IV-15 Toxoplasmose Flashcards
Agent pathogène du toxoplasmose?
Toxoplasma gondii
- protiste/protozoaire
- ordre des Coccidies
- embranchement/ phylum des Apicomplexa : sporozoaire
- genre Toxoplasma
- cycle hétéroxène, complexe (phase sexuée et phase asexuée)
- parasite intracellulaire obligatoire
-pénétration active dans la cellule à l’extrémité apicale : complexes d’organites spécialisés pour pénétration dans les tissus ou cellules hôtes
> rhoptrie (invasion)
> micronème (motilité, invasion et virulence)
> conoïde
-3 formes, fonction de l’hôte
> chez l’Homme : tachyzoïtes et bradyzoïte
> chez le chat : sporozoïte
forme tachyzoïte du Toxoplasma gondii?
-forme végétative intracellulaire OBLIGATOIRE (pénétration active + mobilité)
-forme infectante
- dans l’hôte intermédiaire
> forme de dissémination sanguine
- parasite les cellules du système des phagocytes mononuclées
- responsable des manifestations cliniques
- réplicatives : multiplication rapide +++ dans une vacuole parasitophore
- infection phase aigue
- en croissant
- 6-8µ x 3-4µ
- extrémité antérieur effilée
- noyau central
- Type I : très virulent chez la souris
- Type II : non virulent chez la souris
- Type III : virulence intermédiaire
- Recombinant : virulence variable
Forme bradyzoïte, kyste, du Toxoplasma gondii?
Transformation du tachyzoïte (pH, températures élevés, en réponse à l’activation du système immunitaire)
Forme végétative intracellulaire/ hôte intermédiaire
> forme de résistance intracellulaire quiescente (persiste toute la vie!)
> kyste inaccessible à l’immunité et aux traitements
> Réplication lente +++ (conduisant au développement de vacuole parasitophore sans rupture cellulaire)
> persistance du noyau de la cellule hôte, progressivement éliminé, importance d’un dépot intrakystique constituant la paroi kyste
phrase chronique
Noyau postérieur
Grains d’amylopectine
- entourés d’une paroi épaisse (membrane de la cellule hôte + celle de la vacuole parasitophore)
- métabolisme ralenti
- regroupés au sein de kystes (centaines ou milliers) inaccessibles à l’immunité
- concentrés dans les neurones, les astrocytes, les cellules rétiniennes et musculaires
Sporozoïte/oocyste de Toxoplasma gondii ?
- forme infestante issue de la reproduction sexuée
- forme de dissémination environnementale
- très résistant
-chez l’hôte définitif (chat)
> production intestinale, excrétion fécale
-chez l’hôte intermédiaire
> ingestion alimentaire, transformation sporozoïtes en tachyzoïtes
-dans l’environnement :
> la sporulation donne des sporozoïtes qui seront disséminés
- noyau postérieur
- Peu différent des autres formes
- dans un oocyste : 2 sporocystes contenant chacun 4 sporozoïtes
Hôtes du Toxoplasma gondii ?
- hôte définitif : chat - hébergent le cycle complet (sexué et asexué) du parasite
- hôtes intermédiaires : oiseaux, mammifères (mouton, boeuf et Homme) - que cycle asexué
- hôtes intermédiaires et définitif se contaminent par voie digestive
Infection au Toxoplasma gondii ?
HOTE DEFINITIF
1) infection de l’hôte définitif par des kystes
> ingestion de kystes dans les tissus d’oiseaux/mammifères dont les chats se nourrissent
> action de la pepsine : libération des bradyzoïtes contenus dans les kystes
> transformation en tachyzoïtes qui pénètrent dans les cellules intestinales
> multiplication des tachyzoïtes par reproduction dans les cellules intestinales
> nombreuses divisions cellulaires aboutissant à la formation de schizontes
- multiplication asexuée = schizogonie aboutit à un schizonte, cellule plurinuclée qui éclate à maturité et lyse l’enterocyte
= libération des mérozoïtes. Chaque mérozoïte va alors coloniser un nouvel entérocyte. - après qq cycles de schizogonie, début de la gamogonie (reproduction sexuée) par formation des gamontes femelles (macrogamètes) et mâles (microgamète)
= des mérozoïtes peuvent subir une réduction chromatique et produire des gamètes mâles ou femelles. - les gamètes mâles quittent l’entérocyte pour aller féconder un gamète femelle contenu dans un autre entérocyte.
