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Développement De L’enfant > Module 9 > Flashcards

Module 9 Flashcards

1
Q

Vrai ou faux
Le développement du sentiment de compétence est le thème principal du développement de la personnalité et du développement social à l’âge scolaire

A

Vrai

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2
Q

Pour Freud, le défi des enfants d’âge scolaire consiste à dépasser les liens affectifs noués avec leurs [1] dans les années précédentes afin d’en établir de nouveaux avec leurs [2]

A
  1. Parents
  2. Pairs
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3
Q

Les enfants de 6-12 ans refoulent les [1] pour se concentrer sur l’[2] avec des pairs de leur sexe ainsi que l’acquisition d’habileté [3] et [4]

A
  1. Désirs sexuels
  2. Amitié
  3. Scolaires
  4. Sociales
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4
Q

Lors de quel stade psychosexuel se développent les mécanismes de défense

A

Période de latence

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5
Q

La résolution de la période de latence passe principalement par la formation des [1] et par l’[2] aux pairs

A
  1. Mécanismes de défense
  2. Identification
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6
Q

Quel stade psychosocial d’Erikson correspond à la période de l’âge scolaire?

A

Le stade «travail ou infériorité»

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7
Q

Quelles sont les conséquences de la résolution positive de la crise «travail ou infériorité»

A
  1. Sentiment de compétence chez l’enfant (ou infériorité si stade mal résolu)
  2. L’enfant a acquis toutes les habiletés et les normes culturelles de base
  3. Développement de la disposition au travail de l’enfant
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8
Q

Vrai ou faux
Selon Erikson, les enfants qui ne réussissent pas bien à l’école ne peuvent développer leur sentiment de compétence

A

Faux, ils le peuvent en participant à des activités parascolaires valorisées dans leur culture

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9
Q

Quelle technique scientifique a su contrer les lacunes scientifiques des théories de Rogers et Freud

A

L’analyse factorielle (introduite par
Cattell)

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10
Q

Vrai ou faux
Les mesures de personnalité sont plus stables sur de longues périodes que sur de courtes périodes

A

Faux, c’est l’inverse

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11
Q

La personnalité est plus stable à l’[1] qu’au cours de l’[2] et se stabiliserait au cours de l’[3]

A
  1. Âge adulte
  2. Enfance
  3. Âge scolaire
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12
Q

La stabilité de la personnalité tient en partie à des facteurs [1] et à des facteurs [2]

A
  1. Génétiques
  2. Environnementaux
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13
Q

Vrai ou faux
On a observé des rapprochements entre les cinq traits de personnalité à l’adolescence et à l’âge adulte d’une part et d’autre part les dimensions du tempérament de l’enfant

A

Vrai

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14
Q

La [trait de personnalité 1] et l’ [trait de personnalité 2] sont fortement associés aux succès scolaire et aux habiletés sociales durant l’adolescence et au début de l’âge adulte

A
  1. Conscience
  2. Extraversion
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15
Q

Vrai ou faux
L’approche psychodynamique et la perspective des traits se focalisent sur plusieurs ensemble de facteurs qui façonnent le sentiment de compétence

A

Faux, elles se focalisent que sur un seul ensemble de facteurs et c’est là leur défaut selon l’approche cognitive sociale

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16
Q

A. Selon la théorie sociale cognitive, le développement de la personnalité est le produit d’interactions entre quoi?

B. Ces interactions entre 3 aspects référent à quel concept de la théorie de Bandura

A

A. Facteurs personnels
environnement
Comportements

B. Déterminisme réciproque

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17
Q

Quel théoricien fournit l’explication la plus complète quant à la façon dont les enfants d’âge scolaire acquièrent des idées sur le degré de compétence qu’ils possèdent dans tel ou tel domaine

A

Bandura

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18
Q

À la fin de l’âge scolaire, le concept de soi de l’enfant comprend de nouveaux éléments. Nomme les (3 éléments de réponse)

A
  1. Le moi psychologique
  2. Le sentiment d’efficacité personnelle
  3. L’estime de soi
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19
Q

A. Qu’est-ce que le moi psychologique
B. Quand apparaît-il?

A

A. Compréhension qu’a un individu de ses propres caractéristiques psychologiques stables (traits internes)

B. Durant la transition de l’âge préscolaire à scolaire (moi psychologique se complexifie de plus en plus au fur et à mesure que l’enfant se rapproche de l’adolescence)

