Néoplasie d'origine lymphoïde - part 2 Flashcards

1
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Présentation clinique

A
  • Dans plus de 50 % des cas, la maladie se présente par une atteinte ganglionnaire unique ou multiple, avec ou sans atteinte associée de l’état général.
  • Les adénopathies n’ont pas de siège privilégié et elles peuvent être superficielles et palpables (cou, aisselles, aines) aussi bien que profondes (médiastin, rétropéritoine, mésentère).
  • La rate seule peut être atteinte dans certains cas, la maladie se présentant sous forme d’une splénomégalie isolée.
  • Il est toujours utile, dans ces cas, de vérifier la formule sanguine à la recherche d’une lymphocytose anormale dont l’immunotypage pourrait révéler une origine lymphomateuse.
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2
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Présentation clinique
- adénopathies?

A
  • Dans plus de 50 % des cas, la maladie se présente par une atteinte ganglionnaire unique ou multiple, avec ou sans atteinte associée de l’état général.
  • Les adénopathies n’ont pas de siège privilégié et elles peuvent être superficielles et palpables (cou, aisselles, aines) aussi bien que profondes (médiastin, rétropéritoine, mésentère).
  • La rate seule peut être atteinte dans certains cas, la maladie se présentant sous forme d’une splénomégalie isolée.
  • Il est toujours utile, dans ces cas, de vérifier la formule sanguine à la recherche d’une lymphocytose anormale dont l’immunotypage pourrait révéler une origine lymphomateuse.
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Q

Lymphomes non hodgkiniens: Présentation clinique
- atteinte de l’état général?

A
  • Dans plus de 50 % des cas, la maladie se présente par une atteinte ganglionnaire unique ou multiple, avec ou sans atteinte associée de l’état général.
  • Les adénopathies n’ont pas de siège privilégié et elles peuvent être superficielles et palpables (cou, aisselles, aines) aussi bien que profondes (médiastin, rétropéritoine, mésentère).
  • La rate seule peut être atteinte dans certains cas, la maladie se présentant sous forme d’une splénomégalie isolée.
  • Il est toujours utile, dans ces cas, de vérifier la formule sanguine à la recherche d’une lymphocytose anormale dont l’immunotypage pourrait révéler une origine lymphomateuse.
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4
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Présentation clinique
- localisation des ADNP

A
  • Dans plus de 50 % des cas, la maladie se présente par une atteinte ganglionnaire unique ou multiple, avec ou sans atteinte associée de l’état général.
  • Les adénopathies n’ont pas de siège privilégié et elles peuvent être superficielles et palpables (cou, aisselles, aines) aussi bien que profondes (médiastin, rétropéritoine, mésentère).
  • La rate seule peut être atteinte dans certains cas, la maladie se présentant sous forme d’une splénomégalie isolée.
  • Il est toujours utile, dans ces cas, de vérifier la formule sanguine à la recherche d’une lymphocytose anormale dont l’immunotypage pourrait révéler une origine lymphomateuse.
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5
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Présentation clinique
- adénopathies: superficielles ou profondes?

A
  • Dans plus de 50 % des cas, la maladie se présente par une atteinte ganglionnaire unique ou multiple, avec ou sans atteinte associée de l’état général.
  • Les adénopathies n’ont pas de siège privilégié et elles peuvent être superficielles et palpables (cou, aisselles, aines) aussi bien que profondes (médiastin, rétropéritoine, mésentère).
  • La rate seule peut être atteinte dans certains cas, la maladie se présentant sous forme d’une splénomégalie isolée.
  • Il est toujours utile, dans ces cas, de vérifier la formule sanguine à la recherche d’une lymphocytose anormale dont l’immunotypage pourrait révéler une origine lymphomateuse.
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6
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Présentation clinique
- adénopathies: nommez les superficielles

A
  • Dans plus de 50 % des cas, la maladie se présente par une atteinte ganglionnaire unique ou multiple, avec ou sans atteinte associée de l’état général.
  • Les adénopathies n’ont pas de siège privilégié et elles peuvent être superficielles et palpables (cou, aisselles, aines) aussi bien que profondes (médiastin, rétropéritoine, mésentère).
  • La rate seule peut être atteinte dans certains cas, la maladie se présentant sous forme d’une splénomégalie isolée.
  • Il est toujours utile, dans ces cas, de vérifier la formule sanguine à la recherche d’une lymphocytose anormale dont l’immunotypage pourrait révéler une origine lymphomateuse.
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7
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Présentation clinique
- adénopathies: nommez les profondes

A
  • Dans plus de 50 % des cas, la maladie se présente par une atteinte ganglionnaire unique ou multiple, avec ou sans atteinte associée de l’état général.
  • Les adénopathies n’ont pas de siège privilégié et elles peuvent être superficielles et palpables (cou, aisselles, aines) aussi bien que profondes (médiastin, rétropéritoine, mésentère).
  • La rate seule peut être atteinte dans certains cas, la maladie se présentant sous forme d’une splénomégalie isolée.
  • Il est toujours utile, dans ces cas, de vérifier la formule sanguine à la recherche d’une lymphocytose anormale dont l’immunotypage pourrait révéler une origine lymphomateuse.
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8
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Présentation clinique
- rate

A
  • Dans plus de 50 % des cas, la maladie se présente par une atteinte ganglionnaire unique ou multiple, avec ou sans atteinte associée de l’état général.
  • Les adénopathies n’ont pas de siège privilégié et elles peuvent être superficielles et palpables (cou, aisselles, aines) aussi bien que profondes (médiastin, rétropéritoine, mésentère).
  • La rate seule peut être atteinte dans certains cas, la maladie se présentant sous forme d’une splénomégalie isolée.
  • Il est toujours utile, dans ces cas, de vérifier la formule sanguine à la recherche d’une lymphocytose anormale dont l’immunotypage pourrait révéler une origine lymphomateuse.
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9
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Présentation clinique
- tests sanguins

A
  • Dans plus de 50 % des cas, la maladie se présente par une atteinte ganglionnaire unique ou multiple, avec ou sans atteinte associée de l’état général.
  • Les adénopathies n’ont pas de siège privilégié et elles peuvent être superficielles et palpables (cou, aisselles, aines) aussi bien que profondes (médiastin, rétropéritoine, mésentère).
  • La rate seule peut être atteinte dans certains cas, la maladie se présentant sous forme d’une splénomégalie isolée.
  • Il est toujours utile, dans ces cas, de vérifier la formule sanguine à la recherche d’une lymphocytose anormale dont l’immunotypage pourrait révéler une origine lymphomateuse.
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10
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Présentation extra-ganglionnaire

A
  • Les présentations extra-ganglionnaires, primitives ou secondaires, sont beaucoup plus fréquentes dans les LNH que dans la maladie de Hodgkin.
  • Les principaux sites de présentation sont :
    • les plus fréquents
      • la moelle osseuse;
      • l’estomac, l’intestin grêle ou le côlon;
      • le foie;
    • la peau et le tissu sous cutané
    • le système nerveux central (méninges)
    • les poumons;
    • la sphère ORL;
    • les glandes lacrymales et salivaires;
    • la glande thyroïde;
    • les os.
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11
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Présentation extra-ganglionnaire
- fréquence

A
  • Les présentations extra-ganglionnaires, primitives ou secondaires, sont beaucoup plus fréquentes dans les LNH que dans la maladie de Hodgkin.
  • Les principaux sites de présentation sont :
    • les plus fréquents
      • la moelle osseuse;
      • l’estomac, l’intestin grêle ou le côlon;
      • le foie;
    • la peau et le tissu sous cutané
    • le système nerveux central (méninges)
    • les poumons;
    • la sphère ORL;
    • les glandes lacrymales et salivaires;
    • la glande thyroïde;
    • les os.
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12
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Présentation extra-ganglionnaire
- dans quelles pathos?

A
  • Les présentations extra-ganglionnaires, primitives ou secondaires, sont beaucoup plus fréquentes dans les LNH que dans la maladie de Hodgkin.
  • Les principaux sites de présentation sont :
    • les plus fréquents
      • la moelle osseuse;
      • l’estomac, l’intestin grêle ou le côlon;
      • le foie;
    • la peau et le tissu sous cutané
    • le système nerveux central (méninges)
    • les poumons;
    • la sphère ORL;
    • les glandes lacrymales et salivaires;
    • la glande thyroïde;
    • les os.
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13
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Présentation extra-ganglionnaire
- principaux sites de présentation

A
  • Les présentations extra-ganglionnaires, primitives ou secondaires, sont beaucoup plus fréquentes dans les LNH que dans la maladie de Hodgkin.
  • Les principaux sites de présentation sont :
    • les plus fréquents
      • la moelle osseuse;
      • l’estomac, l’intestin grêle ou le côlon;
      • le foie;
    • la peau et le tissu sous cutané
    • le système nerveux central (méninges)
    • les poumons;
    • la sphère ORL;
    • les glandes lacrymales et salivaires;
    • la glande thyroïde;
    • les os.
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14
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Présentation extra-ganglionnaire
- sites les plus fréquents

A
  • Les présentations extra-ganglionnaires, primitives ou secondaires, sont beaucoup plus fréquentes dans les LNH que dans la maladie de Hodgkin.
  • Les principaux sites de présentation sont :
    • les plus fréquents
      • la moelle osseuse;
      • l’estomac, l’intestin grêle ou le côlon;
      • le foie;
    • la peau et le tissu sous cutané
    • le système nerveux central (méninges)
    • les poumons;
    • la sphère ORL;
    • les glandes lacrymales et salivaires;
    • la glande thyroïde;
    • les os.
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15
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Présentation extra-ganglionnaire
- site de présentation moins fréquent

A
  • Les présentations extra-ganglionnaires, primitives ou secondaires, sont beaucoup plus fréquentes dans les LNH que dans la maladie de Hodgkin.
  • Les principaux sites de présentation sont :
    • les plus fréquents
      • la moelle osseuse;
      • l’estomac, l’intestin grêle ou le côlon;
      • le foie;
    • la peau et le tissu sous cutané
    • le système nerveux central (méninges)
    • les poumons;
    • la sphère ORL;
    • les glandes lacrymales et salivaires;
    • la glande thyroïde;
    • les os.
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16
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Se retrouvent chez qui?

