Fonctionnement cognitif 4COGA Flashcards
Traitements classés par finalité - RICHARD 1998- (6)
- détection et identification d’un stimulus
- récupération de l’info en mémoire
- constitution et modification des associations en MLT
- production et manipulation d’images mentales
- jugement
- inférences
L’écoute dichotique de Lackner et Garret 1972 consiste à…
Que remarque-t-on?
- un message à mémoriser ds une oreille, des mots variés ds l’autre
- > orientation inconsciente de la compréhension des mots selon les mots envoyés ds l’oreille “négligée”
Récupération en MT
balayage séquentiel et exhaustif
Récupération en MLT
activation parallèle et directe
Dans la MLT il y a…
- des représentations
- des associations (mécanisme à l’origine de l’adaptation)
Qu’est-ce que le traitement “JUGEMENT”?
= sélection d’une réponse parmi pls possibilités (prise d’info + prise de décision)
-peut être de détection, comparatif, absolu, estimatif, évaluatif
épistémique VS pragmatique
les inférences peuvent être à visée …
- épistémique (accroître nos connaissances)
- pragmatique (orientée vers l’action: solution à un pb)
Modèle de traitement de SCHNEIDER et SHIFFRIN 1977
Les processus contrôlés sont (2)
- en MT
- séquentiels
Modèle de traitement de SCHNEIDER et SHIFFRIN 1977
Les processus automatiques sont (2)
- en MLT
- parallèle/ non séquentielle
Modèle de traitement de FODOR 1986
processus modulaires VS processus centraux
Selon FODOR, les processus qui:
- traitent les infos en entrée (perception)
- traitent le contrôle de l’action
- modules spécialisés, encapsulés, imperméables aux processus centraux
- traitements irrépressibles et très rapides
sont les processus modulaires
Selon FODOR, les processus qui ont en charge: -raisonnement, prise de décision -système de croyances -contrôlables sont les...
processus centraux
Modèle de traitement de RASMUSSEN 1986
= 3 niveaux de contrôle:
- par les règles
- par les connaissances
- par les automatismes
Catégorisation d’un objet (3 phases)
- identifier
- classifier
- caractériser
Identifier un objet (TREISLAN et GELADE 1980) se fait en 2 étapes:
- perception des pptés
- construction des conjonctions de pptés
Effet POP OUT / saillance
l’objet ressort par contraste
principe d’étendue
le jugement dépend de la position du stimulus dans la gamme des stimuli (ex: boisson sucrée au milieu d’autres boissons sucrées, expérience de RISKEY)
principe de fréquence
le jugement dépend des stimuli reçus antérieurement
induction
généraliser à partir d’un cas particulier (inférences/ raisonnement non valide)
abduction
construction d’une hypothèse explicative (inférences/ raisonnement non valide)
analogie
se servir de ce qu’on sait ds un domaine familier sur un domaine non familier (inférence/ raisonnement non valide)
Les inférences dans la compréhension de txt (récupérer en mémoire une info pour l’ajouter à la représentation qu’on se fait du txt) se font sur 3 niveaux,
elles servent à…
niveau 1 : niveau lexico-prédicatif
niveau 2 : niveau local de la cohérence interphrastique
niveau 3 : niveau global de la cohérence textuelle
BUT: assurer la cohérence de l’interprétation
heuristiques
=règles d’actions générales
inférence dans les raisonnements
- inférence CONSCIENTE
- but explicite
L’inférence dans la résolution de pbs est à visée pragmatique, elle sert à (5)
- appliquer ses connaissances à la situation
- évoquer une situation analogue
- identifier les actions possibles et leurs prérequis (ex anneaux chinois)
- construire des sous-buts
- ordonner des actions
Newell et Simmon 1995 (ex: tours de Hanoi), ont travaillé sur…
l’heuristique des fins et des moyens
FRAISSE 1961 (expé au tachistoscope) montre qu’on a un meilleur traitement du stimulus pour …
…les objets sur lesquels le sujet a focalisé
BROADBENT 1954:
le gain obtenu avec la SELECTION ATTENTIONNELLE est plus important si … (2)
- c’est une dimension physique qui doit être surveillée
- c’est une représentation auditive plutôt que visuelle
POSNER et SNYDER 1975 distinguent 2 types de préparation de la réponse:
- automatique déclenchée par la survenue du signal ds le champ visuel NON SELECTIVE
- contrôlée, qui intervient qd il faut limiter l’intrusion de stimuli non pertinents SELECTIVE
L’attention:
Hypothèse du canal unique de traitement
- attention= filtre
- MT a un traitement séquentiel (passage obligé)
- limites de l’attention= limites de la MT
- BROADBENT 1958 = filtre attentionnel
- TREISMAN 1964: le filtre laisse passer des infos auxquelles on ne fait pas attention
Selon RICHARD 1998, le déclenchement des processus contrôlables par les objectifs dépend …
… des objectifs immédiats et de haut niveau
rappel VS reconnaissance
le nb d’indices est différent
encodage spécifique
= lié au contexte d’apprentissage
COMPRENDRE ?
