Langage Flashcards

1
Q

quelles sont les deux facettes du langage

A

-réceptif
-expressif

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2
Q

quelles sont les composantes du langage? PSSMP

A

-phonologie (sons)
-sémantique (sens)
-syntaxe (ordre)
-morphologie (construction - sing/plu) + verbes
-pragmatique (normes sociales)

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3
Q

de la naiss - 2 ans ? acquis en langage

A

vocalisations

gazouillis = utilisation organes phonatoires

babillages - 7 mois = répéter les voyelles

8-10 mois = apparition du sens associés aux mots

premières vocalisations = 11 mois

combinaison de gestuelle + communication = première utilisation des mots / communication séquentielle

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4
Q

v ou f : vers 13-16 mois, l’enfant ne comprend rien

A

faux ! il comprend le sens des mots mais n’arrive pas à les prononcer

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5
Q

donne un exemple de forme télégraphique de mot

A

deux mots collés sans structure
p.ex. bébé lait. ballon dehors

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6
Q

2 à 3 ans = acquis ?

A

vocabulaire médian - 300 mots ! ++ utilisation de verbes

surgénéralisation

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7
Q

qu’est-ce que la surgénéralisation ?

A

syntaxe et morphologie qui ne sont pas encore acquis

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8
Q

à quel âge l’enfant commence à être + poli ?

A

3-4 ans

(dire merci, s’excuser, apprendre à tousser dans son coude, à répondre) se rapproche tranquillement à celui de l’adulte, + de temporalité

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9
Q

l’enfant pose des ??? à quelle âge ?

A

3-4 ans

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10
Q

4-5 ans = acquis ?

A

Apparition de l’argumentation
langage = outil pour répondre (utilise tes mots)

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11
Q

v ou f : il n’est pas important de gesticuler quand on parle à un enfant ?

A

faux - Bien d’utiliser les gestes pour aider les enfants dans leurs apprentissages (symbolique, non-verbal & verbal) pointer, montrer, s’approcher, stimuler = favoriser le dév

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12
Q

v ou f: enfant dont les parents sont ++ réceptifs à leurs initiatives linguistiques acquièrent le langage moins rapidement VS ceux qui sont moins réceptifs

A

faux - importance du parent dans l’acquisition du langage!

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13
Q

quel type de discours favorise acquisition langage chez petit VS quel est moins efficace ?

A

-“non instrumental” = juste pour communiquer, parler, réciter

VS

instrumental qui est + = ordres, directives, limites

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14
Q

v ou f : la différence d’un discours non-instru entraîne d’immenses différences dans les capacités langagières ultérieures des enfants

A

vrai !!

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15
Q

qu’est-ce qui explique une explosition du langage entre 16-24 mois ?

A

poussée de croissance dans les zones corticales - lobe temporal gauche !! (mémoire et traitement de l’info)

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16
Q

nomme 4 grandes utilités du langage chez le ptit

A

-organisateur de l’expérience

-constructeur de sens

-outil autorégulation

-acte de communication

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17
Q

v ou f : les enfants de bas âge se parlent seuls ?

A

vrai - ++ enfants en bas âge qui se parlent – se pratiquent avec la syntaxe – monologues

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18
Q

à quoi servent les monologues chez les petits

A

p.ex. émilie – anticipation/mémoire (2-3 ans)
Soit sur ce qui s’est passé ou qu’est-ce qui va se passer (donne du sens à leur monde, à leur expérience)

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19
Q

qu’est-ce que le discours nocturne ?

A

outil d’autorégulation ! mais disparaît pour se déplacer à l’intérieur !

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20
Q

quel est le lien entre les difficultés du langage et le comportement ?

A

Difficultés de langage = difficultés de comportement (souvent ensemble)
Moins autorégulation !

Enfants qui veulent communiquer mais qui ne peuvent pas – cause des frustrations

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20
Q

Quand les petits sont stressés, fâchés = langage = ????

