Néoplasie d'origine lymphoïde - part 2 Flashcards
Lymphomes non hodgkiniens: Présentation clinique
- Dans plus de 50 % des cas, la maladie se présente par une atteinte ganglionnaire unique ou multiple, avec ou sans atteinte associée de l’état général.
- Les adénopathies n’ont pas de siège privilégié et elles peuvent être superficielles et palpables (cou, aisselles, aines) aussi bien que profondes (médiastin, rétropéritoine, mésentère).
- La rate seule peut être atteinte dans certains cas, la maladie se présentant sous forme d’une splénomégalie isolée.
- Il est toujours utile, dans ces cas, de vérifier la formule sanguine à la recherche d’une lymphocytose anormale dont l’immunotypage pourrait révéler une origine lymphomateuse.
Lymphomes non hodgkiniens: Présentation clinique
- adénopathies?
- Dans plus de 50 % des cas, la maladie se présente par une atteinte ganglionnaire unique ou multiple, avec ou sans atteinte associée de l’état général.
- Les adénopathies n’ont pas de siège privilégié et elles peuvent être superficielles et palpables (cou, aisselles, aines) aussi bien que profondes (médiastin, rétropéritoine, mésentère).
- La rate seule peut être atteinte dans certains cas, la maladie se présentant sous forme d’une splénomégalie isolée.
- Il est toujours utile, dans ces cas, de vérifier la formule sanguine à la recherche d’une lymphocytose anormale dont l’immunotypage pourrait révéler une origine lymphomateuse.
Lymphomes non hodgkiniens: Présentation clinique
- atteinte de l’état général?
- Dans plus de 50 % des cas, la maladie se présente par une atteinte ganglionnaire unique ou multiple, avec ou sans atteinte associée de l’état général.
- Les adénopathies n’ont pas de siège privilégié et elles peuvent être superficielles et palpables (cou, aisselles, aines) aussi bien que profondes (médiastin, rétropéritoine, mésentère).
- La rate seule peut être atteinte dans certains cas, la maladie se présentant sous forme d’une splénomégalie isolée.
- Il est toujours utile, dans ces cas, de vérifier la formule sanguine à la recherche d’une lymphocytose anormale dont l’immunotypage pourrait révéler une origine lymphomateuse.
Lymphomes non hodgkiniens: Présentation clinique
- localisation des ADNP
- Dans plus de 50 % des cas, la maladie se présente par une atteinte ganglionnaire unique ou multiple, avec ou sans atteinte associée de l’état général.
- Les adénopathies n’ont pas de siège privilégié et elles peuvent être superficielles et palpables (cou, aisselles, aines) aussi bien que profondes (médiastin, rétropéritoine, mésentère).
- La rate seule peut être atteinte dans certains cas, la maladie se présentant sous forme d’une splénomégalie isolée.
- Il est toujours utile, dans ces cas, de vérifier la formule sanguine à la recherche d’une lymphocytose anormale dont l’immunotypage pourrait révéler une origine lymphomateuse.
Lymphomes non hodgkiniens: Présentation clinique
- adénopathies: superficielles ou profondes?
- Dans plus de 50 % des cas, la maladie se présente par une atteinte ganglionnaire unique ou multiple, avec ou sans atteinte associée de l’état général.
- Les adénopathies n’ont pas de siège privilégié et elles peuvent être superficielles et palpables (cou, aisselles, aines) aussi bien que profondes (médiastin, rétropéritoine, mésentère).
- La rate seule peut être atteinte dans certains cas, la maladie se présentant sous forme d’une splénomégalie isolée.
- Il est toujours utile, dans ces cas, de vérifier la formule sanguine à la recherche d’une lymphocytose anormale dont l’immunotypage pourrait révéler une origine lymphomateuse.
Lymphomes non hodgkiniens: Présentation clinique
- adénopathies: nommez les superficielles
- Dans plus de 50 % des cas, la maladie se présente par une atteinte ganglionnaire unique ou multiple, avec ou sans atteinte associée de l’état général.
- Les adénopathies n’ont pas de siège privilégié et elles peuvent être superficielles et palpables (cou, aisselles, aines) aussi bien que profondes (médiastin, rétropéritoine, mésentère).
