Néoplasie d'origine myléoïde Flashcards
Leucémies myléoïdes: Rappel
- La leucémie aiguë myéloïde résulte d’une prolifération maligne des précurseurs des cellules d’origine myéloïde de la moelle osseuse, secondairement à des altérations génomiques de ces cellules.
- Cette prolifération s’accompagne du passage (parfois tardif) des cellules malignes dans le sang.
Leucémies myléoïdes: Rappel
- physiopatho
- La leucémie aiguë myéloïde résulte d’une prolifération maligne des précurseurs des cellules d’origine myéloïde de la moelle osseuse, secondairement à des altérations génomiques de ces cellules.
- Cette prolifération s’accompagne du passage (parfois tardif) des cellules malignes dans le sang.
Leucémies myléoïdes: Rappel
- passage de cellules malignes dans le sang
- La leucémie aiguë myéloïde résulte d’une prolifération maligne des précurseurs des cellules d’origine myéloïde de la moelle osseuse, secondairement à des altérations génomiques de ces cellules.
- Cette prolifération s’accompagne du passage (parfois tardif) des cellules malignes dans le sang.
Leucémies myléoïdes: Rappel
- cause leucémie
- La leucémie aiguë est une maladie de la différenciation et de la maturation de cellules hématopoïétiques.
- Ces cellules demeurent totalement ou partiellement immatures, ne pouvant se différencier totalement.
- Elles sont non fonctionnelles et ainsi ne peuvent défendre l’hôte contre les infections.
- Contrairement aux cellules qui se différencient normalement et qui cessent de se diviser, les cellules leucémiques bloquées à un stade immature peuvent souvent continuer à se multiplier sans contrôle.
- Il se produit donc une accumulation de cellules malignes.
- Cette accumulation de cellules leucémiques inhibe la prolifération de l’hématopoïèse normale.
Leucémies myléoïdes: Rappel
- conséquences
- La leucémie aiguë est une maladie de la différenciation et de la maturation de cellules hématopoïétiques.
- Ces cellules demeurent totalement ou partiellement immatures, ne pouvant se différencier totalement.
- Elles sont non fonctionnelles et ainsi ne peuvent défendre l’hôte contre les infections.
- Contrairement aux cellules qui se différencient normalement et qui cessent de se diviser, les cellules leucémiques bloquées à un stade immature peuvent souvent continuer à se multiplier sans contrôle.
- Il se produit donc une accumulation de cellules malignes.
- Cette accumulation de cellules leucémiques inhibe la prolifération de l’hématopoïèse normale.
Leucémies myléoïdes: Rappel
- accumulation
- La leucémie aiguë est une maladie de la différenciation et de la maturation de cellules hématopoïétiques.
- Ces cellules demeurent totalement ou partiellement immatures, ne pouvant se différencier totalement.
- Elles sont non fonctionnelles et ainsi ne peuvent défendre l’hôte contre les infections.
- Contrairement aux cellules qui se différencient normalement et qui cessent de se diviser, les cellules leucémiques bloquées à un stade immature peuvent souvent continuer à se multiplier sans contrôle.
- Il se produit donc une accumulation de cellules malignes.
- Cette accumulation de cellules leucémiques inhibe la prolifération de l’hématopoïèse normale.
Leucémies myléoïdes: Étiologie
- Des virus, les radiations ionisantes, le benzène, et autres cancérigènes qui entraînent des anomalies génétiques sont mis en cause (aussi vrai pour tous les types de néoplasies).
Variétés de leucémies aiguës
- On distinguera les deux grandes classes de leucémies aiguës selon l’origine cellulaire soit : lymphoïde (leucémie aiguë lymphoblastique ou LAL : ou myéloïde (leucémie myéloblastique aiguë, LAM). Le degré de différenciation des cellules leucémiques en morphologie sera parfois utile pour déterminer les sous-catégories de la LAM.
- La classification FAB (French-American-British) est une ancienne classification morphologique basée sur le degré de différenciation des cellules leucémiques.
- On y retrouve 8 sous-types soit de M0 à M7 (tableau 7.1). Cette classification des LAM a longtemps été la principale utilisée mais a été remplacée par la classification de l’OMS
Variétés de leucémies aiguës: Grandes classes
- On distinguera les deux grandes classes de leucémies aiguës selon l’origine cellulaire soit : lymphoïde (leucémie aiguë lymphoblastique ou LAL : ou myéloïde (leucémie myéloblastique aiguë, LAM).
- Le degré de différenciation des cellules leucémiques en morphologie sera parfois utile pour déterminer les sous-catégories de la LAM.
- La classification FAB (French-American-British) est une ancienne classification morphologique basée sur le degré de différenciation des cellules leucémiques.
- On y retrouve 8 sous-types soit de M0 à M7 (tableau 7.1). Cette classification des LAM a longtemps été la principale utilisée mais a été remplacée par la classification de l’OMS
Variétés de leucémies aiguës: utilité du degré de différenciation
- On distinguera les deux grandes classes de leucémies aiguës selon l’origine cellulaire soit : lymphoïde (leucémie aiguë lymphoblastique ou LAL : ou myéloïde (leucémie myéloblastique aiguë, LAM).
- Le degré de différenciation des cellules leucémiques en morphologie sera parfois utile pour déterminer les sous-catégories de la LAM.
- La classification FAB (French-American-British) est une ancienne classification morphologique basée sur le degré de différenciation des cellules leucémiques.
- On y retrouve 8 sous-types soit de M0 à M7 (tableau 7.1). Cette classification des LAM a longtemps été la principale utilisée mais a été remplacée par la classification de l’OMS
Variétés de leucémies aiguës: classification FAB
- On distinguera les deux grandes classes de leucémies aiguës selon l’origine cellulaire soit : lymphoïde (leucémie aiguë lymphoblastique ou LAL : ou myéloïde (leucémie myéloblastique aiguë, LAM).
- Le degré de différenciation des cellules leucémiques en morphologie sera parfois utile pour déterminer les sous-catégories de la LAM.
- La classification FAB (French-American-British) est une ancienne classification morphologique basée sur le degré de différenciation des cellules leucémiques.
- On y retrouve 8 sous-types soit de M0 à M7 (tableau 7.1). Cette classification des LAM a longtemps été la principale utilisée mais a été remplacée par la classification de l’OMS
Variétés de leucémies aiguës: sous-types
- On distinguera les deux grandes classes de leucémies aiguës selon l’origine cellulaire soit : lymphoïde (leucémie aiguë lymphoblastique ou LAL : ou myéloïde (leucémie myéloblastique aiguë, LAM).
- Le degré de différenciation des cellules leucémiques en morphologie sera parfois utile pour déterminer les sous-catégories de la LAM.
- La classification FAB (French-American-British) est une ancienne classification morphologique basée sur le degré de différenciation des cellules leucémiques.
- On y retrouve 8 sous-types soit de M0 à M7 (tableau 7.1).
- Cette classification des LAM a longtemps été la principale utilisée mais a été remplacée par la classification de l’OMS
Variétés de leucémies aiguës: Complexité
- On y retrouve 8 sous-types soit de M0 à M7 (tableau 7.1). Cette classification des LAM a longtemps été la principale utilisée mais a été remplacée par la classification de l’OMS.
- Cette dernière est plus complexe puisqu’elle se base sur de nombreux critères incluant les anomalies cytogénétiques et moléculaires.
- Elle a son importance puisqu’elle permet d’adapter le traitement aux des sous-types.
Variétés de leucémies aiguës: Importance de la classification M0-M7 / FAB
- On y retrouve 8 sous-types soit de M0 à M7 (tableau 7.1). Cette classification des LAM a longtemps été la principale utilisée mais a été remplacée par la classification de l’OMS.
- Cette dernière est plus complexe puisqu’elle se base sur de nombreux critères incluant les anomalies cytogénétiques et moléculaires.
- Elle a son importance puisqu’elle permet d’adapter le traitement aux des sous-types.
Variétés de leucémies aiguës: Entités reconnues par OMS
Les entités de cette famille, officiellement reconnues par l’OMS, sont :
- LAM avec anomalies génétiques récurrentes (20-30%)
- LAM avec changements liés à la myélodysplasie.
- LAM liée au traitement
- LAM non classée ailleurs (NOS)
- Le sarcome myéloïde
- La prolifération myéloïde liée au syndrome de Down
La LAM avec anomalies génétiques récurrentes
- Plusieurs anomalies génétiques ont démontré leur importance pronostique ayant justifié la création d’une classe à part dans la classification de l’OMS.
- Les anomalies à bon pronostic sont :
- t(8 :21)
- inv(16)
- PML-RARA (leucémie promyélocytaire aigue (anciennement M3))
La LAM avec anomalies génétiques récurrentes: utilité
- Plusieurs anomalies génétiques ont démontré leur importance pronostique ayant justifié la création d’une classe à part dans la classification de l’OMS.
- Les anomalies à bon pronostic sont :
- t(8 :21)
- inv(16)
- PML-RARA (leucémie promyélocytaire aigue (anciennement M3))
La LAM avec anomalies génétiques récurrentes: Anomalies à bon pronostic
- Plusieurs anomalies génétiques ont démontré leur importance pronostique ayant justifié la création d’une classe à part dans la classification de l’OMS.
-
Les anomalies à bon pronostic sont :
- t(8 :21)
- inv(16)
- PML-RARA (leucémie promyélocytaire aigue (anciennement M3))
La LAM avec anomalies génétiques récurrentes: indication chimiotx
- Celles qui confèrent un pronostic intermédiaire ou pauvre influenceront le traitement de consolidation (voir section 1.7).
- Une thérapie plus intensive que la chimiothérapie seule sera favorisée dans ces situations.
La LAM avec changements liés à la myélodysplasie: c’est quoi?
-
Elle correspond à la définition d’une LAM (20% de blastes minimalement) sans histoire de chimiothérapie antérieure et doit correspondre à au moins un des critères suivants associés à la myélodysplasie :
- Myélodysplasie documentée auparavant.
- Changements cytogénétiques associés à la myélodysplasie.
- Dysplasie chez minimalement 50% des cellules d’au moins 2 lignées hématopoïétiques en morphologie.
La LAM avec changements liés à la myélodysplasie: critères
- Elle correspond à la définition d’une LAM (20% de blastes minimalement) sans histoire de chimiothérapie antérieure et doit correspondre à au moins un des critères suivants associés à la myélodysplasie :
- Myélodysplasie documentée auparavant.
- Changements cytogénétiques associés à la myélodysplasie.
- Dysplasie chez minimalement 50% des cellules d’au moins 2 lignées hématopoïétiques en morphologie.
La LAM secondaire au traitement
- Chez un patient ayant reçu un traitement cytotoxique comme de la chimiothérapie dans le passé.
La LAM secondaire au traitement: Cause
- Chez un patient ayant reçu un traitement cytotoxique comme de la chimiothérapie dans le passé.
La LAM non classée ailleurs (NOS)
- Lorsqu’on ne réussit pas à classer la LAM dans une des catégories ci-décrites, on se fie à l’aspect morphologique des cellules ayant inspiré l’ancienne classification FAB.
