CD19+/CD23+.
- Pour des raisons encore inconnues (perte de la fonction physiologique d’apoptose ?), le clone s’accumule de façon lente et inexorable d’abord dans la moelle osseuse, puis dans le sang pour envahir finalement la plupart des organes lymphoïdes périphériques.
- Les cellules sont le plus souvent de petite taille avec un noyau à chromatine condensée en «carapace de tortue» et sans nucléole visible, ressemblant fort aux petits lymphocytes normaux du sang circulant.
- Leur origine monoclonale et leur phénotype caractéristique (les lymphocytes CD5+/CD19+/CD23+ constituent moins de 1% des lymphocytes chez les individus normaux) peuvent être facilement démontrés sur un échantillon sanguin par une analyse des marqueurs de la surface lymphocytaire (cytométrie de flux).
LLC-B: Décrire le noyau de la cellule
- La LLC origine d’un clone lymphocytaire B de phénotype CD5+/CD19+/CD23+.
- Pour des raisons encore inconnues (perte de la fonction physiologique d’apoptose ?), le clone s’accumule de façon lente et inexorable d’abord dans la moelle osseuse, puis dans le sang pour envahir finalement la plupart des organes lymphoïdes périphériques.
- Les cellules sont le plus souvent de petite taille avec un noyau à chromatine condensée en «carapace de tortue» et sans nucléole visible, ressemblant fort aux petits lymphocytes normaux du sang circulant.
- Leur origine monoclonale et leur phénotype caractéristique (les lymphocytes CD5+/CD19+/CD23+ constituent moins de 1% des lymphocytes chez les individus normaux) peuvent être facilement démontrés sur un échantillon sanguin par une analyse des marqueurs de la surface lymphocytaire (cytométrie de flux).
LLC-B: Phénotype
- La LLC origine d’un clone lymphocytaire B de phénotype CD5+/CD19+/CD23+.
- Pour des raisons encore inconnues (perte de la fonction physiologique d’apoptose ?), le clone s’accumule de façon lente et inexorable d’abord dans la moelle osseuse, puis dans le sang pour envahir finalement la plupart des organes lymphoïdes périphériques.
- Les cellules sont le plus souvent de petite taille avec un noyau à chromatine condensée en «carapace de tortue» et sans nucléole visible, ressemblant fort aux petits lymphocytes normaux du sang circulant.
- Leur origine monoclonale et leur phénotype caractéristique (les lymphocytes CD5+/CD19+/CD23+ constituent moins de 1% des lymphocytes chez les individus normaux) peuvent être facilement démontrés sur un échantillon sanguin par une analyse des marqueurs de la surface lymphocytaire (cytométrie de flux).
LLC-B: Comment les phénotypes sont démontrés?
- La LLC origine d’un clone lymphocytaire B de phénotype CD5+/CD19+/CD23+.
- Pour des raisons encore inconnues (perte de la fonction physiologique d’apoptose ?), le clone s’accumule de façon lente et inexorable d’abord dans la moelle osseuse, puis dans le sang pour envahir finalement la plupart des organes lymphoïdes périphériques.
- Les cellules sont le plus souvent de petite taille avec un noyau à chromatine condensée en «carapace de tortue» et sans nucléole visible, ressemblant fort aux petits lymphocytes normaux du sang circulant.
- Leur origine monoclonale et leur phénotype caractéristique (les lymphocytes CD5+/CD19+/CD23+ constituent moins de 1% des lymphocytes chez les individus normaux) peuvent être facilement démontrés sur un échantillon sanguin par une analyse des marqueurs de la surface lymphocytaire (cytométrie de flux).
LLC-B: Progression tumorale
- On distingue habituellement 5 stades d’évolution tumorale de la LLC-B, correspondant au degré d’envahissement lymphocytaire (classification de Rai) :
- Stade 0
- Stade 1
- Stade 2
- Stade 3
- Stade 4
LLC-B: Progression tumorale
- classification
- On distingue habituellement 5 stades d’évolution tumorale de la LLC-B, correspondant au degré d’envahissement lymphocytaire (classification de Rai) :
- Stade 0
- Stade 1
- Stade 2
- Stade 3
- Stade 4
LLC-B: Progression tumorale
- Stade 0
- Stade 0 : Lymphocytose isolée de plus de 5x10^9/L, sans autre manifestation tumorale.
- Il s’agit la plupart du temps d’une découverte fortuite effectuée à l’occasion d’une formule sanguine chez un patient âgé et sans symptôme relié à la maladie.
- La leucocytose totale, composée principalement de lymphocytes, peut être parfois très élevée (jusqu’à 100x109/L).