A
  • Les lymphomes non hodgkiniens peuvent s’observer plus fréquemment chez certains patients, lorsqu’il existe un contexte clinique propice, comme une déficience immunitaire, (ex: VIH/SIDA, greffe d’organe) ou une maladie auto-immune chronique (ex : polyarthrite rhumatoïde, maladie de Sjögren).
  • Les LNH peuvent aussi survenir comme second cancer chez les malades traités plusieurs années auparavant par chimiothérapie ou radiothérapie pour un premier cancer (ex : maladie de Hodgkin).
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17
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Contexte clinique propice

A
  • Les lymphomes non hodgkiniens peuvent s’observer plus fréquemment chez certains patients, lorsqu’il existe un contexte clinique propice, comme une déficience immunitaire, (ex: VIH/SIDA, greffe d’organe) ou une maladie auto-immune chronique (ex : polyarthrite rhumatoïde, maladie de Sjögren).
  • Les LNH peuvent aussi survenir comme second cancer chez les malades traités plusieurs années auparavant par chimiothérapie ou radiothérapie pour un premier cancer (ex : maladie de Hodgkin).
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18
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Comme second cancer

A
  • Les lymphomes non hodgkiniens peuvent s’observer plus fréquemment chez certains patients, lorsqu’il existe un contexte clinique propice, comme une déficience immunitaire, (ex: VIH/SIDA, greffe d’organe) ou une maladie auto-immune chronique (ex : polyarthrite rhumatoïde, maladie de Sjögren).
  • Les LNH peuvent aussi survenir comme second cancer chez les malades traités plusieurs années auparavant par chimiothérapie ou radiothérapie pour un premier cancer (ex : maladie de Hodgkin).
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19
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Importance de la définition d’anatomopathologie

A
  • La définition anatomopathologie est extrêmement importante non seulement pour le diagnostic mais aussi dans l’établissement du pronostic des LNH.
  • Ceci diffère du cas des lymphomes hodgkiniens, plus homogènes, et où la variante histologique possède beau- coup moins d’importance dans la détermination du pronostic.
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20
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Importance anatomopatho - vs hodgkiniens

A
  • La définition anatomopathologie est extrêmement importante non seulement pour le diagnostic mais aussi dans l’établissement du pronostic des LNH.
  • Ceci diffère du cas des lymphomes hodgkiniens, plus homogènes, et où la variante histologique possède beaucoup moins d’importance dans la détermination du pronostic.
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21
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Classification

A
  • La classification la plus récente des lymphomes, celle de l’OMS, tient compte du phénotype d’origine (T ou B), de la morphologie ganglionnaire et cellulaire, et enfin des marqueurs cytogénétiques, immunologiques et biomoléculaires pour finalement distinguer une plus de 70 sous-types différents possédant chacun son incidence propre, son agressivité biologique, son évolution naturelle et sa réponse au traitement.
  • Il va sans dire que, pour établir un diagnostic exact, une biopsie de bonne qualité s’impose dans tous les cas et que l’échantillon doit être interprété par un pathologiste expérimenté ayant à sa disposition tous les outils nécessaires à la caractérisation de la maladie : immunohistochimie, cytogénétique et biologie moléculaire (Southern blot, PCR, etc.).
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22
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Classification
- classification la plus récente

A
  • La classification la plus récente des lymphomes, celle de l’OMS, tient compte du phénotype d’origine (T ou B), de la morphologie ganglionnaire et cellulaire, et enfin des marqueurs cytogénétiques, immunologiques et biomoléculaires pour finalement distinguer une plus de 70 sous-types différents possédant chacun son incidence propre, son agressivité biologique, son évolution naturelle et sa réponse au traitement.
  • Il va sans dire que, pour établir un diagnostic exact, une biopsie de bonne qualité s’impose dans tous les cas et que l’échantillon doit être interprété par un pathologiste expérimenté ayant à sa disposition tous les outils nécessaires à la caractérisation de la maladie : immunohistochimie, cytogénétique et biologie moléculaire (Southern blot, PCR, etc.).
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23
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Classification
- tient compte de quoi?

A
  • La classification la plus récente des lymphomes, celle de l’OMS, tient compte du phénotype d’origine (T ou B), de la morphologie ganglionnaire et cellulaire, et enfin des marqueurs cytogénétiques, immunologiques et biomoléculaires pour finalement distinguer une plus de 70 sous-types différents possédant chacun son incidence propre, son agressivité biologique, son évolution naturelle et sa réponse au traitement.
  • Il va sans dire que, pour établir un diagnostic exact, une biopsie de bonne qualité s’impose dans tous les cas et que l’échantillon doit être interprété par un pathologiste expérimenté ayant à sa disposition tous les outils nécessaires à la caractérisation de la maladie : immunohistochimie, cytogénétique et biologie moléculaire (Southern blot, PCR, etc.).
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24
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Classification
- nombre de sous-types

A
  • La classification la plus récente des lymphomes, celle de l’OMS, tient compte du phénotype d’origine (T ou B), de la morphologie ganglionnaire et cellulaire, et enfin des marqueurs cytogénétiques, immunologiques et biomoléculaires pour finalement distinguer une plus de 70 sous-types différents possédant chacun son incidence propre, son agressivité biologique, son évolution naturelle et sa réponse au traitement.
  • Il va sans dire que, pour établir un diagnostic exact, une biopsie de bonne qualité s’impose dans tous les cas et que l’échantillon doit être interprété par un pathologiste expérimenté ayant à sa disposition tous les outils nécessaires à la caractérisation de la maladie : immunohistochimie, cytogénétique et biologie moléculaire (Southern blot, PCR, etc.).
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25
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Classification
- utilité des différents sous-types

A
  • La classification la plus récente des lymphomes, celle de l’OMS, tient compte du phénotype d’origine (T ou B), de la morphologie ganglionnaire et cellulaire, et enfin des marqueurs cytogénétiques, immunologiques et biomoléculaires pour finalement distinguer une plus de 70 sous-types différents possédant chacun son incidence propre, son agressivité biologique, son évolution naturelle et sa réponse au traitement.
  • Il va sans dire que, pour établir un diagnostic exact, une biopsie de bonne qualité s’impose dans tous les cas et que l’échantillon doit être interprété par un pathologiste expérimenté ayant à sa disposition tous les outils nécessaires à la caractérisation de la maladie : immunohistochimie, cytogénétique et biologie moléculaire (Southern blot, PCR, etc.).
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26
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Classification
- tient compte de quoi?

A
  • La classification la plus récente des lymphomes, celle de l’OMS, tient compte du phénotype d’origine (T ou B), de la morphologie ganglionnaire et cellulaire, et enfin des marqueurs cytogénétiques, immunologiques et biomoléculaires pour finalement distinguer une plus de 70 sous-types différents possédant chacun son incidence propre, son agressivité biologique, son évolution naturelle et sa réponse au traitement.
  • Il va sans dire que, pour établir un diagnostic exact, une biopsie de bonne qualité s’impose dans tous les cas et que l’échantillon doit être interprété par un pathologiste expérimenté ayant à sa disposition tous les outils nécessaires à la caractérisation de la maladie : immunohistochimie, cytogénétique et biologie moléculaire (Southern blot, PCR, etc.).
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27
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Classification
- besoin de quels tests?

A
  • La classification la plus récente des lymphomes, celle de l’OMS, tient compte du phénotype d’origine (T ou B), de la morphologie ganglionnaire et cellulaire, et enfin des marqueurs cytogénétiques, immunologiques et biomoléculaires pour finalement distinguer une plus de 70 sous-types différents possédant chacun son incidence propre, son agressivité biologique, son évolution naturelle et sa réponse au traitement.
  • Il va sans dire que, pour établir un diagnostic exact, une biopsie de bonne qualité s’impose dans tous les cas et que l’échantillon doit être interprété par un pathologiste expérimenté ayant à sa disposition tous les outils nécessaires à la caractérisation de la maladie : immunohistochimie, cytogénétique et biologie moléculaire (Southern blot, PCR, etc.).
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28
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Classification
- quelles caractéristiques de la biopsie doivent être évaluer?

A
  • La classification la plus récente des lymphomes, celle de l’OMS, tient compte du phénotype d’origine (T ou B), de la morphologie ganglionnaire et cellulaire, et enfin des marqueurs cytogénétiques, immunologiques et biomoléculaires pour finalement distinguer une plus de 70 sous-types différents possédant chacun son incidence propre, son agressivité biologique, son évolution naturelle et sa réponse au traitement.
  • Il va sans dire que, pour établir un diagnostic exact, une biopsie de bonne qualité s’impose dans tous les cas et que l’échantillon doit être interprété par un pathologiste expérimenté ayant à sa disposition tous les outils nécessaires à la caractérisation de la maladie : immunohistochimie, cytogénétique et biologie moléculaire (Southern blot, PCR, etc.).
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29
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Renseignements fournis par le rapport anatomopatho

A
  • Le rapport anatomopathologique doit essentiellement pouvoir fournir tous les renseignements pertinents parmi les suivants :
      1. l’envahissement néoplasique lymphoïde du ganglion;
      1. le patron architectural du LNH : folliculaire ou diffus;
      1. la description des cellules tumorales (grandes ou petites, encochées ou non, à noyaux matures ou immatures, aspect monocytoïde, blastes etc.);
      1. l’immunophénotype principal T ou B et la présence de marqueurs spécifiques d’une sous-population lymphocytaire précise (CD3, CD20, CD5, CD4, CD8, etc.);
      1. la présence d’un réarrangement génique des récepteurs B ou T, confirmant la monoclonalité;
      1. la présence de toute protéine aberrante, excessive ou caractéristique d’une variété particulière de LNH (ex: bcl-1 dans les lymphomes du manteau ou alk dans les lymphomes anaplasiques à grandes cellules);
      1. s’il y a lieu, la présence de translocations spécifiques associées à la prolifération tumorale;
      1. enfin, un diagnostic précis permettant de classer le LNH au sein des différentes entités B ou T décrites dans la classification de l’OMS.
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30
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Rapport anatomopatho
- envahissement

A
  • Le rapport anatomopathologique doit essentiellement pouvoir fournir tous les renseignements pertinents parmi les suivants :
      1. l’envahissement néoplasique lymphoïde du ganglion;
      1. le patron architectural du LNH : folliculaire ou diffus;
      1. la description des cellules tumorales (grandes ou petites, encochées ou non, à noyaux matures ou immatures, aspect monocytoïde, blastes etc.);
      1. l’immunophénotype principal T ou B et la présence de marqueurs spécifiques d’une sous-population lymphocytaire précise (CD3, CD20, CD5, CD4, CD8, etc.);
      1. la présence d’un réarrangement génique des récepteurs B ou T, confirmant la monoclonalité;
      1. la présence de toute protéine aberrante, excessive ou caractéristique d’une variété particulière de LNH (ex: bcl-1 dans les lymphomes du manteau ou alk dans les lymphomes anaplasiques à grandes cellules);
      1. s’il y a lieu, la présence de translocations spécifiques associées à la prolifération tumorale;
      1. enfin, un diagnostic précis permettant de classer le LNH au sein des différentes entités B ou T décrites dans la classification de l’OMS.
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31
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Rapport anatomopatho
- patron architectural

A
  • Le rapport anatomopathologique doit essentiellement pouvoir fournir tous les renseignements pertinents parmi les suivants :
      1. l’envahissement néoplasique lymphoïde du ganglion;
      1. le patron architectural du LNH : folliculaire ou diffus;
      1. la description des cellules tumorales (grandes ou petites, encochées ou non, à noyaux matures ou immatures, aspect monocytoïde, blastes etc.);
      1. l’immunophénotype principal T ou B et la présence de marqueurs spécifiques d’une sous-population lymphocytaire précise (CD3, CD20, CD5, CD4, CD8, etc.);
      1. la présence d’un réarrangement génique des récepteurs B ou T, confirmant la monoclonalité;
      1. la présence de toute protéine aberrante, excessive ou caractéristique d’une variété particulière de LNH (ex: bcl-1 dans les lymphomes du manteau ou alk dans les lymphomes anaplasiques à grandes cellules);
      1. s’il y a lieu, la présence de translocations spécifiques associées à la prolifération tumorale;
      1. enfin, un diagnostic précis permettant de classer le LNH au sein des différentes entités B ou T décrites dans la classification de l’OMS.
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32
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Rapport anatomopatho
- cellules tumorales

A
  • Le rapport anatomopathologique doit essentiellement pouvoir fournir tous les renseignements pertinents parmi les suivants :
      1. l’envahissement néoplasique lymphoïde du ganglion;
      1. le patron architectural du LNH : folliculaire ou diffus;
      1. la description des cellules tumorales (grandes ou petites, encochées ou non, à noyaux matures ou immatures, aspect monocytoïde, blastes etc.);
      1. l’immunophénotype principal T ou B et la présence de marqueurs spécifiques d’une sous-population lymphocytaire précise (CD3, CD20, CD5, CD4, CD8, etc.);
      1. la présence d’un réarrangement génique des récepteurs B ou T, confirmant la monoclonalité;
      1. la présence de toute protéine aberrante, excessive ou caractéristique d’une variété particulière de LNH (ex: bcl-1 dans les lymphomes du manteau ou alk dans les lymphomes anaplasiques à grandes cellules);
      1. s’il y a lieu, la présence de translocations spécifiques associées à la prolifération tumorale;
      1. enfin, un diagnostic précis permettant de classer le LNH au sein des différentes entités B ou T décrites dans la classification de l’OMS.
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33
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Rapport anatomopatho
- immunophénotype principal