> fécondation et formation d’oocystes immatures, non sporulés, non infectant
= formation d’un œuf qui va s’enkyster et devenir un oocyste qui sera libéré dans la lumière intestinale puis dans les selles.
= élimination dans le milieu extérieur (par les déjections), 4-5 jours après l’infection et durant 15 jours
2) infection de l’hôte définitif par des oocystes matures (sporulés)
- ingestion des oocystes sporulés et libération des sporozoÏtes qui se transforment en tachyzoïtes
- reproduction sexuée dans les cellules intestinales et élimination d’oocystes immatures
→ sporulation (si T° < 37°C et présence d’O2) avec formation de sporocystes
- chaque sporocyste contient 4 sporozoïtes formant l’oocyste mature
- les oocystes matures peuvent rester quiescents plusieurs mois avant d’infecter un autre hôte définitif ou intermédiaire
HOTE INTERMEDIAIRE
3) infection de l’hôte intermédiaire (Homme)
→ contamination par ingestion d’oocystes matures (végétaux, manque d’hygiène des mains)
PHASE D’INVASION
- libération des sporozoïtes qui se transforment en tachyzoïtes pénétrant dans les cellules intestinales, diffusant par voie sanguine et lymphatique
- multiplication dans les monocytes sanguins → parasitémie de courte durée → dissémination possible dans tous les tissus (y compris transplacentaire avec atteinte du foetus chez la femme enceinte)
- tachyzoïtes → bradyzoïtes (multiplication ralentie) sous l’influence du système immunitaire
PHASE DE LATENCE
- enkystement des bradyzoïtes dans une paroi très résistante, à l’abri du système immunitaire
- sites préférentiels (pauvres en anticorps) = muscles, cerveau, oeil
→ contamination par ingestion de kystes (viande de mouton ou boeuf mal cuite) => cycle asexué
Epidémiologie
- toxoplasmose = parasitose cosmopolite.
- prévalence varie avec l’âge, les habitudes alimentaires, les conditions environnementales
- = 600 000 nouvelles infections par an en France dont 2500 femmes enceintes
- dans les pays développés, contamination essentiellement par la viande infectée
Modes principaux de la contamination ?
- absorption d’oocystes (contamination indirecte par ingestion de fruits et légmes crus et mal lavés, mauvaise hygiène des mains après contact avec la terre ou les chats)
- transmission par les kystes (ingestion de viandes fumées, peu cuites, les kystes étant détruits par cuisson > 65° ou congélation à -12°C pendant au moins 3 jours : transplantation d’organes)
- transmission par les tachyzoïtes, forme fragile responsable de transmission transplacentaire dans les toxoplasmoses congénitales
- facteur de risque majeur chez une femme enceinte séronégative : repas hors du domicile (contrôle moindre du lavage des aliments)
- seuls les chats chasseurs pour se nourrir sont à risque toxoplasmique
Parmi les moyens de défense de l’hôte // toxoplasmose
- immunité humorale n’a pas un rôle central dans le contrôle de l’infection
- immunité cellulaire T a un rôle majeur (LT CD8, LT CD4 et IL2)
Par conséquent,
- si déficit de l’immunité cellulaire (VIH+++- : les bradyzoïtes des kystes se changent en tachyzoïtes : destruction tissulaire (avec inflammatio,, nécrose)
- chez le foetus, non immuno-mature : gravité potenielle de la toxoplasmose congénitale
Clinique de la toxoplasmose ?
