Affections bénignes des lymphocytes et des plasmocytes Flashcards
Thymus: Physiologie
- Le thymus joue un rôle essentiel dans le développement lymphoïde car il assure en tant qu’organe lymphoïde central le peuplement des organes lymphoïdes périphériques : ganglions, rate, plaques de Peyer.
- L’ablation du thymus dès la naissance entraîne une lymphopénie périphérique et des déficits immunitaires graves.
- La greffe du thymus rétablit le peuplement lymphocytaire périphérique et les fonctions.
- La moelle osseuse joue aussi un grand rôle dans le peuplement lymphoïde périphérique.
- Les lymphocytes médullaires migrent dans le thymus, acquièrent des fonctions immunocompétentes et peuplent en partie les organes périphériques.
Thymus: Physiologie
- rôle du thymus
- Le thymus joue un rôle essentiel dans le développement lymphoïde car il assure en tant qu’organe lymphoïde central le peuplement des organes lymphoïdes périphériques : ganglions, rate, plaques de Peyer.
- L’ablation du thymus dès la naissance entraîne une lymphopénie périphérique et des déficits immunitaires graves.
- La greffe du thymus rétablit le peuplement lymphocytaire périphérique et les fonctions.
- La moelle osseuse joue aussi un grand rôle dans le peuplement lymphoïde périphérique.
- Les lymphocytes médullaires migrent dans le thymus, acquièrent des fonctions immunocompétentes et peuplent en partie les organes périphériques.
Thymus: Physiologie
- conséquence d’une ablation du thymus
- Le thymus joue un rôle essentiel dans le développement lymphoïde car il assure en tant qu’organe lymphoïde central le peuplement des organes lymphoïdes périphériques : ganglions, rate, plaques de Peyer.
- L’ablation du thymus dès la naissance entraîne une lymphopénie périphérique et des déficits immunitaires graves.
- La greffe du thymus rétablit le peuplement lymphocytaire périphérique et les fonctions.
- La moelle osseuse joue aussi un grand rôle dans le peuplement lymphoïde périphérique.
- Les lymphocytes médullaires migrent dans le thymus, acquièrent des fonctions immunocompétentes et peuplent en partie les organes périphériques.
Thymus: Physiologie
- greffe de thymus
- Le thymus joue un rôle essentiel dans le développement lymphoïde car il assure en tant qu’organe lymphoïde central le peuplement des organes lymphoïdes périphériques : ganglions, rate, plaques de Peyer.
- L’ablation du thymus dès la naissance entraîne une lymphopénie périphérique et des déficits immunitaires graves.
- La greffe du thymus rétablit le peuplement lymphocytaire périphérique et les fonctions.
- La moelle osseuse joue aussi un grand rôle dans le peuplement lymphoïde périphérique.
- Les lymphocytes médullaires migrent dans le thymus, acquièrent des fonctions immunocompétentes et peuplent en partie les organes périphériques.
Thymus: Physiologie
- rôle de la moelle osseuse
- Le thymus joue un rôle essentiel dans le développement lymphoïde car il assure en tant qu’organe lymphoïde central le peuplement des organes lymphoïdes périphériques : ganglions, rate, plaques de Peyer.
- L’ablation du thymus dès la naissance entraîne une lymphopénie périphérique et des déficits immunitaires graves.
- La greffe du thymus rétablit le peuplement lymphocytaire périphérique et les fonctions.
- La moelle osseuse joue aussi un grand rôle dans le peuplement lymphoïde périphérique.
- Les lymphocytes médullaires migrent dans le thymus, acquièrent des fonctions immunocompétentes et peuplent en partie les organes périphériques.
Thymus: Physiologie
- lien entre moelle osseuse et thymus
- Le thymus joue un rôle essentiel dans le développement lymphoïde car il assure en tant qu’organe lymphoïde central le peuplement des organes lymphoïdes périphériques : ganglions, rate, plaques de Peyer.
- L’ablation du thymus dès la naissance entraîne une lymphopénie périphérique et des déficits immunitaires graves.