A
  • Le rapport anatomopathologique doit essentiellement pouvoir fournir tous les renseignements pertinents parmi les suivants :
      1. l’envahissement néoplasique lymphoïde du ganglion;
      1. le patron architectural du LNH : folliculaire ou diffus;
      1. la description des cellules tumorales (grandes ou petites, encochées ou non, à noyaux matures ou immatures, aspect monocytoïde, blastes etc.);
      1. l’immunophénotype principal T ou B et la présence de marqueurs spécifiques d’une sous-population lymphocytaire précise (CD3, CD20, CD5, CD4, CD8, etc.);
      1. la présence d’un réarrangement génique des récepteurs B ou T, confirmant la monoclonalité;
      1. la présence de toute protéine aberrante, excessive ou caractéristique d’une variété particulière de LNH (ex: bcl-1 dans les lymphomes du manteau ou alk dans les lymphomes anaplasiques à grandes cellules);
      1. s’il y a lieu, la présence de translocations spécifiques associées à la prolifération tumorale;
      1. enfin, un diagnostic précis permettant de classer le LNH au sein des différentes entités B ou T décrites dans la classification de l’OMS.
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34
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Rapport anatomopatho
- réarrangement des récepteurs

A
  • Le rapport anatomopathologique doit essentiellement pouvoir fournir tous les renseignements pertinents parmi les suivants :
      1. l’envahissement néoplasique lymphoïde du ganglion;
      1. le patron architectural du LNH : folliculaire ou diffus;
      1. la description des cellules tumorales (grandes ou petites, encochées ou non, à noyaux matures ou immatures, aspect monocytoïde, blastes etc.);
      1. l’immunophénotype principal T ou B et la présence de marqueurs spécifiques d’une sous-population lymphocytaire précise (CD3, CD20, CD5, CD4, CD8, etc.);
      1. la présence d’un réarrangement génique des récepteurs B ou T, confirmant la monoclonalité;
      1. la présence de toute protéine aberrante, excessive ou caractéristique d’une variété particulière de LNH (ex: bcl-1 dans les lymphomes du manteau ou alk dans les lymphomes anaplasiques à grandes cellules);
      1. s’il y a lieu, la présence de translocations spécifiques associées à la prolifération tumorale;
      1. enfin, un diagnostic précis permettant de classer le LNH au sein des différentes entités B ou T décrites dans la classification de l’OMS.
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35
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Rapport anatomopatho
- protéine aberrante

A
  • Le rapport anatomopathologique doit essentiellement pouvoir fournir tous les renseignements pertinents parmi les suivants :
      1. l’envahissement néoplasique lymphoïde du ganglion;
      1. le patron architectural du LNH : folliculaire ou diffus;
      1. la description des cellules tumorales (grandes ou petites, encochées ou non, à noyaux matures ou immatures, aspect monocytoïde, blastes etc.);
      1. l’immunophénotype principal T ou B et la présence de marqueurs spécifiques d’une sous-population lymphocytaire précise (CD3, CD20, CD5, CD4, CD8, etc.);
      1. la présence d’un réarrangement génique des récepteurs B ou T, confirmant la monoclonalité;
      1. la présence de toute protéine aberrante, excessive ou caractéristique d’une variété particulière de LNH (ex: bcl-1 dans les lymphomes du manteau ou alk dans les lymphomes anaplasiques à grandes cellules);
      1. s’il y a lieu, la présence de translocations spécifiques associées à la prolifération tumorale;
      1. enfin, un diagnostic précis permettant de classer le LNH au sein des différentes entités B ou T décrites dans la classification de l’OMS.
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Lymphomes non hodgkiniens: Rapport anatomopatho
- transolactions

A
  • Le rapport anatomopathologique doit essentiellement pouvoir fournir tous les renseignements pertinents parmi les suivants :
      1. l’envahissement néoplasique lymphoïde du ganglion;
      1. le patron architectural du LNH : folliculaire ou diffus;
      1. la description des cellules tumorales (grandes ou petites, encochées ou non, à noyaux matures ou immatures, aspect monocytoïde, blastes etc.);
      1. l’immunophénotype principal T ou B et la présence de marqueurs spécifiques d’une sous-population lymphocytaire précise (CD3, CD20, CD5, CD4, CD8, etc.);
      1. la présence d’un réarrangement génique des récepteurs B ou T, confirmant la monoclonalité;
      1. la présence de toute protéine aberrante, excessive ou caractéristique d’une variété particulière de LNH (ex: bcl-1 dans les lymphomes du manteau ou alk dans les lymphomes anaplasiques à grandes cellules);
      1. s’il y a lieu, la présence de translocations spécifiques associées à la prolifération tumorale;
      1. enfin, un diagnostic précis permettant de classer le LNH au sein des différentes entités B ou T décrites dans la classification de l’OMS.
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37
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Rapport anatomopatho
- classification OMS

A
  • Le rapport anatomopathologique doit essentiellement pouvoir fournir tous les renseignements pertinents parmi les suivants :
      1. l’envahissement néoplasique lymphoïde du ganglion;
      1. le patron architectural du LNH : folliculaire ou diffus;
      1. la description des cellules tumorales (grandes ou petites, encochées ou non, à noyaux matures ou immatures, aspect monocytoïde, blastes etc.);
      1. l’immunophénotype principal T ou B et la présence de marqueurs spécifiques d’une sous-population lymphocytaire précise (CD3, CD20, CD5, CD4, CD8, etc.);
      1. la présence d’un réarrangement génique des récepteurs B ou T, confirmant la monoclonalité;
      1. la présence de toute protéine aberrante, excessive ou caractéristique d’une variété particulière de LNH (ex: bcl-1 dans les lymphomes du manteau ou alk dans les lymphomes anaplasiques à grandes cellules);
      1. s’il y a lieu, la présence de translocations spécifiques associées à la prolifération tumorale;
      1. enfin, un diagnostic précis permettant de classer le LNH au sein des différentes entités B ou T décrites dans la classification de l’OMS.
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38
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Bilan extension

A
  • Comme pour les lymphomes hodgkiniens, il est important, dans les LNH, d’établir au départ le degré d’extension anatomique de la maladie en utilisant le système d’Ann Arbor.
  • Au-delà du questionnaire et de l’examen physique, la tomodensitométrie axiale complète est de rigueur et une biopsie de moelle osseuse doit aussi être effectuée dans certains cas car les atteintes médullaires sont fréquentes dans les lymphomes non hodgkiniens, même en l’absence de symptômes B.
  • En raison de la fréquence et de la variété des sites extra-ganglionnaires de ces lymphomes, certains examens additionnels doivent parfois être prévus, comme une ponction lombaire, un transit du grêle ou une scintigraphie osseuse.
  • Toutefois, la TEP permet d’identifier les zones d’atteintes tumorales avec une précision supérieure à biens d’autres examens.
  • Certains types particuliers de LNH (digestifs, cutanés, ceux du système nerveux) doivent être stadés en fonction d’un système de classification différent de celui d’Ann Arbor, mieux adapté à leur nature et à leur évolution.
  • Même si l’histologie du LNH arrive au premier plan parmi les facteurs de pronostic, le degré d’extension anatomique constitue lui aussi un élément important qui ne doit jamais être négligé dans l’évaluation initiale d’un LNH ou lors d’une récidive de la maladie.
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Q

Lymphomes non hodgkiniens: Bilan extension
- système utilisé

A
  • Comme pour les lymphomes hodgkiniens, il est important, dans les LNH, d’établir au départ le degré d’extension anatomique de la maladie en utilisant le système d’Ann Arbor.
  • Au-delà du questionnaire et de l’examen physique, la tomodensitométrie axiale complète est de rigueur et une biopsie de moelle osseuse doit aussi être effectuée dans certains cas car les atteintes médullaires sont fréquentes dans les lymphomes non hodgkiniens, même en l’absence de symptômes B.
  • En raison de la fréquence et de la variété des sites extra-ganglionnaires de ces lymphomes, certains examens additionnels doivent parfois être prévus, comme une ponction lombaire, un transit du grêle ou une scintigraphie osseuse.
  • Toutefois, la TEP permet d’identifier les zones d’atteintes tumorales avec une précision supérieure à biens d’autres examens.
  • Certains types particuliers de LNH (digestifs, cutanés, ceux du système nerveux) doivent être stadés en fonction d’un système de classification différent de celui d’Ann Arbor, mieux adapté à leur nature et à leur évolution.
  • Même si l’histologie du LNH arrive au premier plan parmi les facteurs de pronostic, le degré d’extension anatomique constitue lui aussi un élément important qui ne doit jamais être négligé dans l’évaluation initiale d’un LNH ou lors d’une récidive de la maladie.
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40
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Bilan extension
- nommez les éléments

A
  • Comme pour les lymphomes hodgkiniens, il est important, dans les LNH, d’établir au départ le degré d’extension anatomique de la maladie en utilisant le système d’Ann Arbor.
  • Au-delà du questionnaire et de l’examen physique, la tomodensitométrie axiale complète est de rigueur et une biopsie de moelle osseuse doit aussi être effectuée dans certains cas car les atteintes médullaires sont fréquentes dans les lymphomes non hodgkiniens, même en l’absence de symptômes B.
  • En raison de la fréquence et de la variété des sites extra-ganglionnaires de ces lymphomes, certains examens additionnels doivent parfois être prévus, comme une ponction lombaire, un transit du grêle ou une scintigraphie osseuse.
  • Toutefois, la TEP permet d’identifier les zones d’atteintes tumorales avec une précision supérieure à biens d’autres examens.
  • Certains types particuliers de LNH (digestifs, cutanés, ceux du système nerveux) doivent être stadés en fonction d’un système de classification différent de celui d’Ann Arbor, mieux adapté à leur nature et à leur évolution.
  • Même si l’histologie du LNH arrive au premier plan parmi les facteurs de pronostic, le degré d’extension anatomique constitue lui aussi un élément important qui ne doit jamais être négligé dans l’évaluation initiale d’un LNH ou lors d’une récidive de la maladie.
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41
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Bilan extension
- de base

A
  • Comme pour les lymphomes hodgkiniens, il est important, dans les LNH, d’établir au départ le degré d’extension anatomique de la maladie en utilisant le système d’Ann Arbor.
  • Au-delà du questionnaire et de l’examen physique, la tomodensitométrie axiale complète est de rigueur et une biopsie de moelle osseuse doit aussi être effectuée dans certains cas car les atteintes médullaires sont fréquentes dans les lymphomes non hodgkiniens, même en l’absence de symptômes B.
  • En raison de la fréquence et de la variété des sites extra-ganglionnaires de ces lymphomes, certains examens additionnels doivent parfois être prévus, comme une ponction lombaire, un transit du grêle ou une scintigraphie osseuse.
  • Toutefois, la TEP permet d’identifier les zones d’atteintes tumorales avec une précision supérieure à biens d’autres examens.
  • Certains types particuliers de LNH (digestifs, cutanés, ceux du système nerveux) doivent être stadés en fonction d’un système de classification différent de celui d’Ann Arbor, mieux adapté à leur nature et à leur évolution.
  • Même si l’histologie du LNH arrive au premier plan parmi les facteurs de pronostic, le degré d’extension anatomique constitue lui aussi un élément important qui ne doit jamais être négligé dans l’évaluation initiale d’un LNH ou lors d’une récidive de la maladie.
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42
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Bilan extension
- indications TDM et biopsie moelle

