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Dév soc-cogn 0-5 > cours 5 - la mentalisation > Flashcards

cours 5 - la mentalisation Flashcards

1
Q

Qu’est-ce que la mentalisation?

A

Action mentale de chercher à comprendre les états des autres et de soi-même, de donner un sens à ses pensées, émotions, comportements

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2
Q

quand se développe la mentalisation ?

A

dans la petite enfance, mais qui est plus ou moins développée selon les différences individuelles de chacun

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3
Q

sur quels autres domaines s’appuie la notion de la mentalisation

A

la psychologie sociale, mais qui se base sur les théories de l’attachement, la psychologique du développement et les neurosciences

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4
Q

une bonne mentalisation est synonyme de ?

A

curiosité, flexibilité, réflexion, attachment + sécure, meilleures relations interperso, etc

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5
Q

conséquences d’une mauvaise mentalisation ?

A

conséqeunces, grandes émotions, + conflits

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6
Q

comment intervenir pour améliorer la mentalisation ?

A
  • forme de compréhension de la communication humaine
  • interprétation de la réponse de l’autre
    -lecture
    -éducatrice et le petit
  • introspection (lien entre passé, présent, futur)
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7
Q

nomme les différents fondements de la mentalisation ?

A

Théorie de l’esprit

Fonction interprétative interpersonnelle

Relation d’attachement sécure

Confiance

Approche basée sur la pleine conscience

«psychological mindness»

Conscience affective

Empathie

Contagion émotionnelle

Agentativité

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8
Q

qu’est-ce que la théorie de l’esprit ?

A

(inférer l’état des autres et en se rendant compte que l’état d’autre = pas mon état !)

p.ex. : Petite 4 ans = ne se rend pas compte que l’autre s’attend à une émotion (émotion de façade = 5 ans tout en s’améliorant jusqu’à 10 ans)

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9
Q

v ou f : tous les adultes ont une bonne mentalisation

A

faux -Âge n’est pas un déterminant, c’est la compétence !!!

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10
Q

donne un exemple qui prouve que la mentalisation est une compétence VS associé à l’âge

A

Car enfant de 4 ans peut dire : je vais faire semblant
VS
Enfant de 6 ans qui n’arrive pas à expliquer pk il change d’émotion devant qqn qui lui offre un cadeau qui n’aime pas

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11
Q

empathie comme fondement de la mentalisation ? expliquer pk

A

comprendre expérience émotionnelle de l’autre tout en gardant une distance (se dév dans le 0-5 ans) influence les comportements prosociaux, comportements moraux
Chez les petits = actions en premier (empathie)
Et tranquillement = se transforme dans une empathie verbale

p.ex. : Par modeling – parent chaleureux, sensible = enfant réflete ceci avec les autres
Parents fâchés, punitifs = pauvreté à desseller les émotions, Plus de conflits entre enfants, + violence physique

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12
Q

nommer les principes de bases de la mentalisation

A
  1. Compréhension de chaque personne et de ses limites
  2. Enfance est une période déterminante
  3. La fonction miroir est essentielle
  4. Les perturbations importantes dans la petite enfance vont nuire au développement de la mentalisation
  5. Deux expression : comme trait et comme état
  6. Observable chez les enfants et les adultes
  7. Certains enjeux de santé mentalise résultent d’une instabilité dans la mentalisation
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13
Q

qu’est-ce que le miroir parental?

A

Réponse congruente du parent au comportement de l’enfant par marquage (verbaliser, démontrer, nommer l’état interne de l’enfant)

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14
Q

qu’est-ce que le miroir marqué ?

A

Différence entre émotion réelle du parent et celle de l’enfant

aider l’enfant à faire la différence entre son émotion et celle de l’adulte

Résonance émotionnelle (je comprends mais j’ai la mienne qui est différente)

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15
Q

qu’est-ce que le miroir non-marqué

A

Non-marqué = expression adulte= comme expression de l’enfant (s’entremêle) il ne faut pas que l’adulte se laisse emporter, sinon, nuit à la différenciation !Ne pas aider la petite à se réguler, difficultés ultérieures

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16
Q

v ou f : un parent ne change jamais de type de miroir vers son enf

A

faux - Constances= ++ souvent possible, tendance générale, il faut se ressaisir quand miroir non marqué

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17
Q

La mentalisation est un ?

