Les principales théories Flashcards

1
Q

4 points abordés pour les théories principales:

A

A- Éléments théoriques de base B- Les relations intergroupes et l’identité C- Les relations interpersonnelles, l’identité et la mobilité sociale D- Vers un modèle unifié de l’identification!?

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2
Q

Le point parmis les 4 abordé par Deaux et Martin:

A

C- Les relations interpersonnelles, l’identité et la mobilité sociale

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3
Q

Le point parmis les 4 abordé par Roccas et al.

A

D- Vers un modèle unifié de l’identification!?

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4
Q

3 composantes du point A (Éléments théoriques de base)

A

1- La théorie de l’identité sociale 2- La théorie de la catégorisation sociale 3- Les stéréotypes

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5
Q

2 composantes du point B (Les relations intergroupes et l’identité)

A

1- Le paradigme du groupe minimal 2- La théorie de l’équité

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6
Q

2 composantes du point C (Les relations interpersonnelles, l’identité et la mobilité sociale)

A

1- Vers une perspective intégratrice 2- Un modèle en trois actes

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7
Q

3 composantes du point D (Vers un modèle unifié de l’identification!?)

A

1- Quatre perspectives théoriques 2- Quatre dimensions de l’identification au groupe 3- Le concept d’entitativité

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8
Q

<strong>A- Éléments théoriques de base </strong>1- La théorie de l’identité sociale

L’identité sociale se définit (se construit) à travers quoi?

A

La perception qu’a l’individu de son appartenance à des groupes sociaux (catégories sociales d’appartenance).

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9
Q

<strong>A- Éléments théoriques de base <u>1- La théorie de l’identité sociale</u></strong>

L’idée centrale de la TIS implique quoi?

A

Implique que l’appartenance groupale représente un élément fondamental (possiblement le plus important) de l’identité de tout individu.

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10
Q

<strong>A- Éléments théoriques de base <u>1- La théorie de l’identité sociale</u></strong>

Dans cette perspective, l’estime de soi se renforce comment?

A

Se renforce en comparant ses groupes d’appartenance (endogroupes) aux groupes dont on ne fait pas partie (exogroupes).

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11
Q

A- Éléments théoriques de base <u>1- La théorie de l’identité sociale</u>

Que peut favoriser le processus de renforcement de l’estime de soi en comparant ses groupes d’appartenance (endogroupes) aux groupes dont on ne fait pas partie (exogroupes)?

A

Ce processus peut favoriser des biais perceptuels et des comportements discriminatoires.

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12
Q

A- Éléments théoriques de base <u>1- La théorie de l’identité sociale</u>

En comparant l’endogroupe à l’exogroupe le membre de l’endogroupe aura tendance à développer quoi?

A

À développer des stratégies destinées à maintenir une image positive de son endogroupe, entre autres des comportements discriminatoires envers l’exogroupe pour marquer les frontières entre les deux groupes.

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13
Q

A- Éléments théoriques de base <u>1- La théorie de l’identité sociale</u>

De plus, selon la TIS, pour qu’un groupe acquière une forte identité, il doit exister quoi?

A

Il doit exister une dynamique de discrimination envers l’exogroupe

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14
Q

A- Éléments théoriques de base <u>1- La théorie de l’identité sociale</u>

Une dynamique de discrimination envers l’exogroupe conduit à quoi?

A

Conduit à réduire la perméabilité des frontières (entre les groupes).

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15
Q

A- Éléments théoriques de base <u>1- La théorie de l’identité sociale</u>

Quel est le défi d’une dynamique de discrimination?

A

Les frontières du groupe social doivent être continuellement «gérées» pour ne pas devenir figées (risque d’isolement, de repli identitaire) ni trop perméables (risque de perte d’identité collective).

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16
Q

A- Éléments théoriques de base <u>2- La théorie de la catégorisation sociale</u>

Selon G. Allport, la catégorisation (pas seulement la catégorisation sociale) constitue quoi?

A

Constitue une tendance inévitable de l’esprit humain.

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17
Q

A- Éléments théoriques de base <u>2- La théorie de la catégorisation sociale</u>

La catégorisation répond à quoi?

A

Répond au besoin fondamental de tout être humain de mieux comprendre (en la simplifiant) la complexité du monde.

