Affections bénignes des lymphocytes et des plasmocytes Flashcards

1
Q

Thymus: Physiologie

A
  • Le thymus joue un rôle essentiel dans le développement lymphoïde car il assure en tant qu’organe lymphoïde central le peuplement des organes lymphoïdes périphériques : ganglions, rate, plaques de Peyer.
  • L’ablation du thymus dès la naissance entraîne une lymphopénie périphérique et des déficits immunitaires graves.
  • La greffe du thymus rétablit le peuplement lymphocytaire périphérique et les fonctions.
  • La moelle osseuse joue aussi un grand rôle dans le peuplement lymphoïde périphérique.
  • Les lymphocytes médullaires migrent dans le thymus, acquièrent des fonctions immunocompétentes et peuplent en partie les organes périphériques.
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Q

Thymus: Physiologie
- rôle du thymus

A
  • Le thymus joue un rôle essentiel dans le développement lymphoïde car il assure en tant qu’organe lymphoïde central le peuplement des organes lymphoïdes périphériques : ganglions, rate, plaques de Peyer.
  • L’ablation du thymus dès la naissance entraîne une lymphopénie périphérique et des déficits immunitaires graves.
  • La greffe du thymus rétablit le peuplement lymphocytaire périphérique et les fonctions.
  • La moelle osseuse joue aussi un grand rôle dans le peuplement lymphoïde périphérique.
  • Les lymphocytes médullaires migrent dans le thymus, acquièrent des fonctions immunocompétentes et peuplent en partie les organes périphériques.
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3
Q

Thymus: Physiologie
- conséquence d’une ablation du thymus

A
  • Le thymus joue un rôle essentiel dans le développement lymphoïde car il assure en tant qu’organe lymphoïde central le peuplement des organes lymphoïdes périphériques : ganglions, rate, plaques de Peyer.
  • L’ablation du thymus dès la naissance entraîne une lymphopénie périphérique et des déficits immunitaires graves.
  • La greffe du thymus rétablit le peuplement lymphocytaire périphérique et les fonctions.
  • La moelle osseuse joue aussi un grand rôle dans le peuplement lymphoïde périphérique.
  • Les lymphocytes médullaires migrent dans le thymus, acquièrent des fonctions immunocompétentes et peuplent en partie les organes périphériques.
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4
Q

Thymus: Physiologie
- greffe de thymus

A
  • Le thymus joue un rôle essentiel dans le développement lymphoïde car il assure en tant qu’organe lymphoïde central le peuplement des organes lymphoïdes périphériques : ganglions, rate, plaques de Peyer.
  • L’ablation du thymus dès la naissance entraîne une lymphopénie périphérique et des déficits immunitaires graves.
  • La greffe du thymus rétablit le peuplement lymphocytaire périphérique et les fonctions.
  • La moelle osseuse joue aussi un grand rôle dans le peuplement lymphoïde périphérique.
  • Les lymphocytes médullaires migrent dans le thymus, acquièrent des fonctions immunocompétentes et peuplent en partie les organes périphériques.
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5
Q

Thymus: Physiologie
- rôle de la moelle osseuse

A
  • Le thymus joue un rôle essentiel dans le développement lymphoïde car il assure en tant qu’organe lymphoïde central le peuplement des organes lymphoïdes périphériques : ganglions, rate, plaques de Peyer.
  • L’ablation du thymus dès la naissance entraîne une lymphopénie périphérique et des déficits immunitaires graves.
  • La greffe du thymus rétablit le peuplement lymphocytaire périphérique et les fonctions.
  • La moelle osseuse joue aussi un grand rôle dans le peuplement lymphoïde périphérique.
  • Les lymphocytes médullaires migrent dans le thymus, acquièrent des fonctions immunocompétentes et peuplent en partie les organes périphériques.
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6
Q

Thymus: Physiologie
- lien entre moelle osseuse et thymus

A
  • Le thymus joue un rôle essentiel dans le développement lymphoïde car il assure en tant qu’organe lymphoïde central le peuplement des organes lymphoïdes périphériques : ganglions, rate, plaques de Peyer.
  • L’ablation du thymus dès la naissance entraîne une lymphopénie périphérique et des déficits immunitaires graves.
  • La greffe du thymus rétablit le peuplement lymphocytaire périphérique et les fonctions.
  • La moelle osseuse joue aussi un grand rôle dans le peuplement lymphoïde périphérique.
  • Les lymphocytes médullaires migrent dans le thymus, acquièrent des fonctions immunocompétentes et peuplent en partie les organes périphériques.
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7
Q

Thymus: Physiologie
- chez les oiseaux

A
  • Notons que chez les oiseaux il existe deux organes lymphoïdes centraux : le thymus qui régit l’immunité cellulaire et la bourse de Fabricius qui régit l’immunité humorale.
  • Il existe donc deux populations lymphoïdes, l’une thymodépendante, les thymocytes ou « cellules T » intervenant surtout dans l’immunité cellulaire, l’autre “bursodépendante”, les bursocytes ou « cellules B » intervenant dans l’immunité humorale.
  • Chez l’homme, la moelle osseuse joue le rôle d’organe central de l’immunité humorale, les cellules B étant donc d’origine médullaire directe (Voir figure 3-1).
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8
Q

Thymus: Physiologie
- chez les oiseaux: organes lymphoïdes centraux

A
  • Notons que chez les oiseaux il existe deux organes lymphoïdes centraux : le thymus qui régit l’immunité cellulaire et la bourse de Fabricius qui régit l’immunité humorale.
  • Il existe donc deux populations lymphoïdes, l’une thymodépendante, les thymocytes ou « cellules T » intervenant surtout dans l’immunité cellulaire, l’autre “bursodépendante”, les bursocytes ou « cellules B » intervenant dans l’immunité humorale.
  • Chez l’homme, la moelle osseuse joue le rôle d’organe central de l’immunité humorale, les cellules B étant donc d’origine médullaire directe (Voir figure 3-1).
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9
Q

Thymus: Physiologie
- chez les oiseaux: types de populations lymphoïdes

A
  • Notons que chez les oiseaux il existe deux organes lymphoïdes centraux : le thymus qui régit l’immunité cellulaire et la bourse de Fabricius qui régit l’immunité humorale.
  • Il existe donc deux populations lymphoïdes, l’une thymodépendante, les thymocytes ou « cellules T » intervenant surtout dans l’immunité cellulaire, l’autre “bursodépendante”, les bursocytes ou « cellules B » intervenant dans l’immunité humorale.
  • Chez l’homme, la moelle osseuse joue le rôle d’organe central de l’immunité humorale, les cellules B étant donc d’origine médullaire directe (Voir figure 3-1).
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10
Q

Thymus: Physiologie
- importance moelle osseuse chez l’humain

A
  • Notons que chez les oiseaux il existe deux organes lymphoïdes centraux : le thymus qui régit l’immunité cellulaire et la bourse de Fabricius qui régit l’immunité humorale.
  • Il existe donc deux populations lymphoïdes, l’une thymodépendante, les thymocytes ou « cellules T » intervenant surtout dans l’immunité cellulaire, l’autre “bursodépendante”, les bursocytes ou « cellules B » intervenant dans l’immunité humorale.
  • Chez l’homme, la moelle osseuse joue le rôle d’organe central de l’immunité humorale, les cellules B étant donc d’origine médullaire directe (Voir figure 3-1).
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11
Q

Cellules lymphoïdes: Leur origine

A
  • Chez l’homme, les cellules lymphoïdes sont toutes issues de la moelle osseuse.
  • De là, elles vont aux organes périphériques directement (cellules B) ou par l’intermédiaire du thymus (cellules T).
  • Dans le sang normal, les lymphocytes T sont plus nombreux (80%) que les lymphocytes B (10-20%).
  • Dans la moelle osseuse, les lymphocytes B sont les plus nombreux.
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12
Q

Cellules lymphoïdes: Étapes

A
  • Chez l’homme, les cellules lymphoïdes sont toutes issues de la moelle osseuse.
  • De là, elles vont aux organes périphériques directement (cellules B) ou par l’intermédiaire du thymus (cellules T).
  • Dans le sang normal, les lymphocytes T sont plus nombreux (80%) que les lymphocytes B (10-20%).
  • Dans la moelle osseuse, les lymphocytes B sont les plus nombreux.
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13
Q

Lymphocytes: T vs B - les plus nombreux dans le sang normal

A
  • Chez l’homme, les cellules lymphoïdes sont toutes issues de la moelle osseuse. De là, elles vont aux organes périphériques directement (cellules B) ou par l’intermédiaire du thymus (cellules T).
  • Dans le sang normal, les lymphocytes T sont plus nombreux (80%) que les lymphocytes B (10-20%).
  • Dans la moelle osseuse, les lymphocytes B sont les plus nombreux.
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14
Q

Lymphocytes: B vs T - les plus nombreux dans la moelle

A
  • Chez l’homme, les cellules lymphoïdes sont toutes issues de la moelle osseuse. De là, elles vont aux organes périphériques directement (cellules B) ou par l’intermédiaire du thymus (cellules T).
  • Dans le sang normal, les lymphocytes T sont plus nombreux (80%) que les lymphocytes B (10-20%).
  • Dans la moelle osseuse, les lymphocytes B sont les plus nombreux.
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15
Q

Lymphocytes: grosseur

A
  • Le lymphocyte est une cellule de petit diamètre, à noyau dense nucléolé, quoique le nucléole ne soit visible habituellement qu’au microscope électronique; son cytoplasme est peu abondant et contient peu d’organites.
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16
Q

Lymphocytes: décrire la cellule

A
  • Le lymphocyte est une cellule de petit diamètre, à noyau dense nucléolé, quoique le nucléole ne soit visible habituellement qu’au microscope électronique; son cytoplasme est peu abondant et contient peu d’organites.
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17
Q

Lymphocytes: décrire le noyau

A
  • Le lymphocyte est une cellule de petit diamètre, à noyau dense nucléolé, quoique le nucléole ne soit visible habituellement qu’au microscope électronique; son cytoplasme est peu abondant et contient peu d’organites.
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18
Q