A

état

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18
Q

nommer les caractéristiques de la mentalisation comme état

A

Non continu (change selon le moment)

Pas stable dans le temps

Dépendra du niveau d’activation émotionnelle de l’enfant ou l’adulte

  • automatique : activité du cortex postérieur et limbique (fight or flight)
  • optimale : cortex préfrontal
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19
Q

nommer les axes de la mentalisation

A

o Cognitif – affectif (hypermentalisation)
o Automatique – contrôlée
o Interne - externe
o Soi - autrui

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20
Q

axe soi-autrui (exemple)

A

p.ex. bons pour voir aller les autres, moins bons pour se voir aller (fais ce que je dis, pas ce que je fais)

Système miroir : réseau de neurones miroirs et activation de stimulation automatique (ex. bailler, gestes involontaires)

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21
Q

axe interne/externe (exemples)

A

Interne ; nous (faire des jugements sur le lien, fondements, position, pensées, intangible, qualitatif)

externe : environnement (comprendre les intentions des autres, sur la preuve, quantitatif)

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22
Q

axe automatique/contrôlé

A

Automatique – liens sans effort, réflexe, intuitions / contrôlées = là il faut que j’y pense,

p.ex. une chicane entre amis (contrôlé = +++ mentalisé)

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23
Q

axe affectif/cognitif (exemple)

A

affects que je vis, identifier, nommer, connection monde émotionnel (moins impulsivité)

cognitif = voir aller mes pensées, sans les vivre, bcp dans l’intellectualisation

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24
Q

v ou f : chacune des axes = possible de bouger dans la mentalisation

A

vrai - Chacun = tendances et ça bouge

25
Q

Hypermentalisation ?

A

recours à la dimension cognitive qui impressionne, car il y a beaucoup de détails, mais qui ne donne pas accès aux véritables phénomènes émotionnels en jeu

Personne qui parle bcp, dit bcp de mots, bon vocabulaire (impressionnant) accès à toutes ses pensées mais pas connecté au véritable vécu émotionnel

26
Q

quels sont les facteurs qui influencent la mentalisation

A

attachement

sensibilité parentale

langage

socialisation/culture

27
Q

donne un exemple d’un parent qui offre une bonne mentalisation VS une mauvaise mentalisation à son enfant

A

Mère qui se sent mal de partir travailler, «maman sait que t’es triste, j’aimerais ça rester aussi, je sais que tu tires sur moi psq tu veux que je reste»
= congruence ici OK ! Apaise son enfant, rétroaction

VS

Maman de simone qui essaye de l’ignorer, pas de contingence, ne répond pas aux besoins de son enfant, pas de miroir marqué, etc

28
Q

En quoi le langage est un soutien à la mentalisation

A

= soutien à la mentalisation de l’enfant = sinon ++ difficulté à mentaliser, permet d’organiser ce qui se passe à l’intérieur de soi, plus explosifs, plus sensibles

langage dépend du context socio/écono = mots moindres VS parents statut professionnel … connait le double des mots VS enfants – pauvres.

29
Q

en quoi la socialisation/culture influence la mentalisation de l’enfant

A

mots moindres VS parents statut professionnel … connait le double des mots VS enfants – pauvres.
Enfants + doués oui inné mais aussi effet de la CULTURE !

++

Différences culturelles dans ce qui est miroité
Sens d’appartenir à la famille, à la communauté, plus collectiviste
VS
Miroiter ce qui appartient à l’enfant comme individu

Accent qui est mis de façon différente

30
Q

importance de quoi pour une bonne mentalisation ?