- Ces distinctions morphologiques n’ont pas de valeur pronostique (Tableau 7-1):
- M0 : LAM avec différentiation minime
- M1 : LAM sans maturation
- M2 : LAM avec maturation
- M4 : Leucémie myélomonocytaire aigue
- M5 : Leucémie monoblastique et monocytaire aigue
- M6 : Leucémie érythroïde pur
- M7 : Leucémie mégakaryoblastique aigue
La LAM non classée ailleurs (NOS): utilisée dans quel contexte?
- Lorsqu’on ne réussit pas à classer la LAM dans une des catégories ci-décrites, on se fie à l’aspect morphologique des cellules ayant inspiré l’ancienne classification FAB.
- Ces distinctions morphologiques n’ont pas de valeur pronostique (Tableau 7-1):
- M0 : LAM avec différentiation minime
- M1 : LAM sans maturation
- M2 : LAM avec maturation
- M4 : Leucémie myélomonocytaire aigue
- M5 : Leucémie monoblastique et monocytaire aigue
- M6 : Leucémie érythroïde pur
- M7 : Leucémie mégakaryoblastique aigue
La LAM non classée ailleurs (NOS): utilité
- Lorsqu’on ne réussit pas à classer la LAM dans une des catégories ci-décrites, on se fie à l’aspect morphologique des cellules ayant inspiré l’ancienne classification FAB.
-
Ces distinctions morphologiques n’ont pas de valeur pronostique (Tableau 7-1):
- M0 : LAM avec différentiation minime
- M1 : LAM sans maturation
- M2 : LAM avec maturation
- M4 : Leucémie myélomonocytaire aigue
- M5 : Leucémie monoblastique et monocytaire aigue
- M6 : Leucémie érythroïde pur
- M7 : Leucémie mégakaryoblastique aigue
La LAM non classée ailleurs (NOS): valeur pronostique
- Lorsqu’on ne réussit pas à classer la LAM dans une des catégories ci-décrites, on se fie à l’aspect morphologique des cellules ayant inspiré l’ancienne classification FAB.
-
Ces distinctions morphologiques n’ont pas de valeur pronostique (Tableau 7-1):
- M0 : LAM avec différentiation minime
- M1 : LAM sans maturation
- M2 : LAM avec maturation
- M4 : Leucémie myélomonocytaire aigue
- M5 : Leucémie monoblastique et monocytaire aigue
- M6 : Leucémie érythroïde pur
- M7 : Leucémie mégakaryoblastique aigue
La LAM non classée ailleurs (NOS): Nommez les différentes classes
- Lorsqu’on ne réussit pas à classer la LAM dans une des catégories ci-décrites, on se fie à l’aspect morphologique des cellules ayant inspiré l’ancienne classification FAB.
- Ces distinctions morphologiques n’ont pas de valeur pronostique (Tableau 7-1):
- M0 : LAM avec différentiation minime
- M1 : LAM sans maturation
- M2 : LAM avec maturation
- M4 : Leucémie myélomonocytaire aigue
- M5 : Leucémie monoblastique et monocytaire aigue
- M6 : Leucémie érythroïde pur
- M7 : Leucémie mégakaryoblastique aigue
Leucémies aiguës myéloïdes vs lymphoïdes: Incidence
- Chez l’adulte, 0 % des leucémies aiguës sont des LAM (vs 20 % de LAL) alors que chez l’enfant l’incidence de LAL est de 80 % contre 20 % de LAM.
- Chez les enfants de moins de 5 ans, la leucémie aiguë constitue 40 % des cancers avec une fréquence de 6 pour 100 000.
- Chez les adultes de plus de 30 ans, elle ne constitue que 2 % des cancers avec une fréquence de 1 à 2 pour 100 000.
- Chez les jeunes de moins de 20 ans, c’est la leucémie aiguë lymphoïde qu’on rencontre surtout.
- Chez les adultes de plus de 20 ans, la leucémie aiguë myéloïde (non lymphoblastique) est la plus fréquente.
Leucémies aiguës myéloïdes vs lymphoïdes: Incidence
- en général
- Chez l’adulte, 0 % des leucémies aiguës sont des LAM (vs 20 % de LAL) alors que chez l’enfant l’incidence de LAL est de 80 % contre 20 % de LAM.
- Chez les enfants de moins de 5 ans, la leucémie aiguë constitue 40 % des cancers avec une fréquence de 6 pour 100 000.
- Chez les adultes de plus de 30 ans, elle ne constitue que 2 % des cancers avec une fréquence de 1 à 2 pour 100 000.
- Chez les jeunes de moins de 20 ans, c’est la leucémie aiguë lymphoïde qu’on rencontre surtout.
- Chez les adultes de plus de 20 ans, la leucémie aiguë myéloïde (non lymphoblastique) est la plus fréquente.
Leucémies aiguës myéloïdes vs lymphoïdes: Incidence
- chez les moins de 5 ans
- Chez l’adulte, 0 % des leucémies aiguës sont des LAM (vs 20 % de LAL) alors que chez l’enfant l’incidence de LAL est de 80 % contre 20 % de LAM.
- Chez les enfants de moins de 5 ans, la leucémie aiguë constitue 40 % des cancers avec une fréquence de 6 pour 100 000.
- Chez les adultes de plus de 30 ans, elle ne constitue que 2 % des cancers avec une fréquence de 1 à 2 pour 100 000.
- Chez les jeunes de moins de 20 ans, c’est la leucémie aiguë lymphoïde qu’on rencontre surtout.
- Chez les adultes de plus de 20 ans, la leucémie aiguë myéloïde (non lymphoblastique) est la plus fréquente.
Leucémies aiguës myéloïdes vs lymphoïdes: Incidence
- chez les plus de 30 ans
- Chez l’adulte, 0 % des leucémies aiguës sont des LAM (vs 20 % de LAL) alors que chez l’enfant l’incidence de LAL est de 80 % contre 20 % de LAM.
- Chez les enfants de moins de 5 ans, la leucémie aiguë constitue 40 % des cancers avec une fréquence de 6 pour 100 000.
- Chez les adultes de plus de 30 ans, elle ne constitue que 2 % des cancers avec une fréquence de 1 à 2 pour 100 000.
- Chez les jeunes de moins de 20 ans, c’est la leucémie aiguë lymphoïde qu’on rencontre surtout.
- Chez les adultes de plus de 20 ans, la leucémie aiguë myéloïde (non lymphoblastique) est la plus fréquente.
Leucémies aiguës myéloïdes vs lymphoïdes: Incidence
- chez les moins de 20 ans
- Chez l’adulte, 0 % des leucémies aiguës sont des LAM (vs 20 % de LAL) alors que chez l’enfant l’incidence de LAL est de 80 % contre 20 % de LAM.
- Chez les enfants de moins de 5 ans, la leucémie aiguë constitue 40 % des cancers avec une fréquence de 6 pour 100 000.
- Chez les adultes de plus de 30 ans, elle ne constitue que 2 % des cancers avec une fréquence de 1 à 2 pour 100 000.
- Chez les jeunes de moins de 20 ans, c’est la leucémie aiguë lymphoïde qu’on rencontre surtout.
- Chez les adultes de plus de 20 ans, la leucémie aiguë myéloïde (non lymphoblastique) est la plus fréquente.
Leucémies aiguës myéloïdes vs lymphoïdes: Incidence
- chez les plus de 20 ans
- Chez l’adulte, 0 % des leucémies aiguës sont des LAM (vs 20 % de LAL) alors que chez l’enfant l’incidence de LAL est de 80 % contre 20 % de LAM.
- Chez les enfants de moins de 5 ans, la leucémie aiguë constitue 40 % des cancers avec une fréquence de 6 pour 100 000.
- Chez les adultes de plus de 30 ans, elle ne constitue que 2 % des cancers avec une fréquence de 1 à 2 pour 100 000.
- Chez les jeunes de moins de 20 ans, c’est la leucémie aiguë lymphoïde qu’on rencontre surtout.
- Chez les adultes de plus de 20 ans, la leucémie aiguë myéloïde (non lymphoblastique) est la plus fréquente.
Néoplasie myléoïde: Types de causes de symptômes
- Insuffisance médullaire
- Prolifération des cellules maligns
Néoplasie myléoïde: Symptômes secondaires à l’insuffisance médullaire
- Anémie
- Thrombopénie
- Neutropénie
Néoplasie myléoïde: Insuf méduallaire
- c’est quoi?
- Insuffisance médullaire : les symptômes sont consécutifs au manque de cellules normales
Néoplasie myléoïde: Insuf méduallaire
- symptômes de: anémie
- fatigue
- pâleur
- palpitations
Néoplasie myléoïde: Insuf méduallaire
- symptômes de: thrombopénie
- hémorragie cutanéo-muqueuse surtout (purpura, épistaxis)
- hémorragie digestive : très fréquente
- hémorragies neuro-méningées : fréquentes, sous- durales, sous-arachnoïdiennes et parfois intracérébrales.
Néoplasie myléoïde: Insuf méduallaire
- symptômes de: thrombopénie - hémorragie cutanéo-muqueuse
- hémorragie cutanéo-muqueuse surtout (purpura, épistaxis)
- hémorragie digestive : très fréquente
- hémorragies neuro-méningées : fréquentes, sous- durales, sous-arachnoïdiennes et parfois intracérébrales.
Néoplasie myléoïde: Insuf méduallaire
- symptômes de: thrombopénie - hémorragie digestive
- hémorragie cutanéo-muqueuse surtout (purpura, épistaxis)
- hémorragie digestive : très fréquente
- hémorragies neuro-méningées : fréquentes, sous- durales, sous-arachnoïdiennes et parfois intracérébrales.
Néoplasie myléoïde: Insuf méduallaire
- symptômes de: thrombopénie - hémorragies neuro-méningées
- hémorragie cutanéo-muqueuse surtout (purpura, épistaxis)
- hémorragie digestive : très fréquente
- hémorragies neuro-méningées : fréquentes, sous- durales, sous-arachnoïdiennes et parfois intracérébrales.
Néoplasie myléoïde: Insuf méduallaire
- symptômes de: neutropénie
- fièvre, infections diverses
- bactéries : gram - (souvent bactériémies endogènes dont la porte d’entrée peut être des ulcérations buccales ou gastro-intestinales). E. coli, pseudomonas, klebsiella, etc.
- mycoses : candidose buccale et systémique, aspergillose pulmonaire …
- virus : souvent durant la rémission : herpès, zona, varicelle, hépatite, cytomégalovirus
- parasites : pneumocystis jirovecii, toxoplasmose
Néoplasie myléoïde: Insuf méduallaire
- symptômes de: neutropénie - sx généraux
- fièvre, infections diverses
- bactéries : gram - (souvent bactériémies endogènes dont la porte d’entrée peut être des ulcérations buccales ou gastro-intestinales). E. coli, pseudomonas, klebsiella, etc.
- mycoses : candidose buccale et systémique, aspergillose pulmonaire …
- virus : souvent durant la rémission : herpès, zona, varicelle, hépatite, cytomégalovirus
- parasites : pneumocystis jirovecii, toxoplasmose
Néoplasie myléoïde: Insuf méduallaire
- symptômes de: neutropénie - nommez les bactéries
- fièvre, infections diverses
- bactéries : gram - (souvent bactériémies endogènes dont la porte d’entrée peut être des ulcérations buccales ou gastro-intestinales). E. coli, pseudomonas, klebsiella, etc.