Lymphocytes: décrire le cytoplasme

A
  • Le lymphocyte est une cellule de petit diamètre, à noyau dense nucléolé, quoique le nucléole ne soit visible habituellement qu’au microscope électronique; son cytoplasme est peu abondant et contient peu d’organites.
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19
Q

Lymphocytes: organites

A
  • Le lymphocyte est une cellule de petit diamètre, à noyau dense nucléolé, quoique le nucléole ne soit visible habituellement qu’au microscope électronique; son cytoplasme est peu abondant et contient peu d’organites.
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20
Q

Lymphocytes: décrire nucléole

A
  • Le lymphocyte est une cellule de petit diamètre, à noyau dense nucléolé, quoique le nucléole ne soit visible habituellement qu’au microscope électronique; son cytoplasme est peu abondant et contient peu d’organites.
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21
Q

Ontogénèse des lymphocytes: FIGURE

A
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22
Q

Lymphocytes: Fonctions

A
  • Les fonctions des lymphocytes sont capitales pour l’immunité humorale aussi bien que pour l’immunité cellulaire.
  • Ce sont deux populations lymphocytaires distinctes qui entrent en jeu dans l’une ou l’autre de ces branches de l’immunité.
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23
Q

Lymphocytes: utilité

A
  • Les fonctions des lymphocytes sont capitales pour l’immunité humorale aussi bien que pour l’immunité cellulaire.
  • Ce sont deux populations lymphocytaires distinctes qui entrent en jeu dans l’une ou l’autre de ces branches de l’immunité.
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24
Q

Lymphocytes: Populations lymphocytaires

A
  • Les fonctions des lymphocytes sont capitales pour l’immunité humorale aussi bien que pour l’immunité cellulaire.
  • Ce sont deux populations lymphocytaires distinctes qui entrent en jeu dans l’une ou l’autre de ces branches de l’immunité.
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25
Q

Transformations lymphocytaires

A
  • À l’état de repos, le lymphocyte a donc un noyau à chromatine condensée, entouré d’un cytoplasme de faible étendue.
  • Lorsque le lymphocyte est stimulé par un antigène ou par un agent d’immunostimulation non spécifique, on assiste à un éveil de sa vie interne qui se traduit par des transformations de son noyau et de son cytoplasme.
  • En contact avec l’antigène, les cellules lymphoïdes entrent en synthèses actives avec divisions cellulaires, le lymphocyte étant transformé alors en grande cellule basophile ou immunoblaste.
  • Ces grandes cellules basophiles donneraient naissance à des lymphocytes effecteurs de l’immunité cellulaire (dans la lignée des cellules T) ou à des plasmocytes synthétisant les anticorps (lignée B).
  • En outre, les grandes cellules basophiles donnent naissance dans les deux cas à des lymphocytes “à mémoire” qui gardent le souvenir de cette stimulation antigénique spécifique.
  • Ces lymphocytes à mémoire sont capables d’entrer en jeu promptement advenant un nouveau contact avec le même antigène : ils constituent le support de la réaction anamnestique (sécrétion accélérée et beaucoup plus importante d’anticorps lors d’un deuxième contact avec un antigène donné).
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26
Q

Transformations lymphocytaires: Décrire le lymphocyte à l’état de repos

A
  • À l’état de repos, le lymphocyte a donc un noyau à chromatine condensée, entouré d’un cytoplasme de faible étendue.
  • Lorsque le lymphocyte est stimulé par un antigène ou par un agent d’immunostimulation non spécifique, on assiste à un éveil de sa vie interne qui se traduit par des transformations de son noyau et de son cytoplasme.
  • En contact avec l’antigène, les cellules lymphoïdes entrent en synthèses actives avec divisions cellulaires, le lymphocyte étant transformé alors en grande cellule basophile ou immunoblaste.
  • Ces grandes cellules basophiles donneraient naissance à des lymphocytes effecteurs de l’immunité cellulaire (dans la lignée des cellules T) ou à des plasmocytes synthétisant les anticorps (lignée B).
  • En outre, les grandes cellules basophiles donnent naissance dans les deux cas à des lymphocytes “à mémoire” qui gardent le souvenir de cette stimulation antigénique spécifique.
  • Ces lymphocytes à mémoire sont capables d’entrer en jeu promptement advenant un nouveau contact avec le même antigène : ils constituent le support de la réaction anamnestique (sécrétion accélérée et beaucoup plus importante d’anticorps lors d’un deuxième contact avec un antigène donné).
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27
Q

Transformations lymphocytaires: Ce qui se passe lorsque le lymphocyte est stimulé

A
  • À l’état de repos, le lymphocyte a donc un noyau à chromatine condensée, entouré d’un cytoplasme de faible étendue.
  • Lorsque le lymphocyte est stimulé par un antigène ou par un agent d’immunostimulation non spécifique, on assiste à un éveil de sa vie interne qui se traduit par des transformations de son noyau et de son cytoplasme.
  • En contact avec l’antigène, les cellules lymphoïdes entrent en synthèses actives avec divisions cellulaires, le lymphocyte étant transformé alors en grande cellule basophile ou immunoblaste.
  • Ces grandes cellules basophiles donneraient naissance à des lymphocytes effecteurs de l’immunité cellulaire (dans la lignée des cellules T) ou à des plasmocytes synthétisant les anticorps (lignée B).
  • En outre, les grandes cellules basophiles donnent naissance dans les deux cas à des lymphocytes “à mémoire” qui gardent le souvenir de cette stimulation antigénique spécifique.
  • Ces lymphocytes à mémoire sont capables d’entrer en jeu promptement advenant un nouveau contact avec le même antigène : ils constituent le support de la réaction anamnestique (sécrétion accélérée et beaucoup plus importante d’anticorps lors d’un deuxième contact avec un antigène donné).
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28
Q

Transformations lymphocytaires: Les grandes cellules basophiles donnent naissance à quoi?

A
  • À l’état de repos, le lymphocyte a donc un noyau à chromatine condensée, entouré d’un cytoplasme de faible étendue.
  • Lorsque le lymphocyte est stimulé par un antigène ou par un agent d’immunostimulation non spécifique, on assiste à un éveil de sa vie interne qui se traduit par des transformations de son noyau et de son cytoplasme.
  • En contact avec l’antigène, les cellules lymphoïdes entrent en synthèses actives avec divisions cellulaires, le lymphocyte étant transformé alors en grande cellule basophile ou immunoblaste.
  • Ces grandes cellules basophiles donneraient naissance à des lymphocytes effecteurs de l’immunité cellulaire (dans la lignée des cellules T) ou à des plasmocytes synthétisant les anticorps (lignée B).
  • En outre, les grandes cellules basophiles donnent naissance dans les deux cas à des lymphocytes “à mémoire” qui gardent le souvenir de cette stimulation antigénique spécifique.
  • Ces lymphocytes à mémoire sont capables d’entrer en jeu promptement advenant un nouveau contact avec le même antigène : ils constituent le support de la réaction anamnestique (sécrétion accélérée et beaucoup plus importante d’anticorps lors d’un deuxième contact avec un antigène donné).
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29
Q

Transformations lymphocytaires: Utilité des lymphocytes mémoire

A
  • À l’état de repos, le lymphocyte a donc un noyau à chromatine condensée, entouré d’un cytoplasme de faible étendue.
  • Lorsque le lymphocyte est stimulé par un antigène ou par un agent d’immunostimulation non spécifique, on assiste à un éveil de sa vie interne qui se traduit par des transformations de son noyau et de son cytoplasme.
  • En contact avec l’antigène, les cellules lymphoïdes entrent en synthèses actives avec divisions cellulaires, le lymphocyte étant transformé alors en grande cellule basophile ou immunoblaste.
  • Ces grandes cellules basophiles donneraient naissance à des lymphocytes effecteurs de l’immunité cellulaire (dans la lignée des cellules T) ou à des plasmocytes synthétisant les anticorps (lignée B).
  • En outre, les grandes cellules basophiles donnent naissance dans les deux cas à des lymphocytes “à mémoire” qui gardent le souvenir de cette stimulation antigénique spécifique.
  • Ces lymphocytes à mémoire sont capables d’entrer en jeu promptement advenant un nouveau contact avec le même antigène : ils constituent le support de la réaction anamnestique (sécrétion accélérée et beaucoup plus importante d’anticorps lors d’un deuxième contact avec un antigène donné).
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30
Q

Rôle du lymphocyte dans l’immunité humorale

A
  • Ce sont les plasmocytes qui synthétisent les anticorps, mais la mémoire de l’immunisation est gardée par des lymphocytes à vie très longue qui sont dispersés par la recirculation dans tout le tissu lymphoïde.
  • Ajoutons que pour certains antigènes, une coopération entre cellules T et B et les macrophages est nécessaire à la réponse immunitaire.
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31
Q

Rôle du lymphocyte dans l’immunité humorale: Leur rôle

A
  • Ce sont les plasmocytes qui synthétisent les anticorps, mais la mémoire de l’immunisation est gardée par des lymphocytes à vie très longue qui sont dispersés par la recirculation dans tout le tissu lymphoïde.
  • Ajoutons que pour certains antigènes, une coopération entre cellules T et B et les macrophages est nécessaire à la réponse immunitaire.
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32
Q

Rôle du lymphocyte dans l’immunité humorale: Coopération entre cellules B et T

A
  • Ce sont les plasmocytes qui synthétisent les anticorps, mais la mémoire de l’immunisation est gardée par des lymphocytes à vie très longue qui sont dispersés par la recirculation dans tout le tissu lymphoïde.
  • Ajoutons que pour certains antigènes, une coopération entre cellules T et B et les macrophages est nécessaire à la réponse immunitaire.
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33
Q

Rôle du lymphocyte T dans l’immunité cellulaire: Nommez-les

A

Le lymphocyte T intervient dans les trois types de manifestations de l’immunité cellulaire:

  • 1- Hypersensibilité retardée qui groupe un grand nombre de réactions où l’intervention des anticorps in situ est absente ou très secondaire. Exemple : la réaction tuberculinique.
  • 2- Immunité de greffe : les lymphocytes jouent un rôle fondamental dans cette immunité, même si le mécanisme du rejet de la greffe demeure encore en partie obscur. Les lymphocytes « tueurs » interviennent en détruisant spécifiquement leurs cellules-cibles, de même qu’en secrétant divers facteurs solubles appelés lymphokines.
  • 3- Réaction du greffon contre l’hôte : si on injecte à un animal aux capacités immunitaires déprimées les cellules lymphoïdes (petits lymphocytes) d’un autre animal, l’hôte ne les détruira pas. Par contre, les cellules lymphoïdes du greffon se transforment en grandes cellules basophiles et attaquent les cellules de l’hôte qui entraînent un arrêt de la croissance chez le jeune animal, une perte de poids, une diarrhée, une atrophie des organes lymphoïdes, et une atteinte des téguments et de certains autres viscères.
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34
Q

Rôle du lymphocyte dans l’immunité cellulaire: Hypersensibilité retardée

A
  • Hypersensibilité retardée qui groupe un grand nombre de réactions où l’intervention des anticorps in situ est absente ou très secondaire.
  • Exemple : la réaction tuberculinique.
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35
Q

Rôle du lymphocyte dans l’immunité cellulaire: Hypersensibilité retardée - décrire

A
  • Hypersensibilité retardée qui groupe un grand nombre de réactions où l’intervention des anticorps in situ est absente ou très secondaire.
  • Exemple : la réaction tuberculinique.
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36
Q

Rôle du lymphocyte dans l’immunité cellulaire: Hypersensibilité retardée - exemple

A
  • Hypersensibilité retardée qui groupe un grand nombre de réactions où l’intervention des anticorps in situ est absente ou très secondaire.
  • Exemple : la réaction tuberculinique.
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37
Q

Rôle du lymphocyte dans l’immunité cellulaire: Immunité de greffe

A
  • Immunité de greffe : les lymphocytes jouent un rôle fondamental dans cette immunité, même si le mécanisme du rejet de la greffe demeure encore en partie obscur.
  • Les lymphocytes « tueurs » interviennent en détruisant spécifiquement leurs cellules-cibles, de même qu’en secrétant divers facteurs solubles appelés lymphokines.
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38
Q

Rôle du lymphocyte dans l’immunité cellulaire: Immunité de greffe - rôle des lymphocytes

A
  • Immunité de greffe : les lymphocytes jouent un rôle fondamental dans cette immunité, même si le mécanisme du rejet de la greffe demeure encore en partie obscur.
  • Les lymphocytes « tueurs » interviennent en détruisant spécifiquement leurs cellules-cibles, de même qu’en secrétant divers facteurs solubles appelés lymphokines.
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39
Q

Rôle du lymphocyte dans l’immunité cellulaire: Immunité de greffe - rôle des lymphocytes tueurs

A
  • Immunité de greffe : les lymphocytes jouent un rôle fondamental dans cette immunité, même si le mécanisme du rejet de la greffe demeure encore en partie obscur.
  • Les lymphocytes « tueurs » interviennent en détruisant spécifiquement leurs cellules-cibles, de même qu’en secrétant divers facteurs solubles appelés lymphokines.
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40
Q

Rôle du lymphocyte dans l’immunité cellulaire: Réaction du greffon contre l’hôte

A
  • Réaction du greffon contre l’hôte : si on injecte à un animal aux capacités immunitaires déprimées les cellules lymphoïdes (petits lymphocytes) d’un autre animal, l’hôte ne les détruira pas.
  • Par contre, les cellules lymphoïdes du greffon se transforment en grandes cellules basophiles et attaquent les cellules de l’hôte qui entraînent un arrêt de la croissance chez le jeune animal, une perte de poids, une diarrhée, une atrophie des organes lymphoïdes, et une atteinte des téguments et de certains autres viscères.
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41
Q

Rôle du lymphocyte dans l’immunité cellulaire: Réaction du greffon contre l’hôte - expliquez

A
  • Réaction du greffon contre l’hôte : si on injecte à un animal aux capacités immunitaires déprimées les cellules lymphoïdes (petits lymphocytes) d’un autre animal, l’hôte ne les détruira pas.
  • Par contre, les cellules lymphoïdes du greffon se transforment en grandes cellules basophiles et attaquent les cellules de l’hôte qui entraînent un arrêt de la croissance chez le jeune animal, une perte de poids, une diarrhée, une atrophie des organes lymphoïdes, et une atteinte des téguments et de certains autres viscères.
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42
Q

Plasmocyte

A
  • Le plasmocyte est donc une cellule dérivée des lymphocytes B.
  • Les plasmocytes sécrètent les anticorps spécifiques de tous les antigènes introduits dans l’organisme.
  • Leur rôle est donc essentiel dans l’immunité humorale, mais leur vie étant très courte, ils ne peuvent être les cellules à mémoire.
  • Au cours d’une immunisation, les follicules lymphoïdes s’hypertrophient par division active du centre germinatif riche en grandes cellules basophiles, puis des plasmocytes apparaissent en dehors du follicule, autour de lui, en même temps que les anticorps commencent à être décelables dans le sérum.
  • Le cytoplasme du plasmocyte, abondant et très basophile, est une véritable usine de synthèse de protéines.
  • Les plasmocytes synthétisent les immunoglobulines, et les sécrètent ensuite.
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43
Q

Plasmocyte: Origine / source

A
  • Le plasmocyte est donc une cellule dérivée des lymphocytes B.
  • Les plasmocytes sécrètent les anticorps spécifiques de tous les antigènes introduits dans l’organisme.
  • Leur rôle est donc essentiel dans l’immunité humorale, mais leur vie étant très courte, ils ne peuvent être les cellules à mémoire.
  • Au cours d’une immunisation, les follicules lymphoïdes s’hypertrophient par division active du centre germinatif riche en grandes cellules basophiles, puis des plasmocytes apparaissent en dehors du follicule, autour de lui, en même temps que les anticorps commencent à être décelables dans le sérum.
  • Le cytoplasme du plasmocyte, abondant et très basophile, est une véritable usine de synthèse de protéines.
  • Les plasmocytes synthétisent les immunoglobulines, et les sécrètent ensuite.
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44
Q

Plasmocyte: Sécrètent quoi?

A
  • Le plasmocyte est donc une cellule dérivée des lymphocytes B.
  • Les plasmocytes sécrètent les anticorps spécifiques de tous les antigènes introduits dans l’organisme.
  • Leur rôle est donc essentiel dans l’immunité humorale, mais leur vie étant très courte, ils ne peuvent être les cellules à mémoire.
  • Au cours d’une immunisation, les follicules lymphoïdes s’hypertrophient par division active du centre germinatif riche en grandes cellules basophiles, puis des plasmocytes apparaissent en dehors du follicule, autour de lui, en même temps que les anticorps commencent à être décelables dans le sérum.
  • Le cytoplasme du plasmocyte, abondant et très basophile, est une véritable usine de synthèse de protéines.
  • Les plasmocytes synthétisent les immunoglobulines, et les sécrètent ensuite.
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Q

Plasmocyte: Rôle

A
  • Le plasmocyte est donc une cellule dérivée des lymphocytes B.
  • Les plasmocytes sécrètent les anticorps spécifiques de tous les antigènes introduits dans l’organisme.
  • Leur rôle est donc essentiel dans l’immunité humorale, mais leur vie étant très courte, ils ne peuvent être les cellules à mémoire.
  • Au cours d’une immunisation, les follicules lymphoïdes s’hypertrophient par division active du centre germinatif riche en grandes cellules basophiles, puis des plasmocytes apparaissent en dehors du follicule, autour de lui, en même temps que les anticorps commencent à être décelables dans le sérum.
  • Le cytoplasme du plasmocyte, abondant et très basophile, est une véritable usine de synthèse de protéines.
  • Les plasmocytes synthétisent les immunoglobulines, et les sécrètent ensuite.
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Q

Plasmocyte: Ce qui se passe au cours d’une immunisation

A
  • Le plasmocyte est donc une cellule dérivée des lymphocytes B.
  • Les plasmocytes sécrètent les anticorps spécifiques de tous les antigènes introduits dans l’organisme.
  • Leur rôle est donc essentiel dans l’immunité humorale, mais leur vie étant très courte, ils ne peuvent être les cellules à mémoire.
  • Au cours d’une immunisation, les follicules lymphoïdes s’hypertrophient par division active du centre germinatif riche en grandes cellules basophiles, puis des plasmocytes apparaissent en dehors du follicule, autour de lui, en même temps que les anticorps commencent à être décelables dans le sérum.
  • Le cytoplasme du plasmocyte, abondant et très basophile, est une véritable usine de synthèse de protéines.
  • Les plasmocytes synthétisent les immunoglobulines, et les sécrètent ensuite.
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47
Q

Plasmocyte: Utilité du cytoplasme

A
  • Le plasmocyte est donc une cellule dérivée des lymphocytes B.
  • Les plasmocytes sécrètent les anticorps spécifiques de tous les antigènes introduits dans l’organisme.
  • Leur rôle est donc essentiel dans l’immunité humorale, mais leur vie étant très courte, ils ne peuvent être les cellules à mémoire.
  • Au cours d’une immunisation, les follicules lymphoïdes s’hypertrophient par division active du centre germinatif riche en grandes cellules basophiles, puis des plasmocytes apparaissent en dehors du follicule, autour de lui, en même temps que les anticorps commencent à être décelables dans le sérum.
  • Le cytoplasme du plasmocyte, abondant et très basophile, est une véritable usine de synthèse de protéines.
  • Les plasmocytes synthétisent les immunoglobulines, et les sécrètent ensuite.
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48
Q

Plasmocyte: Durée de vie

A
  • Le plasmocyte est donc une cellule dérivée des lymphocytes B.
  • Les plasmocytes sécrètent les anticorps spécifiques de tous les antigènes introduits dans l’organisme.
  • Leur rôle est donc essentiel dans l’immunité humorale, mais leur vie étant très courte, ils ne peuvent être les cellules à mémoire.
  • Au cours d’une immunisation, les follicules lymphoïdes s’hypertrophient par division active du centre germinatif riche en grandes cellules basophiles, puis des plasmocytes apparaissent en dehors du follicule, autour de lui, en même temps que les anticorps commencent à être décelables dans le sérum.
  • Le cytoplasme du plasmocyte, abondant et très basophile, est une véritable usine de synthèse de protéines.
  • Les plasmocytes synthétisent les immunoglobulines, et les sécrètent ensuite.
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49
Q

Immunostimulation spécifique: Par quoi?

