Cours 9 - Identité et famille Flashcards

1
Q

Identité et famille points principaux:

A

A- La mémoire familiale et ses différents usages

B- La formation de l’identité «adoptive»

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Q

A- La mémoire familiale et ses différents usages points principaux:

A

1- Les usages thérapeu/ques de la mémoire familiale

2- Les usages du roman familial

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3
Q

B- La formation de l’identité «adoptive» points principaux:

A

1- Premiers éléments
A-Un peu d’histoire
B- Questions et hypothèses de recherche
C- Premières « généralisations » théoriques

2- Une approche néoeriksonienne en psychologie narrative
A- La psychologie narrative
B- L’identité adoptive et le récit identitaire
C- Rencontrer la famille biologique ET en discuter ouvertement
D- Une théorie intégrative

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4
Q

A- La mémoire familiale et ses différents usages

Hypothèses générales:

A

a- La mémoire familiale joue un rôle d’articulation, de construction entre l’identité individuelle et l’identité sociale;
b- Elle ouvre un nouvel espace entre l’individu et le social.

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5
Q

A- La mémoire familiale et ses différents usages

À travers quoi la mémoire familiale ouvre-t-elle un nouvel espace entre l’individu et le social?

A

À travers ses fonctions de transmission, de revivification du passé, de conscientisation d’une trajectoire et d’un temps parcouru,

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6
Q

A- La mémoire familiale et ses différents usages

La mémoire familliale s’ancre et se réfère à quoi pour se transmettre?

A

Pour se transmettre, s’ancre et se réfère constamment à
des événements historiques, politiques et sociaux qui dépassent les familles et les individus (autrement dit elle est influencée par le contexte sociétal).

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7
Q

A- La mémoire familiale et ses différents usages

Comment arrive-t-on à une mémoire collective?

A

Le récit de la mémoire familliale évolue et se réactualise sans cesse, intégrant de nouvelles références et façonnant ainsi une mémoire collective (partagée par les membres de la famille).

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8
Q

Expliquer l’espace transitionnel ou la transitionnalité:

A

Ce serait une qualité psychique qui permet de se sentir exister dans le lien à l’autre, ni confondu ni séparé (à la fois semblable et différent).
Peut se trouver entre: individu, famille et environnement social

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9
Q

A- La mémoire familiale et ses différents usages

Qu’est-ce qui se dessinent dans l’espace transitionnel entre individu, famille et environnement social?

A

Se dessinent alors des usages inédits de la mémoire qui pourront aider au développement de Soi dans des situations d’adversité (personnelles ou sociales)

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10
Q

A- La mémoire familiale et ses différents usages

Ex d’usages inédits de la mémoire:

A
  • Retrouver un équilibre lors d’une crise ou favoriser la résilience après un traumatisme
  • Redonner du sens à des trajectoires fortement marquées par des événements extérieurs ou fournir des ancrages à des parcours de désaffiliation et d’exclusion
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11
Q

A- La mémoire familiale et ses différents usage
1- Les usages thérapeutiques de la mémoire familiale
:

A

La traitement de la personne et la réparation des traumatisme

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12
Q

A- La mémoire familiale et ses différents usage
1- Les usages thérapeutiques de la mémoire familiale

En psychanalyse freudienne, la mémoire familiale est « convoquée en séance d’analyse » pourquoi?

A

Pour faire surgir les sentiments, les traumatismes et les affects refoulés.

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13
Q

A- La mémoire familiale et ses différents usage
1- Les usages thérapeutiques de la mémoire familiale

Il est possible, par exemple, d’utiliser la mémoire familiale pour aider à quoi?

A

Pour aider à la réparation du Moi des enfants.

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14
Q

1- Les usages thérapeutiques de la mémoire familiale
Le traitement de la personne et la réparation des traumatisme

Pourquoi la psychanalyse freudienne aborde les notions de secrets et de tabous familiaux qui seraient l’antithèse de la mémoire (alors qu’il s’agit d’éléments que l’on désire oublier)?

A

En psychanalyse il

faudrait dévoiler,

faire sortir de l’inconscient familial et

remonter à la conscience de l’enfant

les notions de secrets et de tabous familiaux

pour lui permettre de guérir de symptômes (conséquences) ou de troubles psychologiques liés à ces secrets.