- La greffe du thymus rétablit le peuplement lymphocytaire périphérique et les fonctions.
- La moelle osseuse joue aussi un grand rôle dans le peuplement lymphoïde périphérique.
- Les lymphocytes médullaires migrent dans le thymus, acquièrent des fonctions immunocompétentes et peuplent en partie les organes périphériques.
Thymus: Physiologie
- chez les oiseaux
- Notons que chez les oiseaux il existe deux organes lymphoïdes centraux : le thymus qui régit l’immunité cellulaire et la bourse de Fabricius qui régit l’immunité humorale.
- Il existe donc deux populations lymphoïdes, l’une thymodépendante, les thymocytes ou « cellules T » intervenant surtout dans l’immunité cellulaire, l’autre “bursodépendante”, les bursocytes ou « cellules B » intervenant dans l’immunité humorale.
- Chez l’homme, la moelle osseuse joue le rôle d’organe central de l’immunité humorale, les cellules B étant donc d’origine médullaire directe (Voir figure 3-1).
Thymus: Physiologie
- chez les oiseaux: organes lymphoïdes centraux
- Notons que chez les oiseaux il existe deux organes lymphoïdes centraux : le thymus qui régit l’immunité cellulaire et la bourse de Fabricius qui régit l’immunité humorale.
- Il existe donc deux populations lymphoïdes, l’une thymodépendante, les thymocytes ou « cellules T » intervenant surtout dans l’immunité cellulaire, l’autre “bursodépendante”, les bursocytes ou « cellules B » intervenant dans l’immunité humorale.
- Chez l’homme, la moelle osseuse joue le rôle d’organe central de l’immunité humorale, les cellules B étant donc d’origine médullaire directe (Voir figure 3-1).
Thymus: Physiologie
- chez les oiseaux: types de populations lymphoïdes
- Notons que chez les oiseaux il existe deux organes lymphoïdes centraux : le thymus qui régit l’immunité cellulaire et la bourse de Fabricius qui régit l’immunité humorale.
- Il existe donc deux populations lymphoïdes, l’une thymodépendante, les thymocytes ou « cellules T » intervenant surtout dans l’immunité cellulaire, l’autre “bursodépendante”, les bursocytes ou « cellules B » intervenant dans l’immunité humorale.
- Chez l’homme, la moelle osseuse joue le rôle d’organe central de l’immunité humorale, les cellules B étant donc d’origine médullaire directe (Voir figure 3-1).
Thymus: Physiologie
- importance moelle osseuse chez l’humain
- Notons que chez les oiseaux il existe deux organes lymphoïdes centraux : le thymus qui régit l’immunité cellulaire et la bourse de Fabricius qui régit l’immunité humorale.
- Il existe donc deux populations lymphoïdes, l’une thymodépendante, les thymocytes ou « cellules T » intervenant surtout dans l’immunité cellulaire, l’autre “bursodépendante”, les bursocytes ou « cellules B » intervenant dans l’immunité humorale.
- Chez l’homme, la moelle osseuse joue le rôle d’organe central de l’immunité humorale, les cellules B étant donc d’origine médullaire directe (Voir figure 3-1).
Cellules lymphoïdes: Leur origine
- Chez l’homme, les cellules lymphoïdes sont toutes issues de la moelle osseuse.
- De là, elles vont aux organes périphériques directement (cellules B) ou par l’intermédiaire du thymus (cellules T).
- Dans le sang normal, les lymphocytes T sont plus nombreux (80%) que les lymphocytes B (10-20%).
- Dans la moelle osseuse, les lymphocytes B sont les plus nombreux.
Cellules lymphoïdes: Étapes
- Chez l’homme, les cellules lymphoïdes sont toutes issues de la moelle osseuse.
- De là, elles vont aux organes périphériques directement (cellules B) ou par l’intermédiaire du thymus (cellules T).
- Dans le sang normal, les lymphocytes T sont plus nombreux (80%) que les lymphocytes B (10-20%).
- Dans la moelle osseuse, les lymphocytes B sont les plus nombreux.