A

corps et de la communication non-verbale
+
régulation des émotions et de l’attention

= soutiennent la capacité à mentaliser

31
Q

définition Régulation attentionnelle

A

processus visant à garder un état de disponibilité générale, de confort, de calme afin de demeurer centré sur soi tout en étant capable de ressentir

32
Q

définition Régulation émotionnelle

A

processus de reconnaitre la venue d’une émotion, de l’identifier, de l’Exprimer et la partager

33
Q

donne un exemple de la régulation des émotions comme outil à la mentalisation chez les tous petits

A

p.e.x 4 ans, famille accueil, négligence, mentalisation fragile
Activité le fun avec famille = ++ excité, lance son toutou, tourne en rond partout, etc
Trop stimulé… dans la joie ! Difficulté à se poser
« tu es tellement content d’être ici!» + câlin pour le grounder.
Personne qui agit comme appareil pour réguler ses émotions

34
Q

quels sont les 4 modes de mentalisation

A

téléologique
équivalence psychique
semblant
pensée réflexive

35
Q

décris le mode téléologique (âge, comportements, jeu, intéractions)

A

âge : naissance - 1 an et demi

comportements : Crises de colère
Maux divers sans origine médicale
Sentiment d’incompréhension et d’injustice
Interprétation de la réalité sans nuance, basée sur des indices concrets

–> par le corps (pousse, doigts, etc)
Petits entraînent les adultes à être moins mentalisés (p.ex. lancer son plat, adulte réagit + automatique)
Monde physique détermine son monde mental

Si maman me dit qu’elle m’aime – mais pas là = mots pas crédibles ! Elle ne m’aime pas pr vrai

–> Inférence des états mentaux basée sur ce qui est concrètement observable [pas pcq la pers répond pas tout de suite qu’il s’en fou!] souvent retrouvé en TP. P.ex. thérapeute qui part en vacance = mal vu, pris personnel

jeu :
Centré sur l’action
Frustration et irritabilité quand ça ne se déroule pas comme il veut
Plaintes de ne pas avoir le bon jouet
Attribution extérieur à ses difficultés
Attente de réparation magique

intervention:
Tendues, car doit trouver des solutions rapides à ce qui ne va pas
Tendance à expliquer, à donner des conseils pour éviter les crises
Sentiment de ne pas être connecté aux émotions
Sentiment utilitaire
Impression d’augmenter les crises plutôt que de les apaiser
Difficulté à réfléchir

36
Q

décris le mode de l’équivalence psychique

A

enfant 1-3 ans

Le monde interne = le monde externe. La personne est convaincue de savoir ce qu’il se passe pour l’autre personne, en fonction de son propre ressenti. Pas de flexibilité mentale (p.ex.je me sens rejeté, alors je le suis) se baser sur le mode interne pour inférer les intentions de l’autre

Faut degré de certitude (peur des monstres) certaine paranoïa, tout blanc/tout noir = pas de nuances
Comprendre pk les enfants plongent dans les comptes – pas de nuances !
Ne tient pas compte des sentiments d’autrui = égocentrisme, tout s’exprime fort à cause de sa certitude
Il faut rappeler les enfants = on fait semblant, pas pour vrai
Jeux crus, incohérents, très reliés à l’intensité de ce qu’ils vivent

Croit que l’autre peur deviner ses pensées, émotions, désirs
Ressent que sa réalité interne est conforme à la réalité externe
ne tient pas compte des sentiments d’autrui
Égocentrisme
Fait vivre aux autres ses émotions et intentions

jeu:
Incohérent, confus, chaotique, destructeur, thèmes crus
Centré sur sa propre perspective (lui seul à raison)
Difficulté à tolérer de perdre le jeu
Jeu à risque de devenir réel

intéractions :
Éprouve des difficultés à suivre le sens du jeu de l’Enfant
Sentiment de confusion et tentatives d’interventions visant à poser des limites au jeu
Sentiment d’impuissance
Nécessite des interventions pour recentrer son attention et se souvenir de la différence entre «c’est vrai» et «on fait semblant»

37
Q

décris le mode semblant

A

âge - 3 à 4 ans

Attitude neutre
Peu ou pas en contact avec ses émotions
Ne chercher pas à partager le plaisir avec l’autre
Tente d’éviter les débordements affectifs

jeu :

Jeu symbolique présent, mais souvent répétitif
Expressions d’affects, mais qui peuvent pas être liés à sa réalité intérieure

interactions des adultes/intervenants :