- mycoses : candidose buccale et systémique, aspergillose pulmonaire …
- virus : souvent durant la rémission : herpès, zona, varicelle, hépatite, cytomégalovirus
- parasites : pneumocystis jirovecii, toxoplasmose
Néoplasie myléoïde: Insuf méduallaire
- symptômes de: neutropénie - bactéries gram -:quelle est leur porte d’entrée?
- fièvre, infections diverses
- bactéries : gram - (souvent bactériémies endogènes dont la porte d’entrée peut être des ulcérations buccales ou gastro-intestinales). E. coli, pseudomonas, klebsiella, etc.
- mycoses : candidose buccale et systémique, aspergillose pulmonaire …
- virus : souvent durant la rémission : herpès, zona, varicelle, hépatite, cytomégalovirus
- parasites : pneumocystis jirovecii, toxoplasmose
Néoplasie myléoïde: Insuf méduallaire
- symptômes de: neutropénie - nommez les mycoses
- fièvre, infections diverses
- bactéries : gram - (souvent bactériémies endogènes dont la porte d’entrée peut être des ulcérations buccales ou gastro-intestinales). E. coli, pseudomonas, klebsiella, etc.
- mycoses : candidose buccale et systémique, aspergillose pulmonaire …
- virus : souvent durant la rémission : herpès, zona, varicelle, hépatite, cytomégalovirus
- parasites : pneumocystis jirovecii, toxoplasmose
Néoplasie myléoïde: Insuf méduallaire
- symptômes de: neutropénie - nommez les virus
- fièvre, infections diverses
- bactéries : gram - (souvent bactériémies endogènes dont la porte d’entrée peut être des ulcérations buccales ou gastro-intestinales). E. coli, pseudomonas, klebsiella, etc.
- mycoses : candidose buccale et systémique, aspergillose pulmonaire …
- virus : souvent durant la rémission : herpès, zona, varicelle, hépatite, cytomégalovirus
- parasites : pneumocystis jirovecii, toxoplasmose
Néoplasie myléoïde: Insuf méduallaire
- symptômes de: neutropénie - nommez les parasites
- fièvre, infections diverses
- bactéries : gram - (souvent bactériémies endogènes dont la porte d’entrée peut être des ulcérations buccales ou gastro-intestinales). E. coli, pseudomonas, klebsiella, etc.
- mycoses : candidose buccale et systémique, aspergillose pulmonaire …
- virus : souvent durant la rémission : herpès, zona, varicelle, hépatite, cytomégalovirus
- parasites : pneumocystis jirovecii, toxoplasmose
Néoplasie myléoïde: Prolif cellules malignes
- nommez les différents sx
- Syndrome tumoral
- Douleurs osseuse
- Infiltration méningée
Néoplasie myléoïde: Prolif cellules malignes
- syndrome tumoral
- Infiltration de la peau et des gencives, rencontrées surtout dans les variantes myélo-monocytaire (M4) ou monoblastique (M5)
Néoplasie myléoïde: Prolif cellules malignes
- syndrome tumoral: touche quoi?
- Infiltration de la peau et des gencives, rencontrées surtout dans les variantes myélo-monocytaire (M4) ou monoblastique (M5)
Néoplasie myléoïde: Prolif cellules malignes
- syndrome tumoral: dans quelles variantes?
- Infiltration de la peau et des gencives, rencontrées surtout dans les variantes myélo-monocytaire (M4) ou monoblastique (M5)
Néoplasie myléoïde: Prolif cellules malignes
- douleurs osseuses
Douleurs osseuses et arthralgies migratrices
Néoplasie myléoïde: Prolif cellules malignes
- douleurs osseuses: sx
Douleurs osseuses et arthralgies migratrices
Néoplasie myléoïde: Prolif cellules malignes
- infiltration méningée
- L’atteinte méningée se rencontre rarement dans les leucémies aiguës myéloïdes (variante M5 surtout).
- Le diagnostic se fait par ponction lombaire et démonstration de la présence de cellules leucémiques dans le liquide céphalo-rachidien.
Néoplasie myléoïde: Prolif cellules malignes
- infiltation méningée: se rencontre dans quelles variantes?
- L’atteinte méningée se rencontre rarement dans les leucémies aiguës myéloïdes (variante M5 surtout).
- Le diagnostic se fait par ponction lombaire et démonstration de la présence de cellules leucémiques dans le liquide céphalo-rachidien.
Néoplasie myléoïde: Prolif cellules malignes
- infiltation méningée: comment se fait le dx?
- L’atteinte méningée se rencontre rarement dans les leucémies aiguës myéloïdes (variante M5 surtout).
- Le diagnostic se fait par ponction lombaire et démonstration de la présence de cellules leucémiques dans le liquide céphalo-rachidien.
Néoplasie myléoïde: Biologie hématologique - mécanismes en jeu
- Elle est reliée à ces 2 mécanismes :
- prolifération maligne
- et insuffisance médullaire.
Néoplasie myléoïde: Biologie hématologique - sang
- Anémie - thrombopénie - leucocytose variable - avec cellules leucémiques (ces dernières sont parfois absentes du sang circulant).
- Lorsque les cellules leucémiques n’apparaissent pas dans le sang, on parle de leucémie «aleucémique».
- On peut aussi trouver des anomalies de la coagulation sanguine qui augmentent le risque hémorragique.
- Ceci s’observe surtout dans certaines formes de leucémies aiguës myéloïdes : les formes hyperleucocytaires, quelle que soit la variante, et surtout la leucémie aiguë promyélocytaire (M3) sont celles où ce syndrome est plus fréquent.
Néoplasie myléoïde: Biologie hématologique - sang: général
- Anémie - thrombopénie - leucocytose variable - avec cellules leucémiques (ces dernières sont parfois absentes du sang circulant).
- Lorsque les cellules leucémiques n’apparaissent pas dans le sang, on parle de leucémie «aleucémique».
- On peut aussi trouver des anomalies de la coagulation sanguine qui augmentent le risque hémorragique.
- Ceci s’observe surtout dans certaines formes de leucémies aiguës myéloïdes : les formes hyperleucocytaires, quelle que soit la variante, et surtout la leucémie aiguë promyélocytaire (M3) sont celles où ce syndrome est plus fréquent.
Néoplasie myléoïde: Biologie hématologique - sang: en cas de leucémie aleucémique
- Anémie - thrombopénie - leucocytose variable - avec cellules leucémiques (ces dernières sont parfois absentes du sang circulant).
- Lorsque les cellules leucémiques n’apparaissent pas dans le sang, on parle de leucémie «aleucémique».
- On peut aussi trouver des anomalies de la coagulation sanguine qui augmentent le risque hémorragique.
- Ceci s’observe surtout dans certaines formes de leucémies aiguës myéloïdes : les formes hyperleucocytaires, quelle que soit la variante, et surtout la leucémie aiguë promyélocytaire (M3) sont celles où ce syndrome est plus fréquent.
Néoplasie myléoïde: Biologie hématologique - sang: anomalies de la coagulation
- Anémie - thrombopénie - leucocytose variable - avec cellules leucémiques (ces dernières sont parfois absentes du sang circulant).
- Lorsque les cellules leucémiques n’apparaissent pas dans le sang, on parle de leucémie «aleucémique».
-
On peut aussi trouver des anomalies de la coagulation sanguine qui augmentent le risque hémorragique.
- Ceci s’observe surtout dans certaines formes de leucémies aiguës myéloïdes : les formes hyperleucocytaires, quelle que soit la variante, et surtout la leucémie aiguë promyélocytaire (M3) sont celles où ce syndrome est plus fréquent.
Néoplasie myléoïde: Biologie hématologique - sang: anomalies de la coag - se retrouve dans quel contexte?
- Anémie - thrombopénie - leucocytose variable - avec cellules leucémiques (ces dernières sont parfois absentes du sang circulant).
- Lorsque les cellules leucémiques n’apparaissent pas dans le sang, on parle de leucémie «aleucémique».
-
On peut aussi trouver des anomalies de la coagulation sanguine qui augmentent le risque hémorragique.
- Ceci s’observe surtout dans certaines formes de leucémies aiguës myéloïdes : les formes hyperleucocytaires, quelle que soit la variante, et surtout la leucémie aiguë promyélocytaire (M3) sont celles où ce syndrome est plus fréquent.
Néoplasie myléoïde: Biologie hématologique
- moelle osseuse
- Principal “tissu” envahi puisque les leucémies prennent leur origine de la moelle osseuse.
- C’est l’endroit essentiel pour poser le diagnostic de leucémie.
- La moelle est plus riche, mais les précurseurs immatures (cellules leucémiques ou blastes) sont en surnombre.
- Le tissu médullaire normal est plus ou moins remplacé par des « blastes » leucémiques.
- L’envahissement blastique doit être d’au moins 20% et peut atteindre jusqu’à 100 % dans certains cas.
Néoplasie myléoïde: Biologie hématologique
- moelle osseuse: son importance
- Principal “tissu” envahi puisque les leucémies prennent leur origine de la moelle osseuse.
- C’est l’endroit essentiel pour poser le diagnostic de leucémie.
- La moelle est plus riche, mais les précurseurs immatures (cellules leucémiques ou blastes) sont en surnombre.
- Le tissu médullaire normal est plus ou moins remplacé par des « blastes » leucémiques.
- L’envahissement blastique doit être d’au moins 20% et peut atteindre jusqu’à 100 % dans certains cas.
Néoplasie myléoïde: Biologie hématologique
- moelle osseuse: son utilité
- Principal “tissu” envahi puisque les leucémies prennent leur origine de la moelle osseuse.
- C’est l’endroit essentiel pour poser le diagnostic de leucémie.
- La moelle est plus riche, mais les précurseurs immatures (cellules leucémiques ou blastes) sont en surnombre.
- Le tissu médullaire normal est plus ou moins remplacé par des « blastes » leucémiques.
- L’envahissement blastique doit être d’au moins 20% et peut atteindre jusqu’à 100 % dans certains cas.
Néoplasie myléoïde: Biologie hématologique
- moelle osseuse: ce qu’on observe
- Principal “tissu” envahi puisque les leucémies prennent leur origine de la moelle osseuse.
- C’est l’endroit essentiel pour poser le diagnostic de leucémie.
- La moelle est plus riche, mais les précurseurs immatures (cellules leucémiques ou blastes) sont en surnombre.
-
Le tissu médullaire normal est plus ou moins remplacé par des « blastes » leucémiques.
- L’envahissement blastique doit être d’au moins 20% et peut atteindre jusqu’à 100 % dans certains cas.
Néoplasie myléoïde: Biologie hématologique
- moelle osseuse: % d’envahissement
- Principal “tissu” envahi puisque les leucémies prennent leur origine de la moelle osseuse.
- C’est l’endroit essentiel pour poser le diagnostic de leucémie.
- La moelle est plus riche, mais les précurseurs immatures (cellules leucémiques ou blastes) sont en surnombre.
-
Le tissu médullaire normal est plus ou moins remplacé par des « blastes » leucémiques.
- L’envahissement blastique doit être d’au moins 20% et peut atteindre jusqu’à 100 % dans certains cas.
Néoplasie myléoïde: Pronostic
- Le pronostic dépend de divers facteurs dont l’âge du patient, le sous-type de leucémie et la présence ou non d’une hyperleucocytose au moment du diagnostic.