A
  • Comme pour les lymphomes hodgkiniens, il est important, dans les LNH, d’établir au départ le degré d’extension anatomique de la maladie en utilisant le système d’Ann Arbor.
  • Au-delà du questionnaire et de l’examen physique, la tomodensitométrie axiale complète est de rigueur et une biopsie de moelle osseuse doit aussi être effectuée dans certains cas car les atteintes médullaires sont fréquentes dans les lymphomes non hodgkiniens, même en l’absence de symptômes B.
  • En raison de la fréquence et de la variété des sites extra-ganglionnaires de ces lymphomes, certains examens additionnels doivent parfois être prévus, comme une ponction lombaire, un transit du grêle ou une scintigraphie osseuse.
  • Toutefois, la TEP permet d’identifier les zones d’atteintes tumorales avec une précision supérieure à biens d’autres examens.
  • Certains types particuliers de LNH (digestifs, cutanés, ceux du système nerveux) doivent être stadés en fonction d’un système de classification différent de celui d’Ann Arbor, mieux adapté à leur nature et à leur évolution.
  • Même si l’histologie du LNH arrive au premier plan parmi les facteurs de pronostic, le degré d’extension anatomique constitue lui aussi un élément important qui ne doit jamais être négligé dans l’évaluation initiale d’un LNH ou lors d’une récidive de la maladie.
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43
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Bilan extension
- tests additionnels

A
  • Comme pour les lymphomes hodgkiniens, il est important, dans les LNH, d’établir au départ le degré d’extension anatomique de la maladie en utilisant le système d’Ann Arbor.
  • Au-delà du questionnaire et de l’examen physique, la tomodensitométrie axiale complète est de rigueur et une biopsie de moelle osseuse doit aussi être effectuée dans certains cas car les atteintes médullaires sont fréquentes dans les lymphomes non hodgkiniens, même en l’absence de symptômes B.
  • En raison de la fréquence et de la variété des sites extra-ganglionnaires de ces lymphomes, certains examens additionnels doivent parfois être prévus, comme une ponction lombaire, un transit du grêle ou une scintigraphie osseuse.
  • Toutefois, la TEP permet d’identifier les zones d’atteintes tumorales avec une précision supérieure à biens d’autres examens.
  • Certains types particuliers de LNH (digestifs, cutanés, ceux du système nerveux) doivent être stadés en fonction d’un système de classification différent de celui d’Ann Arbor, mieux adapté à leur nature et à leur évolution.
  • Même si l’histologie du LNH arrive au premier plan parmi les facteurs de pronostic, le degré d’extension anatomique constitue lui aussi un élément important qui ne doit jamais être négligé dans l’évaluation initiale d’un LNH ou lors d’une récidive de la maladie.
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44
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Bilan extension
- utilité TEP

A
  • Comme pour les lymphomes hodgkiniens, il est important, dans les LNH, d’établir au départ le degré d’extension anatomique de la maladie en utilisant le système d’Ann Arbor.
  • Au-delà du questionnaire et de l’examen physique, la tomodensitométrie axiale complète est de rigueur et une biopsie de moelle osseuse doit aussi être effectuée dans certains cas car les atteintes médullaires sont fréquentes dans les lymphomes non hodgkiniens, même en l’absence de symptômes B.
  • En raison de la fréquence et de la variété des sites extra-ganglionnaires de ces lymphomes, certains examens additionnels doivent parfois être prévus, comme une ponction lombaire, un transit du grêle ou une scintigraphie osseuse.
  • Toutefois, la TEP permet d’identifier les zones d’atteintes tumorales avec une précision supérieure à biens d’autres examens.
  • Certains types particuliers de LNH (digestifs, cutanés, ceux du système nerveux) doivent être stadés en fonction d’un système de classification différent de celui d’Ann Arbor, mieux adapté à leur nature et à leur évolution.
  • Même si l’histologie du LNH arrive au premier plan parmi les facteurs de pronostic, le degré d’extension anatomique constitue lui aussi un élément important qui ne doit jamais être négligé dans l’évaluation initiale d’un LNH ou lors d’une récidive de la maladie.
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45
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Bilan extension
- utilité ponction lombaire

A
  • Comme pour les lymphomes hodgkiniens, il est important, dans les LNH, d’établir au départ le degré d’extension anatomique de la maladie en utilisant le système d’Ann Arbor.
  • Au-delà du questionnaire et de l’examen physique, la tomodensitométrie axiale complète est de rigueur et une biopsie de moelle osseuse doit aussi être effectuée dans certains cas car les atteintes médullaires sont fréquentes dans les lymphomes non hodgkiniens, même en l’absence de symptômes B.
  • En raison de la fréquence et de la variété des sites extra-ganglionnaires de ces lymphomes, certains examens additionnels doivent parfois être prévus, comme une ponction lombaire, un transit du grêle ou une scintigraphie osseuse.
  • Toutefois, la TEP permet d’identifier les zones d’atteintes tumorales avec une précision supérieure à biens d’autres examens.
  • Certains types particuliers de LNH (digestifs, cutanés, ceux du système nerveux) doivent être stadés en fonction d’un système de classification différent de celui d’Ann Arbor, mieux adapté à leur nature et à leur évolution.
  • Même si l’histologie du LNH arrive au premier plan parmi les facteurs de pronostic, le degré d’extension anatomique constitue lui aussi un élément important qui ne doit jamais être négligé dans l’évaluation initiale d’un LNH ou lors d’une récidive de la maladie.
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46
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Bilan extension
- utilité transit du grêle

A
  • Comme pour les lymphomes hodgkiniens, il est important, dans les LNH, d’établir au départ le degré d’extension anatomique de la maladie en utilisant le système d’Ann Arbor.
  • Au-delà du questionnaire et de l’examen physique, la tomodensitométrie axiale complète est de rigueur et une biopsie de moelle osseuse doit aussi être effectuée dans certains cas car les atteintes médullaires sont fréquentes dans les lymphomes non hodgkiniens, même en l’absence de symptômes B.
  • En raison de la fréquence et de la variété des sites extra-ganglionnaires de ces lymphomes, certains examens additionnels doivent parfois être prévus, comme une ponction lombaire, un transit du grêle ou une scintigraphie osseuse.
  • Toutefois, la TEP permet d’identifier les zones d’atteintes tumorales avec une précision supérieure à biens d’autres examens.
  • Certains types particuliers de LNH (digestifs, cutanés, ceux du système nerveux) doivent être stadés en fonction d’un système de classification différent de celui d’Ann Arbor, mieux adapté à leur nature et à leur évolution.
  • Même si l’histologie du LNH arrive au premier plan parmi les facteurs de pronostic, le degré d’extension anatomique constitue lui aussi un élément important qui ne doit jamais être négligé dans l’évaluation initiale d’un LNH ou lors d’une récidive de la maladie.
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47
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Bilan extension
- utilité scintigraphie osseuse

A
  • Comme pour les lymphomes hodgkiniens, il est important, dans les LNH, d’établir au départ le degré d’extension anatomique de la maladie en utilisant le système d’Ann Arbor.
  • Au-delà du questionnaire et de l’examen physique, la tomodensitométrie axiale complète est de rigueur et une biopsie de moelle osseuse doit aussi être effectuée dans certains cas car les atteintes médullaires sont fréquentes dans les lymphomes non hodgkiniens, même en l’absence de symptômes B.
  • En raison de la fréquence et de la variété des sites extra-ganglionnaires de ces lymphomes, certains examens additionnels doivent parfois être prévus, comme une ponction lombaire, un transit du grêle ou une scintigraphie osseuse.
  • Toutefois, la TEP permet d’identifier les zones d’atteintes tumorales avec une précision supérieure à biens d’autres examens.
  • Certains types particuliers de LNH (digestifs, cutanés, ceux du système nerveux) doivent être stadés en fonction d’un système de classification différent de celui d’Ann Arbor, mieux adapté à leur nature et à leur évolution.
  • Même si l’histologie du LNH arrive au premier plan parmi les facteurs de pronostic, le degré d’extension anatomique constitue lui aussi un élément important qui ne doit jamais être négligé dans l’évaluation initiale d’un LNH ou lors d’une récidive de la maladie.
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48
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Bilan extension
- autres systèmes de classification

A
  • Comme pour les lymphomes hodgkiniens, il est important, dans les LNH, d’établir au départ le degré d’extension anatomique de la maladie en utilisant le système d’Ann Arbor.
  • Au-delà du questionnaire et de l’examen physique, la tomodensitométrie axiale complète est de rigueur et une biopsie de moelle osseuse doit aussi être effectuée dans certains cas car les atteintes médullaires sont fréquentes dans les lymphomes non hodgkiniens, même en l’absence de symptômes B.
  • En raison de la fréquence et de la variété des sites extra-ganglionnaires de ces lymphomes, certains examens additionnels doivent parfois être prévus, comme une ponction lombaire, un transit du grêle ou une scintigraphie osseuse.
  • Toutefois, la TEP permet d’identifier les zones d’atteintes tumorales avec une précision supérieure à biens d’autres examens.
  • Certains types particuliers de LNH (digestifs, cutanés, ceux du système nerveux) doivent être stadés en fonction d’un système de classification différent de celui d’Ann Arbor, mieux adapté à leur nature et à leur évolution.
  • Même si l’histologie du LNH arrive au premier plan parmi les facteurs de pronostic, le degré d’extension anatomique constitue lui aussi un élément important qui ne doit jamais être négligé dans l’évaluation initiale d’un LNH ou lors d’une récidive de la maladie.
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Q

Lymphomes non hodgkiniens: Bilan extension
- indicateurs du pronostic

A
  • Comme pour les lymphomes hodgkiniens, il est important, dans les LNH, d’établir au départ le degré d’extension anatomique de la maladie en utilisant le système d’Ann Arbor.
  • Au-delà du questionnaire et de l’examen physique, la tomodensitométrie axiale complète est de rigueur et une biopsie de moelle osseuse doit aussi être effectuée dans certains cas car les atteintes médullaires sont fréquentes dans les lymphomes non hodgkiniens, même en l’absence de symptômes B.
  • En raison de la fréquence et de la variété des sites extra-ganglionnaires de ces lymphomes, certains examens additionnels doivent parfois être prévus, comme une ponction lombaire, un transit du grêle ou une scintigraphie osseuse.
  • Toutefois, la TEP permet d’identifier les zones d’atteintes tumorales avec une précision supérieure à biens d’autres examens.
  • Certains types particuliers de LNH (digestifs, cutanés, ceux du système nerveux) doivent être stadés en fonction d’un système de classification différent de celui d’Ann Arbor, mieux adapté à leur nature et à leur évolution.
  • Même si l’histologie du LNH arrive au premier plan parmi les facteurs de pronostic, le degré d’extension anatomique constitue lui aussi un élément important qui ne doit jamais être négligé dans l’évaluation initiale d’un LNH ou lors d’une récidive de la maladie.
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Q

Lymphomes non hodgkiniens: Pronostic

A
  • Tel que déjà mentionné, c’est le type histologique du LNH qui détermine en premier lieu son pronostic et sa survie (Tableau 8-4).
  • Une certaine généralisation permet d’avancer les principes suivants : certains types de lymphomes, dits biologiquement indolents ou de faible malignité (ex : LNH folliculaires, à petites cellules, MALT) et souvent disséminés au diagnostic sont incurables, mais ils peuvent évoluer par rémissions et rechutes successives pendant plusieurs années (5 à 15 ans) avant d’entraîner des symptômes importants et, éventuellement, la mort du malade en dépit des traitements appliqués.
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51
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Pronostic
- ce qui détermine le plus le pronostic