Lymphocytes: T vs B - les plus nombreux dans le sang normal
- Chez l’homme, les cellules lymphoïdes sont toutes issues de la moelle osseuse. De là, elles vont aux organes périphériques directement (cellules B) ou par l’intermédiaire du thymus (cellules T).
- Dans le sang normal, les lymphocytes T sont plus nombreux (80%) que les lymphocytes B (10-20%).
- Dans la moelle osseuse, les lymphocytes B sont les plus nombreux.
Lymphocytes: B vs T - les plus nombreux dans la moelle
- Chez l’homme, les cellules lymphoïdes sont toutes issues de la moelle osseuse. De là, elles vont aux organes périphériques directement (cellules B) ou par l’intermédiaire du thymus (cellules T).
- Dans le sang normal, les lymphocytes T sont plus nombreux (80%) que les lymphocytes B (10-20%).
- Dans la moelle osseuse, les lymphocytes B sont les plus nombreux.
Lymphocytes: grosseur
- Le lymphocyte est une cellule de petit diamètre, à noyau dense nucléolé, quoique le nucléole ne soit visible habituellement qu’au microscope électronique; son cytoplasme est peu abondant et contient peu d’organites.
Lymphocytes: décrire la cellule
- Le lymphocyte est une cellule de petit diamètre, à noyau dense nucléolé, quoique le nucléole ne soit visible habituellement qu’au microscope électronique; son cytoplasme est peu abondant et contient peu d’organites.
Lymphocytes: décrire le noyau
- Le lymphocyte est une cellule de petit diamètre, à noyau dense nucléolé, quoique le nucléole ne soit visible habituellement qu’au microscope électronique; son cytoplasme est peu abondant et contient peu d’organites.
Lymphocytes: décrire le cytoplasme
- Le lymphocyte est une cellule de petit diamètre, à noyau dense nucléolé, quoique le nucléole ne soit visible habituellement qu’au microscope électronique; son cytoplasme est peu abondant et contient peu d’organites.
Lymphocytes: organites
- Le lymphocyte est une cellule de petit diamètre, à noyau dense nucléolé, quoique le nucléole ne soit visible habituellement qu’au microscope électronique; son cytoplasme est peu abondant et contient peu d’organites.
Lymphocytes: décrire nucléole
- Le lymphocyte est une cellule de petit diamètre, à noyau dense nucléolé, quoique le nucléole ne soit visible habituellement qu’au microscope électronique; son cytoplasme est peu abondant et contient peu d’organites.
Ontogénèse des lymphocytes: FIGURE
Lymphocytes: Fonctions
- Les fonctions des lymphocytes sont capitales pour l’immunité humorale aussi bien que pour l’immunité cellulaire.
- Ce sont deux populations lymphocytaires distinctes qui entrent en jeu dans l’une ou l’autre de ces branches de l’immunité.
Lymphocytes: utilité
- Les fonctions des lymphocytes sont capitales pour l’immunité humorale aussi bien que pour l’immunité cellulaire.
- Ce sont deux populations lymphocytaires distinctes qui entrent en jeu dans l’une ou l’autre de ces branches de l’immunité.
Lymphocytes: Populations lymphocytaires
- Les fonctions des lymphocytes sont capitales pour l’immunité humorale aussi bien que pour l’immunité cellulaire.
- Ce sont deux populations lymphocytaires distinctes qui entrent en jeu dans l’une ou l’autre de ces branches de l’immunité.
Transformations lymphocytaires
- À l’état de repos, le lymphocyte a donc un noyau à chromatine condensée, entouré d’un cytoplasme de faible étendue.
- Lorsque le lymphocyte est stimulé par un antigène ou par un agent d’immunostimulation non spécifique, on assiste à un éveil de sa vie interne qui se traduit par des transformations de son noyau et de son cytoplasme.
- En contact avec l’antigène, les cellules lymphoïdes entrent en synthèses actives avec divisions cellulaires, le lymphocyte étant transformé alors en grande cellule basophile ou immunoblaste.