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20
Q

Avec l’acquisition du concept de moi psychologique, l’enfant arrive à faire une description de soi plus [1], [2] et [3]

A
  1. Abstraite
  2. Comparative
  3. Générale
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21
Q

Au fur et à mesure que l’enfant avance dans la période des opérations concrètes, son concept de soi devient plus complexe, plus [1] (il se compare aux autres), moins dépendant des [2] et plus centré sur les [3] et les [4]

A
  1. Relatif
  2. Caractéristiques externes
  3. Sentiments
  4. Idées
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22
Q

Que voit on apparaître avec l’apparition du moi psychologique
A) la fin du clivage marqué
B) la résolution de la diffusion de l’identité
C) le concept de conservation de la personnalité
D) la relativité

A

C

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23
Q

Qui suis-je
« croyances d’un individu quant à sa capacité d’obtenir des résultats satisfaisants dans un domaine»

A

Sentiment d’efficacité personnelle

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24
Q

Pourquoi Bandura pense que le sentiment d’Autoefficacité est la clé de l’action humaine

A

Car il influe sur notre façon de penser, sur notre motivation, sur ce que nous ressentons et sur nos comportements

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25
Q

Comment se développe le sentiment d’autoefficacité

A

Les pairs qui servent de modèles sont la principale source des croyances relatives au sentiment d’efficacité personnelle. La comparaison avec autrui joue un rôle central dans le développement du sentiment d’autoefficacité (enfant se font une idée de leur efficacité personnelle en observant leurs pairs)

Les encouragements venant des gens que les enfants valorisent (enseignants, parents, etc.) contribuent également au sentiment d’efficacité personnelle

Cependant rien n’influe davantage le sentiment d’efficacité personnelle que les expériences de vie (croire que vous pouvez faire qqch est moins puissant qu’actually le faire)

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26
Q

Qui suis-je
«Jugement global qu’on porte sur sa propre valeur et la satisfaction qu’on retire de la façon qu’on se perçoit»

A

Estime de soi

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27
Q

Quelle est la différence entre l’estime de soi et le sentiment d’efficacité personnelle

A

Estime de soi: jugement globale sur sa propre VALEUR

Autoefficacité: jugement sur ses habiletés dans divers domaines

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28
Q

Le degré d’estime de soi repose sur deux jugements internes. Quels sont-ils?

A
  1. L’écart entre son moi idéal et son moi réel
  2. Le soutien social dont l’enfant dispose
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29
Q

Vrai ou faux
Un enfant qui juge qu’il a de faibles compétences sociales parce qu’il est impopulaire aura nécessairement une faible estime de soi

A

Faux, l’estime de soi est fonction de ce que l’enfant valorise. Si d’avoir des compétences sociales fortes importe peu pour lui, le fait d’en avoir des faibles n’impactera pas son estime

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30
Q

A. Dans les cultures individualistes (america and europe) les parents valorisent le développement de l’estime de soi basée sur quoi?

B. Dans les cultures collectivistes (chine, Vietnam ) les parents valorisent le développement de l’estime de soi basée sur quoi?

A

A. Les intérêts et les habiletés de l’enfant
B. Les idéaux valorisés dans leur culture

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31
Q

Vrai ou faux
Les enfants ayant grandi dans une culture individualiste éprouvent davantage d’anxiété que ceux ayant grandi dans une société collectiviste

A

Faux c’est l’inverse

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32
Q

Comme le modèle de l’attachement, le modèle de [1] n’est pas figé. Il se transforme avec les changements dans les [2] des autres ainsi qu’avec les [3]. Cependant, une fois créé, le modèle interne tend à [4] parce que l’enfant choisit des [5] qui confirment et renforcent son concept de soi, mais aussi parce que l’environnement social, qui inclut l’évaluation de l’enfant par ses parents, tend également à être constant.