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18
Q

A- Éléments théoriques de base <u>2- La théorie de la catégorisation sociale</u>

Dans le contexte de catégorisation à des fin de simplification;

L’une des caractéristiques fondamentales de la perception humaine et de sa capacité de catégorisation serait de:

A

Réagir à la première information significative et de l’utiliser pour catégoriser (classer) les informations subséquentes.

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19
Q

A- Éléments théoriques de base <u>2- La théorie de la catégorisation sociale</u>

Dans le contexte de catégorisation à des fin de simplification;

Il apparait également que la X et l’Y joue un rôle dans le processus de catégorisation.

A

Il apparait également que la saillance et l’importance relative de l’information disponible joue un rôle dans le processus de catégorisation.

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20
Q

A- Éléments théoriques de base <u>2- La théorie de la catégorisation sociale</u>

Un des processus les plus fondamentaux de l’être humain

Processus inné selon cette théorie:

A

La catégorisation

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21
Q

A- Éléments théoriques de base <u>2- La théorie de la catégorisation sociale</u>

Dans cette perspective, les groupes psychologiques évoqués par les termes « eux » (exogroupe) et « nous » (endogroupe) seraient le produit de quoi?

A

L’d’un des processus les plus fondamentaux de l’être humain: la catégorisation

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22
Q

A- Éléments théoriques de base <u>2- La théorie de la catégorisation sociale</u>

La théorie de la catégorisation sociale suppose que…

par un processus de comparaison sociale, l’individu va quoi?

A

Va adapter son Self de façon à tendre vers le prototype (représentation idéale) du groupe auquel il s’identifie.

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23
Q

A- Éléments théoriques de base <u>2- La théorie de la catégorisation sociale</u>

Le fait que l’individu va adapter son Self de façon à tendre vers le prototype (représentation idéale) du groupe auquel il s’identifie permet quoi?

A

Permet de Réduire son incertitude face à son environnement social.

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24
Q

<strong>A- Éléments théoriques de base <u>2- La théorie de la catégorisation sociale</u></strong>

Les individus utiliseraient les mécanismes de la catégorisation pour X afin de Y

A

Les individus utiliseraient les mécanismes de la catégorisation pour se définir et définir les autres afin de maintenir leur estime d’eux-mêmes (fonction d’évaluation) et de réduire leur sentiment d’incertitude (fonction de connaissance).

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25
Q

A- Éléments théoriques de base <u>3- Les stéréotypes</u>

Lorsque nous catégorisons des personnes, nous ne nous limitons pas à les regrouper dans une catégorie, nous…

A

Nous leur associons également (de manière plus ou moins non consciente) des attributs que nous croyons être des caractéristiques des membres de cette catégories (stéréotypes).

26
Q

A- Éléments théoriques de base <u>3- Les stéréotypes</u>

Les stéréotypes:

A

C’est associé à un individu des attributs que nous croyons être des caractéristiques des membres de la catégorie à laquelle il appartient.

27
Q

A- Éléments théoriques de base<u> 3- Les stéréotypes</u>

Les stéréotypes peuvent contenir quoi?

A

Peuvent contenir des croyances positives et/ou négatives (rarement neutres).

28
Q

A- Éléments théoriques de base <u>3- Les stéréotypes</u>

Bien que les stéréotypes soient surtout des cognitions, ils comportent également quoi?

A

Ils comportenet également un aspect évaluatif donc affectif.

29
Q

A- Éléments théoriques de base<u> 3- Les stéréotypes</u>

Les stéréotypes contiennent souvent quoi?

A

Contiennent souvent des éléments de vérité (ce qui les rend encore plus difficiles à modifier).

30
Q

A- Éléments théoriques de base <u>3- Les stéréotypes</u>

Les stéréotypes peuvent être…

A

Peuvent être largement non-conscient.

31
Q

A- Éléments théoriques de base <u>3- Les stéréotypes</u>

La stéréotypisation:

A

Processus d’attribution de caractéristiques à des personnes sur la base de leur appartenance à des groupes

32
Q

A- Éléments théoriques de base <u>3- Les stéréotypes</u>

La stéréotypisation rend…

A

les individus interchangeables avec tous les membres de leur catégorie.