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15
Q

1- Les usages thérapeutiques de la mémoire familiale
Le traitement de la personne et la réparation des traumatisme

Autre que le rétablissement du moi d’un enfant, quel autre usages thérapeutique la mémoire familliale a-t-elle?

A

La mémoire familiale peut aussi, par exemple, être utilisée dans une intervention après une crise suicidaire chez un adolescent.

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16
Q

1- Les usages thérapeutiques de la mémoire familiale
Le traitement de la personne et la réparation des traumatisme

Comment la mémoire familiale peut être utilisée dans une intervention après une crise suicidaire chez un adolescent?

A

Il est alors possible de relier le traitement de la crise suicidaire à la mise en œuvre d’un espace transitionnel entre l’adolescent et ses parents,

  • cet espace permettant, avec l’aide des intervenants,
  • de mettre en mots une situa/on (souvent familiale) incompréhensible,
  • de donner un sens à cette situation en la replaçant dans l’histoire de l’adolescent et de sa famille et
  • de permettre ainsi l’émergence d’un sentiment de maitrise pour l’adolescent et ses parents et
  • finalement d’ouvrir l’impasse relationnelle dans lequel l’adolescent et ses parents sont paralysés.
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17
Q

1- Les usages thérapeutiques de la mémoire familiale
Le traitement de la personne et la réparation des traumatisme

Où retrouve-t-on cette fonction, visant surtout la communication au sein de la famille?

A

Dans les thérapies familiales systémiques (d’orientation psychanalytique)

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18
Q

1- Les usages thérapeutiques de la mémoire familiale
Le traitement de la personne et la réparation des traumatisme

Dans les thérapies familiales systémiques (d’orientation psychanalytique), la mémoire familiale est sollicitée pourquoi?

A

Pour expliquer une possible forme d’aliénation (sentiment d’exclusion) de l’individu au groupe familial.

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19
Q

1- Les usages thérapeutiques de la mémoire familiale
Le traitement de la personne et la réparation des traumatisme

Comment le thérapeute sollicite la mémoire familiale pour expliquer l’aliénation d’un individu au gr familial?

A

Le thérapeute doit alors décoder le mythe familial (considéré ici comme une fusion symbolique pathologique dont il faut désintriquer les membres de la famille) qui enferme la personne dans son symptôme (et les conséquences de celui-ci).

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20
Q

1- Les usages thérapeutiques de la mémoire familiale
Le traitement de la personne et la réparation des traumatisme

Avec les victimes d’inceste, le thérapeute utilise la même dynamique de remémorer les souvenirs familiaux traumasants afin d’éviter quoi?

A

Afin d’éviter les réminiscences pathologiques et traumatisantes

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21
Q

En dehors de l’évaluation des allégations d’inceste, nombres de thérapies individuelles et de groupes visent aussi souvent, dans une approche féministe, à utiliser la mémoire familiale de traumatisme pour quoi?

A

Pour redonner confiance en soi aux victimes et pour les stimuler dans un processus d’autonomisation, voire d’émancipation.

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22
Q

Dans toutes les pratiques on utilise la mémoire familiale pour quoi?

A

Pour mieux dépasser l’événement ,

Pour réparer un Moi déchiré,

Pour retrouver une estime de soi face à des situations où la famille a détruit le Moi ou n’a pas jouer son rôle protecteur.

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23
Q

Lister les pratiques où on utilise la mémoire familliale:

A

En psychanalyse freudienne

En intervention après une crise suicidaire chez un adolescent

En thérapies familiales systémiques (d’orientation psychanalytique)

En intervention aupres d’une victimes d’inceste

En thérapie de groupe et individuelle.

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24
Q

2- Le roman familial et ses usages
Roman familial, individuation et inclusion

Le roman est lié à quoi?

A

à la subjectivité et l’identité

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25
Q

2- Le roman familial et ses usages
Roman familial, individuation et inclusion

L’usage de la mémoire familiale peut aussi être associé à l’émergence de quoi?

A

À l’émergence d’un roman (subjectivité, identité) familial symbolique favorisant à la fois individuation et inclusion.