LLC-B: Progression tumorale
- Stade 0: manifestations
- Stade 0 : Lymphocytose isolée de plus de 5x10^9/L, sans autre manifestation tumorale.
- Il s’agit la plupart du temps d’une découverte fortuite effectuée à l’occasion d’une formule sanguine chez un patient âgé et sans symptôme relié à la maladie.
- La leucocytose totale, composée principalement de lymphocytes, peut être parfois très élevée (jusqu’à 100x109/L).
LLC-B: Progression tumorale
- Stade 0: découvert comment?
- Stade 0 : Lymphocytose isolée de plus de 5x10^9/L, sans autre manifestation tumorale.
- Il s’agit la plupart du temps d’une découverte fortuite effectuée à l’occasion d’une formule sanguine chez un patient âgé et sans symptôme relié à la maladie.
- La leucocytose totale, composée principalement de lymphocytes, peut être parfois très élevée (jusqu’à 100x109/L).
LLC-B: Progression tumorale
- Stade 0: de quoi est composé la leucocytose?
- Stade 0 : Lymphocytose isolée de plus de 5x10^9/L, sans autre manifestation tumorale.
- Il s’agit la plupart du temps d’une découverte fortuite effectuée à l’occasion d’une formule sanguine chez un patient âgé et sans symptôme relié à la maladie.
- La leucocytose totale, composée principalement de lymphocytes, peut être parfois très élevée (jusqu’à 100x109/L).
LLC-B: Progression tumorale
- Stade 1
- Stade 1 : Une polyadénopathie s’ajoute à la lymphocytose.
- Toutes les aires ganglionnaires superficielles (i.e. palpables) et profondes peuvent être atteintes.
- Les ganglions tuméfiés sont habituellement indolores, mobiles et de consistance normale.
LLC-B: Progression tumorale
- Stade 1: manifestations cliniques
- Stade 1 : Une polyadénopathie s’ajoute à la lymphocytose.
- Toutes les aires ganglionnaires superficielles (i.e. palpables) et profondes peuvent être atteintes.
- Les ganglions tuméfiés sont habituellement indolores, mobiles et de consistance normale.
LLC-B: Progression tumorale
- Stade 1: quelles aires sont touchées?
- Stade 1 : Une polyadénopathie s’ajoute à la lymphocytose.
- Toutes les aires ganglionnaires superficielles (i.e. palpables) et profondes peuvent être atteintes.
- Les ganglions tuméfiés sont habituellement indolores, mobiles et de consistance normale.
LLC-B: Progression tumorale
- Stade 1: adénopathies - douleur?
- Stade 1 : Une polyadénopathie s’ajoute à la lymphocytose.
- Toutes les aires ganglionnaires superficielles (i.e. palpables) et profondes peuvent être atteintes.
- Les ganglions tuméfiés sont habituellement indolores, mobiles et de consistance normale.
LLC-B: Progression tumorale
- Stade 1: adénopathies - fixes ou mobiles?
- Stade 1 : Une polyadénopathie s’ajoute à la lymphocytose.
- Toutes les aires ganglionnaires superficielles (i.e. palpables) et profondes peuvent être atteintes.
- Les ganglions tuméfiés sont habituellement indolores, mobiles et de consistance normale.
LLC-B: Progression tumorale
- Stade 1: adénopathies - consistance
- Stade 1 : Une polyadénopathie s’ajoute à la lymphocytose.
- Toutes les aires ganglionnaires superficielles (i.e. palpables) et profondes peuvent être atteintes.
- Les ganglions tuméfiés sont habituellement indolores, mobiles et de consistance normale.
LLC-B: Progression tumorale
- Stade 2
- Stade 2 : Une splénomégalie (avec ou sans polyadénopathie) s’ajoute au tableau, habituellement palpable à l’examen clinique, mais parfois détectée uniquement par une échographie ou par une tomodensitométrie abdominale.
- La plupart des malades n’en éprouvent aucun symptôme particulier.
LLC-B: Progression tumorale
- Stade 2: manifestations cliniques
- Stade 2 : Une splénomégalie (avec ou sans polyadénopathie) s’ajoute au tableau, habituellement palpable à l’examen clinique, mais parfois détectée uniquement par une échographie ou par une tomodensitométrie abdominale.
- La plupart des malades n’en éprouvent aucun symptôme particulier.
LLC-B: Progression tumorale
- Stade 2: adénopathies?
- Stade 2 : Une splénomégalie (avec ou sans polyadénopathie) s’ajoute au tableau, habituellement palpable à l’examen clinique, mais parfois détectée uniquement par une échographie ou par une tomodensitométrie abdominale.
- La plupart des malades n’en éprouvent aucun symptôme particulier.