- De plus en plus, l’identification d’anomalies cytogénétiques ou moléculaires spécifiques se révèle comme étant le facteur pronostique le plus important.
Néoplasie myléoïde: Pronostic
- dépend de quoi?
- Le pronostic dépend de divers facteurs dont l’âge du patient, le sous-type de leucémie et la présence ou non d’une hyperleucocytose au moment du diagnostic.
- De plus en plus, l’identification d’anomalies cytogénétiques ou moléculaires spécifiques se révèle comme étant le facteur pronostique le plus important.
Néoplasie myléoïde: Pronostic
- facteur pronostique le plus important
- Le pronostic dépend de divers facteurs dont l’âge du patient, le sous-type de leucémie et la présence ou non d’une hyperleucocytose au moment du diagnostic.
- De plus en plus, l’identification d’anomalies cytogénétiques ou moléculaires spécifiques se révèle comme étant le facteur pronostique le plus important.
Néoplasie myléoïde: Traitement
- Le principe de traitement est basé sur l’utilisation de chimiothérapies combinées, administrées séquentiellement (Figure 7-1).
- Un premier traitement d’induction visera à induire une rémission complète (apparente) avec entière disparition des cellules blastiques visibles dans la moelle osseuse et normalisation de la formule sanguine.
- Toutefois, même chez les patients qui obtiennent une rémission complète, de nombreuses cellules leucémiques demeurent (maladie résiduelle non détectable) et on devra avoir recours à des traitements de consolidation (1 à 4 selon l’état du patient) afin d’espérer obtenir une guérison réelle.
- De nombreux travaux de recherche sont continuellement en cours pour identifier les meilleurs traitements possibles.
Néoplasie myléoïde: Traitement
- principe de tx
- Le principe de traitement est basé sur l’utilisation de chimiothérapies combinées, administrées séquentiellement (Figure 7-1).
- Un premier traitement d’induction visera à induire une rémission complète (apparente) avec entière disparition des cellules blastiques visibles dans la moelle osseuse et normalisation de la formule sanguine.
- Toutefois, même chez les patients qui obtiennent une rémission complète, de nombreuses cellules leucémiques demeurent (maladie résiduelle non détectable) et on devra avoir recours à des traitements de consolidation (1 à 4 selon l’état du patient) afin d’espérer obtenir une guérison réelle.
- De nombreux travaux de recherche sont continuellement en cours pour identifier les meilleurs traitements possibles.
Néoplasie myléoïde: Traitement
- 1er traitement vise quoi?
- Le principe de traitement est basé sur l’utilisation de chimiothérapies combinées, administrées séquentiellement (Figure 7-1).
- Un premier traitement d’induction visera à induire une rémission complète (apparente) avec entière disparition des cellules blastiques visibles dans la moelle osseuse et normalisation de la formule sanguine.
- Toutefois, même chez les patients qui obtiennent une rémission complète, de nombreuses cellules leucémiques demeurent (maladie résiduelle non détectable) et on devra avoir recours à des traitements de consolidation (1 à 4 selon l’état du patient) afin d’espérer obtenir une guérison réelle.
- De nombreux travaux de recherche sont continuellement en cours pour identifier les meilleurs traitements possibles.
Néoplasie myléoïde: Traitement
- traitement de consolidation: pertinence
- Le principe de traitement est basé sur l’utilisation de chimiothérapies combinées, administrées séquentiellement (Figure 7-1).
- Un premier traitement d’induction visera à induire une rémission complète (apparente) avec entière disparition des cellules blastiques visibles dans la moelle osseuse et normalisation de la formule sanguine.
- Toutefois, même chez les patients qui obtiennent une rémission complète, de nombreuses cellules leucémiques demeurent (maladie résiduelle non détectable) et on devra avoir recours à des traitements de consolidation (1 à 4 selon l’état du patient) afin d’espérer obtenir une guérison réelle.
- De nombreux travaux de recherche sont continuellement en cours pour identifier les meilleurs traitements possibles.
Néoplasie myléoïde: Traitement
- fréquence rémission complète
- Une rémission complète est généralement obtenue dans environ 70% des cas.
- Les patients qui n’obtiennent pas de rémission complète initialement auront un pronostic sombre avec peu de chances de survie à long terme.
Néoplasie myléoïde: Traitement
- pronostic si pas de rémission complète initiale
- Une rémission complète est généralement obtenue dans environ 70% des cas.
- Les patients qui n’obtiennent pas de rémission complète initialement auront un pronostic sombre avec peu de chances de survie à long terme.
Néoplasie myléoïde: Traitement
- pronostic si rechute
- S’il y a rechute, les chances d’obtenir une seconde rémission complète à l’aide d’une nouvelle chimiothérapie d’induction demeurent assez bonnes, cependant les chances de survie à long terme sont très minces.
- On pourra envisager dans ces cas le recours à la transplantation allogénique de cellules souches hématopoïétiques.
- Les donneurs pour la greffe allogénique sont recrutés parmi les frères et sœurs.
- Il y a 30 % de chances de trouver un donneur compatible.
- Si aucun donneur n’est identifié dans la famille, on pourra avoir recours à un donneur non apparenté.
- À ce jour, le registre international comptait plus de 20 millions de donneurs potentiels.
- Depuis quelques années, lorsqu’aucun donneur n’est identifié, on peut parfois avoir recours à l’utilisation d’un greffon provenant du sang d’un cordon ombilical ou d’un greffon dit « haploidentique » (partageant un haplotype) d’un parent, enfant ou membre de la fratrie du patient.
Néoplasie myléoïde: Traitement
- pronostic si rechute: traitement
- S’il y a rechute, les chances d’obtenir une seconde rémission complète à l’aide d’une nouvelle chimiothérapie d’induction demeurent assez bonnes, cependant les chances de survie à long terme sont très minces.
- On pourra envisager dans ces cas le recours à la transplantation allogénique de cellules souches hématopoïétiques.
- Les donneurs pour la greffe allogénique sont recrutés parmi les frères et sœurs.
- Il y a 30 % de chances de trouver un donneur compatible.
- Si aucun donneur n’est identifié dans la famille, on pourra avoir recours à un donneur non apparenté.
- À ce jour, le registre international comptait plus de 20 millions de donneurs potentiels.
- Depuis quelques années, lorsqu’aucun donneur n’est identifié, on peut parfois avoir recours à l’utilisation d’un greffon provenant du sang d’un cordon ombilical ou d’un greffon dit « haploidentique » (partageant un haplotype) d’un parent, enfant ou membre de la fratrie du patient.
Néoplasie myléoïde: Traitement
- pronostic si rechute: qui sont les donneurs de l’allogreffe?
- S’il y a rechute, les chances d’obtenir une seconde rémission complète à l’aide d’une nouvelle chimiothérapie d’induction demeurent assez bonnes, cependant les chances de survie à long terme sont très minces.
- On pourra envisager dans ces cas le recours à la transplantation allogénique de cellules souches hématopoïétiques.
- Les donneurs pour la greffe allogénique sont recrutés parmi les frères et sœurs.
- Il y a 30 % de chances de trouver un donneur compatible.
- Si aucun donneur n’est identifié dans la famille, on pourra avoir recours à un donneur non apparenté.
- À ce jour, le registre international comptait plus de 20 millions de donneurs potentiels.
- Depuis quelques années, lorsqu’aucun donneur n’est identifié, on peut parfois avoir recours à l’utilisation d’un greffon provenant du sang d’un cordon ombilical ou d’un greffon dit « haploidentique » (partageant un haplotype) d’un parent, enfant ou membre de la fratrie du patient.
Néoplasie myléoïde: Traitement
- pronostic si rechute: chance de trouver donneur compatible
- S’il y a rechute, les chances d’obtenir une seconde rémission complète à l’aide d’une nouvelle chimiothérapie d’induction demeurent assez bonnes, cependant les chances de survie à long terme sont très minces.
- On pourra envisager dans ces cas le recours à la transplantation allogénique de cellules souches hématopoïétiques.
- Les donneurs pour la greffe allogénique sont recrutés parmi les frères et sœurs.
- Il y a 30 % de chances de trouver un donneur compatible.
- Si aucun donneur n’est identifié dans la famille, on pourra avoir recours à un donneur non apparenté.
- À ce jour, le registre international comptait plus de 20 millions de donneurs potentiels.
- Depuis quelques années, lorsqu’aucun donneur n’est identifié, on peut parfois avoir recours à l’utilisation d’un greffon provenant du sang d’un cordon ombilical ou d’un greffon dit « haploidentique » (partageant un haplotype) d’un parent, enfant ou membre de la fratrie du patient.
Néoplasie myléoïde: Traitement
- pronostic si rechute: quoi faire si ø donneur identifié dans la famille
- S’il y a rechute, les chances d’obtenir une seconde rémission complète à l’aide d’une nouvelle chimiothérapie d’induction demeurent assez bonnes, cependant les chances de survie à long terme sont très minces.
- On pourra envisager dans ces cas le recours à la transplantation allogénique de cellules souches hématopoïétiques.
- Les donneurs pour la greffe allogénique sont recrutés parmi les frères et sœurs.
- Il y a 30 % de chances de trouver un donneur compatible.
- Si aucun donneur n’est identifié dans la famille, on pourra avoir recours à un donneur non apparenté.
- À ce jour, le registre international comptait plus de 20 millions de donneurs potentiels.
- Depuis quelques années, lorsqu’aucun donneur n’est identifié, on peut parfois avoir recours à l’utilisation d’un greffon provenant du sang d’un cordon ombilical ou d’un greffon dit « haploidentique » (partageant un haplotype) d’un parent, enfant ou membre de la fratrie du patient.
Néoplasie myléoïde: Traitement
- pronostic si rechute: registre de donneurs
- S’il y a rechute, les chances d’obtenir une seconde rémission complète à l’aide d’une nouvelle chimiothérapie d’induction demeurent assez bonnes, cependant les chances de survie à long terme sont très minces.
- On pourra envisager dans ces cas le recours à la transplantation allogénique de cellules souches hématopoïétiques.
- Les donneurs pour la greffe allogénique sont recrutés parmi les frères et sœurs.
- Il y a 30 % de chances de trouver un donneur compatible.
- Si aucun donneur n’est identifié dans la famille, on pourra avoir recours à un donneur non apparenté.
- À ce jour, le registre international comptait plus de 20 millions de donneurs potentiels.
- Depuis quelques années, lorsqu’aucun donneur n’est identifié, on peut parfois avoir recours à l’utilisation d’un greffon provenant du sang d’un cordon ombilical ou d’un greffon dit « haploidentique » (partageant un haplotype) d’un parent, enfant ou membre de la fratrie du patient.
Néoplasie myléoïde: Traitement
- pronostic si rechute: quoi faire si pas donneur identifié?
- S’il y a rechute, les chances d’obtenir une seconde rémission complète à l’aide d’une nouvelle chimiothérapie d’induction demeurent assez bonnes, cependant les chances de survie à long terme sont très minces.
- On pourra envisager dans ces cas le recours à la transplantation allogénique de cellules souches hématopoïétiques.
- Les donneurs pour la greffe allogénique sont recrutés parmi les frères et sœurs.
- Il y a 30 % de chances de trouver un donneur compatible.