33
Q

A- Éléments théoriques de base <u>3- Les stéréotypes</u>

L’homogénisation de l’exogroupe:

L’homogénisation de l’endogroupe:

A

L’homogénisation de l’exogroupe: eux sont semblables alors que nous sommes tous différents

L’homogénisation de l’endogroupe: augmente la cohésion interne et la force des autostéréotypes

34
Q

A- Éléments théoriques de base <u>3- Les stéréotypes</u>

La rencontre d’un cas exceptionnel (individu qui ne cadre pas avec les stéréotypes associés à son groupe) amène quoi?

A

Amène la construction d’un sous-groupe exceptionnel (donc pas de modification des stéréotypes).

35
Q

<strong>B- Les relations intergroupes et l’identité <u>1- Le paradigme des groupes minimaux (PGM)</u></strong>

Expliquer le PGM:

A

La simple répartition d’individus en deux groupes sur une base arbitraire (ex: date de fête pair vs impair) semble généralement suffisante pour susciter le préjugé et la discrimination.

36
Q

B- Les relations intergroupes et l’identité <u>1- Le paradigme des groupes minimaux (PGM)</u>

Le biais proendogroupe:

A

La tendance a favoriser les membres de son propre groupe (endogroupe) par rapport à ceux de l’exogroupe.

37
Q

B- Les relations intergroupes et l’identité <u>1- Le paradigme des groupes minimaux (PGM)</u>

Les expériences associées au PGM ont permis de développer quoi?

A

Le concept de différenciation maximale (forme de favoritisme proendogroupe)

38
Q

B- Les relations intergroupes et l’identité <u>1- Le paradigme des groupes minimaux (PGM)</u>

Le concept de différenciation maximale (forme de favoritisme proendogroupe) qui rend compte de quoi?

A

Rend compte du fait qu’un individu serait prêt à se contenter de moins de ressource pour son endogroupe afin de s’assurer que son endogroupe en ait tout de même plus que l’exogroupe (objectif principal: maximiser l’écart entre les deux groupes).

39
Q

B- Les relations intergroupes et l’identité <u>1- Le paradigme des groupes minimaux (PGM)</u>

Comment le PGM s’inspire de la théorie de la catégorisation sociale?

A

C’est par l’intermédiaire de comparaisons sociales favorables à l’endogroupe qu’une identité sociale positive peut être établie.

40
Q

B- Les relations intergroupes et l’identité <u>1- Le paradigme des groupes minimaux (PGM)</u>

Le PGM s’inspire de la théorie de la catégorisation sociale;

Les comparaisons défavorables aux membres de l’endogroupe génèrent quoi?

A

Génère une identité sociale négative qui peut avoir un effet néfaste sur l’estime de soi des individus.

41
Q

B- Les relations intergroupes et l’identité <u>1- Le paradigme des groupes minimaux (PGM)</u>

Hypothèse contradictoire au PGM (ou au biais proendogroupe):

A

Le PGM reposerait plutôt sur une interdépendance mutuelle (norme de réciprocité) …

..qui fait en sorte que les individus dépendent des autres membres de l’endogroupe pour

..satisfaire leur intérêt personnel (individuel)

..plutôt que leur intérêt identitaire (collectif).

42
Q

B- Les relations intergroupes et l’identité <u>2- La théorie de l’équité</u>

Le sentiment d’équité refléterait: X

…et, à ce titre, contribuerait à Y

A

Le sentiment d’équité refléterait: nos croyances dans un monde juste et dans la justice sociale

…et, à ce titre, contribuerait à forger l’explication idéologique des relations intergroupes

43
Q

B- Les relations intergroupes et l’identité <u>2- La théorie de l’équité</u>

La perception de l’injustice sociale provoque quoi?

A

Provoque un malaise psychologique qui nous porte à vouloir rétablir l’équité soit de manière matérielle ou psychologique (déclanchement automatique de mécanisme de réduction de la dissonance cognitive)

44
Q

B- Les relations intergroupes et l’identité <u>2- La théorie de l’équité</u>

Selon le biais proendogroupe;

Quand est-ce qu’une relation intergroupe serait perçue comme équitable et juste?

A

Lorsque le rapport entre la contribution et les résultats de l’endogroupe est jugé au moins équivalent à celui de l’exogroupe.

45
Q

C- Les relations interpersonnelles, l’identité et la mobilité sociale (Deaux et Martin) <u>1- Vers une perspective intégrative</u>

La TIS et la TCS sont aussi utilisées par certains chercheurs qui présentent l’identité comme quoi?