- 3 grands tableaux cliniques
- toxoplasmose acquise de l’immuno-compétent
- toxoplasmose de l’immunodéprimé
- toxoplasmose congénitale
→ chez le sujet immunocompétent
- asymptomatique dans plus de 80% des cas
- sinon : fièvre, adénopathies (cervicales +++) et asthénie (parfois profonde et persistant plusieurs semaines à plusieurs mois)
- évolution bénigne et guérison spontanée (très rares formes graves chez des patients infectés par des souches guyanaises)
→ chez le sujet immuno déprimé, formes graves constamment mortelles sans traitement (sauf localisation oculaire isolée => cécité). Schématiquement, on distingue
- les formes localisées
• cérébrales
le plus souvent, dont le tableau est celui d’un abcès avec céphalées, fièvres, déficit neurologique focal +/- crises convulsives
• oculaire
avec baisse de l’acuité visuelle, “mouches volantes” et oeil rouge (en cas de VIH, souvent associée à une localisation cérébrale).
• pulmonaire
(tableau de pneumopathie fébrile avec dyspnée évoquant une pneumocystose
• autres localisations (tachyzoïtes peuvent envahir tout type de cellule) - les formes disséminées
- fièvre isolée avec altération de l’état général
- réactivation d’une toxoplasmose ancienne ou primo-infection
- réactivation possible si VIH avec CD4 < 100/mm^3, gresse de cellules souches hématopoïéttiques, syndrome lymphoprolifératifs
Toxoplasmose congénitale : clinique ? suivi ?
Prise en charge de la mère ? du nourrisson ?
-contamination du foetus lors de la grossesse par primo-infection chez la mère le plus souvent (exceptionnemment par réactivation chez la femme enceinte immunodéprimée)
-le risque de transmission augmente avec le terme mais le risque de formes graves diminue avec le terme
→ Le risque de transmission est fonction de la perméabilité placentaire qui augmente avec le terme. Max vers 24 SA.
-peut être responsable d’une fausse couche spontanée
Si la grossesse arrive à terme, on différencie classiquement
> toxoplasmose congénitale grave : encéphalo-méningo-myélite
(macrocéphalie avec hydrocéphalie, calcifications intracranienne, choriorétinite pigmentaire, ou tableau d’infection néonatale généralisée grave), rare en France
> toxoplasmose congénitale retardée, se manifestant dans la petite enfance au plus tard (retard psychomoteur, hydrocéphalie, choriorétinite pigmentaire progressive, convulsions…)
> toxoplasmose congénitale latente où les nouveaux nés sont indemnes cliniquement (diagnostic uniquement biologique). Forme la plus fréquente en France = prise en charge (diagnostic uniquement biologique). Forme la plus fréquente en France => prise en charge précoce pour éviter les formes retardées neurologiques ou oculaire.
- Datation de la séroconversion par mesure de l’avidité des IgG
- Suivi échographique mensuel de la mère et traitement par Spiramycine
- Diagnostic prénatal possible à partir de la 18ème SA, en respectant un délai de 4 semaines après la date supposée de l’infection
→ se fait par amniocentèse (recueil de 10-20 mL de liquide amniotique, ne pas oublier d’informer et de recueillir le consentement de la patiente) - Recherche de l’ADN de Toxoplasma gondii par PCR sur le liquide amniotique, si positif : traitement de la patiente par PSA (Pyriméthamine + Sulfadiazine + Acide folinique) jusqu’à l’accouchement, puis effectuer un profil comparé des Ac NN/Mère pour confirmer la toxoplasmose congénitale
- Suivi +++ de l’enfant pour complication pendant un an : examen oculaire fond d’oeil, sérologie, recherche d’ADN par PCR…
NB : La sulfadiazine est contre-indiquée pendant le premier trimestre mais peut être donnée par la suite s’il y a risque de transmission congénitale. Les sulfamides peuvent provoquer chez la femme enceinte de graves réactions d’hypersensibilité.
Diagnostic biologique de toxoplasmose ? chez immunocompétent?