A
  • L’immunostimulation spécifique par un antigène est celle qui est la mieux connue et la plus fréquente.
  • Elle provoque des réactions immunitaires spécifiques, par exemple l’entrée en action privilégiée des lymphocytes à mémoire qui ont le souvenir de cet antigène particulier, et ultérieurement la sécrétion d’anticorps à activité spécifique pour les déterminants antigéniques de l’antigène en cause.
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50
Q

Immunostimulation spécifique: Fréquence

A
  • L’immunostimulation spécifique par un antigène est celle qui est la mieux connue et la plus fréquente.
  • Elle provoque des réactions immunitaires spécifiques, par exemple l’entrée en action privilégiée des lymphocytes à mémoire qui ont le souvenir de cet antigène particulier, et ultérieurement la sécrétion d’anticorps à activité spécifique pour les déterminants antigéniques de l’antigène en cause.
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51
Q

Immunostimulation spécifique: Elle provoque quoi?

A
  • L’immunostimulation spécifique par un antigène est celle qui est la mieux connue et la plus fréquente.
  • Elle provoque des réactions immunitaires spécifiques, par exemple l’entrée en action privilégiée des lymphocytes à mémoire qui ont le souvenir de cet antigène particulier, et ultérieurement la sécrétion d’anticorps à activité spécifique pour les déterminants antigéniques de l’antigène en cause.
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52
Q

Immunostimulation non spécifique

A
  • D’autre part, il existe des agents capables de provoquer une immunostimulation non spécifique, par des mécanismes moins bien connus.
  • Ainsi, l’injection intradermique d’extraits du bacille de Koch (tuberculine), de même que certains autres adjuvants, sont capables de provoquer une stimulation générale de l’appareil immunitaire, qui n’est pas dirigée uniquement contre les antigènes de la substance injectée.
  • De la même façon, il semble que certaines infections virales soient capables de stimuler de façon non spécifique le tissu lymphoïde et les lymphocytes.
  • C’est peut-être le cas de la mononucléose infectieuse.
  • Enfin, il existe d’autres maladies au cours desquelles on observe une augmentation très importante et non sélective des immunoglobulines sériques : il en est ainsi très souvent dans la cirrhose du foie, et au cours de certaines collagénoses.
  • Ces taux très augmentés des immunoglobulines semblent refléter une synthèse accrue des anticorps, ce qui suggère qu’une immunostimulation non spécifique intervient au cours de ces maladies, par des mécanismes inconnus.
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53
Q

Immunostimulation non spécifique: Mécanismes en cause

A
  • D’autre part, il existe des agents capables de provoquer une immunostimulation non spécifique, par des mécanismes moins bien connus.
  • Ainsi, l’injection intradermique d’extraits du bacille de Koch (tuberculine), de même que certains autres adjuvants, sont capables de provoquer une stimulation générale de l’appareil immunitaire, qui n’est pas dirigée uniquement contre les antigènes de la substance injectée.
  • De la même façon, il semble que certaines infections virales soient capables de stimuler de façon non spécifique le tissu lymphoïde et les lymphocytes.
  • C’est peut-être le cas de la mononucléose infectieuse.
  • Enfin, il existe d’autres maladies au cours desquelles on observe une augmentation très importante et non sélective des immunoglobulines sériques : il en est ainsi très souvent dans la cirrhose du foie, et au cours de certaines collagénoses.
  • Ces taux très augmentés des immunoglobulines semblent refléter une synthèse accrue des anticorps, ce qui suggère qu’une immunostimulation non spécifique intervient au cours de ces maladies, par des mécanismes inconnus.
54
Q

Immunostimulation non spécifique: Tuberculine

A
  • D’autre part, il existe des agents capables de provoquer une immunostimulation non spécifique, par des mécanismes moins bien connus.
  • Ainsi, l’injection intradermique d’extraits du bacille de Koch (tuberculine), de même que certains autres adjuvants, sont capables de provoquer une stimulation générale de l’appareil immunitaire, qui n’est pas dirigée uniquement contre les antigènes de la substance injectée.
  • De la même façon, il semble que certaines infections virales soient capables de stimuler de façon non spécifique le tissu lymphoïde et les lymphocytes.
  • C’est peut-être le cas de la mononucléose infectieuse.
  • Enfin, il existe d’autres maladies au cours desquelles on observe une augmentation très importante et non sélective des immunoglobulines sériques : il en est ainsi très souvent dans la cirrhose du foie, et au cours de certaines collagénoses.
  • Ces taux très augmentés des immunoglobulines semblent refléter une synthèse accrue des anticorps, ce qui suggère qu’une immunostimulation non spécifique intervient au cours de ces maladies, par des mécanismes inconnus.
55
Q

Immunostimulation non spécifique: Infections virales

A
  • D’autre part, il existe des agents capables de provoquer une immunostimulation non spécifique, par des mécanismes moins bien connus.
  • Ainsi, l’injection intradermique d’extraits du bacille de Koch (tuberculine), de même que certains autres adjuvants, sont capables de provoquer une stimulation générale de l’appareil immunitaire, qui n’est pas dirigée uniquement contre les antigènes de la substance injectée.
  • De la même façon, il semble que certaines infections virales soient capables de stimuler de façon non spécifique le tissu lymphoïde et les lymphocytes.
  • C’est peut-être le cas de la mononucléose infectieuse.
  • Enfin, il existe d’autres maladies au cours desquelles on observe une augmentation très importante et non sélective des immunoglobulines sériques : il en est ainsi très souvent dans la cirrhose du foie, et au cours de certaines collagénoses.
  • Ces taux très augmentés des immunoglobulines semblent refléter une synthèse accrue des anticorps, ce qui suggère qu’une immunostimulation non spécifique intervient au cours de ces maladies, par des mécanismes inconnus.
56
Q

Immunostimulation non spécifique: Autres maladies

A
  • D’autre part, il existe des agents capables de provoquer une immunostimulation non spécifique, par des mécanismes moins bien connus.
  • Ainsi, l’injection intradermique d’extraits du bacille de Koch (tuberculine), de même que certains autres adjuvants, sont capables de provoquer une stimulation générale de l’appareil immunitaire, qui n’est pas dirigée uniquement contre les antigènes de la substance injectée.
  • De la même façon, il semble que certaines infections virales soient capables de stimuler de façon non spécifique le tissu lymphoïde et les lymphocytes.
  • C’est peut-être le cas de la mononucléose infectieuse.
  • Enfin, il existe d’autres maladies au cours desquelles on observe une augmentation très importante et non sélective des immunoglobulines sériques : il en est ainsi très souvent dans la cirrhose du foie, et au cours de certaines collagénoses.
  • Ces taux très augmentés des immunoglobulines semblent refléter une synthèse accrue des anticorps, ce qui suggère qu’une immunostimulation non spécifique intervient au cours de ces maladies, par des mécanismes inconnus.
57
Q

Immunostimulation non spécifique: Taux augmentés d’Ig reflète quoi?

A
  • D’autre part, il existe des agents capables de provoquer une immunostimulation non spécifique, par des mécanismes moins bien connus.
  • Ainsi, l’injection intradermique d’extraits du bacille de Koch (tuberculine), de même que certains autres adjuvants, sont capables de provoquer une stimulation générale de l’appareil immunitaire, qui n’est pas dirigée uniquement contre les antigènes de la substance injectée.
  • De la même façon, il semble que certaines infections virales soient capables de stimuler de façon non spécifique le tissu lymphoïde et les lymphocytes.
  • C’est peut-être le cas de la mononucléose infectieuse.
  • Enfin, il existe d’autres maladies au cours desquelles on observe une augmentation très importante et non sélective des immunoglobulines sériques : il en est ainsi très souvent dans la cirrhose du foie, et au cours de certaines collagénoses.
  • Ces taux très augmentés des immunoglobulines semblent refléter une synthèse accrue des anticorps, ce qui suggère qu’une immunostimulation non spécifique intervient au cours de ces maladies, par des mécanismes inconnus.
58
Q

Conséquences de l’immunostimulation: Types

A
  • Ces conséquences sont de deux ordres : il s’agira soit de changement quantitatif (hyperplasie) soit de changement qualitatif.
59
Q

Conséquences de l’immunostimulation: Nommez les types

A
  1. Modifications anatomopathologiques
  2. Modifications quantitatives de la masse lymphocytaire et plasmocytaire
  3. Modifications qualitatives des lymphocytes
  4. Modifications sérologiques
60
Q

Immunostimulation: Modifications anatomopathologiques

A
  • On observe une hyperplasie et des modifications histologiques des organes et tissus lymphoïdes.
  • L’hyperplasie des organes se traduit par des adénopathies, l’hypertrophie des amygdales et du tissu adénoïdien, ou la splénomégalie.
  • Les modifications histologiques du tissu lymphoïde traduisent essentiellement l’entrée en action des lymphocytes, des macrophages et des plasmocytes.
  • Par exemple, l’apparition dans les ganglions lymphatiques des follicules lymphoïdes secondaires comprenant une couronne lymphocytaire périphérique qui entoure un centre germinatif clair.
  • Consultez les textes traitant de l’histopathologie des organes lymphoïdes.
61
Q

Immunostimulation: Modifications anatomopathologiques
- nommez-les

A
  • On observe une hyperplasie et des modifications histologiques des organes et tissus lymphoïdes.
  • L’hyperplasie des organes se traduit par des adénopathies, l’hypertrophie des amygdales et du tissu adénoïdien, ou la splénomégalie.
  • Les modifications histologiques du tissu lymphoïde traduisent essentiellement l’entrée en action des lymphocytes, des macrophages et des plasmocytes.
  • Par exemple, l’apparition dans les ganglions lymphatiques des follicules lymphoïdes secondaires comprenant une couronne lymphocytaire périphérique qui entoure un centre germinatif clair.
  • Consultez les textes traitant de l’histopathologie des organes lymphoïdes.
62
Q

Immunostimulation: Modifications anatomopathologiques
- les modifications histiologiques traduisent quoi?