- Si aucun donneur n’est identifié dans la famille, on pourra avoir recours à un donneur non apparenté.
- À ce jour, le registre international comptait plus de 20 millions de donneurs potentiels.
- Depuis quelques années, lorsqu’aucun donneur n’est identifié, on peut parfois avoir recours à l’utilisation d’un greffon provenant du sang d’un cordon ombilical ou d’un greffon dit « haploidentique » (partageant un haplotype) d’un parent, enfant ou membre de la fratrie du patient.
Néoplasie myléoïde: Traitement
- à titre indicatif
- La Figure 7-2 vous donne, à titre indicatif, les courbes de survie, par tranches d’âge, de 927 patients suédois chez qui un diagnostic de leucémie aiguë myéloïde a été effectué entre 1997 et 1999.
Leucémie promyélocytaire aiguë: autre nom
anciennement M3
Leucémie promyélocytaire aiguë: Particularité
- se distingue sur quels éléments?
- La leucémie promyélocytaire aigue se distingue des autres types et sous-types de LAM par sa présentation clinique, son traitement et son pronostic.
Leucémie promyélocytaire aiguë: Particularité
- à la présentation clinique
- À la présentation, en plus de présenter les symptômes usuels de la LAM, on observe fréquemment une coagulopathie complexe incluant une coagulation intravasculaire disséminée (CIVD).
- Lorsque non-traitée, cette entité mènera rapidement au décès du patient en raison de saignements ou de la coagulopathie associée.
- Il s’agit d’une complication morbide puisque près de 20% des patients vont décéder avant même le début du traitement.
Leucémie promyélocytaire aiguë: Particularité
- à la présentation clinique: symptômes
- À la présentation, en plus de présenter les symptômes usuels de la LAM, on observe fréquemment une coagulopathie complexe incluant une coagulation intravasculaire disséminée (CIVD).
- Lorsque non-traitée, cette entité mènera rapidement au décès du patient en raison de saignements ou de la coagulopathie associée.
- Il s’agit d’une complication morbide puisque près de 20% des patients vont décéder avant même le début du traitement.
Leucémie promyélocytaire aiguë: Particularité
- à la présentation clinique: lorsque non-tx
- À la présentation, en plus de présenter les symptômes usuels de la LAM, on observe fréquemment une coagulopathie complexe incluant une coagulation intravasculaire disséminée (CIVD).
- Lorsque non-traitée, cette entité mènera rapidement au décès du patient en raison de saignements ou de la coagulopathie associée.
- Il s’agit d’une complication morbide puisque près de 20% des patients vont décéder avant même le début du traitement.
Leucémie promyélocytaire aiguë: Particularité
- à la présentation clinique: CIVD - risque associé
- À la présentation, en plus de présenter les symptômes usuels de la LAM, on observe fréquemment une coagulopathie complexe incluant une coagulation intravasculaire disséminée (CIVD).
- Lorsque non-traitée, cette entité mènera rapidement au décès du patient en raison de saignements ou de la coagulopathie associée.
- Il s’agit d’une complication morbide puisque près de 20% des patients vont décéder avant même le début du traitement.
Leucémie promyélocytaire aiguë: Particularité
- différences du traitement
- L’ajout d’ATRA (all-trans retinoic acid) et de trioxyde d’arsenic au traitement standard de la LAM a transformé cette maladie.
- Elle comptait un des pires pronostics auparavant et a maintenant au contraire l’un des meilleurs avec 90-95% de guérison pour ceux qui débuteront le traitement.
- Il s’agit donc d’une urgence médicale qui nécessite de débuter un traitement le plus précocement possible.
- De fait, on recommande de débuter immédiatement un traitement avec l’acide rétinoïque pour toute nouvelle leucémie présentant un syndrome hémorragique ou des anomalies de la coagulation.
- Une confirmation du diagnostic par l’analyse de la translocation 15;17 ou la recherche du réarrangement PML-RARA (présents dans plus de 95% des leucémies promyélocytaires) permettra de poursuivre le traitement ou de le modifier si le diagnostic est infirmer.
Leucémie promyélocytaire aiguë: Particularité
- pronostic
- L’ajout d’ATRA (all-trans retinoic acid) et de trioxyde d’arsenic au traitement standard de la LAM a transformé cette maladie.
- Elle comptait un des pires pronostics auparavant et a maintenant au contraire l’un des meilleurs avec 90-95% de guérison pour ceux qui débuteront le traitement.
- Il s’agit donc d’une urgence médicale qui nécessite de débuter un traitement le plus précocement possible.
- De fait, on recommande de débuter immédiatement un traitement avec l’acide rétinoïque pour toute nouvelle leucémie présentant un syndrome hémorragique ou des anomalies de la coagulation.
- Une confirmation du diagnostic par l’analyse de la translocation 15;17 ou la recherche du réarrangement PML-RARA (présents dans plus de 95% des leucémies promyélocytaires) permettra de poursuivre le traitement ou de le modifier si le diagnostic est infirmer.
Leucémie promyélocytaire aiguë: Particularité
- risques associés
- L’ajout d’ATRA (all-trans retinoic acid) et de trioxyde d’arsenic au traitement standard de la LAM a transformé cette maladie.
- Elle comptait un des pires pronostics auparavant et a maintenant au contraire l’un des meilleurs avec 90-95% de guérison pour ceux qui débuteront le traitement.
- Il s’agit donc d’une urgence médicale qui nécessite de débuter un traitement le plus précocement possible.
- De fait, on recommande de débuter immédiatement un traitement avec l’acide rétinoïque pour toute nouvelle leucémie présentant un syndrome hémorragique ou des anomalies de la coagulation.
- Une confirmation du diagnostic par l’analyse de la translocation 15;17 ou la recherche du réarrangement PML-RARA (présents dans plus de 95% des leucémies promyélocytaires) permettra de poursuivre le traitement ou de le modifier si le diagnostic est infirmer.
Leucémie promyélocytaire aiguë: Particularité
- recommandations du tx
- L’ajout d’ATRA (all-trans retinoic acid) et de trioxyde d’arsenic au traitement standard de la LAM a transformé cette maladie.
- Elle comptait un des pires pronostics auparavant et a maintenant au contraire l’un des meilleurs avec 90-95% de guérison pour ceux qui débuteront le traitement.
- Il s’agit donc d’une urgence médicale qui nécessite de débuter un traitement le plus précocement possible.
- De fait, on recommande de débuter immédiatement un traitement avec l’acide rétinoïque pour toute nouvelle leucémie présentant un syndrome hémorragique ou des anomalies de la coagulation.
- Une confirmation du diagnostic par l’analyse de la translocation 15;17 ou la recherche du réarrangement PML-RARA (présents dans plus de 95% des leucémies promyélocytaires) permettra de poursuivre le traitement ou de le modifier si le diagnostic est infirmer.
Leucémie promyélocytaire aiguë: Particularité
- diagnostic
- L’ajout d’ATRA (all-trans retinoic acid) et de trioxyde d’arsenic au traitement standard de la LAM a transformé cette maladie.
- Elle comptait un des pires pronostics auparavant et a maintenant au contraire l’un des meilleurs avec 90-95% de guérison pour ceux qui débuteront le traitement.
- Il s’agit donc d’une urgence médicale qui nécessite de débuter un traitement le plus précocement possible.
- De fait, on recommande de débuter immédiatement un traitement avec l’acide rétinoïque pour toute nouvelle leucémie présentant un syndrome hémorragique ou des anomalies de la coagulation.
- Une confirmation du diagnostic par l’analyse de la translocation 15;17 ou la recherche du réarrangement PML-RARA (présents dans plus de 95% des leucémies promyélocytaires) permettra de poursuivre le traitement ou de le modifier si le diagnostic est infirmer.
Principe de traitement des LMA
Survie globale des patients avec LAM en Suède, 1997-1999
Syndromes myélodysplasiques
- Les syndromes myélodysplasiques (SMD) ou myélodysplasies sont des maladies clonales issues de la cellule souche hématopoïétique ou d’un progéniteur commun myéloïde, et caractérisées par
- 1) une ou plusieurs cytopénies chroniques découlant d’une hématopoïèse médullaire inefficace et/ou
- 2) une évolution à court ou moyen terme vers une leucémie aiguë myéloïde franche (on les appelait auparavant les syndromes préleucémiques).
Syndromes myélodysplasiques: C’est quoi?
- Les syndromes myélodysplasiques (SMD) ou myélodysplasies sont des maladies clonales issues de la cellule souche hématopoïétique ou d’un progéniteur commun myéloïde, et caractérisées par
- 1) une ou plusieurs cytopénies chroniques découlant d’une hématopoïèse médullaire inefficace et/ou
- 2) une évolution à court ou moyen terme vers une leucémie aiguë myéloïde franche (on les appelait auparavant les syndromes préleucémiques).
Syndromes myélodysplasiques: Cause
-
Les syndromes myélodysplasiques (SMD) ou myélodysplasies sont des maladies clonales issues de la cellule souche hématopoïétique ou d’un progéniteur commun myéloïde, et caractérisées par
- 1) une ou plusieurs cytopénies chroniques découlant d’une hématopoïèse médullaire inefficace et/ou
- 2) une évolution à court ou moyen terme vers une leucémie aiguë myéloïde franche (on les appelait auparavant les syndromes préleucémiques).
Syndromes myélodysplasiques: Autre nom
- Les syndromes myélodysplasiques (SMD) ou myélodysplasies sont des maladies clonales issues de la cellule souche hématopoïétique ou d’un progéniteur commun myéloïde, et caractérisées par
- 1) une ou plusieurs cytopénies chroniques découlant d’une hématopoïèse médullaire inefficace et/ou
- 2) une évolution à court ou moyen terme vers une leucémie aiguë myéloïde franche (on les appelait auparavant les syndromes préleucémiques).
Syndromes myélodysplasiques: Sont caractérisés par quoi?
- Les syndromes myélodysplasiques (SMD) ou myélodysplasies sont des maladies clonales issues de la cellule souche hématopoïétique ou d’un progéniteur commun myéloïde, et caractérisées par
- 1) une ou plusieurs cytopénies chroniques découlant d’une hématopoïèse médullaire inefficace et/ou
- 2) une évolution à court ou moyen terme vers une leucémie aiguë myéloïde franche (on les appelait auparavant les syndromes préleucémiques).
Syndrome myélodysplasique: Comment est fait le dx?
- Leur diagnostic est souvent difficile car il réside sur l’identification d’altérations morphologiques parfois discrètes.
- Les SMD s’observent le plus souvent chez les personnes de >60 ans et se présentent fréquemment sous forme d’anémie macrocytaire (VGM > 100 fL) ou pancytopénie.
- Dans ces cas, il est essentiel d’éliminer tout d’abord, à l’aide de dosages appropriés, une simple carence en vitamine B12.
- Dans les SMD, tous les cofacteurs de l’hématopoïèse (B12, folates, fer) sont normaux.
Syndrome myélodysplasique: Sur quoi réside le dx?
- Leur diagnostic est souvent difficile car il réside sur l’identification d’altérations morphologiques parfois discrètes.
- Les SMD s’observent le plus souvent chez les personnes de >60 ans et se présentent fréquemment sous forme d’anémie macrocytaire (VGM > 100 fL) ou pancytopénie.
