MAA4 - Néoplasie + MM5 - Rejet Transplants Organes Flashcards
Définir néoplasie:
Croissance autonome des tissus qui ont échappés aux contraintes normales de prolifération et qui ressemblent à un certain degré de précurseur.
Définir cancer:
Désordre génétique causé par des mutations de l’ADN, survenant suivant l’exposition à un agent mutagène ou spontanément. Changements épigénétiques tout aussi fréquents.
Définir tératome:
Tumeur mixte qui contient des cellules ou des tissus matures ou immatures dérivés de plus d’une couche de cellules germinales, et parfois même de trois couches. Elle origine des cellules germinales totipotentes.
Définir polymorphisme:
Variation en:
1. Taille
2. Forme
D’un même gène, d’une même cellule ou d’un même tissu.
Définir Carcinome in situ:
Changements dysplasiques sévères et touchant l’épaisseur totale de l’épithélium.
Il s’agit d’un stade pré-invasion de cancer (pré-métastase).
Définir choristome:
Anomalie congénitale consistant un nid hétérotopique de cellules (ex: nodule composé de tissu pancréatique bien développé et normalement organisé (retrouvé dans la sous-muqueuse du tractus gastro-intestinal). Généralement bénin et sans important clinique.
Quelles sont les principales voies de dissémination des cancers:
- Ensemencement dans les cavités corporelles (spread by seeding).
- Réseau lymphatique
- Réseau vasculaire
Un néoplasme contenant un grand nombre de cellules géantes à noyaux hyperchromatiques et un abcès tuberculeux jusqu’à preuve du contraire. V ou F?
Important
Faux.
Parce que les cellules qu’on trouve dans les granulomes (vus en tuberculose) sont des cellules géantes avec plusieurs petits noyaux normaux.
Les gros noyaux hyperchromatiques sont typiques de cellules anaplasiques. En effet, les cellules anaplasiques sont retrouvées dans le cancer. Leur noyau est grand et hyperchromatique car elles synthétisent beaucoup de protéines pour la mitose et il y a une amplification de l’ADN. Dans les granulomes, on trouve des aggrégats de cellules du système immunitaires et JAMAIS des cellules anaplasiques.
V ou f: les cellules géantes du cancer sont les mm que les cellules géantes des granulomes.
Faux: les cellules géantes langerhans-type/foreign-body type chez les granulomes et les cellules géantes tumorales ne sont PAS la même chose.
Définir adénopathie:
Ganglion augmenté de volume.
Une adénopathie (ganglion augmenté de volume) dans le territoire de drainage lymphatique d’une tumeur maligne ne contient souvent aucune cellule tumorale métastatique. V ou F ?
Vrai, l’adénopathie peut être causée par une hyperplasie réactive dans la réponse immunitaire dirigée contre la tumeur.
Définir mélanome
Le mélanome est un type de cancer de la peau qui se développe à partir des cellules appelées mélanocytes. Les mélanocytes sont responsables de la production de mélanine, le pigment responsable de la coloration de la peau, des cheveux et des yeux.
Le mélanome se caractérise par une croissance anormale et rapide de ces cellules mélanocytaires, ce qui entraîne la formation de tumeurs malignes ou cancéreuses.
Tumeur bénigne:
Finit par «oma» ex: fibroma, chroangioma, etc.
Adénome: tumeurs bénines dérivées de cellules épithéliales.
La caractéristiques microscopiques sont innocentes et la tumeur est LOCALISÉE et il est possible de l’enlever chirurgicalement.
Tumeur maligne
S’applique à des cellules néoplasiques, implique que la lésion peut invader et détruire les structures adjacentes et se propager à des sites distants (via métastase) ayant la capacité de causer la mort.
Quelles sont les différences essentielles entre les néoplasmes bénins et malins du points de vue de leur principales caractéristiques structurales ?