A

très subjectif et égocentrique !

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21
Q

v ou f: il est facile pour les enf d’apprendre ++ langues

A

faux = deux langues simultanée = début apprentissage + lent mais rattrapage ensuite

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22
Q

v ou f: le vocabulaire total d’un enf bilingue n’est pas supérieur à l’enf monolingue

A

faux - ce l’est !!
+++ de mots connus VS monoloingues mais ne connaissent pas les mots dans les deux langues

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23
Q

quels sont les avantages du bilinguisme ?

A

LINGUISTIQUE : Bilingues dépassent aussi les formes de langage que les monolingues (association mot / image), taille d’un mot = pas en lien avec la signification d’un mot
VS monolingue (autobus = doit avoir long mot car gros objet)

comprend + la nature symbolique des mots VS monolingue (chien = skilo) mot différents pour dire la mm chose!

INHIBITION : Bilingue = plus d’inhibition, écoute, reformuler dans une autre langue – travaille les réponses d’inhibition

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24
Q

Quels sont des bonnes manières de soutenir le développement du langage chez les enf ?

A

Lire aux enfants et/ou manipuler des livres

Pratiquer des tours de parole

Poser des questions

Réagir à ce que montre l’enfant

Expansion

Encourager l’utilisation de mots

Écouter

Ludique

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25
Q

qu’est-ce que l’expansion ?

A

Reformuler l’énoncé de l’enfant en corrigeant le son et la syntaxe

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26
Q

comment encourager l’utilisation des mots ?

A

Remplacer les mots vagues (ex. chose) par leur précision

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27
Q

comment écouter efficacement son enf qui parle ?

A

Éviter la tentative d’interrompre ou compléter la phrase si l’enfant parle lentement

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28
Q

qu’est-ce que l’émergence de l’écrit ?

A

Renvoie aux connaissances et habiletés que possède l’enfant avant l’apprentissage formel de la lecture et de l’écriture (Giasson, 2011) durant la période préscolaire

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29
Q

nomme les habiletés de l’enfant de 0-3 ans pour l’émergence de l’écrit

A

Reconnait des livres selon leur couverture

Distingue écriture et illustration

Sait tourner une page

Écoute des histoires

Fait semblant de lire

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30
Q

nomme habiletés de l’enfant de 3-4 ans (émergence écrit)

A

Reconnait des symboles imprimés, tels des logos (ex. : Lego)

Sait que les lettres ont un nom

Reconnait les rimes

Joue avec les sons du langage

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31
Q

nomme les habiletés de l’enfant de 4-5 ans (émergence de l’écrit)

A

reconnait et nomme des lettres de l’alphabet

Écrit son nom

Utilise une écriture inventée pour écrire ses messages

Est capable de segmenter les mots en syllabes

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32
Q

quels sont les facteurs de l’émergence de l’écrit ?

A

-langage oral

-clarté cognitive

-conscience phonologique

-principe alphabétique

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33
Q

v ou f : Les premiers retards à 2-3 ans sont prédictifs des difficultés en maternelle

A

vrai

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34
Q

Prédicteur de la réussite de l’apprentissage de la lecture ?

A

conscience phonologique = comprendre les sons

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35
Q

qu’est-ce que le Principe alphabétique?

A

Comprendre que les sons sont reliés à des lettres

36
Q

nomme les catégories de lecteurs dans l’apprentissage de la lecture ?

A
  1. lecteur en émergence (préscolaire)
  2. apprenti lecteur (1e année)
  3. lecteur débutant (2e année)
37
Q

à quoi sert l’identification des mots ?

A

décodage et lexique orthographique !

Tâches cognitives simples à complexe (décodage)

Enfant se construit un lexique orthographique

D’abord – l’enfant est en mesure de décoder des mots & phrases (simples à complexe) se construit un lexique de mots écrits de la mm façon qu’il les a appris à l’oral
Rôle de la dictée… passer de l’oral à l’écrit

38
Q

décris le lecteur en émergence ?