- Ces grandes cellules basophiles donneraient naissance à des lymphocytes effecteurs de l’immunité cellulaire (dans la lignée des cellules T) ou à des plasmocytes synthétisant les anticorps (lignée B).
- En outre, les grandes cellules basophiles donnent naissance dans les deux cas à des lymphocytes “à mémoire” qui gardent le souvenir de cette stimulation antigénique spécifique.
- Ces lymphocytes à mémoire sont capables d’entrer en jeu promptement advenant un nouveau contact avec le même antigène : ils constituent le support de la réaction anamnestique (sécrétion accélérée et beaucoup plus importante d’anticorps lors d’un deuxième contact avec un antigène donné).
Transformations lymphocytaires: Décrire le lymphocyte à l’état de repos
- À l’état de repos, le lymphocyte a donc un noyau à chromatine condensée, entouré d’un cytoplasme de faible étendue.
- Lorsque le lymphocyte est stimulé par un antigène ou par un agent d’immunostimulation non spécifique, on assiste à un éveil de sa vie interne qui se traduit par des transformations de son noyau et de son cytoplasme.
- En contact avec l’antigène, les cellules lymphoïdes entrent en synthèses actives avec divisions cellulaires, le lymphocyte étant transformé alors en grande cellule basophile ou immunoblaste.
- Ces grandes cellules basophiles donneraient naissance à des lymphocytes effecteurs de l’immunité cellulaire (dans la lignée des cellules T) ou à des plasmocytes synthétisant les anticorps (lignée B).
- En outre, les grandes cellules basophiles donnent naissance dans les deux cas à des lymphocytes “à mémoire” qui gardent le souvenir de cette stimulation antigénique spécifique.
- Ces lymphocytes à mémoire sont capables d’entrer en jeu promptement advenant un nouveau contact avec le même antigène : ils constituent le support de la réaction anamnestique (sécrétion accélérée et beaucoup plus importante d’anticorps lors d’un deuxième contact avec un antigène donné).
Transformations lymphocytaires: Ce qui se passe lorsque le lymphocyte est stimulé
- À l’état de repos, le lymphocyte a donc un noyau à chromatine condensée, entouré d’un cytoplasme de faible étendue.
- Lorsque le lymphocyte est stimulé par un antigène ou par un agent d’immunostimulation non spécifique, on assiste à un éveil de sa vie interne qui se traduit par des transformations de son noyau et de son cytoplasme.
- En contact avec l’antigène, les cellules lymphoïdes entrent en synthèses actives avec divisions cellulaires, le lymphocyte étant transformé alors en grande cellule basophile ou immunoblaste.
- Ces grandes cellules basophiles donneraient naissance à des lymphocytes effecteurs de l’immunité cellulaire (dans la lignée des cellules T) ou à des plasmocytes synthétisant les anticorps (lignée B).
- En outre, les grandes cellules basophiles donnent naissance dans les deux cas à des lymphocytes “à mémoire” qui gardent le souvenir de cette stimulation antigénique spécifique.
- Ces lymphocytes à mémoire sont capables d’entrer en jeu promptement advenant un nouveau contact avec le même antigène : ils constituent le support de la réaction anamnestique (sécrétion accélérée et beaucoup plus importante d’anticorps lors d’un deuxième contact avec un antigène donné).
Transformations lymphocytaires: Les grandes cellules basophiles donnent naissance à quoi?
- À l’état de repos, le lymphocyte a donc un noyau à chromatine condensée, entouré d’un cytoplasme de faible étendue.
- Lorsque le lymphocyte est stimulé par un antigène ou par un agent d’immunostimulation non spécifique, on assiste à un éveil de sa vie interne qui se traduit par des transformations de son noyau et de son cytoplasme.
- En contact avec l’antigène, les cellules lymphoïdes entrent en synthèses actives avec divisions cellulaires, le lymphocyte étant transformé alors en grande cellule basophile ou immunoblaste.
- Ces grandes cellules basophiles donneraient naissance à des lymphocytes effecteurs de l’immunité cellulaire (dans la lignée des cellules T) ou à des plasmocytes synthétisant les anticorps (lignée B).