A
  • Tel que déjà mentionné, c’est le type histologique du LNH qui détermine en premier lieu son pronostic et sa survie (Tableau 8-4).
  • Une certaine généralisation permet d’avancer les principes suivants : certains types de lymphomes, dits biologiquement indolents ou de faible malignité (ex : LNH folliculaires, à petites cellules, MALT) et souvent disséminés au diagnostic sont incurables, mais ils peuvent évoluer par rémissions et rechutes successives pendant plusieurs années (5 à 15 ans) avant d’entraîner des symptômes importants et, éventuellement, la mort du malade en dépit des traitements appliqués.
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52
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Pronostic
- ce qui détermine le plus la survie

A
  • Tel que déjà mentionné, c’est le type histologique du LNH qui détermine en premier lieu son pronostic et sa survie (Tableau 8-4).
  • Une certaine généralisation permet d’avancer les principes suivants : certains types de lymphomes, dits biologiquement indolents ou de faible malignité (ex : LNH folliculaires, à petites cellules, MALT) et souvent disséminés au diagnostic sont incurables, mais ils peuvent évoluer par rémissions et rechutes successives pendant plusieurs années (5 à 15 ans) avant d’entraîner des symptômes importants et, éventuellement, la mort du malade en dépit des traitements appliqués.
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53
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Pronostic
- principes

A
  • Tel que déjà mentionné, c’est le type histologique du LNH qui détermine en premier lieu son pronostic et sa survie (Tableau 8-4).
  • Une certaine généralisation permet d’avancer les principes suivants :
    • certains types de lymphomes, dits biologiquement indolents ou de faible malignité (ex : LNH folliculaires, à petites cellules, MALT) et souvent disséminés au diagnostic sont incurables, mais ils peuvent évoluer par rémissions et rechutes successives pendant plusieurs années (5 à 15 ans) avant d’entraîner des symptômes importants et, éventuellement, la mort du malade en dépit des traitements appliqués.
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54
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Pronostic
- synonyme de “faible malignité”

A
  • Tel que déjà mentionné, c’est le type histologique du LNH qui détermine en premier lieu son pronostic et sa survie (Tableau 8-4).
  • Une certaine généralisation permet d’avancer les principes suivants :
    • certains types de lymphomes, dits biologiquement indolents ou de faible malignité (ex : LNH folliculaires, à petites cellules, MALT) et souvent disséminés au diagnostic sont incurables, mais ils peuvent évoluer par rémissions et rechutes successives pendant plusieurs années (5 à 15 ans) avant d’entraîner des symptômes importants et, éventuellement, la mort du malade en dépit des traitements appliqués.
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55
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Pronostic
- nommez des lymphomes indolents

A
  • Tel que déjà mentionné, c’est le type histologique du LNH qui détermine en premier lieu son pronostic et sa survie (Tableau 8-4).
  • Une certaine généralisation permet d’avancer les principes suivants :
    • certains types de lymphomes, dits biologiquement indolents ou de faible malignité (ex : LNH folliculaires, à petites cellules, MALT) et souvent disséminés au diagnostic sont incurables, mais ils peuvent évoluer par rémissions et rechutes successives pendant plusieurs années (5 à 15 ans) avant d’entraîner des symptômes importants et, éventuellement, la mort du malade en dépit des traitements appliqués.
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56
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Pronostic
- lymphomes indolents: dissémination

A
  • Tel que déjà mentionné, c’est le type histologique du LNH qui détermine en premier lieu son pronostic et sa survie (Tableau 8-4).
  • Une certaine généralisation permet d’avancer les principes suivants :
    • certains types de lymphomes, dits biologiquement indolents ou de faible malignité (ex : LNH folliculaires, à petites cellules, MALT) et souvent disséminés au diagnostic sont incurables, mais ils peuvent évoluer par rémissions et rechutes successives pendant plusieurs années (5 à 15 ans) avant d’entraîner des symptômes importants et, éventuellement, la mort du malade en dépit des traitements appliqués.
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Lymphomes non hodgkiniens: Pronostic
- lymphomes indolents: traitement

A
  • Tel que déjà mentionné, c’est le type histologique du LNH qui détermine en premier lieu son pronostic et sa survie (Tableau 8-4).
  • Une certaine généralisation permet d’avancer les principes suivants :
    • certains types de lymphomes, dits biologiquement indolents ou de faible malignité (ex : LNH folliculaires, à petites cellules, MALT) et souvent disséminés au diagnostic sont incurables, mais ils peuvent évoluer par rémissions et rechutes successives pendant plusieurs années (5 à 15 ans) avant d’entraîner des symptômes importants et, éventuellement, la mort du malade en dépit des traitements appliqués.
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Lymphomes non hodgkiniens: Pronostic
- lymphomes indolents: leur évolution

A
  • Tel que déjà mentionné, c’est le type histologique du LNH qui détermine en premier lieu son pronostic et sa survie (Tableau 8-4).
  • Une certaine généralisation permet d’avancer les principes suivants :
    • certains types de lymphomes, dits biologiquement indolents ou de faible malignité (ex : LNH folliculaires, à petites cellules, MALT) et souvent disséminés au diagnostic sont incurables, mais ils peuvent évoluer par rémissions et rechutes successives pendant plusieurs années (5 à 15 ans) avant d’entraîner des symptômes importants et, éventuellement, la mort du malade en dépit des traitements appliqués.
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Q

Lymphomes non hodgkiniens: Pronostic
- lymphomes indolents: symptômes

A
  • Tel que déjà mentionné, c’est le type histologique du LNH qui détermine en premier lieu son pronostic et sa survie (Tableau 8-4).
  • Une certaine généralisation permet d’avancer les principes suivants :
    • certains types de lymphomes, dits biologiquement indolents ou de faible malignité (ex : LNH folliculaires, à petites cellules, MALT) et souvent disséminés au diagnostic sont incurables, mais ils peuvent évoluer par rémissions et rechutes successives pendant plusieurs années (5 à 15 ans) avant d’entraîner des symptômes importants et, éventuellement, la mort du malade en dépit des traitements appliqués.
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60
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Pronostic
- synonyme de lymphome de malignité élevé

A
  • D’autres LNH, biologiquement agressifs ou de malignité élevée (ex : LNH diffus à grandes cellules, Burkitt, anaplasiques) se présentent plus souvent à un stade I ou II d’Ann Arbor.
  • Ils ont une évolution naturelle qui, sans traitement, peut devenir rapidement fatale (quelques semaines ou mois), mais ils peuvent néanmoins être guéris dans une proportion importante des cas, moyennant l’institution rapide d’un traitement approprié.
61
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Pronostic
- lymphomes agressifs: stade au début

A
  • D’autres LNH, biologiquement agressifs ou de malignité élevée (ex : LNH diffus à grandes cellules, Burkitt, anaplasiques) se présentent plus souvent à un stade I ou II d’Ann Arbor.
  • Ils ont une évolution naturelle qui, sans traitement, peut devenir rapidement fatale (quelques semaines ou mois), mais ils peuvent néanmoins être guéris dans une proportion importante des cas, moyennant l’institution rapide d’un traitement approprié.
62
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Pronostic
- lymphomes agressifs: évolution naturelle

A
  • D’autres LNH, biologiquement agressifs ou de malignité élevée (ex : LNH diffus à grandes cellules, Burkitt, anaplasiques) se présentent plus souvent à un stade I ou II d’Ann Arbor.
  • Ils ont une évolution naturelle qui, sans traitement, peut devenir rapidement fatale (quelques semaines ou mois), mais ils peuvent néanmoins être guéris dans une proportion importante des cas, moyennant l’institution rapide d’un traitement approprié.
63
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Pronostic
- lymphomes agressifs: curable?

A
  • D’autres LNH, biologiquement agressifs ou de malignité élevée (ex : LNH diffus à grandes cellules, Burkitt, anaplasiques) se présentent plus souvent à un stade I ou II d’Ann Arbor.
  • Ils ont une évolution naturelle qui, sans traitement, peut devenir rapidement fatale (quelques semaines ou mois), mais ils peuvent néanmoins être guéris dans une proportion importante des cas, moyennant l’institution rapide d’un traitement approprié.
64
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Pronostic
- Paradoxe

A
  • Ce paradoxe est habituellement expliqué par le fait que les LNH de malignité élevée originent de cellules en multiplication rapide, ouvrant ainsi la porte à l’action de plusieurs agents de chimiothérapie efficaces à différentes phases du cycle cellulaire, tandis que les LNH de faible malignité originent, eux, de cellules qui demeurent le plus souvent au repos (phase G0 ou G1 du cycle cellulaire) et sont par conséquent peu sensibles aux mêmes agents thérapeutiques.
  • D’autres facteurs peuvent moduler de façon importante le taux de survie ou la curabilité suggérés au départ par le diagnostic histologique. L’extension de la maladie (stade d’Ann Arbor), l’âge du patient, son état général au diagnostic et une élévation anormale du taux sérique de la LDH (déshydrogénase lactique) sont autant de variables qui, combinées, servent à estimer dans chaque cas le risque global et la réponse attendue au traitement (Tableaux 8-5, a et b).
65
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Pronostic
- Expliquez la cause du paradoxe

A
  • Ce paradoxe est habituellement expliqué par le fait que les LNH de malignité élevée originent de cellules en multiplication rapide, ouvrant ainsi la porte à l’action de plusieurs agents de chimiothérapie efficaces à différentes phases du cycle cellulaire, tandis que les LNH de faible malignité originent, eux, de cellules qui demeurent le plus souvent au repos (phase G0 ou G1 du cycle cellulaire) et sont par conséquent peu sensibles aux mêmes agents thérapeutiques.
  • D’autres facteurs peuvent moduler de façon importante le taux de survie ou la curabilité suggérés au départ par le diagnostic histologique. L’extension de la maladie (stade d’Ann Arbor), l’âge du patient, son état général au diagnostic et une élévation anormale du taux sérique de la LDH (déshydrogénase lactique) sont autant de variables qui, combinées, servent à estimer dans chaque cas le risque global et la réponse attendue au traitement (Tableaux 8-5, a et b).
66
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Pronostic
- Paradoxe: origine de LNH malignité élevée

A
  • Ce paradoxe est habituellement expliqué par le fait que les LNH de malignité élevée originent de cellules en multiplication rapide, ouvrant ainsi la porte à l’action de plusieurs agents de chimiothérapie efficaces à différentes phases du cycle cellulaire, tandis que les LNH de faible malignité originent, eux, de cellules qui demeurent le plus souvent au repos (phase G0 ou G1 du cycle cellulaire) et sont par conséquent peu sensibles aux mêmes agents thérapeutiques.
  • D’autres facteurs peuvent moduler de façon importante le taux de survie ou la curabilité suggérés au départ par le diagnostic histologique. L’extension de la maladie (stade d’Ann Arbor), l’âge du patient, son état général au diagnostic et une élévation anormale du taux sérique de la LDH (déshydrogénase lactique) sont autant de variables qui, combinées, servent à estimer dans chaque cas le risque global et la réponse attendue au traitement (Tableaux 8-5, a et b).
67
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Pronostic
- Paradoxe: origine des LNH faible malignité

A
  • Ce paradoxe est habituellement expliqué par le fait que les LNH de malignité élevée originent de cellules en multiplication rapide, ouvrant ainsi la porte à l’action de plusieurs agents de chimiothérapie efficaces à différentes phases du cycle cellulaire, tandis que les LNH de faible malignité originent, eux, de cellules qui demeurent le plus souvent au repos (phase G0 ou G1 du cycle cellulaire) et sont par conséquent peu sensibles aux mêmes agents thérapeutiques.
  • D’autres facteurs peuvent moduler de façon importante le taux de survie ou la curabilité suggérés au départ par le diagnostic histologique. L’extension de la maladie (stade d’Ann Arbor), l’âge du patient, son état général au diagnostic et une élévation anormale du taux sérique de la LDH (déshydrogénase lactique) sont autant de variables qui, combinées, servent à estimer dans chaque cas le risque global et la réponse attendue au traitement (Tableaux 8-5, a et b).
68
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Pronostic
- Facteurs pouvant moduler survie et curabilité