LLC-B: Progression tumorale
- Stade 2: splénomégalies - est détectée comment?
- Stade 2 : Une splénomégalie (avec ou sans polyadénopathie) s’ajoute au tableau, habituellement palpable à l’examen clinique, mais parfois détectée uniquement par une échographie ou par une tomodensitométrie abdominale.
- La plupart des malades n’en éprouvent aucun symptôme particulier.
LLC-B: Progression tumorale
- Stade 2: symptômes
- Stade 2 : Une splénomégalie (avec ou sans polyadénopathie) s’ajoute au tableau, habituellement palpable à l’examen clinique, mais parfois détectée uniquement par une échographie ou par une tomodensitométrie abdominale.
- La plupart des malades n’en éprouvent aucun symptôme particulier.
LLC-B: Progression tumorale
- Stade 3
- Stade 3 : Présence d’une anémie, normochrome, normocytaire et non régénérative de < 110g/L associée à la lymphocytose, mais avec ou sans adénopathies ou splénomégalie.
- L’anémie témoigne d’une insuffisance fonctionnelle due à l’envahissement massif de la moelle osseuse.
LLC-B: Progression tumorale
- Stade 3: manifestations cliniques
- Stade 3 : Présence d’une anémie, normochrome, normocytaire et non régénérative de < 110g/L associée à la lymphocytose, mais avec ou sans adénopathies ou splénomégalie.
- L’anémie témoigne d’une insuffisance fonctionnelle due à l’envahissement massif de la moelle osseuse.
LLC-B: Progression tumorale
- Stade 3: décrire l’anémie
- Stade 3 : Présence d’une anémie, normochrome, normocytaire et non régénérative de < 110g/L associée à la lymphocytose, mais avec ou sans adénopathies ou splénomégalie.
- L’anémie témoigne d’une insuffisance fonctionnelle due à l’envahissement massif de la moelle osseuse.
LLC-B: Progression tumorale
- Stade 3: GB
- Stade 3 : Présence d’une anémie, normochrome, normocytaire et non régénérative de < 110g/L associée à la lymphocytose, mais avec ou sans adénopathies ou splénomégalie.
- L’anémie témoigne d’une insuffisance fonctionnelle due à l’envahissement massif de la moelle osseuse.
LLC-B: Progression tumorale
- Stade 3: ADNP? splénomégalie?
- Stade 3 : Présence d’une anémie, normochrome, normocytaire et non régénérative de < 110g/L associée à la lymphocytose, mais avec ou sans adénopathies ou splénomégalie.
- L’anémie témoigne d’une insuffisance fonctionnelle due à l’envahissement massif de la moelle osseuse.
LLC-B: Progression tumorale
- Stade 3: cause de l’anémie
- Stade 3 : Présence d’une anémie, normochrome, normocytaire et non régénérative de < 110g/L associée à la lymphocytose, mais avec ou sans adénopathies ou splénomégalie.
- L’anémie témoigne d’une insuffisance fonctionnelle due à l’envahissement massif de la moelle osseuse.
LLC-B: Progression tumorale
- Stade 4
- Stade 4 : Une thrombopénie < 100x109/L associée à la lymphocytose, avec ou sans anémie, adénopathies ou splénomégalie.
LLC-B: Progression tumorale
- Stade 4: manifestations cliniques
- Stade 4 : Une thrombopénie < 100x109/L associée à la lymphocytose, avec ou sans anémie, adénopathies ou splénomégalie.
LLC-B: Progression tumorale
- Stade 4: plaquettes
- Stade 4 : Une thrombopénie < 100x109/L associée à la lymphocytose, avec ou sans anémie, adénopathies ou splénomégalie.
LLC-B: Progression tumorale
- Stade 4: GB
- Stade 4 : Une thrombopénie < 100x109/L associée à la lymphocytose, avec ou sans anémie, adénopathies ou splénomégalie.
LLC-B: Progression tumorale
- Stade 4: anémie?
- Stade 4 : Une thrombopénie < 100x109/L associée à la lymphocytose, avec ou sans anémie, adénopathies ou splénomégalie.
LLC-B: Progression tumorale
- Stade 4: ADNP? splénomégalie?
- Stade 4 : Une thrombopénie < 100x109/L associée à la lymphocytose, avec ou sans anémie, adénopathies ou splénomégalie.
LLC-B: Symptômes systémiques
- Une atteinte de l’état général peut se manifester sous forme d’asthénie, d’amaigrissement ou de sudation nocturne chez certains malades.
- Elle survient rarement aux stades 0 et 1 de la progression tumorale mais peut apparaître graduellement au fur et à mesure que l’envahissement progresse au-delà de ces premiers stades.