Caractéristiques structurales :
Bénin : Les néoplasmes bénins sont généralement bien délimités, c’est-à-dire qu’ils restent confinés à un espace défini. Ils sont également souvent entourés par une capsule fibreuse. Les cellules d’un néoplasme bénin ressemblent souvent aux cellules normales du tissu d’origine.
Maligne : Les néoplasmes malins ont tendance à être moins bien délimités et peuvent envahir les tissus environnants. Ils n’ont pas de capsule clairement définie. Les cellules d’un néoplasme malin présentent généralement des caractéristiques anormales, telles qu’une croissance rapide, une perte de différenciation cellulaire (anaplasie) et une capacité invasive.
Quelles sont les différences essentielles entre les néoplasmes bénins et malins du points de vue de leur principales caractéristiques fonctionnelles ?
Bénin : Les néoplasmes bénins ont tendance à croître lentement, et ils ne se propagent généralement pas à d’autres parties du corps (métastases). Ils exercent une pression locale sur les tissus environnants, mais ils ne détruisent pas ces tissus. Les néoplasmes bénins ont également tendance à avoir des fonctions cellulaires plus similaires à celles des tissus normaux.
Maligne : Les néoplasmes malins ont la capacité de croître rapidement et de se propager à d’autres parties du corps via le système lymphatique ou sanguin, ce qui peut former des métastases. Ils peuvent également détruire les tissus environnants en raison de leur capacité invasive. Les cellules malignes peuvent avoir des fonctions cellulaires altérées, parfois produisant des substances qui ne sont pas normalement présentes dans le tissu d’origine.
Décrire les principales étapes de l’invasion et de la métastase:
Ma map:
En Amérique du Nord, quel est selon vous le pourcentage des décès causés par le cancer?
Au Canada, le cancer est la principale cause de décès, responsable de 19.6% de tous les décès (données de 2016).
Un jeune homme de 16 ans présente une masse douloureuse de l’extrémité proximale du tibia droit. Une radiographie de la région atteinte montre une destruction de l’os cortical métaphysaire et une masse dans les tissus mous. Une biopsie met en évidence des cellules anaplasiques et une production de matrice osseuse. Il y a dans cette masse plusieurs mitoses atypiques. Quel terme utiliseriez-vous pour désigner cette lésion?
Ostéosarcome (Syn. : Sarcome ostéogénique)
Étape 1: En face d’une tumeur (entendre ici toute tuméfaction ou gonflement), on doit d’abord s’assurer qu’il s’agit d’un néoplasme c’est-à-dire d’une tumeur composée de cellules capables de proliférer. En d’autres mots, un hématome ou un abcès ne sont pas des néoplasmes bien qu’ils forment tous deux des masses.
Étape 2: On doit ensuite déterminer si les cellules qui prolifèrent sont de nature épithéliale ou mésenchymateuse. Une tumeur épithéliale forme des glandes, des cordons ou des tapis de cellules. Une tumeur mésenchymateuse ne forme pas de telles structures. Dans le cas présent, on a affaire à un néoplasme d’origine mésenchymateuse puisqu’il y a production d’os et qu’il n’y a ni glandes ni cordons.
Étape 3: Enfin, on doit répondre à la question suivante : cette tumeur est-elle bénigne ou maligne? Puisque cette lésion est infiltrante et qu’elle se compose de cellules anaplasiques, on peut affirmer ici son caractère malin.
Après plusieurs mois d’abondants saignements menstruels, une femme de 44 ans subit une hystérectomie (excision chirurgicale de l’utérus). L’examen de l’utérus montre un organe irrégulièrement augmenté de volume. Il y a dans la paroi de l’utérus plusieurs nodules bien délimités, fermes, grisâtres. L’examen histo-pathologique indique que cette tumeur est faite de faisceaux entrelacés de fibres musculaires lisses bien différenciées et en tout point semblables à celles normalement retrouvées dans le myomètre. Quel terme allez-vous utiliser pour désigner cette tumeur?