- En outre, les grandes cellules basophiles donnent naissance dans les deux cas à des lymphocytes “à mémoire” qui gardent le souvenir de cette stimulation antigénique spécifique.
- Ces lymphocytes à mémoire sont capables d’entrer en jeu promptement advenant un nouveau contact avec le même antigène : ils constituent le support de la réaction anamnestique (sécrétion accélérée et beaucoup plus importante d’anticorps lors d’un deuxième contact avec un antigène donné).
Transformations lymphocytaires: Utilité des lymphocytes mémoire
- À l’état de repos, le lymphocyte a donc un noyau à chromatine condensée, entouré d’un cytoplasme de faible étendue.
- Lorsque le lymphocyte est stimulé par un antigène ou par un agent d’immunostimulation non spécifique, on assiste à un éveil de sa vie interne qui se traduit par des transformations de son noyau et de son cytoplasme.
- En contact avec l’antigène, les cellules lymphoïdes entrent en synthèses actives avec divisions cellulaires, le lymphocyte étant transformé alors en grande cellule basophile ou immunoblaste.
- Ces grandes cellules basophiles donneraient naissance à des lymphocytes effecteurs de l’immunité cellulaire (dans la lignée des cellules T) ou à des plasmocytes synthétisant les anticorps (lignée B).
- En outre, les grandes cellules basophiles donnent naissance dans les deux cas à des lymphocytes “à mémoire” qui gardent le souvenir de cette stimulation antigénique spécifique.
- Ces lymphocytes à mémoire sont capables d’entrer en jeu promptement advenant un nouveau contact avec le même antigène : ils constituent le support de la réaction anamnestique (sécrétion accélérée et beaucoup plus importante d’anticorps lors d’un deuxième contact avec un antigène donné).
Rôle du lymphocyte dans l’immunité humorale
- Ce sont les plasmocytes qui synthétisent les anticorps, mais la mémoire de l’immunisation est gardée par des lymphocytes à vie très longue qui sont dispersés par la recirculation dans tout le tissu lymphoïde.
- Ajoutons que pour certains antigènes, une coopération entre cellules T et B et les macrophages est nécessaire à la réponse immunitaire.
Rôle du lymphocyte dans l’immunité humorale: Leur rôle
- Ce sont les plasmocytes qui synthétisent les anticorps, mais la mémoire de l’immunisation est gardée par des lymphocytes à vie très longue qui sont dispersés par la recirculation dans tout le tissu lymphoïde.
- Ajoutons que pour certains antigènes, une coopération entre cellules T et B et les macrophages est nécessaire à la réponse immunitaire.
Rôle du lymphocyte dans l’immunité humorale: Coopération entre cellules B et T
- Ce sont les plasmocytes qui synthétisent les anticorps, mais la mémoire de l’immunisation est gardée par des lymphocytes à vie très longue qui sont dispersés par la recirculation dans tout le tissu lymphoïde.
- Ajoutons que pour certains antigènes, une coopération entre cellules T et B et les macrophages est nécessaire à la réponse immunitaire.
Rôle du lymphocyte T dans l’immunité cellulaire: Nommez-les
Le lymphocyte T intervient dans les trois types de manifestations de l’immunité cellulaire:
- 1- Hypersensibilité retardée qui groupe un grand nombre de réactions où l’intervention des anticorps in situ est absente ou très secondaire. Exemple : la réaction tuberculinique.
- 2- Immunité de greffe : les lymphocytes jouent un rôle fondamental dans cette immunité, même si le mécanisme du rejet de la greffe demeure encore en partie obscur. Les lymphocytes « tueurs » interviennent en détruisant spécifiquement leurs cellules-cibles, de même qu’en secrétant divers facteurs solubles appelés lymphokines.