A

Émergence : Apprennent les principes alphabétiques (déchiffrer, lire)

Ne se corrigent pas tjrs, pas de vérification si interprétation est bonne

=préscolaire !

39
Q

décris le lecteur apprenti?

A

Apprend formellement à lire (meilleur décodage) découper les mots, reconnaitre les syllables et consonnes, pas de lecture fluide encore …

1e année !

40
Q

Qu’est-ce que le Weiss ?

A

modèle développemental et inférentiel de l’apprentissage de la lecture

41
Q

nomme les étapes du Weiss ?

A

1e étape : avant l’entrée à la maternelle

Acquisition de savoirs et savoir-faire isolés grâce au lecteur- médiateur (le père, la mère, un proche, éducatrice). L’enfant développe un premier bagage de mots

2e étape : 5 à 8 ans

Lecture autonome par intégration progressive des acquis antérieurs. Découvrir le sens de l’écrit en utilisant diverses stratégies
Permettent la construction de l’acte de base de lire

3e étape : à partir de 8 ans

maitrise et flexibilité de la lecture

42
Q

activité perceptivomotrice qui fait appel, notamment, à la motricité (fine et globale), à la coordination visuomotrice, aux fonctions exécutives (mémoire et attention, notamment) et aux habiletés langagières

A

écriture

43
Q

quelles sont les 3 composantes de l’écriture ?

A

Tenue du crayon

Calligraphie (graphomotricité)

Acquisition de l’orthographe

44
Q

décris la maîtrise de la tenue du crayon - garderie

A
  • prise palmaire

Saisie du haut du crayon, par la paume de la main, pouce vers le haut.

45
Q

décris la maîtrise du crayon à la maternelle

A

Prise tridigiale incomplète

Saisie du crayon entre les trois doigts (pouce-index-majeur), au milieu du crayon.

46
Q

décris la tenue du crayon à la 1e année

A

Prise tridigitale

Saisie du crayon entre les trois doigts (pouce-index-majeur), au bas du crayon.

47
Q

nomme les différentes catégories associés à la compréhension des nombres

A

«Substitizing» (4 éléments ou moins)

  • quantification approximative
  • principe de cardinalité (++ compter)

-ordinalité (séquence croissante)

-chaîne numérique

48
Q

qu’est-ce le principe de cardinalité ?

A

compter 1,2,3,4

49
Q

qu’est-ce que l’ordinalité ?

A

couper son ordre numérique - séquence croissante

50
Q

décris la chaine numérique de Fuson

A

De 2 à 4 ans, les enfants récitent les chaînes numériques sans comprendre que ce sont des nombres différents
« undeuxtroisquatrecinq »

De 4 à 6 ans, les enfants comprennent que chacun représente un nombre different. Toujours partir de 1

De 4 à 6 ans, ensuite, développent les chaines sécables (autre que 1)

Entre 6 et 8 ans, chaines bidirectionnelles

51
Q

nomme les étapes du développement des maths

A

-opérations mathématiques simples

-résolution de problèmes complexes

-importance des fonctions exécutives

52
Q

Pour comprendre les prob complexes il faut ?

A

un langage développé ! sinon = lacunes…

53
Q

pk est-il important de miser sur l’importance des fonctions exécutives en maths

A

Importance de la mémoire de travail et de la flexibilité cognitive

54
Q

qu’est-ce qui définit les opérations mathématiques simples ?

A

Comprendre le système positionnel

additions = vers 3 ans… manipulant + voix haute + doigts

4-5 ans = concept analogique des nombres à une conception symbolique

6-7 ans = apprentissage des tables par coeur

55
Q

v ou f : les soustractions sont bien mémorisées

A

faux - plus rarement mémorisés

56
Q

le dessin est à la fois une activité ??? et une fonction ?

A

graphique et symbolique !