Léiomyome utérin.
Très fréquent chez la femme, ce néoplasme est d’origine musculaire lisse. L’énoncé souligne que les cellules sont semblables à des cellules musculaires lisses normales; il n’y a pas de perte de différenciation. De plus, la lésion refoule plutôt que d’infiltrer. Bref, il s’agit d’une tumeur musculaire lisse bénigne encore appelée léiomyome utérin. Dans la langue populaire on emploie le mot “Fibrome”. Attention! on ne doit pas être dérouté par le caractère irrégulier de l’utérus; l’utérus est certes bosselé mais les nodules demeurent réguliers.
Un enfant de 6 mois présente au visage une plaque rougeâtre aux contours irréguliers. Cette lésion n’est pas encapsulée. Elle se compose essentiellement de vaisseaux sanguins bien différenciés ayant la taille de capillaires et dont les lumières vasculaires contiennent des hématies. Comment nommez-vous cette lésion?
Hémangiome capillaire.
Quoique plus fréquents chez l’adulte, les néoplasmes surviennent également chez l’enfant. Il s’agit ici d’une lésion d’origine vasculaire c’est-à-dire d’origine mésenchymateuse. Elle ne possède aucune caractéristique d’une lésion maligne. Le caractère mal délimité de la lésion ne constitue pas un critère fiable pour affirmer la malignité d’une tumeur. Il ne faut pas trop se fier non plus à l’encapsulation pour faire la différence entre les lésions bénignes et malignes. Le meilleur critère, c’est la présence ou l’absence de métastases. D’ailleurs, les tumeurs malignes peuvent parfois être très bien circonscrites. Enfin, puisqu’il y a des hématies dans les lumières vasculaires, on peut affirmer qu’il s’agit d’un hémangiome et non d’un lymphagiome. Bref, si l’on exclut la métastase, il n’y a pas de critère pathognomique pour la malignité.
Il s’agit d’un chauffeur de taxi de 62 ans. Depuis l’adolescence, il fume 2 paquets de cigarettes par jour. Il se présente pour une toux persistante et une perte de poids de 10 kilos durant les six derniers mois. La radiographie pulmonaire objective un nodule mal délimité du lobe inférieur du poumon droit. Cette lésion se compose de cordons de cellules épithéliales incomplètement différenciées envahissant la bronche lobaire inférieure droite. Les cellules qui prolifèrent ont un cytoplasme acidophile, forment des tourbillons de kératine et sont munies de filaments d’union (desmosomes) semblables à ceux que l’on retrouve dans l’épiderme. Votre diagnostique est :
Carcinome épidermoïde des bronches. (Syn : épithélioma malpighien).
Le contexte clinique nous oriente ici vers une lésion néoplasique maligne en raison du facteur de risque (tabagisme) et de la perte pondérale. On nous indique qu’il s’agit d’une lésion épithéliale. De plus, on souligne que les cellules infiltrent la bronche. Il s’agit donc d’une lésion épithéliale maligne encore appelée “carcinome” ou “épithélioma”. On nous fournit en outre des indications suffisantes à l’effet que la différenciation est celle normalement retrouvée dans la peau d’où l’appellation de carcinome épidermoïde.
Comparez. La figure intitulée « Precursor lesions of squamous cell carcinomas that may antedate the appearance of invasive tumor by years » dans la section « Lung Tumors » du chapitre « Lung » vous montrent l’aspect histologique de cette tumeur.
On retrouve fortuitement à l’autopsie un nodule arrondi de 5 mm de diamètre de coloration jaunâtre dans le cortex du rein droit. La veine rénale droite est sans particularité. À l’histologie on retrouve un amas de tubules, de glandes et de cordons épithéliaux. Les cellules retrouvées ont une forme polygonale et sont munies de noyaux réguliers. Il n’y a pas de polymorphisme ni d’atypies cellulaires. Comment appelez-vous cette lésion?
Adénome cortical du rein.