A
  • On observe une hyperplasie et des modifications histologiques des organes et tissus lymphoïdes.
  • L’hyperplasie des organes se traduit par des adénopathies, l’hypertrophie des amygdales et du tissu adénoïdien, ou la splénomégalie.
  • Les modifications histologiques du tissu lymphoïde traduisent essentiellement l’entrée en action des lymphocytes, des macrophages et des plasmocytes.
  • Par exemple, l’apparition dans les ganglions lymphatiques des follicules lymphoïdes secondaires comprenant une couronne lymphocytaire périphérique qui entoure un centre germinatif clair.
  • Consultez les textes traitant de l’histopathologie des organes lymphoïdes.
63
Q

Immunostimulation: Modifications quantitatives de la masse lymphocytaire et plasmocytaire

A
  • Le nombre des lymphocytes et des plasmocytes augmente.
  • Contrairement à la plupart des cellules, les lymphocytes ne sont pas attachés à un parenchyme, mais recirculent constamment, et se retrouvent en dehors des organes lymphoïdes proprement dits, par exemple dans le sang et dans la moelle osseuse.
  • On observe donc, lors d’une immunostimulation, une augmentation du nombre des lymphocytes dans les organes lymphoïdes, de même que dans la moelle osseuse et dans le sang : on parle alors de lymphocytose médullaire ou sanguine.
  • Quant aux plasmocytes, ils demeurent pratiquement absents du sang, mais une plasmocytose médullaire peut être observée.
64
Q

Immunostimulation: Modifications quantitatives de la masse lymphocytaire et plasmocytaire
- modifications sur le nombre de lymphocytes et plasmocytes

A
  • Le nombre des lymphocytes et des plasmocytes augmente.
  • Contrairement à la plupart des cellules, les lymphocytes ne sont pas attachés à un parenchyme, mais recirculent constamment, et se retrouvent en dehors des organes lymphoïdes proprement dits, par exemple dans le sang et dans la moelle osseuse.
  • On observe donc, lors d’une immunostimulation, une augmentation du nombre des lymphocytes dans les organes lymphoïdes, de même que dans la moelle osseuse et dans le sang : on parle alors de lymphocytose médullaire ou sanguine.
  • Quant aux plasmocytes, ils demeurent pratiquement absents du sang, mais une plasmocytose médullaire peut être observée.
65
Q

Immunostimulation: Modifications quantitatives de la masse lymphocytaire et plasmocytaire
- lymphocytes: sont attachés à quoi?

A
  • Le nombre des lymphocytes et des plasmocytes augmente.
  • Contrairement à la plupart des cellules, les lymphocytes ne sont pas attachés à un parenchyme, mais recirculent constamment, et se retrouvent en dehors des organes lymphoïdes proprement dits, par exemple dans le sang et dans la moelle osseuse.
  • On observe donc, lors d’une immunostimulation, une augmentation du nombre des lymphocytes dans les organes lymphoïdes, de même que dans la moelle osseuse et dans le sang : on parle alors de lymphocytose médullaire ou sanguine.
  • Quant aux plasmocytes, ils demeurent pratiquement absents du sang, mais une plasmocytose médullaire peut être observée.
66
Q

Immunostimulation: Modifications quantitatives de la masse lymphocytaire et plasmocytaire
- ce qu’on observe lors d’une immunostimulation

A
  • Le nombre des lymphocytes et des plasmocytes augmente.
  • Contrairement à la plupart des cellules, les lymphocytes ne sont pas attachés à un parenchyme, mais recirculent constamment, et se retrouvent en dehors des organes lymphoïdes proprement dits, par exemple dans le sang et dans la moelle osseuse.
  • On observe donc, lors d’une immunostimulation, une augmentation du nombre des lymphocytes dans les organes lymphoïdes, de même que dans la moelle osseuse et dans le sang : on parle alors de lymphocytose médullaire ou sanguine.
  • Quant aux plasmocytes, ils demeurent pratiquement absents du sang, mais une plasmocytose médullaire peut être observée.
67
Q

Immunostimulation: Modifications qualitatives des lymphocytes
- Modifications cytologiques

A
  • Modifications cytologiques : c’est habituellement à l’examen du sang, sur un frottis sanguin coloré, que l’on constate en pratique les modifications cellulaires des lymphocytes consécutives à une immunostimulation.
  • Lorsque le lymphocyte est stimulé, son noyau et son cytoplasme se transforment.
  • Le noyau passe de la quiescence à l’activité, avec synthèse d’ADN et mitose (prolifération lymphocytaire réactionnelle).
  • Ces changements nucléaires donnent la cellule appelée immunoblaste ou grande cellule basophile qui se retrouve principalement dans les follicules germinatifs à centre clair.
  • Le cytoplasme devient plus abondant, plus basophile, et plus riche en organites : polyribosomes avec ARN, etc.
  • L’aspect du cytoplasme du lymphocyte stimulé est intermédiaire entre celui du lymphocyte non stimulé et celui du plasmocyte.
68
Q

Immunostimulation: Modifications qualitatives des lymphocytes
- Modifications cytologiques: on le contaste sur quels examens?

A
  • Modifications cytologiques : c’est habituellement à l’examen du sang, sur un frottis sanguin coloré, que l’on constate en pratique les modifications cellulaires des lymphocytes consécutives à une immunostimulation.
  • Lorsque le lymphocyte est stimulé, son noyau et son cytoplasme se transforment.
  • Le noyau passe de la quiescence à l’activité, avec synthèse d’ADN et mitose (prolifération lymphocytaire réactionnelle).
  • Ces changements nucléaires donnent la cellule appelée immunoblaste ou grande cellule basophile qui se retrouve principalement dans les follicules germinatifs à centre clair.
  • Le cytoplasme devient plus abondant, plus basophile, et plus riche en organites : polyribosomes avec ARN, etc.
  • L’aspect du cytoplasme du lymphocyte stimulé est intermédiaire entre celui du lymphocyte non stimulé et celui du plasmocyte.
69
Q

Immunostimulation: Modifications qualitatives des lymphocytes
- Modifications cytologiques: ce qu’on voit au frottis

A
  • Modifications cytologiques : c’est habituellement à l’examen du sang, sur un frottis sanguin coloré, que l’on constate en pratique les modifications cellulaires des lymphocytes consécutives à une immunostimulation.
  • Lorsque le lymphocyte est stimulé, son noyau et son cytoplasme se transforment.
  • Le noyau passe de la quiescence à l’activité, avec synthèse d’ADN et mitose (prolifération lymphocytaire réactionnelle).
  • Ces changements nucléaires donnent la cellule appelée immunoblaste ou grande cellule basophile qui se retrouve principalement dans les follicules germinatifs à centre clair.
  • Le cytoplasme devient plus abondant, plus basophile, et plus riche en organites : polyribosomes avec ARN, etc.
  • L’aspect du cytoplasme du lymphocyte stimulé est intermédiaire entre celui du lymphocyte non stimulé et celui du plasmocyte.
70
Q

Immunostimulation: Modifications qualitatives des lymphocytes
- Modifications cytologiques: ce qui se passe lorsque le lymphocyte est stimulé

A
  • Modifications cytologiques : c’est habituellement à l’examen du sang, sur un frottis sanguin coloré, que l’on constate en pratique les modifications cellulaires des lymphocytes consécutives à une immunostimulation.
  • Lorsque le lymphocyte est stimulé, son noyau et son cytoplasme se transforment.
  • Le noyau passe de la quiescence à l’activité, avec synthèse d’ADN et mitose (prolifération lymphocytaire réactionnelle).
  • Ces changements nucléaires donnent la cellule appelée immunoblaste ou grande cellule basophile qui se retrouve principalement dans les follicules germinatifs à centre clair.
  • Le cytoplasme devient plus abondant, plus basophile, et plus riche en organites : polyribosomes avec ARN, etc.
  • L’aspect du cytoplasme du lymphocyte stimulé est intermédiaire entre celui du lymphocyte non stimulé et celui du plasmocyte.
71
Q

Immunostimulation: Modifications qualitatives des lymphocytes
- Modifications cytologiques: nommez les changements nucléaires

A
  • Modifications cytologiques : c’est habituellement à l’examen du sang, sur un frottis sanguin coloré, que l’on constate en pratique les modifications cellulaires des lymphocytes consécutives à une immunostimulation.
  • Lorsque le lymphocyte est stimulé, son noyau et son cytoplasme se transforment.
  • Le noyau passe de la quiescence à l’activité, avec synthèse d’ADN et mitose (prolifération lymphocytaire réactionnelle).
  • Ces changements nucléaires donnent la cellule appelée immunoblaste ou grande cellule basophile qui se retrouve principalement dans les follicules germinatifs à centre clair.
  • Le cytoplasme devient plus abondant, plus basophile, et plus riche en organites : polyribosomes avec ARN, etc.
  • L’aspect du cytoplasme du lymphocyte stimulé est intermédiaire entre celui du lymphocyte non stimulé et celui du plasmocyte.
72
Q

Immunostimulation: Modifications qualitatives des lymphocytes
- Modifications cytologiques: au niveau du cytoplasme

A
  • Modifications cytologiques : c’est habituellement à l’examen du sang, sur un frottis sanguin coloré, que l’on constate en pratique les modifications cellulaires des lymphocytes consécutives à une immunostimulation.
  • Lorsque le lymphocyte est stimulé, son noyau et son cytoplasme se transforment.
  • Le noyau passe de la quiescence à l’activité, avec synthèse d’ADN et mitose (prolifération lymphocytaire réactionnelle).
  • Ces changements nucléaires donnent la cellule appelée immunoblaste ou grande cellule basophile qui se retrouve principalement dans les follicules germinatifs à centre clair.
  • Le cytoplasme devient plus abondant, plus basophile, et plus riche en organites : polyribosomes avec ARN, etc.
  • L’aspect du cytoplasme du lymphocyte stimulé est intermédiaire entre celui du lymphocyte non stimulé et celui du plasmocyte.
73
Q