A
  1. L’estime de soi
  2. Jugements
  3. Échecs et les réussites
  4. Persister
  5. Expériences
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33
Q

Vrai ou faux
L’estime de soi globale est relativement constante à court terme, mais bcp moins à long terme

A

Vrai

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34
Q

Les garçons semblent avoir une estime de soi plus stable que les filles

A

Faux, surprisingly c’est l’inverse

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35
Q

Quel acteur d’influence entre en jeu dans la régulation des émotions à l’âge préscolaire et exerce une influence accrue à l’âge scolaire

A

Les amis

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36
Q

Vrai ou faux
L’enfant a tendance à généraliser son modèle d’attachement aux autres relations

A

Vrai

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37
Q

Les nouveaux environnements (comme l’école) enrichissent le modèle interne de l’enfant et lui permet de diversifier ses figures d’attachement: ils lui permettent d’expérimenter d’autres liens affectifs qui influeront sur la suite des choses. Pourquoi cette influence peut être très bénéfique? Donne un exemple

A

Un enfant qui a grandi dans un milieu familial difficile et qui a développé un style d’attachement insécurisant pourra passer à un attachement plus sain grâce aux apprentissages qu’il fait et aux relations plus positives qu’il noue avec des éducateurs

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38
Q

Bowlby et Aimsworth avançait que la sécurité de l’attachement influait sur la capacité des enfants à
A) faire preuve d’empathie
B) réguler leurs émotions
C) devenir autonome
D) aller vers les autres

A

B

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39
Q

L’attachement sécurisant peut contribuer à l’acquisition de compétences
Par exemple: les bambins qui ont un attachement sécurisant deviennent des enfants plus [1], dont les comportements sont plus [2]

A
  1. Sociables
  2. Positifs
40
Q

Les enfants d’âge scolaire dont l’attachement aux parents est sécurisant ont des compétences et des [1] au stress plus efficaces. Ils et elles se [2] aux parents, ce qui les aident à mieux gérer leurs [3] et à développer des [1] plus complexes. L’enfant qui a un attachement insécurisant a des [4] moins positives. Par exemple, il présume que personne ne lui viendra en aide au besoin. Il a tendance à se voir comme moins [5] et à avoir du mal à réguler ses émotions

A
  1. Stratégies d’adaptation
  2. Référent ouvertement
  3. Émotions
  4. Attentes sociales
  5. Compétent
41
Q

Le style d’attachement reste relativement constant à moins d’un changement notable dans la [1] et les [2]

A
  1. Sensibilité parentale
  2. Soins perçus
42
Q

Qu’est-ce que l’agression relationnelle?

A

C’est une forme d’agression qui vise à porter atteinte à l’autre dans son estime de soi ou dans ses relations avec les pairs, notamment par l’ostracisme ou la menace d’ostracisme

43
Q

Les potins cruels ou les expressions faciales de mépris sont des manifestations d’agression
A) physique
B) relationnelle
C) psychologique
D) verbale

A

B

44
Q

Vrai ou faux
Les différences dans les formes d’agression pourraient avoir une base biologique ou hormonale

A

Vrai
Ex: lien entre le taux d’agressions physiques et le taux de testostérone

45
Q

A. Qu’est-ce que l’agression avec représailles?
B. Quand devient-elle la plus fréquente?

A

A. Agression qui vise à se venger
B. Entre 6 et 12 ans

46
Q

À quoi est lié l’augmentation de l’agression en représailles à l’âge scolaire?

A

À la compréhension accrue qu’ont les enfants entre les actions intentionnelles et les accidents (les enfants réagiront différemment si le dommage est causé intentionnellement)

47
Q

Les enfants qui ne chercheront pas à exercer des représailles lorsque les dommages ont été causés volontairement sont plus susceptibles d’être considérés comme socialement compétents et d’être mieux accepter par leurs pairs

A

Faux, ils sont plus susceptibles d’être considérés comme socialement incompétents et d’être intimidés par leurs pairs

48
Q

Qu’est-ce que le programme peacebuilder

A

Un programme où enseignants et enfant apprennent à utiliser des stratégies sociales positives. La recherche suggère que lorsque de tels programmes sont intégrés dans les classes tous les jours pendant une année scolaire, les agressions diminuent et les comportements prosociaux augmentent

49
Q

Des études ont montrés que des garçons vivant dans une famille au SSE faible avait des agressions physiques et indirectes [1] et que ces agressions étaient apparues à un âge [2]

A
  1. Plus élevées
  2. Plus précoces
50
Q

38% de la variance pour les agressions physiques et 43% pour les agressions indirectes étaient attribuables à des facteurs
A) génétiques
B) tempéramentaux
C) familiaux
D) scolaires