Néoplasme épithélial bénin formant des glandes donc adénome. Signalons cependant que l’on préfère appeler les tumeurs de ce type carcinomes si elles ont formé des métastases ou si elles mesurent plus de 2 cm. Autrement dit, il existe des situations, à vrai dire exceptionnelles, dans lesquelles des tumeurs biologiquement malignes ne montrent aucune altération cytologique caractéristique des tumeurs malignes. Heureusement, dans l’immense majorité des cas, on peut lors de l’examen histologique distinguer les tumeurs bénignes des tumeurs malignes.
Une femme de 35 ans consulte pour une masse du quadrant supéro-externe du sein gauche. Cette masse est mobile et possède des contours réguliers. En coupe, elle bombe légèrement. Le pathologiste affirme qu’elle est entourée d’une capsule fibreuse et qu’elle se compose de glandes et de tubules déposés dans un stroma fibreux lâche. Quel est le diagnostic le plus probable?
Fibro-adénome du sein.
Voici un exemple de tumeur bénigne à double différenciation : épithéliale et mésenchymateuse.
Retournez à la section « Characteristics of Benign and Malignant Neoplasms », regarder les images du fibroadénome du sein et voyez comment elle diffère d’un carcinome du sein. Les cancers du sein possèdent en général des contours étoilés, irréguliers. Leur consistance est ferme, ligneuse. De même, à l’examen histologique, un cancer est une lésion incomplètement différenciée et infiltrante. Le fibro-adénome ne comporte pas d’atypies cytologiques; il refoule, mais n’envahit pas les tissus avoisinants. Il ne donne jamais de métastase.
Quel est selon vous le meilleur critère permettant de distinguer les néoplasmes bénins des néoplasmes malins?
La formation des métastases. Une tumeur bénigne ne donne jamais de métastases. En revanche, l’immense majorité des tumeurs malignes peuvent former des métastases.
Les rares exceptions sont le carcinome baso-cellulaire de la peau et les tumeurs malignes d’origine gliale du système nerveux central qui ne donnent à peu près jamais de métastases.
On a pratiqué l’excision d’une tumeur de l’ovaire droit chez une femme de 28 ans. Il s’agit d’un volumineux kyste mesurant 40 cm dans son plus grand diamètre. Le kyste pèse 3,500 grammes. En coupe, le kyste est parcouru de nombreuses cloisons. Il laisse écouler un liquide filant grisâtre. L’examen microscopique montre des cloisons fibreuses bordées d’une seule assise de cellules cubiques dont le pôle apical est déformé par une vacuole de mucus. Le rapport nucléo-cytoplasmique est de 1|6. Votre diagnostic?
Cystadénome mucineux de l’ovaire.
Malgré sa taille impressionnante, cette tumeur est le plus souvent entièrement bénigne. Comme elle provient d’un tissu épithélial et qu’elle ne comporte aucune caractéristique de malignité (rapport nucléo-cytoplasmique normal, absence d’atypie, absence de stratification), elle mérite l’appellation d’adénome. On ajoute le qualificatif mucineux pour rendre compte du caractère “mucoïde” et non séreux de la lésion. Le préfixe “Cyst” indique qu’il s’agit d’une tumeur kystique c’est-à-dire creusée d’une cavité et non d’une masse solide. Le terme “kyste” à l’instar du mot “polype” réfère à une observation macroscopique et ne fournit pas d’indication utile concernant la bénignité ou la malignité d’une lésion.
À l’aide d’un schéma, illustrez sur une feuille les étapes de la métastase hématogène et indiquez en marge les mécanismes moléculaires impliqués.
1- Dissociation des cellules (Diminution des Cadherines E).
2- Interactions avec la matrice extracellulaire (Récepteurs spécifiques pour la laminine, la fibronectine, le collagène et les intégrines).