A
  • Ce paradoxe est habituellement expliqué par le fait que les LNH de malignité élevée originent de cellules en multiplication rapide, ouvrant ainsi la porte à l’action de plusieurs agents de chimiothérapie efficaces à différentes phases du cycle cellulaire, tandis que les LNH de faible malignité originent, eux, de cellules qui demeurent le plus souvent au repos (phase G0 ou G1 du cycle cellulaire) et sont par conséquent peu sensibles aux mêmes agents thérapeutiques.
  • D’autres facteurs peuvent moduler de façon importante le taux de survie ou la curabilité suggérés au départ par le diagnostic histologique. L’extension de la maladie (stade d’Ann Arbor), l’âge du patient, son état général au diagnostic et une élévation anormale du taux sérique de la LDH (déshydrogénase lactique) sont autant de variables qui, combinées, servent à estimer dans chaque cas le risque global et la réponse attendue au traitement (Tableaux 8-5, a et b).
69
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Principes de tx - modes préférés

A
  • La chimiothérapie et, plus récemment, l’immunothérapie sont les modes préférés de traitement des lymphomes non hodgkiniens.
  • La radiothérapie occupe aussi une place, mais le plus souvent secondaire et de nature palliative.
  • Dans certains cas de lymphomes indolents, asymptomatiques et incurables, il est justifié de ne proposer aucun traitement immédiat, et ce parfois pendant de longues périodes.
70
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Principes de tx
- utilité radiotx

A
  • La chimiothérapie et, plus récemment, l’immunothérapie sont les modes préférés de traitement des lymphomes non hodgkiniens.
  • La radiothérapie occupe aussi une place, mais le plus souvent secondaire et de nature palliative.
  • Dans certains cas de lymphomes indolents, asymptomatiques et incurables, il est justifié de ne proposer aucun traitement immédiat, et ce parfois pendant de longues périodes.
71
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Principes de tx - pour les lymphomes indolents, asymptomatiques et incurables

A
  • La chimiothérapie et, plus récemment, l’immunothérapie sont les modes préférés de traitement des lymphomes non hodgkiniens.
  • La radiothérapie occupe aussi une place, mais le plus souvent secondaire et de nature palliative.
  • Dans certains cas de lymphomes indolents, asymptomatiques et incurables, il est justifié de ne proposer aucun traitement immédiat, et ce parfois pendant de longues périodes.
72
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Principes de tx
- agents de chimiotx

A
  • Les agents de chimiothérapie les plus souvent utilisés, seuls ou en combinaison, sont les alkylants (ex: cyclophosphamide), les alcaloïdes de la pervenche (ex: vincristine), les analogues des purines (ex : fludarabine) et les anthracyclines (ex : doxorubicine), presque toujours associés à la prednisone, elle-même possédant des propriétés lympholytiques.
  • Le protocole standard de polychimiothérapie recommandé dans les lymphomes de haute malignité porte le nom de CHOP (cyclophosphamide, doxorubicine, Oncovin™ et prednisone).
  • Les protocoles de rechapage, utilisés lors des rechutes, font appel à d’autres agents cytotoxiques comme l’ifosphamide, l’étoposide ou les dérivés du platine, toujours utilisés en combinaison.
  • Ces protocoles impliquent parfois de très hautes doses de médicaments et doivent être associés à une autogreffe de cellules-souches hématopoïétiques pour pouvoir être administrés en toute sécurité.
73
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Principes de tx
- protocole standard de chimiotx

A
  • Les agents de chimiothérapie les plus souvent utilisés, seuls ou en combinaison, sont les alkylants (ex: cyclophosphamide), les alcaloïdes de la pervenche (ex: vincristine), les analogues des purines (ex : fludarabine) et les anthracyclines (ex : doxorubicine), presque toujours associés à la prednisone, elle-même possédant des propriétés lympholytiques.
  • Le protocole standard de polychimiothérapie recommandé dans les lymphomes de haute malignité porte le nom de CHOP (cyclophosphamide, doxorubicine, Oncovin™ et prednisone).
  • Les protocoles de rechapage, utilisés lors des rechutes, font appel à d’autres agents cytotoxiques comme l’ifosphamide, l’étoposide ou les dérivés du platine, toujours utilisés en combinaison.
  • Ces protocoles impliquent parfois de très hautes doses de médicaments et doivent être associés à une autogreffe de cellules-souches hématopoïétiques pour pouvoir être administrés en toute sécurité.
74
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Principes de tx
- protocole de rechapage de chiomiotx

A
  • Les agents de chimiothérapie les plus souvent utilisés, seuls ou en combinaison, sont les alkylants (ex: cyclophosphamide), les alcaloïdes de la pervenche (ex: vincristine), les analogues des purines (ex : fludarabine) et les anthracyclines (ex : doxorubicine), presque toujours associés à la prednisone, elle-même possédant des propriétés lympholytiques.
  • Le protocole standard de polychimiothérapie recommandé dans les lymphomes de haute malignité porte le nom de CHOP (cyclophosphamide, doxorubicine, Oncovin™ et prednisone).
  • Les protocoles de rechapage, utilisés lors des rechutes, font appel à d’autres agents cytotoxiques comme l’ifosphamide, l’étoposide ou les dérivés du platine, toujours utilisés en combinaison.
  • Ces protocoles impliquent parfois de très hautes doses de médicaments et doivent être associés à une autogreffe de cellules-souches hématopoïétiques pour pouvoir être administrés en toute sécurité.
75
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Principes de tx
- chiomiotx peut être associée de quel autre traitement?

A
  • Les agents de chimiothérapie les plus souvent utilisés, seuls ou en combinaison, sont les alkylants (ex: cyclophosphamide), les alcaloïdes de la pervenche (ex: vincristine), les analogues des purines (ex : fludarabine) et les anthracyclines (ex : doxorubicine), presque toujours associés à la prednisone, elle-même possédant des propriétés lympholytiques.
  • Le protocole standard de polychimiothérapie recommandé dans les lymphomes de haute malignité porte le nom de CHOP (cyclophosphamide, doxorubicine, Oncovin™ et prednisone).
  • Les protocoles de rechapage, utilisés lors des rechutes, font appel à d’autres agents cytotoxiques comme l’ifosphamide, l’étoposide ou les dérivés du platine, toujours utilisés en combinaison.
  • Ces protocoles impliquent parfois de très hautes doses de médicaments et doivent être associés à une autogreffe de cellules-souches hématopoïétiques pour pouvoir être administrés en toute sécurité.
76
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Principes de tx
- immunotx

A
  • L’immunothérapie occupe maintenant une place très intéressante dans l’arsenal thérapeutique des lymphomes grâce au développement et à la mise en marché d’anticorps monoclonaux humains ou hybrides (murins-humains) dirigés spécifiquement contre certains antigènes de la surface lymphocytaire (ex: anti-CD20, anti-CD52).
77
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Principes de tx
- immunotx: expliquez fonctionnement

A
  • L’immunothérapie occupe maintenant une place très intéressante dans l’arsenal thérapeutique des lymphomes grâce au développement et à la mise en marché d’anticorps monoclonaux humains ou hybrides (murins-humains) dirigés spécifiquement contre certains antigènes de la surface lymphocytaire (ex: anti-CD20, anti-CD52).
78
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Principes de tx
- tx dans les lymphomes B à grandes cellules

A
  • Des essais cliniques effectués dans le traitement dans lymphomes B diffus à grandes cellules ont déjà démontré une efficacité nettement supérieure de la chimiothérapie lorsque combinée au rituximab, un anticorps hybride anti-CD20.
  • Des essais cliniques effectués dans le traitement de plusieurs lymphomes B ont déjà démontré une efficacité nettement supérieure de la chimiothérapie lorsque combinée au rituximab, un anticorps hybride anti-CD20.
  • Aussi, certains anticorps peuvent aussi être couplés à une molécule de chimiothérapie afin d’avoir un effet plus spécifique.
79
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Principes de tx
- tx dans les lymphomes B à grandes cellules: seule FC

A
  • Des essais cliniques effectués dans le traitement dans lymphomes B diffus à grandes cellules ont déjà démontré une efficacité nettement supérieure de la chimiothérapie lorsque combinée au rituximab, un anticorps hybride anti-CD20.
  • Des essais cliniques effectués dans le traitement de plusieurs lymphomes B ont déjà démontré une efficacité nettement supérieure de la chimiothérapie lorsque combinée au rituximab, un anticorps hybride anti-CD20.
  • Aussi, certains anticorps peuvent aussi être couplés à une molécule de chimiothérapie afin d’avoir un effet plus spécifique.
80
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Principes de tx
- nouvelle forme d’immunotx

A
  • Une toute nouvelle forme d’immunothérapie est actuellement en développement.
  • Il s’agit des cellules T-CAR. Les lymphocytes T d’un patient sont prélevés et modifiés en laboratoire de façon à ce qu’ils développent de récepteurs d’antigènes chimériques (CAR, chimeric antigen receptor) à leur surface.
  • Ces récepteurs reconnaissent un antigène spécifique exprimé par le type de cancer traité.
  • On réinjecte les lymphocytes T modifiés afin qu’ils se multiplient puis attaquent et détruisent les cellules tumorales.
81
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Principes de tx
- nouvelle forme d’immunotx: décrire

A
  • Une toute nouvelle forme d’immunothérapie est actuellement en développement.
  • Il s’agit des cellules T-CAR.
  • Les lymphocytes T d’un patient sont prélevés et modifiés en laboratoire de façon à ce qu’ils développent de récepteurs d’antigènes chimériques (CAR, chimeric antigen receptor) à leur surface.
  • Ces récepteurs reconnaissent un antigène spécifique exprimé par le type de cancer traité.
  • On réinjecte les lymphocytes T modifiés afin qu’ils se multiplient puis attaquent et détruisent les cellules tumorales.
82
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Principes de tx
- nouvelle forme d’immunotx: fonctionnement

A
  • Une toute nouvelle forme d’immunothérapie est actuellement en développement.
  • Il s’agit des cellules T-CAR.
  • Les lymphocytes T d’un patient sont prélevés et modifiés en laboratoire de façon à ce qu’ils développent de récepteurs d’antigènes chimériques (CAR, chimeric antigen receptor) à leur surface.
  • Ces récepteurs reconnaissent un antigène spécifique exprimé par le type de cancer traité.
  • On réinjecte les lymphocytes T modifiés afin qu’ils se multiplient puis attaquent et détruisent les cellules tumorales.
83
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Principes de tx
- immunotx adoptive

A
  • Une autre forme d’immunothérapie adoptive parfois utilisée dans le traitement des LNH est l’allogreffe de cellules-souches hématopoïétiques.
  • Chez les patients plus jeunes avec un donneur HLA-compatible, cette forme de traitement peut être envisagée dans certains cas sélectionnés.
84
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Principes de tx
- immunotx adoptive: si HLA-compatible

A
  • Une autre forme d’immunothérapie adoptive parfois utilisée dans le traitement des LNH est l’allogreffe de cellules-souches hématopoïétiques.
  • Chez les patients plus jeunes avec un donneur HLA-compatible, cette forme de traitement peut être envisagée dans certains cas sélectionnés.
85
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Principes de tx
- immunotx adoptive: indications

A
  • Une autre forme d’immunothérapie adoptive parfois utilisée dans le traitement des LNH est l’allogreffe de cellules-souches hématopoïétiques.
  • Chez les patients plus jeunes avec un donneur HLA-compatible, cette forme de traitement peut être envisagée dans certains cas sélectionnés.
86
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Principes de tx
- nouvelles thérapies ciblées

A
  • De nouvelles thérapies ciblées sont également en développement.
  • Ces médicaments, souvent administrés oralement, visent une protéine de signalisation spécifique plus primordiale pour la croissance des cellules tumorales que normales.
  • Ils empêchent ainsi la croissance et la propagation tumorale en minimisant les effets secondaires.
87
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Principes de tx
- nouvelles thérapies ciblées: voie d’administration

A
  • De nouvelles thérapies ciblées sont également en développement.
  • Ces médicaments, souvent administrés oralement, visent une protéine de signalisation spécifique plus primordiale pour la croissance des cellules tumorales que normales.
  • Ils empêchent ainsi la croissance et la propagation tumorale en minimisant les effets secondaires.
88
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Principes de tx
- nouvelles thérapies ciblées: visent quoi?