- repose surtout sur le sérodiagnostic
- recherche d’Ac et l’étude de leur cinétique permettent de définir le statut sérologique et le stade de l’infection
-chez l’immunocompétent : rechreche d’IgG et d’IgM =
> pour les IgG, on peut utiliser le dye test (référence, pas en routine), des méthodes ELISA, l’IFI ou l’agglutination sensibilisée. Résultats exprimés en UI/mL
> pour les IgM, la méthode de référence est l’immunocapture-agglutination = ISAGA (immuno-sorbent agglutination assay). Résultats exprimés en index.
> d’un point de vue cinétique, les IgM apparaissent en premier (dans la 1ere semaine post-infection) puis les IgG (à partir du 8-10e jours) qui s’élèvent pour atteindre un plateau (à partir du 2e mois) puis décroissent lentement jusqu’à un seuil résiduel persistant toute la vie.
=> pour affimer le caractère évolutid d’une toxoplasmose, i faut 2 sérums prélevés à 15-20 jours d’intervalle, observer soit une séroconversion, soit un doublement des titres d’IgG (e, ELISA) ou au oins deux dilutions d’écart dans les méthodes par dilution (IFI= immunofluorescence indirecte) dans le même laboratoire. ?
> les techniques actuelles (très sensibles) détectent des IgM de manière persistante : la présence de cet isotype ne permet pas d’affirmer le caractère récent d’une toxoplasmose
> la recherche d’IgA spécifiques et une étude fine des IgG (agglutination différentielle, avidité), permettent souvent de distinguer infection récente et ancienne
> dans le compte-rendu des résultats, le biologiste doit mentionner la technique, les valeurs seuils et une conclusion détaillée
Diagnostic biologique de toxoplasmose chez l’immunodéprimé
-le terrain et la clinique font réaliser un bilan d’imagerie et un traitement d’épreuve (devant la gravité des tableaux neurologiques notamment). EN cas de réactivation d’une toxoplasmose ancienne, la sérologie ne permet pas d’affirmer que le tableau clinique aigu est en rapport avec la toxoplasmose et n’a qu’une valeur d’orientation.
Le diagnostic sera donc confirmé par
> efficacité du traitement d’épreuve
> mise en évidence du parasite par :
✯ DIAGNOSTIC DIRECT
EXAMEN DIRECT
- prélèvement : sang, ganglion, biopsie cérébrale
- recherche directe sur frottis => trophozoïtes intra ou extracellulaire + kystes
= visualisation directe par coloration optique (May Grunwald Giemsa)
OU sur coupe histologique : Giemsa ou hématoxyline, immunofluresence, immunoperoxydase
BIOLOGIE MOLECULAIRE : ADN parasitaire, charge parasitaire
PCR sur tout type de prélèvement (LCR, LBA, moelle osseuse…)
☞ toujours réalisé en parallèle de l’examen direct.
INNOCULATION à la souris (intra-péritonéale) : sérologie 30 jours par inoculation, examens des cerveaux, mise en évidence des kystes intracérébraux
CULTURE CELLULAIRE :
MRC5, Hela
- intérêt : isolement de la souche de toxoplasme pour typage
- réservé aux laboratoires spécialisés
✯ DIGNOSTIC INDIRECT = sérologie
- prélèvement : sérum, LCR, humeur aqueuse
- recherche d’Ac dirigé contre
• Ag de surface : “Dye test” ou test de lyse des toxoplasmose = technique de référence, IFI, réaction d’agglutination directe, ISAGA (Immuno-Sorent Agglutination Assay)
• Ag cytoplasmique solubles : HAI, agglutination de particules de latex sensibilisées, ELISA, immunocapture
→ A l’heure actuelle : techniques automatisée de détection des IgG et des IgM
Détection des IgG spécifiques
- ELISA, immunochimiluminescence
- étalonnage par rapport à un étalon de international OMS. Pas de standardisation des valeurs observées entre trousses commercialisées.