Immunostimulation: Modifications qualitatives des lymphocytes
- Lymphocyte atypique

A
  • Le lymphocyte atypique : ce terme est d’usage courant en hématologie.
  • Lorsqu’il est utilisé, ce terme a une connotation bénigne et réactionnelle, qui reflète essentiellement la constatation des modifications cytoplasmiques de lymphocytes observés dans le sang (ou plus rarement dans la moelle osseuse).
  • Il s’agit d’un lymphocyte dont le noyau demeure avec une chromatine bien condensée, mais dont le cytoplasme est plus abondant, et basophile de façon plus ou moins intense.
  • Toutefois, le noyau présente parfois certaines modifications discrètes telles qu’un contour irrégulier, ou une chromatine un peu moins bien condensée.
  • Le lymphocyte atypique traduit la plupart du temps une affection lymphocytaire bénigne, mais il y a des exceptions.
74
Q

Immunostimulation: Modifications qualitatives des lymphocytes
- Lymphocyte atypique: connotation de ce terme

A
  • Le lymphocyte atypique : ce terme est d’usage courant en hématologie.
  • Lorsqu’il est utilisé, ce terme a une connotation bénigne et réactionnelle, qui reflète essentiellement la constatation des modifications cytoplasmiques de lymphocytes observés dans le sang (ou plus rarement dans la moelle osseuse).
  • Il s’agit d’un lymphocyte dont le noyau demeure avec une chromatine bien condensée, mais dont le cytoplasme est plus abondant, et basophile de façon plus ou moins intense.
  • Toutefois, le noyau présente parfois certaines modifications discrètes telles qu’un contour irrégulier, ou une chromatine un peu moins bien condensée.
  • Le lymphocyte atypique traduit la plupart du temps une affection lymphocytaire bénigne, mais il y a des exceptions.
75
Q

Immunostimulation: Modifications qualitatives des lymphocytes
- Lymphocyte atypique: décrire le noyau

A
  • Le lymphocyte atypique : ce terme est d’usage courant en hématologie.
  • Lorsqu’il est utilisé, ce terme a une connotation bénigne et réactionnelle, qui reflète essentiellement la constatation des modifications cytoplasmiques de lymphocytes observés dans le sang (ou plus rarement dans la moelle osseuse).
  • Il s’agit d’un lymphocyte dont le noyau demeure avec une chromatine bien condensée, mais dont le cytoplasme est plus abondant, et basophile de façon plus ou moins intense.
  • Toutefois, le noyau présente parfois certaines modifications discrètes telles qu’un contour irrégulier, ou une chromatine un peu moins bien condensée.
  • Le lymphocyte atypique traduit la plupart du temps une affection lymphocytaire bénigne, mais il y a des exceptions.
76
Q

Immunostimulation: Modifications qualitatives des lymphocytes
- Lymphocyte atypique: il traduit quoi?

A
  • Le lymphocyte atypique : ce terme est d’usage courant en hématologie.
  • Lorsqu’il est utilisé, ce terme a une connotation bénigne et réactionnelle, qui reflète essentiellement la constatation des modifications cytoplasmiques de lymphocytes observés dans le sang (ou plus rarement dans la moelle osseuse).
  • Il s’agit d’un lymphocyte dont le noyau demeure avec une chromatine bien condensée, mais dont le cytoplasme est plus abondant, et basophile de façon plus ou moins intense.
  • Toutefois, le noyau présente parfois certaines modifications discrètes telles qu’un contour irrégulier, ou une chromatine un peu moins bien condensée.
  • Le lymphocyte atypique traduit la plupart du temps une affection lymphocytaire bénigne, mais il y a des exceptions.
77
Q

Tableau: Immunostimulation

A
78
Q

Immunostimulation: Modifications sérologiques

A
  • Celles-ci consistent essentiellement en l’apparition d’immunoglobulines dans le sérum dans les jours et semaines qui suivent l’immunostimulation.
  • Lorsqu’il s’agit d’une immunostimulation spécifique, des méthodes sérologiques spécifiques sont nécessaires pour démontrer un titre élevé de l’anticorps produit.
  • Lorsqu’il s’agit d’immunostimulation non spécifique, les immunoglobulines peuvent être augmentées de façon appréciable et non sélective, et ceci peut se traduire par des modifications du profil électrophorétique du sérum (hypergammaglobulinémie) ou du dosage des immunoglobulines principales.
79
Q

Immunostimulation: Modifications sérologiques
- décrire

A
  • Celles-ci consistent essentiellement en l’apparition d’immunoglobulines dans le sérum dans les jours et semaines qui suivent l’immunostimulation.
  • Lorsqu’il s’agit d’une immunostimulation spécifique, des méthodes sérologiques spécifiques sont nécessaires pour démontrer un titre élevé de l’anticorps produit.
  • Lorsqu’il s’agit d’immunostimulation non spécifique, les immunoglobulines peuvent être augmentées de façon appréciable et non sélective, et ceci peut se traduire par des modifications du profil électrophorétique du sérum (hypergammaglobulinémie) ou du dosage des immunoglobulines principales.
80
Q

Immunostimulation: Modifications sérologiques
- si immunostimulation spécifique

A
  • Celles-ci consistent essentiellement en l’apparition d’immunoglobulines dans le sérum dans les jours et semaines qui suivent l’immunostimulation.
  • Lorsqu’il s’agit d’une immunostimulation spécifique, des méthodes sérologiques spécifiques sont nécessaires pour démontrer un titre élevé de l’anticorps produit.
  • Lorsqu’il s’agit d’immunostimulation non spécifique, les immunoglobulines peuvent être augmentées de façon appréciable et non sélective, et ceci peut se traduire par des modifications du profil électrophorétique du sérum (hypergammaglobulinémie) ou du dosage des immunoglobulines principales.
81
Q

Immunostimulation: Modifications sérologiques
- si immunostimulation non spécifique

A
  • Celles-ci consistent essentiellement en l’apparition d’immunoglobulines dans le sérum dans les jours et semaines qui suivent l’immunostimulation.
  • Lorsqu’il s’agit d’une immunostimulation spécifique, des méthodes sérologiques spécifiques sont nécessaires pour démontrer un titre élevé de l’anticorps produit.
  • Lorsqu’il s’agit d’immunostimulation non spécifique, les immunoglobulines peuvent être augmentées de façon appréciable et non sélective, et ceci peut se traduire par des modifications du profil électrophorétique du sérum (hypergammaglobulinémie) ou du dosage des immunoglobulines principales.
82
Q

Affections bénignes des lymphocytes et plamsocytes: Caractères généraux

A
  • Ces affections sont réactionnelles à une immunostimulation par un agent externe.
  • De plus, elles sont transitoires, laissant peu ou pas de séquelles ultérieures.
  • Cependant, il en restera habituellement des lymphocytes à mémoire.
  • De plus des adénopathies résiduelles permanentes s’observent, par exemple à la région cervicale moyenne en arrière des S.C.M., de même qu’aux régions inguinales et axillaires après une infection de la région drainée par ces régions ganglionnaires.
  • Enfin, ces réactions demeurent sous le contrôle général de l’organisme, contrairement aux affections malignes qui sont anarchiques.
83
Q

Affections bénignes des lymphocytes et plamsocytes: Caractères généraux
- types d’affections

A
  • Ces affections sont réactionnelles à une immunostimulation par un agent externe.
  • De plus, elles sont transitoires, laissant peu ou pas de séquelles ultérieures.
  • Cependant, il en restera habituellement des lymphocytes à mémoire.
  • De plus des adénopathies résiduelles permanentes s’observent, par exemple à la région cervicale moyenne en arrière des S.C.M., de même qu’aux régions inguinales et axillaires après une infection de la région drainée par ces régions ganglionnaires.
  • Enfin, ces réactions demeurent sous le contrôle général de l’organisme, contrairement aux affections malignes qui sont anarchiques.
84
Q

Affections bénignes des lymphocytes et plamsocytes: Caractères généraux
- durée

A
  • Ces affections sont réactionnelles à une immunostimulation par un agent externe.
  • De plus, elles sont transitoires, laissant peu ou pas de séquelles ultérieures.
  • Cependant, il en restera habituellement des lymphocytes à mémoire.
  • De plus des adénopathies résiduelles permanentes s’observent, par exemple à la région cervicale moyenne en arrière des S.C.M., de même qu’aux régions inguinales et axillaires après une infection de la région drainée par ces régions ganglionnaires.
  • Enfin, ces réactions demeurent sous le contrôle général de l’organisme, contrairement aux affections malignes qui sont anarchiques.
85
Q

Affections bénignes des lymphocytes et plamsocytes: Caractères généraux
- lymphocytes mémoire

A
  • Ces affections sont réactionnelles à une immunostimulation par un agent externe.
  • De plus, elles sont transitoires, laissant peu ou pas de séquelles ultérieures.
  • Cependant, il en restera habituellement des lymphocytes à mémoire.
  • De plus des adénopathies résiduelles permanentes s’observent, par exemple à la région cervicale moyenne en arrière des S.C.M., de même qu’aux régions inguinales et axillaires après une infection de la région drainée par ces régions ganglionnaires.
  • Enfin, ces réactions demeurent sous le contrôle général de l’organisme, contrairement aux affections malignes qui sont anarchiques.
86
Q

Affections bénignes des lymphocytes et plamsocytes: Caractères généraux
- adénopathies

A
  • Ces affections sont réactionnelles à une immunostimulation par un agent externe.
  • De plus, elles sont transitoires, laissant peu ou pas de séquelles ultérieures.
  • Cependant, il en restera habituellement des lymphocytes à mémoire.
  • De plus des adénopathies résiduelles permanentes s’observent, par exemple à la région cervicale moyenne en arrière des S.C.M., de même qu’aux régions inguinales et axillaires après une infection de la région drainée par ces régions ganglionnaires.
  • Enfin, ces réactions demeurent sous le contrôle général de l’organisme, contrairement aux affections malignes qui sont anarchiques.
87
Q

Affections bénignes des lymphocytes et plamsocytes: Caractères généraux
- ces réactions sont sous le contrôle de quoi?