A
  • De nouvelles thérapies ciblées sont également en développement.
  • Ces médicaments, souvent administrés oralement, visent une protéine de signalisation spécifique plus primordiale pour la croissance des cellules tumorales que normales.
  • Ils empêchent ainsi la croissance et la propagation tumorale en minimisant les effets secondaires.
89
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Principes de tx
- nouvelles thérapies ciblées: mécanisme en cause

A
  • De nouvelles thérapies ciblées sont également en développement.
  • Ces médicaments, souvent administrés oralement, visent une protéine de signalisation spécifique plus primordiale pour la croissance des cellules tumorales que normales.
  • Ils empêchent ainsi la croissance et la propagation tumorale en minimisant les effets secondaires.
90
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Principes de tx
- Radiotx

A
  • La radiothérapie occupe une place d’appoint dans le traitement des LNH.
  • Elle s’avère particulièrement efficace dans les formes indolentes, composées principalement de cellules qui ne sont pas activement engagées dans le cycle mitotique.
  • On l’utilise souvent en complément d’un traitement de chimiothérapie sur les sites tumoraux de plus de 10 cm, dans le but d’éviter le risque d’une récidive locale.
  • Elle peut être particulièrement utile comme traitement local lorsqu’il y a compression d’organes ou douleur en association avec des masses lymphomateuses.
91
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Principes de tx
- Radiotx: son utilité

A
  • La radiothérapie occupe une place d’appoint dans le traitement des LNH.
  • Elle s’avère particulièrement efficace dans les formes indolentes, composées principalement de cellules qui ne sont pas activement engagées dans le cycle mitotique.
  • On l’utilise souvent en complément d’un traitement de chimiothérapie sur les sites tumoraux de plus de 10 cm, dans le but d’éviter le risque d’une récidive locale.
  • Elle peut être particulièrement utile comme traitement local lorsqu’il y a compression d’organes ou douleur en association avec des masses lymphomateuses.
92
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Principes de tx
- Radiotx: indications

A
  • La radiothérapie occupe une place d’appoint dans le traitement des LNH.
  • Elle s’avère particulièrement efficace dans les formes indolentes, composées principalement de cellules qui ne sont pas activement engagées dans le cycle mitotique.
  • On l’utilise souvent en complément d’un traitement de chimiothérapie sur les sites tumoraux de plus de 10 cm, dans le but d’éviter le risque d’une récidive locale.
  • Elle peut être particulièrement utile comme traitement local lorsqu’il y a compression d’organes ou douleur en association avec des masses lymphomateuses.
93
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Principes de tx
- Radiotx: utilisée en association avec quoi?

A
  • La radiothérapie occupe une place d’appoint dans le traitement des LNH.
  • Elle s’avère particulièrement efficace dans les formes indolentes, composées principalement de cellules qui ne sont pas activement engagées dans le cycle mitotique.
  • On l’utilise souvent en complément d’un traitement de chimiothérapie sur les sites tumoraux de plus de 10 cm, dans le but d’éviter le risque d’une récidive locale.
  • Elle peut être particulièrement utile comme traitement local lorsqu’il y a compression d’organes ou douleur en association avec des masses lymphomateuses.
94
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Principes de tx
- Radiotx: utilité particulière

A
  • La radiothérapie occupe une place d’appoint dans le traitement des LNH.
  • Elle s’avère particulièrement efficace dans les formes indolentes, composées principalement de cellules qui ne sont pas activement engagées dans le cycle mitotique.
  • On l’utilise souvent en complément d’un traitement de chimiothérapie sur les sites tumoraux de plus de 10 cm, dans le but d’éviter le risque d’une récidive locale.
  • Elle peut être particulièrement utile comme traitement local lorsqu’il y a compression d’organes ou douleur en association avec des masses lymphomateuses.
95
Q

Fréquence des principaux types histologiques au dx: Pour ceux originant des cellules B

A
  • Diffus à grandes cellules B: 37%
  • Folliculaire: 29%
  • MALT: 9%
  • Manteau: 7%
  • Type LCC: 12%
  • Primaire du médiastin (B): 3%
  • Haut grade NOS: 2,50%
  • Burkitt: 0,80%
96
Q

Fréquence des principaux types histologiques au dx (pour ceux à cellules B): Nommez les principaux

A
  • Diffus à grandes cellules B: 37%
  • Folliculaire: 29%
  • MALT: 9%
  • Manteau: 7%
  • Type LCC: 12%
  • Primaire du médiastin (B): 3%
  • Haut grade NOS: 2,50%
  • Burkitt: 0,80%
97
Q

Principaux lymphomes non hodgkiniens à cellules T

A
  • Lymphome T périphérique (NOS): 25,9%
  • AngioimmunoblastiqueL 18,5%
  • Extra-nodale NK/T: 10,4%
  • Leucémie/lymphome à cellules T adulte: 9,6%
  • Anaplasieque à grandes cellules T ALK+: 6,6%
  • Anaplasieque à grandes cellules T ALK-: 5,5%
  • Associé aux entéropathies: 4,7%
  • Autres: 18,8%
98
Q

Principaux lymphomes non hodgkiniens à cellules T: Nommez les principaux

A
  • Lymphome T périphérique (NOS): 25,9%
  • Angioimmunoblastique: 18,5%
  • Extra-nodale NK/T: 10,4%
  • Leucémie/lymphome à cellules T adulte: 9,6%
  • Anaplasieque à grandes cellules T ALK+: 6,6%
  • Anaplasieque à grandes cellules T ALK-: 5,5%
  • Associé aux entéropathies: 4,7%
  • Autres: 18,8%
99
Q

Lymphomes non hodgkiniens: Fréquence des principaux types histologiques au moment du dx

A
  • Diffus B à grandes cellules: 31%
  • Folliculaire (grades 1, 2 ou 3): 22%
  • Zone marginale, MALT: 8%
  • T périphérique: 7%
  • Diffus B à petuts lymphocytes matures (type LLC): 7%
  • Zone du manteau: 6%
  • Anaplasique à grandes cellules T ou NK: 2%
  • Zone marginale, ganglionnaire (B-monocytoïde): 2%
  • Lymphoplasmocytaire: 1%
  • Burkitt: < 1%
100
Q

Indice pronostique international (IPI) pour les lymphomes B diffus à grandes cellules

A
  • Âge > 60 ans: 1.96
  • LDH > limite normale supérieure: 1.95
  • État général (classe > 1 sur 4): 1.80
  • Stade d’Ann Arbor > 2: 1.47
  • > 1 site extra-ganglionnaire:1.48
101
Q

Indie pronostique international (IPI) pour les lymphomes B diffus à grandes cellules
- âge

A
  • Âge > 60 ans: 1.96
  • LDH > limite normale supérieure: 1.95
  • État général (classe > 1 sur 4): 1.80
  • Stade d’Ann Arbor > 2: 1.47
  • > 1 site extra-ganglionnaire:1.48
102
Q

Indie pronostique international (IPI) pour les lymphomes B diffus à grandes cellules
- LDH

A
  • Âge > 60 ans: 1.96
  • LDH > limite normale supérieure: 1.95
  • État général (classe > 1 sur 4): 1.80
  • Stade d’Ann Arbor > 2: 1.47
  • > 1 site extra-ganglionnaire:1.48
103
Q

Indie pronostique international (IPI) pour les lymphomes B diffus à grandes cellules
- État général

A
  • Âge > 60 ans: 1.96
  • LDH > limite normale supérieure: 1.95
  • État général (classe > 1 sur 4): 1.80
  • Stade d’Ann Arbor > 2: 1.47
  • > 1 site extra-ganglionnaire:1.48
104
Q

Indie pronostique international (IPI) pour les lymphomes B diffus à grandes cellules
- Stade d’Ann Arbor

A
  • Âge > 60 ans: 1.96
  • LDH > limite normale supérieure: 1.95
  • État général (classe > 1 sur 4): 1.80
  • Stade d’Ann Arbor > 2: 1.47
  • > 1 site extra-ganglionnaire:1.48
105
Q

Indie pronostique international (IPI) pour les lymphomes B diffus à grandes cellules
- site extra-ganglionnaire

A
  • Âge > 60 ans: 1.96
  • LDH > limite normale supérieure: 1.95
  • État général (classe > 1 sur 4): 1.80
  • Stade d’Ann Arbor > 2: 1.47
  • > 1 site extra-ganglionnaire:1.48
106
Q

Indice pronostique international (IPI) pour les lymphomes B diffus à grandes cellules
- risque selon nombre de FDR

A
  • Faible: 0 ou 1
  • Moyen: 2
  • Élevé: 3
  • Très élevé: 4 ou 5
107
Q

SURVIE DES LYMPHOMES B DIFFUS À GRANDES CELLULES SELON L’IPI

A
108
Q

Indice pronostique international (FLIPI) pour les lymphomes B folliculaires

A
  • Âge ≥ 60 ans: 2.38
  • LDH > limite normale supérieure: 1.50
  • Taux d’hémoglobine < 120 g/l: 1.55
  • Stade d’Ann Arbor > 2: 2.00
  • > 4 sites ganglionnaires atteints: 1.39
109
Q

Indice pronostique international (FLIPI) pour les lymphomes B folliculaires
- âge

A
  • Âge ≥ 60 ans: 2.38
  • LDH > limite normale supérieure: 1.50
  • Taux d’hémoglobine < 120 g/l: 1.55
  • Stade d’Ann Arbor > 2: 2.00
  • > 4 sites ganglionnaires atteints: 1.39
110
Q

Indice pronostique international (FLIPI) pour les lymphomes B folliculaires
- LDH

A
  • Âge ≥ 60 ans: 2.38
  • LDH > limite normale supérieure: 1.50
  • Taux d’hémoglobine < 120 g/l: 1.55
  • Stade d’Ann Arbor > 2: 2.00
  • > 4 sites ganglionnaires atteints: 1.39
111
Q

Indice pronostique international (FLIPI) pour les lymphomes B folliculaires
- Hb

A
  • Âge ≥ 60 ans: 2.38
  • LDH > limite normale supérieure: 1.50
  • Taux d’hémoglobine < 120 g/l: 1.55
  • Stade d’Ann Arbor > 2: 2.00
  • > 4 sites ganglionnaires atteints: 1.39
112
Q

Indice pronostique international (FLIPI) pour les lymphomes B folliculaires
- Ann Arbor

A
  • Âge ≥ 60 ans: 2.38
  • LDH > limite normale supérieure: 1.50
  • Taux d’hémoglobine < 120 g/l: 1.55
  • Stade d’Ann Arbor > 2: 2.00
  • > 4 sites ganglionnaires atteints: 1.39
113
Q

Indice pronostique international (FLIPI) pour les lymphomes B folliculaires
- sites extra-ganglionnaires

A
  • Âge ≥ 60 ans: 2.38
  • LDH > limite normale supérieure: 1.50
  • Taux d’hémoglobine < 120 g/l: 1.55
  • Stade d’Ann Arbor > 2: 2.00
  • > 4 sites ganglionnaires atteints: 1.39
114
Q

Indice pronostique international (FLIPI) pour les lymphomes B folliculaires
- risque selon nb de FDR

A
  • Faible: 0 ou 1
  • Moyen: 2
  • Élevé: ≥ 3
115
Q

SURVIE DES LYMPHOMES - B FOLLICULAIRES SELON LE FLIPI

A
116
Q

Lymphome NH vs H: Fréquence

A
  • Hodgkin: Plus rare (2,7/100,000/an)
  • Non Hodgkin: Plus fréquent (19,1/100,000/an)
117
Q

Lymphome NH vs H: Âge du patient

A
  • Hodgkin: Patients jeunes (20 – 35 ans)
  • Non Hodgkin: Patients âgés (> 60 ans)
118
Q

Lymphome NH vs H: Cellule tumorale

A
  • Hodgkin: Reed – Sternberg ou Hodgkinienne
  • Non Hodgkin: Lymphocyte ou lymphoblaste
119
Q

Lymphome NH vs H: Biopsie nécessaire?