57
Q

quels sont les 3 axes impliqueés dans le dessin

A

psychomoteur

intellectuel

affectif

58
Q

quels sont les types de dessin ?

A

géométriques

figuratifs

59
Q

que veut-on dire par fonction symbolique ?

A

représenter qqc que l’on s’imagine et le traduire en dessin faire sens de l’expérience vécu par l’enfant

60
Q

qu’est-ce qu’on veut dire par un dessin de type figuratif ?

A

info transmise par le dessin par l’enfant

61
Q

quelles sont les étapes du dessin - à partir de 9 mois

A

la trace

Antérieur au trait, exploration coordination

commence à coordonner les yeux et mouvement (liens causaux)
Dév de la sensorimotricité

62
Q

les étapes du dessin - 1 à 3 ans

A

gribouillage

L’enfant laisse une trace ; plaisir moteur ; bonhomme tétard

intérêt à la production, myélinisation du SNC + de motricité

63
Q

dév dessin - vers 3 ans

A

Réalisme fortuit

approchement entre le tracé hasardeux et l’apparence d’un objet ; l’acte devient intentionnel et représentatif.

début de représentation, apparition de réalisme, plus de ronds, plus de spirales, enfant aime ça
Il est dans le geste, dans l’exécution ! Acte du dessin = intentionnel et représentatif

64
Q

dév dessin 4-5 ans

A

Réalisme manqué
Dessin éparpillé

l’acte devient représentatif ; dessin narratif . l’enfant apprend à lire des images de plus en plus complexes et peut faire des analogies entre dessin et réalité ; objets flottants

colle pas avec la réalité mais acte devient représentatif, narration dans le sens, explique ce qu’il est capable de dessiner, liens sont vagues mais se rapproche de la réalité

65
Q

dév dessin 5-10 ans

A

Réalisme intellectuel
Réalisme enfantin

Reproduction de « ce qu’il sait », non de « ce qu’il voit » ; multiplicité des détails ; diversité de points de vue ; transparence.

Dessin localisé
graphisme conventionnel ; usage de la règle et de l’efface

66
Q

nomme l’évolution du dessin du bonhomme

A

Tracé additif dit rapporté
Tracé (forme) inclus(e)
Arrêt- reprise

–> De plus en plus, arrêt maîtrise (enfant qui se corrige, plus de détails)

3-tétard (fin du gribouillage)
4-tétard détaillé (réalisme fortuit)
5-6-apparition du tronc (réalisme manqué)
6-bonhomme articulé (réalisme intellectuel)
8-12-équilibre, structure, cohérence

67
Q

le dessin réflete quoi ?

A

en partie - le monde interne de l’enfant (avec prudence!)

68
Q

La taille, le positionnement et les couleurs du dessins sont, en partie ?

A

des projections de l’état émotionnel et du monde interne

69
Q

Le dessin est sensible aux variantes ???

A

culturelles et historiques!

70
Q

plus la culture de l’enfant est centré sur la vie collective ? et sur la vie occidentale contemporaine ?

A

collective : plus les enfants ont une représentation de soi socio-centrée dans laquelle sont inclus eux mm + d’autres personnes

occidentale : + égocentré

71
Q

quelle était la consigne de l’étude sur la sensibilité variante culturelle et historique du dessin ? + résultats ?

A

dessine toi travailler dans une classe pendant que la maîtrise donne une leçon

Les travaux montrent aussi que la richesse graphique (qui influence la qualité des dessins) est proposée par la culture et la scolarisation, en plus de l’éducation artistique

72
Q

quelles types de pathos sont informées dans le dessin ?

A

Retard mental

Troubles neurologiques

Troubles psychologiques
- Troubles de l’humeur
- Troubles psychotiques

Corps amputé

Cancer

Enfant victime

73
Q

à quoi servent les dessins dans le travail clinique avec l’enfant ?