Réalise les manœuvres d’évitement
Sentiment d’ennui et risque de fonctionner sous automatisme
Sentiment de désengagement
Désir d’intervenir pour enrichir le contenu émotionnel

p.ex. :
Distance / déconnexion entre les 2
Détachement émotionnel
Inférences à côté de la plaque
Manquer d’affect
Sonner faux
Petits «adultes» mais il ne m’a rien dit, hypermentalisation

Chez enfant = pas un bon vocabulaire émotionnel

38
Q

qu’est-ce que l’hypermentalisation chez l’enfant avec un mode semblant

A

Tendance à sur interpréter les faits, attribuer les états mentaux extrêmes à autrui et à générer une multitude d’hypothèses dont aucune ne se relève porteuse de sens

Elle est une source de dysrégulation émotionnelle (une sorte d’agitation mentale qui engendre une confusion chez l’enfant)

p.ex. : Indicateur de où le jeune se situe
Il surinterprète les faits
Bcp d’hypothèse, ne calme pas vraiment

Bcp d’agitation mentale – dysrégulé car idées pas de liens entre elles
Coincés avec tout ça, n’arrive pas à se fier à son jugement

Traumas = ++ agitation, tourner en rond, raconter vécu de façon plate
–> Si pleure, émotion = meilleure intégration

39
Q

mode de mentalisation de la pensée réflexive ?

A

Intégration des modes précédents
Vers l’âge de 5 ou 6 ans chez un enfant dont le développement suit un cours normal

enfant qui comprend que les autres, comme lui, sont habités par des pensées et des sentiments (une réalité intérieure) qui sont reliés à la réalité externe, mais qui s’en distinguent

40
Q

quand le développement est compromis - (limites de l’enfant / difficulté du parent à miroiter les émotions de son enf)

A

enfant = seul avec ce qui l’habite - sans soutien pour apprendre à élaborer/adopte des contenus mentaux qui ne lui appartiennent pas

limiter sa capacité réflexive

41
Q

qu’arrive-t-il quand un enfant n’est pas soutenu dans sa mentaliation

A

il pourrait devenir fixer au stades pré-mentalisants (3 autres modes) et ++ risque

42
Q

p.ex. :
Florian – grosses colères dans le jeu, dessin, «papa dessine un loup» mais se fâche car ce n’est pas un loup comme il veut

A

équivalence psychique - psychique car c’est comme s’il s’imagine que les 2 ont la mm représentation d’un loup

43
Q

Fille – toute contente, pendant la fds, pris le métro, avec Loulou et elle se rend compte que l’autre ne sait pas c’est qui loulou

A

pensée réflexive/mentalisante car elle fait la différence entre elle et les autres + connectée à ses émotions, fil de pensée claire au niveau temporel

44
Q

p.ex. : Benoit qui mange sa purée, joue avec voitures, enlève les voitures pour assiette, hurle, fâché

A

mode téléologique - psq juste fâché, action concrète et non sur j’ai un repas, intolérant face à la privation des jouets

45
Q

Coco famille accueil, enfant qui raconte une histoire, intense +++, chicane, accrochage, évitant de ses émotions, rien qui se passe avec les animaux, je ne veux plus jouer

A

mode semblant, distanciation de l’affecte, pu connecté

46
Q

2 indicateurs du développement de la mentalisation chez l’enfant

A
  1. régulation de l’attention
    Observer la réponse de l’enfant à des consignes simples, regarder comment l’enfant prend part à la discussion, ses réactions aux propos de ses parents, conscience corporelle, intensité des sensations

Hypersensoriel
À l’aise ou pas
Comprendre cmt il se régule
Est-ce qu’il parle de son envi ou à la fin court pour aller à la toilette

  1. régulation des émotions
    Accès au monde émotionnel, extériorisation des émotions par des réactions non-verbales, comment l’enfant réagit aux adultes

Qu’est-ce qu’il fait, qu’est-ce qu’il exprime, bouder, crises fréquentes, surexcitation, parle bcp, grosses déceptions, intensité émotive
Regarder leur inhibition

47
Q

nommer un autre indicateur du développement de la mentalisation chez enf

A

Niveau de confiance épistémique

qualité de jeu & dessins

représentation de soi

capacité à élabrorer un narratif de son histoire

langage et recours à l’agir

48
Q

à quoi ressemble un enfant paranoïde dans son dév de sa mentalisation au niveau de sa confiance épistémique