= construire une interprétation d’une situation (ou d’un texte)
Mécanismes de construction de la représentation d’un texte (3)
- on particularise un schéma (structure de base d’un txt stockée en MLT)
- on construit une interprétation (= structure reliant les différents éléments d’un txt, ou réseau propositionnel)
- on crée une représentation imagée (à l’aide d’un modèle situationnel)
La théorie minimaliste
MC KOON et RATCLIFF
- les lecteurs ne font automatiquement que les inférences nécessaires (cohérence locale, faible coût cognitif)
- les inférences “contrôlées” demandent un effort cognitif supplémentaire, et sont fonction des buts du sujet
Le modèle construction-intégration
KINTSCH 1993
- la représentation d’un txt se fait par cycles (le traitement d’une phrase modifie tte la structure propositionnelle, puis on passe à la suivante)
- limites de la MT= 4 propositions donc nécessité de synthétiser, d’éliminer
Stratégie du bord d’attaque
la sélection des 4 propositions qui restent en MT se fait d’abord sur la dernière proposition, puis sur la plus importante (niveau le plus élevé ds la macrostructure)
Le modèle Causal Inference Maker
VAN DEN BROEK 1990
= la représentation d’un txt se construit comme un réseau de causalité
Les modèles situationnels s’actualisent au fur et à mesure de l’avancée dans un texte (V/F)
VRAI
REPRESENTATIONS ?
=conceptions qu’on peut avoir sur un domaine ou une situation.
2 sens possibles:
-les connaissances stabilisées en MLT
-des interprétations de la situation stockées en MT
Elles peuvent être conceptuelles, imagées, ou liées à l’action.
Comprendre un texte:
3 niveaux de signification
niveau 1 : niveau lexico-prédicatif
niveau 2 : niveau local de la cohérence interphrastique
niveau 3 : niveau global de la cohérence textuelle
SCHEMA ?
=façon de représenter l’organisation des infos en mémoire ET fa!çon d’exprimer comment ces connaissances sont utilisées
- bloc de connaissances (insécable récupéré en MLT)
- objet complexe (concepts+relations et actions)
- structures générales et abstraites qui s’appliquent à des situations concrètes
CHARGE MENTALE ?
- niveau d’attention et niveau de sollicitation de la MCT ds la réalisation d’une tâche en cours
- augmente avec la complexité et le nb de taches
- notion de canal unique
EFFET COCKTAIL-PARTY ?
- -on surveille pls sources d’infos mais on ne peut en traiter qu’une seule
- montre qu’on peut réorienter notre attention sous certaines conditions
SCRIPTS ?
- structures conceptuelles stockées en MLT
- suite stéréotypée d’actions
PROTOTYPE ?
Rosch et Mervis 1975
- catégorie possédant le degré le plus élevé de typicalité dans la catégorie qui lui est surordonnée
- c’est le plus semblable aux autres exemplaires de sa catégorie
CONCEPT ?
- unité cognitive liée à un mot ou à une expression
- peut représenter une classe d’objets, d’événements, de relations… qui possèdent des pptés en commun
ATTENTION ?
- capacité à focaliser sur certains objets et à en négliger d’autres
- focalisation de l’activité sur la réalisation d’objectifs
- peut être une attitude de préparation (sur une seul tâche)
- peut être partagée entre stimulations ou entre tâches
RESEAUX SEMANTIQUES ?
dans le point de vue logique
- Collins et Quillians
- sont structurés par une relation d’inclusion
- permettent de classer des objets, des actions
- relations exemplaire/catégorie
- chq noeud est un concept, auquel sont associées des pptés qui n’appartiennent qu’à cette classe
ANAPHORE ?
reprise du même concept mais sous un autre mot dans la suite du texte. Les rapport antécédent /anaphore se fait en MT.
Les modèles situationnels, selon Dijk et Kintch 1983, sont …
des représentations « hybrides » qui comportent à la fois des composantes imagées et propositionnelles
La décomposition en but/sous-but est propre à …
la résolution de pbs
PROCESSUS ?
traitement envisagé du point de vue de son déroulement
reconnaissance VS rappel
lors de la recup d’infos en MLT
la SITUATION fournit PLUS d’indices dans la RECONNAISSANCE que ds le rappel
encodage SPECIFIQUE ?
l’encodage de l’élément à rappeler est lié au contexte d’apprentissage
ACTIVATION ?
=partie de la MLT disponible à un moment donné