A

Comme un construit social négocié au cours d’interactions complexes.

Cette vision insiste sur la nature potentiellement dynamique de l’identité et de l’identification.

46
Q

C- Les relations interpersonnelles, l’identité et la mobilité sociale (Deaux et Martin) <u>1- Vers une perspective intégrative</u>

Selon Deaux et Martin, en psychologie sociale , la TIS et la TCS mettent l’emphase sur quoi? A

Et la TIS et la TCS n’accorderaient pas suffisamment d’attention à quoi? B

A

A. Sur l’influence des catégories sociales d’appartenance sur le développement identitaire

B. Aux contextes relationnels à travers lesquels ces influences identitaires se négocient (se construisent).

47
Q

C- Les relations interpersonnelles, l’identité et la mobilité sociale (Deaux et Martin) <u>1- Vers une perspective intégrative</u>

Dans leur article, Deaux et Martin proposent quoi?

A

Proposent d’intégrer les deux niveaux d’analyse de la réalité sociale (les catégories et les interactions)..

afin de mieux comprendre comment les individus..

  • adoptent et maintiennent leur identité,
  • décident (processus partiellement non conscient) d’en changer et éventuellement d’en adopter une autre.
48
Q

C- Les relations interpersonnelles, l’identité et la mobilité sociale (Deaux et Martin) <u>1- Vers une perspective intégrative</u>

Deaux et Martin proposent une vision intégrative de quoi?

A

Selon elles (les auteures), ces processus de construction identitaire font interagir quoi?

B

A

A. Des processus de construction identitaire des individus .

B. Les deux niveaux de la réalité sociale: les catégories sociales d’appartenance et les réseaux (interactions) interpersonnels.

49
Q

C- Les relations interpersonnelles, l’identité et la mobilité sociale (Deaux et Martin) <u>2- Un modèle en trois actes</u>

Selon Deaux et Martin, la construction de l’identité (développement, maintien, changement, etc.) constitue quoi?

A

Constitue une démarche en trois temps

50
Q

C- Les relations interpersonnelles, l’identité et la mobilité sociale (Deaux et Martin) <u>2- Un modèle en trois actes</u>

Expliquer les grandes lignes de la démarche en 3 temps de la construction identitaire selon DEaux et Martin:

A

Temps 1: Les catégories sociales d’appartenance initiales (ethnie, langue maternelle, genre, etc.) vont orienter les premiers réseaux interpersonnels.

Temps 2: Les comparaisons sociales (basées sur les catégories sociales d’appartenance) et les possibilités (ou non) de mobilité sociale vont déclencher des processus de négociation de l’identité

Temps 3: Une personne qui se déplace d’un réseau social à un autre sera motiver par le degré de support que peut lui fournir son « nouveau » réseau social.

51
Q

C- Les relations interpersonnelles, l’identité et la mobilité sociale (Deaux et Martin) <u>2- Un modèle en trois actes</u>

Expliquer le Temps 1 de la démarche en 3 temps de la construction identitaire selon DEaux et Martin:

A

Temps 1: Les catégories sociales d’appartenance initiales (ethnie, langue maternelle, genre, etc.) vont orienter les premiers réseaux interpersonnels. Ces réseaux homogènes vont offrir un support social (plus ou moins) important à leurs membres qui, en retour, vont développer un sentiment d’identification (plus ou moins) important à ces catégories.

52
Q

C- Les relations interpersonnelles, l’identité et la mobilité sociale (Deaux et Martin) <u>2- Un modèle en trois actes</u>

Expliquer le Temps 2 de la démarche en 3 temps de la construction identitaire selon DEaux et Martin:

A

Temps 2: Les comparaisons sociales (basées sur les catégories sociales d’appartenance) et les possibilités (ou non) de mobilité sociale vont déclencher des processus de négociation de l’identité par lesquels les individus vont rechercher à intégrer des réseaux sociaux dont ils ne font pas partie mais qui pourraient leur permettre de modifier leur identité (changer de catégorie sociale d’appartenance) et leur fournir le soutien social dont ils ont besoin.