- 3- Réaction du greffon contre l’hôte : si on injecte à un animal aux capacités immunitaires déprimées les cellules lymphoïdes (petits lymphocytes) d’un autre animal, l’hôte ne les détruira pas. Par contre, les cellules lymphoïdes du greffon se transforment en grandes cellules basophiles et attaquent les cellules de l’hôte qui entraînent un arrêt de la croissance chez le jeune animal, une perte de poids, une diarrhée, une atrophie des organes lymphoïdes, et une atteinte des téguments et de certains autres viscères.
Rôle du lymphocyte dans l’immunité cellulaire: Hypersensibilité retardée
- Hypersensibilité retardée qui groupe un grand nombre de réactions où l’intervention des anticorps in situ est absente ou très secondaire.
- Exemple : la réaction tuberculinique.
Rôle du lymphocyte dans l’immunité cellulaire: Hypersensibilité retardée - décrire
- Hypersensibilité retardée qui groupe un grand nombre de réactions où l’intervention des anticorps in situ est absente ou très secondaire.
- Exemple : la réaction tuberculinique.
Rôle du lymphocyte dans l’immunité cellulaire: Hypersensibilité retardée - exemple
- Hypersensibilité retardée qui groupe un grand nombre de réactions où l’intervention des anticorps in situ est absente ou très secondaire.
- Exemple : la réaction tuberculinique.
Rôle du lymphocyte dans l’immunité cellulaire: Immunité de greffe
- Immunité de greffe : les lymphocytes jouent un rôle fondamental dans cette immunité, même si le mécanisme du rejet de la greffe demeure encore en partie obscur.
- Les lymphocytes « tueurs » interviennent en détruisant spécifiquement leurs cellules-cibles, de même qu’en secrétant divers facteurs solubles appelés lymphokines.
Rôle du lymphocyte dans l’immunité cellulaire: Immunité de greffe - rôle des lymphocytes
- Immunité de greffe : les lymphocytes jouent un rôle fondamental dans cette immunité, même si le mécanisme du rejet de la greffe demeure encore en partie obscur.
- Les lymphocytes « tueurs » interviennent en détruisant spécifiquement leurs cellules-cibles, de même qu’en secrétant divers facteurs solubles appelés lymphokines.
Rôle du lymphocyte dans l’immunité cellulaire: Immunité de greffe - rôle des lymphocytes tueurs
- Immunité de greffe : les lymphocytes jouent un rôle fondamental dans cette immunité, même si le mécanisme du rejet de la greffe demeure encore en partie obscur.
- Les lymphocytes « tueurs » interviennent en détruisant spécifiquement leurs cellules-cibles, de même qu’en secrétant divers facteurs solubles appelés lymphokines.
Rôle du lymphocyte dans l’immunité cellulaire: Réaction du greffon contre l’hôte
- Réaction du greffon contre l’hôte : si on injecte à un animal aux capacités immunitaires déprimées les cellules lymphoïdes (petits lymphocytes) d’un autre animal, l’hôte ne les détruira pas.
- Par contre, les cellules lymphoïdes du greffon se transforment en grandes cellules basophiles et attaquent les cellules de l’hôte qui entraînent un arrêt de la croissance chez le jeune animal, une perte de poids, une diarrhée, une atrophie des organes lymphoïdes, et une atteinte des téguments et de certains autres viscères.
Rôle du lymphocyte dans l’immunité cellulaire: Réaction du greffon contre l’hôte - expliquez
- Réaction du greffon contre l’hôte : si on injecte à un animal aux capacités immunitaires déprimées les cellules lymphoïdes (petits lymphocytes) d’un autre animal, l’hôte ne les détruira pas.
- Par contre, les cellules lymphoïdes du greffon se transforment en grandes cellules basophiles et attaquent les cellules de l’hôte qui entraînent un arrêt de la croissance chez le jeune animal, une perte de poids, une diarrhée, une atrophie des organes lymphoïdes, et une atteinte des téguments et de certains autres viscères.
Plasmocyte
- Le plasmocyte est donc une cellule dérivée des lymphocytes B.
- Les plasmocytes sécrètent les anticorps spécifiques de tous les antigènes introduits dans l’organisme.
- Leur rôle est donc essentiel dans l’immunité humorale, mais leur vie étant très courte, ils ne peuvent être les cellules à mémoire.