A
  • Ces affections sont réactionnelles à une immunostimulation par un agent externe.
  • De plus, elles sont transitoires, laissant peu ou pas de séquelles ultérieures.
  • Cependant, il en restera habituellement des lymphocytes à mémoire.
  • De plus des adénopathies résiduelles permanentes s’observent, par exemple à la région cervicale moyenne en arrière des S.C.M., de même qu’aux régions inguinales et axillaires après une infection de la région drainée par ces régions ganglionnaires.
  • Enfin, ces réactions demeurent sous le contrôle général de l’organisme, contrairement aux affections malignes qui sont anarchiques.
88
Q

Affections bénignes des lymphocytes et plamsocytes: Classification classique

A
89
Q

Affections bénignes des lymphocytes et plamsocytes: Classification classique
- nommez les différentes classes

A
  1. Lymphocytoses réactionnelles
  2. Lymphocytes atypiques
  3. Syndromes mononucléosiques
  4. Plasmacytoses réactionnelles
90
Q

Affections bénignes des lymphocytes et plamsocytes: Classification classique
- dans quel contexte s’observe: Lymphocytoses réactionnelles

A
  • Elles s’observent dans le sang et dans la moelle osseuse.
  • Les causes principales sont une infection ou une immunisation.
91
Q

Affections bénignes des lymphocytes et plamsocytes: Classification classique
- dans quel contexte s’observe: Lymphocytes atypiques

A
  • On les observe essentiellement dans le sang, lors d’une infection ou d’une immunisation.
92
Q

Affections bénignes des lymphocytes et plamsocytes: Classification classique
- dans quel contexte s’observe: Syndromes mononucléosiques

A
  • On observe un nombre important de lymphocytes atypiques dans le sang.
  • Les principales causes sont la mononucléose infectieuse, l’infection à cytomégalovirus, et d’autres infections, virale ou autres.
93
Q

Affections bénignes des lymphocytes et plamsocytes: Classification classique
- dans quel contexte s’observe: Plasmocytoses réactionnelles

A
  • Elles sont constatées dans la moelle osseuse seulement, jamais dans le sang périphérique.
  • On les observe dans l’arthrite rhumatoïde et lors d’autres maladies auto-immunes, en association avec une néoplasie maligne, dans la cirrhose du foie, et lors de certaines infections virales.
94
Q

Lymphocytose sanguine

A
  • Il convient au départ de ne pas confondre la lymphocytose sanguine faite de lymphocytes apparemment normaux avec la présence de lymphoblastes dans le sang, ou celle de grands lymphocytes atypiques.
    • De même, il faut connaître la lymphocytose physiologique de l’enfant et ne pas confondre lymphocytose relative et lymphocytose absolue.
  • Lorsque la lymphocytose est faite de lymphocytes apparemment normaux, le diagnostic différentiel se fait entre les causes de lymphocytose réactionnelle bénigne et celles de certaines lymphocytoses malignes associées aux syndromes lymphoprolifératifs chroniques.
    • Ces dernières, qui n’existent pas chez l’enfant, sont discutées plus loin dans un autre chapitre.
95
Q

Lymphocytose sanguine: Faite à partir de lymphocytes vs lymphoblastes vs atypiques

A
  • Il convient au départ de ne pas confondre la lymphocytose sanguine faite de lymphocytes apparemment normaux avec la présence de lymphoblastes dans le sang, ou celle de grands lymphocytes atypiques.
    • De même, il faut connaître la lymphocytose physiologique de l’enfant et ne pas confondre lymphocytose relative et lymphocytose absolue.
  • Lorsque la lymphocytose est faite de lymphocytes apparemment normaux, le diagnostic différentiel se fait entre les causes de lymphocytose réactionnelle bénigne et celles de certaines lymphocytoses malignes associées aux syndromes lymphoprolifératifs chroniques.
    • Ces dernières, qui n’existent pas chez l’enfant, sont discutées plus loin dans un autre chapitre.
96
Q

Lymphocytose sanguine: Relative vs absolue

A
  • Il convient au départ de ne pas confondre la lymphocytose sanguine faite de lymphocytes apparemment normaux avec la présence de lymphoblastes dans le sang, ou celle de grands lymphocytes atypiques.
    • De même, il faut connaître la lymphocytose physiologique de l’enfant et ne pas confondre lymphocytose relative et lymphocytose absolue.
  • Lorsque la lymphocytose est faite de lymphocytes apparemment normaux, le diagnostic différentiel se fait entre les causes de lymphocytose réactionnelle bénigne et celles de certaines lymphocytoses malignes associées aux syndromes lymphoprolifératifs chroniques.
    • Ces dernières, qui n’existent pas chez l’enfant, sont discutées plus loin dans un autre chapitre.
97
Q

Lymphocytose sanguine: DDX si lymphocytes apparement normaux

A
  • Il convient au départ de ne pas confondre la lymphocytose sanguine faite de lymphocytes apparemment normaux avec la présence de lymphoblastes dans le sang, ou celle de grands lymphocytes atypiques.
    • De même, il faut connaître la lymphocytose physiologique de l’enfant et ne pas confondre lymphocytose relative et lymphocytose absolue.
  • Lorsque la lymphocytose est faite de lymphocytes apparemment normaux, le diagnostic différentiel se fait entre les causes de lymphocytose réactionnelle bénigne et celles de certaines lymphocytoses malignes associées aux syndromes lymphoprolifératifs chroniques.
    • Ces dernières, qui n’existent pas chez l’enfant, sont discutées plus loin dans un autre chapitre.
98
Q

Lymphocytose sanguine: si normaux
- chez enfants

A
  • Il convient au départ de ne pas confondre la lymphocytose sanguine faite de lymphocytes apparemment normaux avec la présence de lymphoblastes dans le sang, ou celle de grands lymphocytes atypiques.
    • De même, il faut connaître la lymphocytose physiologique de l’enfant et ne pas confondre lymphocytose relative et lymphocytose absolue.
  • Lorsque la lymphocytose est faite de lymphocytes apparemment normaux, le diagnostic différentiel se fait entre les causes de lymphocytose réactionnelle bénigne et celles de certaines lymphocytoses malignes associées aux syndromes lymphoprolifératifs chroniques.
    • Ces dernières, qui n’existent pas chez l’enfant, sont discutées plus loin dans un autre chapitre.
99
Q

Tableau de classifications des affections lympho-plasmocytaires bénignes: Grandes classes

A
  1. Lymphocytoses réactionnelles (sang et moelle)
  2. Lymphocytes atypiques (sang)
  3. Syndromes mononucléosiques (sang)
  4. Plasmocytoses réactionnelles (moelle)
100
Q

Tableau de classifications des affections lympho-plasmocytaires bénignes: Lymphocytoses réactionnelles
- localisation

A
  • Sang
  • Moelle
101
Q

Tableau de classifications des affections lympho-plasmocytaires bénignes: Lymphocytoses réactionnelles
- nommez les causes

A
  • Infection
  • Néoplasie
  • Immunisation
102
Q

Tableau de classifications des affections lympho-plasmocytaires bénignes: Lymphocytes atypiques
- localisation

A
  • sang
103
Q

Tableau de classifications des affections lympho-plasmocytaires bénignes: Lymphocytes atypiques
- nommez des causes

A
  • Infection
  • Immunisation
104
Q

Tableau de classifications des affections lympho-plasmocytaires bénignes: Syndromes mononucléosiques
- localisation

A
  • sang
105
Q

Tableau de classifications des affections lympho-plasmocytaires bénignes: Syndromes mononucléosiques
- nommez les causes

A
  • Mononucléose infectieuse
  • Cytomégalovirus
  • Viroses
  • Autres infections
106
Q

Tableau de classifications des affections lympho-plasmocytaires bénignes: Plasmocytoses réactionnelles
- localisation

A
  • moelle
107
Q

Tableau de classifications des affections lympho-plasmocytaires bénignes: Plasmocytoses réactionnelles
- nommez les causes

A
  • Arthrite rhumatoïde et auto-immunité
  • Néoplasie maligne
  • Cirrhose
  • Infections
108
Q

Lymphocytose sanguine: Diagnostic
- étapes

A
  1. Éliminer une erreur d’interprétation
  2. Connaître la lymphocytose physiologique de l’enfant
  3. Si les lymphocytes sont de grande taille avec cytoplasme abondant et hyperbasophile (lymphocytes atypiques) : cf. syndrome mononucléosique
  4. Si la lymphocytose est faite de lymphocytes apparemment normaux
109
Q

Lymphocytose sanguine: Diagnostic
- Éliminer une erreur d’interprétation

A
  • a) Les cellules circulantes ne sont pas des lymphocytes (ex : blastes de leucémie aiguë) : qualité du laboratoire de cytologie sanguine importe +++.
  • b) Il s’agit en fait d’une neutropénie avec lymphocytose relative : ne parler de lymphocytose que s’il y a plus de 5,0 lymphocytes X 109/L en valeur absolue.
110
Q

Lymphocytose sanguine: Diagnostic
- Éliminer une erreur d’interprétation: cellules circulantes

A
  • a) Les cellules circulantes ne sont pas des lymphocytes (ex : blastes de leucémie aiguë) : qualité du laboratoire de cytologie sanguine importe +++.
  • b) Il s’agit en fait d’une neutropénie avec lymphocytose relative : ne parler de lymphocytose que s’il y a plus de 5,0 lymphocytes X 109/L en valeur absolue.
111
Q

Lymphocytose sanguine: Diagnostic
- Éliminer une erreur d’interprétation: neutropénie avec lymphocytose relative