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26
Q

2- Le roman familial et ses usages
Roman familial, individuation et inclusion

La pratique de construction d’un roman familial (comme «chapitre» du roman identitaire) permettrait quoi?

A

Permettrait un travail sur la trajectoire individuelle et sociale des individus, créant ainsi une articulation entre histoire individuelle, histoire familiale et histoire sociale.

27
Q

2- Le roman familial et ses usages
Roman familial, individuation et inclusion

Dans la pratique de construction d’un roman familial comme «chapitre» du roman identitaire il serait possible d’explorer quoi?

A

D’explorer la dynamique de construction du sujet (individu dans sa subjectivité) face:

  • à son histoire,
  • aux processus de transmission intergénérationnelle,
  • au poids des détermina/ons sociales.
28
Q

2- Le roman familial et ses usages
Roman familial, individuation et inclusion

La pratique de construction d’un roman familial comme «chapitre» du roman identitaire équivaut à quelle processus?

A

Le processus d’individuation

29
Q

2- Le roman familial et ses usages
Roman familial, individuation et inclusion

La pratique de construction d’un roman familial comme «chapitre» du roman identitaire permet quoi à l’individu?

A

Permet à l’individu une autonomisation et un développement personnel différenciés de l’histoire familiale
= individuation

30
Q

2- Le roman familial et ses usages
Roman familial, individuation et inclusion

L’utilisation du roman familial peut favoriser quoi?

A

Peut favoriser une certaine continuité (à travers un récit identitaire cohérent) entre les origines (le passé), le présent et l’avenir, recréant ainsi un lien entre un avant et un maintenant fort différents afin de légitimer le changement en consolidant des vecteurs d’inclusion (afin de combattre l’exclusion).

31
Q

2- Le roman familial et ses usages
Roman familial, individuation et inclusion

L’utilisation du roman familial pour favoriser une continuité est particulièrement vrai pour qui?

A

pour, par exemple, certaines familles d’origine ouvrière (dans des milieux en restructuration), de milieu rural (qui a été abandonné pour trouver de l’emploi ailleurs) ou encore immigrantes (et plus ou moins forcées à l’émigration).

32
Q

B- La formation de l’identité «adoptive»
1- Premiers éléments
A- Un peu d’histoire

Par rapport à l’adotion qu’est-ce que l’on croyait au milieu du XXe siècle?

A

On croyait que, dans le meilleur intérêt de l’enfant adopté, il fallait éviter tout contact entre les parents biologiques et l’enfant. À cette époque, on croyait que la meilleure solution était une coupure neFe entre l’enfant adopté et sa famille d’origine.

33
Q

B- La formation de l’identité «adoptive»
1- Premiers éléments
A- Un peu d’histoire

Puisque’on croyait au milieu du XXe siècle que l’enfant adopté devait être totalement coupé de sa famille adoptive que faisait les responsable de l’adoption?

A

Les responsables des adoptions essayaient alors le plus possible de confier l’enfant à des parents à qui il ressemblait physiquement afin que l’enfant puisse passer pour un enfant naturel.

34
Q

B- La formation de l’identité «adoptive»
1- Premiers éléments
a- Un peu d’histoire

Qu’arrive-t-il dans les années 1970 au sujet de l’adoption?

A

Changement radical dans les années 1970 alors que l’on a mis de l’avant l’importance pour les enfants adoptés de connaitre leurs origines et, si possible, de favoriser certains contacts entre l’enfant adopté et les parents biologiques.

35
Q

B- La formation de l’identité «adoptive»
1- Premiers éléments
b- Questions et hypothèses de recherche

Quels sont les principales questions?

A
  • Qui suis-je en tant que personne adoptée?
  • Qu’est-ce que cela signifie pour moi?
  • Quels impacts cela a sur mon Soi, mes relations sociales, ma famille et le
    développement de ma culture?
  • La question de l’influence des discussions familiales (dans la famille adoptive) comme médiateur de l’influence des rapports entre les parents biologiques et leur enfant qui a été adopté sur la formation de l’iden/té de l’enfant adopté est également centrale.
36
Q

B- La formation de l’identité «adoptive»
1- Premiers éléments
b- Questions et hypothèses de recherche
Hypothèse de : La question de l’influence des discussions familiales (dans la famille adoptive) comme médiateur de l’influence des rapports entre les parents biologiques et leur enfant qui a été adopté sur la forma/on de l’identité de l’enfant adopté est également centrale.