A
  • Hodgkin: Biopsie nécessaire au diagnostic
  • Non Hodgkin: Biopsie nécessaire au diagnostic
120
Q

Lymphome NH vs H: Nombre de variétés histologiques

A
  • Hodgkin: 5 variétés histologiques
  • Non Hodgkin: > 25 variétés histologiques
121
Q

Lymphome NH vs H: Origine

A
  • Hodgkin: Classique - d’origine lymphocytaire B
  • Non Hodgkin: Origine lymphocytaire B (80%), T (20%)
122
Q

Lymphome NH vs H: Facteurs du pronostic

A
  • Hodgkin:
    • Plus important : Ann Arbor
    • Moins important : histologie
  • Non Hodgkin:
    • Plus important : histologie
    • Moins important : stade d’Ann Arbor
123
Q

Lymphome NH vs H: Facteurs du pronostic
- Hodgkin: plus important vs moins important

A
  • Hodgkin:
    • Plus important : Ann Arbor
    • Moins important : histologie
  • Non Hodgkin:
    • Plus important : histologie
    • Moins important : stade d’Ann Arbor
124
Q

Lymphome NH vs H: Facteurs du pronostic
- LNH: plus important et moins important

A
  • Hodgkin:
    • Plus important : Ann Arbor
    • Moins important : histologie
  • Non Hodgkin:
    • Plus important : histologie
    • Moins important : stade d’Ann Arbor
125
Q

Lymphome NH vs H: Envahissement moelle osseuse

A
  • Hodgkin: Moelle osseuse rarement envahie
  • Non Hodgkin: Moelle osseuse souvent envahie
126
Q

Lymphome NH vs H: Atteinte extraganglionnaire

A
  • Hodgkin: Rarement extraganglionnaire
  • Non Hodgkin: Souvent extraganglionnaire
127
Q

Lymphome NH vs H: Expression leucémique?

A
  • Hodgkin: Jamais d’expression leucémique
  • Non Hodgkin: Expression leucémique parfois
128
Q

Lymphome NH vs H: Curable

A
  • Hodgkin: Curabilité élevée (75 – 95%) (0 – 75%)
  • Non Hodgkin: Curabilité variable et paradoxale
129
Q

Lymphome NH vs H: Traitement

A
  • Hodgkin:
    • Polychimiothérapie
    • Radiothérapie
    • Autogreffe de cellulessouches
  • Non Hodgkin:
    • Observation
    • Monochimiothérapie
    • Polychimiothérapie
    • Immunothérapie
    • Radiothérapie
    • Autogreffe de cellules-souches
    • Allogreffe de cellules souches
130
Q

Lymphome NH vs H: Traitement
- Hodgkin

A
  • Hodgkin:
    • Polychimiothérapie
    • Radiothérapie
    • Autogreffe de cellules souches
  • Non Hodgkin:
    • Observation
    • Monochimiothérapie
    • Polychimiothérapie
    • Immunothérapie
    • Radiothérapie
    • Autogreffe de cellules-souches
    • Allogreffe de cellules souches
131
Q

Lymphome NH vs H: Traitement
- LNH

A
  • Hodgkin:
    • Polychimiothérapie
    • Radiothérapie
    • Autogreffe de cellulessouches
  • Non Hodgkin:
    • Observation
    • Monochimiothérapie
    • Polychimiothérapie
    • Immunothérapie
    • Radiothérapie
    • Autogreffe de cellules-souches
    • Allogreffe de cellules souches
132
Q

Décrivez les principaux éléments du système d’Ann Arbor utilisés pour classifier l’extension anatomique des lymphomes.

A
  • Le système d’Ann Arbor comporte 4 stades d’extension :
    • une seule région ganglionnaire (Stade I)
    • deux régions ou plus, d’un même côté du diaphragme (Stade II)
    • deux régions ou plus, des deux côtés du diaphragme (Stade III)
    • atteinte extra-lymphatique non isolée et non-contiguë (Stade IV)
      • suffixe A ou B selon présence ou absence de symptômes systémiques
      • suffixe X si masses de > 10cm
133
Q

Décrivez les principaux éléments du système d’Ann Arbor utilisés pour classifier l’extension anatomique des lymphomes.
- décrire: stade 1

A
  • Le système d’Ann Arbor comporte 4 stades d’extension :
    • une seule région ganglionnaire (Stade I)
    • deux régions ou plus, d’un même côté du diaphragme (Stade II)
    • deux régions ou plus, des deux côtés du diaphragme (Stade III)
    • atteinte extra-lymphatique non isolée et non-contiguë (Stade IV)
      • suffixe A ou B selon présence ou absence de symptômes systémiques
      • suffixe X si masses de > 10cm
134
Q

Décrivez les principaux éléments du système d’Ann Arbor utilisés pour classifier l’extension anatomique des lymphomes.
- décrire: stade 2

A
  • Le système d’Ann Arbor comporte 4 stades d’extension :
    • une seule région ganglionnaire (Stade I)
    • deux régions ou plus, d’un même côté du diaphragme (Stade II)
    • deux régions ou plus, des deux côtés du diaphragme (Stade III)
    • atteinte extra-lymphatique non isolée et non-contiguë (Stade IV)
      • suffixe A ou B selon présence ou absence de symptômes systémiques
      • suffixe X si masses de > 10cm
135
Q

Décrivez les principaux éléments du système d’Ann Arbor utilisés pour classifier l’extension anatomique des lymphomes.
- décrire: stade 3

A
  • Le système d’Ann Arbor comporte 4 stades d’extension :
    • une seule région ganglionnaire (Stade I)
    • deux régions ou plus, d’un même côté du diaphragme (Stade II)
    • deux régions ou plus, des deux côtés du diaphragme (Stade III)
    • atteinte extra-lymphatique non isolée et non-contiguë (Stade IV)
      • suffixe A ou B selon présence ou absence de symptômes systémiques
      • suffixe X si masses de > 10cm
136
Q

Décrivez les principaux éléments du système d’Ann Arbor utilisés pour classifier l’extension anatomique des lymphomes.
- décrire: stade 4

A
  • Le système d’Ann Arbor comporte 4 stades d’extension :
    • une seule région ganglionnaire (Stade I)
    • deux régions ou plus, d’un même côté du diaphragme (Stade II)
    • deux régions ou plus, des deux côtés du diaphragme (Stade III)
    • atteinte extra-lymphatique non isolée et non-contiguë (Stade IV)
      • suffixe A ou B selon présence ou absence de symptômes systémiques
      • suffixe X si masses de > 10cm
137
Q

Décrivez les principaux éléments du système d’Ann Arbor utilisés pour classifier l’extension anatomique des lymphomes.
- décrire: suffixe

A
  • Le système d’Ann Arbor comporte 4 stades d’extension :
    • une seule région ganglionnaire (Stade I)
    • deux régions ou plus, d’un même côté du diaphragme (Stade II)
    • deux régions ou plus, des deux côtés du diaphragme (Stade III)
    • atteinte extra-lymphatique non isolée et non-contiguë (Stade IV)
    • + suffixe A ou B selon présence ou absence de symptômes systémiques
    • + suffixe X si masses de > 10cm
138
Q

Quels sont les trois symptômes d’atteinte systémique permettant d’apposer le suffixe « B » au stade d’Ann Arbor ? Combien en faut-il pour qu’un patient soit dit « B »?

A
  • Fièvre documentée et autrement inexpliquée; perte de > de 10% du poids habituel depuis 6 mois sans explication autre; sudation nocturne abondante.
  • Un seul symptôme suffit pour le suffixe « B »
139
Q

Quelle est la cellule néoplasique pathognomonique nécessaire à l’établissement du diagnostic d’un lymphome hodgkinien ?

A
  • La cellule de Reed-Sternberg ou variante mononucléée dite cellule hodgkinienne.
140
Q

Donnez la classification histologique actuellement reconnue de la maladie de Hodgkin. Faire quelques commentaires sur la valeur pronostique de cette classification.

A

Forme prédominance lymphocytaire Forme classique

  • Riche en lymphocytes
  • Sclérose nodulaire
  • Cellularité mixte
  • Déplétion lymphocytaire
  • Généralement, plus il y a de cellules néoplasiques (RS ou hodgkiniennes), pire sera le pronostic de la maladie… et vice-versa.
141
Q

Quels sont les 2 variantes histologiques les plus fréquemment observées de lymphomes non hodgkiniens ?

A
  • Lymphome folliculaire B (22%) et lymphome B diffus à grandes cellules (31%).
142
Q

Quels sont les principaux paramètres utilisés pour la classification histopathologique des lymphomes non hodgkiniens selon l’OMS ?

A
  • La morphologie, le phénotype immun (immunohistochimie), la cytogénétique et la présence de marqueurs particuliers.
143
Q

V ou F? L’envahissement de la moelle osseuse est très rare dans les lymphomes non hodgkiniens.

A
  • FAUX.
  • La moelle est souvent envahie dans les lymphomes non hodgkiniens, même et particulièrement dans les formes indolentes et peu symptomatiques.
144
Q

V ou F? Le type histologique a une plus grande valeur pronostique dans les lymphomes non hodgkiniens qu’hodgkiniens.

A
  • VRAI.
145
Q

V ou F? Un lymphome non hodgkinien a plus de chances de survenir chez un patient déjà traité pour maladie de Hodgkin que chez un individu normal.

A
  • VRAI.
  • Les lymphomes non hodgkiniens font partie des cancers secondaires observés comme conséquence à long terme du traitement de la maladie de Hodgkin.
146
Q

V ou F? Il est possible d’observer un envahissement sanguin de type leucémique au cours de l’évolution d’un lymphome hodgkinien.

A
  • FAUX.
  • Il n’y a pas d’expression leucémique connue de la maladie de Hodgkin, contrairement au cas des lymphomes non hodgkiniens qui peuvent se présenter de cette manière, soit d’emblée au moment du diagnostic, soit plus tard au cours de leur évolution.
147
Q

V ou F? Une atteinte d’un organe extra-lymphatique sans atteinte ganglionnaire ni splénique associée correspond à un stade IV de la classification d’Ann Arbor.

A
  • FAUX.
  • Lorsqu’il n’y a qu’un seul organe extra-lymphatique atteint SANS atteinte ganglionnaire associée, on classifie comme stade I.
148
Q

V ou F? La radiothérapie occupe une place privilégiée dans le traitement des lymphomes.

A
  • FAUX.
  • La radiothérapie n’occupe maintenant qu’une place d’appoint dans le traitement des lymphomes, hodgkiniens ou non hodgkiniens.