- Au cours d’une immunisation, les follicules lymphoïdes s’hypertrophient par division active du centre germinatif riche en grandes cellules basophiles, puis des plasmocytes apparaissent en dehors du follicule, autour de lui, en même temps que les anticorps commencent à être décelables dans le sérum.
- Le cytoplasme du plasmocyte, abondant et très basophile, est une véritable usine de synthèse de protéines.
- Les plasmocytes synthétisent les immunoglobulines, et les sécrètent ensuite.
Plasmocyte: Origine / source
- Le plasmocyte est donc une cellule dérivée des lymphocytes B.
- Les plasmocytes sécrètent les anticorps spécifiques de tous les antigènes introduits dans l’organisme.
- Leur rôle est donc essentiel dans l’immunité humorale, mais leur vie étant très courte, ils ne peuvent être les cellules à mémoire.
- Au cours d’une immunisation, les follicules lymphoïdes s’hypertrophient par division active du centre germinatif riche en grandes cellules basophiles, puis des plasmocytes apparaissent en dehors du follicule, autour de lui, en même temps que les anticorps commencent à être décelables dans le sérum.
- Le cytoplasme du plasmocyte, abondant et très basophile, est une véritable usine de synthèse de protéines.
- Les plasmocytes synthétisent les immunoglobulines, et les sécrètent ensuite.
Plasmocyte: Sécrètent quoi?
- Le plasmocyte est donc une cellule dérivée des lymphocytes B.
- Les plasmocytes sécrètent les anticorps spécifiques de tous les antigènes introduits dans l’organisme.
- Leur rôle est donc essentiel dans l’immunité humorale, mais leur vie étant très courte, ils ne peuvent être les cellules à mémoire.
- Au cours d’une immunisation, les follicules lymphoïdes s’hypertrophient par division active du centre germinatif riche en grandes cellules basophiles, puis des plasmocytes apparaissent en dehors du follicule, autour de lui, en même temps que les anticorps commencent à être décelables dans le sérum.
- Le cytoplasme du plasmocyte, abondant et très basophile, est une véritable usine de synthèse de protéines.
- Les plasmocytes synthétisent les immunoglobulines, et les sécrètent ensuite.
Plasmocyte: Rôle
- Le plasmocyte est donc une cellule dérivée des lymphocytes B.
- Les plasmocytes sécrètent les anticorps spécifiques de tous les antigènes introduits dans l’organisme.
- Leur rôle est donc essentiel dans l’immunité humorale, mais leur vie étant très courte, ils ne peuvent être les cellules à mémoire.
- Au cours d’une immunisation, les follicules lymphoïdes s’hypertrophient par division active du centre germinatif riche en grandes cellules basophiles, puis des plasmocytes apparaissent en dehors du follicule, autour de lui, en même temps que les anticorps commencent à être décelables dans le sérum.
- Le cytoplasme du plasmocyte, abondant et très basophile, est une véritable usine de synthèse de protéines.
- Les plasmocytes synthétisent les immunoglobulines, et les sécrètent ensuite.
Plasmocyte: Ce qui se passe au cours d’une immunisation
- Le plasmocyte est donc une cellule dérivée des lymphocytes B.
- Les plasmocytes sécrètent les anticorps spécifiques de tous les antigènes introduits dans l’organisme.
- Leur rôle est donc essentiel dans l’immunité humorale, mais leur vie étant très courte, ils ne peuvent être les cellules à mémoire.
- Au cours d’une immunisation, les follicules lymphoïdes s’hypertrophient par division active du centre germinatif riche en grandes cellules basophiles, puis des plasmocytes apparaissent en dehors du follicule, autour de lui, en même temps que les anticorps commencent à être décelables dans le sérum.
- Le cytoplasme du plasmocyte, abondant et très basophile, est une véritable usine de synthèse de protéines.
- Les plasmocytes synthétisent les immunoglobulines, et les sécrètent ensuite.
Plasmocyte: Utilité du cytoplasme
- Le plasmocyte est donc une cellule dérivée des lymphocytes B.