A

C

51
Q

Qui suis-je
«Résultat de toute perturbation de l’homéostasie d’une personne»

A

Stress

52
Q

Quels sont les 4 facteurs de stress, que l’on peut se remémorer via l’acronyme CINÉ

A

C: contrôle faible sur la situation
I: imprévisibilité
N: nouveauté
É: égo menacé

53
Q

Vrai ou faux
Les enfants et les personnes âgées ressentent un stress moins important

A

Faux, il est plus important (bcp de situations imprévisibles et nouvelles sur lesquelles ils ont peu de contrôle)

54
Q

Les enfants stressés éprouvent 4 problèmes. Quel est l’intrus?

A) ils ont plus de mal que les adultes à se calmer dans des situations stressantes
B) comme leurs capacités sont encore en développement, ils ne peuvent pas les utiliser de manière optimale
C) ils se découragent facilement et ont tendance à se sentir impuissants
D) même lorsqu’ils réussissent sur le plan scolaire, affectif ou sportif, les enfants stressés ne reconnaissent pas et n’acceptent pas leur progrès
E) leur axe HPA, impliqué dans la régulation du stress, n’est pas encore pleinement formé

A

E

55
Q

Qui suis-je?
«accumulation de stresseurs auxquels il est difficile de s’adapter sainement»
A) eustress
B) détresse
C) stress cumulatif
D) adversité

A

D

56
Q

La négligence et la maltraitance parentale sont des stresseurs [1] à cause du manque de [2] de l’enfant sur la situation et de son imprévisibilité

A
  1. Chroniques
  2. Contrôle
57
Q

Vrai ou faux
La plupart des enfants qui vivent dans la pauvreté ne parviennent pas à se développer normalement

A

Faux

58
Q

Que peut protéger l’enfant contre l’adversité

A

La résilience (mais seulement jusqu’à un certain point)

59
Q

Quelles sont les 3 catégories de caractéristiques favorisant la résilience de l’enfant

A
  1. Caractéristiques individuelles (ex: bon fonctionnement intellectuel, caractère facile attachant et sociable, bonne autorégulation, haute estime de soi et bon sentiment d’efficacité personnelle, intérêts et talents particuliers)
  2. Caractéristiques familiales (ex: relation étroite avec une figure parentale aimable, style parental démocratique, Bon SSE, interactions avec un réseau familial étendu)
  3. Caractéristiques extrafamiliales (ex: fréquentation d’école avec un climat sécuritaire et bienveillant)
60
Q

La caractéristique clé de l’enfant résilient est ce qu’on appelle la compétence, une disposition qui englobe à la fois les aptitudes [1] et [2]

A
  1. Cognitives
  2. Interpersonnelles
61
Q

Qui suis-je
«Désigne la capacité intellectuelle d’un individu à contrôler, à modifier ou à rediriger ses pensées, ses émotions ou son comportement pour atteindre ses buts»

A

Autorégulation

62
Q

À l’âge scolaire, les interactions sociales, qui deviennent plus fréquentes, contribuent au développement de quelle capacité?

A

Autorégulation

63
Q

Vrai ou faux
Entre 6 à 12 ans, les enfants sont incapables d’aller au-delà des apparences pour interpréter les comportements

A

Faux, ils cherchent des constantes plus profondes qui les aideront à interpréter les comportements d’eux-mêmes et d’autrui

64
Q

Vrai ou faux
À 6-7 ans, l’enfant développe le concept de conservation de la personnalité

A

Faux (plus à partir de 8 ans)

65
Q

À partir de 7-8 ans, un changement assez spectaculaire se produit dans les descriptions que les enfants font d’autrui. Explique ce changement

A

Ils commencent à se concentrer sur les traits ou les caractéristiques internes de la personne et à présumer que ces traits se manifestent dans de nombreuses situations

66
Q

L’âge scolaire se caractérise par
A) la dépendance croissante de l’enfant par rapport à sa famille
B) l’indépendance croissante de l’enfant par rapport à sa famille
C) mes fesses
D) certainement pas mes fesses

A

B

67
Q

La capacité accrue de l’enfant à s’autoréguler amène aussi un autre changement dans la relation parent-enfant
A) le déterminisme réciproque
B) une relation plus horizontale entre le parent et l’enfant
C) des attentes plus élevées (du parent envers l’enfant et inversement)
D) la nécessité des mesures disciplinaires s’estompent