Détection des IgM spécifiques
- méthodes les plus utilisées : ELISA et ISAGA
- spécificité imparfaite pour l’ensemble des techniques
- ISAGA : le plus sensible mais spécificité faible (60%)
NB : ISAGA = Agglutination après immunocapture : la réaction ISAgA (Immuno-Sorbent Agglutination Assay) est une variante de l’agglutination directe, mais après capture des anticorps IgM, éventuellement IgA, sur phase solide sensibilisée par un anticorps anti-IgM (-IgA) humaines. En cas de positivité, les parasites sont uniformément répartis sous forme de voile tapissant le fond de la cupule réactionnelle. L’image obtenue permet d’établir un score (0 à 12)
Mesures complémentaires :
- Avidité des IgG
- IgA spécifiques : diagnostic de toxoplasmose congénitale
- profils immunologiques comparés :
→ ELIFA, WB
→ étude comparative de plusieurs échantillons appariés :
- mère/enfant : recherche d’Ac spécifiques synthétisée par l’enfant
- LCR/sérum : recherche de synthèse intrathécale d’Ac
= bandes supplémentaires sur WB ou Immunoblot
Diagnostic biologique chez les femmes enceintes de toxoplasmose ?
Mesure de surveillance réglementaire de la toxoplasmose chez la femme enceinte :
→ à la déclaration de la grossesse
→ obligatoire
→ par 2 techniques différentes : sérologie IgM et IgG
- Sérologie conseillées chez toutes les femmes ayant un projet de grossesse
- Dépistage sérologique : IgG + IgM avec 2 techniques différentes si absence de document attestant l’immunité acquise.
-examens sérologiques systématiques pour dépister les femmes, dépourvues d’IgG spécifiques, exposées au risque “toxoplasmique”
> si présence d’IgG spécifiques avant la grossesse (au mieux montrée sur 2 prélèvements sanguins) : pas de surveillance ultérieure (sauf cas particuliers d’immunodépression, d’infection VIH…)
> si sérologie inconnue ou négative antérieurement : faire sérologie le plus tôt possible, en début de grossesse
↪ si sérologie négative : suivi mensuel ⚠ + 1 fois après l’accouchement pour s’assurer qu’il n’y a pas eu de séroconversion lors du dernier mois
Si IgG- et IgM- : femme non immunsée
Si IgG- mais IgM + : vraies ou fausses IgM ?
- apparition possible d’IgM non spécifiques de titre stable en fin de grossesse
- nécessite de confirmer systématiquement par une technique plus spécifique.
- Si IgM confirmées : recherche apparition IgG sur un sérum prélevé à 2 semaines pour confirmer séroconversion.
Si IgG+ et IgM- = femme immunisée
→ IgG stable infection ancienne santé-conceptionnelle
→ avidité des IgG :
- si > seuil : infection récente exclue, à confirmer sur un 2e sérum à 3 semaines
- si < seuil : infection récente non exclue : contrôle sérologie à 3 semaines
↪ taux en ↑ : infection datant de moins de 2-3 mois à la date du 1er sérum
↪ taux stable : infection datant de plus de 2-3 moins à la date du 1er sérum
CAT en cas de sérologie initiale négative
- sur le 1ere prélèvement,
> si IgM - et IgG -
=> non protégée, surveillance mensuelle jusqu’à accouchement + mesures hygiéno-diététiques - sur le 2e prélèvement, si
> IgM - et IgG - => non protégée, surveillance mensuelle jusqu’à accouchementt
> IgM - et IgG + => faux positif ? primo-infection sans IgM (rare +++) ? anticorps passifs (transfusions, injection d’Ig)? Ig non détectées sur le 1ere sérum ?
=> retester les 2 prélèvement et en étudier un 3e rapidement - IgM + et IgG + : séroconversion
- IgM + et IgG - : séroconversion probablement en cours
=> contrôles ultérieurs jusqu’à apparition des IgG parfois jusqu’à 2 mois, au-delà on retiendra l’hypothèse d’IgM non spécifiques
Toxoplamose : Sur un 1er prélèvement, IgM - et IgG +
Infection anciene probable, contrôle par prudence 3 semaine après
> IgG+ avec titre stable : infection ancienne, arrêt de la surveillance
> ascension du titre d’IgG : primo-infection sans IgM (très rare) ? réactivation sérologique? pour trancher, techniques compléemntaires (avidité, agglutination différentielle) en s’aidant également de la clinqiue