- Dans ces cas, il est essentiel d’éliminer tout d’abord, à l’aide de dosages appropriés, une simple carence en vitamine B12.
- Dans les SMD, tous les cofacteurs de l’hématopoïèse (B12, folates, fer) sont normaux.
Syndrome myélodysplasique: Chez qui?
- Leur diagnostic est souvent difficile car il réside sur l’identification d’altérations morphologiques parfois discrètes.
- Les SMD s’observent le plus souvent chez les personnes de >60 ans et se présentent fréquemment sous forme d’anémie macrocytaire (VGM > 100 fL) ou pancytopénie.
- Dans ces cas, il est essentiel d’éliminer tout d’abord, à l’aide de dosages appropriés, une simple carence en vitamine B12.
- Dans les SMD, tous les cofacteurs de l’hématopoïèse (B12, folates, fer) sont normaux.
Syndrome myélodysplasique: Anomalies du sang
- Leur diagnostic est souvent difficile car il réside sur l’identification d’altérations morphologiques parfois discrètes.
- Les SMD s’observent le plus souvent chez les personnes de >60 ans et se présentent fréquemment sous forme d’anémie macrocytaire (VGM > 100 fL) ou pancytopénie.
- Dans ces cas, il est essentiel d’éliminer tout d’abord, à l’aide de dosages appropriés, une simple carence en vitamine B12.
- Dans les SMD, tous les cofacteurs de l’hématopoïèse (B12, folates, fer) sont normaux.
Syndrome myélodysplasique: Il faut éliminer quoi?
- Leur diagnostic est souvent difficile car il réside sur l’identification d’altérations morphologiques parfois discrètes.
- Les SMD s’observent le plus souvent chez les personnes de >60 ans et se présentent fréquemment sous forme d’anémie macrocytaire (VGM > 100 fL) ou pancytopénie.
- Dans ces cas, il est essentiel d’éliminer tout d’abord, à l’aide de dosages appropriés, une simple carence en vitamine B12.
- Dans les SMD, tous les cofacteurs de l’hématopoïèse (B12, folates, fer) sont normaux.
Syndrome myélodysplasique: Cofacteurs
- Leur diagnostic est souvent difficile car il réside sur l’identification d’altérations morphologiques parfois discrètes.
- Les SMD s’observent le plus souvent chez les personnes de >60 ans et se présentent fréquemment sous forme d’anémie macrocytaire (VGM > 100 fL) ou pancytopénie.
- Dans ces cas, il est essentiel d’éliminer tout d’abord, à l’aide de dosages appropriés, une simple carence en vitamine B12.
- Dans les SMD, tous les cofacteurs de l’hématopoïèse (B12, folates, fer) sont normaux.
Syndrome myélodysplasique:
- La ponction aspiration et biopsie de la moelle sont essentiels au diagnostic précis des SMD.
- On évaluera la cellularité car en dépit de l’insuffisance d’une ou plusieurs lignées sanguine dans le sang périphérique, la moelle hématopoïétique est habituellement hypercellulaire.
- Des anomalies morphologiques seront recherchées témoignant d’une hématopoïèse inefficace.
- L’analyse cytogénétique (le caryotype) de la moelle est essentielle pour évaluer le pronostic.
- Sans entrer dans les détails, on pourra retrouver de nombreuses anomalies chromosomiques (caryotype complexe) dans de nombreux cas associés à un mauvais pronostic et à un risque important de progresser vers une leucémie aiguë.
- De nombreuses mutations génétiques sont retrouvées dans les SMD
Syndrome myélodysplasique: Qu’est-ce qui est essentiel pour poser le dx?
- La ponction aspiration et biopsie de la moelle sont essentiels au diagnostic précis des SMD.
- On évaluera la cellularité car en dépit de l’insuffisance d’une ou plusieurs lignées sanguine dans le sang périphérique, la moelle hématopoïétique est habituellement hypercellulaire.
- Des anomalies morphologiques seront recherchées témoignant d’une hématopoïèse inefficace.
- L’analyse cytogénétique (le caryotype) de la moelle est essentielle pour évaluer le pronostic.
- Sans entrer dans les détails, on pourra retrouver de nombreuses anomalies chromosomiques (caryotype complexe) dans de nombreux cas associés à un mauvais pronostic et à un risque important de progresser vers une leucémie aiguë.
- De nombreuses mutations génétiques sont retrouvées dans les SMD
Syndrome myélodysplasique: Pertinence de la biopsie et aspiration
- La ponction aspiration et biopsie de la moelle sont essentiels au diagnostic précis des SMD.
- On évaluera la cellularité car en dépit de l’insuffisance d’une ou plusieurs lignées sanguine dans le sang périphérique, la moelle hématopoïétique est habituellement hypercellulaire.
- Des anomalies morphologiques seront recherchées témoignant d’une hématopoïèse inefficace.
- L’analyse cytogénétique (le caryotype) de la moelle est essentielle pour évaluer le pronostic.
- Sans entrer dans les détails, on pourra retrouver de nombreuses anomalies chromosomiques (caryotype complexe) dans de nombreux cas associés à un mauvais pronostic et à un risque important de progresser vers une leucémie aiguë.
- De nombreuses mutations génétiques sont retrouvées dans les SMD
Syndrome myélodysplasique: on évalue quoi à la ponction / aspiration?
- La ponction aspiration et biopsie de la moelle sont essentiels au diagnostic précis des SMD.
- On évaluera la cellularité car en dépit de l’insuffisance d’une ou plusieurs lignées sanguine dans le sang périphérique, la moelle hématopoïétique est habituellement hypercellulaire.
- Des anomalies morphologiques seront recherchées témoignant d’une hématopoïèse inefficace.
- L’analyse cytogénétique (le caryotype) de la moelle est essentielle pour évaluer le pronostic.
- Sans entrer dans les détails, on pourra retrouver de nombreuses anomalies chromosomiques (caryotype complexe) dans de nombreux cas associés à un mauvais pronostic et à un risque important de progresser vers une leucémie aiguë.
- De nombreuses mutations génétiques sont retrouvées dans les SMD
Syndrome myélodysplasique: Ce qui est essentiel pour déterminer le pronostic
- La ponction aspiration et biopsie de la moelle sont essentiels au diagnostic précis des SMD.
- On évaluera la cellularité car en dépit de l’insuffisance d’une ou plusieurs lignées sanguine dans le sang périphérique, la moelle hématopoïétique est habituellement hypercellulaire.
- Des anomalies morphologiques seront recherchées témoignant d’une hématopoïèse inefficace.
- L’analyse cytogénétique (le caryotype) de la moelle est essentielle pour évaluer le pronostic.
- Sans entrer dans les détails, on pourra retrouver de nombreuses anomalies chromosomiques (caryotype complexe) dans de nombreux cas associés à un mauvais pronostic et à un risque important de progresser vers une leucémie aiguë.
- De nombreuses mutations génétiques sont retrouvées dans les SMD
Syndrome myélodysplasique: Mutations génétiques
- La ponction aspiration et biopsie de la moelle sont essentiels au diagnostic précis des SMD.
- On évaluera la cellularité car en dépit de l’insuffisance d’une ou plusieurs lignées sanguine dans le sang périphérique, la moelle hématopoïétique est habituellement hypercellulaire.
- Des anomalies morphologiques seront recherchées témoignant d’une hématopoïèse inefficace.
- L’analyse cytogénétique (le caryotype) de la moelle est essentielle pour évaluer le pronostic.
- Sans entrer dans les détails, on pourra retrouver de nombreuses anomalies chromosomiques (caryotype complexe) dans de nombreux cas associés à un mauvais pronostic et à un risque important de progresser vers une leucémie aiguë.
- De nombreuses mutations génétiques sont retrouvées dans les SMD
Syndrome myélodysplasique: Classification
La classification des SMD selon l’OMS reconnaît de nombreuses entités distinctes dont les principales sont :
- Syndrome myélodysplasique avec dysplasie unilignée
- Syndrome myélodysplasique avec dysplasie multilignée
- Syndrome myélodysplasique avec sidéroblastes
- Syndrome myélodysplasique avec del(5q) isolée
- Syndrome myélodysplasique avec excès de blastes
- Syndrome myélodysplasique inclassable
- Cytopénie réfractaire de l’enfance
Syndrome myélodysplasique: Traitement
- Les SMD ont un algorithme de traitement dépassant les objectifs de ce cours.
- Le principe général consiste à établir le degré de risque de la maladie pour chaque patient.
- Pour les patients à faible risque, l’observation sera recommandée.
- Pour ceux présentant une anémie symptomatique, l’érythropoïétine pour être utilisée de même que le G-CSF (facteur de croissance des neutrophiles), en cas de neutropénie sévère.
- Ces traitements sont souvent peu efficaces ou d’une efficacité limitée si bien que le patient évoluera dans la majorité des cas vers un programme transfusionnel régulier.
Syndrome myélodysplasique: Traitement
- principe général
- Les SMD ont un algorithme de traitement dépassant les objectifs de ce cours.
- Le principe général consiste à établir le degré de risque de la maladie pour chaque patient.
- Pour les patients à faible risque, l’observation sera recommandée.
- Pour ceux présentant une anémie symptomatique, l’érythropoïétine pour être utilisée de même que le G-CSF (facteur de croissance des neutrophiles), en cas de neutropénie sévère.
- Ces traitements sont souvent peu Cahier 2, chapitre 7 ©Centre d’Hématologie du CHU efficaces ou d’une efficacité limitée si bien que le patient évoluera dans la majorité des cas vers un programme transfusionnel régulier.
Syndrome myélodysplasique: Traitement
- patient à faible risque
- Les SMD ont un algorithme de traitement dépassant les objectifs de ce cours.
- Le principe général consiste à établir le degré de risque de la maladie pour chaque patient.
- Pour les patients à faible risque, l’observation sera recommandée.
- Pour ceux présentant une anémie symptomatique, l’érythropoïétine pour être utilisée de même que le G-CSF (facteur de croissance des neutrophiles), en cas de neutropénie sévère.
- Ces traitements sont souvent peu Cahier 2, chapitre 7 ©Centre d’Hématologie du CHU efficaces ou d’une efficacité limitée si bien que le patient évoluera dans la majorité des cas vers un programme transfusionnel régulier.
Syndrome myélodysplasique: Traitement
- si anémie symptomatique
- Les SMD ont un algorithme de traitement dépassant les objectifs de ce cours.
- Le principe général consiste à établir le degré de risque de la maladie pour chaque patient.
- Pour les patients à faible risque, l’observation sera recommandée.
- Pour ceux présentant une anémie symptomatique, l’érythropoïétine pour être utilisée de même que le G-CSF (facteur de croissance des neutrophiles), en cas de neutropénie sévère.
- Ces traitements sont souvent peu Cahier 2, chapitre 7 ©Centre d’Hématologie du CHU efficaces ou d’une efficacité limitée si bien que le patient évoluera dans la majorité des cas vers un programme transfusionnel régulier.
Syndrome myélodysplasique: Traitement
- efficacité
- Les SMD ont un algorithme de traitement dépassant les objectifs de ce cours.
- Le principe général consiste à établir le degré de risque de la maladie pour chaque patient.
- Pour les patients à faible risque, l’observation sera recommandée.