A

D

68
Q

Vrai ou faux
La capacité d’autorégulation des parents a bcp d’importance sur la capacité d’autorégulation des enfants

A

Vrai car ils sont des modèles pour eux

69
Q

Vrai ou faux
Certaines recherches montent que des attentes élevées jumelées à une supervision parentale serrée sont associées à une plus faible capacité d’autorégulation chez l’enfant

A

Faux, c’est l’inverse
*de tels comportements rélèvent du style démocratique

70
Q

La plupart des recherches montrent que les enfants uniques sont tout aussi adaptés que les autres. Les enfants uniques pourraient même avoir un avance du moins en ce qui concerne le développement cognitif et scolaire. Qu’est-ce qui pourrait expliquer ce constat

A

En fait, cela dépendrait de l’ordre de naissance. En effet, l’enfant unique ou l’aîné d’une famille recevraient plus de ressources psychologiques et matérielles de la part de leurs parents (ces ressources se dilueraient avec chaque naissance supplémentaire)

71
Q

Quel critique est envoyée à l’hypothèse de la dilution (hypothèse comme quoi les parents accordent moins de ressources psychologiques et matérielles à chaque naissance)

A

Qu’elle insiste trop sur ce que les enfants suivants «enlèvent» plutôt que ce qu’ils apportent

72
Q

Sur quoi ce base l’enfant d’âge scolaire pour fonder une amitié
A) la proximité physique de l’ami («c’est mon ami parce que c’est mon voisin ou parce que nous sommes dans le même groupe»)
B) les caractéristiques externes de la personne
C) un potentiel partenaire de jeu
D) les buts de vie communs
E) la confiance réciproque

A

E

73
Q

Vrai ou faux
À l’âge scolaire, les relations entre pairs s’établissent sans discrimination selon le sexe. L’enfant va autant vers les garçons que vers les filles

A

Faux (amitiés pratiquement exclusivement avec des gens du même sexe. Phénomène mondial)

74
Q

Vrai ou faux
Le sexe semble plus important dans la sélection des amis que l’âge, l’ethnie ou tout autre variable catégorielle

A

Vrai

75
Q

Vrai ou faux
De manière générale, les 6-12 évitent les interactions avec le sexe opposé et entretiennent des stéréotypes négatifs à leur égard

A

Vrai

76
Q

A. Décris les groupes d’amis qu’ont les garçons à l’âge scolaire

B. Décris les groupes d’amis qu’ont les filles à l’âge scolaire

A

A. Groupes plus grands, acceptent davantage les nouveaux arrivants. Concentrés davantage sur la concurrence et la domination. Jouent sur des grandes surfaces à l’extérieur.

B. Filles sont plus en duos ou en petits groupes exclusifs. Jouent plus à l’intérieur. Plus d’ententes, de respect et de confidences entre les filles

77
Q

Vrai ou faux
Les interactions entre les paires d’AMIS et les paires d’AMIES ont peu en commun

A

Faux

78
Q

Si on demande à un garçon d’âge scolaire de choisir entre jouer avec une fille qu’il connaît ou un garçon qu’il ne connaît pas, qu’aura t’il tendance à choisir

A

Une fille qu’il connait

79
Q

Quelles sont les observations de Rutter sur les différences entre les écoles

A

Sommairement
A) écoles qui encouragent la prise de risques modérés par les élèves et qui fournissent opportunités de succès sociaux et scolaires donnent lieu à des élèves plus motivés

B) écoles les plus efficaces axées sur:
• la réussite scolaire
• attentes des enseignants sur réussite
• la gestion de temps
• utilisation judicieuse des récompenses et punitions
• élèves qui prennent responsabilité de leur comportement
• cadre chaleureux

C) les différences entre les écoles ne sont pas liées à la taille ou à l’âge des bâtiments

80
Q

La classe et l’école influent sur le développement cognitif et socioaffectif des enfants tant pour ce qui est de l’évolution de l’[1] que de la gestion de l’[2] et du [3]

A
  1. Attachement
  2. Agressivité
  3. Stress
81
Q

Selon Eccles et Roeser (1999), au-delà des ressources scolaires, qu’est-ce qui a le plus d’effet (en lien avec l’école) sur le développement des enfants
A) les processus organisationnels, les processus sociaux et les processus d’enseignement
B) un lien d’attachement sécurisant avec le professeur
C) Une routine stable avec des cours variés permettant à l’enfant d’explorer divers domaines de connaissances
D) aucune de ces réponses

A

A

82
Q

Nomme quelques avantages qu’ont les enfants qui ont regardés des programmes éducatifs de qualité à l’enfance.