- La rate seule peut être atteinte dans certains cas, la maladie se présentant sous forme d’une splénomégalie isolée.
- Il est toujours utile, dans ces cas, de vérifier la formule sanguine à la recherche d’une lymphocytose anormale dont l’immunotypage pourrait révéler une origine lymphomateuse.
Lymphomes non hodgkiniens: Présentation clinique
- adénopathies: nommez les profondes
- Dans plus de 50 % des cas, la maladie se présente par une atteinte ganglionnaire unique ou multiple, avec ou sans atteinte associée de l’état général.
- Les adénopathies n’ont pas de siège privilégié et elles peuvent être superficielles et palpables (cou, aisselles, aines) aussi bien que profondes (médiastin, rétropéritoine, mésentère).
- La rate seule peut être atteinte dans certains cas, la maladie se présentant sous forme d’une splénomégalie isolée.
- Il est toujours utile, dans ces cas, de vérifier la formule sanguine à la recherche d’une lymphocytose anormale dont l’immunotypage pourrait révéler une origine lymphomateuse.
Lymphomes non hodgkiniens: Présentation clinique
- rate
- Dans plus de 50 % des cas, la maladie se présente par une atteinte ganglionnaire unique ou multiple, avec ou sans atteinte associée de l’état général.
- Les adénopathies n’ont pas de siège privilégié et elles peuvent être superficielles et palpables (cou, aisselles, aines) aussi bien que profondes (médiastin, rétropéritoine, mésentère).
- La rate seule peut être atteinte dans certains cas, la maladie se présentant sous forme d’une splénomégalie isolée.
- Il est toujours utile, dans ces cas, de vérifier la formule sanguine à la recherche d’une lymphocytose anormale dont l’immunotypage pourrait révéler une origine lymphomateuse.
Lymphomes non hodgkiniens: Présentation clinique
- tests sanguins
- Dans plus de 50 % des cas, la maladie se présente par une atteinte ganglionnaire unique ou multiple, avec ou sans atteinte associée de l’état général.
- Les adénopathies n’ont pas de siège privilégié et elles peuvent être superficielles et palpables (cou, aisselles, aines) aussi bien que profondes (médiastin, rétropéritoine, mésentère).
- La rate seule peut être atteinte dans certains cas, la maladie se présentant sous forme d’une splénomégalie isolée.
- Il est toujours utile, dans ces cas, de vérifier la formule sanguine à la recherche d’une lymphocytose anormale dont l’immunotypage pourrait révéler une origine lymphomateuse.
Lymphomes non hodgkiniens: Présentation extra-ganglionnaire
- Les présentations extra-ganglionnaires, primitives ou secondaires, sont beaucoup plus fréquentes dans les LNH que dans la maladie de Hodgkin.
- Les principaux sites de présentation sont :
- les plus fréquents
- la moelle osseuse;
- l’estomac, l’intestin grêle ou le côlon;
- le foie;
- la peau et le tissu sous cutané
- le système nerveux central (méninges)
- les poumons;
- la sphère ORL;
- les glandes lacrymales et salivaires;
- la glande thyroïde;
- les os.
- les plus fréquents
Lymphomes non hodgkiniens: Présentation extra-ganglionnaire
- fréquence
- Les présentations extra-ganglionnaires, primitives ou secondaires, sont beaucoup plus fréquentes dans les LNH que dans la maladie de Hodgkin.
- Les principaux sites de présentation sont :
- les plus fréquents
- la moelle osseuse;
- l’estomac, l’intestin grêle ou le côlon;
- le foie;
- la peau et le tissu sous cutané
- le système nerveux central (méninges)
- les poumons;
- la sphère ORL;
- les glandes lacrymales et salivaires;
- la glande thyroïde;
- les os.
- les plus fréquents
Lymphomes non hodgkiniens: Présentation extra-ganglionnaire
- dans quelles pathos?
- Les présentations extra-ganglionnaires, primitives ou secondaires, sont beaucoup plus fréquentes dans les LNH que dans la maladie de Hodgkin.