A

Les discussions familiales (dans la famille adoptive) sur l’adoption vont permettre de mieux utiliser (« mediate ») les contacts que pourra avoir l’adolescent qui a été adopté avec ses parents biologiques (ou d’autres personnes avec qui il serait biologiquement lié) dans le développement de son identité (comme étant une personne adoptée).

37
Q

B- La formation de l’identité «adoptive»
1- Premiers éléments
b- Questions et hypothèses de recherche

Face à la nécessité de tenir compte de cette réalité (être un enfant adopté) dans la construction de leur Soi, les enfants adoptés, une fois rendu à l’adolescence, auront ainsi la possibilité de quoi?

A

La possibilité d’intégrer leurs doubles origines à leur récit identitaire et ce, de manière cohérente (se rappeler ici de l’importance de l’équilibre psychologique).

38
Q

À travers quoi se fait le processus de construction du soi (d’un adolescent adopté)?

A

Se fait à travers les interactions quotidiennes avec des personnes qui sont importantes, spécialement les
membres de la famille adoptive.

39
Q

B- La formation de l’identité «adoptive»
1- Premiers éléments
c- Premières « généralisations » théoriques

A
  • L’adolescence représente une période où l’individu explore ses buts, ses valeurs et ses croyances afin de développer une identité cohérente.
  • La construction de l’identité repose sur différents mécanismes qui tirent leur origine de l’enfance mais qui s’intensifient durant l’adolescence et sur lesquels reposent les fondations du développement psychosocial de l’adulte.
  • On marque ici, l’importance de la discussion et de la parole dans les processus de construction identitaire chez l’adolescent et le jeune adulte.
40
Q

A- La psychologie narrative:

La psychologie narrative veut que les individus interprètent (intègrent dans leur Soi) quoi?

A

interprentent les expériences vécues à travers la construction d’un récit identitaire ou encore en écoutant les récits des autres.

41
Q

Dans la psychologie narratve les activités et les expériences humaines trouvent leur signification dans quoi?

A

Dans leur intégrations dans les récits identitaires des individus.

42
Q

En psycho narrative

Les récit identitaire reposent sur quoi?

A

Sur la dimension interprétative

43
Q

La psycho narrative met l’emphase sur quoi?

A

sur les mécanismes à l’œuvre….

dans l’exploration de son identité et

dans l’analyse des différentes alternatives identitaires

44
Q

Dans la psycho narrative le récit identitaire est impliqué dans :

A

dans la compréhension de qui nous sommes et de comment il nous est possible de nous intégrer à la société (environnement social).

45
Q

La psychologie narrative s’intéresse à quoi?

A
  • aux processus de création de sens

- aux influences de ces processus sur la construction d’un récit de Soi

46
Q

Questions importante en psycho narrative:

A
  • Comment ce récit est-il socialement construit en relation avec l’environnement social ?
  • Quel rôle ce récit peut-il prendre dans les possibilités d’ajustement individuels?
47
Q

L’approche néoeriksonnienne s’intéresse à une seule dimension de l’identité
Laquelle?

A

L’influence de l’adoption dans la construction de la personne qui a été adoptée

48
Q

Selon l’approche néoeriksonnienne l’influence de l’adoption dans la construction de la personne adoptée se nomme

A

identité adoptive

49
Q

L’identité adoptive (comme les autres dimensions de l’identité) n’est pas directement observable, mais elle se manifeste à travers quoi?

A

se manifeste à travers la place que prend le fait d’avoir été adopté dans la construction de son récit identitaire.

50
Q

Pourquoi dans la transition entre l’adolescence et l’âge adulte il devient de plus en plus important pour les jeunes adultes d’être en mesure de proposer un récit identitaire cohérent.

A

Car la transition entre l’adolescence et l’âge adulte augmente les possibilités d’interagir avec de nouvelles personnes, dans de nouveaux contextes.

Vouloir inclure des dimensions oplus personnelles à ses habiletés conversationnelles est normal et important.