A
  1. Ils acquérissent plus tôt des compétences en littératie et en maths
  2. À l’adolescence, ils lisent plus de livres, sont plus créatifs et axés sur la réussite
  3. Acquérir des connaissances qui en font des apprenants plus efficaces à l’école
83
Q

Vrai ou faux
Le nombre d’heures de télé visionné a plus d’impact que le contenu visionné

A

Faux c’est l’inverse

84
Q

La télévision peut apprendre des choses aux enfants, mais un trop grand nombre d’heures passées à regarder la télévision semble avoir un effet négatif sur le [1]

A

Rendement scolaire

85
Q

Quel est l’impact de l’écoute d’un grand nombre d’émissions violente à l’enfance rendu à l’âge adulte

A

Plus susceptibles de se prêter à des actes de violence

86
Q

L’ELDEQ montrent qu’ avoir écouter des émissions de télévisions violentes à la petite enfance est associé à (lequel est faux):
A) résultats scolaires et socioaffectifs négatifs en 2ème année
B) comportements antisociaux et détresse émotionnelle
C)inattention et rendement scolaire négatif
D) un attachement évitant

A

D

87
Q

Quelle est la clé pour que l’exposition à la télé ait plus d’effets positifs que d’effets négatifs

A

Les règles parentales sur la consommation

88
Q

Les tendances dans les activités liées à l’âge dans l’environnement numériques sont [1] à celles que l’on trouve dans l’environnement non-numérique. Les jeunes enfants passent la majorité de leur temps à [2] et les enfants plus vieux à [3]

A
  1. Identiques
  2. Jouer
  3. Communiquer avec leurs amis
89
Q

A. Nomme des avantages des jeux vidéos
B. Nomme des désavantages des jeux vidéos

A

A.
- améliorent les habiletés spatiocognitives (abolissant même les différences entre sexe dans ce domaine)
- enfants qui ont un moins bon rendement scolaire peuvent acquérir un sentiment de compétence via les jeux vidéos)

B.
-jeux violents augmentent hostilité et diminuent empathie.
- pratiquer sur une longue période, ces jeux violents peuvent augmenter les comportements agressifs

90
Q

Vrai ou faux
Les effets négatifs des jeux violents sont sous-estimés

A

Faux, on pense qu’ils sont surestimés
*de plus, effets dépendent de la personne

91
Q

Vrai ou faux
C’est au début de l’âge scolaire que la notion de bien et de mal commence à prendre vraiment de l’importance dans la vie de l’enfant

A

Vrai

92
Q

Qui suis-je?
«Processus d’apprentissage qui amène à distinguer le bien du mal conformément à certaines valeurs socioculturelles»

A

Développement moral

93
Q

Selon Piaget, c’est à la période des opérations [1] qu’émerge la capacité de recourir à un raisonnement sur l’[2] pour juger de la moralité d’un comportement

A
  1. Concrètes
  2. Intention
94
Q

Quels sont les deux stades du développement moral selon Piaget?

A

Réalisme moral et relativisme moral

95
Q

Décris le stade du réalisme moral

A
  • atteint vers 8 ans
  • enfants pensent que les règles sont fixes et immuables parce qu’elles proviennent de figures d’autorité
  • suivent règlements de jeux de façon très rigide
  • enfants croient à une justice immanente. Toute infraction aux règles mène à un châtiment
96
Q

Décris le stade de relativisme moral

A
  • est atteint entre 8-12 ans
  • jugements moins catégoriques et plus assouplis
  • enfants apprennent que les gens peuvent convenir de modifier les règles
    -ce qui compte c’est que tous les joueurs suivent les mêmes règles
  • savent que même s’ils ne suivent pas les règles, ils ne se feront punir que s’ils se font prendre
  • saisissent relation entre intention et châtiment
97
Q

Les enfants de plus de 8 ans accordent davantage d’attention à l’[1] qu’à la conséquence

A

Intention

Développement De L’enfant (9 decks)

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