53
Q

C- Les relations interpersonnelles, l’identité et la mobilité sociale (Deaux et Martin) <u>2- Un modèle en trois actes</u>

Expliquer le Temps 3 de la démarche en 3 temps de la construction identitaire selon DEaux et Martin:

A

Temps 3: Une personne qui se déplace d’un réseau social à un autre sera motiver par le degré de support que peut lui fournir son « nouveau » réseau social. Plus le support (opportunités) offert sera important, plus l’identification se renforcera (modifiant ainsi l’identité de l’individu).

54
Q

D- Vers un modèle unifié de l’identification!? (Roccas et al.) <u>1- Quatre perspectives théoriques (non mutuellement exclusives)</u>

Nommer les 4 perspectives:

A

a) Individuation ET dépersonnalisation
b) Individualisme VS collectivisme
c) Nationalisme OU patriotisme
d) Identité organisationnelle

55
Q

<strong> D- Vers un modèle unifié de l’identification!? (Roccas et al.) 1- Quatre perspectives théoriques (non mutuellement exclusives)</strong>

Expliquer la perspective théorique a) (Individuation ET dépersonnalisation):

A
  • l’identification constitue un processus de dépersonnalisation (absence ou réduction de l’individuation)
  • les individus sont reliés par leur attachement au groupe
56
Q

D- Vers un modèle unifié de l’identification!? (Roccas et al.) 1- Quatre perspectives théoriques (non mutuellement exclusives)

Expliquer la perspective théorique b) (Individualisme VS collectivisme)

A
  • mesure de l’intérêt (importance) qu’un individu accorde au groupe en général
  • évalue la tendance à se décrire (ou non) d’abord comme faisant partie d’un ou de plusieurs groupes
  • propose une distinction entre le collectivisme vertical (soumission à l’autorité) et le collectivisme horizontal (se définir comme étant semblable aux autres et partageant des buts communs (à l’intérieur d’un endogroupe)
57
Q

D- Vers un modèle unifié de l’identification!? (Roccas et al.) 1- Quatre perspectives théoriques (non mutuellement exclusives)

Expliquer la perspective théorique c) (Nationalisme OU patriotisme)

A
  • distinction entre le pseudo-patriotisme (perte du sens critique et rejet des autres) et le patriotisme véritable (fierté nationale)
58
Q

D- Vers un modèle unifié de l’identification!? (Roccas et al.) 1- Quatre perspectives théoriques (non mutuellement exclusives)

Expliquer la perspective théorique d) (Identité organisationnelle)

A
  • degré d’attachement affectif à l’organisation
59
Q

D- Vers un modèle unifié de l’identification!? (Roccas et al.) <u>2- Quatre dimensions (d’analyse) de l’identification au groupe</u>

Nommer les 4 dimensions (d’analyse) de l’identification au groupe:

A

a) Importance relative du degré d’identification au(x) groupe(s) (VS individuation) dans la définition de l’identité
b) Engagement ou degré d’implication dans le groupe (dévouement) (marque l’orientation de l’action)
c) Supériorité ou sentiment de supériorité associé à son groupe par rapport aux autres groupes (sert à définir l’estime de soi)
d) Soumission aux normes et aux symboles du groupe (contribue à façonner la grille d’analyse de l’individu)

60
Q

D- Vers un modèle unifié de l’identification!? (Roccas et al.) <u>2- Quatre dimensions (d’analyse) de l’identification au groupe</u>

Les quatre dimensions d’analyse de l’identification au groupe servent à quoi?

A

Servent à distinguer les raisons (le pourquoi?) et les implications (les conséquences) de l’identification (au(s) groupe(s))

61
Q

D- Vers un modèle unifié de l’identification!? (Roccas et al.) <u>2- Quatre dimensions (d’analyse) de l’identification au groupe</u>

Les 4 dimensions dimensions d’analyse de l’identification au groupe s’intéressent plus particulièrement à quoi?

A

S’intérressent aux phénomènes d’identification aux grands groupes (catégories sociales d’appartenance) dans leurs dimensions symboliques (représentationnelles) plutôt qu’interpersonnelles (relationnelles)

62
Q

D- Vers un modèle unifié de l’identification!? <u>(Roccas et al.) 3- Le concept d’entitativité</u>

Définition de l’etitativité:

A

C’est la capacité du groupe à démontrer de la cohérence (fournir une signification à ses membres, à se définir comme un groupe)

Définit la capacité du groupe d’influencer l’identité des individus qui s’en réclament et leur implication dans ce même groupe.