- Pour ceux présentant une anémie symptomatique, l’érythropoïétine pour être utilisée de même que le G-CSF (facteur de croissance des neutrophiles), en cas de neutropénie sévère.
- Ces traitements sont souvent peu efficaces ou d’une efficacité limitée si bien que le patient évoluera dans la majorité des cas vers un programme transfusionnel régulier.
Syndrome myélodysplasique: Traitement
- patient à haut risque et de moins de 65 ans
- Chez les patients à haut risque et de moins de 65 ans, une option à visée curative peut être envisagée soit une allogreffe de cellules souches hématopoïétiques.
- Toutefois, peu de patients sont éligibles en raison de l’âge avancé au diagnostic dans la majorité des cas et du caractère hautement toxique de ce traitement.
Syndrome myélodysplasique: Traitement
- patients eligibles à l’allogreffe
- Chez les patients à haut risque et de moins de 65 ans, une option à visée curative peut être envisagée soit une allogreffe de cellules souches hématopoïétiques.
- Toutefois, peu de patients sont éligibles en raison de l’âge avancé au diagnostic dans la majorité des cas et du caractère hautement toxique de ce traitement.
Syndrome myélodysplasique: Raison du décès des patients
- En général, les patients atteints de myélodysplasie vont décéder en raison d’un arrêt du programme transfusionnel puisque de moins en moins efficace pour assure une qualité de vie ou encore d’infections sévères en raison de la neutropénie.
- Pour les patients à haut risque, la transformation vers une leucémie myéloïde aiguë est la principale cause de décès.
Néoplasies myéloprolifératives: Caractéristiques des maladies formant ce groupe
- Les maladies formant ce groupe nosologique sont des maladies clonales issues de la cellule souche hématopoïétique ou d’un progéniteur commun myéloïde et dont l’évolution naturelle est habituellement chronique, s’étalant sur quelques années.
- Il existe quatre néoplasies myéloprolifératives principales :
- 1- La leucémie myéloïde chronique.
- 2- La myélofibrose primaire
- 3- La thrombocytémie essentielle.
- 4- La polycythemia vera (PV) (aussi appelée polyglobulie vraie/essentielle, ou maladie de Vaquez)
Néoplasies myéloprolifératives: Nommez les principales pathos
- Les maladies formant ce groupe nosologique sont des maladies clonales issues de la cellule souche hématopoïétique ou d’un progéniteur commun myéloïde et dont l’évolution naturelle est habituellement chronique, s’étalant sur quelques années.
-
Il existe quatre néoplasies myéloprolifératives principales :
- 1- La leucémie myéloïde chronique.
- 2- La myélofibrose primaire
- 3- La thrombocytémie essentielle.
- 4- La polycythemia vera (PV) (aussi appelée polyglobulie vraie/essentielle, ou maladie de Vaquez)
Néoplasies myéloprolifératives: Caractéristiques communes
- Néoplasie de la cellule souche ou d’un progéniteur commun myéloïde, résultant en un clone cellulaire avec prolifération maligne portant sur au moins l’une des trois lignées d’origine myéloïde de la moelle osseuse.
- Il existe fréquemment une atteinte de deux ou trois lignées hématopoïétiques, ce qui n’est pas surprenant car c’est un cancer de la cellule souche multipotente hématopoïétique.
- Même s’il s’agit de maladies clonales de la cellule souche, l’évolution de ces divers syndromes sera très variable.
- Au stade initial, les néoplasies myéloprolifératives seront souvent asymptomatiques et leur découverte est souvent fortuite
- La phase terminale (appelée également phase accélérée ou transformation aiguë) est caractérisée par l’apparition soit d’une leucémie aiguë inexorable, soit d’une insuffisance médullaire grave avec pancytopénie et dans certains cas une fibrose médullaire.
Néoplasies myéloprolifératives: Caractéristiques communes
- origine
- Néoplasie de la cellule souche ou d’un progéniteur commun myéloïde, résultant en un clone cellulaire avec prolifération maligne portant sur au moins l’une des trois lignées d’origine myéloïde de la moelle osseuse.
- Contrairement au cas des leucémies aiguës, il n’y a pas de blocage de la maturation morphologique des éléments de la lignée touchée, et pas de blocage important de leur différenciation.
- Ces cellules demeurent suffisamment fonctionnelles, ce qui explique pourquoi plusieurs patients demeurent asymptomatiques. Il en résulte une augmentation importante du nombre des cellules correspondantes dans le sang.
- Les éléments figurés présents dans le sang sont les stades terminaux normaux de la lignée touchée et aussi des précurseurs partiellement différenciés, avec tout au plus quelques cellules très jeunes.
Néoplasies myéloprolifératives: Caractéristiques communes
- touche quelles lignées?
- Néoplasie de la cellule souche ou d’un progéniteur commun myéloïde, résultant en un clone cellulaire avec prolifération maligne portant sur au moins l’une des trois lignées d’origine myéloïde de la moelle osseuse.
- Contrairement au cas des leucémies aiguës, il n’y a pas de blocage de la maturation morphologique des éléments de la lignée touchée, et pas de blocage important de leur différenciation.
- Ces cellules demeurent suffisamment fonctionnelles, ce qui explique pourquoi plusieurs patients demeurent asymptomatiques. Il en résulte une augmentation importante du nombre des cellules correspondantes dans le sang.
- Les éléments figurés présents dans le sang sont les stades terminaux normaux de la lignée touchée et aussi des précurseurs partiellement différenciés, avec tout au plus quelques cellules très jeunes.
Néoplasies myéloprolifératives: Caractéristiques communes
- vient de quelle cellule?
- Néoplasie de la cellule souche ou d’un progéniteur commun myéloïde, résultant en un clone cellulaire avec prolifération maligne portant sur au moins l’une des trois lignées d’origine myéloïde de la moelle osseuse.
- Contrairement au cas des leucémies aiguës, il n’y a pas de blocage de la maturation morphologique des éléments de la lignée touchée, et pas de blocage important de leur différenciation.
- Ces cellules demeurent suffisamment fonctionnelles, ce qui explique pourquoi plusieurs patients demeurent asymptomatiques. Il en résulte une augmentation importante du nombre des cellules correspondantes dans le sang.
- Les éléments figurés présents dans le sang sont les stades terminaux normaux de la lignée touchée et aussi des précurseurs partiellement différenciés, avec tout au plus quelques cellules très jeunes.
Néoplasies myéloprolifératives: Caractéristiques communes
- cause
- Néoplasie de la cellule souche ou d’un progéniteur commun myéloïde, résultant en un clone cellulaire avec prolifération maligne portant sur au moins l’une des trois lignées d’origine myéloïde de la moelle osseuse.
- Contrairement au cas des leucémies aiguës, il n’y a pas de blocage de la maturation morphologique des éléments de la lignée touchée, et pas de blocage important de leur différenciation.
- Ces cellules demeurent suffisamment fonctionnelles, ce qui explique pourquoi plusieurs patients demeurent asymptomatiques. Il en résulte une augmentation importante du nombre des cellules correspondantes dans le sang.
- Les éléments figurés présents dans le sang sont les stades terminaux normaux de la lignée touchée et aussi des précurseurs partiellement différenciés, avec tout au plus quelques cellules très jeunes.
Néoplasies myéloprolifératives: Caractéristiques communes
- blocage maturation
- Néoplasie de la cellule souche ou d’un progéniteur commun myéloïde, résultant en un clone cellulaire avec prolifération maligne portant sur au moins l’une des trois lignées d’origine myéloïde de la moelle osseuse.
- Contrairement au cas des leucémies aiguës, il n’y a pas de blocage de la maturation morphologique des éléments de la lignée touchée, et pas de blocage important de leur différenciation.
- Ces cellules demeurent suffisamment fonctionnelles, ce qui explique pourquoi plusieurs patients demeurent asymptomatiques. Il en résulte une augmentation importante du nombre des cellules correspondantes dans le sang.
- Les éléments figurés présents dans le sang sont les stades terminaux normaux de la lignée touchée et aussi des précurseurs partiellement différenciés, avec tout au plus quelques cellules très jeunes.
Néoplasies myéloprolifératives: Caractéristiques communes
- niveau de fonctionnalité des cellules
- Néoplasie de la cellule souche ou d’un progéniteur commun myéloïde, résultant en un clone cellulaire avec prolifération maligne portant sur au moins l’une des trois lignées d’origine myéloïde de la moelle osseuse.
- Contrairement au cas des leucémies aiguës, il n’y a pas de blocage de la maturation morphologique des éléments de la lignée touchée, et pas de blocage important de leur différenciation.
- Ces cellules demeurent suffisamment fonctionnelles, ce qui explique pourquoi plusieurs patients demeurent asymptomatiques. Il en résulte une augmentation importante du nombre des cellules correspondantes dans le sang.
- Les éléments figurés présents dans le sang sont les stades terminaux normaux de la lignée touchée et aussi des précurseurs partiellement différenciés, avec tout au plus quelques cellules très jeunes.
Néoplasies myéloprolifératives: Caractéristiques communes
- pourquoi les patients sont asx?
- Néoplasie de la cellule souche ou d’un progéniteur commun myéloïde, résultant en un clone cellulaire avec prolifération maligne portant sur au moins l’une des trois lignées d’origine myéloïde de la moelle osseuse.
- Contrairement au cas des leucémies aiguës, il n’y a pas de blocage de la maturation morphologique des éléments de la lignée touchée, et pas de blocage important de leur différenciation.
- Ces cellules demeurent suffisamment fonctionnelles, ce qui explique pourquoi plusieurs patients demeurent asymptomatiques.
- Il en résulte une augmentation importante du nombre des cellules correspondantes dans le sang.
- Les éléments figurés présents dans le sang sont les stades terminaux normaux de la lignée touchée et aussi des précurseurs partiellement différenciés, avec tout au plus quelques cellules très jeunes.
Néoplasies myéloprolifératives: Caractéristiques communes
- décrire les éléments figuérs dans le sang
- Néoplasie de la cellule souche ou d’un progéniteur commun myéloïde, résultant en un clone cellulaire avec prolifération maligne portant sur au moins l’une des trois lignées d’origine myéloïde de la moelle osseuse.
- Contrairement au cas des leucémies aiguës, il n’y a pas de blocage de la maturation morphologique des éléments de la lignée touchée, et pas de blocage important de leur différenciation.
- Ces cellules demeurent suffisamment fonctionnelles, ce qui explique pourquoi plusieurs patients demeurent asymptomatiques.
- Il en résulte une augmentation importante du nombre des cellules correspondantes dans le sang.
- Les éléments figurés présents dans le sang sont les stades terminaux normaux de la lignée touchée et aussi des précurseurs partiellement différenciés, avec tout au plus quelques cellules très jeunes.
Néoplasies myéloprolifératives: Caractéristiques communes
- nb de lignées atteintes
- Il existe fréquemment une atteinte de deux ou trois lignées hématopoïétiques, ce qui n’est pas surprenant car c’est un cancer de la cellule souche multipotente hématopoïétique.
- On parle alors de polycythémie; ces formes avec atteintes de deux ou trois lignées sont d’expression hématologique très variable.
Néoplasies myéloprolifératives: Caractéristiques communes
- définir: polycythémie
- Il existe fréquemment une atteinte de deux ou trois lignées hématopoïétiques, ce qui n’est pas surprenant car c’est un cancer de la cellule souche multipotente hématopoïétique.