3- Digestion protéolytique des constituants normaux de la membrane basale** (protéases de type sérine-activateur du plasminogène, protéases de type cystéine-cathepsine D, métalloprotéinases-collagénase de type IV; Réduction des niveaux d’inhibiteurs tissulaires des protéinases (TIMPs)**.
4- Motilité : Facteur autocrine de motilité; chimiotactisme et prolifération vasculaire exercés par les produits de la digestion enzymatique de la membrane basale (cytokines).
5- Agrégation des cellules tumorales : Interactions homo et hétérotypique.
6- Domiciliation spécifique : Molécules d’adhésion (CD44, facteurs de croissance tissulaire).
Le tableau comparatif suivant illustre les différences essentielles entre les tumeurs bénignes et malignes. Complétez-le sur une feuille.
La classification des tumeurs est nécessaire et essentielle pour:
1- donner certaines indications du pronostic
2- aider le clinicien dans la planification des traitements
3- l’évaluation des résultats de traitement
4- faciliter l’échange d’informations
5- aider l’investigation continue des cancers
On classifie les tumeurs en fonction de leur :
- histogenèse : épithéliale ou mésenchymateuse.
- comportement biologique envers l’hôte : bénigne ou maligne.
Les tumeurs bénignes ou malignes se composent de 2 constituants essentiels :
le parenchyme et le stroma.
On utilise le suffixe “ome” pour toute tumeur :
Carcinome pour:
Sarcome pour:
carcinome pour toute tumeur épithéliale maligne
sarcome pour toute tumeur mésenchymateuse maligne
Les carcinomes se subdivisent en:
- adénocarcinome: vient de l’épithélium glandulaire
- carcinome transitionnel: vient de l’épithélium transitionnel (comme celui de la vessie).
- carcinome épidermoïde (malpighien): vient de l’épithélium malpighien.
Le terme “adénome” désigne:
toute tumeur glandulaire bénigne
Le terme papillome désigne :
toute tumeur bénigne des épithéliums de recouvrement.
LE TERME polype désigne :
Toute prolifération macro visible se projetant à la surface d’un épithélium de revêtement. Un polype n’est pas forcément néoplasique.
Les tumeurs malignes et bénignes se distinguent habituellement par les 4 critères suivants:
- Différenciation et anaplasie
- Taux de croissance
- Invasion
- Métastases
Sur demande, produire un schéma simplifié de l’étio-pathogénie des cancers sur lequel apparaîtront les principaux agents étiologiques des cancers, les principales classes de gènes ciblées lors du processus de la transformation néoplasique et les principales étapes de la progression des tumeurs.
Fournir une classification des oncogènes basée sur la physiologie cellulaire. Pour ce faire, il devra connaître les étapes principales de la transduction des signaux mitogéniques c’est-à-dire : facteurs de croissance, récepteurs de facteurs de croissance, transducteurs des signaux mitogéniques et facteurs de transcription.
expliquer succinctement les modes d’activation des oncogènes et fournir un exemple pour chacun des modes d’activation.
expliquer les différences essentielles entre les oncogènes et les gènes suppresseurs des tumeurs.
Pour les questions 1 à 4, trouvez le complément approprié parmi les choix suivants :
a) sis
b) fos
c) fms
d) ras
- Transducteur de signaux mitogéniques dont l’action s’exerce sur le feuillet interne de la membrane cellulaire.
- Oncoprotéine nucléaire capable de stimuler la transcription génique.
- Chaîne ( du facteur de croissance plaquettaire (syn: PDGF).
- Récepteur du facteur de croissance stimulant les macrophages (CSF-1R).
- Transducteur de signaux mitogéniques dont l’action s’exerce sur le feuillet interne de la membrane cellulaire: *RAS**
- Oncoprotéine nucléaire capable de stimuler la transcription génique: FOS.
- Chaîne ( du facteur de croissance plaquettaire (syn: PDGF): sis.
- Récepteur du facteur de croissance stimulant les macrophages (CSF-1R): FMS.