51
Q

3 dimensions des théories narratives dans le développement de l’identité adoptive durant l’adolescence et les premières années de la vie adulte:

A

1- La profondeur de l’exploration de l’identité adoptive

2- La stabilité interne du récit identitaire comme une théorie du Soi

3- La flexibilité du récit identitaire

52
Q

3 dimensions des théories narratives

1- La profondeur de l’exploration de l’identité adoptive:

A

fait référence

  • à la capacité de l’individu d’intégrer cette dimension à son identité et aussi
  • à la volonté de s’impliquer activement dans un processus d’interprétation de cette réalité (l’adoption)
53
Q

3 dimensions des théories narratives

2- La stabilité interne du récit identitaire comme une théorie du Soi

A

La capacité de rendre compte d’un récit de Soi bien intégré (cohérents dans ses différentes dimensions)

54
Q

2- La stabilité interne du récit iden/taire comme une théorie du Soi et sa capacité de rendre compte d’un récit de Soi bien intégré (cohérents dans ses différentes dimensions) facilite quoi chez l’adolescent?

A

Facilite l’intégration de certains changements dans la dynamique communicationnelle familiale (reliée à l’adoption) et dans sa capacité d’accepter de nouvelles expériences associées au fait d’être un enfant adopté alors qu’il entre dans l’âge adulte)

55
Q

3 dimensions des théories narratives

3- La flexibilité du récit identitaire :

A

fait référence à la capacité que possède un individu de voir les choses du point de vue de l’autre (compréhension empathique)

56
Q

C- Rencontrer la famille biologique ET en discuter ouvertement.

Position de certain parents par rapport à l’adoption:

A

Certains parents adoptifs sont réticents à l’idée d’aborder le sujet d’adoption

Vont aussi essayer, autant que possible, d’éviter les contacts entre l’enfant et ses parents biologiques en croyant que cela peut être dommageable pour son développement.

57
Q

C- Rencontrer la famille biologique ET en discuter ouvertement

Les études actuelles tendent à démontrer quoi par rapport au contact à la famille adoptive et au discussion sur l’adoption?

A

Que ces contacts et les discussions qu’elles peuvent susciter à l’intérieur de la cellule familiale adoptive ont des impacts positifs sur le développement de l’identité de l’enfant adopté alors qu’il est rendu un adolescent ou encore un jeune adulte.

58
Q

De quoi dépendent les influences des contacts entre les enfants adoptés et leurs parents biologiques ?

A

de la capacité des familles adoptives de discuter de cette réalité.

59
Q

C- Rencontrer la famille biologique ET en discuter ouvertement

En bref linfluence de contact avec les parents bio :

A

Ce ne sont pas simplement les contacts avec la famille biologique mais ces contacts intégrés dans la dynamique communicationnelle de la famille adoptive qui aura un impact positif sur le développement de l’identité adoptive.

60
Q

D- Une théorie intégrative

Les interactions quotidiennes, les dicussions et les échanges
permettent et déterminent quoi?

A

Permettent d’organiser les souvenirs et éventuellement de leur donner une signification.

Détermineront également ce que l’individu se rappellera comme étant important et ce qu’il pourra négliger (oublier) comme n’étant pas important ou peu significatif.

61
Q

Dans le contexte d’ouverture à la discussion et le partage les adolescents et les jeunes adultes utiliseraient donc la conversation (les échanges) pour quoi?

A

Reconstituer les événements passés et développer ainsi une identité cohérente (dont l’identité adoptive).

62
Q

D- Une théorie intégrative

Les discussions entre les parents adoptifs et l’enfant adopté sont donc particulièrement importantes durant l’adolescence qui représente quoi?

A

une période clé dans le développement du récit de son identité adoptive.

63
Q

D- Une théorie intégrative

Les discussions aident les enfants adoptés à

A

construire, organiser et interpréter l’importance et la signification d’avoir été adopté dans leur vie.

64
Q

D- Une théorie intégrative

Cependant, ces contacts vont nécessairement augmenter quoi?

A

La complexité de la dynamique familiale (famille adop/ve) et il est possible qu’un accompagnement professionnel soit nécessaire.