A

Paranoïde = n’écoute pas les consignes, pas faire acquis des infos, il n’écoutera pas l’adulte, reste avec sa vision rigide
Méfiance = + grande distance avec l’enfant, pas de formulation d’aide
Dure de s’exercer l’autorité d’adulte

49
Q

à quoi servent à évaluer la qualité du jeu et des dessins

A

Élargissent les possibilités de communiquer des états-mentaux/émotions

50
Q

nommer les 3 types de jeux qui nous donne une idée sur le développement de la mentaliser chez le jeune

A
  • jeu fonctionnel/moteur (téléo)
    Simple, répétitif, mouvements moteurs communs
    commun de 1 à 2 ans – jeu d’association + jeu parallèle
    ex. courir, faire avancer une auto
  • jeu de construction
    construire quelque chose
    commun entre 3 et 6 ans
    ex. faire une maison avec des blocs, casse-tête

-jeu symbolique
prendre des rôles imaginaire, imiter
ex. jouer à la garderie, jouer à la maman
commun de 2 à 6 ans

= les jeu donnent accès aux états mentaux, représentation, à la pensée de l’enfant
plus c’est riche & complexe = meilleure mentalisation chez l’enfant

51
Q

décris moi ce qu’est le niv de confiance épistémique chez enf qui développe sa mentalisation

A

– communication

Capacité de l’enfant à décider à quelle source d’information il peut faire conscience pour acquérir de nouvelles connaissances
À partir d’un an, l’enfant s’appuie sur le ton de voix et l’expression faciale de son parent (Rosnay et al., 2006 Stenberg, 2003; Striano & Rochat, 2000)

Se déploie juste si attachement sécure
Ouvert à recevoir de la part des adultes, rétroaction
Il va faire confiance à toutes les figures d’autorité… mais quand sécure, se base + sur son parent
Expression facile, intonation
Quand on vieillit = + sur les mots

52
Q

en quoi la représentation de soi = indicateur de la mentalisation ?

A

Représentation de soi solide par une assurance quand il se présenter, à situer sa famille, fournir des informations sur es amis, ses intérêts, capable d’exprimer ce qu’il ressent

53
Q

en quoi La capacité à élaborer un narratif de son histoire (penser à lui mm)
est un indicateur de la mentalisation

A

est-ce que c’est cohérent, est-ce que ça fait du sens ?

54
Q

Le langage et le recours à l’agir
= indicateur de la mentalisation ?

A

La mentalisation est associée à un bon niveau de langage

Les enfants d’âge préscolaire de la population générale ayant une pauvre capacité à s’exprimer étaient plus à risque de se comporter de façon agressive avec leurs pairs et d’être rejetés (Laurent et al. 2020)

55
Q

comment évaluer la capacité de mentalisation parentale des parents ?

A

p.ex. un parent qui parle à la place de son enf (mande de différenciation)
un parent qui tient compte de la perspective des autres ou pas ? (ouverture et flexibilité cognitive)

Voir de quelle façon il mentalise
Questionnaires
Nous parle du fonctionnemet de la famille
Directement lié aux représentations qu’ils font

56
Q

quoi faire pour diminuer peur de l’enfant des monstres

A

réduire exposition à des émissions/histoires épeurantes
“search” dans la chambre pour des monstrer et assurer qu’il n’y en a pas
veilleuse + objet de transition

57
Q

peur de la garderie - quoi faire

A

anxiété de séparation = donc - donner chaleur + affection mais encourager l’indépendance, comprendre ce qui cause cela avec la gardienne (environnement, les autres enfants, etc)

58
Q

peur des animaux - que faire

A

ne pas forcer un enfant vers un animal
le laisser explorer dans son rythme
démontrer comment c’est possible de flatter animal, qu’il est docile et gentil
mettre l’accent sur la taille : tu est ben plus grand que le chat, il a surement peur de toi!

59
Q

les peurs intenses des enfants - quoi faire

A

si pas traitable, depuis longtemps, etc = phobie
peut être lié à un trouble de famille + besoin de thérapie
si traiter la santé mentale = possible de réduire la phobie

Dév soc-cogn 0-5 (10 decks)

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