- On parle alors de polycythémie; ces formes avec atteintes de deux ou trois lignées sont d’expression hématologique très variable.
Néoplasies myéloprolifératives: Caractéristiques communes
- évolution des syndromes
- Même s’il s’agit de maladies clonales de la cellule souche, l’évolution de ces divers syndromes sera très variable.
- Ainsi, la LMC et la myélofibrose évoluent habituellement en deux étapes : une phase chronique, durant de 1 à 10 ans, relativement bénigne, à laquelle fait suite une phase terminale qui conduit au décès en quelques mois.
- La thrombocytémie essentielle et la polyglobulie vraie ou de Vaquez auront des évolutions cliniques plus bénignes et la transformation vers une forme plus agressive comme la leucémie aiguë est nettement plus rare.
- Les problèmes de thromboses et d’hémorragies seront fréquemment observés dans la thrombocytémie essentielle en raison de la dysfonction plaquettaire.
Néoplasies myéloprolifératives: Caractéristiques communes
- évolution de la LMC
- Même s’il s’agit de maladies clonales de la cellule souche, l’évolution de ces divers syndromes sera très variable.
- Ainsi, la LMC et la myélofibrose évoluent habituellement en deux étapes : une phase chronique, durant de 1 à 10 ans, relativement bénigne, à laquelle fait suite une phase terminale qui conduit au décès en quelques mois.
- La thrombocytémie essentielle et la polyglobulie vraie ou de Vaquez auront des évolutions cliniques plus bénignes et la transformation vers une forme plus agressive comme la leucémie aiguë est nettement plus rare.
- Les problèmes de thromboses et d’hémorragies seront fréquemment observés dans la thrombocytémie essentielle en raison de la dysfonction plaquettaire.
Néoplasies myéloprolifératives: Caractéristiques communes
- évolution de thrombocytémie essentielle et la polyglobulie vraie
- Même s’il s’agit de maladies clonales de la cellule souche, l’évolution de ces divers syndromes sera très variable.
- Ainsi, la LMC et la myélofibrose évoluent habituellement en deux étapes : une phase chronique, durant de 1 à 10 ans, relativement bénigne, à laquelle fait suite une phase terminale qui conduit au décès en quelques mois.
- La thrombocytémie essentielle et la polyglobulie vraie ou de Vaquez auront des évolutions cliniques plus bénignes et la transformation vers une forme plus agressive comme la leucémie aiguë est nettement plus rare.
- Les problèmes de thromboses et d’hémorragies seront fréquemment observés dans la thrombocytémie essentielle en raison de la dysfonction plaquettaire.
Néoplasies myéloprolifératives: Caractéristiques communes
- thrombocytémie essentielle: problème associé
- Même s’il s’agit de maladies clonales de la cellule souche, l’évolution de ces divers syndromes sera très variable.
- Ainsi, la LMC et la myélofibrose évoluent habituellement en deux étapes : une phase chronique, durant de 1 à 10 ans, relativement bénigne, à laquelle fait suite une phase terminale qui conduit au décès en quelques mois.
- La thrombocytémie essentielle et la polyglobulie vraie ou de Vaquez auront des évolutions cliniques plus bénignes et la transformation vers une forme plus agressive comme la leucémie aiguë est nettement plus rare.
- Les problèmes de thromboses et d’hémorragies seront fréquemment observés dans la thrombocytémie essentielle en raison de la dysfonction plaquettaire.
Néoplasies myéloprolifératives: Caractéristiques communes
- au stade initial
- Au stade initial, les néoplasies myéloprolifératives seront souvent asymptomatiques et leur découverte est souvent fortuite
Néoplasies myéloprolifératives: Caractéristiques communes
- au stade initial: sx
- Au stade initial, les néoplasies myéloprolifératives seront souvent asymptomatiques et leur découverte est souvent fortuite
Néoplasies myéloprolifératives: Caractéristiques communes
- phase terminale
- La phase terminale (appelée également phase accélérée ou transformation aiguë) est caractérisée par l’apparition soit d’une leucémie aiguë inexorable, soit d’une insuffisance médullaire grave avec pancytopénie et dans certains cas une fibrose médullaire.
Néoplasies myéloprolifératives: Caractéristiques communes
- phase terminale: ce qui se passe de particulier
- La phase terminale (appelée également phase accélérée ou transformation aiguë) est caractérisée par l’apparition soit d’une leucémie aiguë inexorable, soit d’une insuffisance médullaire grave avec pancytopénie et dans certains cas une fibrose médullaire.
LMC: Nom long
Leucémie myléoïde chronique
LMC: Intro
- La leucémie myéloïde chronique est une maladie myéloproliférative due à une hyperplasie maligne de la lignée granulocytaire qui s’accompagne, dans la plupart des cas, d’une splénomégalie importante, d’une hyperleucocytose de 50 à 100,0 x 109 leucocytes/L, et d’une anomalie chromosomique spécifique qui permet d’en porter le diagnostic formel dans plus de 90 % des cas : le chromosome de Philadelphie.
LMC: Intro
- cause de la LMC
- La leucémie myéloïde chronique est une maladie myéloproliférative due à une hyperplasie maligne de la lignée granulocytaire qui s’accompagne, dans la plupart des cas, d’une splénomégalie importante, d’une hyperleucocytose de 50 à 100,0 x 109 leucocytes/L, et d’une anomalie chromosomique spécifique qui permet d’en porter le diagnostic formel dans plus de 90 % des cas : le chromosome de Philadelphie.
LMC: Intro
- décrire la rate dans LMC
- La leucémie myéloïde chronique est une maladie myéloproliférative due à une hyperplasie maligne de la lignée granulocytaire qui s’accompagne, dans la plupart des cas, d’une splénomégalie importante, d’une hyperleucocytose de 50 à 100,0 x 10^9 leucocytes/L, et d’une anomalie chromosomique spécifique qui permet d’en porter le diagnostic formel dans plus de 90 % des cas : le chromosome de Philadelphie.
LMC: Intro
- chromosomes
- La leucémie myéloïde chronique est une maladie myéloproliférative due à une hyperplasie maligne de la lignée granulocytaire qui s’accompagne, dans la plupart des cas, d’une splénomégalie importante, d’une hyperleucocytose de 50 à 100,0 x 109 leucocytes/L, et d’une anomalie chromosomique spécifique qui permet d’en porter le diagnostic formel dans plus de 90 % des cas : le chromosome de Philadelphie.
LMC: Intro
- qu’est-ce que le chromosome de Philadelphie?
- Ce chromosome est la résultante de la translocation réciproque des chromosomes 9 et 22 (t 9;22) qui entraîne la formation d’un gène chimérique appelé bcr-Abl.
- Ce réarrangement provoque une augmentation de l’activité tyrosine kinase du gène Abl qui est impliqué dans les signaux de prolifération cellulaire.
- Il en résulte une augmentation de la prolifération cellulaire.
- Ce réarrangement peut être retrouvé dans des cas de LMC où le chromosome de Philadelphie est absent selon la cytogénétique conventionnelle.
LMC: Intro
- chromosome de Philadelphie: décrire
- Ce chromosome est la résultante de la translocation réciproque des chromosomes 9 et 22 (t 9;22) qui entraîne la formation d’un gène chimérique appelé bcr-Abl.
- Ce réarrangement provoque une augmentation de l’activité tyrosine kinase du gène Abl qui est impliqué dans les signaux de prolifération cellulaire.
- Il en résulte une augmentation de la prolifération cellulaire.
- Ce réarrangement peut être retrouvé dans des cas de LMC où le chromosome de Philadelphie est absent selon la cytogénétique conventionnelle.
LMC: Intro
- chromosome de Philadelphie: conséquences
- Ce chromosome est la résultante de la translocation réciproque des chromosomes 9 et 22 (t 9;22) qui entraîne la formation d’un gène chimérique appelé bcr-Abl.
- Ce réarrangement provoque une augmentation de l’activité tyrosine kinase du gène Abl qui est impliqué dans les signaux de prolifération cellulaire.
- Il en résulte une augmentation de la prolifération cellulaire.
- Ce réarrangement peut être retrouvé dans des cas de LMC où le chromosome de Philadelphie est absent selon la cytogénétique conventionnelle.
LMC: Intro
- chromosome de Philadelphie: ce qui se passe avec
- Ce chromosome est la résultante de la translocation réciproque des chromosomes 9 et 22 (t 9;22) qui entraîne la formation d’un gène chimérique appelé bcr-Abl.
- Ce réarrangement provoque une augmentation de l’activité tyrosine kinase du gène Abl qui est impliqué dans les signaux de prolifération cellulaire.
- Il en résulte une augmentation de la prolifération cellulaire.
- Ce réarrangement peut être retrouvé dans des cas de LMC où le chromosome de Philadelphie est absent selon la cytogénétique conventionnelle.
LMC: Intro
- fréquence LMC
- Cette maladie compte pour environ 15 à 20 % des leucémies chez l’adulte occidental, et elle se manifeste le plus souvent entre l’âge de 40 et de 70 ans, rarement avant 30 ans.
- Les mêmes facteurs étiologiques discutés pour les leucémies aiguës sont envisagés pour la LMC : virus, radiations ionisantes, et produits chimiques.
LMC: Intro
- facteurs étiologiques
- Cette maladie compte pour environ 15 à 20 % des leucémies chez l’adulte occidental, et elle se manifeste le plus souvent entre l’âge de 40 et de 70 ans, rarement avant 30 ans.
- Les mêmes facteurs étiologiques discutés pour les leucémies aiguës sont envisagés pour la LMC : virus, radiations ionisantes, et produits chimiques.
LMC: Circonstance du dx
- Le diagnostic peut être fait fortuitement à l’occasion d’un examen systématique chez un patient souvent asymptomatique.
- Le patient symptomatique consultera habituellement :
- a) pour des malaises généraux en rapport avec la néoplasie ou l’anémie secondaire : asthénie, sudation nocturne et diurne, pâleur;
- b) pour des malaises à l’hypocondre gauche causés par la splénomégalie : pesanteur, satiété précoce lors des repas, gêne mécanique due à la compression des organes du voisinage, douleurs dues à un infarctus splénique;
- c) pour des douleurs osseuses secondaires à la prolifération granulocytaire, ou arthritiques dues à une goutte secondaire avec dépôt d’acide urique.
- L’examen clinique révèle assez souvent une splénomégalie parfois très importante, le plus souvent isolée.
LMC: Circonstance du dx
- patient est symptomatique?
- Le diagnostic peut être fait fortuitement à l’occasion d’un examen systématique chez un patient souvent asymptomatique.
- Le patient symptomatique consultera habituellement :
- a) pour des malaises généraux en rapport avec la néoplasie ou l’anémie secondaire : asthénie, sudation nocturne et diurne, pâleur;
- b) pour des malaises à l’hypocondre gauche causés par la splénomégalie : pesanteur, satiété précoce lors des repas, gêne mécanique due à la compression des organes du voisinage, douleurs dues à un infarctus splénique;
- c) pour des douleurs osseuses secondaires à la prolifération granulocytaire, ou arthritiques dues à une goutte secondaire avec dépôt d’acide urique.
- L’examen clinique révèle assez souvent une splénomégalie parfois très importante, le plus souvent isolée.