A
  • a) Les cellules circulantes ne sont pas des lymphocytes (ex : blastes de leucémie aiguë) : qualité du laboratoire de cytologie sanguine importe +++.
  • b) Il s’agit en fait d’une neutropénie avec lymphocytose relative : ne parler de lymphocytose que s’il y a plus de 5,0 lymphocytes X 109/L en valeur absolue.
112
Q

Lymphocytose sanguine: Diagnostic
- Étape 2: chez enfants

A
  • Connaître la lymphocytose physiologique de l’enfant
113
Q

Lymphocytose sanguine: Diagnostic
- étape 3: syndrome mononucléosique

A
  • Si les lymphocytes sont de grande taille avec cytoplasme abondant et hyperbasophile (lymphocytes atypiques) : cf. syndrome mononucléosique
114
Q

Lymphocytose sanguine: Diagnostic
- étape 4: si lymphocytes normaux

A
  • A. LYMPHOCYTOSES RÉACTIONNELLES :
    • a) Lymphocytoses virales :
      • lymphocytose infectieuse aiguë de l’enfant ou maladie de Carl Smith;
      • oreillons, varicelle, hépatite, etc.
    • b) Lymphocytoses bactériennes :
      • coqueluche;
      • brucellose.
    • c) Rarement, lymphocytoses réactionnelles à un cancer.
  • B. LYMPHOCYTOSES MALIGNES :
    • leucémie lymphoïde chronique;
    • Syndrome de Sézary;
    • lymphomes à expression leucémique;
    • leucémie à tricholeucocytes (et variantes).
115
Q

Lymphocytose sanguine: Diagnostic
- étape 4: si lymphocytes normaux - types

A
  • A. LYMPHOCYTOSES RÉACTIONNELLES :
    • a) Lymphocytoses virales :
      • lymphocytose infectieuse aiguë de l’enfant ou maladie de Carl Smith;
      • oreillons, varicelle, hépatite, etc.
    • b) Lymphocytoses bactériennes :
      • coqueluche;
      • brucellose.
    • c) Rarement, lymphocytoses réactionnelles à un cancer.
  • B. LYMPHOCYTOSES MALIGNES :
    • leucémie lymphoïde chronique;
    • Syndrome de Sézary;
    • lymphomes à expression leucémique;
    • leucémie à tricholeucocytes (et variantes).
116
Q

Lymphocytose sanguine: Diagnostic - étape 4: si lymphocytes normaux
- lymmphocytoses réactionnelles: sous-types

A
  • A. LYMPHOCYTOSES RÉACTIONNELLES :
    • a) Lymphocytoses virales :
      • lymphocytose infectieuse aiguë de l’enfant ou maladie de Carl Smith;
      • oreillons, varicelle, hépatite, etc.
    • b) Lymphocytoses bactériennes :
      • coqueluche;
      • brucellose.
    • c) Rarement, lymphocytoses réactionnelles à un cancer.
  • B. LYMPHOCYTOSES MALIGNES :
    • leucémie lymphoïde chronique;
    • Syndrome de Sézary;
    • lymphomes à expression leucémique;
    • leucémie à tricholeucocytes (et variantes).
117
Q

Lymphocytose sanguine: Diagnostic - étape 4: si lymphocytes normaux
- lymmphocytoses réactionnelles: nommez les causes de lymphocyoses virales

A
  • A. LYMPHOCYTOSES RÉACTIONNELLES :
    • a) Lymphocytoses virales :
      • lymphocytose infectieuse aiguë de l’enfant ou maladie de Carl Smith;
      • oreillons, varicelle, hépatite, etc.
    • b) Lymphocytoses bactériennes :
      • coqueluche;
      • brucellose.
    • c) Rarement, lymphocytoses réactionnelles à un cancer.
  • B. LYMPHOCYTOSES MALIGNES :
    • leucémie lymphoïde chronique;
    • Syndrome de Sézary;
    • lymphomes à expression leucémique;
    • leucémie à tricholeucocytes (et variantes).
118
Q

Lymphocytose sanguine: Diagnostic - étape 4: si lymphocytes normaux
- lymmphocytoses réactionnelles: nommez les causes de lymphocytoses bactériennes

A
  • A. LYMPHOCYTOSES RÉACTIONNELLES :
    • a) Lymphocytoses virales :
      • lymphocytose infectieuse aiguë de l’enfant ou maladie de Carl Smith;
      • oreillons, varicelle, hépatite, etc.
    • b) Lymphocytoses bactériennes :
      • coqueluche;
      • brucellose.
    • c) Rarement, lymphocytoses réactionnelles à un cancer.
  • B. LYMPHOCYTOSES MALIGNES :
    • leucémie lymphoïde chronique;
    • Syndrome de Sézary;
    • lymphomes à expression leucémique;
    • leucémie à tricholeucocytes (et variantes).
119
Q

Lymphocytose sanguine: Diagnostic - étape 4: si lymphocytes normaux
- lymmphocytoses réactionnelles: causées par cancer

A
  • A. LYMPHOCYTOSES RÉACTIONNELLES :
    • a) Lymphocytoses virales :
      • lymphocytose infectieuse aiguë de l’enfant ou maladie de Carl Smith;
      • oreillons, varicelle, hépatite, etc.
    • b) Lymphocytoses bactériennes :
      • coqueluche;
      • brucellose.
    • c) Rarement, lymphocytoses réactionnelles à un cancer.
  • B. LYMPHOCYTOSES MALIGNES :
    • leucémie lymphoïde chronique;
    • Syndrome de Sézary;
    • lymphomes à expression leucémique;
    • leucémie à tricholeucocytes (et variantes).
120
Q

Lymphocytose sanguine: Diagnostic - étape 4: si lymphocytes normaux
- lymmphocytoses malignes

A
  • A. LYMPHOCYTOSES RÉACTIONNELLES :
    • a) Lymphocytoses virales :
      • lymphocytose infectieuse aiguë de l’enfant ou maladie de Carl Smith;
      • oreillons, varicelle, hépatite, etc.
    • b) Lymphocytoses bactériennes :
      • coqueluche;
      • brucellose.
    • c) Rarement, lymphocytoses réactionnelles à un cancer.
  • B. LYMPHOCYTOSES MALIGNES :
    • leucémie lymphoïde chronique;
    • Syndrome de Sézary;
    • lymphomes à expression leucémique;
    • leucémie à tricholeucocytes (et variantes).
121
Q

Lymphocytose sanguine: Diagnostic - étape 4: si lymphocytes normaux
- lymmphocytoses malignes: nommez les causes

A
  • A. LYMPHOCYTOSES RÉACTIONNELLES :
    • a) Lymphocytoses virales :
      • lymphocytose infectieuse aiguë de l’enfant ou maladie de Carl Smith;
      • oreillons, varicelle, hépatite, etc.
    • b) Lymphocytoses bactériennes :
      • coqueluche;
      • brucellose.
    • c) Rarement, lymphocytoses réactionnelles à un cancer.
  • B. LYMPHOCYTOSES MALIGNES :
    • leucémie lymphoïde chronique;
    • Syndrome de Sézary;
    • lymphomes à expression leucémique;
    • leucémie à tricholeucocytes (et variantes).
122
Q

Quelle est l’origine commune à toutes les cellules composant notre système immunitaire?

A
  • La cellule-souche hématopoïétique pluripotente de la moelle osseuse.
  • Lors d’une greffe de cellules-souches par exemple, il y a reconstitution complète du système immunitaire chez le receveur par les cellules du donneur.
123
Q

À l’état normal, lesquels des lymphocytes T ou des lymphocytes B, sont les plus abondants :

  • a) dans le sang périphérique ?
  • b) dans la moelle osseuse ?
A
  • a) Lymphocytes T.
  • b) Lymphocytes B.
124
Q

À l’état normal, lesquels des lymphocytes T ou des lymphocytes B, sont les plus abondants :

  • a) dans le sang périphérique ?
A
  • a) Lymphocytes T.
  • b) Lymphocytes B.
125
Q

À l’état normal, lesquels des lymphocytes T ou des lymphocytes B, sont les plus abondants :

  • b) dans la moelle osseuse ?
A
  • a) Lymphocytes T.
  • b) Lymphocytes B.
126
Q

Quelle sous-population de lymphocytes (T ou B) est plus particulièrement mise à contribution lors des événements suivants :

  • a) rejet de greffe
  • b) vaccination antitétanique
  • c) intradermo-réaction à la tuberculine (PPD)
  • d) plasmocytose réactionnelle
A
  • a) T (immunité cellulaire)
  • b) B (immunité humorale)
  • c) T (hypersensibilité retardée)
  • d) B
127
Q

Quelle sous-population de lymphocytes (T ou B) est plus particulièrement mise à contribution lors des événements suivants :

  • a) rejet de greffe
A
  • a) T (immunité cellulaire)
  • b) B (immunité humorale)
  • c) T (hypersensibilité retardée)
  • d) B
128
Q

Quelle sous-population de lymphocytes (T ou B) est plus particulièrement mise à contribution lors des événements suivants :

  • b) vaccination antitétanique
A
  • a) T (immunité cellulaire)
  • b) B (immunité humorale)
  • c) T (hypersensibilité retardée)
  • d) B
129
Q

Quelle sous-population de lymphocytes (T ou B) est plus particulièrement mise à contribution lors des événements suivants :

  • c) intradermo-réaction à la tuberculine (PPD)
A
  • a) T (immunité cellulaire)
  • b) B (immunité humorale)
  • c) T (hypersensibilité retardée)
  • d) B
130
Q

Quelle sous-population de lymphocytes (T ou B) est plus particulièrement mise à contribution lors des événements suivants :

  • d) plasmocytose réactionnelle
A
  • a) T (immunité cellulaire)
  • b) B (immunité humorale)
  • c) T (hypersensibilité retardée)
  • d) B
131
Q

Comment appelle-t-on le phénomène similaire à une réponse immunitaire normale et qui produit des lymphocytes morphologiquement «atypiques» dans le sang circulant lors de certaines infections virales?

A

Concept d’immunostimulation non spécifique.

132
Q

Comment classifie-t-on les affections bénignes des lymphocytes et des plasmocytes ?

A