- Les principaux sites de présentation sont :
- les plus fréquents
- la moelle osseuse;
- l’estomac, l’intestin grêle ou le côlon;
- le foie;
- la peau et le tissu sous cutané
- le système nerveux central (méninges)
- les poumons;
- la sphère ORL;
- les glandes lacrymales et salivaires;
- la glande thyroïde;
- les os.
- les plus fréquents
Lymphomes non hodgkiniens: Présentation extra-ganglionnaire
- principaux sites de présentation
- Les présentations extra-ganglionnaires, primitives ou secondaires, sont beaucoup plus fréquentes dans les LNH que dans la maladie de Hodgkin.
-
Les principaux sites de présentation sont :
-
les plus fréquents
- la moelle osseuse;
- l’estomac, l’intestin grêle ou le côlon;
- le foie;
- la peau et le tissu sous cutané
- le système nerveux central (méninges)
- les poumons;
- la sphère ORL;
- les glandes lacrymales et salivaires;
- la glande thyroïde;
- les os.
-
les plus fréquents
Lymphomes non hodgkiniens: Présentation extra-ganglionnaire
- sites les plus fréquents
- Les présentations extra-ganglionnaires, primitives ou secondaires, sont beaucoup plus fréquentes dans les LNH que dans la maladie de Hodgkin.
- Les principaux sites de présentation sont :
-
les plus fréquents
- la moelle osseuse;
- l’estomac, l’intestin grêle ou le côlon;
- le foie;
- la peau et le tissu sous cutané
- le système nerveux central (méninges)
- les poumons;
- la sphère ORL;
- les glandes lacrymales et salivaires;
- la glande thyroïde;
- les os.
-
les plus fréquents
Lymphomes non hodgkiniens: Présentation extra-ganglionnaire
- site de présentation moins fréquent
- Les présentations extra-ganglionnaires, primitives ou secondaires, sont beaucoup plus fréquentes dans les LNH que dans la maladie de Hodgkin.
- Les principaux sites de présentation sont :
- les plus fréquents
- la moelle osseuse;
- l’estomac, l’intestin grêle ou le côlon;
- le foie;
- la peau et le tissu sous cutané
- le système nerveux central (méninges)
- les poumons;
- la sphère ORL;
- les glandes lacrymales et salivaires;
- la glande thyroïde;
- les os.
- les plus fréquents
Lymphomes non hodgkiniens: Se retrouvent chez qui?
- Les lymphomes non hodgkiniens peuvent s’observer plus fréquemment chez certains patients, lorsqu’il existe un contexte clinique propice, comme une déficience immunitaire, (ex: VIH/SIDA, greffe d’organe) ou une maladie auto-immune chronique (ex : polyarthrite rhumatoïde, maladie de Sjögren).
- Les LNH peuvent aussi survenir comme second cancer chez les malades traités plusieurs années auparavant par chimiothérapie ou radiothérapie pour un premier cancer (ex : maladie de Hodgkin).
Lymphomes non hodgkiniens: Contexte clinique propice
- Les lymphomes non hodgkiniens peuvent s’observer plus fréquemment chez certains patients, lorsqu’il existe un contexte clinique propice, comme une déficience immunitaire, (ex: VIH/SIDA, greffe d’organe) ou une maladie auto-immune chronique (ex : polyarthrite rhumatoïde, maladie de Sjögren).
- Les LNH peuvent aussi survenir comme second cancer chez les malades traités plusieurs années auparavant par chimiothérapie ou radiothérapie pour un premier cancer (ex : maladie de Hodgkin).
Lymphomes non hodgkiniens: Comme second cancer
- Les lymphomes non hodgkiniens peuvent s’observer plus fréquemment chez certains patients, lorsqu’il existe un contexte clinique propice, comme une déficience immunitaire, (ex: VIH/SIDA, greffe d’organe) ou une maladie auto-immune chronique (ex : polyarthrite rhumatoïde, maladie de Sjögren).
- Les LNH peuvent aussi survenir comme second cancer chez les malades traités plusieurs années auparavant par chimiothérapie ou radiothérapie pour un premier cancer (ex : maladie de Hodgkin).