A

La place du dessin en fonction des âges

La lecture du dessin : les critères fondamentaux

Avantages : activité coutumière, favorise confiance [Bon brise glace]

74
Q

quels sont les critères fondamentaux de la lecture du dessin

A

Les caractéristiques affectives de l’enfant

Les caractéristiques physiologiques du dessin

Une interprétation objective (humilité)

[Enfant est-il capable de parler de son dessin ? Fait la différence entre imaginaire et projective]

Les caractéristiques du dessin

75
Q

v ou f : le dessin est un outil 100% fiable !

A

Dessin = un indice parmi plusieurs ! Ne peut pas être utilisé seul;

76
Q

v ou f : le dessin est toujours un bon outil pour connaître l’état psychologique de l’enfant

A

faux = peut dépendre de l’humeur pas tous les enfants aiment dessiner

77
Q

Le Test du Bonhomme selon Goodenough ?

A

Goodenough – analyse quantitative du bonhomme + qualitative (projectif – utilisé dans la thérapie)

78
Q

Le bonhomme en tant que miroir approximatif de soi ?

A

Assoie et demander à enf de dessiner un bonhomme un personnage que tu inventes

79
Q

v ou f : il est possible d’analyser un dessin qualitativement et quantitativement

A

vrai

80
Q

v ou f : il faut toujours analyser un dessin en profondeur ?

A

faux - Qu’est-ce qui ressort spontanément ? Dans l’analyse qualitative
Droite = déprimé ? Mais détaillé, boule dans le ventre, grandes oreilles (il entend quoi?) il flotte dans le vide….

81
Q

dessin de la maison - sert à évaluer quoi ?

A

la sécurité !

82
Q

qu’est-ce que le test du dessin de la maison selon royer ?

A

Royer – ensemble de dessin, qualité des traits

p.ex. : – pluie ne peut pas rentrer… est-ce que ça fait sens ?
Dessin en noir et blanc ?

83
Q

qu’est-ce qu’on regarde dans le dessin de la maison

A

Symbolique de la maison
La localisation spatiale
Évolution du dessin de la maison

84
Q

comment interpréter un dessin de la maison

A

La conception d’ensemble

Le trait de la maison

Le toit, la charpente

Les murs, le corps de la maison

Le paysage extérieur

Les couleurs

Les bizarreries et autres
anomalies

85
Q

qu’est-ce que le dessin de la famille selon Corman ?

A

Six questions demandées à l’enfant

Qui voudrais tu être
Que voudrais tu dans cette maison imaginaire
Est-ce que les enfants dessinent une vrai famille ou imaginaire ?

86
Q

Interprétation selon un processus d’identification
- dessin de la famille… nomme les critères

A

Le personnage principal mis en valeur

Les indices de dévalorisation

Mécanismes : surajout ou déplacement de personnages

Les représentations de liens entres les personnages

Les interactions et les distances entre les personnages

Les niveaux d’identification

p.ex. : Indices de dévalorisation = Pas plaisant ?

Ajout de personnages ?
Réfléchir à cela…

Mère pas complètement dessinée et représentée, juste enfant et papa
Peut-être qu’il s’ennuie de son père ?

87
Q

comment nomme-t-on le dessin collectif (enf/par)

A

co-dessin avec contraintes et limites
p.ex. : Ils doivent choisir un animal représenté dans une cage et ensemble tous les deux doivent dessiner la toilette et aire de restauration
Mettre des limites, contraintes, proximité de l’entraide – comment tout cela se déroule pendant le dessin (dynamique relationnelle, attachement, etc.)

–> Crises pour changer de crayon (parents qui disent ok VS respecter la consigne)

88
Q

qu’est-ce que le jeu du squiggle ?

A

Winnicott (1968) – jeu pour créer le contact
Jeu de dessin co-construit à deux

N’importe quelle cadre pour stimuler lien avec enfant
Première personne - Fermer les yeux et faire n’importe quoi
Deuxième personne complète son dessin
Petite partie de nous qui s’exprime, dévoilement, intimité, collaboration… dans la 2e