- Les plasmocytes sécrètent les anticorps spécifiques de tous les antigènes introduits dans l’organisme.
- Leur rôle est donc essentiel dans l’immunité humorale, mais leur vie étant très courte, ils ne peuvent être les cellules à mémoire.
- Au cours d’une immunisation, les follicules lymphoïdes s’hypertrophient par division active du centre germinatif riche en grandes cellules basophiles, puis des plasmocytes apparaissent en dehors du follicule, autour de lui, en même temps que les anticorps commencent à être décelables dans le sérum.
- Le cytoplasme du plasmocyte, abondant et très basophile, est une véritable usine de synthèse de protéines.
- Les plasmocytes synthétisent les immunoglobulines, et les sécrètent ensuite.
Plasmocyte: Durée de vie
- Le plasmocyte est donc une cellule dérivée des lymphocytes B.
- Les plasmocytes sécrètent les anticorps spécifiques de tous les antigènes introduits dans l’organisme.
- Leur rôle est donc essentiel dans l’immunité humorale, mais leur vie étant très courte, ils ne peuvent être les cellules à mémoire.
- Au cours d’une immunisation, les follicules lymphoïdes s’hypertrophient par division active du centre germinatif riche en grandes cellules basophiles, puis des plasmocytes apparaissent en dehors du follicule, autour de lui, en même temps que les anticorps commencent à être décelables dans le sérum.
- Le cytoplasme du plasmocyte, abondant et très basophile, est une véritable usine de synthèse de protéines.
- Les plasmocytes synthétisent les immunoglobulines, et les sécrètent ensuite.
Immunostimulation spécifique: Par quoi?
- L’immunostimulation spécifique par un antigène est celle qui est la mieux connue et la plus fréquente.
- Elle provoque des réactions immunitaires spécifiques, par exemple l’entrée en action privilégiée des lymphocytes à mémoire qui ont le souvenir de cet antigène particulier, et ultérieurement la sécrétion d’anticorps à activité spécifique pour les déterminants antigéniques de l’antigène en cause.
Immunostimulation spécifique: Fréquence
- L’immunostimulation spécifique par un antigène est celle qui est la mieux connue et la plus fréquente.
- Elle provoque des réactions immunitaires spécifiques, par exemple l’entrée en action privilégiée des lymphocytes à mémoire qui ont le souvenir de cet antigène particulier, et ultérieurement la sécrétion d’anticorps à activité spécifique pour les déterminants antigéniques de l’antigène en cause.
Immunostimulation spécifique: Elle provoque quoi?
- L’immunostimulation spécifique par un antigène est celle qui est la mieux connue et la plus fréquente.
- Elle provoque des réactions immunitaires spécifiques, par exemple l’entrée en action privilégiée des lymphocytes à mémoire qui ont le souvenir de cet antigène particulier, et ultérieurement la sécrétion d’anticorps à activité spécifique pour les déterminants antigéniques de l’antigène en cause.
Immunostimulation non spécifique
- D’autre part, il existe des agents capables de provoquer une immunostimulation non spécifique, par des mécanismes moins bien connus.
- Ainsi, l’injection intradermique d’extraits du bacille de Koch (tuberculine), de même que certains autres adjuvants, sont capables de provoquer une stimulation générale de l’appareil immunitaire, qui n’est pas dirigée uniquement contre les antigènes de la substance injectée.
- De la même façon, il semble que certaines infections virales soient capables de stimuler de façon non spécifique le tissu lymphoïde et les lymphocytes.
- C’est peut-être le cas de la mononucléose infectieuse.
- Enfin, il existe d’autres maladies au cours desquelles on observe une augmentation très importante et non sélective des immunoglobulines sériques : il en est ainsi très souvent dans la cirrhose du foie, et au cours de certaines collagénoses.
- Ces taux très augmentés des immunoglobulines semblent refléter une synthèse accrue des anticorps, ce qui suggère qu’une immunostimulation non spécifique intervient au cours de ces maladies, par des mécanismes inconnus.