Lymphomes non hodgkiniens: Importance de la définition d’anatomopathologie
- La définition anatomopathologie est extrêmement importante non seulement pour le diagnostic mais aussi dans l’établissement du pronostic des LNH.
- Ceci diffère du cas des lymphomes hodgkiniens, plus homogènes, et où la variante histologique possède beau- coup moins d’importance dans la détermination du pronostic.
Lymphomes non hodgkiniens: Importance anatomopatho - vs hodgkiniens
- La définition anatomopathologie est extrêmement importante non seulement pour le diagnostic mais aussi dans l’établissement du pronostic des LNH.
- Ceci diffère du cas des lymphomes hodgkiniens, plus homogènes, et où la variante histologique possède beaucoup moins d’importance dans la détermination du pronostic.
Lymphomes non hodgkiniens: Classification
- La classification la plus récente des lymphomes, celle de l’OMS, tient compte du phénotype d’origine (T ou B), de la morphologie ganglionnaire et cellulaire, et enfin des marqueurs cytogénétiques, immunologiques et biomoléculaires pour finalement distinguer une plus de 70 sous-types différents possédant chacun son incidence propre, son agressivité biologique, son évolution naturelle et sa réponse au traitement.
- Il va sans dire que, pour établir un diagnostic exact, une biopsie de bonne qualité s’impose dans tous les cas et que l’échantillon doit être interprété par un pathologiste expérimenté ayant à sa disposition tous les outils nécessaires à la caractérisation de la maladie : immunohistochimie, cytogénétique et biologie moléculaire (Southern blot, PCR, etc.).
Lymphomes non hodgkiniens: Classification
- classification la plus récente
- La classification la plus récente des lymphomes, celle de l’OMS, tient compte du phénotype d’origine (T ou B), de la morphologie ganglionnaire et cellulaire, et enfin des marqueurs cytogénétiques, immunologiques et biomoléculaires pour finalement distinguer une plus de 70 sous-types différents possédant chacun son incidence propre, son agressivité biologique, son évolution naturelle et sa réponse au traitement.
- Il va sans dire que, pour établir un diagnostic exact, une biopsie de bonne qualité s’impose dans tous les cas et que l’échantillon doit être interprété par un pathologiste expérimenté ayant à sa disposition tous les outils nécessaires à la caractérisation de la maladie : immunohistochimie, cytogénétique et biologie moléculaire (Southern blot, PCR, etc.).
Lymphomes non hodgkiniens: Classification
- tient compte de quoi?
- La classification la plus récente des lymphomes, celle de l’OMS, tient compte du phénotype d’origine (T ou B), de la morphologie ganglionnaire et cellulaire, et enfin des marqueurs cytogénétiques, immunologiques et biomoléculaires pour finalement distinguer une plus de 70 sous-types différents possédant chacun son incidence propre, son agressivité biologique, son évolution naturelle et sa réponse au traitement.
- Il va sans dire que, pour établir un diagnostic exact, une biopsie de bonne qualité s’impose dans tous les cas et que l’échantillon doit être interprété par un pathologiste expérimenté ayant à sa disposition tous les outils nécessaires à la caractérisation de la maladie : immunohistochimie, cytogénétique et biologie moléculaire (Southern blot, PCR, etc.).
Lymphomes non hodgkiniens: Classification
- nombre de sous-types
- La classification la plus récente des lymphomes, celle de l’OMS, tient compte du phénotype d’origine (T ou B), de la morphologie ganglionnaire et cellulaire, et enfin des marqueurs cytogénétiques, immunologiques et biomoléculaires pour finalement distinguer une plus de 70 sous-types différents possédant chacun son incidence propre, son agressivité biologique, son évolution naturelle et sa réponse au traitement.
- Il va sans dire que, pour établir un diagnostic exact, une biopsie de bonne qualité s’impose dans tous les cas et que l’échantillon doit être interprété par un pathologiste expérimenté ayant à sa disposition tous les outils nécessaires à la caractérisation de la maladie : immunohistochimie, cytogénétique et biologie moléculaire (Southern blot, PCR, etc.).